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| Dymphna Orphée Réage feat Amanda Smith • crédit swan
| Wizzard • Inventé
• nom complet ; Dymphna résonne dans les immensité, elle n'entend pas son nom le renard des champs; son museau aux ruelles délabrées, la silencieuse personne qui s'obstine au mutisme. Orphée qui se meurt loin de sa lyre, l'or des fées même qui se fane au creux des arbres calcinés puis Réage apparaît. Sublime nymphe voltigeante dans les pourpres de l'obscurité.. • surnom(s) ; La môme qu'ils hurlent lorsqu'elle ose voler quelques miettes dans les étales du chemin de traverse. • naissance ; Dans un chalet de montagne, l'enfant a hurlé dans la neige défaite, elle aurait préféré les parures ensoleillées des collines émerveillée, elle a eu les divines représailles du temps brumeux de l'Angleterre un matin de juillet. • ascendance ; Sang mêlé qu'elle entend murmurer, grésille dans ses oreilles les mots parjures d'une vermine qu'elle possède. • camp ; Perdue dans l'incompréhension de la politique, elle voltige animal égaré dans les forêts protectrices. • métier ; L'enfant sauvage sursaute lorsque la main se pose sur l'épaule grelottante, elle secoue son minois terrifie, bégaie quelques notes harmonieuse sortant de sa gorge ailée. Non dit-elle, je n'ai rien, juste mes vêtements troués et ma peur du monde pour toute offrande. • réputation ; Des accidents causés, des incendies gourmandés par l'angoisse de l'enfant qui se cache, on la voit chaparder parfois des grains de grenades, des poires et des fraises pour remplir le ventre vide qui rugit et réclame. • état civil ; Solitude démembrée, elle observe pourtant, s'avance subtilement, espère effleurer l'héritage des joies qu'elle entraperçoit sur les joues des princesses, des princes. • rang social ; Rebut libéré, l'enfant n'est pas une esclave, pas une sorcière non plus, c'est une ombre se balançant au gré des marais, le renard capitule quand le soleil s'atténue, là dans le lointain elle dessine quelques croquis par des crayons empruntés. • particularité(s) ; voir listing & demandes. • patronus ; Un panda roux, ses poils doux et ses yeux incandescent d'amusement, son esprit d'enfance résonne dans le lumière blanche. • épouvantard ; Le passé, l'accident qui resurgissent dans la ténébreuse culpabilité. La folie aussi, le mal engendré par la honte d'exister. • risèd ; Le repos, le linceul recouvrant la beauté, Ophélie noyée dans les rives paradisiaque d'un fleuve d'ambroisie. • animaux ; facultatif. • baguette ; Faite en bois de rosier, des épines stridentes griffes la chair abusée, elle est nimbée de ce crin de licorne, souple et facile à manier. • miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) se rendre sur l'onglet "miroirs" pour voir les explications. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : L'innocente sommeille dans des cartons enténébrés, d'opinion sur la société elle s'obstine à ne pas penser ; la survie dans son crâne qui palpite comme un tambour fatiguant, incertitude concernant ses capacités, elle ne sait pas, hésite à poser des définitions sur l'horreur des villes et des ruelles, sur les charognes reposant à ses pieds. Elle est témoin pourtant, de la chasse aux microbes, des ventes hurlées pour un morceau d'être vivant ; elle a entendu, les supplications des sorciers, elle a goûté, cachée dans l'ombrage d'un bâtiment calciné les tueries, massacres de sortilèges verdâtres. Elle a peur de répondre, pétrifiée par la punition encensée si elle ose déclamer ses critiques. Alors elle se tait, toujours, garde les pluies de langage pour elle, de l'expression qu'elle partage sur des feuilles volantes. ► Infos en vrac :Le feu qui s'étale par des sentiments déstructurés, elle supplie ses émotions de se musarder mais le danger règne et s'élance les flammes sécuritaires. • Empathique, elle comprend. Le don de la mélopée divine de ressentir puis de deviner, d'observer et d'apaiser. Frôle la perversité lorqu'elle prend tout pour elle, éponge qui s'oublie dans l'immensité des données. • Sa voix cristalline qui chante les épopées poétiques, des ruisseaux de merveilles qui coulent dans sa gorge de fée. Dans le bain vermeil elle s'émerveille, adorable enfant qui se permet de faire école les musicalité des sirènes. • Sauvage, elle mord, ses crocs dévoilés pour les terribles mensonges de ces autres qu'elle admire secrètement. Elle, elle n'est rien. Qu'un cadavre futur laissé à l'abandon dans une charnière de chair. • Son visage barbouillé de suie, cendre qu'elle pêche dans la paume de ses mains sales, de sa paume ignominieuse, elle en fait des lignes de naufrage où s'exaspèrent ses plaintes oubliées le lendemain. Elle peint aussi, tristement, des visages apeurés par la mort venue quémander. • Muette pratiquement, elle ne partage que quelques brides utiles, se tait subitement et rougit. • La mer calme ses moeurs, la mer pose le baume de la tendresse, les vagues symphonie harmonieuse berce l'enfant des pleurs, sur son sein elle récite des louanges. Dymphna s'endort quelques fois sur le trempé de l'écume, ses cheveux emmêlés possédant la saveur d'amertume de son âme. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Neverland, 22 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? Depuis très très longtemps, je garde mes sources mais c'est que le petit excidium est un enfant connu, c'est le rpg HP qui survit avec un contexte de malade . • ton avis, tes suggestions ; Je ne pouvais que m'inscrire, trop de perfection ici bas. • connexion ; Tous les jours, je ne suis pas compliquée . • quelque chose à ajouter ? No, Jean-Pierre.
Dernière édition par Dymphna Réage le Mar 28 Juil 2015 - 10:47, édité 9 fois |
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| Here comes the hurricane citation de ton choix, citation de ton choix
Titre de la partie (facultatif) « Tu n’as pas le droit de tricher ! » hurle la petite fille, ses cheveux tressé sur son dos de juvénile, elle pourchasse l’ami qui, joueur, galope à travers les champs. Un jeu d’enfant, elle a huit ans, ses vêtements de princesse tâchés de la boue et de l’herbe mouillée. Elle a vécu ignorante de son statut, ignorante de sa nature. La magie dans ses veines dort liée par l’insouciance de la gamine sautillant dans les près. Maladroite enfant qui se relève, son t-shirt foutu par la saleté, elle tape du pied, crie de sa voix gaie, éraillée par la colère oubliée lorsqu’elle remarque la fleur écrasée, pâquerette amoureusement détruite. Dans sa main elle la prend, penche la tête et observe, surprise de voir la vie reprendre le combat contre cette mort narquoise. De conscience d’une mort elle n’a pas pour l’instant, simplement le spectacle qui s’étale sous ses yeux ébahis. Les pétales raffermis, blancs de nacre ; les couleurs divines entrelacées par les arabesques de la végétation. Elle accourt montrer le prodige au jeune chérubin qui s’emploie à la guerre des eaux fraiches, balançant dans sa main la joie de l’été, chaleur sacrée qui s’étale sur sa peau opaline. « Regarde ce que j’ai fait ! Je l’ai soigné ! J’ai soigné une fleur ! » Le ton monte par le bonheur du miracle, ne tenant pas en place la dynamique rousse qui s’obstine à dévoiler le phénomène mystérieux. Mais l’autre, devenu l’ennemi par sa jalousie, son esprit cartésien, scientifique déploie des arguments convaincants que la fillette repousse. Vient la massue frappant le crâne de l’astrale enfant, un choc, une révélation. « Ta mère elle avait raison alors ! T’es une bâtarde, ton père c’est pas ton vrai père ! » Muette, troublée, Dymphna s’enfuit. « Qui suis-je ? » Demande-t-elle souvent à sa mère. Qui suis-je qui la poursuit depuis la haine envahissant la gorge de l’ami répudié. Elle l’a quitté, ni bisou sur la joue, ni parole réconfortantes, ni promesses lourdes d’un revoir mensonger. Elle essaie de poser quelques questions sur la vérité, père caché, secret, des photos qu’elle cherche, un visage qu’elle espère. Rien. Un jour, dans la cuisine embrumée par le froid de l’hiver la mère lâche quelques brides, dit l’essentiel. « Il avait une carrure imposante, des yeux envoutants. Je ne l’ai pas beaucoup côtoyé, juste le nécessaire. Une nuit à vrai dire mais c’était tentant. C’est ainsi que tu es née. De son nom je n’en ai aucune idée et il a dû vieillir depuis. » Silencieuse Dymphna écoute. « Mon mari est ton père ma chérie, ton vrai père n’a jamais cherché à te rencontrer. » Peut-être n’avait-il pas connaissance de l’enfant né dans l’alcôve des secrets. Titre de la partie (facultatif) Les montagnes clairsemées d’étoiles naissantes, illuminés par les ivoiriennes naïades se pourchassant dans les territoires nébuleux du lait de cieux semblent lancer un écho nostalgique à l’être mouvant dans les prairies, loin, loin de la patrie enfumée de Londres, l’enfant retourne dans son navire. La maison se réfléchit dans les orbes juvéniles de la Dymphna qui, cérémonieusement, se penche, s’agenouille sur le sol brûlé de la terre stérile à présent. D’un monde détruit par des sentiments perfides, elle pleure quelques nacres sur le tombeau de ses aïeux, parents bien aimés, maintenant périt à jamais. Fille unique qu’elle était, elle erre dans l’immensité d’un univers compris mais torsadé par les sourires narquois, moqueurs, les regards venimeux, accrochant les lambeaux de ces êtres mordants. De sa faute lui susurre sa pensée, de sa faute hurle le mécréant de la culpabilité. Elle reste figée, statue sauvage où la chevelure de feu parsème des mèches brunies sur son front de vierge sanglotant, ils résonnent encore, gong dans le néant, ces murmures abyssales qui pénètrent la royauté, la blanche immaculée. Elle a tué, par accident, elle a tué. D’une dispute sentencieuse à propos d’une lettre parcheminée, une blague dirent-ils tous deux, une rigolade, ça n’existe pas, observe toi, deviens moins naïve ma chère, Poudlard est une fable, Poudlard est un conte. Le papier dans un bruit atrocement délicieux se dissipe sur le parquet sali alors qu’elle hurle, crie des insultes à ses guides détestés pour un moment. Cataclysme quand les gentes dames rousses jaillirent de la corbeille de la cuisine, ces démoniaques embrasant le rez-de-chaussée du logis de pierre, leurs babines roussies par les aventures morbides, elles pourléchèrent le ventre fragile de la mère, le torse musclé du père. L’enfant laissé à l’abandon, traînant ses pieds timides, traumatisés dans les décombres de son mutisme, les mots se sont éteints, elle hésite, elle bafouille un pardon bas, tombant, chutant dans les limbes de sa honte, celle d’être un monstre. Elle court, au lointain, elle galope, chevauche les bienfaitrices demeures de son esprit encombré, elle s’est interdit, interdit de déranger, de toucher, de parler aux autres. Danger. Poudlard, un départ imminent. Elle a bousillé tout son argent dans le billet sacré qu’elle serre dans sa paume à la gare remplie de ces silhouettes désagréables. On la pousse, on la chasse. Petit corps empêtré dans la litanie de la violence et de stress. Le train qui l’attend, elle monte doucement comme apeurée par un nouveau voyage, excitée par l’expectative de la découverte. Un monde sorcier qui s’établie devant ses yeux émerveillés. Les parents qui l’embrassent, nauséeux, dépités après plusieurs combats pour dire non, pour refuser, elle a 11 ans l’adolescente qui croit encore aux contes de fées. De la fenêtre tandis que le train démarre, elle voit les guides s’en aller, les parents s’obscurcirent sans un signe. Titre de la partie (facultatif) Dans le ciel enfumé, des symboles grossiers se dessinent par les tristes vacarmes des maudits, ils crient au secours, ils agonisent leur gorge par les hurlements de détresses s’ébattant dans les agates apeurées des passants du village diurne qui accueille encore quelques touristes. Le galbe d’une silhouette s’esquisse dans le flou miroitant, dans la conjecture de l’abominable acte de l’enfant abattu. Elle ne rampe pas ni ne reste immobile, elle ne s’apitoie pas ni ne s’excuse. A qui d’ailleurs ? Là, dans l’immondice d’un squat moldu, là, dans le tréfonds des sublimes déchets, piqûres et sachets qui jonchent le sol basané, elle se balance, seule apaisement qui verse des caresses angoissées. Dymphna n’a pas fait attention à l’autre derrière son dos, elle n’a pas remarqué le grisant qui, d’une main déplacée avait fait sursauté la jeune pucelle, honteuse, les lèvres mordues par le sang coulant sur sa langue enchanteresse, elle avait voulu s’enfuir, discrètement comme la sauvage fugitive. Il l’a pris, d’une poigne féroce laissant une marque rougeâtre, arabesques meurtrière sur sa peau d’albâtre, ivoire du matin qui sommeille difficilement, la douleur cuisante sur sa chair, elle s’est débattue petit ange bégayant. Trébuchant, s’enroulant dans la bousculade du gravier, les êtres alors dans la boutique disgraciée se poussaient, fuyant les flammes arrachées, mangeant les corps lents de nombreuses victimes crucifiées. Là, dans le silence tamisé de l’immeuble, elle guette, son ouï développée, elle se recule face au titan. Gants sur ses mains de granit, le faciès d’un combattant, d’un dominant, l’empereur paré de la royauté. Le renard soupire, piégé contre le mur, marmonne quelques paroles maladroites percutant le vide sournois, ignorant la peur saccadée dans le cœur de la terrifiée. Les sentiments qu’elle devine sous l’armure du gredin qui s’approche encore, déploie des mots doux, miel qui glisse sur le palais ; elle aimerait s’en défaire, échafauder des fuites, ses orbes se perdent dans l’espace ensanglanté du proche enlèvement, essaie de démasquer les points de repères pour courir encore dans les atmosphères sinueuses du bois abrité. « S’il te plait, laisse-moi. » gémit-elle, tendre supplication qui paraît, nage dans l’oreille d’un sourd. Le bras laiteux, la vénusté respirant bombé contre le torse musclé du diable autoritaire, elle essaie, toutefois, de se débattre mais, faible poupée qui abandonne la bataille. Deux secondes, la voilà dans le couloir d’un manoir briqué, ses yeux s’ouvrent craintivement, toujours contre la chaleur du monarque intransigeant, toujours ses bras volumineux serrant l’enfant musardé. « Est-ce que je peux partir ? Ramène-moi où j’étais ! » s’exclame-t-elle devant la porte de l’entrée. « S’il te plait » ajoute-t-elle par politesse. Sur ses épaules elle porte le linge de l’infamie, celui de la misère de Cosette. [/b]
Dernière édition par Dymphna Réage le Mar 28 Juil 2015 - 12:07, édité 11 fois |
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| bienvenue parmi nous par contre, je vois que tu as marqué enslaved comme groupe, mais il me semble qu'il a été supprimé, non ? à voir avec les admins |
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| bienvenuuuuuue sur exciiiii si jamais tu as des questions ou autres, n'hésite pas à faire remonter au staff ! les filles on sera ravies de t'aider !
bon courage pour ta fiche ^^ et amuse toi bien parmi nouuus |
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WIZARD • always the first casuality Nephtys Shafiq ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 01/02/2015
‹ messages : 2013
‹ crédits : avatar : freesia / signature : whorecrux
‹ dialogues : #8FBC8B
‹ âge : vingt-six
‹ occupation : musicienne, batteuse des Rotten Apple avant que le groupe ne se disloque. Autrefois elle était également une des boules de cristal ambulantes du gouvernement. Aujourd'hui, elle tente encore de créer mais passe surtout son temps à jouer pour les patients de Ste Mangouste.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : fait 21 cm, elle est en saule et contient de la poudre de griffe de sphinge.
‹ gallions (ʛ) : 5443
‹ réputation : Traîtresse, lâche, infâme catin du gouvernement de Voldemort. Parce qu'elle a aidé en toute connaissance de cause le Lord et ses sbires, par ses visions et par sa musique, et parce qu'elle est longtemps restée fiancée à un mangemort même lorsqu'elle était libre de se défaire de la promesse, Nephtys est regardée de travers la plupart du temps. Son sang pur n'aide en rien.
‹ particularité : voyante, affublée à sa naissance d'un don lui provoquant dans son sommeil des visions sporadiques et imprévisibles mais particulièrement violentes.
‹ faits : Orpheline de mère, il lui reste son père, Aswad Shafiq, devenu fou après l'attaque d'Herpo Creek.
‹ résidence : dans un appartement miteux sous les toits, quelque part dans un immeuble peu rutilant de l'allée des embrumes.
‹ patronus : un chacal, symbole de clairvoyance dans l’Égypte ancienne. Elle n'arrive que rarement à en conjurer une forme corporelle.
‹ épouvantard : Tantôt, elle craint que l'on abrège les souffrances d'Aswad et panique. Parfois, elle se dit que ça serait pour le mieux, moins égoïste. A ce moment là, sa véritable peur prend le dessus. Elle voit les gros titres, "Mangemort appréhendé et abattu" et l'avis de décès de Nott quelques lignes plus bas.
‹ risèd : Theodore en sécurité, avec ou sans elle. Des nuits calmes. Du silence. Ne plus rien sentir, à défaut de l'avoir lui.
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| Sansa : Je me disais aussi, vu que je ne voyais plus de jaune dans les membres connectés, j'ai pas trouvé ça normal Nyssandra : Merci beaucoup, je n'hésiterai pas si j'ai quelques questions à poser mais normalement tout devrait bien se passer Nephtys : Victor Hugo est mon dieu et... ce poème je l'aime (on est d'accord quand même c'est Baudelaire le meilleurs poète ) Merci beaucoup |
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HERO • we saved the world June Winchester | Oh "Demain dès l'aube" probablement le seul poème qui me plaît bienvenuuuue sur exci comme l'a dit Sansa, le groupe des enslaved n'existe plus depuis le dernier event. Le système des rebuts a été dissolu, mais tu peux considérer ton personnage comme un ancien rebut évidemment il a pu être libéré soit pendant l'event du labyrinthe, soit dans le tout récent (le 4). Si tu as d'autres question, n'hésite surtout pas à nous mp bon courage pour le reste de ta fiche et amuse-toi bien parmi nous |
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| Soit la bienvenue sur Excidium ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche (même si j'ai l'impression d'arriver après la guerre XD ) |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Te voilà validé(e) congratulations : you made it, mate !
Comme j'ai pu te le dire via MP, ta fiche était vraiment très poétique et tu as une plume très intéressante à lire j'ai hâte de croiser ta petite en jeu, j'suis sûre qu'on va pouvoir se trouver un lien Maintenant que tu as franchi l'étape la plus casse-pied, tu peux enfin gambader librement dans les prés verd- wait, mauvais script, ahem. On en était où ? Ah oui, à toi gambadant gaiement (ou pas hein, chacun son délire) à travers le forum, avec ta couleur toute neuve. Tes potes les wizards sont sans doute ravis de compter un nouveau membre dans leurs rangs ! Mais j'crois bien qu'il te reste encore un peu de paperasse à remplir... besoin d'un coup de main, peut-être ? ► inscris ton personnage aux annexes qui le concernent (et assure-toi bien, ensuite, de figurer dans chacune des listes !) ; ► renseigne-toi sur les xp pour organiser ton évolution ; ► prends connaissance des différentes façon de gagner et d'utiliser tes gallions ; ► organise le suivi de ton activité ( obligatoire) ; ► crée ton carnet de relations et la liste de tes rp ; ► établis la chronologie de ton personnage ; ► participe à l'activité du qg de ton groupe ; ► active la fonction surveiller les réponses du sujet de news ; ► tiens-toi informé des actualités du monde sorcier ; Et pour finir : ta mission si tu l'acceptes sera de t'éclater bien comme il faut. Bon jeu ! |
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