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sujet; It's no use going back to yesterday, because I was a different person then ♦ Absynthe

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Absynthe P. Dollwound
feat Miranda Kerr • crédits

• nom complet ; >• Dollwound Un nom connu. Un nom d’une famille de marchand. Un nom qui fait rire parfois tant il est tragique. Mais un nom qui reste célèbre. Célèbre parce qu’ils savent toujours dans quelles affaires s’engager. Toujours quand reculer. On dit qu’il faut suivre les Dollwound parce qu’ils savent toujours quand le vent va tourner. Et qu’ils sont toujours du bon côté ! PandorePrénom ambivalent. Prénom annonciateur. Choisi par sa mère en toute connaissance de cause, malgré sa triste signification. Choisi parce que selon elle une personne avait du pouvoir sur son prénom et non l’inverse. Et qu’elle ferait de Pandore le plus merveilleux des prénoms … comme elle aurait été déçue aujourd’hui. Alors heureusement qu’elle est morte pas vrai ? Absynthe Etrange aussi. Le souhait d’un père souvent absent qui ne voulait pas d’une fille et qui avait trouvé cette ultime insulte amusante. L’appeler comme cet alcool addictif et dévastateur qui coulait bien trop souvent dans ses veines à lui. Mais après la mort de sa mère il ne l’avait jamais plus appelé Absynthe. Seulement Pandore. Comme le symbole d’un regret trop tardif…

• surnom(s) ; la fille Lorsqu’il est un peu trop tard et que les clients du club ne sont plus capables d’articuler son nom correctement. La folle Par ceux qui pense que son excentricité n’est que le premier symptôme d’un désordre pyschique. La fée par sa sœur qui la connait assez pour savoir que ce jeux de mots sur son étrange prénom la fait plus rire qu’autre chose ...ou du moins la connaissait assez bien puisqu’elles ne se sont plus vues depuis longtemps ; Quand aux autres ? Les autres ne la surnomment pas parce qu’ils se moquent bien de la connaitre assez pour le faire. Elle n’est qu’une inconnue qui passe dans leurs vies avant de disparaitre.

• naissance ; Absynthe est née le 14 décembre 1975, en plein cœur de l’hiver à St-Mangouste … terriblement peu original n’est-ce pas ?

• ascendance ; Sang-mêlée. Sang impure. Sang souillée. Elle à du sang-moldu qui roule dans ses veines comme la plus infâme des boues. Elle s’en moque elle Absynthe mais on lui a conseillé de ne rien dire. De ne mettre en valeur que la famille de son père, respectable et respectée. Alors elle clôt ses lèvres retiens sa langue. Gentille petite poupée de chiffon. Menteuse par omission. Sang-mêlé donc, bien loin de la pureté. Mais elle s’en moque. Cela lui convient parfaitement comme cela.  Car ainsi jamais un quelconque membre de sa famille ne pourra lui dicter sa conduite ou la forcer à travailler …

• camp ;En théorie elle travaille pour le gouvernement Absynthe. Donne les informations qu’elle recueille pendant ses danses, les susurres au creux des oreilles appropriées. Elle fait ce qu’on lui demande Absynthe. Quand on lui demande. Elle obéit sans vraiment savoir pourquoi. Ou plutôt elle obéit parce qu'IL lui demande. Et tout ce qu'IL est parole d’évangile justement. Alors elle s’incline et elle se plie. Malléable à souhait. Elle obéit sans jamais protester et ce même si ses actes son cruels. Tant qu'Il parle elle agit à sa guise. Alors oui elle travaille pour le gouvernement. Mais avant tout elle est Son objet a Lui. Seulement à Lui. Son ombre et son jouet. Et cela lui va parfaitement.

• métier ; Danseuse exotique. Elle s’enroule au milieu des ombres et de la lumière. Dévoile son corps savamment avec son sourire de femme-enfant. Elle séduit, enlace, embrasse  avant de disparaitre aux premières lueurs du jour. Comme une Cendrillon pécheresse. Le jour elle est photographe. Son œil capture de naïfs clichés. Jolis dans leur ignorance. Un peu comme ceux d’un enfant. Succube la nuit, innocente le jour.

• réputation ;On connait sa famille de nom. Très doués dans le commerce. Excellents pour savoir quand le vent va tourner.  Elle ? Pas vraiment. Elle est la femme-enfant. Une petite fille au corps trop vite grandie, pleine d’espoir mais aussi remplie d’envies inavouables. On la dit un peu folle, vivant dans un songe éveillé. Parfois présente. Parfois absente. On dit qu’elle agit sans aucune raison et que son esprit à pris la tangente il y a bien longtemps. On dit ça parce qu’on ne la comprend pas. Et personne ne se rend compte qu’Absynthe sait toujours ce qu’elle fait même si cela semble illogique.

• état civil ; Célibataire. Elle papillonne un peu Absynthe. Aime sans compter. N’importe qui. N’importe quand. Elle se complait dans l’extase des sens, dans un tourbillon de plaisir mêler d’indifférence. Elle aime pour une nuit Absynthe. Intensément mais seulement pendant quelques heures. Homme ou femme dans le fond peu importe. Mais elle reste célibataire car pour le moment son âme et sa dévotion n’appartiennent qu’à Lui.

• rang social ; Mangemorte. Pas par idéologie. Pas par envie. Elle se laisse entrainer, Absynthe se laisse porter de droite à gauche, bringuebalée par le courant. Et le courant l’a emporté près des Mangemorts. Parce qu'IL voulait qu’elle y aille, alors Absynthe a suivi ses ordres. Sans discuter. Parce que quand IL parle elle obéit le sourire aux lèvres et la lumière au fond des yeux. Persuadée que ce qu’il lui dit est juste et vrai.

• particularité(s) ; none

• patronus ; Un papillon monarque. C’est un patronus délicat. Doux Plein d’espoir et de légèreté. Comme Absynthe. Et c’est étrange parce que malgré son camps et les choses parfois horrible qu’elle à faite la lumière de son patronus est toujours aussi forte que dans le passé. Peut-être parce qu’Absynthe vit dans un monde ou il n’existe ni bien ni mal. Seulement ceux qu’elle aime et ceux qu’elle n’aime pas.

• épouvantard ; Être abandonnée. Fondamentalement Absynthe craint la solitude plus que tout au monde. Elle a besoin d’être entourée. D’avoir quelqu’un pour guider ses pas et diriger sa vie. Absynthe, finalement, à besoin d’appartenir à quelqu’un. Alors son épouvantard c’est une grande obscurité dans laquelle elle se tient. Un vide infini ou résonneraient ses cris sans que personne ne les entendes.

• risèd ; Elle n’en a pas vraiment. Dans ce monde crée de toute pièces dans les parois de son esprit, Absynthe est déjà heureuse telle qu’elle est. Stupide n’est-ce pas ? Mais Absynthe est contente avec ce qu’elle à. Avec ce qu’elle n’a pas. Elle vit au jour le jour sans espérer plus que ce qu’elle à déjà. La mort et les atrocités ne lui plaisent pas spécialement, mais il y a tout de même une part plus sombre en elle qui les comprends. Malgré sa vie difficile Absynthe se satisfait de ce qu’elle à.

• animaux ; Un chat noir appelé Belzébuth, cadeau d’un amant depuis longtemps oublié. Mais le chat lui , est toujours resté à ses côtés..

• baguette ; La baguette d’Absynthe est en bois de vigne, simple, efficace ; elle mesure une trentaine de centimètres et son intérieur est fait de crin de licorne,aussi beau et éthéré qu’Absynthe elle-même. Il y a des runes gravées sur le côté mais Absynthe n’a jamais trop su si elles avaient une autre utilité que de la décoration. En tout cas sa baguette est suffisamment unique pour que nul ne puisse la confondre.

• miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) voir explications.

• DEATH EATER •
Inventé

The stars have faded away

► Avis sur la situation actuelle : Elle aimerait dire qu’elle se sent concernée par la situation actuelle. Qu’elle la trouve révoltante et qu’elle veut vomir et cracher sur les monstres qui souillent les rues de boue et de sang. Mais c’est faux. Entièrement faux. Parce qu’elle s’en moque. Purement et simple. Peu importe à quel point le monde est noir. Peu importe si l’espoir a disparu et si la seule musique qui résonne encore est une symphonie de cris. Absynthe ne vit plus dans ce monde depuis longtemps. Elle s’est créée son propre univers dans les méandres de son esprit. Un endroit pour oublier. Un lieu aussi angoissant que réconfortant dans lequel elle se noie un peu plus de jour en jour. A la fois douloureux et apaisant. Sa folie est un mur qui l’éloigne de l’horreur de la réalité. Et son lien avec Lui rend pour elle torture et meurtre presque naturels. Sinistre enfant. Incapable de comprendre qu’elle s’est déjà perdue trop profondément dans son esprit et que seules la mort et destruction l’attendent. Alors oui elle se moque d’eux. Elle se moque de tout. Pas par envie, car tout cela est bien éloignée de la personnalité d’Absynthe douce et souriante. Seulement elle ne vit plus ici. Alors ils peuvent hurler. Ils peuvent pleurer. Elle n’écouteras pas. N’entendras pas. Perdue loin de la réalité.
► Infos en vrac : un ou des talents (sport, matière de prédilection, etc. nb : ). un tic. une qualité. Elle sait très bien jouer de la harpe, cadeau d’une éducation un peu trop stricte et désuète Un tatouage en forme de rosier grimpant qui commence le long de sa cheville pour s’enrouler jusqu'à la peau délicate de ses cuisses avant de se glisser comme un serpent jusqu’au milieu de son dos.  Sa sœur lui en a toujours voulu en disant qu’elle ne l’aimait pas. Ce qui est faux. Absynthe aime sa sœur comme la prunelle de ses yeux … elle l'aime simplement Lui d’avantage.  Elle à une petite cicatrice derrière la cheville souvenir d’une rencontre malheureuse avec des escaliers Durant une soirée trop arrosée Elle à eu d’excellente notes à Poudlard, possède une excellente éducation et sait parler trois langues différentes. Pourtant cela ne l’empêche d’adorer son métier de danseuse exotique. Absynthe à peur de l’orage. Sans vraiment savoir pourquoi elle panique dès qu’elle voit les premières lueurs des ténèbres.  Depuis les événements auxquels elle à assisté, elle fait des cauchemars tous les soirs et ramène souvent de la compagnie chez elle uniquement pour ne pas être seule quand ils commenceront  Elle garde le secret de ce qui est arrivé à sa sœur depuis des années. De ce qu’elle à fait aussi, mais la raison pour laquelle elle s’est créée son pays des merveilles est bien le sang qu’elle a sur les mains Malgré son statut Absynthe n’a jamais été particulièrement attirée par la violence au contraire, mais au final elle juge simplement que c’est une part naturelle de la vie Elle déteste les oiseaux et n’a jamais compris pourquoi il était nécessaire d’envoyer le courrier à l’aide de grossiers volatiles Elle déteste voler et ne voit pas l’intérêt d’utiliser un balai quand on peut utiliser un portoloin Absynthe n’a jamais vraiment voulu travailler pour les mangemorts mais elle l'a suivi Lui sans même se demander si c’était une bonne ou une mauvaise idéeElle est satisfaite de n’avoir que peu de libre arbitre et déteste devoir prendre ses propres décisions IL  la maintient totalement sous son contrôle et Absynthe en est totalement consciente contrairement à ce que tout le monde murmure. Simplement elle est parfaitement heureuse de cette façon.


Nothing compares to you

• pseudo & âge ; eh bah c’est sorrow hein et j’ai toujours 19 ans ! • comment as-tu trouvé le forum ? j’y suis , j’y reste ! • ton avis, tes suggestions ; Vous êtes géniaux *.* • connexion ; 5/7 • quelque chose à ajouter ? une pluie de câlin sur vous !




Dernière édition par Absynthe P. Dollwound le Jeu 11 Déc 2014 - 20:31, édité 1 fois
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Here comes the hurricane


――――――-―• Quoi qu'il arrive, ne regrette jamais tes actes, car ils sont le reflet de ton âme...•――――-―――
 « Un murmure angoissé qui s’élève  dans son esprit, une lueur affolée et ces deux grands yeux verts qui la regarde emplis de tant de peur… et d’une amère supplique pour laquelle elle ne peut rien et soudainement le murmure devient un cris … tout devient noir. Alors il ne reste que la douleur … mais quelle douleur ! Perçante. Aiguë. Infinie »

Et soudain Absynthe s’éveille un hoquet au bord de ses lèvres purpurines, ses grands yeux verts emplis de larmes qui roulent le long de ses cils mais qu’elle ne laissera pas couler. Comme toujours. Ses doigts se crispent soudain sur les draps blancs et fins de son lit jusqu’à les froisser et les tordre, tentant sans que cela ne fasse aucun sens de les blesser comme elle-même avait mal. Sa respiration est haletante, coupée. Chaque bouffée d’air est une blessure, un coup de couteau brûlant dans sa poitrine trop serrée. Absynthe à l’impression que sa propre peau rétrécit jusqu’à vouloir l’étouffer. Alors que ce ne sont que les murs de son esprit qui vacillent et l’entraine avec eux dans sa perte. Et elle, la pauvre petite Absynthe ne peut que tendre ses bras et hurler en espérant que quelqu’un vienne peut-être la rattraper. Doucement elle enroule ses bras autour de son corps  comme une enfant perdue qui essaye de se cacher. De se convaincre que les monstres ne viendront pas la chercher. Et soudain ses frissons s’apaisent. Pour un temps du moins.
Mais tout comme les cauchemars ils reviennent toujours.

Et alors elle se transforme en une petite masse hurlante et blessée.


Lentement Absynthe se lève. Son corps proteste et de vifs élancements raisonnent dans ses muscles crispés d’avoir trop rêvés. Elle va lentement se coller contre la fenêtre, posant sa tête abimée contre le verre froid. Il fait encore nuit mais déjà pointent au loin les premières lueurs chaudes de l’aube. Porteuses d’un espoir qu’Absynthe sait être mensonger. Tous les soirs elle espère que le jour d’après sera meilleur. Et tous les matins l’amère Réalité vient lui chuchoter que cela ne sera pas le cas. Cruelle. Il pleut dehors. Sans savoir pourquoi Absynthe se dirige vers la porte. La franchit pour se retrouver dans le petit jardin situé juste derrière sa maison. Un jardin plein de roses soigneusement taillées pour former de belles petites allées d’une symétrie remarquable. Pour permettre à Absynthe de mieux se noyer dans leur parfum doux-amer. Un labyrinthe dans lequel elle peut courir pour oublier ses problèmes et sa douleur.

Semblable à l’intérieur de son esprit chaotique. Facile d’accès certes mais dont la sortie était quasiment impossible pour quiconque d’autre qu’elle-même. A la fois magnifique et terrifiant. Tout comme elle encore une fois. Ses paupières se ferment lentement et Absynthe prend une profonde inspiration . Les gouttes de pluie dévalent le long de  son corps, telles des perles de cristal venant l’illuminer au milieu de son havre de paix plongé dans les ténèbres.  Il fait froid. Trop froid peut-être et pourtant Absynthe se sent soudain infiniment libre. Elle tend son cou en arrière pour offrir la peau pâle de sa gorge  au délicieux liquide, Absynthe se laisse doucement aller, comme une amante qui s’offrirait. C’est sa manière à elle de se calmer. De repousser les cauchemars. Du moins quand elle est seule comme aujourd’hui. Parce que d’habitude pour les faire partir elle se laisser tomber dans les bras du premier inconnu qui passe, pour une courte nuit d’extase et d’oubli. Elle les utilise comme on le ferait d’un bon vin. Mais Absynthe au moins à la décence de les aimer jusqu’au matin.

Seulement ce soir il n’y avait personne pour l’aider à oublier. Du moins personne qu’elle aurait été prête à accepter. Alors les ténèbres sont revenues la hanter, trainant leurs pattes arachnéennes sur son corps de poupée. Sa lourde chevelure châtain retombe contre ses épaules trempant la fine robe de chambre qu’elle porte. L’eau glacé ruissèle le long de ses omoplates, coule dans son dos, caresse ses hanches et se love contre ses fesses.  Ses bras s’enroulent doucement autour d’elle. Maigre tentative de réconfort. Et aussi soudainement qu’elle est arrivée la pluie s’arrête. Laissant Absynthe seule au milieu du jardin, sa robe trempée et semi-transparente collée à ses courbes. Maintenant elle à l’air ridicule. Mais il y a une lueur un peu floue au milieu des yeux d’Absynthe qui indique qu’elle est calmée. Calmée non pas parce que rassurée mais parce que la femme-enfant à trouvé refuge dans son pays des merveilles. Un lieu ou ni peur ni colère n’existent. Certains appelleraient ça de la folie. Peut-être ont-ils raisons … qui sait ? Mais Absynthe elle appelle ça de l’auto-préservation. Elle n’a pas toujours été comme ça d’ailleurs.

Non. Il y a quelques temps elle n’était rien d’autre qu’une douce et tendre petite fille …

Il y a beaucoup de vaisselle
Des morceaux blancs sur le bois cassé




――――――-―• Ignorance is bliss, when it's not fatal. •――――-―――
« Tiens-toi droite ! ». L’ordre claque sèchement et l’enfant rougit. Honteuse d’être prise en train de se relâcher de cette manière. Alors doucement, docilement Absynthe redresse ses frêles épaules et laisse ses longues boucles brunes couler doucement le long de ses épaules. Un regard d’excuse sur le visage. Elle s’attend à d’autres réprimandes. Après tout elle se doit d’être parfaite. D’être bien élevée. Ses parents estiment que c’est la moindre des choses. Que puisque qu’elle porte le nom de la famille elle se doit de bien les représenter. Absynthe est habituée a devoir garder un sourire plat sur son visage. Insignifiant mais joli. Les mêmes qualificatifs peuvent lui être appliqués. Jolie. Sans intérêt. Elle est jeune Absynthe. Terriblement vulnérable avec cette lueur triste dans ses prunelles vertes. Avec ses longs cheveux soyeux qui bouclent contre ses joues trop rondes. Mais elle est déjà vide. Seule son apparence est celle d’une enfant. Son âme elle est trop vite grandie. Un peu trop abîmée par des restrictions et des ordres si douloureux à supporter pour elle qui ne rêve que de vivre.

Mais seulement vivre n’est pas digne d’une Dollwound. Eux doivent prospérer. Etre riches. Respectés. Toujours un plus malgré la souillure qui coule dans leur sang. Elle ne comprend pas très bien cette phrase Absynthe. Mais son père la lui répète souvent. C’est donc bien que cela doit être important. Alors elle la ressort parfois d’un ton docte comme si elle la pensait vraiment. Et son père lui sourit enfin. Comme fier, sans qu’Absynthe ne sache trop pourquoi. Mais elle sait juste qu’un sourire de son père promet de nouveaux jouets et de belles robes. Tout comme un coup d’œil agacé signifie qu’elle doit immédiatement se contrôler sous peine de faire face à un courroux qu’elle ne peut supporter. Si jeune Absynthe. Mais déjà si seule. Si faible. »

C’était sa vie. Sa famille. Un peu trop sombre. Un peu trop stricte. Attachés à leurs intérêts plus que leur propre sang. Opportunistes. C’est probablement le mot qui décrit le mieux les Dollwound. Mais il faut dire qu’ils sont riches depuis bien longtemps. Qu’ils ont l’habitude de changer de sens au dernier moment. Au point que l’on murmure parfois dans les rues sombres que pour se faire de l’argent il suffit de suivre la girouette des Dollwound. Attachés à l’argent donc. Mais pas seulement. Absynthe a grandi en apprenant que seul comptait le paraitre. L’apparence. Pourquoi ? Parce que les gens ne croient que ce qu’ils voient. Il fallait donc se construire une stature pour leur plaire. Et ses parents avaient donc fait en sorte de créer Absynthe de toute pièce. Pour qu’elle soit exactement ce qu’ils voulaient. Un pion. Absynthe c’est un pion avec lequel on joue en continu. Mais enfant elle était trop jeune pour comprendre. Elle voulait faire plaisir Absynthe. Rendre ses parents qu’elle aimait tant heureux.

Et c’est sans doute cela qui lui a tant coûté.

Mais c’est bien connu. Ce sont les enfants les moins aimés qui se battent pour grappiller quelques miettes d’amour. Absynthe n’a pas échappé à la règle. Prête à tout pour attirer l’attention de son père. Pour un sourire. Pour une étreinte. Comme les vieux chiens que leurs maitres frappent mais qui reviennent langue pendante à leurs pieds, plus soumis que jamais. Elle aimait même son père plus que sa mère. Juste parce que celui-ci l’aimait moins. Stupide raison ? Certes. Mais Absynthe n’a jamais pensé que son comportement était intelligent. Ne l’a jamais dit. Mais elle a toujours été ainsi. Et n’a jamais eu le courage de changer. Ballotée par le vent. Par les changements. Elle s’est laissé porter Absynthe. Incapable de faire autrement que de se laisser entrainer. Pas de cette race d’hommes et de femmes fiers, se battant jusqu’à la mort pout leurs opinions parce qu’ils étaient incapable de baisser la tête et de faire comme si rien n’avait d’importance. Pour Absynthe cela a toujours été le contraire. Car elle n’a jamais su se battre pour ses idées. Ni les défendre. Docile petite Absynthe qui a toujours fait ce que l’on attendait d’elle car elle ne concevait pas la vie autrement. Dressée dès l’enfance donc. Comme les charmants oiseaux de prix que son père aimait tant mais qu’il gardait enfermé dans leurs cages toute la journée.Juste pour leur interdire de voler …

Même la naissance de sa sœur n’a rien changé. Et pourtant Merlin sait qu’Absynthe l’a aimé. Dès le moment ou sa mère l’a posé à côté d’elle dans un berceau. Refusant qu’Absynthe la touche parce que trop jeune. Alors Absynthe avait simplement regardé le bébé. Une lueur d’espoir au fond de ses yeux enfantins. Parce que pour la première fois depuis bien longtemps Absynthe savait qu’elle ne serait plus jamais seule. Et en grandissant Absynthe lui avait tout donné. Tout l’amour qu’elle possédait. La force qui coulait dans ses veines. C’était sa sœur. Cette petite créature douce et faible qu’elle avait vu grandir. Absynthe avait voulu la protéger de tout. L’avait aimé jusqu’à l’infini pour compenser l’absence et l’indifférence se on père. Comme si elle et sa mère suffiraient à former une famille pour ce petit être. La naissance de sa sœur avait été le plus beau jour de sa vie. La lumière dans les ténèbres dans lesquels elle ne savait pas vivre. La douce, la tendre Absynthe sans force et sans but avait pris son envol uniquement pour soutenir cette enfant.

Même quand elle est entrée à Poudlard. Absynthe a terminé chez les Serdaigles. Mais tant que sa sœur n’avait pas été là … cela n’avait pas été la maison. Juste un endroit dans lequel attendre .Attendre qu’elle arrive. Attendre que sa vie reprenne. Absynthe a toujours été exemplaire. Bonne élève. Souriante. Délicate. Toujours douce. Ne faisant jamais d’éclat. Appréciée des professeurs et respectée des élèves. Tout le monde la pensait épanouie mais même si Absynthe aimait l’école de magie elle n’y a jamais vraiment été heureuse. Obligée de jouer un rôle. Elle a fait semblant avec talent. Comme toujours. Ses parents lui disaient qu’elle devait toujours avoir l’air d’être parfaite. Alors elle était. Aussi simplement que cela. Mais les sourires ne sont devenus réels que lorsque sa sœur est entrée dans l’école. Quatre petites années plus tard. Alors seulement Absynthe s’est remise à vivre, retrouvant la personne dont elle avait le plus besoin.

Et c’était sans doute pour ça … pour ça qu’elle avait tant souffert. Pour ça qu’elle s’était brisée.
Il y a tant de morceaux blancs,
De la vaisselle, de la cervelle




――――――-―• If you don’t know where you going any road will take you there•――――-―――
Elle ne se souvient presque plus de rien Absynthe. Mais il a cette douleur qui demeure gravée dans son esprit. Qui cogne chaque nuit aux portes de son esprit pour lui rappeler ce qu’elle a vécu. Ce qu’elle a fait. Pour comprendre la douleur d’Absynthe il faut savoir qu’elle avait toujours été une pacifiste convaincue. Une enfant persuadée que la violence n’était jamais la solution. Qu’elle est toujours source de malheur et de souffrance. Et même aujourd’hui au milieu des morceaux épars de sa conscience Absynthe sait qu’il n’y a pas plus vrai que cette déclaration. Mais aujourd’hui elle s’en moque voila tout. Mais à l’époque … à l’époque elle était sortie de Poudlard depuis une petite année seulement. Encore naïve. Une fleur fraichement éclose qui devait se confronter à toute la violence du monde.

Sans personne pour la soutenir évidemment. Sauf peut-être sa mère … et encore. Il y avait déjà cette tristesse dans ses yeux gris. Cette lassitude. Née du fait que son mari ne l’aimait plus et qu’elle n’y pouvait rien. Pour autant elle ne se sentait pas capable de partir avec ses filles et de se reconstruire ailleurs. Comme Absynthe elle préférait grappiller des miettes d’attentions en essayant de se convaincre qu’elles étaient suffisantes pour être heureuse. Cela faisait partis des petits mensonges qu’elle se racontait juste avant de dormir … comme tout un chacun le fait, comme Absynthe. Des mensonges que l’on se susurre comme des berceuses en espérant qu’au matin ils seront devenus réalité.

Seulement voila … ils ne le sont jamais ….

Doucement Absynthe tourne sa tête vers le ciel qui s’éclaircit. Tout ce qui était arrivé était de la faute de son père. Lui pour qui l’argent avait plus de valeurs que ses propres enfants. Il avait poussé la petite sœur d’Absynthe, la prunelle de ses yeux vers un homme bien trop âgée pour elle. Un homme qui aurait été parfait pour Absynthe puisqu’il n’avait que 25 ans mais cet homme préférait des cibles plus influençables. Des victimes à torturer qui n’oseraient pas parler. Et Absynthe était déjà trop vieille pour se taire et accepter en silence de se faire torturer. Pas sa sœur. Absynthe n’avait pas su. Pas avant que sa sœur ne lui envoie un hibou paniqué. Tentant d’obtenir de l’aide quelque part. Parce qu’elle était une enfant perdue que ses parents n’allait même pas protéger. Et Absynthe avait vu. La panique dans les yeux de sa sœur. La terreur dans ses prunelles vertes si semblables aux siennes. Elle devait agir pas vrai ? Puisque personne ne comptait protéger sa sœur … elle devait le faire. Un sourire amer se dessine sur le doux visage d’Absynthe. Alors qu’elle se souvient.

«  Il y a des ruisseaux de pleurs sur le visage de la jeune fille qui se blottit contre elle. Qui hurle en se débattant, disant qu’elle ne veut plus jamais rentrer à la maison. Qu’elle a peur. Qu’elle a mal. Et qu’elle ne comprend pas pourquoi son père veut la forcer à rencontre cet homme qui lui fait peur. Elle a des bleus sur les bras. Une coupure le long de l’épaule. Mais le pire n’est pas ça. C’est la terreur viscérale qui fait trembler son petit corps. Comme celui d’un animal effrayé qui sait qu’il ne lui reste plus qu’a attendre la mort. Ses yeux verts écarquillés vers elle qui refusent de la voir. Sa voix qui flanche sous le coup des pleurs et de la lassitude. C’est épuisant la peur. C’est épuisant d’être blessé. Et en voyant cela il y a quelque chose qui se brise dans Absynthe … quoi ? Elle ne sait pas. Peut-être qu’elle est instable depuis longtemps. Peut-être que personne ne l’avait vu simplement. Mais doucement elle sourit à sa sœur. Caresse sa joue avant de prendre ses affaires et de partir. »

Une larme discrète roule le long du visage de la jeune femme. Il fallait qu’elle le fasse … qu’aurait-elle pu faire d’autre hein ?

« Absynthe sourit doucement. Hypocritement. Elle se rappelle ce que lui dit souvent son père. Soit le serpent sous la fleur. C’est exactement ce qu’elle est. Un monstre caché derrière un visage tendre et des yeux innocents. Elle discute avec le bourreau de sa sœur. Comme si elle ne savait rien. Sa main court le long de son bras. Un léger rire fluté lui échappe alors qu’elle planifie sa vengeance. Ce n’est déjà plus vraiment Absynthe. Mais quelqu’un de plus sombre qui a pris sa place. Une part de sa personnalité qu’elle a toujours occulté mais dont elle a besoin pour protéger sa sœur. Doucement elle saisit une bouteille et fait mine de les servir tous les deux. Sa main englobe le verre de cristal. Sa paume passe doucement sur le bord du verre. Une invite caressante. Et il ne remarque pas la poudre qui coule dans le liquide rouge. Cette même poudre qui causera sa parte. »

C’était du poison. La spécialité ultime d’Absynthe. Elle l’a tué. Elle. La fille aux yeux doux que la vue du sang révulsait. L’enfant confiante qui riait en disant qu’il y avait toujours d’autres moyens que la violence. Elle n’avait pas réussi a assumé son acte. Pas la tendre et fragile Absynthe. Alors elle avait sombré.

S’était créé un petit monde … un pays des merveilles dans lequel elle n’avait ni à avoir peur ni à pleurer. Ou rien ne pouvait l’atteindre. Un endroit parfait au cœur de la folie.

Il y a beaucoup de bols blancs,
Des yeux, des poings, des hurlements,




――――――-―• Mais alors, dit Alice, si le monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un ? •――――-―――
Absynthe lève son doux visage vers le ciel. Le soleil s’est enfin levé. C’est le début d’une magnifique journée. Elle s’assoit doucement par terre. Sans tenir compte de l’herbe encore mouillée par la pluie récente, et avec un regard mélancolique elle regarde doucement la montée de l’astre, un soupir sur les lèvres. Autour d’elle le ciel devient joyau et se pare de milles couleurs vives. Comme si un peintre talentueux avait décidé de trainer ses pigments sur le firmament. Le rose poudré se mêle à l’orange doux veiné d’or un thème doux brusquement brisé par une trainée rouge vif. Des touches de violet vif viennent compléter le charmant tableau. Sans faire un seul bruit elle étend doucement ses pieds devant elle. Lentement. Et elle se souvient.

Se rappelle comment elle avait commencé à se détruire après l’attaque sur sa sœur bien-aimée.

Ses parents avaient mis sa sœur sous Oubliette. Mais pas elle. Sa punition pour avoir osé commettre l’irréparable. Ils auraient du la faire oublier. Mais ils avaient choisi de la laisser se souvenir. Comme pour infliger une ultime torture à celle qu’ils savaient incapable d’assumer un tel geste. Une larme roule soudain sur sa joue. Et laisse derrière elle une brulure douce-amère. Elle n’avait pas réussi à se reconstruire. Même en sachant qu’elle avait cela pour la seule personne qu’elle aimait plus que tout. Pas suffisant pour un esprit aussi faible et flageolant que celui d’Absynthe. Alors il s’était tout simplement brisé. Et comme Ophélie vers la mort, Absynthe s’était laissée porter vers la folie, accueillant à bras ouvert la morsure glacée qui lui ferait absolument tout oublier.

Une poupée brisée. Définitivement. Absynthe avait toujours aussi sur le fil extrêmement fin qu’il existe entre folie et réalité. Là elle s’était simplement laissé tomber. Incapable de faire autrement. Elle était devenue une loque Absynthe. Une poupée brisée aux yeux emplis de douleur et d’incompréhension. Incapable de rire ou de comprendre la joie des autres. Seule dans son monde ou elle se construisait sa réalité. Au final elle était partie se réinventer ailleurs. Laissant sa famille derrière elle. Lâchement sans doute … mais elle n’avait pas fait exprès. Pas voulu les blesser. Elle ne pouvait simplement pas rester. Et même sa sœur qu’elle aimait tant avait été laissée derrière. Moins forte que la culpabilité finalement. Absynthe avait plongée. Dans l’alcool et le mépris. La solitude et l’incompréhension.

Et puis tout avait changé.


Parce qu’elle l’avait rencontré. Lui. Comme un ange tombé du ciel. L’Espoir en personne. Ou le Mal. Mais Absynthe n’a jamais vraiment bien su différencier les deux concepts. Tout ce qu’elle sait , c’est qu’elle avait besoin de quelqu’un. Et qu’Il était là. Patiemment il l’a reconstruite. Ou du moins à modelé sa folie pour qu’elle corresponde à ses critères. Qu’elle serve ses besoins. Elle n’est pas sotte Absynthe. Et contrairement à tous ce que les autres peuvent pensé elle l’a toujours su. Qu’elle n’était pour lui qu’un instrument. Quelqu’un à manipuler à loisir. A utiliser. Mais Absynthe avait besoin d’appartenir à quelqu’un. Alors pourquoi pas lui ? Elle n’a jamais été faite pour être livrée à elle-même Absynthe. Mais a toujours eu besoin de quelqu’un pour lui montrer le chemin à emprunter. Donc elle l’a servi Lui. Simplement parce qu’il lui dessinait un destin.

Quelque chose qu’elle n’aurait jamais pu faire seule. C’était lui qui lui avait trouvé ce métier de danseuse exotique disant que son côté femme-enfant la rendrait riche. Que cela lui plairait. Et il avait eu raison. Absynthe rit de ses hommes qui la regardent. Se prélassent dans leur regards d’envie parce qu’elle sait qu’ils ne la toucheront jamais. C’est son pouvoir à elle. De toute façon elle fait toujours ce qu’Il lui dit. C’est pour lui aussi qu’elle a rejoint les mangemorts. Qu’elle obéit en tous points aux ordres du Lord. Non pas parce qu’elle croit en ses idéaux. Bien sûr que non. Absynthe ne croit en rien. Mais lui a dit que c’était la cause juste et qu’elle devait l’embrasser. Alors Absynthe a hoché la tête. Gentille petite poupée. Et depuis elle sert les mangemorts aussi bien que son maitre avec la loyauté la plus absolue. Étrange pour quelqu’un qui n’a pas supporté de tué une seule personne n’est-ce pas ? Mais l’avantage de la folie d’Absynthe c’est qu’aujourd’hui elle la protège. Alors le sang et l’agonie ne la dérangent plus. Absynthe vit avec puisque c’est ce qu’Il veut. Se prélasse dans les cris quand lui ordonne de le faire. Absynthe Sert. Avec la plus grande dévotion. La plus grande vénération.

Absynthe penche la tête en arrière. Regarde les rayons du soleil se refléter contre sa vitre. Un soupire triste lui échappe. Absynthe est consciente que pour ce qu’elle a fait elle ne peut attendre ni pardon , ni merci. Aucune absolution. Elle le sait. Mais elle simplement incapable de ne pas lui obéir. De ne pas faire ce qu’il dit.

De ne pas sombrer chaque jour un peu plus dans la folie ….

Beaucoup de rire et tant de sang
Qui ont quitté les innocents.




Dernière édition par Absynthe P. Dollwound le Sam 20 Déc 2014 - 16:07, édité 9 fois
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très bon choix de vava potte
rebienvenue et bon courage pour ta fiche rougit
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Rebienvenue I love you
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toujours aussi canon. jule
rebienvenue par ici, je suis amoureuse du prénom. I love you
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oh mais décidément j'aime tes choix d'avatars iiih REBIENVENUUUUE parmi nous avec cette nouvelle beauté fatale jule bon courage pour ta fiche, en cas de doute tmtc, suffit d'nous causer mg
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Braxy >> merci TOA hehe
On pourra enfin être sous la même couleur maintenant *.*

Bryn >> merci beau gosse ow

Lys >> et c’est môsieur jamie sexy dorman qui me dit ça ? je suis flattée hehe
Merci beaucoup pour le prénom j’avais pas mal cherché un truc sympa quand même *.*

Ivory >> merci beaucouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuup potte (a)
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WIZARD • always the first casuality
Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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Rebienvenue la belle rougit
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Re Bienvenue avec ton second bébé ♥️

Hâte de la voir en action ta choupette :3:
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Simon Rosier
Simon Rosier
‹ disponibilité : dispo (1/6)
‹ inscription : 07/09/2014
‹ messages : 1145
‹ crédits : tplrs (avatar), tumblr (gifs).
‹ dialogues : #669999.
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‹ âge : trente-huit ans (24/05/66).
‹ occupation : criminel, propriétaire déchu du Centuries.
‹ maison : Serpentard.
‹ scolarité : 1977 et 1984.
‹ baguette : brisée.
‹ gallions (ʛ) : 5331
‹ réputation : il n'est plus rien, l'héritier réprouvé d'une famille presque extincte, indigne de toute confiance et bon à moisir dans les geôles d'Azkaban.
‹ faits : toujours considéré comme une ordure remplaçable, dans le clan désuni de Voldemort, Rosier est désormais perçu comme un lâche ayant déserté avant la bataille finale. Un monstre qui a abusé de la confiance d'une sorcière honnête (Anna), et un père indigne par-dessus le marché. Nombreux sont ceux qui auraient aimé maintenir la peine de mort jusqu'à ce qu'il y passe.
‹ résidence : Azkaban.
‹ patronus : un vague filet argenté, sans forme ni consistance.
‹ épouvantard : un précipice.
‹ risèd : une plage, avec Anna et Charlotte.
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le pseudo, l'avatar, le métier jule iiih
(re)bienvenue ! I love you
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