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sujet; I’d sell my soul, my self-esteem a dollar at a time - MAGDÄLENA |
| Magdälena Tanja Sisko Gunvaldsson feat Adriana Lima • crédit angel dust
| Mangemort • Inventé
• nom complet ;Ty intet gör ont som du. La suède coule en guerre sur les Gunvaldsson, les enfants du commandants, des dragons, aussi fêlés qu'eux. Tu bats la suède de tout ton sang de flamme, dans ses prénoms étrangers aux accents qui choquent. Ceux qui roulent trop difficilement sur la langue anglaise, qu'on massacre à défaut de ne savoir faire mieux. Empruntant le nom d'une sainte à défaut de ne jamais en devenir une. Celui d'une martyr pour adoucir le crime. Puis ce qui voulait dire soeur, dans ta langue, la seule soeur, la soeur Gunvaldsson, perdue sur son île. • surnom(s) ; Tu ne répond pas à moins que ton prénom. Ou l'un deux. Ta famille te nommant plus souvent Sisko que Magdälena. Il est déjà difficile pour toi de comprendre qu'on te parle avec leur accent anglais merdique, si en plus, il faut qu'il réduise tes chances en te surnommant, c'est peine perdu. Au travail, personne ne s'y est risqué. Mademoiselle Gunvaldsson, rien de moins. • naissance ; Tre oktober nittio sjuttio två - Une journée glaciale réchauffant ton île. Kållandsö. Ta mère comblée d'enfin avoir sa petite catin, sa fille, si désirée. La suède entière tremblant de bonheur devant son sourire. Un cadeau empoisonné derrnière ses yeux trop bleus. • ascendance ; Renblod. Que pouvait-on attendre de moins d'un mariage arrangé qui a plongé ta mère dans un grand malheur ? Celui qui la baigne encore, du fond de sa suède où elle demeure toujours, avec ses soeurs, sur votre île. Ton sang est pure, mais il n'en est pas de même pour toute ta famille. Tu as quelques cousins de sang-mêlés, comme Sören, qui n'en est pas moins impressionnant. • camp ; Dödsätare. Mangemort, avant la naissance. La marque au bras dans le ventre de ta mère. Presque. Ça n'a pas été aussi facile. Le plus loin que tu te souviennes pourtant, on t'as appris à détesté les moldus et ceux qui en étaient nés, ne respectant qu'à peine le sang-mêlés. Même ceux de ta familjen. • métier ; Trolldomsministeriet. Tu t'es fait ta place, non sans l'aide de ton père, au sein du département de régulation des créatures magiques. Passant de recherche et contrôle des dragons, pour t'élever, depuis peu, à être la directrice adjointe de ton père (suite au décès du précédent occupant de ce poste). C'est loin d'être facile de servir pappa. • réputation ; Bönsyrsa ; cette mante religieuse, tuant religieusement, celle à laquelle on ne survis pas, se noyer dans ses flots. Tokig ; la folle furieuse, celle qui n'as aucune logique, même souvent pour elle-même. Celle qui est imprévisible, même pour sa famille. Qui ne sait même pas elle-même, comment elle réagira. Psykotisk ; celle qui a des comportement étrange, qui voit des choses que personne d'autre ne voit (ou rarement partagés). On lui soupçonne un troisième oeil et certain disent même qu'elle serait nécromancienne et que tant de magie noire la rend aussi dingue et étrange. • état civil ; Obunden ; ton ancien fiancé, celui que tu as aimé plus que la raison ne le permettait, celui qui étais ton âme soeur, ce sale anglais, il est mort, de ta main. Ce n'est peut-être pas toi qui a déclaré sa sentence, mais c'est tout de même toi qui l'as exécuté. Sa trahison comme crime, trahison du Lord tuant ton amour pour prouver ta fidélité, ton obéissance, ta folle pure. • rang social ; Hög samhälle och Dödsätare ; De la haute par alliance, mangemorts, conservateurs depuis des générations, dédaignant tout ceux qui ne suivent pas la doctrine familiale. Vous n'aviez pas le choix. Ton cousin est une exception, née de la mauvaise famille, il aurait dû être ton frère. Il se tient à vos côtés, il vit avec vous, fait partis de vous. Gunvaldsson klan. • particularité(s) ; Des insekter plein la tête. Botanisk trädgård sous ta crinière sombre. Pas magique, rien qu'un déraillement de train au centre d'elle. • épouvantard ;Deux. Peurs égales. La mort. Pas ta mort, mais bien sa mort. Celle de ton père, ta mère et ton frère, tu t'en fiche. Celle de ton cousin, par contre, serait la fin de ton monde à toi. Comme s'il en était le centre, la seule personne à qui tu porte plus d'admiration qu'à toi-même. Ou est-ce simplement ton reflet que tu admires dans ses grands yeux ? Quiconque ose dire du mal de Sören peut perdre à jamais ton estime. Il y a une autre peur, pourtant, qui te paralyse, te contrôle, te réduit. L'eau. Tu ne peux toujours pas prendre de bain, ni te baigner. Tu détestes l'eau, tu en as une peur maladive, évitant à tous prix son contact. • risèd ; Diriger, the mad queen. Le ministère t'intéresse peu, pourtant, tu voudrais voir Sören tout au haut de la pyramide et toi, en haut de la bourgeoisie, même s'il n'est pas rare que tu n'arrives pas à te tenir. • animaux ; DRAKE. Crachant du feu à tout bout de champs, il est encore étonnant que le manoir Gunvaldson n'ait pas brûlé. On dit qu'il est fait d'une pierre spéciale, qui ne peut pas être brûlé. On dit aussi que les enfants son fait de la même pierre. Vous avez un élevage impressionnant de dragon, tu a pourtant ton préféré; Sörjan. Rien de moins qu'un Ungersk Taggsvansdrake. Quoi d'autre. • baguette ; Ta trollstavar est précieuse pour toi. Contenant en son centre un cheveux de Vilie, elle mesure 34,5 cm et est forgée dans un bois de saule. Pilträd, un bois qui est reconnu pour exécuté les meilleurs sorts informulés. • miroir à double sens; - Inte. -. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Rien de plus normal. C'était la suite logique pour vous, la montée normale, celle attendue, dans l'ombre, celle attendue pour votre venue ici. Partisans de loin n'ayant pas moins contribué de l'étranger à redorer l'image de l'Angleterre que vous avez finalement fait votre. La vente des rebuts n'es pourtant pas une chose qui te réjouisse. Tu ne fais pas confiance à ses petites bêtes et surtout pas à la greluche pré-pubère que Sören a flanquée dans son sous-sol. Et que dire de l'ancienne petite amie de Malte qui s'est retrouvée à servir comme une moins que rien, malgré son sang. La vengeance fût douce pour toi, surtout après son exécution, te donnant raison sur tes doutes contre ses emmerdeurs de rebuts. Par contre, tu es d'accord avec les aveux du Weasley, la guerre a trop durée, il est temps qu'ils se rendent tous, qu'ils soient tous exécutés, voilà tout le coeur que tu as pour leur malheur de fond de bois. ► Infos en vrac : Un regard perçant jusqu'au fond de l'âme, jusqu'au fond de la poitrine. Un avada kedavra du regard, à en oublier le sortilège informulé sortant du bout de sa baguette. On jurais que l'éclair sort de ses yeux, leur faisant prendre de teintes turquoises. Une maîtrise parfaite de l'informulé, une deuxième nature, malgré une passion écolière pour les cours comme la défense contre les forces du mal et ceux de quidditch. • À Durmstrang, elle faisait partie de l'équipe de Quidditch exclusivement féminine de sa maison. Batteuse violente qu'on n'estimait pas derrière ses jolis yeux, même si le promettait son sourire démoniaque. • Rusée. Petit renard aux yeux vifs, Magda est de celle qui élabore des plans, dans le silence, dans l'ombre et qui attaque au moment le moins attendu. Petite bête s'enfuyant de sa cage pour briser la nuque de son goêlier de derrière. Sorcière ne laissant que très peu de chance, cruelle et manipulatrice, un mal nécessaire pour combler ses ambitions. • Elle souffre d'une jalousie maladive. Une jalousie que rien ne peut étendre ou calmer. Ses choses, ses dragons, sa famille. Elle a un peu lâché les baskets de son frère suite à une grosse dispute à la suite de l'exécution de son amour d'adolescence. Pourtant, elle supporte difficilement l'entourage de son cousin. Comme si elle devrait avoir l'exclusivité. Une relation pire que fusionnelle qui ne semble pas dérangé Sören, beaucoup trop carriériste pour chercher à mettre quelqu'un à son bras. • Elle connait sa beauté, l'observe trop longtemps dans la glace. Elle s'est fait dire toute son enfance qu'elle était magnifique et elle s'en qualifie elle-même. Elle n'est pourtant pas moins un cauchemar déguisé en rêve. Son apparence physique avantageuse est un appât de taille, mais elle ne cherche rien de stable, n'étant elle-même pas du tout conséquente. •Atteinte. Elle n'est pas normale. Elle a l'air d'une poupée, d'une reine des glaces, mais parfois, la perfection se fracasse, laisses court à une facette bien plus sombre. Elle luttes, souvent, pour garder la face, pour rester droite, mais la folie lui chatouille les oreilles, lui gruge la cervelle. Les gens y sont pourtant habitués, à ses crises, qui doivent parfois être contenues, difficilement si Sören n'est pas là. • Son ex-fiancé, un anglais, est mort au début du règne de Voldemort. On raconte plusieurs choses à ce propos. On dit qu'elle aurait été celle qui a été obligée de le tué, pour prouver sa fidélité (vrai) et on dit aussi qu'elle aurait pourtant garder un bout du défunt, tentant de le faire revenir dans une cérémonie noire (faux). Les pires disent même avoir vu Schuyler, ou enfin son cadavre, marcher or du cimetière en sa compagnie. Rien n'as pourtant été signalé ni confirmé au ministère. Nothing compares to you • pseudo & âge ; votre dévouée emmerdeuse. :siffle: • comment as-tu trouvé le forum ? Une vilaine coquine me ramenas, jadis. • ton avis, tes suggestions ; Plus de sang. • connexion ; Un peu tous les jours. • quelque chose à ajouter ?
Dernière édition par Magdälena S. Gunvaldsson le Mar 21 Juil 2015 - 5:25, édité 14 fois |
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| Dödssynder åtrår ni mig ännu ? Wrath, do you want to bloom in me? Want to drive blood into my cheek och få mitt hjärta att accelerera.
Avundets korta sting, vill du träffa mig. Un fils. Un mort né aurait été préférable. Elle n'aimait pas son mari, mais elle comptait au moins trouver un peu de bonheur dans cette union forcée par leurs familles respectives. La sang-pure au sang espagnole abandonna vite son premier nourrisson pour se consacrer à sa deuxième grossesse. Le pauvre gamin fut élevé par une nourrisse, sa mère refusant complètement de s'occuper de lui et son père, trop occupé avec sa meute de bêtes à écailles pour abandonner les flammes et parfaire l'éducation de son fils. Ni même pour s’enthousiasmer pour l'arrivé d'un deuxième enfant, comme le reste de la famille pouvait le faire. Cet enfant attendu, couvé, qui fît le bonheur de sa mère d'être la princesse suédoise-espagnole qu'elle espérait. Au teint foncé et aux yeux clairs. Une poupée magnifique qui réchauffa le coeur glacé de la femme du dragon. C'est dès l'enfance de Magdä fût brisée, ratée. Gâtée, pourrie sous les cadeaux, sous les compliments, on endurait ses crises, ses caprices. On lui donnait tout ce qu'elle voulait et on lui apprenait à devenir un monstre. Une petit soldat conservateur, né pour haïr ce qui n'était pas pur, ce qui n'était pas beau, pas rouge comme eux, comme vous. Tu n'as jamais été une enfant comme les autres. Tu avais des pensées trop pointues pour ton âge, trop perverses, machiavélique. Petit démon aux traits angéliques. On a fait de toi une arme. L'arme de ta mère, qui pourtant, s'est retournée vers elle. Qui, malgré tout l'amour malsain qu'elle y versait, ne serait jamais retournée. Versée plutôt sur les mâles qui t'entouraient, particulièrement ton cousin, puisque ton frère te détestait, t'adressais à peine la parole, te pinçait dans ton landau quand tu étais gamine, jusqu'à ce que tu hurles. låta mig fåfängt få rasa efter ett annat liv. La vengeance. Douce, amère, probablement méritée, mais pas moins traumatisante. Un été, tu avais peut-être dix ans, tu nageais sur le bord de la côté de votre île, attendant que ton cousin de rejoigne. Tu nageais, tu étais bien, tu te laissais dérivée, flotter. Tu avais hâte qu'il arrive. Hâte de rire, de tenter en vain de lui mettre la tête sous l'eau. Beau comme un ange, dans la lumière de votre été. Pourtant, tu étais loin de te douter de la vilaine manigance, des rires étouffés, de la haine mariné, qui arrivait à point. Tu profitais de l'été, du soleil qui dorait doucement ta peau. Il mettait du temps à arriver. Quelque chose clochait, tu avais une drôle d'impression. Tu avais souvent de drôles d'impression, des trucs qui n'étaient là que pour toi. Touchant ton épaule nerveusement, te retournant vers l'arrière, puis vers l'avant. Rien. Tu soupirais, te laissais de nouveau flotter sur le dos. Tu n'as jamais trop su, si c'était lui ou si s'avait été organisé par lui, s'il s'était transformé ou s'il n'avait fait qu'orchestrer le massacre. Quelque chose, avec plus de deux bras te prenait par la taille, te tirait vers le fond. Tu te débattais, tu avalais de l'eau, tu frappais, tu voyais de choses, des monstres qui ne pouvaient être que dans ta tête. Tu sentais la panique et ta poitrine qui perdait son air. Les bulles dans l'eau qui t'embrouillais encore d'avantage l'esprits, la vision. Tout se brouillait jusqu'à ce que tu reviennes à la vie. Sur le rivage, la bouche de Sö contre la tienne, et toi, qui lui crachait presque l'eau au fond de la gorge. Ta mère accourait et ton frère courrait. Tu le voyais, avec quelques cousins Gunvaldsson . Tu sais que c'est sa faute, tu n'as jamais su comment, tu ne lui en a jamais vraiment reparlé. Le temps, l'âge a apaisé votre haine, vous éloignant également de votre mère, la source de tension, de problème. Vous en êtes arriver à vous apprécier, malgré cette rancoeur, cette violence qui reste au creux de votre relation. Aussi doux que féroce. Ambivalents. Pourras-tu un jour lui pardonner ce que tu n'as pas encore surmonté, qui te hantes tous les jours. jag vill känna den beska älskogens söta sting i min kropp, och vila en stund på smickrarnas ockersålda mattor. Schuyler. Anglais de famille pure. Dément. Tu le connaissais, le fréquentait depuis l'enfance, ne le craignant pas moins, jouant la l'éviter, pour éviter qu'il t'offre des bêtes mortes et que tu lui écrases au visage, ne souhaitant pas répété la mésaventure où on avait dû vous séparer. Ce n'était pourtant pas ce qui avait empêché vos parents de vous fiancés, vous retrouvant chaque été pour des joutes verbales qui terminaient souvent en sorts, en bagarre. Votre mariage était prévu juste après la monté de Voldemort. Ton père et son père partageant le même tatouage funeste lié au mage noir anglais. Les années passaient, et Schuyler eut également le droit à sa marque, attirant ton attention, ton respect, ton intérêt, dont il semblait pourtant se ficher royalement, ne cessant d'être absolument détestable et même violent avec toi. Ton cousin Sören avait décidé de tout faire pour éviter ce mariage, mais rien ne semblait y faire, même offrir sa soeur en remplacement ; ils voulaient une sang-pure. Schuyler, pourtant avait des ambitions plus grandes encore que la marque à son bras. Souhaitant te joindre à lui, lui faisant même une proposition de paix qu'il rejetais en te disant que si tu voulais être enchaînée, il se ferait un plaisir de faire de toi sa chienne plutôt que de te laisser aux mangemorts. Il t'avais fait part de son opinion sur la petitesse du mouvement et de ce que, lui, espérait. C'est ce même été que la rage du rejet c'était épris de toi. Tu avais décidé, jeune adulte que tu étais, de le mettre dans ton lit. Le piégeant dans une double-contrainte où il se retrouvait perdant aux deux bouts, il te cédait, avec l'idée de faire de cette nuit la pire de ta vie. Il échoua. Toi aussi. Perdus. Dans une folie commune. Dans un amour affamé qui vous consumais tous les deux. Il se détestait, te détestais de le rendre si faible. Tu étais dingue de lui. Tu avais enfin trouvé quelqu'un d'aussi malade, aussi dingue que toi. Quelqu'un avec qui tu aurais pu être heureuse, jusqu'à le laisser te tuer, si ça lui plaisais. Celui qu'on appelait le psychopathe, personne n'y croirait trop, mais tu es convaincue qu'il était amoureux. Toi, tu l'aimais, même des cafards pleins la tête, les mains pleines de sang. Deadly sins, do you still want me? Kan ni ännu verka i mig? Tout juste arrivé au pays après l'entrée au pouvoir du Magister. Vous étiez venus, laissant ta mère derrière, qui ne devait venir que pour votre mariage. Installée dans ce manoir avec tous ses hommes, tous ses dragons. Tu étais pourtant impatiente de les quitter pour retrouver ton logis avec ton amoureux, ton fiancé. Avais-tu oublié que les gens comme toi n'on pas le droit au bonheur ? Accusé de trahison. Rependant des idées de mutinerie contre le Magister, pour éliminés les sang-mêlés des mangemorts, pro sang pur, conservateur. Son exécution fût imminente et ta famille était derrière la sienne sur l’échafaud. Étrangers, amis, fiancés, vous étiez aussi coupable. Tu avais pourtant la chance de prouver ta fidélité en lui arrachant sa vie. Comme tu as pleuré. Comme tu l'as embrassé et étreint avant que la jour fatal. Tu lui avais dit qu'il allait se brûler les doigts, il t'avait dit qu'il n'avait pas peur de la mort, qu'il avait hâte de mourir, de voir, qu'il était excité que ce soit toi, son amour, qui le tue. Tu l'as fait. Tu as dû t'y prendre par trois fois avant d'y arriver, Y arrivant parce que sur ses lèvres s'étaient formés les mots : i never loved you. And then he laughed, and laugh and died. Tu gardes encore ton alliance, ce amour fou, cet amour rageur, détruit, que personne ne remplace. Ne remplacera jamais. Tu as fait comme ton cousin, tu t'es concentré sur ta carrière, jusqu'à devenir le bras droit de ton père, seule véritable relation que tu n'ai eue avec lui. Aujourd'hui reconnue comme la fille du dragon, l'enfant qui ne brûle pas, celle qui a tué l'amour, celle qui est folle et dangereuse, cruelle et immorale. Son cousin toujours à son bras dans les soirées mondaines alors que tout le monde semble trouver cela normal. Comme si c'était quelque chose de culturel. Vous connaissez quoi aux suédois, de toutes façons ? Mammaknullare.
Dernière édition par Magdälena S. Gunvaldsson le Mar 21 Juil 2015 - 6:25, édité 7 fois |
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