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sujet; Welcome in my Dollhouse [RAVEN] |
| Hestia Léto Carrow feat Emily browning • crédit shiya
| Wizzard • Scénario
• nom complet ; Hestia Léto CarrowL'illustre nom résonne sous le poids d'une réputation bien plus grande que toi. • surnom(s) ; Raven. Savoureux mélange d'une alliance indéfectible et d'un amour inébranlable que nulle ne peut comprendre. Raven. L'être complet que tu ne peut être sans ta Flora. • naissance ; Deux heures et vingt trois minutes. Désagréable souvenir d'une séparation, arrachée du ventre de ta mère, tu t'es retrouvée séparée de ta tendre moitié. C'était un le premier mercredi de juillet, en 1982. Le soleil crevait le ciel par dessus le Manoir Carrow. Ton père ne pouvait se résoudre à exposer cette mère dont les divagations se faisaient de plus en plus présentes. • ascendance ; Un sang pur coule dans tes veines et fait battre ton cœur. Ultime prestige de cette famille attirée par le sublime. • camp ; Vacillante d'un côté à l'autre, tu aimes sauvegarder cette équilibre précaire, te délectant de cette guerre avec un plaisir malsain. Tu te heurte à des murs, menaçant ta propre situation pour assouvir tes désirs dans des jeux dangereux. Tu hurles à la neutralité alors que tu t'es vendue aux insurgés. Pourquoi? Pourquoi pas. • métier ; Tu es guérisseuse à l’hôpital Sainte Mangouste . Spécialisée dans les blessures par créatures vivantes, tu flirtes sournoisement avec la mort. • réputation ; L'oiseau de mauvais augure. Raven n'existe que si tu es en présence de ton double. Énigmatiques jumelles, baignant dans le mystère que vous inspirez auprès d’autrui. Ils voient vos similitudes, sans parvenir à distinguer vos différences. • état civil ; Célibataire, mais pas seule, unie à ta sœur pour le meilleur et pour le pire. Elle est ton âme sœur, elle fait de toi une personne complète. Tu craches sur l'amour, te complaisant dans cette relation que nul ne peux comprendre. • rang social ; Ton père a refusé d'être marqué comme une bête et de vivre au service des ténèbres. Comme lui, tu te terres dans les rangs de l' élites, rejetant l'appelle de la marque noire. • particularité(s) ; Souillée par la folie d'une mère, tu n'es qu'une pâle copie d'une transmission familiale, tu n'offres que quelques mots en gage de prémonition plus hasardeuse que surprenante. • patronus ; Ils s'attendaient tous à voir un corbeau surgir dans les faisceaux argentés, mais il n'en est rien. Les rayons de lumières forme un inséparable, trahison d'un cœur qui ne bat que pour sa Flora. • épouvantard ; Ton double enserre ta gorge, elle empêche l'air de parvenir à tes poumons. Un soupçon de plaisir s’empare de ton être, mais elle ne s'arrête pas, elle t'arrache ton dernier souffle. A moins que ce ne sois toi qui arrache celui de Flora. • risèd ; Il n'y a pas de victoire entre le bien et le mal, juste Raven qui trône sur cette balance, cet équilibre précaire. • animaux ; Chester ne se reconnait que lorsqu'on l'appelle Bébé. Il n'est plus le chaton, non, les rayures blanches et rousses se sont étirés sur son corps grassouillet. Bébé résonne comme une douce ironie. • baguette ; Un ventricule de dragon est niché dans vingt trois centimètre et demi de bois d'Aulne sculpté par Ollivandr lui même. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Un sourire s'empare de tes lèvres alors qu'une lueur malicieuse s'enflamme dans la profondeur de ton regard noisette. Tes doigts se soulèvent et viennent pianoter tes lèvres, gardiennes d'un secret, d'une trahison que nulle ne saurait comprendre. Tout est une question d'équilibre. Tu cèdes quelques mots, énigmatique et mystérieuse, c'est les seules réponses que tu peux leur offrir, c'est les seules réponses que tu consens à leur offrir. Tu te joues de cette guerre, plaçant tes pions pour rétablir l'équilibre. Les morts ne sont qu'une malheureuse conséquences, inévitables. De toute façon, il faut bien mourir un jour, non? Tu ris doucement en voyant les insurgés gesticulés vulgairement pour survivre. Tu leur distilles de l'espoir pour qu'ils cessent d'être ces créatures pitoyables qui se battent contre un ennemis bien plus grand qu'eux. Tu pimentes le jeu. ► Infos en vrac : L'amour désire n'est qu'une illusion créée pour pallier au manque de sa tendre moitié, perdue avant les premiers souffles. Flora est restée auprès de toi, elle n'a pas succombé à la mortalité. Deux âmes sœurs, complète, deux âmes sœurs, pure, deux âmes sœurs qui ne s'encombrent pas du plaisir provoqué par la chaire. Deux corps, mais un cœur. Tu chéris ce lien si fort que nulle ne peut comprendre. Leur ignorance souille votre unité avec un mot qui persifle, plein de poison. Inceste. Ils ne savent pas. Ils ne savent rien. • Le souvenir oublié du cordon enserrant ta gorge te hante. Tu flirtes avec la mort, tu filrtes avec cette frontière qui te tente sournoisement. La respiration se coupe pour te punir, pour te ravir. La peur sillonnent ta peau, t'arrachant un frisson alors que l'excitation te brûle les poumons. Tu t'arrêtes juste à temps, juste avant de goûter à la mort. • Une légère cicatrice souligne ton œil droit. Trois millimètres. Trois misérable millimètre. Presque indistincte et pourtant... Elle reflète avec horreur la disparité qui te sépare de ta précieuse Flora. Elle gâche ton visage, son visage. Tu n'es plus qu'une illusion, une pâle copie de la perfection de son être, déformée, défigurée, différente. • Tu es la tempête que Flora apaise. La rage bouillonne dans tout ton être, elle a empoisonné ton sang, elle se répand fiévreusement, attisant la violence qui sommeil dans tes tréfonds de tes entrailles. Imperméable et impassible, Flora cajole tes fureur pour les adoucir et maintenir l'illusion d'une tranquillité apparente. La complémentarité de deux corps qui ne semblent faire qu'un. • une caractéristique (traits physiques, tatouages, cicatrices). • une rumeur. • etc. Nothing compares to you • pseudo & âge ; VOYOU. 25 ans, toutes mes dents et quelques rides. • comment as-tu trouvé le forum ? sur bazzart. • ton avis, tes suggestions ; Forum merveilleux, avec un scénario divin. Il y a beaucoup d'annexes, mais elle permettent de bien s’immerger dans l'univers du forum. • connexion ; 6/7 jours. • quelque chose à ajouter ? What else?
Dernière édition par Hestia Carrow le Jeu 2 Juil 2015 - 10:32, édité 14 fois |
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| Here comes the hurricane citation de ton choix, citation de ton choix
A coup de lumière mortel Les hurlements déchirent la nuit. Des cris arrachées aux ténèbres qui viennent tourmentés tes nuits. Des cernes violacées soulignent ton regard chocolaté. Les traits de ton visages sont tirés, ils accentuent cette pâleur cadavérique. Tu es abîmée par ces nuits sans sommeil. Tu es éreintée par ces nuits de tourments. Les cris résonnent comme une ode à la mort. Tes doigts se crispent contre tes bras. Tes ongles pénètrent ta chaire meurtrie. Le larmes roulent le long de tes joues, comme une ultime supplication. Le drap se soulève, laissant le froid s'engouffrer contre ton corps. Son corps se glisse entre tes draps et se presse contre le tiens. Le souffle de Flora vient caresser ta nuque alors que son visage humide vient se plaquer contre ton dos. Ses doigts se glissent contre ta taille, ils parcourent tes bras pour finalement se saisir de tes mains tremblante. Tu enlaces ses doigts, tu les presses contre ton cœur qui cogne douloureusement l'intérieur de ta poitrine. Les sanglots font tressaillir ton corps alors que la peur te ronge toute entière. A l'extérieur de votre chambre, la créature rôde, elle tourne et laisse échapper des cris strident. Elle n'est plus votre mère, elle est une autre, anéantie et bouffée par le poids des visions qui habitent ses songes. Tu regrettes presque cette folie douce qu'il anime habituellement. Tu te mords les lèvres, impuissantes face aux démons qui rongent le corps de ta génitrice. Tu pries les dieux qui ne sont pas les tiens, les abreuvant de promesses pour qu'ils la tienne éloignée du sanctuaire de votre chambre. Mais aucune divinité ne prête attention à des mômes. Abonnées, vous êtes laissées en pâture à cette femme possédées qui ne sait même plus qui vous êtes pour elle. La porte s'ouvre à la volée. Un air glacial s'empare des lieux alors que les pas lourd de ta mère retentissent. L'étreinte de vos doigts se referment. Blottie l'une contre l'autre, vous restez figée, espérant naïvement qu'elle vous offre un peu de répit. Malheureusement, les nuits s'enchaînent et se ressemblent. Nul ne peut venir vous sauver de ces ténèbres. Nul ne sait ce qui se trame lorsque la porte de la demeure est close. Pour te ramener contre moi Un sourire lointain s'est frayé un chemin sur les lèvres de celle que tu appelles maman. Elle a le regard perdu dans les méandres de son âme, en constante divagation. Elle s’empare de la main de Flora qui s'en dégage avec précipitation, comme si le contact lui avait infligé une quelconque douleur. Ses très se tordent en une grimace qui semble traduire son effarement. Elle semble flottée sur un image de folie et déjà elle a oublié le rejet de la première de ses filles. Elle se tourne distraitement vers toi, seconde tentative. Tu n'as pas le cœur de la repoussée. Tu abandonne alors qu'elle te traîne jusqu'à son corps frêle et squelettique. Elle t'enlacent de ses os à peine recouvert de chaire. Le malaise t'étreint les entrailles sans que tu n'oses lui opposer la moindre résistance. Mon trésor. Sa voix n'est qu'un murmure et les douceurs qui s'en dégagent ne sont que des blessures portées à l'encontre de ton cœur. Elle t’étouffes d'un amour dégradé. Le soulagement se fait ressentir lorsqu'elle te libère de ta prison de chaire. Tu as un mouvement de recule, mais elle te maintient les poignets, sauvegardant la proximité entre vous. Elle plonge son regard dérangée dans le tient. Tu te perds dans la vague d'émotions qui t'assièges. Le souffle cours et la respiration haletante, tu essayes de te dégager les poignets avec un douceur précipitée. Tu viens aider maman à faire un gâteau. Tu ne peux le lui refuser. C'est le seul bonheur auquel tu peut prétendre, alors tu t'y accroches comme une forcenée. Tu suis ses pas dans le sillon de la folie, lançant un regard plaintif à Flora qui n'a pas d'autres choix que celui de te suivre. La cuisine se meurt sous les tentatives culinaires ratés. Ta mère exalte distraitement, emportée par une douce euphorie. Plantée sur le seuil de la cuisine, tu la toises avec regret. Tu as le cœur en miette. A chaque de ses frasques, l'espoir de renouer avec une mère saine d’esprit s'évade. Tu t'y agrippes, bien malgré toi. Cet espoir est vain, il te gonfle le cœur d'une illusion nauséabonde. Flora glisse sa main dans la tienne, elle laisse retomber sa tête contre ton épaule. Elle n'est plus notre mère depuis bien longtemps. Constat douloureux mais bien réel. Tu essayes de le chasser, de l'oublier...mais on fond de toi, tu sais ce que ton cœur refuse d'accepter. A coup de lumière mortel Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. 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Dernière édition par Hestia Carrow le Jeu 2 Juil 2015 - 14:43, édité 13 fois |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | Bienvenuuuue ! EMILY (Je crois que décidemment je bave devant tous les avatars)Ahah, on sera copine ! J'adore les liens tordus, compliqués et torturés ! Bref, je pense comme toi, que Wizards correspondra mieux ! Mais je ne m'avancerai pas à 100% là dessus ! Les admins sauront mieux te répondre ! |
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| Une autre Carrow. Bienvenue |
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| Vous êtes les Weasley de l’Élite :0. Bienvenu Hestia ♥. T'as plein de familles déjà en place en plus, tu auras forcément tout un tas de lien super chouette ♥. Courage pour la fiche! |
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| bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche je vais pas m'avancer en ce qui concerne le groupe, mais ça promet un perso compliqué tout ça |
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| Bienvenue charmante et complexe demoiselle. Bonne chance pour ta fiche Ps. Moi aussi on m'appelle mimi irl |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUUUUUUUUUUE officiellement et encore merci de tenter mon scénario j'espère que tu t'amuseras bien avec elle et qu'elle t'offriras toutes les possibilités de jeu que tu souhaites pour le groupe ce sera wizard : seuls les perso officiellement recherchés pour trahison (ou à cause de leur ascendance) appartiennent au groupe des insurgés brefouille, tmtc ma boîte à mp est là pour toi (par contre ce week-end ma présence sera sacrément réduite ), n'hésite pas à la blinder de questions si besoin sur ce, j'te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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