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sujet; "Des points lumineux jalonnaient l'obscurité comme pour indiquer le chemin du désespoir"

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Lyubov Finend
feat Zhenya Katava • Sugar Slaughter

• nom complet ; La fleur se flétrit doucement sous ces incartades noirâtres d'une lune argent ; elle avait un patronyme la qualifiant d'humaine, une fois seulement. Peut-être d'un père haï par les agissement suintant, puant de son haleine rougeaude d'alcoolique. Sauvage indomptable elle a esquissé sur des champs de coton, présage moribond, la fin douloureuse, le néant ensanglanté sur son fardeau. Sur son nom enfin pour ne jamais oublier : Finend un sort malin.

• surnom(s) ; De ces mélodies résonnantes dans l'abysse insoutenable de sa voix gutturale, elle s'entend signifier des affectueux tremplins : esclave, chose, bête... Une manière de lui souffler à toutes heures du jour et de la nuit un combat décharné, perdu qui pourtant perdure dans sa naïveté réfléchie.

• naissance ; Vingt pétales décédés sous la neige salie par les pas gigantesques des bourreaux croupis.

• ascendance ; Rien. L'eau transparente coule sous les roches minérales, riches de sang de ces comparses. Une sorcière interdite dans les limbes fugitives.

• camp ; Rien. Par choix, par protection elle survit déjà ce qui semble une bataille impérieuse de perte fracassante d'énergie. Inutile de préciser que c'est à tout heures de l'aube et de l'aurore.

• métier ; Rien, juste une jouvencelle parfumée à l'esclavage.

• réputation ; Fille des eaux elle se laisse porter dans les courants sanguinaires. Fille des lunes, elle restait figée, pétrifiée dans les bois titubant attendant patiemment l'inéluctable. De certains diront qu'elle cache son jeu d'un visage angélique elle a la sagesse des anciens. D'autre susurreront allègrement qu'elle n'est que passive, victime ; cracherons à sa figure juvénile..

• état civil ; Rien. Elle avait, une fois, un compagnon de route, amant des rues mal dressé.

• rang social ; Rebut est si gratifiant.

• particularité(s) ; voir listing & demandes.

• patronus ; Elle s'élève dans l'immensité embrumée des sentiers affamés ; des poils hérissés, soyeux où il serait bon de trempée sa main dans l'océan ébène de la bête. La panthère, figure évangélique de la martyr console et ronronne à sa maîtresse.

• épouvantard ; Son père.

• risèd ; De revoir les doux yeux de sa mère, de sentir ses mains et son murmure doucement dans l'oreille égayer son quotidien.

• animaux ; facultatif.

• baguette ; Faite en acajou elle possède un plume pourpre de phénix d'une taille extrêmement fine.

• miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) voir explications.

• ENSLAVED •
Perso prédéfini

The stars have faded away

► Avis sur la situation actuelle : Les senteurs de guerre tournoyaient dans la fraîche azur de la matinée, elle leva un regard lointain dans la boucle mouvante des cieux alors que ses pensées valsaient soudainement dans un tintamarre d'effroi. Elle était devenue rebut, esclave, piètre montagne de chair, pauvre gamine misérable à la destinée tragique. N'était-ce qu'une histoire de sang ? Si ce liquide carmin avait pouvoir de formater les êtres alors peut-être deviendrait-elle comme ce paternel qu'elle avait appris à craindre ? Les flots ambrés de passion se déversaient sur ses chaussures usées, ses mains tremblaient, le massacre vaste litanie, création néfaste que les hommes procréaient, dessinait des arabesques puantes dans le marée où elle s'était terrée. N'attendait-elle qu'un gouffre famélique, une gueule béante où l'ange accueillerait sourire mutin à ses lèvres gercées la bienveillante soumission dont elle devait faire preuve ? Elle n'était, après tout, qu'un moineau décharné sous les rires déments des prétendants au pouvoir. Elle ne semblait pourtant pas résignée ni rebelle, elle avait toujours eu cette force des cascades en son coeur ensanglanté, attendant la cloche rugir pour des lendemains meilleurs.

► Infos en vrac : Les couleurs se fondent en une esquisse joyeuse de souffrance sur la toile immaculée qui lui faisait face, un sauvage moyen, pour elle, de divulguer les peines, les maux, les pensées qu'elle n'arrive pas à exprimer. Elle voit ces teintes de rouges, de bleus, ces nuances violentées tapisser les rubéoles gigantesques des peintures qu'elle évacue, elle voit les terribles affaissements. Elles lui redonnent courage. Elle y puise la candeur, la force de survie dans des portraits tantôt brisés, tantôt chanteurs de mélodies riantes, tantôt sanglotant dans les nébuleuses affranchies de ses réflexions cachées. Elle se défend, souvent maladroitement par les phrases rejetons dont elle consacre le minimum ; subtil moyen trépignant en son coeur de naïve, de fragile, de cristal strié par les aléas de cette entité. Ô elle laisse ses cheveux dépareillés, elle marque ses sentiments par ce physique, cette matière qu'elle a longuement exécrée, elle ne se regarde jamais dans la face luisante d'une glace malfaisante. Elle n'a pas voulu être sorcière, elle n'a pas demandé la vie, elle n'a pas trahi ni conquis, elle n'a pas fait de bien ni de mal, c'était une jeune fille des chemins dallés simplement dans les eaux profondes de l'étroitesse de la destiné. Elle part dans des élucubrations tournoyantes dans sa cage avant de s'endormir les larmes à ses joues frappées par cette main gourmande. Elle ne se complet pas, elle s'illusionne des lendemains valsant les épopées de bonheur, elle rêve éveillée façon tendre de se protéger du quotidien pétrifiée. Enfant des mers turquoises qu'elle observe calmement.   


Nothing compares to you

• pseudo & âge ; Moi c'est Vagabonde ou La Boiteuse (tout nouveau celui là mais depuis que je sais qu'il signifie un pied dans le réel et un autre dans les rêves je ne m'en détache plus  potte ), j'ai 21 ans (faut surtout pas m'en parler parce que le temps est un affreux diablotin qui s'amuse à mes dépends). • comment as-tu trouvé le forum ? Ali Baba a toujours un trésor dans sa hotte soit dit en passant...  wth . • ton avis, tes suggestions ; Rien de rien.... je ne regrette rien  yeah  • connexion ; Alors là ça va dépendre de mes cours surtout, j'espère venir comme une souris un peu tous les jours même si ce n'est qu'une heure cependant. • quelque chose à ajouter ? Non rien de rien... Non je ne regrette rien !  dent .

• coup de main pour le bottin ;
1. Si ton personnage est un prédéfini ;
ZHENYA KATAVA (en majuscules) ; lyubov finend
Code:
<a href="http://excidium.bbactif.com/t435-des-points-lumineux-jalonnaient-l-obscurite-comme-pour-indiquer-le-chemin-du-desespoir#11671" class="vacant">▋</a> ▋ <reserve> ZHENYA KATAVA ;</reserve> Lyubov Finend

2. Si ton personnage est un inventé ;
CÉLÉBRITÉ (en majuscules) ; prénom nom (en minuscules)
Code:
▋ <a href="http://lienverstonprofil">▋</a> <pris>CÉLÉBRITÉ ;</pris> prénom nom


Dernière édition par Lyubov Finend le Sam 27 Sep 2014 - 9:18, édité 9 fois
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“Arrête de penser que tu souffres à cause de ce que les autres t’ont fait, et comprend que tu souffres parce que tu n’arrives pas à te pardonner le fait de les avoir laissé faire”


• "Tes doux baisers à se méprendre, tes caresses m’emmènent loin, où il fait beau, où il fait bien." •
Les arbres secouaient d’une étrange litanie leurs branches noueuses de pins et de d’épines, sa tête abritée sous une capuche miteuse vieille de la fuite précoce, vieille de la guerre commencée, vieille de son entrée même à Poudlard dodelinait dangereusement pour tomber éperdument dans l’herbe jaunie. Ses yeux restaient ouverts telle l’âme quémandant la paix d’une vie songée, sa main se posa sur la cuisse du compagnon qui dormait peut-être. Se relevant doucement, elle vint se placer dans le sas de ses jambes, ses douces mèches virevoltantes par le froid mordant, par le vent cinglant, chatouillèrent tranquillement le visage errant du fuyard qui ouvrit la porte de ses orbes pour apercevoir la gracieuse nymphe penchée à son cou, à son oreille, chuchotant de ses cascades enflammées la question routinière. « Pourquoi ? Pourquoi m’as-tu suivi, m’as-tu accompagné dans ma traversée épuisante ? Est-ce que je le mérite ? ». Ses doigts vinrent rencontrer la chair gelée de la timide, ses lippes ses joues rosies par l’aurore dorée qui se levait paresseusement dans la contrée irréelle. Elle comprenait mais ne savait pas, ne voulait pas tel un fardeau qu’elle portait depuis son enfance, son adolescence, un barrage hermétiquement clos dont il se confrontait tous les jours sous le regard amusé des dieux sereins. Alors il se collait à elle, sa bouée des marécages, la serrait fortement entre ses bras justicier éprouvant la rage de la protéger contre l’injustice, la puanteur des hommes sournois, des sorciers vengeurs, de cette infectée maîtrise du sang, un pseudonyme de racisme qu’il vomissait sous les catacombes, sur les paysages cependant mirobolants de richesse naturelle. « Je suis là car je le souhaite. Une si belle jouvencelle ne devrait pas parcourir toute seule c’est dangereux ». Il dressait sa colère dans les décombres d’un humour grotesque où se reflétaient les joyaux de sa peine. Elle se blottit contre lui, son visage pendu sur son torse, écoutant sa respiration ténébreuse. Ses doigts fuligineux croquaient des lettres, des traits imaginaires qu’elle domptait à chaque réveille afin de se rendre compte de son existence, de sa présence, de cette solitude maintenue à distance par ce camarade de labeur. Aimé il l’était, adorée elle l’était, elle, cette vermine considérée, rien qu’un rat flirtant sous le parquet des puissants. Elle l’avait déjà éprouvé, ce sentiment intense de rejet, de fabuleuse honte qui s’étendait dans les précipices de son corps détesté. Elle avait appris à vivre le jour même bien que cette peur viscérale, cet effroi toujours grandissant dans ses boyaux de lin se nouait nerveusement, mesquinement. Cette chasse noire de l’avenir. Elle gardait, dans les coffres de son esprit, ces émotions redoutées qu’elle oubliait, qu’elle ignorait épousant la joie éphémère, la tiède candeur des créatures lumineuses qui jaillissaient des contes de fée dont elle raffolait. Aujourd’hui, une routine particulière s’était installée entre l’ombre et la martyr, entre le désiré et le désespoir. Elle en connaissait déjà la fin, celle qui l’englobait les sommeils étreints de cauchemars. Elle ne pouvait vivre comme ça, d’un bonheur évanescent tout sa vie misérable. Ce n’était pas possible. L’enfant ne croyait plus aux miracles sagement enjôleurs faisant d’elle la princesse s’écriant qu’un prince vienne la sauver de sa cage argentée. « Je reviens ». Elle revenait toujours… Par ce voile funèbre elle s’en fut, sirène des plaines verdoyantes, seule affrontant sa mort précoce ; laissant dans son sillage la voix moribonde, rauque d’un homme agonisant.


• La femme poursuit un rêve de démission, l'homme un rêve d'aliènation •
Autrefois il l’appelait gamine ce père famélique, ce dictateur malhonnête. Lorsqu’il était de bonne humeur il lui touchait les cheveux ; tremblante elle se laissait faire doucement un sourire d’encouragement que sa mère lui offrait tout en face d’elle tandis qu’elle cuisinait silencieusement dans cette cuisine moisie. Elle prit ses chaînes entre ses doigts rongés, ces étaux d’acier sur ses fins poignets de ballerine brisée, déchue d’un monde qui n’était pas le sien. Elle avait été heureuse, un souffle bienfaisant faisant grossir son ventre d’allégresse quand la lettre d’accueil de cette école magique était apparu entre les ustensiles de cuisine et les stylos décrépits sur la table laminée. Elle n’y avait pas cru au début, les sorciers n’étaient là que dans les romans qu’elle dévorait, petit à petit ses rêves d’un univers évangélique prirent des proportions gigantesques, des signes qu’elle observait dans les cieux amoureux. Un amour enfantin, enfin, pour donner courage à la démunie. Le soir, elle entendait les cris. Elle voulut aller à la fenêtre rien que pour un bout de cet extérieur disparu par le sort impérieux qui lui était dû. Esclave. Cela résonnait comme un gong obèse, ses membres pétulants fabriquant des tremblements soudains, les géants qu’elle n’avait jamais vu sauf dans ces bouquins d’histoire qu’elle feuilletait avant de s’endormir dans le dortoir calme de la société rougeoyante. Elle souriait, tout le temps, le masque de la bonne humeur sur son épiderme juvénile transpirait la fragrance d’un faux. Bien sûr elle trouvait toujours des raisons, optimiste, douce enfant que les cieux avaient engendré. L’angelot de la paix qu’elle aimait, elle adoucissait les cœurs, provoquait les rebelles, s’amusait de sa désinvolture incarnée par les belles plumes qu’elle possédait. Une créature du vent, la descendance d’une sylphide ? Alors pourquoi était-elle là ? Pourquoi était-elle enfermée dans un grenier étoilé de sciures ? Pourquoi cette valeur du sang si chère à leurs yeux grotesque ? Elle savait ne pas poser de questions, observer, une lueur dans ses émeraudes de feu. Elle n’avait rien fait, passive, se faisant prendre plutôt que dépérir sur les routes étriquées de l’Ecosse. Elle l’avait abandonné comme on l’avait laissé sur le parvis d’une église, seule monstre parmi les saints. Et elle se trouvait monceau de chair, ordure sur du bois grinçant écoutant les éclats de voix qui transperçaient la matière délicate de ce manoir prison. Elle avait été achetée par des bras aiguisé, par un homme apollon. Les échos qui se murmuraient sur son cas se réfugiaient dans son sourire mutin, elle n’y croyait pas, aucune logique à ses dires vivaces. Curieuse peut-être sa langue fourchue caressant son duvet relevé par la déchirure de l’ennui. Elle tendit l’oreille hier ornée de boucle d’or maintenant nue sous les représailles de son maître, des pas s’approchaient, elle ne put que penser à l’Apocalypse déclinante, à l’enfer déjà là. Mais l’Enfer… l’avait-elle un jour quitté ? Pour pallier à cette abominable pensée depuis son tendre âge elle s’était créé un monde enjolivé par les nombreuses passades de magie des romans, par les toiles qu’elle peignait seule à son bienfait, elle jouait capricieuse, ressentant peut-être l’adrénaline battante dans ses veines violentées, celle-ci même survivant les crachins terreux. Elle avait vécu certes, mais non enlever de cette assurance qui faisait les hauts, mais non pétrie la glaise censée. Elle ne parlait jamais de son passé à quoi cela servait-il d’ailleurs ? Elle subissait ? Elle avait vécu d’un logis maltraité, d’une école soudaine, d’une fuite regrettée, d’une prison mortuaire, d’une autre totalitaire. Le destin voulut-t-il lui montrer quelle était sa place elle l’avait déjà compris par les réminiscences frivoles dans l’air glacée. La porte s’ouvrit sur son visage ambitieux comme ses pas grondaient jusqu’à elle. La chose à présent sans nom.


Dernière édition par Lyubov Finend le Sam 27 Sep 2014 - 16:32, édité 10 fois
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Bienvenuuuuue à toi iiih J'espère que tu vas te plaire ici ! Je suis contente que le scénario de Marcus soit pris I love you Ceci dit, je me permets de préciser qu'il est encore en absence jusqu'à la fin de la semaine, me semble-t-il, donc si tu ne le vois pas te sauter dessus rapidement, ne t'inquiète pas, ce n'est pas du touuuuut représentatif de la suite, je pense hehe mwaha :-^:
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Bienvenue colors
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bienvenue I love you l'avatar, le nom, le scenario, le titre, je suis so in love bave tbe
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Bienvenue sur Exci mademoiselle, je suis sous le charme du pseudo.
Je te dis bon courage pour la suite & au plaisir de te lire très vite sur le rôle play.
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Je suis toujours absente mais je pouvais pas ne pas réagir ! Je t'aime kr rebut de mon coeur fire
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bienvenue. gaah ow
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Bienvenue parmi nous ! potte I love you
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Bienvenue à toi et bon courage !
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