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sujet; Not made for this world {Bashanna}
MessageSujet: Not made for this world {Bashanna}   Not made for this world {Bashanna} EmptyMar 18 Nov 2014 - 21:34

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Scratch it into the soft folds of your stomach
that you know what it means to be hollow now. that you understand hunger, that
you’re empty and now all you have left is your hands, still cold, still reaching.


Look at your watch now !

L
e regard rivé sur la porte d’entrée, les mains enfouies dans les poches de ton manteau, tu ne peux pas t’empêcher de t’inquiéter. De te demander s’il sera seulement présent. Pourtant, tu es là à une heure décente, celle précédant ses sorties, quand il ose sortir, aussi bien dire que dernièrement ce n’est plus trop dans ses habitudes. Bash ne va pas bien, tu le sais, plus que cela même, tu irais jusqu’à dire que tu le ressens. Dans ton corps, dans ton cœur, dans tout ce qui fait de toi sa meilleure amie et sa confidente, une presque sœur oui. Tu sais pourquoi il se trouve dans ce coin d’ombre qu’il ne cherche plus à quitter, pourquoi il ère sans but, pauvre artiste ayant perdu sa muse. Il a perdu son cœur et si tu ne peux pas comprendre ce qui le rattachait à une femme de cette nature, si vos avis divergent au sujet de Viridiana, tu comprends tout de même sa douleur. Du moins, il te semble le comprendre. Un bout de toi te manque aussi, mais vos situations sont terriblement différente, tellement que tu n’oserais jamais prétendre devant lui, comprendre sa perte. Parce que ce n’est pas le cas. Et quand on t’ouvre, que tu souris et t’incline, saluant le maître des lieux, tu cherches déjà la présence de Bash. Tu t’intéresses un instant à la santé des parents de ton meilleur ami, à comment se porte les affaires pour eux et tu chuchotes tout bas des questions sur « lui ». Va-t-il mieux ? Est-il toujours amorphe ? Ses parents ne comprennent pas l’étendu de sa peine, pas vraiment. Ils ne savent pas que plus qu’une mère, Viridiana représentait un futur, un espoir, l’amour brillant de mille feux. Ils ne savent pas, ne sauront probablement jamais et tu ne comptes pas être celle vendant la mèche : jamais. Alors tu laisses ton manteau en bas, tu poses une main réconfortante sur le bras du père de famille, qui se fait vieux, qui semble épuisé, un peu comme ta mère quand tu la surprends en train de te fixer, avant qu’elle retrouve ses couleurs et te souris. Peut-être que c’est aussi l’une des raisons vous ayant rapproché, Bash et toi, la déception que vous représentez parfois pour vos parents respectifs, sans parler du rejet de votre parent du sexe opposé. Oui, vous avez beaucoup en commun, assez pour que tu gagnes sa chambre sans t’inquiéter de ce que cela pourrait, peut même, représenter. Tu toques deux fois, puis tu entres simplement.

Tout en douceur, tout en mesure, tu ouvres la porte et la referme derrière toi, ton regard accrochant déjà sa silhouette, l’homme t’offrant son profil, assis sur son lit. Tu soupires doucement, puis t’approche de lui tout en te tordant doucement les mains, tu tentes d’occuper ton esprit, de te contrôler. Continuellement, même en sa compagnie. Pourtant, ici tu es en sûreté, tu n’as pas à mettre en pratique les apprentissages de maman, ses moyens pour éviter de laisser filtrer tes émotions et tes débordements possible. Ta main rejoint l’épaule solide du propriétaire de la chambre, avant que ton corps se pose près du sien, sur ce lit qui t’es familier. Tu y as pleuré par le passé, tu y as posé ton corps à plus d’une occasion, pour parler à cœur ouvert avec l’homme malheureux qui s’y trouve maintenant. Ton ami c’est transformé, sa joie de vivre c’est envolé et ne t’a laissé qu’une coquille vide, hanté par des chants de tambour, des hanches trop voluptueuse, un regard trop sage pour le sien. « Bonsoir Bash… tu as dormis un peu ? » Ta voix se veut douce, inquiète, maternelle, comme lorsque tu discutes avec le fils Malfoy. Et cette main que tu redresses, que tu faufiles doucement contre son crâne, est la même que celle aimant tant parcourir la soie blanche que forme les cheveux de Scorpius. Toi qu’on dit si frigide, si distante, renfermé, tu te veux douce et chaude auprès des tiens. Surtout de Bash. Il est seul, il est malheureux, alors tu le cajole et tu lui embrasses même tendrement la joue, une habitude qui ne te ressemble pas. S’il n’était pas aussi émouvant, assis là, sur son lit, dans l’obscurité naissante de la nuit qui s’étend doucement sur sa promise, le jour, peut-être ne serais-tu pas autant attentionnée. Mais peut-être que tu l’es pour d’autres raisons aussi : ce chaos qui règne dans ton propre cœur, qui ne semble pas capable de s’apaiser par tes seuls soins. Ta main le cajole encore doucement, tes yeux l’observant aussi attentivement qu’un Olivander scrutent le bois et là, en le voyant si sombre, si inerte, tu lui soulève un bras, pour venir te loger contre lui. Toi qui n’a jamais été très tactile avec les gens, au fil des années tu as compris que plus tu appréciais les gens, plus tu leur faisais confiance, plus tu avais besoin de les sentir contre toi. Alors tu te presses à lui, tu te serres doucement a lui et tu hume une berceuse. Il est comme un enfant contre toi, un petit garçon que tu cherches à apaiser, ta main lui cajolant la tête, l’autre le serrant doucement à toi, alors que tu chantonnes tout bas, contre son cou. Pour le ramener à toi, pour ramener un peu de vie dans son corps, faute de sauver son cœur. Tu ne peux rien pour ce trou béant qu’il s’est découvert, tu ne peux que le rassurer, parce que toi, même avec ce trou dégoulinant, tu survie.
code by bat'phanie
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Le début de l'histoire et, déjà, le héro est démembré. Plus tout à fait un homme, pas encore un fantôme, un bybride. Cadavre humain, cadavre exquis, inferi rodant dans les jours qui se ressemblent tous. Le soleil court dans le ciel, mais tu restes frigorifié dans ta peine, laissant te plaies devenir putride, ta laideur te dévorer. Le sang coule dans ton corps, probablement même trop rapidement, mais tu ne te sens pas vivant. Tu n'es plus de ce monde, même tes pas sur le sol te semble flottant, traînant comme des ombres, tu n'es même plus l'ombre de toi-même. Tu es mort. Mort avec elle, mort sur ce sol, mort entre ses jambes, ses lèvres. Mort d'amour. Mort sans que ça ne t'affoles, sans que tu ne le redoutes et tentes d'échapper à la faucheuse. Mort-vivant, damné à rester sur cette terre, à pleurer ta peine pour en effrayer les gamins jusqu'à dans leurs rêves les plus sombres. Tu n'as plus envie de manger, plus envie d'ensorceler, plus envie d'aimer, plus envie de rien, ni même d'avancer. Surtout pas d'avancer. Tes jambes sont deux amas de pierre, tu es devenu une statue de marbre, figé dans cette peine qui ne te lâche pas, ne te laisse même plus respirer. Ta poitrine est comprimé, une statue, ça n'as pas besoin de respirer. La mort, tu ne la croyais pas si difficile, si prenante et étouffante. Elle te l'avais peinte en couleurs vive, en rouge éclatant contre ta peau, en blanc et vers dévorant vos peau, en âmes bleues enfin libre, en amour éternellement rose. Elle t'avais mentis, elle t'avais trompée avec la mort et tu ne leurs pardonnerais jamais à toutes les deux. De toutes les amantes qu'elle aurait pu avoir, pourquoi fallait-il qu'elle choisies celle qui lui allait-être fatale ? Tu as perdu tes couleurs, tes amis, ton amour. Tu a beau les chercher, partout dans ton antre, il ne reste plus rien, plus de traces d'eux, tu as perdu la partie de cache-cache et c'est la fin de ton monde d'enfant. Les dieux t'avaient coupés du reste de la vie et ça ne te dérangeais pas vraiment. Tu avais cessé de chercher, cesser de jouer, préférant jouer de ton mélancolique piano, jouant à la guerre, celle à l'intérieur de toi. Petit soldat de plombs, leurs chaires délicates vêtues d'armures. En toi, le combat entre l'espoir et la peine. L'espoir perdait du terrain, se retrouvait coincé par la peine aux tactiques cruelle. Et tu ne pouvais rien faire, impuissant devant leurs catapultes te faisant hurler la victoire de la douleur te ravageant de ton espoir. Tu ne pouvais que regarder la bagarre, le champ de bataille sur lequel s'étendait tes espoirs et tes rêves morts. Des morts, encore des morts, trop de mort. Toi-même. Tu étais devenu ce mort en sursis, celui qui attendait d'aller la retrouver. Ce serpent qui savait qu'il finirait dévoré par un autre prédateur, vilain karma qui frappait comme une salope en pleine gueule. Pourtant la mort ne venait pas à toi pour t'embrasser comme elle l'avait embrassé, elle. Tu étais jaloux qu'elle ne veuille pas faire de ton son amant. Qu'avais-tu de moins qu'elle pour ne pas être digne de la recevoir sur toi, en toi. La mort se faisait désirée et tu ne pouvais mourir autrement qu'en risquant ta vie pour les insurgés. Qu'en te jetant devant les coups, les baguettes et les explosions, t'en tirant malgré toi. Tu refusais de mourir, seul dans ton sous-sol, dans le noir et les crânes de bêtes. Tu refusais de te donner la mort comme un lâche, tu ne pouvais violer celle qui devait venir de son plein gré, le moment venu. Et pourtant, c'était ce à quoi tu te destinais en te morfondant, en refusant de vivre, tu te suicidais. Tu tranchais tes veines à coup de larmes sur tes joues. Tu te pendais à la corde de ce sommeil qui ne venait jamais. Tu t'empoisonnais en buvant ses journées qui ne te servaient à rien. Tu te jetais devant les trains de tes pensées noires, parasites qui faisaient désormais partie intégrante de ta personne, grattant contre ton crâne, grattant, grattant jusqu'à y faire des trous, grattant. Refusant encore un repas ce soir, même si ton ventre se tordait d'une faim qu'on ne pouvait pas combler. Une faim d'elle, de son corps qu'on n'avait même pas enterré. Son corps qu'on laissait pourrir sur la place public, pour montrer ce que les autres insurgés auraient à payé. Tu avais envie d'aller te crucifier près de son corps, pour passer un message, faire comprendre l'horreur de la chose, de ton amour pour une née-moldue. Tu fermais les yeux et tu la voyais, danser, avec ses longues tresses lui griffant le dos. Avec son corps chaud et réconfortant, son corps de mer avalant tout sur son passage, une mer des caraïbes, turquoise et fascinante. Tu avais peur. Elle t'appartenais, la peur. Elle était devenue ton animal de compagnie, une petite boule poilue qui résidait à l'intérieur de toi, faisant croire qu'elle n'était pas là, se nourrissant de tes entrailles et craignant la lumière du jour. Cette peur, tu l'avais nommée oublie. Peur de ce jour où sa voix te serais étrangère. Où son rire n'arriverait plus à résonner avec exactitude en toi. Peur de comment tu l'oublieras toute entière, du goût à la texture de sa peau. La peur se mutant en menace alors que tout devenait plus flou au fil des jours où tes yeux étaient brouillés par cette tristesse. Tu aurais eut besoin d'une pensine, un bocal bien étanche pour y mettre tout tes souvenirs d'elle, pour que tu pousses t'y glisser encore, infiniment, jusqu'à t'y noyer comme tu te noyais dans ce chagrin. Les laissant s'infiltrer en toi, dans ta gorge, emplir tes poumons, ton ventre jusqu'à te gonfler de leurs démons illusoires, du bonheur liquide qui coulait entre tes doigts.

Pourtant il te restait encore une bouée. Aussi glissante soit-elle, parce qu'elle pouvait te noyer comme te sauver, cette bouée. Une amie que tu n'avais pas vue depuis longtemps, et c'était entièrement ta faute. Tu n'avais pas voulu lui présenter tes restes humains, risquer de la blesser, mais ta disparition l'avait alarmée malgré tout. Tu avais dit à tes parents que tu ne voulais pas voir l'ombre d'un être dans ta tanière. Elle n'était pourtant pas un être, une demie-déesse aux doigts verts, faisant naître des fleurs partout sous ses pas. Peut-être arriverait-elle à te faire fleurir, ton coeur fané par une peine incommensurable. Tu n'avais pas à lever les yeux, elle n'avait pas à faire davantage de bruits, tu savais qu'elle était là. Plus que de sentir sa présence, elle te frappait comme un train, te pendais dans tes regrets, tranchait tes veines de ton indignité face à votre amitié. Son odeur familière et réconfortante embaumait déjà la pièce qui n'empestait que l'encens et la cire des bougies qui y brûlaient pour tout éclairage de la pièce depuis beaucoup trop longtemps. Tu te laissais enivrer, remplir par cette odeur sans pitié. Elle vient vers toi, prend place sur ton lit, face à toi. Une déesse dans ton lit. Une déesse dont tu n'ai pas digne. Tu t'en veux. Ton regard se pose sur elle, chaleureux même si ton sourire n'arrive pas à se former. Tu la supplie de ne pas t'en vouloir d'avoir fait le mort, étendu contre le sol. Tu es content de la voir malgré tout, ton joli corbeau, déesse de la nuit comme de la nature, elle t'apaise, rend inoffensive la bête morbide en toi sein, mais elle n'arrive pas à faire taire les hurlements en toi, ceux de douleur, les lamentations sans murs. Sa main ayant retrouvé ton épaule, tu fermais les yeux. Son toucher pourtant si différent de celui de ton amante arrivait à faire renaître faiblement ta flamme morte. Comme une bouffée d'oxygène, une trousse de survie. « Bonsoir Bash… tu as dormis un peu ? » Te demande-t-elle avec cette tendresse qu'elle ne se cache pas d'avoir pour toi. Cette tendresse qui coule dans ton œsophage comme un remède à ses mots douloureux gravés dans ta chaire. Tu hoches négativement de la tête. Non, chantent les chorales dans ta tête. Ses voix qui sont pires que le supplice de la goûte t'empêchant de fermer l'oeil. Pourtant, elle arrive à faire se redresser le coin de l'une de ta lèvre en un demi sourire difficilement assumé malgré tout. Insufflant une bouffée de vie en toi.  Sa main se relevant pour venir contre ta tête, le touché d'une lumière divine, une lune bien ronde, en courbes sublime venant éclairer ta nuit trop noir depuis trop longtemps. La dernière fois qu'une femme t'as touché te semble être à des années de noirceur d'aujourd'hui. Ton regard explosant en remerciements qui n'empiètent pourtant pas sur tes lèvres. Ça te faisant autant du bien que ça pouvait te faire mal alors que tu frottes doucement ta tête contre sa main. Petit chien quémandant l'amour qu'on lui a refusé parce qu'il s'est lui-même encagé. Ses lèvres venant retrouver ta joue alors que tes mains viennent se poser dans son dos fin, pâle. Elle t’apaises comme tu ne l'en aurais pas cru capable, même si elle était ta meilleure amie. Tu ne croyais simplement plus que quiconque avait l'antidote qui te sauverais. Tu croyais être un cas perdu, un chaire trop écorchée pour être réparée, foutu. Soulevant ton bras près d'elle pour venir se blottir contre toi. La petite chatte avait autant besoin de ton amour que tu avais besoin du sien. Tu te voulais protecteur avec elle, léchant doucement le haut de sa tête pour la réconforter, pour qu'elle ronronne de nouveau. Tu la consolais comme tu aurais voulu qu'on te recolle, pour que tu sois entier, solide. Tu l’accueil, lui ouvrant les bras, ton autre venant même remonter sur elle, se glisser dans ses cheveux noirs. Tu te refermes autour d'elle comme une plante grimpante, comme des filets du diable qui ne la lâcherons pas. Pas avant que tu n'ai étrangler sa peine, même si elle est pour toi. Vous vous bercer, tentant de vous consoler autant l'un que l'autre alors qu'elle chantonne doucement. Ses lèvres traçant de partitions dans ton cou, pour que tu ne les oublies pas, que tu puisses les relire quand elle sera partie, te serrant dans tes bras et tentant de l'imaginer encore. Ça te blesse, t'arrache ce qu'il te reste de coeur, anesthésiant pourtant la douleur en même temps. La peur nommée oublie a aussi une amie, perte. Parce que même si elle est là, tu te dis que d'un jour, d'une seconde à l'autre, Susanna peut t'être arrachée. Tu n'y survivra pas. Pas encore. Tu n'aurais alors plus de raisons de vivre, plus aucunes. Aliss se débrouillerait sans toi, tu pourrais partir. Tu te laisses doucement tombé vers l'arrière, l'entraînant avec toi, las d'être debout, assis, en vie. Tu la coules sur ton autel, sans pour autant vouloir la sacrifier. Tu t'étends avec elle dans ton lit, faisant fit de toutes les bonnes coutumes de vos sangs qui ne permettent pas d'emporter une fille ainsi dans son lit, pour s'y prélasser avec elle, y guérir. Les jeunes générations s'en balance, ne croient plus au mariage, surtout pas vous, révolutionnaires reconnus, pur par chance plus que par désir ou besoin. Tu te serres contre elle, retrouvant un peu de chaleur au creux de ses ailes noires. Retrouvant un peu d'amour entre ses jambes s'enlaçant aux tiennes. Tes lèvres remontant à son front pour l'embrasser, l'une de tes mains retrouvant l'arrière de sa nuque pour la masser doucement. Ton corps a besoin du sien pour te sauver de la noyade, tenir ta tête hors de l'eau. Elle non plus, n'as pas l'air d'aller très bien. Ses ailes sont moins brillantes, elle souffre de quelque chose qu'elle ne comprend pas elle-même. Elle te permets de t'oublier un moment alors que tes yeux verdoyants se plongeant dans le noir des siens, le noir qu'avait ceux de Viridianna qui revient encore te hanter. Tu la chasses pourtant, pour elle, par respect. Parce que vous êtes vivants et qu'elle est morte.

« Quelle peine t'affliges, mon doux corbeau ? Mon deuil ne devrait pas être le tien... » Lui souffles-tu doucement, près de son oreille, venant embrasser sa mâchoire avant que ton visage ne vienne affronter de nouveau le sien. Tes yeux ne lui déclarent pourtant pas la guerre, mais plutôt la tendresse. Brûlant d'un amour pour elle que tu ne lui as jamais caché. Un amour pourtant qui ne s'était jamais voulu sanglant ne même consumant. Depuis que tu la connais, que tu es en âge de la trouver sensuelle, elle appartient à un autre. Puis, quand elle était libre, tu étais devenu fou, fou d'amour pour une autre, ta cervelle calcinée te laissant croire que c'était possible. Vos horloges n'étaient pas réglés sur la même heure, le décalage rendant cela impossible, le mutisme empirant tout. Il y avait cette peine dansant dans ses prunelles, cette peine trop majestueuse pour que tu n'en soit la cause. Tu ne te croyais pas assez important pour l'attrister à ce point, même s'il y avait un risque potentiel de contamination.

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