|
sujet; augustus + beneath the skin |
| Augustus Oreste Rookwood feat mads mikkelsen • crédit swan
| death eater • Prédéfini
• nom complet ; AUGUSTUS ORESTE ROOKWOOD. L'impérial ne fait pas de courbette, il offre un sourire poli, et derrière, c'est le carnassier. Augustus, soufflent les rares autorisés. Le nom n'évoque pas la terreur, mais les moqueries. Lui qui n'est pas pur, lui qui est né dans la crasse. Rat qu'ils grognent. • surnom(s) ; AUGI, alors qu'elle tirait sur la cape, cherchant son attention. Augi. Morte celle qui avait le droit de raccourcir le prénom. • naissance ; NORD. L'Angleterre hivernale. décembre sonne trois coups. • ascendance ; MELE. Le sang encrassé des coucheries voraces. Le sang putride qui geint dans les veines. • camp ; GOUVERNEMENT. la couronne de lierre. • métier ; DIRECTEUR DU DEPARTEMENT DES MYSTERES. les connaissances qu'il compile à la mémoire, le savoir qu'il ne tolère pas de dilapider à la plèbe. Les portes qu'il garde, le temps qu'il jalouse, les schémas pour retrouver une adorée perdue. • réputation ; CROQUEMITAINE. le sournois qui glisse dans l'ombre des vivants. Lui qui connait les secrets de chacun. • état civil ; ABSENCE. des belles qu'il ignore, du mariage qu'il piétine. l'attachement qu'il refuse. personne. des poupées à ses draps, des désarticulées au matin. • rang social ; MANGEMORT. sanglant qui terrasse le bas peuple • particularité(s) ; AUCUNE. • patronus ; CONDOR DES ANDES. le sortilège imparfait, plus qu'un crachat de fumée. • épouvantard ; BARREAUX. la prison referme sa gueule. les barreaux qui engendrent la folie. • risèd ; EMPIRE. le monde ployant, les moldus qui geignent. Le nom glorifié. • animaux ; ABRAXAN. vestige d'un cadeau d'anniversaire. • baguette ; Bois de chêne rouge. Plume de phénix. 29,9cm. colérique. parfaite pour les maléfices. au refus de la métamorphose. • miroir à double sens; x. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : La tempête annonce leur fin, le déploiement des corbeaux. Les charognes pullulent, de ces corps jetés en place publique. Eux les monstres, eux les voleurs, eux qu'il est nécessaire d'exterminer. Le régime est celui qu'il attendait. Celui pour lequel il s'est battu. Né-moldus terrassés. Il jouit du pouvoir octroyé, du droit de massacrer. Les corps qui s'alignent, les tombes pour ses folies. Le monde qu'il faut encore purifier. ► Infos en vrac : La connaissance absolue de l'Histoire du monde sorcier, des faits ancrés à la caboche, de rien qui ne lui échappe. Tout s'organise dans sa mémoire, le labyrinthe orchestré de portes. • Les mains sont voilées de cuir. Les gants qu'il porte depuis le premier feu. Les chairs rognées, jamais réparées. • Amour malade. Les sentiments développés, l'obsession qui nait facilement, aucune demi-mesure. Il aime, il crève, et tue à la moindre trahison. • Le violon comme instrument adoré. Les cordes brisées. Le son délaissé. Un talent éclaté. • La nuit et ses terreurs. Insomniaque. Les cauchemars ricanent. Il tremble à la vue de l'opale. Le sommeil en journée, au bureau. Quelques heures à peine. • Magie devenue complexe, capricieuse. De sortilèges qu'il ne maitrise plus. Lumos et Accio absents. La prison qui a matraqué sa magie. • Exigeant. Il demande le meilleur et massacre les plus faibles, les moins acharnés. Quelques corps qui chutent dans son département • Nothing compares to you • pseudo & âge ; paracosm, brachiosaure. • comment as-tu trouvé le forum ? bazzart. • ton avis, tes suggestions ; bravo pour le tenir depuis si longtemps, un bijou . • connexion ; 5/7. • quelque chose à ajouter ? .
Dernière édition par Augustus Rookwood le Lun 27 Juil 2015 - 19:53, édité 10 fois |
| | | |
| Here comes the hurricane citation de ton choix, citation de ton choix
INVERNO Détraqués. Cinglés. Malades. Les mots s’envolent à leur passage, les murmures pour une famille qui cumule les vices. Les parents tombent en premier et l’enfant observe. Il est à jouer dans le jardin, il voit, il entend mais ne se précipite pas. Les parents sont devenus des marionnettes désarticulées. Ne reste que des corps inertes. Assis par terre, une main timide, il touche le visage de sa mère, il appelle, mais aucun son ne répond. Personne. Il se déplace vers le père, il tire sur la cape, il tapote la joue broussaille. Rien. La mort qu’il comprend trop jeune. La faucheuse qu’il aperçoit, la dame en noire qui vient prendre les âmes de ses parents. C’est ce qu’il a lu dans un livre… moldu. Ses connaissances qui s’étendent à tous les domaines, eux qu’ils ne méprisent pas encore. Plus tard viendra la haine. Le jumeau court et trébuche sur les corps. Hurlement qui appelle la plus jeune sœur. Elle qu’ils attrapent et emmènent à l’intérieur. Sorcha qui est préservée de la mort. Ils sont appelés à Poudlard, ils rejoignent le château et chacun se retrouve dans une maison différente. Lui qui fait défaut et choisit Serdaigle plutôt que Serpentard. La dernière qui prend place avec les lions. Probablement que les parents s’en retournent dans leur tombe. Les années passent et grandit le monstre. Ils diront plus tard que c’est la vision de la mort qui l’a changé, il répondra que ce ne sont pas les facteurs de sa haine. Rookwood se débarrasse de l’enveloppe enfantine. Dix sept ans et c’est la découverte d’un mal, d’une terrible obsession que représente le feu. Les flammes dansantes capturent son attention. L’incendie qu’il conjure, d’une idiote qu’il brûle. Elle qui n’est sauvée que par l’intervention d’un professeur. Une vague. C’est le souvenir qu’il garde du sang ricochant sur son visage. Elle est là. Elle baigne. Il y trouverait un tableau somptueux si ce n’était pas sa sœur, son adorée, sa belle. Le corps flotte à la surface de l’eau devenue grenat. Elle semble endormie, apaisée dans la mort alors qu’il écarte une mèche de cheveux, comme lorsqu’elle s’endormait auprès de lui. Les yeux clos. Une statue. Le corps gêlé de l’absence de sang. Les bras transpercent le liquide carmin et attrapent l’Absente. Elle n’est plus qu’une poupée entre ses bras. Une vie piétinée. Les bras pendent de la vie outragée. Les ouvertures qu’il voit. Ces fissures causées par une lame. Le mal qu’il n’a pas vu. La détresse. Sorcha qu’il chuchote alors qu’il l’enroule dans une serviette, qu’elle semble n’être qu’un nourisson entre ses bras. Trop jeune. Dix neuf ans. Il parcourt les couloirs, le cadavre contre son corps, à l’espoir infantile qu’elle va revivre, que la chaleur n’est qu’une absente passagère. Morte. Elle est déposée au centre du lit. Il fait semblant Augustus, il revient en arrière, reforme le passé, et n’y voit plus que l’enfant dont il s’est occupé. Le drap qu’il ramène sur elle. Il court à son bureau, il attrape le retourneur de temps. il cherche, il invoque. Rien. Un point fixe contre lequel la magie est impuissante. Cogne la fureur. Les têtes tombent. La marque disparaît du bras. Il geint sur le sol, à la douleur d’une perte qu’il ne comprend pas. Sorcier défait. Le maitre anéanti. Il crève à ne pas savoir ce qu’il se passe, à seulement deviner. Et la petite qui le regarde, elle qui tient une peluche dans une main, elle qui se love contre l’oncle. Elle ne saisit pas que la fin de l’utopie vient de sonner. Le souffle court, les solutions s’emmêlent à sa caboche. La protéger. Elle. Ne pas en faire un instrument de leur gouvernement. « Mélinoé » Elle sourit, elle s’accroche au croquemitaine. « Je dois… je dois t’emmener quelque part, d’accord ? » Les mots qu’elle ne saisit pas, l’impact des paroles qu’elle comprendra plus tard. Il est debout, une main qu’il tend et attrape la petite entre ses bras. Une seconde. Et ils ont disparu. Autre lieu. Une maison branlante du sud de l’Angleterre. Les coups rageurs contre la porte, à s’en décrocher les phalanges. Un homme qui répond. Carroll. « J’ai besoin… de ton aide. J’ai besoin que tu la garde… ils… ils vont venir et peut-être que tu les as déjà prévenu » L’auror incline doucement la tête. L’accord passé. La petite refuse les bras d’un autre, elle court vers celui qui l’abandonne. Un baiser sur le front en guise d’au-revoir. PRIMAVERA La cage. Ils murmurent sans pouvoir se décider. Certains qui évoquent le baiser du détraqueur, d’autres qui préféraient le voir à Ste-Mangouste, section des psychopathes. Là-bas, il y retrouverait son double, le frère jugé inapte pour la société. Le jury qui en décide autrement, qui préfère le plus… amusant et tonne la sentence. Emprisonné à vie. Azkaban. Il n’hurle pas. Il ne parle pas. Le silence pour réponse, à la différence des autres, de ses ‘’collègues’’ qui se cherchent des excuses. Rookwood ne renie pas ses faits, ne renie pas son allégeance, mais il n’est pas là pour la hurler. Juste un regard pour l’assemblée, pour ces visages qu’il inscrit à la mémoire, eux qu’il cloisonne derrière une porte – les cadavres du futur. Un sourire danse malicieusement et le diable se retrouve dans une boite. Expression qu’il aime des moldus. Eux et leurs représentations. C’est donc ce qu’il est pour la société. Un danger. Un diabolique auquel on passe les fers. La cellule transpire la mort d’un autre. Les premiers jours ne sont rien, l’espoir est encore vivace. Celui de sortir, celui de réussir à conjurer un sortilège. Aucune magie ne subsiste. Rien. Et viennent les premières visites. Il croit pouvoir y résister, il croit qu’en se réfugiant derrière ses souvenirs, les monstres n’obtiendront rien. Mensonge. Il hurle comme les autres, le corps se tend, le corps se tord. Les souvenirs vrillent sa caboche, c’est l’infernal moment qu’il revit. La sœur qu’il voit sur le marbre. « Sorcha… Sorcha » Qu’il hurle à s’en décrocher les poumons, à s’en déchirer les cordes vocales. Le corps tremble de la première visite. Il se relève, mais les suivantes achèvent sa capacité à raisonner. Un fantôme qu’il devient entre les murs. Les années qui coulent. L’horloge qui reste bloquée. Le temps qui n’existe plus. Jour et nuit confondus. Cinq années maintenant. La porte s’ouvre sur un visage humain. Il ricane. Aucune autre réaction possible. « Carroll ! Cinq années avant de revoir ton joli visage. Tu me libères ? Tu m’aimes toujours ? » Carroll qui était un adoré. Carroll qui l’a arrêté. Auror. Les chemins qui divergent. Il tient à peine debout. Le corps maigre. L’imposant disparu. Ne reste qu’un animal crevé, de celui qu’on n’a pas le courage d’achever. Augustus ne tient qu’avec l’appui du mur. « Tu sais… je pensais que tu ne viendrais jamais. Tu veux des infos ? Karkaroff a fini de mentir et tu n’as plus rien ? » Le mot s’étrangle, la voix s'enraye à la mention de celui qui a trahi. « Approche, je ne partage rien avec tes chiens » Il ment. Il joue. Il souffle le venin. Carroll approche à la connaissance du danger. La proximité que Rookwood entraine, les mains portées sur le manteau, les années à ne plus côtoyer d’humains. Il se niche dans le creux du cou, il murmure une langue oubliée et sans prévenir, il mord. Les dents saccagent la joue gauche. Détruit le joli ! Crachat de la peau. L’autre qui recule mais ne geint pas. Jamais. « Oups… » Les chiens qui maintiennent le fou. Le visage carmin, le sang de l’autre, la langue qui pourlèche les babines affamées. « Tu savais que je n’avais rien… mais tu es venu. Merci Carroll, et n’hésite pas à refaire un détour... » Liberté retrouvée. La magie devient une moqueuse qui refuse d’obéir. De quelques sorts qu’il n’est plus capable de produire. Un secret bien gardé. Il vogue et saccage. La mort qui avait manqué. Des promesses qu’il tient. Les condamnés. Le jury de sa sentence qu’il décapite. Les années passent, et le voilà à un poste nouveau. La tête d’un département. Les Mystères. Les portes sont toutes ouvertes. Le Temps qu’il affectionne, le temps qu’il cherche à comprendre. Lui qui passe des heures à reproduire les calculs, à confectionner les retourneurs. Des recherches qu’il garde. Le feu appelle la folie. D’un incendie dont il n’est pas responsable. Une maison abandonnée, des poutres malades, aucun intérêt. Il passe devant et pourtant, les pas reviennent en arrière. Une figure qui se découpe. Le visage tâché de suie. Une fille de la rue. L’errance qui charme le monstre. La main gantée se tend à travers le feu. Suis-moi qu’il impose.
Dernière édition par Augustus Rookwood le Mar 28 Juil 2015 - 20:33, édité 11 fois |
| | | |
| mads et rookwood, tu vas faire des heureux, beaucoup l'attendaient justement avec impatience j'ai l'impression bref bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche au passage, ton style d'écriture me rappelle quelqu'un, idem pour l'avatar je vais attendre que tu nous avoues ton pseudo avant de m'avancer à balancer un mot |
| | | |
HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10432
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| ROOKWOOD . OSSOKOUR . Pis, Madds, c'est juste la tête qui va à ce monsieur-là . Oh welcooooome, you ! Bon courage pour la suite |
| | | |
| GAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH BIENVENUE. FUCK YEAH. Faut que je te MP pour la petite évolution de lien suite à l'event 4 ... mais ça peut attendre que je te souhaite la bienvenue et bon courage pour ta fiche ( TU ES ENCHAINE A CE FORUM TANT QUE C'EST PAS FINI ). N'hésite pas si tu as des questions |
| | | |
| quel plaisir cela va être de te détester bienvenue mon cher |
| | | |
| sansa . je n'ai jamais le même pseudo, j'invente, je fais mon petit sous-marin. une question, tu avais ce prénom sur un autre HP ou pas ? :siffle: Si c'est le cas, on se connait . luna . il ne faut pas avoir peur, je ne mords personne... ou presque nyssandra . ma petite empathe, mon jouet, mon arme. viens par ici et arrête donc de fuir . aramis . comment ça, il y a de la haine entre gens du même groupe d'assassins/psychopathe du dimanche |
| | | |
| hvhjyfsdukhgd
Ahem
Bienvenue!! Tu étais fort attendu ♥ Courage pour ta fiche toussa! Sacrifions des chatons si nécessaire :3. |
| | | |
| - Augustus Rookwood a écrit:
- nyssandra . ma petite empathe, mon jouet, mon arme. viens par ici et arrête donc de fuir .
non ... mais je veux pas ... ça fait mal (en fait, tu m'as attrapée dans l'event 4 .. pendant que je faisais une crise d'empathie au milieu du bordel des insurgés si tu veux, je te briefe par MP ? et on pourra se faire le rp quand tu seras validé) |
| | |
|
|