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sujet; the Decadence of a Sun | Elias B. |
 | Elias Berlioz Rosier feat Jake Gyllenhaal • crédit citylove
 | Rebut • Prédéfini
• nom complet ; Il glisse sur la langue comme un pétale de couleur. Elias. Imaginez la couleur de ce prénom, la force dont il détient, percez son cœur à la consonance quelque peu exotique et vous comprendrez pourquoi on lui a attribué ce délicieux titre. Premier d'une lignée, il fallait bien un nom singulier qui par sa simple prononciation force l'admiration. Elias est un prénom doté d'une couleur chaude, caniculaire. Bien sûr que vous connaissez le nom auquel il est attaché, comme un combat permanent entre la glace et le feu, une querelle s'est créée avec ce qu'il a appris à détester. Rosier. Les épines de glaces sont cruelles, ce nom ne lui inspire plus rien depuis un moment. Rien d'autre qu'un goût amer, pourquoi a-t-il fallut qu'un cœur solaire naisse au beau milieu d'une prison glaciale ? Il ne l'aime pas, ce nom. Il veut l'oublier. Pourtant il est là. On ne choisit pas sa souffrance, on ne fait que la subir et la combattre. • surnom(s) ; Un surnom ? Bien plus que ça, un titre, une réputation. « Le Traître », disent-ils avec répugnance, oubliant toute autre distinction, il n'est devenu qu'aux yeux des autres snobs un combat inutile, déshumanisé, un traître. Bien sûr, bien sûr qu'il est en un. Cela sonne bien, quand on y pense. Ce rictus, ce sourire qu'il tente de contrôler lorsqu'il l'entend, ce doux et tendre surnom, il est la preuve qu'il ne regrette pas d'avoir arraché ses ailes noires. Oui, ce sourire est l'incarnation de son arrogance, sa manière de dire « je suis fier de ne pas être comme vous ». • naissance ; Un beau matin, alors que les arbres fleurissaient en ce jour de mai 1967, ses pleurs résonnèrent dans ce monde qui accueillait un nouveau fil dans son fuseau. Il ne pleuvait guère, une chance lorsqu'on sait que la scène se passa en Angleterre. Non, le soleil avait été doux donnant au printemps ses si belles couleurs. 34 années que le fil se tisse, la paire de ciseaux et les doigts de la Parque le chariant parfois d'un peu trop près. Il est dans l'âge mûr, là où l'Homme tient sa force, où sa voix déclame de beaux discours, ni trop naïfs, ni trop défaitistes. Elias ne compte plus vraiment ses années, il préfère compter les saisons, elles sont plus belles. • ascendance ; Ce sang qui lui a coûté si cher et qui a eu la prétention de dicter sa vie, son destin. Ces gouttes écarlates sont comme une malédiction pour lui, elles sont si précieuses, si rares, si pures... Il ne l'a pourtant jamais admiré, ce Sang Pur. Pourtant il est en lui, il l'anime, le tient en vie et se crée au creux de son cœur. Peut-être l'a-t-il haïs, à un moment... Avant de se rendre compte qu'une chose n'a de valeur que si on lui en apporte. Son sang a de la valeur à ses yeux, oui. La valeur de la vie, comme tous les autres, la valeur du passé, des passions charnelles, concentrées en une petite potion rougeâtre seulement. • camp ; Cette guerre lui a tout pris, parce qu'il était accroché avec ferveur à ce camp qu'il pense juste et lumineux. Le Traitre n'avait qu'une place et il l'a prise d'abord timidement, avant d'y poser ses mains fermement. Il a la fierté d'avoir choisi sa voie, d'avoir eu la force de se faire expier de l'Enfer. Il a le cœur d'un Insurgé, que voulez-vous ? Il n'avez pas sa place parmi les vils serpents, il ne l'a jamais eu. Plutôt crever que ramper aux pieds d'un mort-vivant. • réputation ; Connaissez-vous la théorie de la chute ? Plus un oiseau vole haut, plus il est admiré pour sa force, son courage, ses plumes et ses magnifiques ailes. Mais que se passerait-il si ses plumes feignaient ? Il tomberait bien sûr. Ses ailes se tordraient dans une puissante douleur et l'admiration qu'elles avaient suscités autrefois se consumerait dans des gerbes noires enflammées. Si un oiseau échoue à voler plus haut que les autres, on le priverait de toutes ailes, de tout vol, de tout bonheur. Elias est un oiseau, il fut majestueux, beau et grand doté d'un plumage d'excellence. Puis un jour, il se mit à brûler et chuta de l'Enfer dont il fut en quelque sorte banni. Autrefois grand sorcier aux talents explosifs, il perdit tout dans cette chute, famille, bonheur, pouvoirs... admiration et espoir ? Aujourd'hui Rebut, il n'est plus que l'ombre de la lumière qu'il a pus créer. Il n'est plus que la carcasse d'un soleil qui a su brillé dans les ténèbres. Rebut, rebut, rebut. Ils n'ont plus que ce mot à la bouche, qu'importe leur camp... Ce mot qui a enlevé sa dernière petite plume, celle qui tapissait pourtant son cœur... celle de l'amour. • état civil ; Sa silhouette noire danse parfois dans ses rêves, cette femme qu'il a sans doute un peu trop aimé. Cette délicieuse créature qu'il a suivit et qui l'a injustement quittée. Veuf, voilà ce qu'il est aujourd'hui. Ce fut un mariage arrangé, bien sûr. Ce fut long, mais il avait fini par se dévouer à elle. Néanmoins les tisseuses en ont décidé autrement et le fil qui s'était emmêlé au sien fut froidement couper. • rang social ; Comme un Lion qui a perdu sa flamboyante crinière, du statut de Roi, il est passé à celui de déchet, celui qui charme la charogne. Un Rebut, prince de la poussière et de l'inexistence. • patronus ; Le patronus d'Elias a subit une seule grande variation, au départ il fut imposant, un magnifique grizzli rugissant, symbole de sa puissance, de son impulsivité et son petit côté protecteur à la valeur familliale. Puis étrangement, il a changé. Aujourd'hui, c'est un panda roux, vous savez la petite chose croisée entre un raton laveur, un ourson et un renard ! Peu d'élèments expliquent cette soudaine transformation, Elias pense qu'il est moins aggressif, peut-être, il n'a jamais su à vrai dire. • épouvantard ; Depuis tout petit, Elias présente une faiblesse, une peur incontrôlable, quelque chose qui le terrifie. Lorsqu'il croisa son premier épouvantard, il échoua. Cette peur, il ne pourra jamais la combattre. Il la redoute, oui, bien sûr. Mais, il n'a jamais voulu la combattre et il ne voudra jamais le faire, la terrasser. Terrorisé par cette image, son bras tremble, son cœur se détruit et toute joie, toute force, la moindre parcelle de lumière se fait envahir par la douce écume des ténèbres. Simon, tenant sa baguette avec fermeté, son regard de dégoût, sa haine. Voilà la plus grande peur de l'homme. Qu'un jour il soit contraint à l'affronter, lui. Son petit frère qu'il a jadis tenté de protéger. L'éclat vert s'échappant de sa baguette, ses yeux vide de leurs couleurs si belles et tourmentées d'autrefois, Simon est son douloureux talon qui ces derniers temps, hante ses rêves. Mais parfois, son épouvantard prend une toute autre forme, une créature dénuée de toute couleur, un drap noir, un bruit immonde qui lui fait froid dans le dos, le détraqueur. Il en a la phobie. Il s'est fait attaqué qu'une seule fois par ces banshees glaciales et il en est resté traumatisé à jamais. • risèd ; Que désir plus qu'un homme que sa liberté ? La dignité de vivre. Il voit son passé, le jeune Elias. Celui qui était naïf, qui n'avait pas encore conscience du monde et qui avait dans ses yeux l'éclat puissant de l'innocence. Ce fut la seule fois où il avait ressenti cette liberté. Lorsqu'il n'était encore qu'un enfant. Qu'il n'avait pas la souciance de sa moral et les maux de son cœur, trop occupé à sourire à la vie, à sa lumière chaude et ses fleurs pleines de couleurs et autres voluptés. Mais le temps a été destructeur, ses yeux se sont ouverts et son myocarde a commencé à se resserrer et à souffrir. • baguette ; Elias est un rebut. Il n'a plus de baguette. Elle a été brisée sous ses yeux, c'est à ce moment qu'il a vu une partie de son cœur s'effondrer. Cette baguette, c'était sa crinière, comme celle du lion, sa majesté. Elle était imposante, un bois de chêne blanc doté d'un cheveux doré de Vélane. Sa perte acheva une bonne fois pour toute tout espoir de lumière en lui. Le soleil ne brillera plus, il se laissera mourir. C'est ce qu'il décréta. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : « Je suis le fruit qui a été empoissonné par toute cette mascarade. Les gens sont aveuglés par la peur d'une créature qui autrefois été humaine. Je suis passé par tous les stades, celui de l'obscurantisme chez les sangs purs, la chasse à l'homme qui rêve et aime puis l'être dénué de toute dignité qui est tout en bas de ce système, de cette philosophie castratrice. Aujourd'hui, il n'est plus permis de rêver, d'aimer, d'avoir des émotions plus belles que la peur ou la haine. J'ai honte de ce qu'ils ont fait, j'ai honte de ma famille et leurs terribles illusions sur ce sang supérieur. J'ai honte de ce monde qui se laisse piétiner sans réagir, qui baisse l'échine et préfère manger la boue que de sourire et dire simplement Non. Un gouvernement ? Il n'y a plus de gouvernement. C'est une pomme pourrit, la corruption est devenue une monnaie d'échange. Ce sont des imbéciles qui se nomment politiques, ils ne sont que des plantes vertes qui tentent d'imiter une pitoyable démocratie. Les rebuts ? Même les animaux sont mieux traités. Nous ne sommes que des pauvres hommes que ces connards essayent de briser, parce que nous sommes différents, parce qu'on leur fait peur. Dans mes rêves les plus profond, j'espère un soulèvement, une révolte éclaire de tout ceux qui sont enchaînés à la peur, à la poussière Que d'un coup, les faibles lueurs restantes qui brillent dans la nuit, implosent et renversent le système. Que les rebuts se montrent la tête haute et que les chaînes se brisent... Cette guerre ne peut se terminer que par notre victoire, sinon elle ne se terminera jamais. Le Mal devra toujours se méfier de la lumière qui brille en chacun, il me reste encore un peu de foi, il faut bien ça. » ► Infos en vrac : Amoureux de la littérature, moldue ou non, il est très cultivé et pourrait passer sa vie dans une biblothéque. ϟ Il aime la douce magie, il a un don particulier pour les enchantements. Pour calmer son frère lorsqu'ils étaient plus jeune, il avait ensorcelé un livre pour qu'à chaque fois qu'il s'ouvre des particules de lumière s'échappe des pages de ce dernier, comme un rappel des étoiles. ϟ Il est plutôt bon dans les duels ayant une tendance à utiliser des sorts très visuel comme des explosions lumineuses. ϟ Il fut énormément attaché à sa famille, surtout à Simon, son cadet d'un an. Ils étaient inséparables. A présent il voue une certaine haine vis à vis des Rosiers, les reprochant d'avoir priviligé leur idéologie que leur fils, néanmoins il est toujours autant attaché à son frère et s'inquiète encore énormement pour lui. ϟ Il est assez médiocre en potion, il n'aimait pas vraiment ce cours et avait un peu plus que la moyenne. ϟ Il sait parler trois langues, l'anglais qui est sa langue maternelle, le français qui est sa langue d'adoption et le latin qui est certes une langue morte, mais il lui arrive parfois de l'utiliser comme ça. ϟ Sur son pectoral gauche est tatouée une corneille, symbole de son appartenance à la famille des Dolohov. ϟ Une cicatrice en croix arbore son dos, sur une de ses omoplates s'étendant un peu sur l'autre. Souvenir d'un duel dont il fut largement victorieux. Il aime parfois la comtempler dans le miroir, comme une relique du pouvoir qu'il détenait auparavant. ϟ Il est très attentif à la couleur des choses, sensitif à tout ce qui rouge et répugnant un peu le bleu, il adore les couleurs chaudes et est très attaché à la symbolique de ces dernières. Héritage de Clara sa femme décédée qui avait une passion pour la peinture. ϟ Il est plutôt boxer et déteste les slips. ϟ Il a la phobie des Détraqueurs, au moindre bruit il se paralyse et se méfie toujours des rideaux noirs dans les maisons. ϟ Les pommes sont son petit péché mignon. Il en mange régulièrement quand il en a l'occasion, un souvenir du pommier non loin de la maison des Rosiers qui avait la particularité de donner des pommes très rouge le jour de son anniversaire. Il a toujours suspecté que sa mère ou son père l'avait enchanté le jour de sa naissance. ϟ Son roman favoris est le Bossu de Notre-Dame de Victor Hugo, le premier roman que lui a conseillé Clara. ϟ Un jour il confia à Clara une rose inspirée d'un Disney qu'elle adorait. En effet, lorsque la rose était éclose et rouge vive, cela signifiait que son propriétaire était amoureux. Elle appartenu d'abord à Clara, mais maintenant elle appartient à Elias, dans leur maison à présent vide non loin de Londres. Elle est bien évidemment fanée. ϟ La Justice et la Moral lui tiennes énormément à coeur. Il crois en ses valeurs qui sont majoritairement bonnes et se bas pour elles. ϟ Depuis son séjour à Azkabhan il parle très peu, enfin moins qu'avant. ϟ Malheureusement, son amour pour la justice est beaucoup trop forte et bien souvent sera au détriment de ses amis, c'est un opportuniste et quelqu'un d'assez têtu et déterminé. ϟ Il travaille énormément, la réussite ne vient jamais sans effort après tout. Avant d'être rebut il était toujours plongé dans un livre de magie - ce qui explique sa facilité à créer des enchantements de toutes sortes - ou de littérature en général. ϟ Derrière le nom froid de Rosier et la férocité que peut montrer parfois Elias, il est affreusement protecteur et n'hésite pas à sourire chaleureusement à ceux qu'il aime. Au final, il est un vrai ours, dangeureux lorsqu'on le menace et câlin prêt à ronronner quand au final on l'apprécie et qu'il vous apprécie en retour. ϟ Elias laissait parfois un symbole gravé sur du bois comme un arbre dans une forêt où il a mit les pieds ou des parchemins qu'il avait écris voir des livres qu'il avait empruntés. C'était un soleil dessiné par un cercle ayant les rayons représentés par des piques. Souvent, ces marques étaient enchantées, en effet si un lumos est activé dans la même pièce, la marque se met à briller, ça lui permet de retrouver aisément quelques affaires précieuses ou des livres qu'il a lu. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Nothern Light & je suis à quelques semaines de la si précieuse majorité française ! • comment as-tu trouvé le forum ? Une chasse au forum, de partenaire en partenaire. • ton avis, tes suggestions ; Rien tout est parfait  . • connexion ; assez présent, j'aime passer au moins une fois par jour pour faire un coucou, donc vous allez souvent me voir, désolé de vous le dire  . • quelque chose à ajouter ? Désolé pour Simon et Nhÿx qui vont devoir me supporter  .
Dernière édition par Elias B. Rosier le Lun 16 Mar 2015 - 19:10, édité 15 fois |
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| | Here comes the hurricane citation de ton choix, citation de ton choix
Préambule des Âmes en Détresse  Morsure du froid. Glace mon cœur. Et plonge mes lèvres dans l'effroi. D'une nouvelle vie dénuée de toutes bonnes heures. Le fantôme de cette caresse sur ma joue, il me hante. « Carla... », je resserre la maigre couverture contre moi. Contre ma peau nu. Je ferme mes yeux un instant, je prends une douce inspiration. Il me faut un effort considérable pour éviter qu'elle ne se brise, comme une plume que l'on caressa avec précaution. Je relâche le filet d'air, mes paupières de fer s'ouvrent et mes yeux rayonnent. De leur éclat vide, bleuté d'une pensée abandonnée, ils se figent contre le fond de la petite pièce. Tout est si fade. Tout est si loin, si noir, si effacé, si triste, si tourmenté, si torturé, si... Ma main tremble. Oui, elle tremble avec une ignoble légèreté. Ai-je froid ? Dénué de toute chaleur humaine autour de moi, je n'ai que la mienne, que ma lumière pour me guider. Un petit flambeau qui toussote dans la nuit. Je resserre alors la couverture contre moi, je ferme les yeux... j'inspire, j'expire, je les rouvre et je fixe... Ma main tremble, je baisse les yeux, je resserre la couverture, je ferme les yeux, j'inspire, j'expire, je les rouvre... Mon cœur regarde le monde, il contemple l'univers... dénué de tout sourire. Tout reviens, tout se brasse... Le Rien se love autour de mon myocarde et le fait battre dans un son abominable. Je suis seul... sans baguette, sans magie. Je suis seul... sans amour, sans vie. Je suis seul, sans espoir, sans envie. Je suis seul, je suis seul... unique, singulier, bizarre. Inutile. Je finis par me lever lentement. La couverture lèche ma peau, retombant au sol. Mes pieds nus font chanter le parquet sous mes orteils. J'ouvre la porte, décidant de quitter un instant cette prison à l'intérieur de cette immense cage de bois. N'arborant qu'un simple sous-vêtement, je me fichais de ma nudité. Elle ne faisait qu'éprouver ma sensation de vulnérabilité. Ces muscles, cette chair, cette légère pilosité couvrant légèrement ce corps robuste qui a su lutter contre les années... il n'est qu'une enveloppe, qu'une autre prison, encore une. Un léger sourire se décroche de ma mâchoire tandis que je marche lentement dans le couloir, veillant à ne faire aucun bruit. Un sourire empli de nostalgie et du bonheur le plus impur : celui du passé. Des éclats de lumières qui ne sont aujourd'hui que de vulgaires diamants taillés et retaillés, dénués d'une quelconque brutalité, il est le bonheur qui fait vomir. Le bonheur qui autrefois nous a fait marcher, transformé en seule attache à la réalité, à la vie et à son infâme joie. Les violons s'accordent pour emmètre le triste son de ma vie. Le soleil ne brillera plus, mon enfant. Quel est mon nom déjà ? Le Traitre ? Rosier ? Chose ? Morceau de viande … J'approche lentement d'une fenêtre du salon, lançant un regard à l'extérieur sans vraiment y prêter d'attention. Les fleurs ne sont pas aussi belles qu'avant. La lumière lunaire se reflète contre mon torse, la lune s'amuse à embrasser ce tatouage, cette corneille qui noircie ma peau telle un hématome. Une blessure, tout droit portée sur ma cuirasse d'acier. Abandonne, abandonne, abandonne. Arrête-toi, arrête-toi, arrête-toi. Et ne meurt qu'une fois. Pauvre créature. Souviens-toi, de ce qui t'as tué. Cette femme que tu as aimé ? Cette lumière que tu as voulu allègrement baiser sans te soucier, tu es un connard Elias. Salopard, ils te disent bâtard. Regarde cette lumière avec qui tu as fais si sauvagement l'amour, elle a mordu tes ailes, elle t'a retiré ta précieuse femme et elle te viole à son tour. Sans vie. Cet érotisme dont tu jouissais avec cette dernière, cette précieuse lumière, ne t'écoeurre-t-elle pas ? Elle t'a tout enlevé... cette baguette que tu aimais, celle avec qui tu t'es élevé et avec qui tu es descendu... lorsqu'elle s'est brisée, n'as-tu point entendu le craquellement de l'écorce de ta peau ? Cette lumière, ces valeurs... elles t'ont tout retiré... La Lumière t'a tué. Ma main resserre mon bras. La douleur est si intense. Je ne lis plus, cela fais si mal. L’identification serait une délivrance, mais le bovarysme est une mort que je ne peux supporter. Je baisse les yeux, je les ferme... j'inspire. Suis-je vouer à vivre ainsi ? Dans la honte, comme une Pandore damnée par sa curiosité, sa perversité. Je me suis battu pour cette lumière et non pour cette valeur qui n'est pas la mienne. J'ai déçu tant de gens... ce frère et son dernier regard qu'il m'a jeté. Une détresse que je ne pourrais plus jamais satisfaire. Les couleurs sont noires. Ma vie est un cœur qui a voulu se battre, mais qui s'est éteint sur son propre incendie. Ai-je encore foi en cette traîtresse ? En ce Bien qui m'importe autant ? Ai-je... encore une once de volonté de vivre ? Un rictus dresse mes lèvres. « Oui... » Oui... oui. ENCORE ! J'expire... Je vis. Je suis Elias. Et voici ma déchéance. Les ténèbres sont entrés dans mon cœur, ils l'assiègent... Proie au désespoir, à la dépression, au suicide. Je ne suis pas ainsi. Je suis un guerrier. Un combattant, un soleil brûlant. Je suis mon propre flambeau, s'il faut que je sois la seule étoile en mon monde, je le serai. Encerclé par les ténèbres, mes braises sont encore chaudes... Elles ne demandent qu'un souffle pour faire surgir le phénix... J'expire. J'ouvre les yeux. Je fixe. Je souris. Je vis. Je retourne dormir... encore quelques heures avant que l'aube n'annonce un nouveau jour. ALONE IN THE DARK  Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. 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Dernière édition par Elias B. Rosier le Ven 20 Mar 2015 - 0:03, édité 3 fois |
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| | OHOH  Bienvenu à toi mon petit rebut préféré  Bon courage pour ta fiche & n'hésite pas à m'envoyer un MP si tu as des questions (ou autre hein, ma boite MP est grande grande grande ouverte  ) |
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| | bienvenuuuue et bon courage pour ta fiche ! |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Simon Rosier | BROOOOOOOO !     (  ) (déjà l'avatar, TOO HOT HOT DAMN) TROP DE JOIE EN MOI hystérie off, bienvenue et bon courage pour ta fiche  SOUVIENS-TOI QUE JE T'AIME MALGRÉ TOUT  (ma boîte MP est ouverte pour genre tout, absolument tout, mais je vais pas tarder à te harceler pour le fun ) |
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| | Bienvenue sur excidium, excellent choix ! |
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| | Je...  je pensais que je t'avais dit... Mais... * trop d'émotions* Bon, bah, officiellement bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche, qua !  Excellent choix de scénario même si j'ai mis longtemps à capter |
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| | Officiellement bienvenue sur le forum !! *OOO* |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUUUUE parmi nous avec ce très bon choix de personnage tu fais des heureux, que demander de plus ?  comme l'a dit Pansy, on est à ta disposition si t'as des questions donc n'hésite surtout pas ! bon courage pour la suite de ta fiche  |
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| | | | | | | | the Decadence of a Sun | Elias B. | |
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Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.