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MessageSujet: WHY SO SERIOUS ? × nell. (100%)   WHY SO SERIOUS ? × nell. (100%) EmptyMar 7 Avr 2015 - 1:09

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Nell Gerty Burke
feat célébrité • crédit swan

Death Eather • Scénario
• nom complet ; Nell Gerty Burke. • surnom(s) ; Nell  est suffisament court pour ne pas avoir à l’affliger d’un surnom. • naissance ; Dans le domaine familiale une chaude après-midi du mois d’Aout 1976. • ascendance ; Sang pur, quelle question. • camp ; Là où se trouve son profit, et celui-ci se trouve auprès du Seigneur des ténèbres. • métier ; Elle s'occupe actuellement de la boutique de son père, et s'applique tout particulièrement à la faire marcher. • réputation ; Jeune et pourtant déjà redoutable. Elle s'est plongée corps et âme dans la magie noire dès son plus jeune âge. Passe le plus clair de son temps cloitrée dans son bureau entourée de livres. Il lui arrive parfois de s’occuper des clients quand elle n’est pas occupée en arrière-boutique. • état civil ; Supposée fiancée, elle ne devait même pas être présente à ce genre de formalité et ignore la nom de l'heureux élu. • rang social ; Mangemorte dévouée, non pas pour leur cause, mais pour leur passion commune pour la magie noire, depuis que le Lord est au pouvoir la demoiselle a carte blanche et cela lui plait, forcément. Toutefois, cela ne veut pas dire qu'elle apprécie forcément le magister. Elle considère que ses fantasmes de pouvoir et de contrôle gâche le puissant mage noir qu'il aurait pu devenir, il aurait pu mettre à feu et à sang ce monde, mais non il préfère en être le maitre. Oui, pour elle c'est tout bonnement du gâchis. • particularité(s) ; Elle est maudite. • patronus ; Elle n'arrive toujours pas à faire un patronus complet. Mais la forme réfère à un oiseau. Une sorte de corbeau à moitié effacé. Mais depuis sa malédiction, son patronus est comme inexistant. • épouvantard ; La boutique familiale en flamme. • risèd ; Le miroir est vide, les damnés n'attendent plus rien de ce monde. • animaux ; Une araignée sans prénom reconnu. • baguette ; Bois d'If, ventricule de dragon, 27,5 cm. • miroir à double sens; Le miroir de Nell est en forme d'étoile aux nuances de brun.
The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : Vous êtes tous des pions. Ce monde est un échiquier et vous, vous êtes les pièces de trop. On vous détruit petit à petit pour se rapprocher du Roi. Les tours et les fous ne servent plus à rien quand on dépasse les limites imposés. On vous supprime : doucement et douloureusement. C’est tellement exquis mais surtout tellement facile. Le couple Royale s’alimente de votre souffrance. Sombres idiots. Croyez vous sincèrement que vous avez une quelconque chance de gagner ? Nous sommes les blancs, nous débutons la partie et nous l’achevons. Vous êtes les noirs parce que vous avez encore les yeux fermés sur tellement de choses. Vous êtes encore dans le noir, dans l’ignorance la plus totale. Vous jouez après nous, destinés à perdre. On vous domine, on vous élimine. Parfois, on peut avoir pitié et vous soumettre à nous. Cela fera de vous des Rebuts. Soumis, dociles, à notre merci. Je suis votre Reine. J’aime vous voir souffrir. Nous avons commencé la bataille et nous allons achever la guerre.


► Infos en vrac : J’arrive à faire peur au gens sans même ouvrir la bouche • J’ai la mauvaise habitude de me ronger les ongles quand je stresse • J’ai un QI beaucoup plus élevé que les gens de mon âge…Mais quand on se compare à eux, ce n’est vraiment pas difficile. • J’ai, comme tout Mangemort, la marque des Ténèbres sur mon avant-bras ainsi qu’un tatouage en forme de dragon tatoué à l'encre de chine magique qui se déplace sur mon corps et change nuances en fonction de mes humeurs  • A ce qu’on dit, je suis une fille inaccessible et c’est plutôt vrai comparé aux filles de nos jours. • On dit de moi chafouine, brillante parce que je me cultive, imprévisible parce que j’aime surprendre, ambitieuse parce que je me fixe des buts à atteindre, impulsive parce que je laisse mon instinct me guider, violente vu que je laisse de temps en temps mon corps s’exprimer, cruelle parce que je n’ai pas de pitié, capricieuse parce que j’aime quand c’est bien fait, possessive parce que je n’aime pas qu’on touche à ce qui m’appartient, immature parce que je profite de la vie, stratège, dangereuse pour une fille, affable, lunatique, malade - dans tous les sens du terme, à ne jamais sous-estimer ! • Je suis anglaise mais depuis mon séjour en Chine j’ai adopté la langue. • Je suis fiancée à quelqu’un dont je ne connais même pas le prénom et sincèrement, j’m’en fiche si c’est un bon parti ou pas tant qu’il a quelque chose dans la tête, ça me va. • J’ai un frère jumeau dont je ne parle que très rarement à cause de nos grosses différences qui font qu’on ne s’entend pas très bien. • Je suis condamnée à mourir  et j’en ai conscience. • J’ai toujours su que la Magie Noire était ma passion. • Je n’aime pas être dominée. J’aime dominer. Et bientôt, je vous dominerai, sorciers insignifiants. • Je ne mange plus et je ne dors plus depuis plusieurs mois je me contente de mes potions quotidiennes.

Nothing compares to you
• pseudo & âge ; angela, dix-sept balais dans quelques mois. • comment as-tu trouvé le forum ? par le plus grand des hasards sur bazzart ! • ton avis, tes suggestions ; ~ • connexion ; cela dépend de mes cours ainsi que mes préparations mais en moyenne 4j/7j • quelque chose à ajouter ? PROMIS, je ne mange pas et je suis trèèèès heureuse d'intégrer votre communauté.



Dernière édition par Nell Burke le Mer 22 Avr 2015 - 14:48, édité 8 fois
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why so serious ?
juillet 1987 J’ai besoin de me défouler. La colère déferle en moi, mon corps me hurle de jeter tous mes livres et de quitter la maison. Mon corps n’arrive plus à se contrôler. Mon cerveau va exploser à cause de tous les sorts que j’essaie d’apprendre pour ma rentrée en première année. Je n’apprends pas vite et papa n’aime pas ça. Il n’aime pas beaucoup de choses : il n’aime pas quand je ne fais pas mes devoirs, elle n’aime pas quand je reste beaucoup trop longtemps la tête plongée dans mes bouquins, quand je ne baisse pas les yeux quand  il me parle mais surtout quand je lui réponds. Il est persuadé que m’avoir envoyé à Poudlard était une mauvaise idée et que je pouvais bien apprendre seule tout en l’aidant dans ses affaires. Le simple fait de savoir que je suis beaucoup trop loin de lui pour m’atteindre, l’anéantit. Papa n’est pas à la maison et maman aussi.  Je suis seul avec pour seule compagnie mes fichus bouquins ennuyants de première année et les elfes de maison. Profonde ennuie qui me hante. En bas, une porte claque. Signe que quelqu’un vient d’entrer dans le Manoir. Les bruits de pas se rapprochent en même temps que les murmurent qui volent dans l’espace vide.  J’entends maman m’appeler. Comme toujours, je range mes livres sur ma table de chevet comme elle me le demande et descend les escaliers. Je retrouve ma mère avec une de ses amies à rire à gorgées déployées. Elles s’arrêtent et me regardent. Son amie me sourit légèrement puis se retourne derrière elle et fait signe à quelqu’un d’avancer. Un garçon d’environs mon âge s’approche à petits pas. Il est toute petit qu’on la remarque à peine…Ou peut-être pas. Son teint de craie illumine la pièce sombre. Contrairement à la femme qui l’accompagne, il a les cheveux noirs de jais qui lui descendent sur les yeux. Ses petits yeux me fixent et hormis les quelques mèches qui cachent la vue, j’arrive à distinguer deux pupilles bleus perçantes. Dans ses petits bras frêles est cachée une sorte de forme que je n’arrive pas à distinguer de là où je suis. Je ne le connais pas. Et je ne veux pas le connaitre. « Nell, voici X. X, voici ma fille  dont je t’ai parlé, Nell. » X. Prénom pas très courant mais qui lui correspond quand même beaucoup. Il  m’observe toujours mais ne parle pas. Quelque chose en lui éveille en moi un agacement indescriptible : Il m’énerve déjà alors que je connais à peine son prénom. « Tu peux lui faire visiter la maison ma Chérie ? » Ma Chérie. C’est la première fois qu’elle m’appelle comme ça et en réalité, j’en suis un peu flattée. Elle me fait assez confiance pour lui faire visiter notre demeure : j’ai l’impression d’être la femme de la maison.  « Viens. » Je fais signe audit X de me suivre et il m’emboîte le pas avec une lenteur qui me fait perdre mon sang-froid. Je lui montre les pièces principales et il a l’air de s’ennuyer autant que moi. Maman et la dame à côté parlent calmement, parfois elles rient et d’autres elles nous appellent pour s’assurer que tout va bien. « Tu veux voir ma chambre ? » Je lui souris légèrement. Sourire malsain, sale et moucheté de soupçons. Quelle bonne idée j’ai, là. Il hausse les épaules et me suit.

[…]


« Nell Burke. » Cette voix résonne encore aujourd’hui au plus profond de moi. Cette voix engloutit petit à petit le peu de lumière qu’il me reste, elle l’absorbe tel nuage gorgé d’eau. C’est une grosse masse de brouillard qui en résulte. C’est sombre, noir. C’est un terrain inconnu qui m’intrigue de plus en plus. Il m’attire comme le feu qui crépite joyeusement dans l’obscurité. C’est ensorcelant. « Serpentard ! » J’ai l’impression que des cris et des applaudissements explosent autour de moi. La bonne humeur illumine petit à petit peu la salle déjà bien pleine. Les tables sont vides mais pourtant tous les élèves de l’établissement sont réunit dans la pièce centrale de l’établissement de sorcellerie. Un homme est debout devant tout ce monde. Un grand sourire sur les lèvres. Les élèves s’agitent. Le bois du parquet luit sous les nuances chaudes des lumières, l’espace se fige et une silhouette se rapproche d’un pas assuré jusqu’à la table. Leurs démarches sont maîtrisées et calculées tout comme leurs lèvres figés dans un sourire qui se voulait vrai mais qui n’était que tentative échouée. Leurs yeux sont pour la plus part vides et ils dégagent une sorte de mauvaise énergie. C’est eux. C’est les Serpentards. Maître de la table sur laquelle plane le drapeau aux couleurs argent et vert. Insectes, parasites qui envahissent nos terres de jour en jour. Terrains entiers sont désormais à leur merci, ils sont Maîtres de leurs lieux et n’hésitent pas à combattre qui compte s’impose sur leur pouvoir. Ils cherchent un espace à envahir, à soumettre anciens propriétaires de leur nouvel espace.


« C’est surtout quand mes yeux se ferment qu’ils voient le mieux, car tout le jour ils tombent sur des choses indifférentes ; mais, quand je dors, ils te contemplent en rêve et, s’éclairant des ténèbres, deviennent lucides dans la nuit. » Il commence à faire nuit. Le ciel s'assombrit, grande écharpe qui s'enroule dans les airs, entraînant avec elle les gros nuages qui survolent le château. Les étoiles ont enfilés leurs plus beaux manteaux lumineux et la lune brille de milles feux. Ce n'est que le début de la soirée mais pourtant, spectacle ensorcelant qui ancre le ciel. Fin d'hiver, début de printemps, les oiseaux commencent à sortir de leurs nids, les animaux s’apprêtent à quitter leurs refuges en même temps que les arbres qui commencent à déployer leurs branches, ouvrant leurs grands bras afin de saluer les fleurs qui commencent à déclore doucement. La pluie s’est arrêtée mais le gazon du Parc est quand même mouchardé de grosses gouttes d’eau. C’est un beau spectacle qui se prépare. Le spectacle d’une nature paisible. Un hurlement se fait entendre dans tout le château. Ce n’est plus un, mais des cris qui se font entendre. Le paysage devient tout d’un coup terne et flou et les animaux se recroquevillent dans leurs habitats. Le lac Noir tremble, comme effrayé par ce temps qui s’annonce de plus en plus apeurant mais ce n’est que fruit d’imagination. Vent glacé souffle à vous en congeler les os. A vous enfoncer dans les profondeurs les plus obscures et interdites de ce monde. Dans le château, une ambiance lourde et pesante est présente. Tous les élèves sont, tels animaux effrayés, cachés dans leurs salles communes. Serpentard. La Salle Commune est vide, les élèves sont tous dans leurs chambres ou dans la Grande Salle. Le feu dans la cheminée illumine la pièce assombrit par le manque de chaleur humaine, les bougies accrochés aux murs s’enflamment jusqu’à s’éteindre puis se rallumer de nouveau. Cycle infini qui n’arrête point, tout comme les mauvais tours des résidents de ce petit club. Un son sourd se fait entendre, suivit d’un grondement presque animal. « Merlin fais plus attention ! » Les bras surchargés de gros volumes de Potions, un élève de Septième année se fit rentrer dedans par un élève de sa maison qui affichait un grand sourire amusé. Nell le regarde, une mine interrogative sur le visage puis finit par le contourner, les yeux levés au ciel. Pas précipités et talons claquant sèchement contre le sol froid du couloir se font entendre. Tableaux toujours affolés murmurent à son passage. Humeur pesante, temps humide par les rumeurs. La porte d’une salle de cours dans les cachots s’ouvre. La grande pièce est vide. Les bougies sont éteintes, à part quelques unes encore allumés sur les tables sûrement déposés là par l’un des professeurs. Cette salle est toujours vide le soir et ce doit être pour cette raison qu’elle vient ici dès que le soleil s’est couché dans ses nuances chaudes préférées.  Un grimoire s’ouvre. Le volume est vieux, poussiéreux et usé. La couverture est déchiquetée et les lettres commencent à s’effacer se qui rend le titre illisible. Les pages sont jaunis et c’est son doux et écorché à la fois qui se fait entendre dans l’espace vide quand l’élève fait tourner les pages. Sa main se fige sur une en particulier. Ses pupilles se dilatent, elles s’étirent jusqu’à exploser en même temps que l’excitation à l’intérieur de son ventre. Doucement, ses lèvres s’entrouvrent. Elles tremblent d’excitation. Ses paupières se ferment et sa voix s’élève. Un bruit sourd se fit entendre. Tout ce passe au ralenti. La pièce se vide petit à petit de couleurs, elles dégoulinent le longs des murs, laissant place à un décor fade et sans vie. Les rideaux se ferment. Véritable ballet rythmique accompagné par les tambours sourds qui cognent dans sa cage thoracique. Elle est sourde à tout, sauf à cette douleur qui la cisaille, la broie tout entière. Si lentement, prend forme et devient monstre. Lourd manteau mortuaire qui se dépose sur ses épaules, lui lèche la colonne pour mieux s'y planter dedans. Droit et si figé, droit et si glacé. Elle le transperce et l'habille de glace, elle brille et l'apaise à peine. Elle est incapable de regarder autre chose, incapable de bouger, immobilisée. L'air lui manque, elle étouffe dans cette pièce dont les murs paraissent se renfermer autour de sa silhouette frêle et innocente. Ses yeux sont injectés de sang, brouillés par les larmes qui lui montent aux yeux. Ses lèvres entrouvertes tremblent, tout son corps lui parait si faible, si impuissant. Tout n’est que gros tas en ruines. Cendres noircis et vie ôtée. Cris explosent plusieurs minutes plus tard. Une silhouette s’agenouille sur le corps inconscient de Nell Burke. Elles papillonnent. Ses yeux s’ouvrent faiblement. Autrefois noisettes, elles sont désormais ambres. Je suis morte.  Je vis.
Je suis maudite, et à jamais.


La baguette se lève dans un geste magistrale. Le temps se fige, tout autour d'eux s'efface. Et là, tout se passe au ralentit. Les rideaux s'ouvrent sur un petit village de sorciers. Des corps à moitié conscient jonchent le sol, les hurlements s'entendent à des kilomètres à la ronde, même de loin, n'importe qui pourrait décrire la scène : Une attaque. Les sorciers aux masques sont debout devant ce carnage, baguettes levées vers le ciel. Le sang coule. Odeur métallique se répand autour d'eux, les engloutissant, les caressant, les cajolant. Ils sont tous debout, fiers de représenter leur Maître. Fiers d'avoir réussit leur mission : Tout c'est passé comme prévu hormis les quelques Sang-Pur qu'ils ont épargnés. Rires hystériques qui se transforment en hurlements, le bout de la baguette s'illumine. Jet de couleur vert en sort et vient balayer le ciel pour ensuite former une marque. La marque du Maître. La marque des Ténèbres. La fumée dorlote le ciel avant de le marquer, marquant cet instant même dans la mémoire de chaque sorcier ici présent. Le spectacle prend fin, au plus grand désespoir de chacun. Les serviteurs du Mage Noir commencent à se disperser mais une ombre vêtue d'une longue cape sobre s'arrête au milieu d'une des allées. Un gémissement sourd se fait entendre. Un gémissement qui vient vous tordre l’estomac, traverser toute votre échine et faire frissonner votre corps de peur - ou dans le cas de gens comme Nell, d'excitation. D’un pas discret, l'ombre se déplace, regardant à droite et à gauche pour s'assurer que plus aucun de ses collègues ne se trouve dans les environs. Le corps de la victime glisse le long d'un mur incliné. Elle est en sang. Elle supplie, elle est entrain de crever. La rage coulait dans ses veines, traversait tout son corps, faisait tressaillir ses muscles. Un voile sombre s'enroula autour de tout son corps, reposant sur ses épaules, recouvrant son visage d'un masque froid. Des murmures dans ce monde sombre. Des ombres, des sons, tout s'agitait autour d'elle. Ses yeux se plissèrent quand la lumière vint illuminer ses opalescences. Sa fine silhouette se détacha de l'ombre, exposant une jeune femme inconnue. L'inconnue, on ne savait rien de l'inconnu. C'était quelque chose sur qui on ne pouvait pas mettre un nom. Or, le corps enveloppé de tissus noir avait un nom. C'était un prénom qu’on n’oubliait pas facilement. Un prénom qu'on semait comme une poudre d'or et dont on était fascinée -ou apeuré- et qu'on avait pas le courage d'approcher ou de recueillir. Burke. Son nom n'est qu'héritage : Ce nom coulait dans ses veines. Cri perçant déchira le silence mortuaire. Le temps se figea. Les couleurs s'effacent. Les ombres se réduisent à des points invisibles. Quelque chose tombe au sol. Une chevelure d'or s’étend sur le sol froid, une paire d'yeux la fixant. Son regard et vide et ses yeux gorgés de sang. Ses yeux où brillait une lueur qu'elle connaissait maintenant très bien : la peur. Vent glacé en ce froid de Février vint souffler. Les secondes s'écoulent lentement tel des grains de sable dans un sablier. Le temps est précieux. Sa baguette se lève et se pointe sur le corps encore beaucoup trop animé à son goût, au sol. « Diffindo. » Un filet de sang jaillit de sa plaie. Les écailles de sa peau s'ouvrent, spectacle ensorcelant et alléchant qui débute.
Je suis Maîtresse de ta douleur. Maîtresse de ta souffrance. Ancre mon visage dans ton esprit car je l’ancrerai dans ta peau. Murmure mon prénom tout bas, cela sera le dernier son qui franchira la paroi de tes lèvres mon amour.  


« Un nouveau client ! » La voix de papa est joyeuse, ce qui est rare ces derniers temps.  Je plaque un sourire sur mes lèvres et abandonne mon livre de potions pour servir le nouveau venu. C’est un sourire tout ce qu’il y a de plus hypocrite et commerciale. Après tout c’est tout ce qu’on me demande ici. Je dois charmer et vendre les produits. Parfois, c’est quelques élèves de Poudlard qui viennent pour dévaliser le magasin à la plus grande euphorie de son gérant. Sombres idiots. Rapidement mon sourire s’efface. Devant moi une grande silhouette se dresse, se détachant du décor. Une énergie interdite émane de lui. Sa cape noire, aussi longue soit elle n’est pas assez grande pour masquer l’air limpide qu’il pollue avec  son énergie négative. « Bonjour Nell. Prête pour lever les voiles, ou devrais-je dire les balais, vers la Chine ? »





© charney



Dernière édition par Nell Burke le Jeu 9 Avr 2015 - 1:02, édité 3 fois
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WIZARD • always the first casuality
Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 8781
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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Bienvenue ! Sky est tellement parfaite, gosh ça me manque de la jouer bave N'hésite pas à venir trouver un membre du staff si tu as besoin de quoi que ce soit jule et bon courage pour la suite kr
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rainbow AW FUCK YEAH  rainbow
trio2 NELL trio2
Bienvenue sur le fow et bon courage pour ta fiche - si tu as des questions sur le perso où sur ses liens avec d'autres membres ma boite de mp t'es ouverte !!!  calin
En espérant que tu va passer un bon moment dans cet asile de zinzins et que ce perso t'éclate !!  chou
Petit cadeau de bienvenue:
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Oooh merci bien à toutes les deux ! I love you

Et merci Katie pour ce cadeau...Original aha.
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Excellent choix de scénario yeux
Bienvenue sur excidium I love you
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HERO • we saved the world
June Winchester
June Winchester
‹ inscription : 13/02/2014
‹ messages : 2868
‹ crédits : moi et ma signature à crackle bones.
‹ dialogues : lightblue
WHY SO SERIOUS ? × nell. (100%) Tumblr_n386dvTGPL1rv3a9bo4_250

‹ liens utiles : présentation - reaghan - ronald - daphne - mood - lyanna - lorcàn - remus
‹ âge : trente ans. (01/06/1974)
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7558
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
http://www.smoking-ruins.com/t6908-june-shadow-of-the-colossus
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Oh ce choix de scénario I love you bienvenuuue sur exci, Panpan a tout dit alors bonne chance pour la fin de ta fiche et amuse toi bien parmi nous trognon
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Bienvenue ici !
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    Hawwn elle est magnifique ! trognon minikr
    Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la construction de ta fiche !! =^-^=
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MessageSujet: Re: WHY SO SERIOUS ? × nell. (100%)   WHY SO SERIOUS ? × nell. (100%) EmptyLun 13 Avr 2015 - 22:54

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Berdol, je suis toujours aussi heureuse de le voir pris, ce scénario ! :russe: Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche, ma belle ! kr
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