sujet; M.F ✝ feel it, break it
MessageSujet: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 13:55

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Marcus Flint
feat jon kortajarena • glass skin

Wizards • Inventé
• nom complet ; marcus flint. • surnom(s) ; none. Bien que des Marc sortent. De temps en temps. On l'appelle le plus souvent par son prénom complet. • naissance ; 3 février 1978, Londres. Hôpital Sainte-Mangouste. • ascendance ; Flint. Famille sang-pur. Peut-être un peu trop fière de l'être. Ils n'ont rien de célèbre. Hormis le don de traçage inné. Que certains novices peuvent envier. Aucun faits marquant l'histoire. Ils n'ont pas fait briller leur nom. Même s'ils cherchent toujours à le faire. Ils soutiennent le gouvernement. Mais se préoccupent d'abord d'eux-même. • camp ; pro-gouvernement. Il partage les mêmes idéaux. Même s'il a pu en douter. • métier ; ministère de la magie, département de la justice magique, rafleur. Son don et son père sont à l'origine de ce choix. • réputation ; encore jeune, personne ne lui accordait beaucoup de crédit au départ. Seul son nom de famille l'a hissé au rang de rafleur. Avide de gain. Et de pouvoir. Il utilise son don de traçage presque aussi talentueusement que son père. Ce dernier le pousse à se surpasser, pour faire honneur au prestige des flint. Ses performances imposent peu à peu le respect. Mais une sale rumeur vient tâcher sa respectabilité. Il paraîtrait qu'il aiderait à la recherche de nés-moldus dans son coin. Mais pas pour le gouvernement. Non, pour aider les familles. Ça jase. Ça murmure. Comment un élite issu d'une famille de sang-pur pro gouvernement, pourrait tomber si bas ? Mais personne encore n'a pu prouver la véracité de ces dires. Alors le mot traître est encore silencieux. On le pense violent. Il l'était. Mais la mort de sa rebut, et la chute de sa protégé l'ont adoucit. On ne comprend pas le comment et le pourquoi de ses fiançailles. Avec l'aînée d'Anjou. Alors qu'il semblait promis à Beatrix. Il y a peine quelques mois. • état civil ; fiancé. A Aliss d'Anjou. Pas par amour. Pas par arrangement entre les deux familles. Un acte impulsif. Et irréfléchi. Pour protéger Aliss. • rang social ; élite sang-pur. Merci papa. • particularité(s) ; don de traçage, comme n'importe quel membre de la famille flint. Sa famille a peaufiné ce talent. Lui a enseigné cet art. Il le maîtrise. Pour quelqu'un de son âge. Mais perd facilement la connexion. Le bruit extérieur reste sa plus grande faiblesse. • patronus ; anciennement ours kodiak, maintenant il prend la forme d'une panthère, comme celui de Lyubov. Avant sa mort. • épouvantard ;  le cadavre d'Aliss. C'est bien pour ça qu'il a décider de l'épouser. • risèd ; une famille. à lui. même s'il ne veut pas se l'avouer. • animaux ; un hibou. sans nom. juste utile pour envoyer son courrier. • baguette ; vingt-neuf centimètres, bois d'acajou, ventricule de coeur de dragon.

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : il s'est rallié au gouvernement naturellement. Parce que sa famille l'a fait. Parce que c'est comme ça. Il ne pouvait pas en être autrement. Même si comme tout bon flint qui  se respecte, il en veut plus. Ambitieux. Présomptueux. Il désire secrètement renverser lord voldemort. Il partage toutes ses idées. Il approuve toutes ses méthodes. Les rebuts. Les insurgés. Il adhère. Il applaudit. Mais c'est à lui d'être à la tête de tout. Il envie la peur qu'inspire le magister. Même parmi ses fidèles. Il jalouse son pouvoir. Son emprise. Sa position. Il jalouse le maître des ténèbres. Et même si pendant un court instant un sentiment d'injustice est apparu. Pour les rebuts. A cause de Lyubov. Ce sentiment s'est vite éteint. Il aime trop traquer les rebelles. Se sentir supérieur. Par nature. Alors, il reste dans son rang. Et ne pense plus à l'abus. Il pense au plaisir qu'il procure.

► Infos en vrac : même si marcus était poursuiveur et capitaine de l'équipe de serpentard, il n'a jamais pensé à ce choix de carrière. par manque de talent son père le pousse à se surpasser. pour faire briller leur nom de famille. qu'on ne souvienne pas d'eux comme des sangs-purs parmi d'autres. pour faire rentrer Marcus dans l'histoire. pour exister à travers la jeunesse de son fils. cette pression pèse. mais les Flint sont fort. Les Flint ne craque jamais. Kamais. ambitieux. prétentieux. insatiable. individualiste. violent. farouche. persévérant. fougueux. possessif.   il a eu une rebut et s'y est attaché. pas pour sa personne. c'est néanmoins ce qu'il affirme. mais plutôt pour son utilité. son amusement. Ce qu'il ressentait réellement est différent. Il l'a tué. Sur la demande de son père. Pour qu'elle ne pèse pas sur la réputation des Flint. contrairement à ce qu'on pourrait croire, marcus n'est pas juste qu'une brute de rafleur. il est aussi très cultivé. c'est sûrement grâce à cette présence d’intelligence qu'il n'a pas encore sauté au cou de lord voldemort pour le détrôner. il paraîtrait qu'il aide des nés-moldus. que son don de traçage ne sert pas qu'au gouvernement. un traître parmi les flint ? la rumeur est fausse. on raconte qu'il est violent. parfois incontrôlable. notamment avec son ancienne fiancée. la rumeur est vraie. il a été question de fiancer Beatrix Carrow à Marcus. Ca ne s'est pas fait son père l'a envoyé reconquérir Susanna Carrow. Son premier amour. pour la première fois, Marcus n'a pas suivi les plans de son père en se fiançant à quelqu'un d'autre.

Nothing compares to you
•pseudo & âge kiri & 21 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? *reviens la queue entre les jambes* Juste pardon de ne pas avoir été le meilleur membre qui soit. Je peux juste pas me passer de vous finalement  yeux  • ton avis, tes suggestions ; ne changez jamais  minikr  • connexion ; 4/7. • quelque chose à ajouter ? regarde :iiih.



Dernière édition par Marcus Flint le Mer 7 Jan 2015 - 13:32, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 13:56

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M.F ✝ feel it, break it Empty
Here comes the hurricane
ne fais pas confiance à ton cœur, il est assoiffé de ton sang

Give it
« Flint ! » Elle hurle. Qu’elle arrête ça. Stop. J’abaisse ma baguette. Le sortilège s’éteint.  Désarmée. Impuissante. Elle pleure. Encore. Assise sur le sol. Recroquevillée dans un coin. Tel un être fragile. Telle une proie prise au piège. Elle pleure. Elle m’écœure. Dépourvue de force. De courage. D’amour propre. Elle n’est que faiblesse. Je déteste cette femme. Je la hais tellement. Une rachetée. Elle n’est rien. Juste un souffre-douleur ? Sûrement. Je me rapproche d’elle. Elle trésaille. « Non » Sa voix se casse. Elle sait. Elle sait que je décide. De tout. Elle n’a plus son mot à dire. Elle ne l’a jamais vraiment eu.  « Tu m’as cherché » Elle l’a mérité. Elle s’en rend compte. Peut-être. Il serait temps. Je m’accroupie près d’elle. Elle tremble. De la peur. De l’angoisse. De la terreur. Elles remplissent ses yeux trop grands. Cette vision me fait sourire. Me fait plaisir. Elle me craint. « Je ne voulais pas … » « Tais-toi. » Elle s’arrête. Net. Et baisse le regard. Mes phalanges agrippent son menton. Je la force à me regarder. A me faire face. Qu’elle me montre un peu de courage, bordel. Ses pupilles rencontrent les miennes. « Je suis lassé de toi. » Elle ne sert à rien. La rouer de coups. Lui lancer le sort Doloris. La voir souffrir. Ça ne m’amuse plus tellement. « Ne me rend pas ma liberté. » Après un an de relation tordue. Elle n’est jamais partie. J’ai pris ça pour de la témérité. Un temps. Puis j’ai compris. C’est par lâcheté. Fréquenter un sang-pur. Pour sa famille et elle. C’est une bénédiction. Mon père m’avait prévenu. Mais ça me flattait. Cette supériorité gonflait mon égo. « Marcus, je t’en prie … » Mes doigts relâchent leur emprise. Laissant des marques rouges. Sur sa peau blafarde. De poupée cassée. « Je ne crois pas avoir besoin de ta permission. » Je me redresse. « Casse-toi » Elle ne bouge pas. Ses tremblements cessent. Ses muscles se raidissent. La supplique se mêle à sa frayeur. Une larme. Elle coule sur sa joue froide. Elle ne va pas encore se remettre à pleurer ? Combien de fois je l'ai vu dans cet état là ? A sangloter comme une gamine ? Presque provocante de montrer autant de faiblesse. « Casse-toi ! » Ma colère reprend le dessus. Jusqu’à serrer mon palpitant un peu fou. La fureur coule dans mes veines. Rapidement. Brutalement. Ma furie me contrôle. Elle me fait emparer du bras de cette frêle poupée. Avec fermeté. Je la fais se lever. Sans aucune douceur. Sans aucune délicatesse. Je relâche ma prise pour empoigner ses cheveux rêches. Je la traîne à travers la pièce. D’un geste de baguette la porte s’ouvre à la volée. Je la jette. Dehors. Durement. Son corps s'écrase sur le sol. Dans un bruit sourd. Un gémissement s'extirpe de ses lèvres. « Je ne veux plus jamais te voir, est-ce que c’est bien compris ? » Elle acquiesce. Timidement. Mais elle ne s'en va pas pour autant. Elle reste là. Figée. Stupidement. « Ma baguette ... » Ses mots ne sont qu’un souffle. Un vent d'audace mal placée. Une bourrasque de conneries. « Parce que tu crois que tu l’as mérité ? Dégage ! » Je claque la porte. Quelle conne. Il faut maintenant que je me trouve quelqu’un d’autre. Pas une amourette. Pas une amie. Il me faut un nouveau jouet. Une autre poupée à casser.


Take it
Les enchères s’éternisent. Je ne trouve pas ce que je suis venu chercher. Un pantin à contrôler. Quelque chose qui puisse m’amuser. Me servir. Jusque là je n’ai rien vu d’intéressant. Certains sont terrifiés. D’autres affichent un air de défi. Rien qui n’attire l’œil. Rien d'original. C'est déprimant. Mais à quoi je m'attendais ? J'en ai traqué quelques uns.   Ils sont tous pareils. De la vermine. Insignifiante. « Dernier rebut, Lyubov Finend » Une jeune femme frêle s’avance.  Les cheveux sombres. En bataille. Les pommettes roses. Ses prunelles vertes accrochent chaque détails de la pièce. Presque émerveillée. Un sourire dessiné sur son visage de poupée. Elle a l’air … contente d’être là. Quelque chose chez elle capte mon attention. Frêle. Fragile. Mais je n'observe ni détresse. Ni peine. Ni humiliation. Elle a l'air d'être à sa place. Au rang inférieur. Et pourtant. Cette brunette possède quelque chose. Quelque chose de spécial. Mais quoi ? « Née-moldue. Dix-neuf ans. Ancienne Gryffondor. Scolarité arrêtée en sixième année. Attrapée au nord de l’Ecosse. Aucun signe de rébellion connu. » Banale. Contrairement à sa satisfaction. Pourquoi ? Pourquoi cette allégresse ? Elle semble docile. Obéissante. Peut-être même distrayante. « 50 gallions » Les enchères commencent. Je suis pris de court. Je ne sais pas quoi faire. Depuis combien de temps je n’ai pas ressenti ça ? Cette désagréable sensation de perdre le contrôle ? Elle m’irrite. M'agace. Il est temps de reprendre les rennes. Je la veux. Je veux mon nouveau jouet. Et tout s'accélère. « 500 gallions » « 600 gallions » Qui ose contrarier mes plans ? Je ne prend pas la peine de me retourner. Peu importe de qui il s'agit. Je vais la gagner. Tel un gamin capricieux. Je ne la laisserais pas s'échapper. « 800 » Plus personne n'enchérit.   Une fille si banale ne mérite pas autant. Elle ne vaut pas autant. Je trouverai bien un retour sur investissement. « 800 gallions, une fois. 800 gallions deux fois… Adjugé à Sir Flint pour 800 gallions. Fin des ventes pour aujourd'hui. » Je m'avance pour récupérer les clés des chaînes de ma rébut. « Merci pour ma liberté. » Elle chuchote. Amusée. Soulagée. Toujours enjouée. Mes iris captent les siennes.  Je reste silencieux. Un peu perturbé. Par sa conduite. Par sa façon d'être. Lyubov est déroutante. Elle pense qu'elle est libre. Réellement. Naïvement. Sortir d'Azkaban n'est pas signe de liberté. C'est passer d'une prison à une autre. Rien de plus. Même le plus benêt des moldus le comprendrait. « Avance. »


Break it
« C’est vrai ce qu’on raconte ? » « Quoi ? » « Tu aides les nés-moldus ? » L’air claque. Elle se couvre la joue. Presque immédiatement. Comme pour stopper la douleur.  Deux semaines se sont écoulées. Depuis que je l’ai gagné. Je n’ai remarqué aucune larme. Son sourire s’éteint. De temps en temps. Mais il est encore présent. J’espère qu’elle abandonné toute notion de liberté. En venant ici. En étant en ma possession. « Je ne suis pas un traître à mon sang. Plus jamais tu n’insinueras le contraire. » Elle acquiesce. Avec gaieté. Elle me déconcerte. Une nouvelle fois. Ses prunelles émeraude me dévisagent. «  C’est à cause de cette stupide rumeur que tu t’ais cru libre le jour des enchères ? » « Non. » Serait-ce un ton de défi ? On toque à la porte. M’empêchant de lui demander pourquoi. « Va ouvrir, ce doit être mes parents. » « Oui, monsieur. J’ai hâte d’entendre encore une fois pourquoi les Flint sont la meilleure famille de sang-pur au monde. » Elle disparaît de la pièce. Très vite. S’épargnant une nouvelle claque. Je sais maintenant ce qui m'avait attiré chez elle la première fois. C'est cet effet. Celui qu'elle provoque chez moi. Elle désordonne mes pensées. Elle chamboule tout. Sans vraiment me faire perdre le contrôle.

« On va dîner chez les Carrow dans quatre jours… » Lyubov s’affaire autour de la table. Elle est parfaite. Soumise. Obéissante. Un brin provocante. Solide. Eclatante. Efficace. Parfaite … « La fille est une demie-vélane à marier. Son père cherche un sang-pur évidemment. Son sang à elle n’est pas des plus irréprochables. Mais une demie-vélane, avec la rumeur qui court sur toi … l’achat de ta rebut et ce mariage … ce serait une bonne affaire. » « Si tu veux. »  Lyubov s’éloigne. « Tu es mon unique enfant. On ne peut pas se permettre de merder. Tu comprends ? Les Flint … » Je n’écoute plus. Je l’ai trop entendu. Vanter les Flint. Alors que sincèrement, on est une famille de sang-pur parmi d’autres. On soutient Lord Voldemort comme la plupart. Mais on ne fait pas parti de ses fidèles les plus proches. Aucun d’entre nous n’est mangemort. Même si mon père souhaiterait que j’en sois. Il ne le cache pas. Ni à moi. Ni à ma mère. Ni au reste du monde. Lyubov revient avec le repas. Elle nous sert. La mine égayée. Pendant que mon père continue de louer les mérites de notre famille. Et se retire. « Tu n’es pas trop mal tomber avec ça. Certain rebut sont plus difficiles à dresser. » Ma mère désigne du regard la porte. Par laquelle Lyubov est sortie. Si elle savait ... si mes parents savaient. Que je regrette. Presque. Que Lyubov ne soit qu'une née-moldue.« Haleigh, notre fils traque et dompte des comme elles tous les jours. Evidemment qu’il sait y faire. » Un nouveau monologue sur les qualités des Flint s'amorce. J'abandonne les paroles de mon père. Un instant. Pour m'enlever Lyubov de la tête. Elle n'est pas grand chose. Je ne peux pas perdre ce que j'ai. Pour juste elle.


Do it
« Tu es venu pour me parler des deux sœurs ? » Parce que ça n’avance pas. Je piétine. Et je n’ose pas lui avouer. Je ne reconnais pas mes fautes. Surtout pas face à lui. « Non, pas aujourd’hui. » Je patiente. Tel un enfant sage. En admiration. Devant la personne la puissante de son monde. « On t’a vu parler avec Charles Selwyn. » Il demande simplement pourquoi. Qu’est ce que le patriarche Selwyn pouvait bien me vouloir. Soupçonne-t-il un faux pas de ma part ? Evidemment. Sa confiance, il ne me l’a toujours pas accordé. Mais non, je ne lui donnerai pas une occasion d’être déçu. Je ne prétends pas être irréprochable. Mais en vingt-trois ans, je ne l’ai trahi qu’une fois. Lui et sa foi en moi. A cause d’une ex-fiancée. « A cause de Khloé. » Il hausse les sourcils. Mi-étonné, mi-rassuré. « Il veut que je la retrouve et que je la lui livre. Et en même temps, je surveille quelques sorciers pour lui. » « Et en échange ? » Cette question. Je l’attendais. Une demande naturelle. Pour n’importe quel Flint qui se respecte. Eduqué dans des valeurs d’ambitieux. D’égocentrique. « Il promet de me faire mangemort. » « Le premier Flint mangemort … » Sa fierté. Dans le ton de sa voix. Ça n’a pas de prix. Aux yeux d’un gosse. Qui a toujours cherché à l’entendre. Parfait petit soldat. Formé avec excellence. « Ce n’est pas tout. Je dois aussi cherché quelqu’un d’autre … sa fille cachée. Qu’il n’a pas réussi à tuer en même temps que sa mère. A vrai dire, cette traque a été la plus simple du monde. Elle est juste ici. Dans mon manoir. Tout concorde, avec ce que ma rebut a pu me dire sur elle et les informations que m’a donné Charles … Je sais que c’est elle. Il est au courant. Il me laisse libre de son avenir. » Il fait les cent pas. En silence. Longtemps. Bien trop longtemps. A quoi peut-il bien réfléchir ? Il a eu ses réponses. « La dernière fois que je t’ai laissé faire librement, tu as vu ce qui est arrivé. Ton ancien jouet a trop sali ta réputation. Et celle de notre famille. Elle t’a roulé dans la boue, tout ça  parce que tu as joué au gamin capricieux. Et que tu n’as rien fais pour régler ce problème. Donc cette fois, je veux que tu m’écoutes bien attentivement. Et que tu m’obéisses. Scrupuleusement. Sans question. Sans objection. Marcus, promets moi d’accepter cet ordre. Et de l’appliquer au plus vite. » « Tout ce que tu veux. » Qu’est ce que je lui ai déjà refusé ? Rien. Absolument rien. J’ai toujours obtempéré. Même lorsque ça ne me plaisait pas. Même lorsque je dois me fiancer avec une hybride. Rompre la pureté de notre ligne. Et récupérer mon premier amour perdu. Comme si c’était simple. De courir deux lièvres à la fois. Avec la présence de Lyubov. Qui vient tout bouleverser. « Ta rebut … L’acheter ne suffit pas pour laver ta réputation. De plus, elle peut faire des bourdes. Peu importe qu’elle soit la fille d’un sang-pur, si elle en est arrivé là, ce n’est pas par intelligence. Et personne ne tardera pas à comprendre qui elle est. Et on ne peut pas se permettre de perdre la confiance que  t’as donné Selwyn. » Où veut-il en venir ? « Tue-la. »



Dernière édition par Marcus Flint le Mer 7 Jan 2015 - 18:33, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 13:56

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Burn it
« Réveille toi. » Elle émerge. Me dévoile ses émeraudes. D’un éclat trop déroutant. D’un charme trop puissant. Je m’assois. A coté d’elle. Sur le sol froid du grenier. « Je pense qu’il y a certaines choses que tu as le droit de savoir. » L’incompréhension dans ses opales. La curiosité sur son visage de porcelaine. Son innocence. Qui m’a toujours fait chavirer. C’est seulement maintenant que je l’admets. «  Lyubov, tu m’as apporté trop de problèmes. Et tu m’en apporteras encore davantage. Tu as foutu le bordel. Dans ma stabilité. Dans mon esprit. Et dans mon cœur. Je ne cherche plus à le nier. Tu as réussi à m’adoucir. Et je me demande si ce n’est pas ça que je cherchais. En t’achetant … un peu d’humanité. » Ça l’amuse. Poupée rebelle. Tout sauf soumise. Elle ne l’a jamais été. Docile et sage. Jamais. Bien qu’elle a su faire semblant. Ce n’est pas elle. Mes paroles la divertissent. Elle en rigole presque. Ni la colère, ni l’amusement, ne viennent. Rien ne vient me perturber davantage. Seul les battements de mon cœur, me rappelle que je suis encore vivant. « Ly, je n’oublierai jamais ton émerveillement le jour des enchères. Je n’oublierai pas ton sourire. Ni celui là, ni les autres que tu m’as offerts. Je n’oublierai pas ce moment sur la falaise. Ni cette nuit où tu es venue. Effrayée par l’orage. Ce qui c’est passé, ça n’aurait pas du arriver. Mais je ne le regrette pas. Je n’arrive pas à le regretter. » « Tu me dis adieu, Marcus ? » J’ai du mal à penser. Trop difficile de réfléchir. « Oui. Parce que je vais t’offrir la liberté. » Parce que tout ça c’est trop. Parce que cette histoire n’aurai jamais dû exister. Je vais ouvrir sa cage. Desserré le piège. Il est temps maintenant.

Je me relève. Me remet sur pied. Et lui fait face. Petite esclave fragile. « Celle que tu m’as demandé de te donner un jour. La dernière liberté qu’un être vivant puisse avoir. » Souviens toi simplement de mes sentiments. Aussi réels que la mort. Aussi durs que l’enfer. Mes doigts glissent sur ma baguette.



Le néant.




Et une lumière verte.



« Je suis désolé.» Et ces larmes qui n’ont jamais existés. Et ce déchirement. Cette souffrance. Qui déchire mon palpitant fou. Qui brise le peu qu’elle m’a laissé. Pour consumer et réduire en cendre, ce cœur déjà broyé. Et tout détruire. Tout.


Dream it
Une colère. Qui fissure un palpitant fragile. Une angoisse. Oppressante. Une inquiétude étouffante. Une rage que je n’arrive pas à apaiser. Une fureur animée par la crainte. Une panique de la perdre. Qu’on me prive de mon ange. Qu’on me vole la seule personne importante. Qu’il me reste. Qui arrive à passer devant tout le monde. Devant mon père. Devant Sue. Un emportement contre les insurgés. Qui ont osé s’en prendre à elle. A la mettre en danger. A la blesser. Je ne peux plus supporter de la savoir dans cette situation. Instable. Menaçante. Risquée et malsaine. Non, je ne peux plus le supporter. Je m’étais promis de rester tranquille. Promis d’agir sagement. De poser mes limites. Là où elle me le demandait. Mais là, c’est trop. Beaucoup trop. J’ai failli la perdre. Définitivement. A cause d’une guerre à laquelle elle ne veut pas prendre part. Pourquoi l’injustice la poursuit encore ? Pourquoi faut-il que le sort s’acharne ? Le mélange de mes sentiments tourmente. Me perd. Je m'égare dans l'incertitude. Je n'ai pas su faire ce qu'il fallait. Je n'ai pas su la protéger. Je l'ai laissé face aux dangers. Seule. Si seulement, elle m'avait autorisé à faire plus. J'aurai pu faire mieux. Mais je lui ai donné le contrôle. Parce que je pensais qu'elle en avait besoin.

Je transplane. Devant sa porte. Et ne prends pas la peine de sonner. J’entre. Chez elle. Sans autorisation. Sans prévenir. Elle sait que je viens. Je lui en ai informé par hibou. J’ai accouru dès que j’ai entendu la nouvelle. Je dois m’assurer qu’elle est là. Vivante. Et le moins brisée possible. J’ai peur pour sa santé physique. Mais encore plus pour son mental. Elle n’avait pas besoin de ça. En plus. Pas maintenant. Pas alors que sa chute ne fait que s’accélérer. Pourquoi elle ? Pourquoi cette poupée déjà bien trop fragile ? Pourquoi ma Aliss ? Pourquoi ma protégée ? Pourquoi pas une autre ? Bordel, ça aurait pu être n’importe qui. Une autre sang-pur. N’importe laquelle. Quelqu’un qui le méritait. Ou non. Peu importe. Pourvu qu’elle ne soit pas la victime. Ce dernier mot percute mon cœur usé. Victime. Proie facile. Poupée fragile. Qu’on peut si facilement brisée. J’ai échoué. Je ne l’ai pas aidé. A remonter la pente. A lui rendre sa force. J’ai à peine ralenti sa chute. Lui ai apporté une stabilité qu’éphémère. Inefficace. Comment j’ai pu croire le contraire ? Comment j’ai pu penser que c’était suffisant ? Que mes maigres efforts arrangeraient tout ?

Je la prends immédiatement dans mes bras. Lorsque sa frimousse enfantine apparaît. Je la plaque contre moi. Sans un mot. Et reste ainsi pendant un instant. Le temps d’apaiser ma crainte. Un minimum. De calmer ma colère contre ses agresseurs. Sans grand succès. Mais son contact me soulage. Je défais mon étreinte. Mes lèvres se posent doucement sur son front. Mais l’angoisse reste. Je ne parviens pas à la faire disparaître. C’est l’évènement de trop. Un sentiment que je ne peux plus contrôler. Je ne suis plus en mesure de le faire. « Aliss, je peux plus rester comme ça. Je ne peux plus te regarder de loin sans pouvoir t’aider pleinement. » Je m’éloigne. Qu’est-ce que je dois faire ? Comment m’y prendre ? Je passe mes doigts dans ma crinière brune. Comme pour m’aider à réfléchir. Comme pour m’éclaircir les idées. Mais la colère brouille ma raison. Perturbe mon esprit. « Épouse-moi. » La demande claque. Sans même l’avoir prémédité. L’impulsivité s’est mêlée à la crainte. Et à formuler cette requête. Cette supplique. Et finalement. Je me rends compte que c’est la meilleure chose à faire. Pour assurer sa sécurité. Pour pouvoir la protéger au mieux. Et tant pis pour les plans de mon père. Tant pis pour mes plans avec Susanna. A ce moment précis, ils ne comptent plus. Ils ne sont plus que deux visages flous. Lointains. Un mirage sans importance. « Je ne veux pas te prendre ta liberté. Crois-moi, c’est la dernière chose que je souhaite. » Qu’elle comprenne que c’est pour elle. Pour sa sécurité. Que je ne supporte plus de la voir si vulnérable. Elle ne deviendra pas ma propriété. Elle ne deviendra pas ce que je voulais pour Beatrix. Elle ne remplace par Susanna. « Je t’en prie, accepte. » Je sais cet engagement soudain. Effrayant. J’imagine déjà sa réticence. D’être lié à moi. Alors qu’on n’est même pas amoureux. Alors que nos parents ne l’ont pas suggéré. Mais je ne reculerai plus. Je ne peux plus me contenter d’être sage. Passif. Plus alors que sa vie était en jeu. Je ne peux plus rester comme ça. C’est fini. Je donnerai ma vie pour la sienne. Mon rang pour sa sécurité. Ma protection pour cette princesse déchue. J’ignore si la perte de Lyubov joue un rôle. Si sa mort peut m’influencer. Sûrement. Je la laisse se dégager. Prêt à essuyer un refus. « Je ne sais quoi dire. C’est tellement soudain. » Je sais. C’est complètement  irréfléchi aussi. Mais je suis persuadée que c’est la bonne solution. Pour la faire remonter à la surface. Pour lui faire arrêter progressivement l’orvietan. « Tu es sûr de vouloir de moi comme épouse ? Que diront les gens et ton père? » « On s’en fou. » J’ai déjà foiré les possibles fiançailles avec Beatrix. Mon père le prendra mal de toute façon. Puisqu’il n’a jamais choisi Aliss  Et Susanna … J’imagine déjà sa colère. Mais je m’en occuperai plus tard. Quant aux autres, ils s’en fichent. Autant que je m’en balance de leur jugement. « Je ne suis pas certaine. J’ai peur…  Promet moi qu’on ne fait pas une erreur, qu’on ne le regrettera pas. » Les remords viendront sûrement. Mais avec le recul, on se dira qu’on a bien fait. Ce n’est pas un mariage d’amour. Il ne le sera sans doute jamais. « Ce n’est pas une erreur, promis.  Au moins tes parents te foutront la paix avec le mariage. » Égoïstement, mieux vaut moi qu’un autre taré. Je suis l’une des rares personnes à connaître son addiction. Avec qui elle ne joue pas un rôle. Un sang-pur que ses parents peuvent accepter dans leur famille. Je ne prétend pas être le meilleur parti. D'être celui qui lui correspond. Qu'elle ne pourra jamais avoir mieux. Je peux lui apporter une stabilité. Qui lui devient essentiel. Primordial. « Tu n’as rien à y perdre, tu ... »  « C’est d’accord. » Son approbation. Aussi soudaine que ma demande. Prouve qu’elle n’a effectivement plus rien à perdre.


Feel it
Debout dans la cuisine de mes parents, j’attends. Une réaction. De la part de mon père. L’annonce de mes fiançailles claque encore l’air. Le coup dans le dos blesse encore l’égo paternel. J’ai désobéi. Je n’ai pas suivis ses ordres. Ceux de me rapprocher Sue. Après sa sœur cadette. Pour un mariage avec la jolie brune. J’ai choisi quelqu’un d’autre. Quelqu’un qu’il ne m’a pas imposé. Qu’il n’a même jamais suggéré. « D’Anjou ? » La colère. Et la déception. Défigurent son visage vieilli. Il y a longtemps que je n’ai plus eu le droit à ce regard. Noir. Perçant. Qui hurle au traître. « La petite blonde française ? » J’acquiesce. Même s’il s’agit d’une question rhétorique. Il sait très bien qui elle est. Il l’a déjà aperçu. Lors de soirées mondaines. Il me voyait disparaître avec elle. Il a compris l’importance qu’elle prenait. Mais il n’en a pas mesuré l’ampleur. Il ne s’agit pas d’amour. Je n’ai pas de mot pour décrire ce qu’elle est. A mes yeux. Elle est devenue un pilier. Un équilibre essentiel. Elle était là. Après la longue histoire avec Susanna. Lorsque j’ai subi son absence. Quand j’ai dû poursuivre Khloé. Quand j’ai dû tuer Lyubov. « Et les Carrow ? La demi-vélane, d’accord. Mais l’autre ? » Susanna. Mon premier amour. Celle qu’il n’a jamais vraiment appréciée. Presque ignorée. Il ne l’a jamais porté dans son cœur. Alors pourquoi me pousser vers elle ? Maintenant ? « Je sais que tu ne peux pas comprendre ce genre de choses, mais c’est du passé. On a tourné la page tous les deux. Il ne vaut mieux pas réveiller … » « Mais tu ne jurais que par elle. » Et c’est censé rendre la tâche plus simple ? Car il me semble que c’est tout le contraire. Il m’a toujours prévenu sur cet attachement. Inutile à ses yeux. Preuve de faiblesse. « C’était il y a trop longtemps maintenant. Après six ans d’ignorance, tu pensais réellement que ce serait si facile ? Puis Aliss est aussi une sang-pur. Ce n’est pas tout ce qui compte pour toi au final ? » La pureté de sa lignée restera intacte avec elle. N’est-ce pas ce qu’il a toujours privilégié ? Mais elle n’est pas une Carrow ! » Pourquoi tient-il autant à cette famille ? Je n’ai pas compris lorsqu’il m’a proposé la fille impure. Et je ne saisis toujours pas. Alors qu’il souhaite un rapprochement. Vers quelqu’un dont il a toujours voulu que je me détache. « J’ai pris ma décision. » Et il ne me fera pas changer d’avis. Le gamin aveugle et obéissant est loin. Il aurait dû s’en aller plus tôt. « Marcus … Laisse moi t’expliquer. » M’expliquer quoi ? Que mon choix d’épouse n’est pas le bon ? Que les Carrow valent mieux que les d’Anjou ? Je n’ai pas besoin d’entendre ça. « Tu ne voyais qu’à travers elle. A Poudlard. Je sentais que tu continuerais après. Et on ne pouvait pas se le permettre. Il fallait que je décide. Pour toi. Pour notre famille. J’avais besoin de temps. Et tu l’aurais préféré à ta propre famille. Tu comprends le danger qu’elle représentait ? » Non. Pas du tout. Il a voulu me construire. Me former. A son image. Insensible. Un ambitieux sans cœur. Sans compassion. Avide de pouvoir. De grandeur. Et rien d’autre. Susanna a contrarié ses plans. Il n’avait pas d’emprise sur moi à Poudlard. Il a perdu son contrôle. Il a toujours voulu le reprendre. Je l’ai laissé faire. Mais j’ai grandi aux côtés de Sue. Pendant sept ans. Son influence à dépasser les intentions paternelles. Je lui ai échappé. Et il n’a fait qu’empirer les choses. Avec son autorité. Sa supériorité. Pas forcément méritée. Il a empêché ma mère de jouer son rôle. N’a noué aucun lien affectif avec moi. Tout ça pour quoi ? Devenir indifférent ? M’épargner de me créer une faiblesse ?

Sans un mot de plus, il sort de la pièce. Pour revenir avec une bassine entre les mains. Je reconnais immédiatement sa pensine. Il la pose sur la table en bois. Et me fait signe de m’y plonger. Sans d’autres explications. Va-t-il enfin me montrer pourquoi il tient tant aux Carrow ? Quel accord ou lien morbide il entretient avec la patriarche Carrow ? Je me penche sur le contenant de la pensine. Un nuage argenté danse doucement. Emprisonné dans le liquide cristallin. Que je ne tarde pas à effleurer. Avant d’être aspiré dans les souvenirs de mon père. J’atterri dans le vide. Debout dans le néant, j’observe la brume opaline faire apparaître le décor. La fumée prend l’aspect du salon. Celui du manoir Flint. Elle affiche peu à peu les détails. Et finit par s’éteindre en prenant l’apparence de mes parents. Plus jeunes. D’au moins d’une demi douzaine d’années. Ils sont attablés. Face à face. Ils dînent. En silence. Seul mon père mange. Ma mère se contente de l’observer. Les lèvres pincées. La mine contrariée. Les mains jointes posées sur ses cuisses. « Tu ne peux pas lui faire ça. » Il ne lui accorde pas un regard. « Je mène ma famille comme je l’entends, Marcus ... » « … est aussi mon fils. » Ses prunelles virent immédiatement sur sa femme. L’interruption réussie à froncer les sourcils de mon père. C’est la première fois que je vois ma mère lui couper la parole. Utiliser ce ton sec avec lui. Elle a toujours été parfaitement soumise. Ne s’est contentée de briller à ses cotés silencieusement. Approuvant ses paroles. Valorisant ses actes. Comme la plus parfaite des épouses. Jusqu’à se priver de son côté maternel. Pour le satisfaire. « Il est un Flint avant tout. Et dans cette famille c’est le rôle du père de choisir l’épouse du fils. Comme mon père l’a fait avec toi, Haleigh. » Il reprend son repas. Espérant sans doute en rester là. D’avoir clôturé le sujet. Mais après quelques secondes, ma mère revient à la charge. « Un imperium … juste pour l’éloigner de la petite Carrow ? » Mon sang bouillonne. Quand je commence à comprendre. Pourquoi je ne suis pas revenu vers Sue. Jamais. Alors qu’il me semblait normal de le faire. C’est toujours ainsi qu’on avait fonctionné. Les séparations, on en a connu plusieurs. Mais on était incapable de vivre sans l’autre. Une relation passionnelle. Fusionnelle. Fougueuse. Mais nécessaire. Une de celle qui ne peut pas s’éteindre aussi soudainement. « Pour assurer l’avenir de la famille. Dois-je te rappeler les rumeurs d’inceste qui pèsent sur eux ? » « Tu veux juste retrouver un semblant de contrôle sur lui. Tu ne supportes pas qu’elle ait réussie à t’arracher ton fils de ton emprise. Une fois le sortilège lancé, qui te dis que tu n’iras pas plus loin ? Avec Marcus complètement soumis à ton bon vouloir ? » Le décor se brouille brusquement. Un épais nuage ivoire efface la scène. Et je me retrouve propulsé dans le présent. A nouveau dans la cuisine, face à un père qui ne se pose plus de limite. « Tu espérais quoi en me montrant ça ? » Irrité d’avoir été manipulé. Aussi facilement. D’avoir gâché ma plus belle relation. Par sa faute. « Que tu ailles la récupérer. » Ironie du sort. S’il ne m’avait pas forcé la main par le passé, on n’en serait pas là à présent. « Pourquoi ne pas continuer à … » « Je préfère que tu m’obéisses de mon plein gré. Je n’ai utilisé ce sort que pour t’éloigner d’elle à ce moment là. Elle était le seul obstacle …  Si je t’avais demandé de ne plus la voir, tu aurais refusé. J’ai fais ce que je devais faire. Je … » Je ne l’écoute plus. Et le laisse dans ses justifications. Je préfère partir. En plein milieu de son monologue. Encore confus de cette découverte. Le sortilège a duré six longues années. Un temps de contrôle trop long. Un acte qui va trop loin. Même si je sais pourquoi je n’ai jamais renoué contact avec Sue. Mais elle ? La déchéance de mon père, Le choix de Susanna. Me réconforte un peu plus dans ma décision. Ce sera Aliss. Il n’y a plus que elle qui compte. Désormais.



Dernière édition par Marcus Flint le Jeu 8 Jan 2015 - 14:29, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 13:57

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Il t'en a fallu du temps pour être convaincue. iiih
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 14:23

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(re)Bienvenue sur excidium perv
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 15:02

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
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‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14078
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
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Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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WELC'HOME BAAAACK iiih tu connais la maison donc j't'épargne le blabla habituel hinhin
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 16:40

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Wayland B. d'Anjou a écrit:
Il t'en a fallu du temps pour être convaincue. iiih
Tu parles gaah 3 jours à peine yeux

Liam O'Daire a écrit:
(re)Bienvenue sur excidium perv
Merci minikr

Draco Malfoy a écrit:
WELC'HOME BAAAACK iiih tu connais la maison donc j't'épargne le blabla habituel hinhin
Merci & merci fire Je connais le chemin de ta boite mp par coeur hehe
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 17:49

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3 jours, c'est long. bde
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 17:50

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Rebienvenue ! kr Bonne chance pour le reste de ta fiche (ouais parce que j'ai déjà commencé à lire l'histoire, impatiente que je suis Arrow )
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MessageSujet: Re: M.F ✝ feel it, break it   M.F ✝ feel it, break it EmptyVen 2 Jan 2015 - 18:01

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M.F ✝ feel it, break it Empty
Wayland B. d'Anjou a écrit:
3 jours, c'est long. bde
Comparé à tes deux secondes de reflexion, oui yeah

Juno Saitō a écrit:
Rebienvenue ! kr Bonne chance pour le reste de ta fiche (ouais parce que j'ai déjà commencé à lire l'histoire, impatiente que je suis Arrow )
Merci kr J'aime bien me sentir espionnée, je t'en prie, va y, lis minikr iiih
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