7 résultats trouvés pour PARIA

AuteurMessage
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: Baubillious ► mon sorcier du dessus
Luna Lovegood

Réponses: 345
Vues: 8061

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: Baubillious ► mon sorcier du dessus    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyJeu 23 Mar 2017 - 10:45
naaaaan, j'me souviens de l'époque où j'ai crié #PARIA msdd What a Face
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: Sir Cadogan's Gallery ► Avatars Go !
Astoria Greengrass

Réponses: 52
Vues: 3572

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: Sir Cadogan's Gallery ► Avatars Go !    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyVen 23 Sep 2016 - 21:17

#paria is real??? en exclusivité, le dessin d'astoria offert à pansy pour son vingt-quatrième anniversaire. elle était ravie.
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: HOWLER ► Le flood
Luna Lovegood

Réponses: 79
Vues: 3821

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: HOWLER ► Le flood    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyVen 23 Sep 2016 - 1:31
le #paria cey pour la vie gaah

#paria forever rougit

KID, REJOINS LA TEAM DE LOU PLZ yeux #onceunreclu #toujoursunreclu yeux

lance Lou à l'arrière-train de Kiddo inlove
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: HOWLER ► Le flood
Harry Potter

Réponses: 79
Vues: 3821

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: HOWLER ► Le flood    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyVen 23 Sep 2016 - 1:28
Astoria Greengrass a écrit:
#PARIA


je shippe carrément no shame gaah gaah gaah hinhin
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: HOWLER ► Le flood
Astoria Greengrass

Réponses: 79
Vues: 3821

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: HOWLER ► Le flood    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyVen 23 Sep 2016 - 1:14
PANSY???? #PARIA???? TRUE LOVE???? WHAT THE FUCK JE CROYAIS QUE NOTRE RP ALLAIT FINIR EN KÉKETTE DANS LA BIBLIOTHÈQUE. erf erf erf (bibliokéthèque?)
yeux yeux yeux yeux yeux

( palpite palpite palpite palpite )
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: Everlasting Elixirs ► suggestions de rp (mai)
Adele Bones

Réponses: 5
Vues: 699

Rechercher dans: HRP & beuglantes staffiennes   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: Everlasting Elixirs ► suggestions de rp (mai)    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyJeu 5 Mai 2016 - 13:46
JE PLUSSOIE LE PETIT MEURTRE EN FAMILLE fire fire fire omg, Rabby, de retour et MA-GNI-FAÏ-QUE COMME TOUJOURS tbe

#catégorie : fight, fun, feels (ouai, je le vois déjà venir yeah ) (#paria) (ne croyez pas la camée, elle ment Arrow )
► lien : i write sins not tragedies

COMPTONS LES POINTS LA TEAM SINGLE MOM IS IN DA PLACE gaah gaah kr kr tbe tbe

#catégorie : fight, feels, SHIIIIIP fire #HESTAN IS REAL tbe tbe tbe
► lien : Even if we can’t find Heaven, I’ll walk through Hell with you

ça y est. ça commence.
La...
Révolution...
Est...
En marche..............

rip rip rip rip rip rip
Tag paria sur EXCIDIUM DgxnSujet: (paria) i write sins not tragedies.
Astoria Greengrass

Réponses: 2
Vues: 841

Rechercher dans: Chemin de Traverse   Tag paria sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: (paria) i write sins not tragedies.    Tag paria sur EXCIDIUM EmptyJeu 5 Mai 2016 - 0:51
pansy parkinson
Ils étaient superbes et souriants ; les femmes s’étalaient, blanches et grasses ; les hommes avaient des regards vifs, des allures charmées d’amants heureux. (...) Était-elle donc meilleure que les autres, pour plier ainsi sous les plaisirs ? ou était-ce les autres qui étaient louables d’avoir les reins plus forts que les siens ?
Au moment où la nourriture qu'elle dépose dans sa bouche prend le goût de cendres, Astoria sait qu'elle doit s'échapper d'ici.
Ce n'est pas tant que la nourriture n'est pas bonne — non, évidemment, ce n'est pas ça. C'est juste qu'elle est... non, pas fausse, ce n'est pas exactement cela non plus. C'est juste que tout d'un coup, elle devient cendres et Astoria sent quelque chose se crisper en elle, et une sueur froide lui dévaler le dos entre les omoplates et elle doit fuir, sinon elle n'y survivra pas. Présentons prudemment la scène: c'est une table pleine, bondée, croulante d'assiettes supportant des mets fins et goûteux. Des fraises en veux tu en voilà, des platées de bacon, un bol d'oeufs brouillés, carafes de lait chaud, carafes de jus d'orange, chocolat sous toutes ses formes (enrobant des fruits, en poudre au fond des tasses, en pâte à tartiner), miel, toasts, beans, tomates grillées, lichettes de beurre ça et là, bref, une ode à la décadence et à la consommation. Le petit salon qui accueille tel joyeux brunch est décoré avec goût, à l'étage d'un manoir mondain de la fameuse Herpo Creek: les tentures sont lourdes, pâles, recouvrent chaque centimètre carré du salon; la nappe est précieuse, tout le monde fait attention à ne rien y laisser tomber; les fauteuils sont moelleux et on s'y assoupirait avec grand plaisir; le mobilier est précieux, cher, faussement ancien, claquant. Le soleil terriblement brillant du début d'après-midi d'un dimanche timide de mai se glisse par les hautes fenêtres, entre deux voiles presque transparents, et vient donc éclairer subtilement nos héroïnes du jour: le symbole de la jeunesse prospère, riche et belle de l'Élite.
Ah! elles sont belles. Et elles le savent, ce qui donne un charme désarmant à leurs sourires, à leurs yeux plissés, à leurs gestes faussement gentils. Elles se passent le beurre, se servent l'eau chaude, se passent les plats; elles discutent de tout et surtout de rien, prenant un malin plaisir à en tourmenter une en faisant les louanges de l'autre, s'amusant parfois à en torturer une autre à cause de la réputation actuelle de sa famile, faisant mine de s'extasier devant le caillou porté à l'annulaire de l'une d'entre elles. Oh! elles sont belles. Pourtant, émane d'elle un parfum subtil, quelque chose qui ressemble à l'odeur d'une pièce depuis trop longtemps fermée, un salon moisi, un royaume pourri jusqu'à la moelle: derrière les sourires gentils et sucrés se cachent l'amertume et l'hypocrisie, le miel mêlé au fiel; bref, tout ce qu'il y a de détestable dans une société en guerre avec elle-même.

La plupart de la matinée, Astoria est comme un poisson dans l'eau, pourtant. Elle murmure des oh et des ah, mange respectablement (pas trop, pour ne pas choquer; pas trop peu non plus, pour ne pas inquiéter), prend un grand plaisir à répandre rumeurs et potins, donne son avis sur la question d'un ancien Insurgé sur le chemin de la rédemption qu'elles connaissent toutes, s'inquiète à mi-mot de tel ou tel évènement, passe le sucre, écoute attentivement d'un air concerné, hoche la tête, sourit, rit même une fois ou deux, sirote son thé, prend un cliché avantageux de la tablée pour son MSN. Son assiette n'est jamais tout à fait vide, comme il se doit, avec toujours un coin de toast à moitié croqué qui reste dans un coin ou quelques beans qui se battent en duel près de la fourchette; elle est toujours en train de parler ou d'écouter, de médire ou de complimenter et bientôt, bientôt, le temps des têtes qui tombent arrive (trop vite) et la nourriture devient cendres. La conversation tourne en rond, comme elle finit toujours fatalement par le faire. Alors l'intérêt ne se tourne non pas vers le monde extérieur, dans lequel elles se complaisent chaque jour de la sainte année, mais sur les gens qui se trouvent dans la pièce. On commence à droite et on finit à gauche: tout le monde y passe. Astoria calcule vite que dans cinq minutes, on passera à elle. On parlera de ses déboires, de ses interviews, ses soucis, Draco, Scorpius, Susanna, les Insurgés, Boris, tout, tout y passera et avec toute cette cendre entre les dents, elle n'y survivra pas.
Excusez-moi, ” souffle-t-elle sous sa respiration mais des serres d'aigle volent et emprisonnent son poignet. “ Astoria? ” fait, doucereuse, la jeune femme à sa droite. L'air de dire: tu penses que tu pourras t'enfuir si simplement? Greengrass pince des lèvres avant de sourire, arque un sourcil inquisiteur en dérogant son poignet de la poigne d'aigle de sa comparse, la défiant de dire quoique ce soit. “ Tu nous quittes? ” ronronne-t-on en retour et Astoria sent quelques regards se tourner vers elle, vers elles, la clouer sur place, méprisants et pleins de jugement. “ Obligation urgente. Ce n'est pas avec un passage aux toilettes qu'elle va s'en sortir et elle le sait. Draco a besoin de moi. ” Le mensonge est jeté sans une seule hésitation. Oh, la fine actrice. “ Draco? ” Avec agacement, Astoria agite le bracelet qu'elle porte dignement autour du poignet: les ailes et l'orbe du fameux système MSN tintent, et quelques regards envieux se tournent. “ Hibou privé. Maintenant, dois-je réellement le faire attendre et me laisser désirer auprès de mon fils ou dois-je encore me justifier de tout auprès de toi, Cedrella? ” L'importune n'a même pas la décence de rougir: elle claque de la langue. Mais il n'y a rien qui retient réellement Astoria ici — sauf la sentence imminente, sauf les regards inquisiteurs, sauf les questions qui ne vont pas manquer de tomber si elle reste ici une seconde de plus — alors après un dernier reniflement, elle se détourne et quitte hâtivement la pièce comme pour passer une communication secrète à son ancien amant.

La porte du salon refermée derrière elle, elle peut enfin respirer correctement.
Ses joues lui font mal. Trop de sourires. Trop de miel. Trop de fausseté. Elle ne s'était jamais rendue compte, avant maintenant, combien elle les haïssait, toutes, tous, d'être si... faux. Terriblement faux. Mais elle se rend compte soudainement, avec le recul que seul apporte le temps, que ce n'est pas eux qui sont devenus particulièrement repoussants: c'est seulement elle qui a finalement ouvert les yeux sur leur véritable nature. Elle descend d'un pas de danseuse les petits escaliers qui séparent le couloir du rez-de-chaussée — désert, semble-t-il, la famille de l'hôte étant absente ce dimanche-là — pour trouver un endroit terriblement vide, terriblement désert. Il y a sans aucune doute le grand salon, un bureau peut-être, une bibliothèque avec un peu de chance, peut-être même trouvera-t-elle une chambre et elle se surprend à vouloir explorer, malgré elle, pour oublier quelques instants le mal de tête qui commence déjà à la tourmenter. C'est comme ça qu'elle ouvre la première porte qu'elle ouvre à la volée et, escomptant la trouver vide, manque de s'étrangler en y trouvant Pansy Parkinson. Elle ouvre la bouche pour dire quelque chose d'intelligent, en vain. “ Pansy? ” entend-t-elle derrière elle, la voix d'une des immondes dindes à l'étage et, sans même réfléchir, Astoria ferme la porte de la bibliothèque derrière elle et la scelle d'un sortilège informulé, sa baguette apparaissant subitement dans sa main.
Quand elle relève le visage vers elle, Astoria est bien en peine de déchiffrer l'expression du visage de Parkinson. Elle essaie de sourire, difficilement, et la crispation de sa bouche peut presque passer pour une risette si on plisse les yeux. “ J'ose imaginer que tu recherches un peu de calme ici... ne m'en veux pas pour mes manières étranges, dit-elle aussitôt, polie et soucieuse. Elles ne viendront pas chercher la bibliothèque: ce n'est pas comme si elles avaient jamais ouvert un livre de leurs vies. ” Et puis, maladroite, d'attendre de voir si la blague va s'écraser ou s'envoler, incertaine, une main sur la poignée de la porte et n'osant pas s'en détacher de peur que Parkinson la chasse de la pièce à coup de sortilèges.

Spoiler:
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
Sauter vers: