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sujet; and there will be no tenderness - salvador |
| Salvador Hannibal Lester Avery feat Michiel Huisman • crédit Astoria
| Mangemort • Inventé
• nom complet ; Salvador, le sauveur, même si le nom à plutôt été choisi pour son air pompeux, sa tonalité étrangère sur les langues. Hannibal le héros de guerre et Lester pour ton grand-père paternel. Tu portes évidement le nom de famille plutôt lourd des Avery. • surnom(s) ; Aucun. On ne te surnomme pas. On prend la peine de dire ton nom au complet et si on te surnomme d'une quelconque insulte derrière ton dos, tu sait pourtant qu'on n'osera jamais le faire à quelques centimètres de ton visage. • naissance ; Né le 20 mars 1966, dans la résidence même où tu habites aujourd’hui, désormais sans tes parents. • ascendance ; Aussi pur que la folie. Toujours aussi pur que la folie. • camp ; Le camp le plus fort. Celui qui a permis de s'élever, celui en lequel croit ta famille depuis des années. Tu crois en la pureté du sang comme celui qu'à ton fils. Tu sers le Lord parce que t'as famille l'as toujours fait et que ton fils le fera aussi. Tu es d'ailleurs l'un de leurs bourreaux. • métier ; Tu as travaillé comme langue de plomb au département d'expérimentations magiques pendant treize ans, passant directeur de ce même département d'expérimentation magique par la suite. Tu occupa trois ans ce poste avant qu'on t'envoie finalement à l'étranger pour une formation approfondie afin d’acquérir de nouvelles méthodes à la fine pointe de la magie. Tu y passa deux ans entiers pour te perfectionner. Fraîchement revenu peu après Octobre. Ta formation t'as valu le poste de directeur-adjoint du département. Et si tout ne vient pas de toi, quelques idées des nouvelles mesures sont tout droit sorties des dernières avancées en sécurité secrètes magiques. • réputation ; réponse. • état civil ; Marié à une folle-dingue prénommée Loane Flint. Tu es également père d'un jeune garçon de 17 ans qui vient de terminer ses études à Poudlard. Tu aspire pourtant à un statut bien différent de celui qui te colle présentement à la peau. • rang social ; Mangemort, la marque à ton bras depuis déjà bien longtemps. Tu es assurément un membre fidèle de l'organisation, de ceux à qui ont peut confier des informations compromettantes sans rien craindre, à qui on demande souvent service. Des plus cruels, passant ta rage sur tes pauvres victimes dont il ne reste pas grand chose par la suite. • particularité(s) ; Bien que ton cas n'ait pas été diagnostiqué par un médicomage, tu souffres d'une schizophrénie qui n'est pas médicamenté. Pourtant, tu as de longues phases de ''normalité'' qui n'augurent aucune crise. Pourtant lorsque tu es en présence de ta femme, elle semble tout provoquer et te mets hors de toi. Les joies du mariage. • patronus ;Du temps de ta scolarité, il prenait la forme d'un cobra, pourtant depuis la fin de celles-ci et le début de ta servitude pour le magister, tu n'y arrivais plus. Tu as pourtant essayé il y a peu de temps, en pensant à son sourire à elle. Tu n'as pas réussis, mais au moins tu as créer un filament qui arrivait presque à onduler comme un serpent, c'est un début. • épouvantard ; Inévitablement, la mort de son fils, pendu au bout d'un câble. Parce que son manque de sourire t'inquiètes, t'as toujours inquiété. Rien ne le rend heureux le petit. • risèd ; Elle. Depuis que tu es revenu. Tu sais que ce n'est pas passager, que ce n'est pas une amante comme tu en as eut des tonnes pendant ta formation à l'étranger. Elle n'est pas passagère pour toi. Dans le miroir elle est à tes côtés, te fais ce sourire immense, porte une robe blanche et une alliance au doigt. Elle est ta femme, ta nouvelle femme et elle est resplendissante. • animaux ; Deux hiboux, un aigle et un bébé loup aussi doux qu'un petit chien. • baguette ;Ta baguette en bois de platane, blanche et distorsionnée, contenant quelques noeud. Elle mesure 31,5 cm et un nerf de coeur de dragon est en son centre. Une baguette très rigide meilleure pour l'attaque que pour la défense. • miroir à double sens; Si tu en trouvais un, tu le fracasserais avec plaisir pour nuire à ses microbes. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Que faire d'autre qu'être d'accord avec un régime qui vous avantage directement ? De plus, vous l'avez mériter. Vous vous êtes battus pour remettre ses nés-moldus à leur place tout comme le reste de leurs défendeurs. Pourtant, les insurgés foutent encore la merde et ça c'est un problème. Puis la petite populasse qui compte se soutenir, pas avec toi. S'ils veulent de rebeller, ils deviendront également rebuts, ou ils mourront. Tu n'as que très peu de pitié pour tout ceux qui on oser mélanger leur sang, perdre leur valeur, leur honneur. Ta femme a prit un rebut, même si toi tu n'étais pas pour. T'aurais préféré le voir dans un tombe plutôt qu'à devoir être nourris, loger et parfois blanchis par vos soins. Vous êtes pas une auberge, bordel. En plus, ses petites bêtes là c'est faible, ça supporte même pas quelques coups. Tu as déjà dit à ta femme de pas le mettre dans tes pattes, parce que si tu te décides à tuer cette bestiole, ce ne sera certainement pas elle qui arrivera à t'arrêter. T'aurais plutôt été pour un génocide que pour l'esclavage. Trop coûteux à ton goût. ► Infos en vrac : Tu es très talentueux pour la torture. Tu n'es pas de ceux impulsif qu'on vont immédiatement tuer leurs victimes. Non. Tu préfères y aller doucement et faire en sorte qu'ils profitent de leur expérience quoi. Tu es très doué pour faire souffrir. Tu est également doué, pas en potions, mais bien en poisons. Tu as ta petite collection, tu les connais et bonne chance à celui qui tentera de t'en faire boire. Sinon à part tuer des gens, tu es également très habile dans les sports de lit, mais ça, c'est une autre histoire. • Tu fronces tes sourcils, souvent, pour tout, quand tu es songeur, frustré et dans bien d'autres situations. Tu lèches également souvent ta langue inférieure quand tu réfléchis ou que tu souris. • Le moins qu'on puisse dire, c'est que tu es ambitieux. Tu t'es déjà élevée assez haut pour ton jeune âge et tu n'as pas terminé, ce n'est que le début, le début de ton règne. • Tu es instable et tu te voile la face. D'un moment à l'autre, tout peut passer du calme à l'ouragan. Tu es impulsif et tu ne contrôles pas tes impulsions. Les gens ne savent jamais comment tu réagiras et d'ailleurs, toi non plus. • On te reconnaît par tes cheveux assez longs et rarement coiffés, tu as mieux à faire. Tu portes la marque à ton bras, l'exposant fièrement, comme un trophée. • On dit qu'il aurait une aventure avec la secrétaire de son département. • On dit que les choses ne vont plus du tout avec sa femme. • On dit que son fils est dépressif. Nothing compares to you
Dernière édition par Salvador H. Avery le Dim 25 Jan 2015 - 7:32, édité 14 fois |
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| Here comes the hurricane Let me tell you how I set every goddamn fire myself, how it is hell and heaven, agony and ecstasy devouring themselves inside of me.
You're a parasitic, psycho, filthy creature, finger-bangin' my heart. Alors qu'ils ne faisaient que prévoir avoir des enfants, tout fraîchement mariés qu'ils étaient, vos parents avaient conclut l'entente qui ruinerait vos vies. Leur fille et toi alliez être fiancés à la fin de vos études, alors que vous n'étiez même pas encore nés. Grave erreur commise par peur que le sang pur ne soit pas préserver. Vous aviez grandis en apprenant à vous détester. Votre haine de gamin était pourtant ridicule. Elle était une fille et tu ne voulais pas jouer avec elle. Ce n'est pas avant l'adolescence que les choses s'amélioraient un peu. Tu découvrais en elle une adolescente pas possible. Téméraire, passionnée, rageuse. Vos hormones bouillaient et pendant un moment, tu avais juré être amoureux d'elle, de sa connerie grande comme le ciel. Tu l'aimais dans toute son agressivité, plaquant un baiser contre ses lèvres pour la faire taire lorsqu'elle te criait dessus. Vos études terminées, votre mariage eut lieu dans l'été, à cet instant où dans ton idiotie de jeunesse, tu voulais sincèrement la marier. Jeunes et surtout très cons. Un peu moins d'un an après votre mariage, votre premier et dernier enfant naissait. À partir de ce moment, la femme qu'on t'avais choisie et que tu avais réussis à aimer était devenue une étrangère. Le bébé, ce petit paquet de chair et d'os s'était surement agripper à l'intérieur d'elle, quelque part où il ne fallait pas. Il l'avait changée et tu n'arrivais plus à la calmer avec l'arrogance de tes baisers. Son humeur changeait d'un instant à l'autre, plus imprévisible que la météo. Son changement de comportement t'avait également mis les nerfs à vif, te rendant presque violent envers elle, te rendant instable et incontrôlable. Tu savais que si tu t'acharnais à retrouver celle que tu avais aimé, tu vous tuerais tous les trois. Alors tu t'éloignais d'elle. Tu trouvais un boulot au ministère de la magie, tu te donnais à fond, passant le restes de ton temps libre avec les mangemorts, dans le plus grand des secrets. Tu devenais un père absent pour le bien de ton fils. Tu arrivais à survivre treize ans. Survivre à ta femme et à la vie de famille, travaillant dans l'ombre pour le Lord qu'il croyait tous mort. Tu croyais en lui et en cette résurrection, ce pouvoir qu'il vous promettait. Tu fût promu directeur des expérimentations magiques lorsque le gouvernement passa dans les mains du Lord. Après trois ans de service et une tension insupportable au sein de ton couple, on t'envoya à l'étranger en formation de perfectionnement. Un repos pour toi, un temps mort pour ta femme. Ton retour est récent et pourtant, petit imbécile, tu espérais. Tu espérais que le temps avait peut-être arrangé les choses. Tu espérais que tu retrouverais celle que tu aimais. Pourtant aussitôt avais-tu tenté de caresser amoureusement son visage que ce regard glacial qu'elle te renvoya te mit hors de toi. À cause d'elle, tu retombais dans ta maladie de plein fouet, alors que pendant deux ans tu avais presque oublié être un sorcier défectueux. His hands shake something furious, and you don’t know how to stop them, don’t know if they belong to a killer or a lover, or if there’s even a difference anymore. Pour toi, c'était terminé. Après un énième rejet de la part de ta femme , tu n'y croyais plus. L'amour, cette utopie, ce n'était pas fait pour toi, pas fait pour prendre vie dans ton coeur mort. Tu avais froncé tes sourcils, gardant cet air froid et cruel, tournant le dos au bonheur pour toujours. Tu étais un monstre, une bête fait pour tuer, tu ne t'acharnerais plus à tenter la douceur, tu avais lamentablement échouer. Tu n'y croyais plus. Ce matin tu t'étais levé pour aller tuer. Tu n'y croyais plus. Même arracher la vie ne te rendait plus heureux. Qu'est-ce qui te ramènerais sur terre, t'empêcherais de perdre les pédales pour de bon. Tu tentais de paraître normal alors que tu entrais au ministère ce matin là. Tu tentais de ne pas montrer que tu tombais en morceaux, que tu ne tenais plus à toi-même. Tu devais être fort, tu devais être dure, ne pas montrer qu'étrangler tes voisins dans l'ascenseur te ferait du bien. Tu marchais dans la hall de ton département, te dirigeant vers ce que tu avais à faire pour la journée. « Bon matin Monsieur Avery ! » Qui est-ce qui... Tu te retournais vers la provenance de la voix de la petite secrétaire. Ton visage de glace se fissurait de perplexité. Devant toi, cette brune, aux yeux si profonds qu'on pouvait s'y perdre. Elle souriait, comme si elle était véritablement contente de te voir, comme si ta présence lui importait, changeait le cours de sa journée. Tu ne l'avais jamais vu auparavant et ce sourire te renversais. Il y avait si longtemps qu'on ne t'avais pas sourit, elle te secouait tellement, revirait tes entrailles, d'un simple sourire, te faisant redevenir ce gamin, cet adolescent, celui qui n'avait rien perdu et qui avait encore sa vie devant lui. Tu avais envie de fondre en larmes dans ses bas, mais tu te contentas de lui offrir le sourire le plus tendre que tu avais fait depuis des années. Après les présentation, elle proposa de te faire faire le tour du département, mais elle ne savait pourtant pas que tu le connaissais comme le fond de ta poche. Alors tu accepta, écoutant sa voix, souriant, la laissant déverser le bonheur en toi. La laissant te redonner espoir en la vie, une raison de te coiffer le matin, de te faire beau. De tout faire pour revoir ses sourires, lui apporter des choses qui lui ferait plaisir au matin. Des viennoiseries, des macarons, des douceurs, des fleurs, même lorsque tu étais pressé.
Dernière édition par Salvador H. Avery le Mar 13 Jan 2015 - 5:48, édité 8 fois |
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