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sujet; undesirable no. one. |
| Harry J. Potter feat daniel radcliffe • hollow bastion
| ◄ | • nom complet ; tout le monde le connait, malgré lui. potter a une histoire, un nom qui défile entre les bouches, qui délie les langues les plus acerbes. potter est connu, surtout parce qu'il a vaincu une première fois le lord voldemort. ce nom aujourd'hui est considéré comme indésirable. autant que lui apparemment. ses parents l'ont nommé harry, un nom à l'anglaise comme il se plait si bien à le dire. ses parents l'ont affublé d'un second prénom : james. comme son père. il en est si fier, c'est un prestige à ses yeux. un hommage, un souvenir en sa mémoire. • surnom(s) ; il s'en est vu octroyer plusieurs, du meilleur au pire. actuellement, le monde magique le connait sous le nom d'indésirable n. un. charmant, n'est-ce pas ? mais il est avant tout le survivant, ainsi était-il nommé il y a bien des années. il a été appelé saint-potter -et pourquoi pas dieu potter ?-, l'élu, surnom qui lui a valu une plus grande renommée encore et bien d'autre encore. mais à partir de maintenant, il est connu chez les insurgés sous le nom de specs, à cause de ses lunettes qui ne l'ont jamais quitté. nom code qu'il est obligé d'accepter. • naissance ; il est né à godrics hollow, petit village d'angleterre, village où vivait ses parents, où ils sont même enterrés. c'était un trente-et-un juillet, de l'année mil neuf-cent quatre-vingt. ce qui veut dire qu'il a aujourd'hui vingt-et-un ans. • ascendance ; il est de sang mêlé, sa mère étant née-moldue. il ne s'en plaint pas, il est heureux de descendre d'une famille comme la sienne. ses parents auraient fait de très grands sorciers en vieillissant, il en est certain. • camp ; c'est un insurgé, il ne pouvait appartenir à aucun autre camp de toute manière. • métier ; sa constante fuite ne lui permet pas d'avoir un métier. ou est-ce que voyageur recherché peut être considéré comme un métier ? il n'en est pas sûr. • réputation ; sans doute est-elle pire que tout ce qu'il pouvait imaginer. harry, s'il a été considéré comme l'élu, a aujourd'hui une réputation bien mauvaise. accusé d'avoir tué dumbledore de ses mains, foutaise. il avait confiance en cet homme, une confiance aveugle et il l'appréciait, à sa juste valeur. plus qu'un directeur, dumbledore avait été un ami pour lui. autre que cette accusation, il est considéré comme un traite envers son pays. quiconque mettra la main sur lui devra le conduire à voldemort. autrement dit, à la mort. • état civil ; son coeur semble pris, malgré lui. son coeur ne bat que pour une unique personne. une personne qu'il n'a pourtant plus revu depuis des années maintenant. il ne sait pas où il en est, il ne sait pas si leur couple aura des suites. il s'en veut de ne pas pouvoir l'aider. ginny, cette jolie rouquine. il se sent si coupable qu'il est incapable de dire s'il arrivera un jour à se pardonner, s'il arrivera un jour à mener à terme cette relation. il n'a pas le temps d'y penser, de toute façon. les relations amoureuses n'ont pas leur place dans une fuite constante. • rang social ; un insurgé dont la tête est mise au prix le plus haut. un insurgé en fuite, tentant d'échapper aux rafleurs, aux mangemorts, à ces monstres qui le poursuivent inlassablement. il doit fuir, continuer à chercher les horcruxes. il est de son devoir de continuer sa mission, sans faiblir. sans défaillir. il est la personne la plus recherchée de tout le pays. l'indésirable à neutraliser, en quelques sortes. • particularité(s) ; ce sont ses lunettes qui font toute sa personnalité, ronde et fine. ces lunettes lui ont valu un surnom, le nom de code des insurgés. il a aussi une cicatrice en forme d'éclair sur le front, souvenir d'un soir d'halloween où il avait réduit à néant les espoirs du seigneur des ténèbres, un soir où il avait tué ses parents. il est aussi fourchelangue mais beaucoup savent pourquoi. sa connexion avec lord voldemort n'est pas anodine à tout cela. • patronus ; il s'agit d'un cerf, comme celui que son père produisait par le passé. une réussite qu'il a appris lorsqu'il était en troisième année à poudlard. • épouvantard ; harry a peur de la peur elle-même, prenant la forme d'un détraqueur. une peur difficile qu'il a appris à contrôler avec le temps. • risèd ; harry n'a jamais eu plus de grand désir que d'avoir une famille et c'est ce qu'il voit dans le miroir. une vie de famille, une vie heureuse comme il aurait aimé en avoir une. il voulait une vie simple, faite de bonheur. ce désir est bien loin de la réalité. sa vie parfaite et loin de celle tumultueuse qu'il a toujours vécu. harry n'est sans doute pas fait pour être heureux. • animaux ; il y a encore quelques années, harry possédait une chouette blanche comme neige, hedwige. elle a été tuée en voulant le protéger lui contre le sortilège de la mort, lors de nuit des "sept potter". depuis ce jour, il s'est promis de ne jamais plus avoir d'animal. aucun ne pourrait remplacer hedwige qu'il avait eu en cadeau lors de son onzième anniversaire. • baguette ; il se rappelle très bien le jour où il a obtenu sa baguette. il se souvient même de la surprise d'olivander en lui confiant la baguette jumelle de celle qui avait formé sa propre cicatrice. cette baguette a été détruite, aujourd'hui, il vit avec des baguettes volées, il n'a pas vraiment le choix. • miroir à double sens; son miroir est en forme de losange, correspondant bien à son caractère soucieux du monde dans lequel il vit. ce n'est pas pour rien qu'il court après de petits objets ensorcelés, il cherche malgré lui à sauver le monde. il veut la sécurité, pour trop de gens sans doute. il possède des reflets oranges, signe de courage et de loyauté, ce dont il a toujours fait preuve jusqu'à présent. du moins, c'est ce qu'il se plait à penser.
• insurgents • Perso prédéfini |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : doit-il sincèrement penser à ce qu'il se produit ? son indignation est telle qu'il ne pourrait mettre de véritables mots sur ses pensées. la colère l'habite au quotidien. autant que la culpabilité, d'ailleurs. il fuit, constamment. la crainte l'envahit à chaque craquement de branches, à chaque éclair jaillissant d'une quelconque baguette. rien n'est sûr à présent, les maisons, les forêts et même les sous-terrains. la liberté n'existe de plus, la vie non plus. les insurgés survivent, les rebuts sont lâchement traités en vermine. pire que les elfes de maison, pire que des esclaves. harry aimerait un monde meilleur où le mal ne serait qu'une infime partie de leur existence. la vente des rebuts le répugne. plus encore depuis que ginny elle-même en est une. pour combien de temps encore devra-t-elle subir le bon vouloir de pansy parkinson ? combien de temps encore harry devra voir ses amis, ses anciens camarades de classe se faire exploiter tels des esclaves, tels de vulgaires clandestins ? il repense finalement aux années noires qu'ont vécu les moldus, ces années d'esclavagisme ou les hommes étaient vendus. mais surtout, le régime politique n'en est plus un réellement. l'anarchie a pris possession des insurgés, ils se révoltent dans leur coin, chacun avec ses idées, chacun avec ses plans d'attaque. les mangemorts se retrouvent sous une dictature, dans l'obligation d'obéir à un seul et même homme -si l'on peut le nommer ainsi après ses crimes. cette guerre a duré trop longtemps aux yeux d'harry et pourtant, il n'a aucun moyen de l'arrêter dans l'immédiat. il se sent tellement vulnérable, impuissant. il doit pourtant garder la tête haute. . ► Infos en vrac : harry est un ancien gryffondor, comme l'ont été son père et sa mère avant lui. il a d'ailleurs été capitaine de l'équipe de quidditch, sport qu'il a exercé dès sa première année en tant qu'attrapeur. il était d'ailleurs le plus jeune attrapeur depuis cent ans. ce sport était un plaisir, il était très douée. • il est à l'origine de la fondation de l'armée de dumbledore, lors de sa cinquième année. ce regroupement permettait à quelques privilégiés d'apprendre à se défendre face à une politique anti-magie de dolores ombrage. • il est un descendant de la famille peverell, comme de nombreux sorciers, au final. • il a fait parti du club de slughorn, seulement parce que dumbledore le voulait. il a été accepté dans ce club très sélect grâce au livre de potion du prince de sang mêlé, n'étant autre que severus snape. • harry a eu ce qu'on pourrait appeler une vie trépidante, dès son entrée à poudlard. chaque année, quelque chose de différent venait troubler son quotidien d'écolier. • il se montre capable de résister au sortilège de l'impérium ainsi qu'au pouvoir des vélanes. il a cependant eu beaucoup de mal à fermer son esprit lorsqu'il a appris l'occlumencie. • il lui arrive de faire des rêves prémonitoires, sans doute à cause de sa connexion étroite entre le seigneur des ténèbres et lui. • harry est quelqu'un de célèbre. il n'en savait rien jusqu'à l'âge de onze ans. aujourd'hui sa célébrité ne vaut plus rien, si ce n'est pour le considérer comme un ennemi public numéro un. • l'amortencia sent pour lui la tarte à la mélasse, l'odeur du bois des manches à balai et un arôme de fleur qu'il pensait avoir déjà senti au terrier, lui rappelant sans aucun doute la rouquine weasley. • il possède une cape d'invisibilité, un héritage qu'il tient de son père. il a aussi en sa possession la carte du maraudeur. aujourd'hui, elle ne lui sert plus à rien. elle lui rappelle simplement un temps révolu. • il garde toujours l'album magique que lui a offert son ami hagrid lors de sa première année. les photos qui s'y trouvent sont ce qu'il a de plus cher. • les années l'ont rendu distant, froid. les différentes épreuves de sa vie l'ont marqué, le rendant plus fort mais surtout plus intransigeant, envers lui, envers les autres. il lui arrive de s'énerver rapidement. • ancien gryffondor, le courage ne lui manque pas. c'est d'ailleurs une de ses principales qualités, lorsqu'elle n'est pas utilisée sous l'impulsivité. • il a tout d'un leader, il sait mener les troupes et l'a d'ailleurs prouvé plusieurs fois. • il a été grand vainqueur du tournois des trois sorciers qui a eu lieu lors de sa quatrième année. son nom a été glissé volontairement par un fervent défenseur du lord. ce tournois a d'ailleurs permis à voldemort de faire son grand retour sous les yeux meurtris d'harry. la mort de diggory, le prior incantatum, tom jedusor dans toute sa splendeur et les mangemorts réunis. pire encore, il a contribué à ce retour, son sang tout du moins, permettant le contact physique de voldemort sans que le puissant sortilège de sa mère n'entrave cela. • il se sent coupable à chaque fois qu'un mort est annoncé, à chaque qu'un rebut est ajouté à la liste. il pense que tout est de sa faute, que cette guerre n'aurait jamais eu lieu s'il n'avait pas été là. et finalement, il n'a peut-être pas tort. Nothing compares to you • pseudo & âge ; sur bazzart, je suis ashtoons mais en réalité, c'est alicia. et j'ai vingt ans, presque et demi maintenant. omg, j'vieillis trop vite. . • comment as-tu trouvé le forum ? via le sujet sur bazzart, celui le projet était présenté. • ton avis, tes suggestions ; faites attention, je risque de tomber amoureuse de ce forum. • connexion ; pour le moment tous les jours, à partir du huit septembre, quand je ne serais pas surchargée par le travail et les livres que je dois lire - et croyez pas, c'est pas des harry potter que je dois lire :naan: • quelque chose à ajouter ? ce smiley , je le sur-aime, c'est dingue. et sinon, les pingouins domineront le monde, j'en suis sûre. • coup de main pour le bottin ;1. Si ton personnage est un prédéfini ; ▋ ▋ HARRY POTTER ; harry j. potter - Code:
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[code]<a href="http://fichepersonnagerecherche" class="vacant">▋</a> ▋ <reserve> HARRY POTTER ;</reserve> harry j. potter[/code]
Dernière édition par Harry J. Potter le Mar 26 Aoû 2014 - 17:48, édité 7 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• l'éclair jaillit. la puissance au bout des doigts. •――――-――― Il ne se souviendrait jamais de cette nuit, importante. Décisive pour son avenir. Il ne comprendrait pas cette nuit, tant il était jeune. Il n'était encore qu'un bébé, sans défense. La prophétie mentionnait un enfant né à la fin du mois de juillet. et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun ne peut vivre tant que l'autre survit... Elle mentionnait surtout la mort de l'un d'eux. L'un devra tuer l'autre, il devait en être ainsi. L'enfant sans défense n'avait aucune chance de s'en sortir si ce n'est l'amour de ses parents. Lily et James Potter étaient des sorciers membres de l'Ordre du Phénix, association créée dans l'espoir de vaincre le mage noir dont le nom était proscrit faisait trembler les sorciers, même les plus expérimentés. James avait quatre amis, rencontré à Poudard, il formait les Maraudeurs. Sirius, Rémus et Peter étaient ses meilleurs amis, ses camarades de dortoir, de classe. Lily était l'excellente élève malgré son statut de née-moldue. Rien ne semblait les prédestiner à s'aimer. Ils se sont pourtant mariés, ils ont donné naissance à Harry. Mais plus que tout, ils ont été obligés de se protéger, de se cacher. Seul le serment de fidélité pouvait les sauver, les maintenir en vie le temps de trouver meilleur solution. « Sirius est mon meilleur ami, jamais il ne nous trahira. » Le jeune Black, déshérité de sa propre famille et parrain du petit avait été désigné comme porteur du secret. James l'avait choisi, Lily aussi. Et pourtant, Sirius ne le voulait pas. « C'est trop simple, James. Il sera que c'est moi. Il me torturera jusqu'à la mort. Même si je ne dirais rien, votre choix doit être moins prévisible. » Il avait raison. L'ancien gryffondor avait rapidement compris qu'il serait une cible future, une cible facilement devinable. « Ce sera Peter alors. » Jamais ils n'auraient pensé faire confiance à la mauvaise personne. Jamais ils n'auraient imaginé qu'ils seraient trahis par un ami ou ce qu'ils pensaient être. Peter n'avait pas mis longtemps à témoigner son infidélité en brisant son serment. Il devenait le traite, condamnant ses propres amis à la mort. Halloween, le trente-et-un octobre. La nuit était tombée, sombre. Terrible. James suppliait à Lily de fuir avec Harry. « Non. On reste ensemble. » Elle n'était pas prête à abandonner l'unique amour de sa vie. Elle ne voulait pas l'abandonner. « Il arrive, cache-toi. » Dehors le vent frappait les vitres violemment. James avait vu la silhouette couverte d'une cape obscure. Son pas était lent, sa baguette semblait faire une seconde peau, comme une prolongation à sa main déjà crochue. Son visage pâle était à découvert, son regard inspirait la peur, la crainte. L'horreur. James repensait à sa vie, ce qu'il avait accompli, aux gens qu'ils avaient aimé parce qu'il le savait, il vivait ces derniers instants. Dans la chambre d'enfant, à l'étage au-dessus, Lily prenait peur. Son fils à ses côtés, elle essayait de se rassurer. « Harry, tu es tellement aimé, tellement aimé, Harry, Maman t'aime, Papa t'aime, Harry reste sain et sauf. Sois fort. » Une lumière verte puissante avait étincelé dans la chambre d'enfant, laissant pour morte la jeune Lily Potter. Elle voulait simplement protéger son unique enfant. Son amour l'avait fait, son sacrifice aussi. Cette amour avait réduit Voldemort au silence. Le seigneur des ténèbres n'était pas mort, non. Il n'était pas même un fantôme. Il n'était qu'une âme errante, sans puissance. Pour beaucoup, il était définitivement parti. Pour certains, il ne faisait aucun doute qu'il reviendrait. Ils ne savaient pas quand, ils ne savaient pas comment. Et ce petit être à la cicatrice serait le seul à pouvoir mettre terme à son existence. Il était l’Élu, le Survivant. ――――――-―• un nouveau monde. •――――-――― « Tu es un sorcier, Harry. » Il n'en avait jamais espéré autant. Il n'avait rien souhaité de tel en soufflant sur des bougies dessinées du bout du doigt sur le sol poussiéreux de la cabane en plein milieu de l'océan. Il n'y croyait même pas. La magie existait-elle réellement ou ce grand -très grand- homme était devenu fou ? Des mois auparavant, il avait commencé à recevoir des lettres, étrange. Des lettres dont il ne connaissait pas le contenu jusqu'à ce jour où de sa grande main, Hagrid lui avait tendu l'enveloppe sur lequel était scellé un sceau à l’effigie de Poudlard, l'école de sorcellerie. Tandis que des centaines de questions traversaient son esprit, il se contentait de lire. Il n'avait rien entendu de tel et semblait comme dans un rêve. Un rêve qui semblait si réel, si véritable. « Vous devez vous tromper, je suis juste Harry. » Il n'était pourtant pas celui qu'il s'imaginait être. Il aurait dû le savoir, depuis bien longtemps. De nombreuses choses inexplicables avaient eu lieu durant son enfance. Des choses qu'il n'avait pu expliquées. Finalement, il ne se connaissait pas, il ne connaissait rien de lui. « Assassinés ? Vous aviez dit que mes parents étaient morts dans un accident de voiture ! » Tout ce qu'il avait jusqu'à présent entendu sur son passé n'était finalement que des mensonges. Mais plus que ça, il serait enfin débarrassé des Dursley durant toute une année, n'ayant plus à supporter l'esclavagisme dont son oncle et sa tante avait fait jusqu'à présent preuve. Il serait débarrassé de son cousin, trop imposant, trop gâté à ses yeux. Son vœux avait fini par être entendu. Il ne désirait rien d'autre que de quitter cet endroit, cette soi-disant famille. Il avait de nombreuses choses à apprendre, sur sa nouvelle vie qui l'attendait. Il n'était plus le petit garçon à la cicatrice étrange, aux cheveux indisciplinés. Il était le fils de James et Lily Potter, de très grands sorciers. Il était surnommé le garçon qui avait survécu au seigneur des ténèbres. En quelques secondes, il était devenu quelqu'un d'autre. Il se découvrait célèbre, connu de tous les sorciers. Harry Potter, le survivant. Il avait découvert le monde magique, petit à petit. Du chaudron baveur à la banque Gringotts, de la boutique d'Olivander à la boutique de Quidditch. Irréel était sans doute le premier mot qui lui venait à la bouche. Et lorsqu'il lisait ses fournitures scolaires, il s'imaginait dans un rêve. Les histoires de sorcellerie, de baguette et de chaudron se trouvaient dans les livres pour enfants, c'est ce qu'il avait toujours pensé. Cet invraisemblable lui plaisait, il y prenait goût. Il se sentait apprécier, intéressant. Il avait fini sur la voie 9 ¾ grâce à une famille composée uniquement de rouquin. Des garçons et une seule fille, la dernière semblait-il. « Bonne chance. » lui avait-elle dit alors qu'il fonçait droit dans le mur magique. L'histoire commençait. Son histoire et sa nouvelle vie débutait ici, dans ce train noir et rouge, sifflant, crachant de la fumée noire. Sur ce quai bondé, il rencontrait des visages amicales, des personnes moins agréables, il entendait le bruit des animaux coincés dans leur cage et notamment de sa propre chouette Hegwige, cadeau que le garde chasse lui avait offert. Une nouvelle aventure s'offrait à lui. Une expérience qu'il pourrait vivre pleinement. « Ronald, Ronald Weasley. » avait dit le jeune rouquin qui lui faisait face dans le compartiment du train. « Harry, Harry Potter » avait-il à son tour répété, le plus naturellement du monde. Ainsi c'était-il rendu compte de sa célébrité nouvelle auprès d'enfant de son âge. Harry était une légende, un nom qui faisait parler. Dans les yeux de son nouveau camarade semblait pétiller l'admiration, l'envie d'en savoir plus. Mais rien dans ces yeux le fixant ne semblait lui vouloir de mal. Ce Weasley était finalement l'unique personne qui ne l'avait pas effrayé jusqu'à présent. Poudlard n'était autre qu'un immense château, digne d'un livre de fiction ou d'un film sur le Moyen-Âge. Tout semblait si grand, si majestueux. Jamais Harry n'avait vu quelque chose d'aussi impressionnant, d'aussi beau. Il savait déjà que cette école serait plus lui sa maison. L'unique endroit où il se sentirait chez lui. Sept années d'apprentissage l'attendaient. Sept années qui, s'il ne le savait pas encore, seraient comblées par de nombreux troubles, par de dangereux événements. Mais le plus important, jamais Harry ne s'était senti aussi proche de ses parents depuis son arrivée sans aucun souvenir chez les Dursley. Et la première année s'était terminé avec un combat avec ce qu'il restait du Lord Voldemort. Des séquelles il en garderait à jamais. Et chaque fin d'année lui apporterait son lot de mauvaises rencontres. Des pouvoirs d'un journal intime confectionné à la magie noir au retour du mage noir le plus puissant que les sorciers n'est jamais connu. Du tournois des trois sorciers -transformé en tournois des quatre sorciers- durant lequel il avait dû combatte un dragon, manqué de se noyer et failli se faire tuer à la mort de Dumbledore. Une vie trépidante qu'il n'aurait jamais eu sans l'arrivée d'Hagrid et sans l'existence du directeur de Poudlard. ――――――-―• adieu. •――――-――― La peur envahie son estomac, le condamne à la crainte perpétuelle. Éternelle. Harry Potter se découvre une faiblesse trop rapidement. Il n'a peur de rien si ce n'est de la peur elle-même. Une peur qui l'habite, le détruit peu à peu. Il n'y peut rien, vulnérable face à cette inquiétude qu'il n'avait pas connu jusqu'à son arrivée à Poudlard. Les épreuves s'accumulaient, s'enchaînaient sans grands répits. La liste des morts s'agrandissait, les tragiques événements n'étaient plus que monnaie courante. Le destin était incertain. Tout paraissait gris, triste. Trop sombre, trop lugubre. De ses yeux, Harry avait vu un ami se faire tuer par malchance. Il était au mauvais endroit, au mauvais moment. Cédric Diggory était mort sans avoir pu se battre. Il se souvient de la foule l'acclamant lorsqu'il était revenu au cœur de l'arène, il avait gagné le tournois des trois sorciers alors qu'il n'aurait jamais dû y participer. Il se souvient du regard d'Amos Diggory, découvrant le corps inerte de son fils. « Le trophée était un porte-au-loin. Il est revenu. Voldemort, il est revenu. » étaient les mots que Harry disait. Il tremblait, ne comprenant pas pourquoi tout ça était arrivé. Jusqu'à découvrir Barty Croupton Jr. qui sous l'effet du polynectar avait pris la place de Maugrey Fol Œil. Si Cédric et lui n'étaient pas si proche, le tournois les avait rapprochés. Il était troublé. Et plus encore lorsque Dumbledore avait fait son discours de fin d'année, un discours qui ne sonnait pas comme les autres. Il annonçait à des centaines d'élèves le retour du mage noir. Et ce retour a été marqué par des choses terribles pour Harry. Pris pour un fou, pour un menteur, il avait failli perdre ses amis peu à peu jusqu'à ce qu'ils comprennent les événements rapportés par la gazette n'était pas le fruit d'un pur hasard. Si Harry craignait la peur, il la ressentait partout où il allait. Dans les yeux de ses camarades, dans les tremblements de ses amis, dans les cauchemars qui finissaient par envahir les dortoirs. Alors qu'il était le fondateur de l'Armée de Dumbledore, il tentait d'enseigner la défense comme le lui avait appris ses professeurs et tout particulièrement Rémus Lupin. Du plus simple des sorts à des incantations compliqués, il était prêt à tout pour aider ses camarades à être plus fort, moins fragile lorsque le combat pointerait le bout de son nez. Mais sans doute était-ce cette connexion le reliant à Voldemort qui le travaillait le plus. Il se sentait lui, pensait comme lui. Il se voyait malsain, mauvais. « Tu n'es pas quelqu'un de mauvais Harry. Tu es quelqu'un de bon a qui il est arrivé de mauvaises chose. » Avec le temps, il avait fini par comprendre ce que son parrain avait voulu dire. Cet homme était ce qu'il lui restait de sa famille. Cet homme était tout ce qu'il avait toujours désiré, quelqu'un pour veiller sur lui, pour l'épauler et l'aider. Mais pourtant et il se sentira à jamais coupable, Sirius n'était plus. Dans le département des Mystères, alors qu'aurors et mangemorts menaient une bataille sous les yeux apeurés de quelques élèves de Poudlard, le sortilège de la mort avait retenti, foudrayant de plein fouet l'homme qui se battait. Son regard plein de folie était satisfait, tandis que le corps de Sirius Black rejoignait les voix qu'il avait entendues auparavant. Bellatrix Black chantonnait, heureuse d'avoir tuer. « J'ai tué Sirius Black. » Harry venait de perdre le dernier membre de sa famille. Il venait de perdre son parrain, l'être qui connaissait mieux que personne ses parents. Plus rien ne les rattachait à lui à présent. Chaque année semblait vouloir lui apporter souffrances et blessures. Des blessures qui ne guériront qu'avec le temps, beaucoup de temps. Il avait vu son corps tombé. Il avait senti son corps s'arracher, se briser plus qu'il ne pouvait l'être. Comme si la mort de ce vieil homme représentait la mort du dernier membre de sa famille. Jamais plus il ne pourrait regarder le professeur dans les yeux sans plus de dégoût qu'il n'en avait déjà. Une haine l'habitait. « Il était votre ami ! » Ne cessait-il de lui hurler, alors qu'il le poursuivait dans le parc du château. Il le voyait comme un traite, un menteur. Il avait tué Albus Dumbledore sous ses yeux, sans pitié, sans réfléchir un seul instant. Il l'avait abattu de sang froid d'un coup de baguette magique. Jamais Harry ne lui pardonnerait de lui avoir retirer un ami, jamais il ne lui pardonnerait de lui avoir retirer la seule personne qui s'est préoccupée de lui alors qu'il n'était qu'un bambin. Il était ressorti brisé, vide. Voir son corps gisant sur le sol. Les larmes, une nouvelle fois le s'échappait de son regard tandis que la colère peu à peu le gagnait. Tandis qu'il repensait à la mission qu'il devait accomplir. Harry était l’Élu, Harry avait le poids du monde sur ses épaules, il avait l'avenir au creux de ses mains, le bonheur des autres au bout de sa baguette. Harry ne s'étonnait plus de voir les sombrales. Trop de vies avaient été prises, des vies innocentes. Peu à peu les corps des victimes ont fini par s'accumuler. Cédric, Sirius et Albus n'étaient qu'un prélude avant la grande bataille. Il avait fini par ne plus compter le nombre de personnes ayant perdu la vie durant ses années de scolarité qu'il avait dû écouter, par ailleurs. ――――――-―• l'amour rend fou. •――――-――― Amer. Tendu. La situation semblait hors de contrôle, sans fin. Son cœur paraissait de pierre, de glace tandis qu'il essayait d'oublier qu'il était l'unique coupable de ce chaos. Souvent, il repensait à cette jolie rousse, son belle tâche de rousseur, des yeux, son corps. Ginny, Ginevra Weasley. Il ne comptait plus les mois qui avaient passé depuis la dernière fois qu'il avait entendu sa voix, qu'il avait vu son visage. Allongé sur son lit de camp, il essayait de se souvenir du son de son rire, de ses mots. Il essayait de se rappeler les moindres détails de son corps. Il se rendait compte qu'avec le temps, peu à peu, son visage devenait de plus en plus abstrait alors que dans ses rêves, dans son cœur, il n'y avait qu'elle. Il n'y aurait qu'elle sans aucun doute. Il l'avait vu la première fois sur le quai de la gare, il l'avait sauvé de l'emprise de Tom Jedusor et de son journal intime. Il avait appris à découvrir que l'unique fille Weasley, en plus d'être une très bonne sorcière, était ce que les moldus appelleraient son âme sœur. Il se souvient de la jalousie qu'il avait ressenti en la voyant avec Dean Thomas, un ami pourtant. Il l'enviait et parfois même, il rêvait de duel contre lui. Harry était en sixième année lorsqu'il a réellement compris ses sentiments pour elle. Des sentiments qui sont nés avec le temps, au fil des regards et des embrassades. L'évidence était sous son nez. Hermione avait sans doute été la première à remarquer qu'il n'était pas indifférent à la jeune rouquine. Elle avait vite compris, bien avant que lui-même veuille l'accepter. « Ça peut rester ici aussi, si tu veux. » Il ressentait encore ses lèvres sur les siennes, alors qu'elle quittait la salle du demande. Rien n'était plus compliqué que ce sentiment qui l'habitait, un sentiment qu'il n'avait jamais réellement connu. Pas entièrement, tout du moins. Avec les filles, Harry était maladroit. Ses chances avec elles étaient infimes. Son statut d'élu avait souvent attiré quelques midinette en manque de popularité, des filles qui finalement se moquaient bien de lui. Ginny était sans doute la première à lui faire connaître ce sentiment d'amour naissant, car même avec Cho Chang, il n'avait pas eu le temps de s'attacher. De l'aimer. Il n'était même plus sûr de reconnaître Ginny à présent. Esclave de Pansy Parkinson, il n'avait aucun espoir de la retrouver comme avant. Plus jamais elle ne serait celle qui l'avait connu. Celle qui l'avait embrassé durant la bataille de Poudlard, sur les marches. Un ultime un baiser qu'ils avaient échangé avant que les événements s'emportent, les éloignent. Ses sentiments l'avaient rendu plus fort, plus froid aussi. Sa culpabilité et son amour s'étaient mêlés pour ne faire qu'un. Il n'avait rien fait pour la sauver, pour l'aider. Il ne pouvait rien faire, rien qui ne serait pas une mission suicide, pour elle, pour lui, pour le monde qu'il porte sur ces épaules depuis trop longtemps. Il se surprend à s'énerver, à devenir fou. Fou de ce qu'il pourrait lui arriver, de ce qu'il lui arrive. ――――――-―• l'amitié ne meurt jamais. •――――-――― « J'espère que vous êtes contents de vous, on aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher. » avait dit la voix criarde d'Hermione Granger alors qu'ils étaient en première année. Une mauvaise rencontre les avait rapproché le temps d'une soirée. Mais leur amitié avait réellement commencé le soir d'Halloween de cette même année. Le trio était né alors qu'un troll des montagnes avait élu refuge dans les toilettes des filles, endroit où Hermione s'était enfermée pour pleurer la journée entière. En venant à Poudlard, Harry avait découvert la notion de l'amitié. De la famille. Il avait retrouvé quelque chose qu'il n'avait que très peu connu lorsque ses parents étaient encore en vie. Il se découvrait aimé, apprécié. Il se sentait simplement entouré, même par ses ennemi qui se trouvait par ailleurs majoritairement à Serpentard. Malfoy n'était qu'un nom parmi les autre. Un garçon aux cheveux blonds qu'il avait dès la première année remis à sa place. Harry avait su choisir son entourage, faire les bons choix. « Nous avons quelque chose que Voldemort n'a pas, celle qui mérite toutes les guerres. » Harry possédait un trésor, si précieux. Ce trésor était autre chose que de l'or mais il le rendait bien plus riche. Harry était entouré par ses amis. D'Hermione à Ron, de Luna à Neville, de Seamus à Dean et il en passait. Ces personnes avaient marqué sa vie, son existence. Elles l'avaient rendu meilleur. Harry avait pu se construire avec le soutien de ses amis, malgré les disputes. Plus d'une fois, les personnes l'entourant avaient douté de lui, de sa sincérité. Mais sa première qualité était sans doute la loyauté. Il n'avait jamais trahi personne, jamais menti à un ami. « C'est vous qui êtes faible. Vous ne connaîtrez jamais l'amour ou l'amitié. Je vous plains sincèrement. » avait-il sifflé alors que Voldemort semblait vouloir prendre possession de son âme, de son corps. De sa vie. Jamais Harry ne serait seul, jamais il ne ressemblerait au seigneur des Ténèbres, bien qu'il ait pu en douter, plus d'une fois. Tant de particularités le rapprochaient de son rival. Lorsque Harry repensait à leur groupe, à leur amitié, il en restait nostalgique. Des épreuves, ils en avaient traversé, des fous rire, ils en avaient partagé. Hermione, Ron et lui étaient inséparables. Les expériences de la vie les avaient rapprochés. Ils étaient passés proche de la mort plusieurs fois ensemble, ils avaient attiré les ennuis. Ces trois enfants avaient grandi ensemble, découvrant le monde et ses aléas. Ils se l'étaient dit, presque jurer. Ensemble c'est tout, ensemble ou rien du tout. ――――――-―• d'élu à indésirable numéro un. •――――-――― Ses yeux étaient cernés de violet, ses traits autrefois si fins trahissaient un manque cruel de sommeil. Un manque cruel de réponse. Harry avait cessé de dormir, de se reposer. Harry n'y arrivait plus, ce n'était que somnolence et cauchemars à répétition. Ce n'était que pensées et réflexions vaines. Le poids sur ses épaules commençait à devenir si lourd qu'il n'était pas certain d'arriver à le supporter des années encore. Il se battait pour tous, pour lui. Il se battait pour les défunts, pour que leur combat n'ait pas été vain. Il continuait sa route sans relâche par peur de renoncer, d'abandonner et de se laisser aller. Il serait sans doute plus simple de laisser tomber, de quitter le pays mais il ne peut pas baisser les bras, il ne peut plus reculer à présent. Le destin du monde porte ses espoirs sur lui, les insurgés, les esclaves l'attendent. « Comment avons-nous pu en arriver là ? » Lorsqu'il y repensait, il songeait à cette guerre qui avait commencé bien avant sa naissance, lorsque ses parents étaient adolescents. Eux-même avaient combattu contre les forces du mal. Il prenait aujourd'hui leur place, sans l'Ordre du Phénix réuni, sans l'Armée de Dumbledore au complet pour l'épauler. Il essayait parfois de trouver une faille dans ce système sans trouver réponse. Il essayait parfois de revenir en arrière pour comprendre, pour se dire qu'il n'est l'unique personne responsable de ce carnage. Sa naissance, la prophétie, rien n'était dû au hasard. Il avait été choisi pour survivre ou mourir, pour tuer ou pour être tuer. L'Elu ne l'était plus que pour certains, dans le monde magique anglais, il était sans doute l'homme le plus recherché. Sa tête était sans aucun mise au prix le plus haut, le plus fort. Il était rapidement passé à l'indésirable numéro un. Face à ce monde, il était le seul pilier, le seul leader pour supporter et affronter cette guerre. Il devait accomplir son ultime mission, celle de détruire les Horcruxes. Celle de détruire à jamais le mage noir plus connu à présent sous le nom de Magister. Prononcé son nom n'est plus possible, il se fait désormais appeler Specs. Surnom qu'il n'a pas eu le choix d'accepter, surnom qui lui était nécessaire pour sa survie, pour la survie de tous. « La quête des Horcruxes n'avance pas, j'ai l'impression qu'on n'avance plus. Cette guerre a trop duré. » Il ne savait pas quel était le moment où il avait commencé à changer. Où il avait commencé à s'endurcir, à se montrer plus froid qu'il ne pouvait l'être. L'âge l'avait fait mûrir. Depuis la bataille à Poudlard, Harry fuyait. Il n'était plus qu'un fugitif, suivi encore et toujours par ses amis. Si Hermione et lui sont toujours aussi proche, Harry ne supporte pas de voir Ron flirtait ouvertement avec Lavande, sachant parfaitement les sentiments qui habitent sa meilleure amie. Harry ne supporte plus son complexe infériorité face à lui. Harry ne peut s'empêcher de répliquer lorsque Ron s'énerve. Comme une chaîne sans fin, les deux amis s'aiment et se détruisent. Les deux amis s'affrontent et s'entraident. Il aimerait pourtant que tout soit autrement. Pour lui, il pourrait tout faire. Comme il pourrait tout faire pour Hermione, cette sorcière qui avait toujours cru en lui. Pour elle, il pourrait mourir tant il l'aimait, comme une amie. Comme une sœur. Il était prêt à tous les sacrifices pour eux, même les pires.
Dernière édition par Harry J. Potter le Mar 2 Sep 2014 - 17:26, édité 10 fois |
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| TOI, ICI. avec Harry, quelle surprise. Bienvenue, bon courage pour ta fiche. J'ai vraiment hâte de voir ce que tu vas faire de ce monsieur Potter. Il nous faudra un lien et si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff. Aussi, n'hésite pas (non plus) à aller donner ton avis dans le sujet créé spécialement pour la pré-ouverture. |
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| HARRY Bienvenue et bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas |
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HERO • we saved the world June Winchester | BIENVENUUUUUUE Potty Un lien oblige étant donné que June est la marraine du p'tit Teddy Lupin et que Ryry le parrain, forcément qu'ils ont du se rencontrer un jour dans leur vie J'adore l'avatar que tu as choisi, il est génial ! Bref bonne chance pour ta fiche et si tu as dees questions, comme l'a dit Daphné-chou n'hésite pas ! |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | HELLCOME POTTY -range draco dans son placard- super bon choix de pv, j'ai déjà hâte qu'on puisse exploiter notre lien, tehe j'te souhaite bon courage pour ta fiche du coup, et comme l'ont déjà dit les autres : si tu as des questions ofc n'hésite pas, on est là pour ça ! |
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