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sujet; Samaël Pembroke + l'enfant dragon
MessageSujet: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptySam 18 Juil 2015 - 16:20

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Samaël Tiberius Pembroke
feat mon joli masque • crédit bibi

Wizards • Inventé
• nom complet ; Samaël, le venin de dieu, l'ange de la mort. Son prénom n'a rien d'innocent et l'accuse du crime qu'il commit en venant au monde. Tiberius, comme son grand-père, car même pour lui le poids du sang se devait de faire son office. Et enfin, Pembroke, le nom des bâtards de la famille Selwyn, dont il fut le premier d'une longue série. • surnoms ; En Angleterre, on le connaît sous le nom de l'homme sans visage, abrégé en Sans-Visage. • naissance ; Le 15 mai 1975, au sein du château familial. • ascendance ; Sang-pur, mais il ne tient pas aux égards qui leur sont dus et préfère se dire sang-mêlé. • camp ; Il ne sert aucun camp. Il ne rejettera personne passant sa porte. • métier ; Voyant. Les gens viennent à lui avec des questions, des doutes ou des peurs. Il ne voit pas toujours quelque chose mais il les écoute, leur parle, et cela suffit souvent à apaiser leurs démons. Il est un guérisseur de l'âme, en quelque sorte. • réputation ; Personne ne sait qui il est vraiment ni d'où il vient – il existe de nombreuses rumeurs à ce sujet d'ailleurs – mais il est connu pour sa sagesse et pour être un grand voyant. En Afrique du Nord notamment, il atteignit une telle notoriété qu'il conseilla un temps le Grand-Manitou d'Égypte. Depuis son retour en Angleterre, il tâche de rester discret. • état civil ; Célibataire, sans enfant, et il n'en sera jamais autrement. • rang social ; Prolo • particularité ; Il possède le don de voyance. • patronus ; Aucun. • épouvantard ; Son père, la baguette brandie, venant finir le travail. • risèd ; Il se voit lui, jeune adolescent à peine sorti de l'enfance, le torse nu sous le soleil, la peau bronzée, debout au milieu d'un champ de fleurs sauvages. Il sourit et il est beau. • baguette ; Il utilisa pendant plusieurs années celle que lui légua Archibald Nightingal, mais il finit par se procurer la sienne en Égypte. Elle est en bois de saule et contient un crin de licorne.

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : Mon avis n'a pas d'intérêt. Ce que je pense de ce qu'il se passe en Angleterre n'altèrera jamais le cours des événements à venir. Il ne s'agit pas d'un fatalisme défaitiste. L'avenir n'est pas un fil tendu en ligne droite que l'on pourrait suivre aisément, mais un enchevêtrement de possibles. Certains se réalisent, d'autres non. Je ne prétends pas détenir la moindre vérité à ce sujet. Nous vivons des temps terribles et plus incertains que jamais. Je mourrai bientôt, mais avant de disparaître j'ai promi il y a bien des années de ça que j'aiderai ceux qui le voudraient à trouver la paix dans leur coeur. Personne ne me détournera de cela.

► La Lèpre Étoilée : Maladie extrêmement rare, elle ne touche que les vieilles familles de sorciers avec un haut taux de consanguinité. Sa progression est très lente ; à partir du moment où elle se déclare – souvent à la puberté – elle peut mettre jusqu’à vingt ans avant de tuer la personne infectée, mais elle est toujours fatale. Il n’existe aucun traitement. Les cellules magiques présentes dans le corps du patient rentrent en hyperactivité – observées de près on les voit scintiller dans le sang, d’où l’appellation de Lèpre Étoilée.  Elles se dérèglent et finissent par considérer toutes les autres cellules comme des corps étrangers, s’attaquant alors à l’organisme de façon très virulente.  Au premier stade de la maladie, des plaques dépigmentées apparaissent sur la peau, s’accompagnant par une perte de sensibilité à ces endroits. La suite est moins plaisante : fissures, plaies, brûlures, meurtrissures, puis mutilation voire amputation. La Lèpre Étoilée est extrêmement mutilante. Heureusement, les patients souffrent peu de ces dégâts externes puisque les nerfs cutanés sont atteints, mais ça ne signifie pas que la maladie ne soit pas douloureuse. Au niveau interne, les os aussi se déforment, les poussées de fièvre peuvent être extrêmement violentes et le corps s’épuise rapidement.
La Lèpre Étoilée est entourée de superstitions. Les personnes atteintes par cette maladie honteuse sont vouées à une vie de souffrances et d’exclusion sociale. Elle est au demeurant très peu contagieuse. Les patients souches sont exclusivement des sang-pur ; ils peuvent la transmettre à d’autres tranches de la population sorcière mais aucun cas né-moldu n’a jamais été répertorié. En 1997, lorsque Voldemort s’empare du pouvoir, elle est carrément censurée par le gouvernement qui cherche à tout prix à imposer la suprématie du sang-pur. Le peu de bouquins ou d'études qui y font mention sont tous brûlés. Dans bien des pays, les très rares cas répertoriés sont de toute façon souvent traité de manière radicale dans l'intimité du cadre familiale. Donner la mort aux jeunes patients avant l’arrivée des plus gros symptômes est presque considéré comme un acte de charité.

► Infos en vrac : La magie est ce qui le tue à petit-feu, de la pire manière qui soit, pourtant ça ne l'a jamais empêché de l’étudier avec passion. Il n'alla pas à Poudlard mais il reçut une éducation riche jusqu’à ses 14 ans. Le reste il l’apprit seul, en autodidacte, ou avec l’aide de certaines personnes ayant croisé sa route. Il est extrêmement cultivé, sait beaucoup de choses sur la magie et ses secrets. Très passable une baguette à la main, il préfère s’en passer. La 1er fois qu’on lui en mit une entre les mains, il était déjà âgé et n’arriva jamais vraiment à s’y faire. Il a gardé un rapport très instinctif et naturel à la magie, comme les enfants. Il aurait pu être un grand sorcier mais il est beaucoup trop fragile pour supporter l’intensité à laquelle le soumet une utilisation trop fréquente ou trop puissante de la magie. Sans ça il n’aurait de toute façon jamais fait un bon duelliste. Il tient beaucoup plus du protecteur que de l’assaillant. Il n’y a pour ainsi dire aucune once d’agressivité en lui. Il a déjà tué. Une seule et unique fois, quand il était adolescent. Un garçon rencontré en Égypte, atteint de la même maladie que lui. Il lui demanda de mettre fin à ses jours après lui avoir fait jurer de ne jamais devenir aussi lâche et d'utiliser son don pour guérir les hommes. Il possède deux elfes de maison, dont il n'est pas le maître pour autant. C'est la sœur de son ami qui les chargea de veiller sur lui et de lui obéir tant qu'il serait en vie. A cause d'une balafre lui barrant le visage et lui mangeant une partie de la lèvre, il parle avec un léger défaut de prononciation. Certains le croient envoyé par les étoiles, d'autres disent qu'il est né du souffle d'un dragon. Les théories qui courent sur son compte sont nombreuses et souvent abracadabrantes. Il parle plusieurs langues dont l'arabe, l'hébreux et quelques dialectes africains.


Nothing compares to you
• pseudo & âge ; Ccil, 24 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? J'y ai déjà un compte. • ton avis, tes suggestions ; Vous avez un très joli forum, avec un contexte travaillé qui respecte bien l’œuvre de JKR tout en sachant s'en détacher. • connexion ; fréquentes. • quelque chose à ajouter ? Amour sur vous.



Dernière édition par Samaël Pembroke le Dim 26 Juil 2015 - 8:05, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptySam 18 Juil 2015 - 16:22

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Here comes the hurricane
Un nouveau-né s'il chiale si fort c'est qu'il comprend souvent que la vie va lui faire mal

Il était une fois

 

J’ai des cicatrices plein la peau et quelques unes dans mes souvenirs, mais je fais partie de ceux qui ne croient pas aux barrières infranchissables. Si la vie n’est pas un long fleuve tranquille elle réserve aussi de bonnes surprises, et j’ai bien vu des fleurs pousser dans le sable. De mon enfance, j’aime ne retenir que ce qui fut pour moi l’essentiel, cette sensation d’apesanteur alors que tu dévales la pente raide d’une colline en battant des bras comme s’ils avaient été des ailes. Courir à en perdre haleine, courir jusqu’à ce que des langues de feu chatouillent ta poitrine, puis se laisser tomber dans l’herbe. À cette époque j’avais la sensation que je pourrais vivre mille ans ; je me sentais en vie et rien n’avait le pouvoir de me faire croire autrement. Aujourd’hui je sais que je ne dépasserai certainement pas les trente-cinq ans, mais je n’en ressens aucune rancœur. Vivre c’est accepter la douleur, les échecs, et parfois que nos désirs soient peu de chose face à l’ordre implacable du monde. Ma naissance en est une preuve éloquente.

J’ai poussé mes premiers cris dans ce monde à l’heure où ma mère rendait son dernier souffle, son gros ventre ouvert offrant un drôle de sourire aux médicomages qui se tenaient près d’elle. Une vie pour une autre diraient certains, pourtant j’aurais préféré qu’elle ne sacrifie pas la sienne pour moi. Je n’ai jamais été le fils qui justifiât un tel sacrifice. Après tout, je suis né de l'un des pires péchés qui existe en ce monde : l'inceste. Mon père s’en rendit compte bien assez vite et ne put me le pardonner. Ses regards me le faisaient aisément comprendre, mon existence l’écœurait et ma présence seule suffisait à l’insupporter. Il aurait sûrement aimé que je lui tienne tête, cela aurait au moins prouvé que je n’étais pas dénué de toute qualité, mais face à ses colères je restais d’une docilité à faire trembler un damné. J’étais l’enfant sage, l’idéaliste, celui qui préférait se nourrir de ses rêves étranges plutôt que de lutter pour conquérir un amour depuis longtemps fané.

Je ne me suis jamais considéré comme le triste jouet d’un sort impitoyable, pas même lorsque mon père me fit enfermer dans la tour de notre château. Jeune prisonnier, je m’évadais à travers les barreaux de ma cage en regardant voler les oiseaux, en écoutant les échos d’une vie à laquelle j’étais devenu étranger. Mon demi-frère était l’unique confident qui m’y raccrochait encore, mes yeux et mes oreilles. Là où j'étais fragile il était fort. J'avais passé mon enfance à souffrir la comparaison, à vivre dans son ombre, mais je l'aimais plus que n'importe qui. Il était mon protecteur, le seul à s'être opposé à notre père quand il me fit enfermer. Je dévorais les histoires qu’il me racontait sur les interminables dîners de famille, le dernier piège qu’il avait tendu à notre elfe de maison, puis sur sa vie à Poudlard. Cet endroit me fascinait. Pendant un moment, j’ai même nourri l’espoir que lorsque mon tour viendrait alors je pourrais enfin étendre mes ailes et m’envoler. Mais tel Icare, mon innocence n’en rendit ma chute que plus belle encore. La magie était timide en moi, ou disons plutôt qu’elle ne se manifestait pas d’une façon évidente comme elle l’avait fait pour mon frère. Je ressentais et voyais des choses que j’étais seul à comprendre, mais aux yeux de mon père ma singularité n’était qu’une monstruosité de plus. Il préféra refuser mon admission à l’école de sorcellerie plutôt que de prendre le risque de me voir déshonorer notre famille. Je n’avais pas eu le temps de jouer avec le soleil qu’il me brûlait déjà les ailes.

Les quatre murs de ma prison devinrent mon quotidien et mon avenir. Les visites étaient rares. Le vieil homme qui me servait de précepteur continua à venir. Il m’enseignait la magie et son histoire d’un point de vue purement théorique. Je buvais ses paroles sans me douter une seconde que les élèves réchauffant les bancs de Poudlard auraient crié au scandale. C’était pour moi déjà une telle joie. À cette époque, le ciel de mon existence était dégagé des tempêtes qu’il avait connu par le passé. J’étais loin de me douter qu’une ombre s’était emparée de mon cœur et se propageait dans mes veines à mesure qu’un mal indestructible avait commencé à marcher sur la maigre santé qu’il me restait. C’est mon maître qui se rendit compte le premier que je n’éprouvais aucune douleur lorsqu’en préparant une potion je me blessais le bras avec la lame d’un couteau. Il n’eut pas besoin d’examens beaucoup plus approfondis pour comprendre que j’étais ladre. Des années plus tard, lors de mon voyage en Orient, j’appris de la bouche des arabes que la Lèpre Étoilée était considérée comme un fléau destiné à punir la vanité des vieilles familles de sang-pur, et que le sort qui m’attendait après la mort serait bien pire encore. Si cela est vrai, je l’estime injuste. Je préfère penser que mon dernier souffle me libérera de mes souffrances plutôt que de me plonger dans de nouveaux tourments. Ce diagnostique, en tout cas, fut trop lourd à porter pour mon père. Une peur malsaine s’insinua en lui. Il était terrorisé à l’idée que je puisse le contaminer malgré la solitude qui était la mienne depuis six ans. Dans un excès de folie, dont il se convainc sûrement qu'il s'agissait d'un acte de compassion, il mit alors le feu à la tour où j’étais enfermé. Je ne dois ma survie qu’à la rivière coulant sous le château et qui amortit ma chute lorsque la chaleur des flammes devint impossible à supporter. Je n’avais que 14 ans.

Ainsi commença l’exil du garçon sans nom. C’est comme cela que m’appelait le vieillard qui me prit sous son aile après que ma route ait croisé la sienne par hasard. Il n’était pas de ceux qui me regardaient passer comme un chien qui n’a pas de collier, sale cabot au museau écorché, aux pattes arquées et aux flancs creusés, errant sur les routes parce qu’il n’a nul part d’autre où aller. Lorsque je lui demandais pourquoi il tolérait ma présence, ou s’il n’avait pas peur de moi, il éclatait d’un grand rire qui était comme les aboiements joyeux d’un gros chien. Auprès de lui j’appris ce que signifiaient véritablement les mots amour et confiance. Il me forçait à essayer sa baguette et à laisser parler la magie en moi. J’avais beau lui répéter que j’en étais incapable, il se contentait de sourire malicieusement en me faisant signe de continuer. Il réveilla en moi ce qui sommeillait depuis toutes ces années. Je ne lui en serais jamais assez reconnaissant, ni pour ça, ni pour l’indulgence dont il fit preuve envers moi. Ma maladie jusque là invisible commençait en effet à se manifester plus distinctement, des taches dépigmentées apparaissant sur mon corps tandis que je perdais de plus en plus de sensibilité. Au lieu de s’en alarmer, mon protecteur pansait les nombreuses blessures que je me faisais sans m’en rendre compte et me veillait les soirs de forte fièvre. À tous ceux qui perdraient l’espoir, je leur dirais qu’on a tous une bonne étoile. Certaines sont peut-être mieux cachées mais il suffit parfois de faire trois fois le tour du ciel pour les débusquer. Aujourd'hui encore, ces deux années que je passais en sa compagnie restent les plus heureuses de toute ma vie. Le jour de sa mort, je restais à son chevet jusqu'à ce que la nuit étende ses grandes voiles sombres sur l’Angleterre, puis je partais. Il n’y avait plus rien ici pour moi. Le vieil homme m’avait légué tout ses biens mais plus que toute autre chose il m’avait rendu les clés de mon destin. Je pouvais enfin regarder le monde sans éprouver l’envie irrépressible de m’en cacher.

À seize ans je partis ainsi sur la route du Moyen-Orient et de l’Afrique. Pendant neuf ans j’en arpentais les déserts majestueux, voyageant d’une communauté lépreuse à une autre. Au contraire de son homologue moldue, je découvris que la Lèpre Étoilée ne touchait que des sorciers au sang-pur dont les familles étaient réputées pour dédaigner les mariages trop éloignés de leur propre lignée. Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que cette découverte devrait rester muette dès lors où je retournerai dans mon pays natal. Elle serait allée à l’encontre de l’idéologie établie par le Seigneur des Ténèbres, or je n’ai jamais eu la prétention de m’y opposer. Le don avec lequel je suis né ne me donne en aucun cas le droit de juger l’avenir, encore moins d’en décider. Face à la grandeur inexplicable de l’univers, mes convictions ne sont qu’un grain de poussière, mes désirs qu’une séduisante chimère. J’ai vu ma jeunesse me glisser entre les doigts avant d’avoir appris à en jouir, et vu la beauté de mon visage disparaître avant d’avoir pu m’en souvenir. Parfois, lorsque je ferme les yeux, je ne sais qui est l’enfant qui me fait signe en souriant. J’ai oublié jusqu’à la douceur du vent et la chaleur du soleil. Je ne suis plus qu’un visage d’argent auréolé de draps blancs, un corps mutilé qui pourrit lentement. L’homme sans visage, c’est comme cela que l’on m’appelle aujourd’hui, d’une voix partagée entre la crainte et le respect. Derrière cette apparence ne reste pourtant qu’un homme qui craint de voir son secret dévoilé, qu’un autre que lui reconnaisse un jour l’enfant oublié. Celui qui courrait à en perdre haleine à travers les champs de fleurs sauvages.


Chronologie
1975 : Naissance de Samaël. Il est le fruit indésiré de la relation incestueuse entre Ekkehard Selwyn et sa cousine, qui décède en couche. C'est la première déception d'une longue liste, une que son père ne lui pardonnera jamais.
Même si ses parents portent tous les deux le nom de Selwyn, Samaël est un bâtard et hérite donc du nom de Pembroke, comme tous les autres enfants de la famille nés après le premier mariage d'Ekke.

1983 : Insupporté par ses visions, son comportement et, plus largement, par sa seule présence, Ekke décide de cacher son fils aux yeux du monde. Il prétexte qu’il souffre d’une santé fragile et le fait enfermer dans des appartements confortables dans la plus haute tour du château familial.

1986 : Ekke refuse d’envoyer son fils à Poudlard, de peur qu’il ne déshonore sa famille. Il prétexte à nouveau un état de santé incertain et continue d'employer un précepteur particulier pour se charger de son éducation.

1989 : Le maître de Samaël comprend qu’il est atteint d’une maladie magique extrêmement rare. Partagé entre la peur et le sentiment de faire ce qui est juste, Ekke met le feu à la tour du château pour se débarrasser de ce mal. Il fait passer l’incendie pour un accident, et son fils pour un cracmol n'ayant pas pu échapper aux flammes. Officiellement, Samaël périt à cette date.
Plus tard dans la même année, il rencontre Archibald Nightingal, un vieux sorcier qui le prend sous son aile et va peu à peu lui redonner confiance en lui.

1991 : Archibald décède en léguant tous ses biens au-garçon-qui-vit-sous-son-toit. Samaël quitte alors l’Angleterre et part explorer le Moyen-Orient et l’Afrique.

1994 : À cause des mutilations qui le dévisagent et des nombreuses plaies qui recouvrent son corps, il décide de porter un masque et dissimule la moindre parcelle de sa peau sous des vêtements amples et des bandages. Cet accoutrement lui vaut de nombreux surnoms au fil des ans : l'homme au masque d'argent, le sage sous les étoiles, le voyant blanc, etc. Il retiendra principalement celui de Sans-Visage.

2000 : Il retourne en Angleterre dans la maison de son "père" et s’installe comme médium, faisant don de sa science contre la charité qui lui permet de survivre. Tout le monde ignore son identité réelle. Son apparence a quelque chose d’intimidant mais la sagesse et le talent qui l'ont rendu célèbre à l'étranger font peu à peu à nouveau parler de lui.



Dernière édition par Samaël Pembroke le Sam 18 Juil 2015 - 16:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptySam 18 Juil 2015 - 16:36

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C'est quoi ce personnage de fou iiih J'adore l'idée, je lirai plus en détails dès que j'aurai un moment, mais ça a l'air génial I love you

Rebienvenue donc avec ce nouveau personnage :3:
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptySam 18 Juil 2015 - 17:47

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je plussoie darja, ça promet trognon rebienvenue et bon courage pour la suite kr
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptySam 18 Juil 2015 - 18:16

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Oh, enfin SV, depuis le temps qu'on l'attendait potte
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptyDim 19 Juil 2015 - 12:58

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Merciii potte
Je ne vous fais pas de bisou, vous ne m'en voudrez pas, mais le cœur y est !
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Mazette gaah gaah

*soulève le masque pour choupiter* Bonne chance pour la fin de la fiche!!! (la musiiiiiiiiiiique, ça m'a collé des frissons :3*)
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptyLun 20 Juil 2015 - 21:29

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Tu viendra me poupouter en RP aussi ?
Avec ce perso on peut trouver une raison eaaasy ^^
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptyLun 20 Juil 2015 - 21:35

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Je t'attends gangnam
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MessageSujet: Re: Samaël Pembroke + l'enfant dragon   Samaël Pembroke + l'enfant dragon EmptyMer 22 Juil 2015 - 10:33

HERO • we saved the world
Luna Lovegood
Luna Lovegood
‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
Samaël Pembroke + l'enfant dragon C9rrp50

‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10436
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
http://www.smoking-ruins.com/t4738-lovegood-a-circle-has-no-begi
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OH MON DIEU CE PERSONNAGE DE MALADE gaah .
Le début est super intéressant, j'adore yeux

REWELCOME, hein inlove
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