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sujet; Kathrina D. Keller : Is killing you like is killing me ? (fini)

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Kathrina Dylan Keller
feat Georgie Henley • crédit even memories

Groupe • Prédéfini
• nom complet ;Kathrina Dylan Keller • surnom(s) ; Kathy, Kath, "Petite Soeur" . • naissance ; 24 novembre 1983, Ecosse. 18 ans • ascendance ; Kathrina a des origines allemande par sa grand-mère qui a eu le choix d'épouser un sorcier né moldu et de son père Wilhem qui est Sang mélé. Elle est aussi anglaise par l'appartenance génétique de sa mère Isana qui est une Sang Pur. Ce qui fait d'elle une Sang-mélée mais elle n'en a jamais eu de problème avec la nature de son sang.• camp ;  Pour autant qu'elle puisse être naive, Kathrina sait parfaitement que si sa famille est encore en vie, c'est qu'elle rend service au grand Magister. Elle adhère au principe de ce dernier et qu'elle soutient jusqu'à aider à maintenir les nouvelles lois du nouveau régime instauré même si au fond, elle n'en croit pas un mot. • métier ; A ses 17 ans, elle décida même de s'engager durant son service civique dans la Brigade de la Police Magique afin de rentrer dans les rangs mais elle aspire à entre dans l'enseignement des plus petits, dans l'école où sa mère enseignait avant le drame et pourquoi pas, s'isoler longuement dans un atelier pour créer des vêtements/bijoux/accessoires pour enfant• réputation ; Kathrina a la réputation d'être une jeune fille douce et agréable. Entêtée également, elle comprend généralement très bien les sentiments des autres, c'est une sorte de sixième sens pour elle. Elle est également très sensible et d'une loyauté sans faille envers Ulrich pour lequel elle serait prête à mourir (ce qui n'est pas au goût de ce dernier). Quand on parle d'elle, c'est toujours avec les yeux qui pétillent. Elle ne ronchonne jamais et elle est toujours d'accord avec tout le monde pour éviter les conflits. Et cela la réussit puisque son entourage la qualifie de quelqu'un de doux, de sincère et d'entier • état civil ; Célibataire • rang social ; . La jeune fille sait aussi qu'au moindre faux pas, qu'en tant que RACHETE, sa famille pourrait disparaitre aussi vite qu'un elfe de maison de pièce en pièce. (voir ici). • particularité(s) ; voir listing & demandes. • patronus ; Après de nombreux entrainements avec son frère ainé, elle réussit enfin à sortir un patronus de la forme d'un agneau car : L'agneau est fragile, tout comme toi qui a un côté sensible très développé.  • épouvantard ; Ulrich, mort ou s'éloignant d'elle malgré tous ses efforts pour être aussi "bien" que Susan  • risèd ; Sa famille heureuse et en bonne santé• animaux ; Un chat de birmanie aux yeux vairons, qui lui vaut le prénom de : Véron qui ne la quitte jamais et la calme avec ses ronronnements régulier lorsqu'elle lui caresse le ventre. • baguette ; 28cm, bois de charme et crin de licorne • miroir à double sens; Pas du tout concerné par ça


The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : régime politique, vente des Rebuts, traque des insurgés, durée de la guerre (5 lignes).Katherina est toujours d'accord avec tout le monde, surtout pour le bien-être de sa famille, elle adhère, plussoie les idées qu'elle entend, qu'on lui suggère pour éviter les conflits. Elle suit aveuglément le comportement et les paroles de son frère ainé Ulrich comme la Bible. Il n'y avait que lui pour lui faire entendre raison même s'il ne devait pas vraiment user de beaucoup d'argument pour la convaincre. "La vente de Rebuts", qu'à cela ne tienne, de toute façon, elle n'avait pas à s'occuper de ça alors elle rangeait cette partie de son esprit pour ne plus y penser. Ignorer les faits étaient peut-être pour elle la meilleure solution de survivre dans ce nouveau régime. "La traque des insurgés", elle n'en a jamais vraiment entendu parlé et si on venait lui demander son avis, elle hausserait tout bonnement les épaules, faisant bien comprendre qu'elle n'est pas concernée. Elle ne préfère pas y réfléchir se cantonnant à ce que son frère lui donnait comme des plus explications basiques. Quant à la durée de la guerre, elle est née durant les jours sombres d'avant guerre lui arrachant des piliers de la familles, elle a été présente durant l'attaque du Magister à Poudlard, elle a assisté à la prise du Pouvoir de ce dernier. Pour elle, ça n'est pas différent, c'est un rythme de vie, une institution dans laquelle elle vit depuis de nombreuses années.  

► Infos en vrac : Kath est anglaise par sa mère et est allemande par son père  Kathrina est ambidextre et mesure 1m62. Ses yeux sont d'un bleu limpide, limite trop.  Elle porte des grosses lunettes de soleil pour se protéger  Loyale, elle l'est pour sa famille et ses amies Naïve, elle peut même en énerver plus d'un à force de voir toujours les choses du bon côté Elle a une cicatrice au niveau du poignet droit lorsqu'elle est tombée de son balai à son premier cours. Elle n'a rien eu de grave mais sa peau marque très vite et à vie pour la plupart  Cela ne l'a pas traumatisée parce qu'elle était Attrapeuse durant sa scolarité Joueuse, enjouée et intelligente, elle ne montre pourtant pas toute cette partie de sa personnalité à tout le monde  Sensible, douce et attentionnée, elle accorde très vite sa confiance, c'est pour cela que ses frères veillent Entêtée et plutôt solitaire, elle aime ses moments de solitude qu'elle ne gaspille jamaisTrès volontaire, elle n'hésite pas à venir en aide à ses amis C'est une très bonne dormeuse, elle a besoin de ses heures de sommeil pour un repos bien mérité Elle n'a jamais été un problème à l'école, très bonne élève, elle travaille beaucoup et ne s'est jamais faite remarqué pour quoique ce soit, c'était à peine si les professeurs savaient qu'elle était là Elle a subit un choc "mentalement" très puissant, semblable au sortilège Doloris lorsqu'elle a pris la baguette de son frère ainé . C'est depuis ce jour qu'elle a l'interdiction de la touché de nouveau. La baguette de ce dernier est bien trop noir pour une âme aussi pure que la sienne Même si elle n'a jamais vraiment connu sa soeur Susan, elle est jalouse d'elle pour l'amour inconditionnel que lui porte Ulrich, elle a même tenté une fois de ressembler à elle en prenant pour modèle le portrait de sa grande soeur dans le manoir. Une fois, elle s'est teinte les cheuveux en blonde se qui a provoqué une colère noir de son grand frère Elle a un frère jumeau, Aloys, qui n'a pour elle qu'une animosité flagrante mais ça n'empêche pas cette dernière de prendre sa défence et de vouloir atténuer la haine entre ses deux frères Elle sait tout d'Ulrich et de ses penchants pour le meurtre et ses dessins  mais même sous la torture, elle ne le balancera jamais Elle a des cauchemars très abstrait de ce qui s'est passé quand elle était petite, elle entend seulement des cris et des larmes Elle a peur des chouettes car elle tombe toujours sur celles qui mordent à Poudlard Elle entretient une relation très proche avec Kratos, leur elfe de Maison qui s'occupe d'elle aussi et répond toujours présent pour la jeune fille Elle est traumatisée par l'état catatonique de sa mère, elle a peur de devenir comme elle si jamais son frère venait à mourir Elle est sujette à de plus en plus de crises d'angoisse violentes.  



Nothing compares to you
• pseudo & âge ; Kath, 23ans. • comment as-tu trouvé le forum ?par le biais  d'une membre, Harikaw • ton avis, tes suggestions ; Il y a énormément de chose à savoir mais il est complet et interessant. Il donne envie de participer. HP dans toute sa splendeur... • connexion ; Je suis régulière et je réponds en fonction de mes partenaires de rp • quelque chose à ajouter ? non rien à part que j'ai envie de rp maintenant..  ouin  (a) .



Dernière édition par Kathrina D. Keller le Dim 8 Fév 2015 - 1:17, édité 20 fois
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1983-1990
It's a long long story of
heartbeack and despair
When the sword is falling

THE FAMILLY PORTRAIT OF KELLER
◊ La famille Keller avait commencé en Allemagne avec la mère de Wilheim. Une sang Pur qui avait épousé un né-moldu. Elle donna naissance à Wilheim juste après avoir déménagé en Ecosse à Buxton, Derbyshire qui était devenue la demeure principale de la famille. De là, Wilheim tomba fou amoureux d'Isana, une sang pur. Leur amour avait été tout de suite très fort même s'ils n'étaient pas dans la même maison. L'un se fichait d'avoir sa maison contre lui pour aimer une griffondor et l'autre, amoureuse folle d'un homme d'une maison opposée. Bien que les épreuves furent difficile, ils avaient réussi à vivre leur amour et trouvèrent le bonheur lorsqu'ils se marièrent. Peu de temps après, Alexander naquit au coeur d'un amour infaillible. Pour le couple, ils avaient vécu le pire. Quelques années plus tard, Alexander fut heureux de voir le ventre de sa mère bien rebondi mais, sa joie fut de courtes durées lorsqu'on lui annonça qu'il allait avoir une petite soeur, Susan. Malgré tout, la famille fut heureuse d'accueillir plus tard, un troisième enfant et que ne fit pas le bonheur de l'ainé quant il comprit qu'il allait enfin avoir un petit frère. Malheureusement, les choses ne se passèrent pas comme prévu car Ulrich, le troisième de la grande fratrie noua un lien profond avec sa grande soeur. Un point noir dans la famille qu'Alexander n'arrivait pas à dissoudre se sentant radicalement rejeté par le duo fraternel. Ce fut à ce moment-là que les choses virèrent au cauchemar.

Même s'il y avait de petites disputes entre les frères et soeurs, les parents de ces derniers étaient très inquiets. Le Mage Noir, Tom Jedusor voulait plus que ce statut qui effrayait les chroniques du monde magique. Il voulait semer la terreur dans le monde des Moldus, être reconnu et craint par le monde entier. Il appelait donc ses disciples en oubliant pas les services que lui devait Wilheim en l'appelant dans sa cause. D'abord, dans le rejet Tom Jedusor n'hésita pas à menacer la vie de sa famille. Contraint et forcé, il a dû partir loin de sa famille. Alexander s'était de lui-même rallié à la cause, prônant haut et fort les bien faits qu'auraient le Mage Noir sur le monde.

Wilheim était revenu sans Alexander, ce qui n'empêcha pas aux parents de donner naissance à deux nouvelles recrues, Aloysius et Kathrina, faux jumeaux. Leur vie de famille ne pouvait pas être plus belle et plus chaleureuse. Isana ne pouvait que l'admettre, l'amour était toujours ce qui sauverait sa famille tout comme il avait sauvé leur couple depuis maintenant des années. Tandis que le père pensait qu'ils avaient vécu le pire en ayant gagné les grâces du Mage Noir, il allait bien vite se rendre compte qu'il se trompait lourdement.

Ying and yang isn't born, it's made
◊ C'était un jour d'hiver, le 24 Novembre à Buxton dans le Derbyshire qu'Aloys et moi avions vu le jour, il était l'ainé mais seulement de quelques minutes. Entourés d'amour et de joie, les deux nouveau-né qu'on était, n'avait aucune conscience de ce qui se tramait dehors. Chouchouté, pomponné et choyé dans des draps de velours, on  n'était jamais seuls. Du moment que l'on se réveillait jusqu'à ce que nous nous endormions, il y avait toujours quelqu'un avec nous entre Susan, une jeune fille douce. Notre mère, Isana et Wilheim notre père. Il y avait aussi Ulrich, qui suivait la première partout où elle allait. Quand à nous deux, on souriait toujours en même temps, on se tenait la main pour dormir, on pleurait toujours en même temps ce qui n'était pas simple pour la famille de gérer parfois. On faisait vraiment tout ensemble jusqu'à cette nuit-là que tout avait changé alors qu'on avait que deux ans. J'étais qu'un bébé lorsque ça s'était passé mais les souvenirs restaient au travers des plus âgés. La douleur avait emprisonné ma mère dans sa prison silencieuse qui n'arrivait plus à sourire après la perte de son mari et de sa fille. Plus encore le fait de savoir que c'était son fils ainé, Alexander, qui avait provoqué cette attaque. Ulrich, mon grand frère n'était plus le même, il avait perdu des êtres chers surtout sa grande soeur préférée, Susan. Il l'avait vu mourir cachée derrière une colonnade de l'entrée du manoir. A savoir que je savais tout ça durant ses longues nuits où je me rendais dans sa chambre pour l'apaiser dans ses horribles cauchemars où il appelait souvent Susan ou pire, la tuait de ses mains.

Je ne me sentais jamais vraiment bien dans le manoir. Je percevais de la douleur, de la haine et du désespoir. Je ressentais les choses comme au quintuple et plus je grandissais et plus cela s'intensifiait. Je ne devais avoir que cinq ans lorsque j'avais fait ma première grosse migraine, je ne savais pas encore ce que c'était vraiment. . J'avais souvent peur , j'étais seule face à cela et par moment, je préférais vraiment l'être. Kratos ne m'empêchait pas ou ne me forçait jamais à faire ce que je voulais ou ne voulais pas faire. Il soutenait ma mère du mieux qu'il le pouvait en venant me border lorsqu'Isana ne pouvait pas le faire, trop effondrée et inquiète pas le comportement violent de son troisième enfant. . J'étais trop petite pour comprendre, je le savais mais, je sentais une haine exacerbée de quelque chose dont j'ignorais l'existence encore. Il cassait tout, frappait tout et rejetait brutalement la présence de mon frère jumeau. La colère se vomissait par ses propos vulgaires au sujet de son grand frère qui ne sera plus. D'ailleurs peu de temps après, en me rendant à notre arbre généalogique familiale, je remarquais un tâche noir que le mur, juste au niveau de l'image d'Alexander. Je savais qui avait fait ça mais, lorsque maman nous l'avait demandé, je n'avais absolument rien dit, tenant la main d'Ulrich, fébrile. J'avais déjà saisi la douleur, le manque et le chagrin et je pensais qu'un jour, je connaîtrais autre chose. Je l'espérais tellement...



1991-1994
I'm still fine 'cause,
I'm breathing
I knew you were trouble when you walked in

Please lil sister, don't cry...
◊ Depuis que mon frère Aloys ne m'adressait plus la parole, je me sentais seule comme si on m'arrachait petit à petit une part de moi-même. Je passais mes journées dans la bibliothèque puisque Ulrich en faisait autant. Je me sentais bien en sa présence même si d'apparence il était toujours d'humeur olympienne et inabordable, intérieurement, il hurlait de rage et de haine envers les assassins de notre famille. Il travaillait dur mais au moment où je le rejoignais, j'avais le droit à ce sourire qui me confortait dans mon idée : une personne me voulait et pas n'importe qui, une personne de ma famille vivante tout le contraire d'Aloys qui pourtant était mon jumeau. Les câlins, les gestes affectueux se faisaient particulièrement dans les endroits clos mais, pas toujours. J'en avais quand cela m'était indispensable en fait. C'était à ce moment-là que j'avais découvert pour la première fois le livre de Poudlard. C'était toujours impressionnant d'entendre mon ainé parler de cette école mais, ça l'était encore plus pour moi qui n'y avait encore jamais mis les pieds : "Un jour viendra, Petite Soeur, sois patiente. Profite de ce que tu as aujourd'hui : ton innocence..." S'il savait, je ne connaissais pas la forme mais le fond, j'en avais une grande idée car, je le sentais. À mon grand damne, je percevais sa douleur comme si elle était mienne, comme si je l'avais en moi. J'avais même l'impression de l'avoir vécu à sa place.

Ma lettre. Lorsque je l'avais reçu à la suite d'Aloys, je l'avais pris comme un parchemin spécial. Je l'avais lu entièrement, une fois à voix haute et des dizaines de fois en tête. J'étais tellement contente, j'en avais les larmes aux yeux et Ulrich fut tout aussi ému. "Alo, tu as vu ? On va à Poudlard. Tu te rends compte... J'en rêve depuis toute petite..." Il haussait les épaules, rejetant la main que j'avais posée sur son bras, feignant l'indifférence lorsqu'il m'adressait la parole. Une habitude. J'en avais mal au coeur, j'étais tellement peiné de ne plus avoir droit à nos échanges. Une main sur mon épaule s'était posée en me faisant sursauté alors j'entendis : "Du calme il ne s'agit que de moi, petite soeur." m'avait dit Ulrich et je m'étais effondrée dans ses bras. "Qu'ai-je fait pour qu'il me déteste comme ça ?" Je demandais tandis qu'il me rassurait, une main caressant l'arrière de mon crâne. Depuis, les disputes et les engueulades entre mes frères s'étaient envenimés à croire que j'en étais l'unique cause, ou presque. Je savais qu'Aloys avait pris la cause que suivait Alexander très à coeur ce qui faisait sortir Ul' de ces gonds les plus obscures. Personne n'avait intérêt d'être près de lui si Susan était mêlée à la conversation, sauf moi. J'avais un effet palliatif sur mon grand frère lorsque j'arrivais dans la salle qu'il réduisait en pièce, il s'arrêtait, tremblant de rage.

A gift, a new life becomes
◊  La lettre bien rangée dans ma chambre, le règlement et tout ce qui parlait de Poudlard bien ancrée dans mon esprit, je me préparais activement à remplir ma valise. Je pensais à tous ces nouvelles choses que j'allais apprendre, que j'allais vivre mais, que j'avais vécu par procuration dans les récits d'Ulrich. Bref, une nouvelle vie s'offrait à moi et j'étais enchantée d'avoir cette chance là. Aloys m'ignorait encore encore, il ne me parlait presque plus voir plus du tout en dehors de pics bien placés ou des remarques désobligeantes. Il était bien évidemment repris par notre ainé mais, je n'étais pas soulagée pour autant, je n'arrivais toujours pas à comprendre pourquoi je ressentais autant de colère venant d'Aloys, je n'avais rien fait pour mériter tout cela. Mon coeur se serrait toujours autant lorsque je les entendais se disputer alors que je m'empressais pour attirer l'attention de l'un ou l'autre pour mettre fin aux cris et aux hurlements. J'avais réussi à détourner l'attention d'Ulrich puisque la rentrée approchée et il m'avait promis un cadeau. Ce fut sur le chemin de traverse où il assistait, fière de l'acquisition de ma baguette magique de 28 cm, fine et légèrement incurvée pour me donner une bonne prise sur elle. Mr Ollivanders m'avait prévenu qu'elle était en bois de Charme qui prônait la pureté de mon coeur et de mon âme. J'étais fier moi aussi, je n'en attendais pas moins de ma baguette qu'elle soit aussi fidèle que je pouvais l'être envers les gens que j'aimais. Je me souviendrais toujours des mots dit par Ulrich : "Ma soeur dans toute sa splendeur.." lorsque une lumière douce et chaude à la fois m'avait illuminée au moment où j'avais pris le bois de Charme dans ma main droite. Rentrée au manoir, Ulrich m'avait demandé de l'attendre dans le salon. Cette sortie m'avait fait du mien, j'étais à ses côtés mais je me demandais ce qu'il me préparait jusqu'à ce qu'il réapparaissait, un fin sourire sur les lèvres. Assis à côté de moi, il m'offrit un écrin que j'avais ouvert, les joues rosies par la nervosité et la gêne. Une bague qu'il s'était permi de placé à ma main gauche : "La main qui te caractérise..." m'avait-il précisé en montrant l'ornement des Keller et je compris ce que cela voulait dire mais il m'avait précédé : "Nous serons plus éloignés désormais physiquement parlant. Les armoiries des Keller veilleront sur toi et saurons m'en informer si d'aventure, tu te retrouvais en position délicat. Tu ne seras jamais seule, petite soeur. Jamais !" Une larme, émue par le travail qu'il s'était donné à faire pour me rassurer, il avait dû sentir mon inquiétude, que ferais-je sans lui ? J'avais caressé le joyaux : une lazulite : "Elle ne quittera jamais cette main, Ulrich, je te le promets." Et bien qu'on ne nous aurait jamais inculqué les câlins dans notre famille, entre nous, c'était sacré ! Tres important et pour moi, ils étaient bénéfique qu'on avait encore ce petit rapprochement. Il me permettait de me rassurer et de me convaincre qu'il restait encore de l'humain en mon frère même s'il était déjà bien englué dans ses vices meurtrières.



1995-1998
A new life means
the end of  Hogwarts
My heart is heavier

A new life for me
◊ Ma rentrée à Poudlard fut telle que je l'avais imaginé, mise à part mes allés et retours à l'infirmerie. N'ayant plus mon frère à mes côtés, il m'arrivait de me provoquer des crises de panique. Je ne me sentais pas bien sans lui mais, bien sûr, il ne pouvait pas être sans arrêt avec moi, il n'avait pas le choix. Lui étant à Serpentard et moi à Poufsouffle, lui en dernière année et moi à ma première, nos emplois du temps n'étaient pas du tout raccord. Comme à mon habitude, je restais discrète longeant les murs pour pouvoir passer au travers des filets posés par des personnes mal attentionnés tel que les serpentards qui aimaient s'en prendre aux élèves de ma maison. Mon instinct ne me jouait pas des tours, je savais où et quand je pouvais passer sans encombre ou comment éviter le pire. J'avais apprit au fil du temps les endroits à éviter et à mon plus grand plaisir, la bibliothèque n'était pas le quartier général de poids chiche, comme j'aimais les appeler avec mes nouvelles amies. Étonnant de voir une fille comme moi, aussi solitaire que moi puisse avoir des amis. Je ne m'enlevais pas les moments où je pouvais me retrouver seule. Cela me faisait du bien à ma pauvre tête. Je ne supportais pas vraiment tout ce qui se disait et parfois, je jurais me provoquer des saignements de nez.

Toujours est-il qu'il y avait ce garçon, il m'intriguait jusqu'à ce que je me rende compte qu'il me regardait aussi. C'était d'abord timide, l'échange que je ressentais, était étrange. Il avait un pouvoir étrange sur moi. Il y avait eu les mains qui se frôlaient, les cheveux calés derrière l'oreille. Je pensais vivre quelque chose de beau jusqu'à ce que je me décidais enfin à l'embrasser. Je l'avais rembarré une bonne dizaine de fois, ne me sentant pas prête du tout pour ce genre de choses mais à ce moment-là, j'eus la pire honte de ma vie quand il explosa de rire devant tout le monde. Je m'étais renfermée, pleurant à chaque inter-cours dans les toilettes de mimi-geignarde. Ulrich avait débarqué presque aussitôt. J'avais connu un garçon, il était adorable. Il me faisait sourire, rire et me donnait même l'envie de m'ouvrir un peu plus aux autres jusqu'à ce qu'un jour, le couperet tomba. Il se moquait éperdument de moi. Ulrich fut le seul à me consoler, lui et ma meilleure amie.

Je m'étais encore plus renfermée sur moi-même, rejetant toute attention venant d'un garçon n'ayant pas du tout aimer l'humiliation que j'avais pue cette fois-là. Ce fut d'ailleurs la seule fois où je m'étais laissée entraîner dans une histoire. Le minimum de confiance en moi que j'avais à ce moment-là, c'était définitivement envolé. Même si la personne s'approchait de moi avec de bonnes intentions, je me recroquevillais sur moi-même et courait me réfugier dans la salle commune des Poufsouffle ou dans la bibliothèque. Un endroit où personne n'avait le droit d'ouvrir la bouche sous aucun prétexte ou presque. Alors que je pensais vraiment que j'avais vécu le pire, je me trompais lourdement.

The War of Blood
◊ Poudlard était saccagée.

C'était tout ce que je pouvais dire de cette attaque. Lorsqu'elle était survenue de nulle part, on nous avait regroupé dans la grande salle pour mener les plus jeunes en dehors de l'école en gardant les volontaires guéris afin de défendre les murs du château. J'étais à l'abris mais, de là où nous étions, on entendait tout. Tétanisée par la peur, on entendait les explosions, les éboulements. Si nous cessions de respirer c'était uniquement parce qu'on était foudroyée par la violence qui bataillait sur notre école. L'insubmersible château où nous nous sentions en sécurité. Ce jour-là, on avait l'impression de perdre un point de repère et pour beaucoup d'entre nous, des êtres chers qui se battaient du mieux qu'ils le pouvaient. Et je tremblais. Où était Ul' ? Où était Al ? Je ne les voyais nulle part. De l'autre côté du lac, une fois qu'il n'y avait plus aucun bruit, nous étions sortis de notre cachette et le spectacle fut horrible. Des tours avaient disparues, d'autres encore en flamme. Il n'y avait plus que des ruines enflammée, plongée dans une épaisse fumée noire.

C'était la fin d'une ère au fond de nous, on le savait.



1999-2002
The new area
begins
It's the beginning of something wrong

I missed something

◊  Mes crises d'angoisses étaient censées s'atténuer en grandissant. Au bout du compte, j'avais l'impression qu'elles se multipliaient. Je ressentais la même angoisse lorsque je savais mon frère hors des murs du Manoir, trouvant plaisir à assouvir sa vengeance et à alimenter sa rage contre les familles mangemorts. Les crimes qu'il commettait le rassasier mais, plus il tuait, plus il avait besoin de continuer. Il trouvait là-dedans un plaisir grisant, un pouvoir sur sa victime. À chaque fois, je pensais qu'il vengeait l'impuissance qu'il avait dû ressentir face au meurtre de sa grande soeur, il n'était qu'un jeune garçon. Il ne savait pas comment faire et maintenant qu'il avait des connaissances plus développées, il s'en donnait à coeur joie. Bon nombre de fois que je lui demandais d'arrêter, pour moi, pour notre famille, qu'il m'avait clairement répondu qu'il ne pouvait pas, que c'était en lui. Sa colère et sa rage ne se calmeraient pas ou du moins jusqu'à sa mort qu'il savait proche. Bien qu'il me protégeait de toute menace extérieur, j'avais l'impression d'étouffer. Je n'avais plus l'impression d'être maîtresse de moi-même. Maman ne faisait que s'enfoncer dans son mutisme catatonique, j'évitais jusqu'à aller lui rendre visite commençant à comprendre que les angoisses venaient aussi de là. Même si j'étais couverte d'un amour protecteur des yeux de mon ainé, j'avais l'impression que l'amour ne frapperait plus à ma porte, me mettre à l'idée qu'elle ne se présenterait plus.J'avais mal à cet endroit si facile à atteindre psychologiquement mais, si difficile d'apaiser depuis des années. Malgré tout les efforts de mon frère, je m'étais bien rendu compte que ma vie était loin d'un conte de fée. J'en étais tellement loin...

Malgré tout, je n'étais pas vraiment à plaindre. Protégée dans mon château entourée de ronce acérée empêchant quiconque de m'atteindre en bien comme en mal, d'autres devaient vivre l'enfer. Je l'entendais d'un peu partout surtout lorsqu'Ulrich m'entraînait avec lui dans des soirées mondaines organisées par des mangemorts imbu d'eux-même pour claironner leur pouvoir et vendre la beauté de leurs filles ou de leur fiancé aux yeux de tous. J'accompagnais mon frère uniquement pour être sûr qu'il ne rentrait avec moi, c'était pour moi l'unique garantie même si elle n'était pas forcément assurée à cent pour cent. Il restait néanmoins là avec moi, il me soutenait et sentait lorsque je n'allais pas bien grâce à son présent si commun pour les autres mais, tellement précieux à mes yeux. Lorsque j'avais atteint mes dix-sept ans, je devais me rendre - sous une convocation du Magister, au Ministère afin de m'inscrire au Service Civique instaurait cette même année par ce dernier. Tout comme mon frère, je décidais de suivre sa voix dans la Brigade de la Police Magique. "Rafler" n'étant pas du tout ce que j'imaginais faire une fois dans ma vie. Je ne voulais pas causer la perte de famille tout comme il m'avait été contrainte de me rendre compte en grandissant.

How to be brave when I'm afraid to fall
◊ Début du nouveau régime, les choses s'accélèraient plus vite qu'on ne l'aurai cru. C'était tellement étrange de vivre dans une monde que les anciens voyaient encore en couleur, avec de la joie alors que je n'avais vécu dans un moment où il n'y avait que de la crainte de voir arriver ce qui arriva finalement. La vente des Rebuts se prononça, la chasse aux Insurgés avait commencé depuis un moment et la popularité du Magister ne faisait qu'augmenter. Certain était forcé et d'autre le suivait, aveuglé ou apeuré, peu importait les raisons, pour ne pas avoir de problème, pour être dans les grâces de ce dernier et c'était bien ma famille qui agissait de cette manière. J'avais suivi une formation très rapproché dans la Brigade de la Police Magique mais je n'y étais restée que le minimum de temps exigé par mon service civique. Il m'étais impossible de poursuivre des gens qui n'avaient rien fait, il m'était impossible d'agir contre ma volonté mais je le faisais, sous les directives de mon frère, Ulrich. Heureusement que j'avais de quoi faire entre mes passe-temps touchant sur la mode des enfants plus particulièrement et l'enseignement pour ces derniers. J'avais toujours trouvé qu'ils étaient les plus personnes les plus fréquentables, les plus purs et les personnes qui ne me poseraient jamais des questions gênantes sur le système de notre pays. Je n'utilisais qu'un minimum de consigne, prenant en compte les plus importantes pour leur survis en espérant qu'ils fassent les bons choix pour leur avenir. Je savais que si le monde devait changer, il fallait atteindre les êtres les plus pures autrement dit, les enfants.

Je ne m'adonnais jamais à commettre le moindre problème pour ma famille, je ne les quittais jamais même si je savais qu'ils ne cessaient ne s'éloigner involontairement de moi. Ma mère vieillissait dans son boudoir où je ne m'y aventurais plus. J'avais peur de la voir, j'avais peur d'une réaction inespérée et effrayante venant d'elle. Je ne savais pas ce à quoi je m'attendais vraiment puisque je n'avais plus aucun lien, cela faisait des années et des années qu'elle ne faisait plus partie de mes repères. Ulrich avait sur moi une autorité incroyablement forte et persuasive. Je le croyais, il m'impressionnait, il m'inspirait et je l'aimais terriblement. Mon coeur était déchiré par mon jumeaux, Aloysius. Il me rendait la vie particulièrement difficile au fur et à mesure que le temps passé. Je voulais vraiment savoir les raisons pour lesquelles il pouvait me vouait cette haine que je n'éprouvais pas à son égard. Ma tête carburait tout le temps à notre sujet même si il me rabrouait à chacune de mes tentatives pour me rapprocher de lui. Je ne désespérais pas, Ulrich me poussait à ne jamais abandonner et à ne jamais perdre espoir qu'un jour les choses redeviendront comme avant. Il me soutenait du mieux qu'il pouvait alors qu'il souffrait éperdument et qu'il ne trouvait la paix qu'en maltraitant, torturant et assassinant des personnes qui lui inspirait haine et cruauté. Il ne dormait bien qu'en rentrant de ses meurtres. Je le savais que de cette manière d'ailleurs...

Mon coeur balançait bien évidemment si quelqu'un me plaisait -oui ça existait vraiment dans mon esprit puritain dû à mes origines, je me gardais bien de le faire savoir. J'avais tellement peur des autres, des inconnus qui partageaient mon quotidien jusqu'à ma propre famille. Le seul qui m'inspirait vraiment confiance était bien sûr mon ainé, il me donnait cette sécurité qui m'avait toujours manqué par ma mère et l'absence brutale de mon père. J'avais réellement peur de tout ce qui était nouveau alors j'avais réglé ma vie comme une musique, le créno : "métro, boulot, dodo" était réellement mon dada. Je ne m'offusquait de rien, je gardais mes impressions, mes envies et mes désirs bien pour moi. Je me faisais facilement passer pour une fille inintéressante mais facile à vivre, ne souffrant d'aucun problème à rire, chantonner et m'amuser. Je laissais mes passions prendre le dessus en m'enfermant dans ma chambre où j'y avais installé un atelier de création. Je m'adonnais au dessin pour m'évader dans un monde que je voulais meilleur. Cela dit, je cachais les choses sous d'autres dessins plus réalistes afin d'éviter d'être démasquée. Etant très attentive à ce qui se passait, j'étais devenue plus vigilante sur les événements d'actualité. Uniquement pour le bonheur de ma maigre famille.

Le challenge était de mise, je devais sauver ce qui me restait de ma famille. J'y arriverai ou non, ce n'était pas le plus important, le but étant d'essayer et d'y mettre toute la meilleure volonté du monde. Si on conciliait cela à ce que je faisais avec mes petits étudiants en herbe, je jurerai d'aller jusqu'au bout pour tenter de faire faire avancer les choses de manière totalement désintéressée. Je n'étais pas une combattante aguerrie, je n'étais pas courageuse ni téméraire pour assurer mes arrières ou celles des autres néanmoins, j'étais cette lumière qui rendait le sourire à ceux qui l'auraient perdus depuis longtemps. J'étais le soleil de ma famille et je n'étais pas prête à disparaître même à la tombée du jour, j'illuminais ma famille avec la clarté de la lune dans la pénombre de la nuit. Et j'en avais bien conscience d'ailleurs... 



Dernière édition par Kathrina D. Keller le Dim 8 Fév 2015 - 1:15, édité 69 fois
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Comme tu es la petite soeur d'Ulrich, of course, je devais être la première à te souhaiter la bienvenue !

Chose faite donc : bienvenue petite soeur calin calin calin calin

Puis plein de courage et de chance pour ta fiche ! calin pompom

Au besoin, n'hésites pas kr
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Merci cher grand frère !
bientôt tu auras une grand mp de ma part ! hm pompom
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Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
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‹ dialogues : 'lightcoral'
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‹ liens utiles :
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‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 8821
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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GEORGIIIIIE. Bébé Lucy kr
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche, n'hésite pas à venir trouver un membre du staff si tu as besoin de quoi que ce soit gaah
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Kathrina D. Keller a écrit:
Merci cher grand frère !
bientôt tu auras une grand mp de ma part ! hm pompom

Ce sera avec plaisir, petite soeur ow
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Georgie, tellement chou cute
Bienvenue, bon courage pour ta fiche ! I love you
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Pansy et Théodore : Merci à tous les deux, gros bisous
Et oui, j'ai craqué pour la petite Georgie ! XD

Ulrich : tu n'as pas été déçu par mon grand mp dis moi ? XD
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bienvenue parmi nous I love you
bon courage pour la suite potte
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Bienvenue et have fun I love you
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