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'cause i'm a big boy, an adult now or nearly Empty
Arnold « Schwarzy » HeidelbergHate me when I'm gone, I'll make it worth your while when I'm successful But when I'm here I need your kindness 'cause the climb is always stressful Clumsily gas myself by thinking I'll be better off alone I'll leave my peace in pieces all around the decent people back at home
❝ We're running in circles again ❞Hunted ; Inventé

☇ pseudo complet & surnom(s) ; Arnold ; parce que c’est tellement facile, quand on veut piquer une colère, de prétendre qu’on trouve son prénom ridicule. Cependant, quand papa et maman t’ont fait comprendre qu’il t’était possible de le changer, il n’y avait soudain plus personne au bout de la ligne pour se plaindre. Heidelberg ; tu ne conserves pas de souvenir de ton père biologique et même qu’au fond, tout au fond, ça laisse comme un petit trou. Et, même si papa et maman se sont mariés après que tu sois né –cette cérémonie d’une longueur interminable comme leur échange de baisers d’ailleurs, tu ne t’en remettrais jamais-, tu ne te rappelles pas avoir porté d’autre nom de famille. Arnie ; parce que les parents, ça peut pas s’empêcher de trouver des diminutifs aux prénoms qu’ils ont eux-mêmes donnés. Mais après tout, pourquoi pas, ça fait déjà un peu moins vieux jeu qu’Arnold, même si « tu sais mon chéri, tu as le droit de vouloir changer » « nan mais c’est bon, j’ai compris, j’le garde ». Schwarzy ; c’est essentiellement maman qui le fait siffler entre ses lèvres pleines, parce que papa, il dit qu’il l’aime pas, que ça insinue trop de choses pas forcément très gentil, que c’était même pas une référence cinématographique de qualité, qu’on appelle pas un camarade de classe « noiraud » ; mais pour le coup, tu es certain que maman l’utilisait pas à mauvais escient.
☇ naissance ; 21 mai 1986 dans une clinique à Nüremberg. Fils de Sasha Heidelberg née Blacksmith et d’un certain Turk-… et de Viktor Heidelberg. Papa et maman se targuaient d’avoir eu le plus beau bébé du monde, sans que tu ne parviennes à concevoir comment on pouvait trouver une petite chose toute fripée si parfaite. D’un autre côté, désormais, tu ne craches plus sur cette douce époque.
☇ ascendance; petit prince de sang-mêlé. Il paraît que c’est pas hyper bien vu ces temps-ci. Mais tu comprends pas trop pourquoi ; parce que toi, du coup, tu sais autant te servir d’une baguette que d’un téléphone portable. Hé ouais, dans tes dents, VDM.
☇ métier ; gamin capricieux qui cherche à retrouver ses parents pour leur pondre une crise d’ado bien grasse comme de l’acné.
☇ camp ; celui de ta famille. Tu te voudrais dans la rébellion, c’est d’ailleurs parce que ça fait 17 ans que tu veux jouer les héros que les rebelles ont bien voulu t’emmener avec eux jusqu’en Angleterre –c’est papa et maman qui vont être surpris. Mais dans le fond, si t’es visiblement bien remonté contre VDM, c’est uniquement parce qu’il t’a séparé de papa et maman. Après tout, VDM, c’est du petit miel comparé aux colères de maman.
☇ réputation ; à la fois pluriel, du temps où tu vivais dans le secret, avec maman, puis tout seul en France, et absente, puisque fraîchement débarqué en Angleterre, retour à l’envoyeur. Tu ne manqueras pas par la suite de te forger une image de grande et assez belle gueule, qui a latté du mangemort sur les routes de France, qui veut faire le beau et le grand, la racaille et le joli-cœur, alors que t’es juste un sale môme qui, trop tôt, n’a plus eu le droit d’avoir peur.
☇ état civil ; papa ferait une syncope et maman sortirait les couteaux si tu leur annonçais que t’avais une copine. Même si on te promettait un bel avenir amoureux quand tu étais petit, face à ton adorable bouille, t’as pas vraiment eu le temps pour ça ; et tu fais genre que c’est parce que t’es un héros, alors que t’as juste le seum de pas avoir encore trempé ton biscuit.
☇ rang social ; hors-la-loi, depuis que t’as quitté en douce les rebelles que tu accompagnais depuis la France pour partir à la recherche de tes parents.
☇ baguette ; 23cm, bois de baobab et crin de licorne mais chut, ça, c’est un peu la honte quand on est un garçon.
☇ épouvantard ; que maman et papa ne se souviennent plus de toi.
☇ risèd ; papa qui tatoue dans son atelier, la tête de maman se reposant sur son épaule et même que ça le dérange mais il lui dit rien, parce que pour rien au monde il ne s’en priverait.
☇ patronus ; sachant que tu as très vite arrêté les cours, tu n’as pas encore eu l’occasion de t’y exercer. Cependant, si l’envie t’en prenait, tu découvrirais qu’il prend la forme d’un fennec espiègle.
☇ particularités ; aucune.
☇ animaux ; aucun, hormis un fantôme qui lui colle aux basques depuis son départ d’Angleterre vers la France.
☇ miroir ; aucun.
☇ Avis sur la situation actuelle :
Dans ta prime jeunesse, t’as clairement été, si ce n’est une victime du système, un dommage collatéral. Tu as subi les attaques de Poudlard alors que tu venais d’y entrer, si bien qu’aujourd’hui, t’es pas féru de te rappeler tes années là-bas. En effet, tes souvenirs alternent entre les matchs de Quidditch remportés de justesse et les bruits de pas précipités pour fuir les affreux cris des combats.
Après ça, du fait de la position de tes parents, tu as été contraint de fuir et de vivre dans l’ombre avec maman, tandis que papa se terrait dans sa propre ombre.
Depuis que tu as embarqué pour la France, tu es un fugitif.
Depuis que tu as embarqué pour l’Angleterre, tu es un rebelle.
Sauf que, contrairement à la majorité des engagés qui comptent faire grossir les rangs des Phénix, toi, t’es juste là pour pouvoir rentrer à la maison, parce que maman n’aurait définitivement pas dû t’envoyer si loin d’elle. De fait, tu comptes bien leur semer compagnie à peine débarqué.
Parce que pour toi, dans ce monde de fous, le seul camp qui compte, c’est celui des Heidelberg. Tu te méfies naturellement des mangemorts et autres sbires de Tu-Sais-Qui –que tu ne te doutes pas si nombreux. Quant aux révoltés, tu salues leurs actions, mais s’ils pouvaient te rendre ta mère sans faire d’histoire, tu leur en serais reconnaissant.
Quant à ce qui se passerait après que vous soyez tous les trois réunis –et là non plus, tu ne te doutes pas de combien ça allait être difficile-, tu préfères ne pas y penser, et te concentrer sur ta mission du jour.

☇ Infos complémentaires ; élève à Gryffondor, comme maman t’aurais voulu faire partie de l’équipe de Quidditch, mais t’étais seulement remplaçant (mais rien à foutre, au moins, t’avais l’uniforme) t'aimerais bien être plus épais, mais tu es particulièrement fier des trois poils de barbe qui se battent en duel sur ton menton depuis quelques temps en revanche, le tatouage que tu as sur le bras est un faux, papa n’aurait pas accepté depuis la traversée de l’Angleterre vers la France, le fantôme d’un ancien réfugié, Vince, te suit partout, persuadé qu’il doit te protéger quoiqu’il en coûte, après la promesse faite à Sasha juste avant d’embarquer Vince est chiant, mais pas encore aussi chiant que toi parce que t’as beau avoir survécu dans la nature avec ta mère pendant un an, puis sans tes parents un an de plus, ça ne t’a pas ôté ton côté gamin capricieux ; disons juste que tu l’as mis en veilleuse, le temps de rentrer à la maison si tu as hâte de revenir, c’est aussi pour pouvoir te vanter auprès des filles de ton périple en France tu parles couramment allemand, anglais et as des notions de français, en l’occurrence, beaucoup d’insultes et de verlan tu ne jures que par les tartes au citron de maman et tous les plats de papa (autant dire que t’as été sacrément difficile en arrivant à Poudlard, soi disant que les elfes ne cuisinaient pas comme lui) ces caprices mis à part, tu étais assez apprécié à l’école, joyeux luron et joli cœur en devenir joli cœur et cœur d’artichaut en plus de ça ; t’hésitais pas à faire la cour à toutes les jolies clientes de papa t’as la langue un peu trop pendue et la tendance à vouloir te donner en spectacle, comme un moyen de compenser le fait que tu aies dû te cacher tout le temps si tu perds pas une occasion de ronronner quand on te dit que tu ressembles à maman –ou mieux encore, à son frère-, tu n’assumes absolument pas la ressemblance de comportement avec ton père, qui est pourtant flagrante à ce jour, la seule question à laquelle tu n’as toujours pas pu répondre est comment tu réagirais si tu te retrouvais en face de ton père biologique.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Léopoldine. J'ai 22 ans, je viens du nord et j'ai connu le forum via toujours Gérard, le dad sugar. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Un dernier mot ? imma back(us, lel).

Approuvé par le Ministère de la Magie


Dernière édition par Arnold Heidelberg le Ven 16 Sep 2016 - 16:52, édité 2 fois
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Run boy runTomorrow is another day And you won’t have to hide away You’ll be a man, boy But for now it’s time to run
❝ Parenting u do it right ❞1986-1997 & Nüremberg

Tu es encore un peu jeune, et trop occupé à t’inventer des mal-êtres pour te souvenir exactement de tes premières années sur terre. Cette enfance heureuse et confortable est comme un feuillage épars d’où tu tires quelques branches en particulier.
Quand tu as appris à marcher, avec maman qui sert très très fort ta main avant de la lâcher et de gronder papa pour qu’il la lâche aussi. Et puis, peu de temps après, quand tu as appris à galoper, et que papa a dû faire le plein de pansements. Tu te souviens surtout du paysage qui défile, les couloirs interminables, et tous ces délicieux virages, au coin desquels maman te surprenait quand vous jouiez au monstre ou à fuir papa qui te poursuivait, des pansements collés sur tous les doigts.
Il y a beaucoup de moment où papa a peur, et que juste après il est heureux, comme ce matin où tu t’es réveillé mais t’étais pas dans ton lit. Enfin, tu étais sur ton lit, tu le voyais, mais tu te voyais pas dessus. T’as bien cru que c’était ce qui arrivait quand on arrêtait de faire pipi au lit. T’as bien failli te faire gronder par papa, pour cette histoire. Mais finalement, il a préféré être content.
Mais y’avait aussi les moments où papa et maman se disputaient. Maman grimpait jusqu’à ta chambre dans la cabane de ton lit pour dire avec plein de gros mots à quel point elle aimait papa « Si tu dois croire une seule chose, crois en ça. »
Alors t’y as cru ; tu penses y avoir cru si fort que c’est grâce à toi s’ils se sont mariés. Là, t’as cru que la cérémonie allait durer encore vingt siècles. Et que papa et maman, fébriles comme ils étaient, ne redeviendraient plus jamais comme avant. T’as vraiment eu peur qu’ils t’obligent à t’habiller de la sorte tous les jours, ou qu’ils allaient sautiller partout tout le temps, comme pendant la cérémonie. Au final, le seul truc qui est resté, c’est leurs baisers –qui durent vingt siècles, eux aussi.
Mais là encore, ce ne sont que quelques pièces du puzzle –on dit qu’il se reconstitue plus tard. Des pièces qui sentent le citron, les cheveux de maman, le shampoing que papa il met dans les yeux, l’encre, qui vrillent comme les machines de tatouages, qui scintillent comme dans les livres plein de couleurs de papa. Sur certaines d’entre elles, il y a les clients de papa, des gros types tatoués de partout qu’on n’aurait pas cru qu’ils avaient encore une place pour un tatouage de papa, mais ils devaient tellement aimer le travail de papa qu’ils trouvaient toujours une place, fût-elle sur la fesse droite. Sur d’autres, y'a maman qui t’explique que papa, c’est pas vraiment ton papa et pourtant, des fois, maman –qui est ta vraie maman- ne semble pas en revenir « à quel point tu peux lui ressembler. »
Comme si, malgré le fait qu’effectivement, biologiquement, vous n’aviez rien à voir, il avait suffi d’un peu d’amour, de beaucoup d’inquiétude et de conversations d’homme à homme (même si à l’époque, tu n’étais qu’un petit garçon) pour qu’il appose sa marque de fabrique sur ton front comme on baptise, t’apprivoisant dans son habile maladresse, alors que tu essayais en vain de lui faire avaler que oui, moi aussi jotem papa, « laisse-moi jouer maintenant. »
Jusque là, tout allait pour le mieux dans votre meilleur des mondes.

❝ School of tears  ❞1997-1998 & Hogwarts

Tu ne sais pas si papa est plus terrorisé à l’idée de revenir en Angleterre ou de t’envoyer à Poudlard. Il a peur qu’on te juge sur tes origines, ta coupe de cheveux et la longueur de ta robe de sorcier. Tu y décèles là un vécu mal digéré. Et t’avais pas idée de ce que ça représentait en réalité. Papa et maman t’ont néanmoins donné un aperçu de cette idée. Comme quoi, quand papa était à Poudlard, c’était pas un papa. Qu’il s’appelait pas comme ça, et pire encore, qu’il était pas du genre à tourner autour de maman, si ce n’était pour la juger.
Avant, papa était une femme et maintenant, il ne peut plus retourner en Angleterre sans mettre sa nouvelle identité en danger.
C’est ainsi qu’il t’est apparu sous un nouveau jour. Tu savais pas que c’était possible de se transformer de la sorte. T’en as ressenti une certaine fierté, comme s’il avait été le seul à pouvoir accomplir un truc pareil, l’imaginant mener dans sa folle jeunesse une double-vie comme les super-héros sorciers.
C’est le cœur gonflé de ce secret de la plus haute importance que tu t’es extirpé des bras de papa resté à l’hôtel « Papa, arrête de m’ébouriffer les cheveux, t’vas gâcher toute ma coiffure » « Mais mon fils, tu es dégoulinant de laque » puis de ceux de maman sur le quai de la voie 9 ¾ « Maman, c’est pas ton genre d’me serrer si fort d’vant tout l’monde ; on dirait papa » « C’est justement ton père qui me l’a demandé » « Traîtresse ».

Mais, plus horrible encore que ta coupe de cheveux à la rentrée, le pire restait à venir. Mai 1998 : bataille de Poudlard. T’étais qu’un gamin de 12 ans en première année, t’as rien compris à ta vie mais t’as eu très peur pour elle. Si on se souviendrait de tous les élèves de sixième et septième années se lançant à corps perdu dans la bataille, on a tendance à moins parler des pauvres gosses fraîchement débarqués. Il était hors de question de vous envoyer sur le champ de bataille, vous auriez été des poids morts, dans tous les sens du terme. T’as bien fait le malin au début à insister pour les aider, mais il t’aura suffi d’apercevoir un éclair vert vrombir sous le plafond magique de la grande salle pour être le premier à te terrer dans les sous-sols de l’école.

❝ Elle a dû faire toutes les guerres1998-2002 & sortez-moi de là

En rentrant chez tes parents, en juillet 1998, tu apprends que vous allez déménager. T’as cru à une mauvaise blague de leur part, craignant qu’ils veuillent se rapprocher de toi, après ce qui s’était passé à Poudlard. T’as accepté de leur parler de ce qui s’était passé. Mais comment tu l’avais vécu, ou plutôt comment tu avais tout fait pour ne pas le vivre, ça, ça restait encore une autre histoire à régler que tu refusais jusque là d’évoquer, profondément touché dans ta fierté à cause de ton manque de courage. Disons que pour maintenir les apparences, quand tu faisais des cauchemars, tu te contentais de raconter ceux dans lesquels papa te conduisait lui-même tout le long du trajet du lac qui menait à Poudlard, jusqu’à la porte de la grande salle, et qu’il allait même jusqu’à glisser un mot au Choixpeau pour qu’il ne t’envoie pas dans la mauvaise maison. Toutefois, dans tes moments de doute, tu te demandais pourquoi, s’ils avaient tant tenu que ça à se rapprocher de toi, te renvoyaient-ils là-bas ? Mais là non plus, tu ne laisses rien transparaître, tu fais le bonhomme à chasser du revers de la main les inquiétudes excessives de papa.
Peu de temps avant de boucler les cartons, ils t’ont expliqué qu’une fois au Pays de Galles, papa allait devoir se protéger des autorités, parce qu’avant papa n’était pas un mais une. Alors, pour pas qu’on le retrouve et qu’on lui fasse du mal, il se fera passer pour un moldu. Qu’il en soit ainsi, pour toi, du moment qu’il continuait de tatouer, le reste du monde aurait pu s’effondrer. T’avais besoin de te raccrocher à quelque chose que tu chérissais, après avoir vu un bout de ton monde s’effondrer.
La rentrée suivante te terrorise, sans que tu ne puisses l’assumer auprès de tes parents. A tous les coups, ton père n’aurait attendu qu’un mot de ta part à ce propos pour te retirer de cette école de cinglés et garder son oisillon bien au chaud dans son nid. Il t’aurait suffi simplement de dire à mi-voix que « papa » « oui, mon grand ? » « j’veux pas y r’tourner, j’ai trop p- ».
Mais comme chacun le sait, tu l’as pas fait.
Tu faisais moins le malin en découvrant le nouveau Poudlard. Tu ne comprenais que vaguement ce qui se passait au dehors. Tu-Sais-Qui avait l’air tellement diabolique que tu ne savais plus quoi en penser. Sauf que dans ces moments-là, qu’ils ont dit papa et maman, il ne faut pas penser. Penser juste à eux. « Pense juste à nous trois, Arnie ; il n’y a que ça qui compte. »

Tu leur avais bien dit que c’était une mauvaise idée de te renvoyer à l’école ! Non, en fait, tu ne leur avais rien dit. Toujours est-il qu’en janvier 1999, maman est venue te libérer. Et, si quelques mois plus tôt, tu cauchemardais papa t’accompagnant à l’école, t’as jamais été aussi malheureux de ne pas voir ton père venir te chercher. Tu savais bien que c’était parce qu’il devait rester discret, rester moldu. Mais tout de même, tu l’avais pas souvent réclamé, alors t’estimes qu’il aurait dû être là. L’image du super-héros s’effrite, et n’est pas prête de se reconstituer. Il aura été ton modèle pour un an et demi seulement. T’aurais dû lui raconter les vrais cauchemars, peut-être qu’il se serait pas vexé. C’est ce que tu prévois de faire, sauf que maman t’explique que vous ne rentrerez pas voir papa.

❝ Où t'es papa où t'es ? ❞26 avril 2002 & plus chez papa

Maman et toi êtes partis. Sans papa. Il est mort, tu l’as tué.
Tu as 15 ans, bientôt 16 et tu as tué papa avec les yeux, comme tu ne l’avais plus fait depuis tes 8 ans quand il te prenait par la main dans la rue et que tu voulais pas.
T’as tué papa par les yeux.
Maman t’a tué par le cœur.
Parce que tu pensais qu’en laissant papa là, vous alliez retourner avec maman à la vie sauvage d’avant. Tu pensais pas à ce qui allait advenir de vous. Ça, c’était maman qui s’en chargeait. Tu te contentais d’être autant là que papa l’avait pas été, par manque de courage.
Parce que c’est l’alerte rouge dans les yeux et le cœur de maman. Séisme magnitude infinie ; pire que quand elle traite papa de sale con.
Maman semblait avoir laissé son cœur arraché sur le paillasson.
Alors, de chagrin, elle a arraché le tien.
« Je suis désolée, Schwarzy. » elle tient le palpitant dans le creux de sa main. Pas assez désolée apparemment. Si elle l’avait vraiment été, elle te tiendrait pas très très fort la main comme quand elle était sur le point de la lâcher. « Arrête de m'appeler Schwarzy. T'as pas le droit de m'appeler Schwarzy quand tu m'abandonnes. » Tu fronces les sourcils. On dirait que maman a le cœur arraché une seconde fois, là où tu pensais qu’’il n’y avait plus rien depuis que papa était pas parti.
C’est donc toi qui lui lâches la main. Ton cœur s’écrase à ses pieds. Tu grimpes sur l’embarcation, le souffle coupé. Voilà, on y est, Schwarzy ; t’es un grand garçon maintenant. Tu vas devoir te débrouiller tout seul –même si pas si seul, puisque maman fait des messes basses avec un fugitif pour qu’il surveille tes arrières.

❝ Ghost of youmai 2002 & bateau sur l'eau

« Salut mon grand, moi c’est Vince, et j’dois surveiller tes arrières ! » Tu le juges du coin de tes grands yeux rouges qui ont pas pleuré, j’vous jure. « Alors comme ça, toi aussi tu veux voir du pays ? » T’essayes de l’assassiner des yeux, mais ça marche pas, il te regarde pas, il regarde la mer qui s’ouvre devant vous. « La France, Paris, ‘voulez-vous coucher avec moi ce soir’ ? » qu’il babille rêveusement, en français certainement.
Vince ne te lâche pas d’une semelle. Il est trop jovial pour être honnête. Et pourtant, il l’est, ce con. Tu le sais pas, Arnie, mais Vince a laissé un enfant en Angleterre. Alors il a lu dans les yeux de ta mère ce qu’il se refusait à lire dans les siens.
T’as beau le tuer de toutes les manières possibles dans ta tête, il te lâche pas d’une semelle. Et Merlin il y en avait, des manières de tuer, sur un si petit navire ! Tu le détestes, lui et son sourire de comme si t’étais son fils. Tu le détestes, et tu détestes maman. Et papa, de pas être là à faire le papa comme lui, qui le fait trop. Laisse-moi tranquille, me touche pas, va crev-

Un éclair émeraude au-dessus de ta tête te manque de peu. Vince s’écrase face contre terre. Nan mais je rigolais, hein, fais pas le mort, crétin. Deviens pas mort, j’t’en prie.
On dirait que le bateau va chavirer ; tout le monde s’ébroue face à l’attaque de rafleurs. Ils vous ont suivis jusqu’au large des côtes françaises. La première question que tu te poses est : comment ils ont fait. Quand t’en viens à la risible vision des sbires de Tu-Sais-Qui à cheval sur des hippocampes, on te précipite dans les canots de sauvetage. T’es pas si mécontent de pas avoir encore eu ta poussée de croissance ; sinon, ils auraient bien pu te prendre pour un homme.
On essaye néanmoins de t’arracher à quelque chose. Le cadavre encore tiède de Vince que t’as pas lâché. Que tu lâcheras pas, jusqu’à ce que la petite barque ensorcelée s’éloigne à toutes berzingues. Tu pousses les gens qui mettent leurs pieds sur Vince.

On finit par vous pousser sur le sable. Pas une fois, t’as jeté un regard sur votre bateau, ni sur les réfugiés de votre embarcation qui respiraient contre toi. Tu sais pas comment vous avez pu vous en sortir. Enfin, comment toi t’as pu t’en sortir. Parce que Vince est vert comme une algue, comme s’il avait avalé l’aveda qui avait eu raison de lui. Il est tellement vert qu’un lui verdâtre et translucide émane de son lui vert algue.
« Et bah nous voilà bien » il s’observe et t’observe à travers lui-même « me voilà fantôme, maintenant. » t’as l’air mille fois plus surpris que lui « Ils avaient donc dit vrai, pour les Potter ; un peu d’amour, ça vous sauve un gosse » Il semble un peu triste ; de se dire que son amour aura servi à sauver un fils qui n’était pas le sien.
Un long silence que les vagues font rouler comme des billes « T’sais, j’plaisantais quand j’disais qu’j’voulais qu’tu crèves… » tu avortes un mouvement dans sa direction. « Parce que tu en avais après ma vie ?? » s’offusque-t-il pour plaisanter, alors qu’à sa place, tu te serais offusqué pour de vrai. « T’es bien ingrat, comme gamin » son rire grince un peu. Oh que tu te sens bête, maman, pourquoi tu m’as fait si bête ?
« Allez, lève-toi, petit ; si j’suis encore là, c’est qu’j’en ai pas fini avec toi. Alors viens, Paris nous attend ! » et de lui emboîter le pas, bien qu’il flotte quelques centimètres au-dessus du sol, alors qu’il se met à siffloter un air de vie en rose.

❝ L'important, c'est pas la chutemai 2002 - juillet 2003 & en bas de chez Karim

Une fois en France, t’as poussé jusqu’à Paris, dans les banlieues où ton teint de peau te permet de te faire une place au rez-de-chaussée d’une barre de HLM. De temps en temps, t’as le droit de dormir chez Karim, parce que y’a tellement de monde chez lui que sa mère ne fait plus la différence entre ses fils et les copains de ses fils. Elle met néanmoins un nom sur ton accent un peu trop fort. T’es le correspondant américain « puisque j’te dis que je suis allem… euh anglais ! » « oué mais amerloc c’est plus stylé ! » Va pour le correspondant américain, dans ce cas, quand bien même ils arrêtent pas de te parler de rappeurs US dont tu ne sais rien. C’est à force de pirouettes et de vidéos tournées en boucle sur les réseaux que tu te bâtis au fur et à mesure une culture moldue de la street. Disons que ça a le mérite de t’occuper l’esprit, histoire de ne pas penser à tes parents.  
Tu troques les robes de sorcier laissées chez papa pour des survêtements et des casquettes de contrefaçon, l’orvietan dont moi-même, Vince, t’avais tant vanté les mérites contre les stup’ moldus. Persuadé que tu y laisserais tes pouvoirs magiques si tu t’y essayais, t’as gardé ça pour livrer aux copains et à leurs grands frères quand ils te le demandaient, parce qu’ils t’appelaient « frère » et que ça te faisait un peu plaisir. Parce que la maison était si loin.
Fort de l’ouverture au monde moldu de tes parents, t’as pas forcément eu trop de mal à t’adapter ; d’autant plus que tu passais pour le plus cool du quartier à ne jamais aller à l’école et à laisser peser un voile de mystère sur d’où tu venais. C’est qu’à force d’inventer des histoires, il existait même plusieurs versions, plus ou moins tirées par les cheveux ; mais dans chacune d’entre elles, ce qui était sûr, c’était que tu étais ton propre héros –« sans rancune, Vince, ça l’aurait pas trop fait d’intégrer un fantôme dans le récit. »
Mais disons que je n’avais pas trop intérêt à me venger, si je voulais un jour régler ma dette afin de pouvoir enfin reposer en paix. Et que de ton côté, je voyais bien que t’avais tout de même un peu beaucoup les chocottes. De fait, je me contentais de ricaner doucement en écoutant tes petits mensonges, ainsi qu’à laisser traîner mes oreilles çà et là pour prendre des nouvelles du monde sorcier.
C’est ainsi qu’à l’été 2003, j’ai vent des manœuvres des sorciers français pour rejoindre l’Angleterre. Et, songeant qu’en retrouvant ta mère, j’aurais enfin accompli ma mission, je n’ai pas tardé pour te le dire. Persuadé de ton côté, que t’allais finalement pouvoir être le héros que tu te targuais d’être, t’as lâché la banlieue sans l’ombre d’un remord.
De fait, le 12 juillet 2003, t’es du voyage, sans savoir réellement si t’étais là pour latter les roubignoles des mangemorts, ou simplement pour retrouver tes parents, priant tous les grands mages qu’ils ne t’aient pas oublié.



Dernière édition par Arnold Heidelberg le Ven 16 Sep 2016 - 16:31, édité 16 fois
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MON BB.
MON AMOUR.
LET ME LOVE YOU.
J'EDIT APRES.

EDIT 1: Et ouais Sasha, là avant toi, kestuvafer :russe:

Ptn y a que les infos mais je veux déjà tout citer. C'est perf. C'est beau. Mon bb d'amour.
MOI JE NE T'OUBLIERAI JAMAIS. *winkwink*

#heidelbergrpz


Dernière édition par Viktor Heidelberg le Sam 10 Sep 2016 - 21:33, édité 1 fois
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WIZARD • always the first casuality
Adidja Zabini
Adidja Zabini
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‹ âge : vingt-et-un ans.
‹ occupation : chanteur, compositeur, producteur, étudiant au sawl center (musicomagie).
‹ maison : gryffondor.
‹ scolarité : sept. 1994 - jun. 2002.
‹ baguette : 25,4 cm, crin de licorne, bois de chêne.
‹ gallions (ʛ) : 3079
‹ réputation : (trop) gentil et doux, to be protected at all costs, talentueux, bitchasse, maniéré, cinammon roll too good for this world, too pure.
‹ particularité : un peu de magie sans baguette, héritage de sa mère.
‹ résidence : dans un petit appartement de whitehorn, qu'il utilise aussi comme studio.
‹ patronus : n'a jamais su en faire.
‹ épouvantard : le cadavre de sa soeur jumelle nina.
‹ risèd : sa famille réunie; sa mère fière de lui.
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June Winchester
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‹ liens utiles : présentation - reaghan - ronald - daphne - mood - lyanna - lorcàn - remus
‹ âge : trente ans. (01/06/1974)
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7593
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
http://www.smoking-ruins.com/t6908-june-shadow-of-the-colossus
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Votre famille va me tuer.
Jpp déjà.
Finis ta fiche et go nous assassiner maintenant que vous êtes réunis là :russe:

(oui rebienvenue à la maison sinon minikr)
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HERO • we saved the world
Rohan Helvar
Rohan Helvar
‹ disponibilité : dispo.
‹ inscription : 27/08/2016
‹ messages : 434
‹ crédits : shiya.
‹ dialogues : sandybrown (design foncé), darkgoldenrod (design clair).
'cause i'm a big boy, an adult now or nearly 170119063913820709

‹ liens utiles :
fiche » RUN BOY RUN
marcus » ex-ff, prisoner mylan » angry & hungry midget shin » or is it nazir? salvatore » ff beater & international asshole sirius » the mighty godfather elliott » just another asshole fred » the lost twin.
‹ âge : 25 ans.
‹ occupation : il s'occupe de James à Storm's End et rattrape tout ce qu'il a manqué en n'allant pas à Poudlard avec les habitants du cottage.
‹ maison : il n'est jamais allé à Poudlard.
‹ gallions (ʛ) : 3360
‹ réputation : il est le filleul de la Ministre qui a subitement fait une réapparition après la guerre.
‹ particularité : un loup-garou, il a été mordu quand il avait dix ans.
‹ résidence : Storm's End.
‹ patronus : rien du tout, il n'a jamais appris à en faire un.
‹ épouvantard : James en train de rire avec ce type qui a tué Sarah.
‹ risèd : probablement lui, en uniforme d'élève de Poudlard.
http://www.smoking-ruins.com/t5023-rohan-stand-by-me
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je veux la crise d'ado.
je veux l'acné et les cris.
je veux les colères de bb.

JPP DE CETTE FAMILLE. gaah gaah gaah
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
'cause i'm a big boy, an adult now or nearly Tumblr_ob1ibueZ761rmsoypo3_250

‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14091
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
'cause i'm a big boy, an adult now or nearly 489546spea
Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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Arnie iiih les passages sur lui promettaient déjà dans les fiches des parents et vu ton début c'est clair que le bonhomme est bien parti pour être épique mdr ne serait ce que pour le métier ok mdr REBIENVENUE, amuse-toi bien avec ce nouveau perso !
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Susan Dillinger.
Susan Dillinger.
‹ disponibilité : fiche first.
‹ inscription : 27/08/2016
‹ messages : 390
‹ crédits : century sex.
‹ dialogues : indianred
'cause i'm a big boy, an adult now or nearly Tumblr_n9wdrsfRYP1qg60ado5_250

‹ âge : dix-neuf ans
‹ occupation : livreuse pour le dirico express + étudiante à la WADA en arts visuels, elle fait également partie d'un club de théâtre.
‹ maison : gryffondor.
‹ scolarité : 1996 - 2002
‹ gallions (ʛ) : 3293
‹ réputation :
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IL EST TROP PARFAAAAAAAAAAAIT ow
ma famille préférée est enfin réunie trognon j'ai trop trop hâte de lire vos rps et surtout de lire la suite de ta fiche (j'ai tellement ri déjà) minikr bien sûr tu n'échapperas pas à un lien avec Amelia, tu t'en doutes bien perv bon courage pour l'écriture, on est avec toi (:
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HUNTED • running man
Adele Bones
Adele Bones
‹ inscription : 03/08/2015
‹ messages : 2056
‹ crédits : LUX AETERNA, astra, sia, tumblr, simon/mathydabest.
‹ dialogues : #336699
'cause i'm a big boy, an adult now or nearly Y65Mxt4

‹ âge : 38
‹ occupation : en fuite, déchue de tout type de privilèges.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1976 et 1983.
‹ baguette : est en bois d'if, mesure 23,7 centimètres et possède un ventricule de dragon en son cœur.
‹ gallions (ʛ) : 5778
‹ réputation : je suis sans aucun scrupule.
‹ particularité : semi-Vélane.
‹ résidence : ici et là, clamant comme miens les différents cottages investis durant notre cavale.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : une vie silencieuse, ponctuée par des râles de douleur, et non plus par les rires des rares personnes auxquelles je tiens.
‹ risèd : une journée d'été, Artur m'aidant au jardin ; Owen Avery se moquant de l'activité sans chercher à dérober son regard attendri.
http://www.smoking-ruins.com/t2469-adele-you-re-gonna-wish-you-n
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T'ES BEAU. kr (c'est même étonnant, vu ta mère :russe: )
REBIENVENUE A LA MAISON hinhin #HEIDELBERGAUPOUVOIR superman (tg, Luna)
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Invité
Invité
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il y a des filles si jolies (amelia qui dort dans mon lit, kallévoufaire?) et des garçons si forts qui viennent me dire bonjouuur .w.
(sauf toi papa, tu es faible ptn :russe: )
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