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sujet; Ardal - All the right moves |
| Ardal Lughaid Ollivander feat Douglas Booth • crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞Wizard ; Scénario☇ pseudo complet & surnom(s) ; Ardal (« Haute valeur ») Lughaid (« Lumineux ») Ollivander (qui que vous soyez, vous savez qui il sont). Tout un programme. Ses parents ont annoncé la couleur dès sa naissance, affichant jusque sur son état civil ce qu'ils attendaient de lui, ce qu'il était appelé à être. Que ce soit le destin ou un façonnage purement issu de son éducation n'a aucune importance pour le jeune homme. C'est ainsi qu'il est, et cela s'arrête là. On ne lui connaît pas de surnom, il n’a guère les traits de quelqu’un qu’on affublerait d’un sobriquet arbitraire ou d’un diminutif ridicule. ☇ naissance ; 1er août 1981 à Sainte-Mangouste, Londres, Angleterre, le premier des deux jumeaux. Quelques instants d'avance qui suffisent à infléchir le cours d'une vie. ☇ ascendance; Alchimie entre l’héritage d’un Ollivander et celui d’une Parkinson, le sang du jeune homme est on ne peut plus pur. Une fierté certaine, pour les traditions, l’engagement pour l’excellence et la certitude que ses ancêtres étaient des gens de grande valeur, et qu’il en sera de même pour sa descendance. ☇ métier ; Artisan baguettiste, une tradition familiale devenue passion. Que personne ne lui demande ce qu'il aurait aimé faire d'autre, ou si sa vie avait été différente : cette question n'a pas de sens pour lui, puisque tel n'est pas le cas. ☇ camp ; neutre. Ardal n’a aucune intérêt à s’occuper de quoi que ce soit en-dehors de ses baguettes. Le nom de sa famille lui permet de s’offrir ce luxe, que d’autres ne possèdent pas, ce dont il est plus que conscient. Mais quand vous êtes un oiseau rare, un phénix, et que tout le monde a besoin de vous, pourquoi risquer un choix ? ☇ réputation ;Du haut de ses 21 ans, Ardal jouit d’une des meilleures réputations parmi celles des jeunes de son âge. On le sait peu bavard mais toujours convenable, appliqué, brillant, un parfait Sang Pur. Elève modèle à Serdaigle, il a une image impeccable de l'enfant-roi à qui tout réussit. Cultivé, il charme la haute société par des discussions riches et intéressantes, pour peu que l'on soit versé dans la théorie. Un jeune homme bien sous tous rapports. ☇ état civil ; célibataire pour l’instant, il s'est cependant ouvert à ses parents il y a quelques temps à propos de fiançailles. Il n’en ressentait nullement l’envie mais, depuis la rupture de Nyssandra, il estimait que ce devrait être à son tour de s’engager pour sa famille. Il était bien entendu que le parfait héritier Ollivander devrait trouver quelqu’un à sa mesure et les discussions familiales n'ont pas été simples. Cependant, les nouvelles fiançailles récentes de sa soeur avec un Mangemort notoire lui enlèvent ce poids. Il est certain que ses parents se rétracteront des quelques discussions qui avaient été amorcées. Il espère cependant que les quelques pistes qui avaient été envisagées se retireront gracieusement, et que personne ne l'obligera à faire un choix alors qu'il n'est plus nécessaire. ☇ rang social ; Elite sorcière, il est membre de l’une des prestigieuses Vingt-Sept familles. ☇ baguette ;Bois de hêtre, crin de licorne, 24,11 centimètres. C'est sa première et seule baguette pour l'instant, à l'exception d'une que son grand-père lui avait façonnée, enfant. En bois de pommier, 16cm, et un coeur de sciure de bois. Le petit Ardal était persuadé que la combinaison de toutes petites chutes d'objets magiques pouvait en créer, ce qui bien sûr se révéla être complètement faux. Mais son grand-père la lui avait tout de même créée. ☇ épouvantard ; Quand un épouvantard surgit, il prend l’apparence de son jumeau. Mais il ne le voit pas mort, contrairement à bien des gens. Cette copie le regarde. Non, en réalité, elle ne le regarde pas. Ses yeux se posent sur lui, et la profonde indifférence ses traits panique Ardal plus qu’elle ne l’attriste. Et il finit invariablement par lui tourner le dos et s’éloigner, prenant ainsi le « Riddikulus » dans le dos. La main est tremblante, on sent la fêlure dans la voix prononçant l’incantation. La perte de son jumeau. Définitive. Tout en lui laissant l’espoir que cela soit réversible. Il n’y a rien qui effraie plus Ardal. ☇ risèd ; Si quelqu'un pouvait voir son reflet, il pourrait penser qu'il s'agit de sa simple réplique, absolument parfaite, comme si Ardal n'avait pas le moindre désir. Seulement, à y regarder plus près, cette personne remarquerait que la baguette que le jeune homme tient entre ses mains n'est pas la sienne. Et n'appartient d'ailleurs à personne, pour la pure et simple raison qu'elle n'existe pas. Issue de son imagination, cette baguette est en réalité une projection du but ultime qu'il voudrait atteindre : créer LA baguette. La plus puissante existant au monde, rapide, entièrement en phase avec son sorcier. Que l'on soit clairs : il ne la veut pas pour lui. Il veut la concevoir et qu'elle trouve main à sa poignée. Le conte des Trois Frères a eu un impact particulier sur Ardal, étant enfant : il voudrait pouvoir créer l'identique de cette baguette légendaire, voire même une qui pourrait la surpasser. Ce sera le travail de toute sa vie, c'est certain. Et il n'est même pas certain d'y parvenir. Mais c'est un but, un souhait, un désir qui le consume lentement. ☇ patronus ; Il s'agit d'une hermine, ce qu'il voit symboliquement comme une métaphore de prestance ajoutée à une certaine finesse. Mais comme l'étude d'un Patronus n'est guère révélatrice, ce sera juste une jolie explication à donner devant ce petit animal qui n'a pas l'air extrêmement menaçant. ☇ particularités ; Maître des runes. Initié à cette discipline dès son plus jeune âge, comme tout membre de sa famille, il a rapidement montré des prédispositions pour cet art (c’est ainsi qu’il le qualifie). Il y a simplement quelque chose, dans tous ces signes, qui lui parle profondément. Mélange entre mysticisme et logique (qu’il est parfois bien le seul à voir), l’étude des runes lui va comme un gant. Et il ne compte cesser son apprentissage que lorsque tout lui sera connu ou, si cela se révélait impossible, jusqu’à sa mort.
☇ animaux ; Il possède une chouette, Adartha (sagesse), qu'il utilise uniquement pour le courrier. Il aurait aimé avoir un chat, mais n'a jamais eu l'occasion d'en adopter un. Et maintenant, avec le rat de Lorcàn, cela restera sans doute une vague envie. ☇ miroir ; N/A.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Regarder des êtres humains se faire exécuter n’est absolument pas une partie de plaisir, cependant personne n’a vu Ardal ciller ou être mal à l’aise avant d’être évacué. Tout comme lors de son service, il a pu prendre le recul nécessaire pour se laisser atteindre. Certaines choses pourraient le déranger, s’il n’avait pas décidé que cela ne le touchait nullement. Ses priorités ne sont absolument pas le salut du monde sorcier, de l’humanité ou que-sait-il-encore. Il n’apprécie nullement la violence, la guerre, les tensions, la propagande (choses dont il est absolument conscient). Mais son destin à lui est de reprendre le flambeau, de perpétuer la tradition familiale. Il s’agit d’une ligne directrice dont il ne s’éloignera pas, même si cela veut dire entre le sorcier moyen râler, voir des gens se faire exploiter. Il regardera. Et continuera sa route.
☇ Infos complémentaires ; Contrairement à son frère, Ardal a eu un réel coup de coeur pour le Quidditch. Il était cependant hors de question que l'héritier Ollivander risque de se blesser, de s'endommager les mains par exemple de manière irrémédiable. Il n'en a jamais parlé et s'est simplement auto-censuré, se contentant de suivre les matches et les scores avec intérêt, pendant ses temps de pause. • Quand il réfléchit intensément, il fait tourner entre ses doigts la baguette que son grand-père lui a façonné étant petit. Elle n'a jamais "fonctionné", mais il s'agit d'un grigri pour lui, un objet auquel il tient énormément. • Depuis peu, Ardal met des lunettes. Il n'en a pas un besoin excessif, mais ses yeux fatiguent beaucoup plus vite qu'avant quand il se penche sur des ouvrages de runes ou des projets de baguette en pleine nuit. Il espère ainsi s'éviter une déclinaison rapide de la vue dans quelques années. • Le bruit a couru à Poudlard qu'il aurait cédé aux avances d'un jeune homme. La rumeur n'a pas fait long feu, étant donné que pas mal de demoiselles en ont répandu d'autres en prétendant être passées entre les draps du jeune homme. Ardal n'a jamais perdu de temps à démentir quoi que ce soit (ce n'est jamais revenu jusqu'à ses parents). Il a eu une petite amie sur le long terme à Poudlard, deux moins sérieuses et il n'a jamais posé les yeux sur un garçon pour ce genre de raisons. Que les gens pensent ce qu'ils veulent, il est bien au-dessus de tout cela. • Contrairement à son père, il n’est pas certain de refuser une place au conseil de la Communauté Internationale des Runistes. Perpétuer la tradition, oui. Mais il ne serait pas contre le fait que son nom soit inscrit quelque part, ailleurs, pour ses propres mérites. • Ardal a un péché mignon très classique : le jus de citrouille. Véritablement accro, il en boit au moins un demi litre tous les matins, et en a toujours à disposition quand il travaille. Cette boisson n'a pourtant aucun composant pouvant provoquer une addiction, mais c'est comme ça. Sûrement une partie de son enfance qu'il conserve avec lui, celle de goûters joyeux sur fond d'insouciance.
❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Bluefeathers. J'ai 24 ans, je viens de Paris et j'ai connu le forum via Vayk (dude, wtf ce prénom ? :p). Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 2/3 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [x] oui / [] non. Pour les scénarii uniquement[/i] : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [x] oui / [] non. Un dernier mot ? Centrifugeuse.
Dernière édition par Ardal Ollivander le Lun 14 Sep 2015 - 7:57, édité 14 fois |
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| All the right friends in all the right places Do you think I'm special? Do you think I'm nice? ❝ Lately I've been, I've been losing sleep ❞2002 & Londres, atelier OllivanderIl devait être deux heures du matin. Ou peut-être était-ce trois ? Il n’avait pas compté et ne prenait jamais de montre quand il se rendait dans l’atelier familial. Il aurait pu essayer de chercher une horloge aux murs, mais Ardal avait les yeux dans le vide. Clignant des paupières, il secoua la tête et ôta ses lunettes. Les runes se mélangeaient à cette heure avancée et les morceaux de bois de toutes les couleurs, formes et tailles projetaient des ombres inquiétantes sur son établi. Il ne parviendrait à rien cette nuit et pourtant il ne se levait pas. Son regard s’était perdu, quelque part entre ici et ailleurs. La fatigue le rattrapait, mais pas que. Dans l’obscurité, le fantôme de Garrick semblait hanter les lieux. Cela n’avait rien d’une présence menaçante, mais suffisamment perturbante pour désarçonner le jeune homme, pourtant si assuré en toutes circonstances. Heureusement, personne ne pouvait le voir et il pouvait se laisser aller librement à ses souvenirs. Et c’était la voix de son grand-père qui résonnait contre les murs. Il était une fois trois frères qui voyageaient au crépuscule, le long d’une route tortueuse et solitaire. Il lui semblait percevoir la chaleur des flammes qui se mouvaient dans la cheminée, alors que les personnages prenaient vie, silhouettes sombres dans la pièce. Et pourtant, Ardal sentait également la fraîcheur de l’atelier. Et son esprit entremêlait ses réflexions au fil du récit de son aïeul. Ce serait plutôt deux frères et une sœur. Le long de ce chemin semé d’embûches qu’était la vie. Ou la destinée des Ollivander. Cela convenait plutôt très bien, songea-t-il avec un brin de … nostalgie ? Amertume ? Il n’aurait su dire. Ce conte l’avait passionné étant enfant, il l’avait pris très à cœur, et pourtant il semblait que ce n’était qu’aujourd’hui qu’il délivrait tout son message au jeune baguettiste, qui ne pouvait que voir le fil du conte se dérouler sous ses yeux. Le plus âgé des frères lui demanda une baguette magique plus puissante que toutes les autres, une baguette qui garantirait toujours la victoire à son propriétaire… La plus belle de toutes les baguettes jamais réalisées par les Ollivander. Une baguette qui entrerait dans la légende. Une baguette qu’il faudrait que je crée. Car il était l’aîné des frères. Même s’il n’était pas le premier des trois, on lui avait rapidement fait comprendre que c’était lui qui comptait, lui qui serait l’héritier. Alors l’histoire était écrite. Il n’aurait su dire si c’était son imagination qui lui jouait des tours, ou si son grand-père lui lançait toujours ce regard perçant quand il en était à ce passage du conte. Mais, récit après récit, il avait su que ce passage s’adressait à lui. Il était l’aîné des frères. C’était à lui que revenait ce défi, celui de défier la Mort en duel, littéralement. Mais pas pour lui-même, comme ce fameux frère qui y avait gagné une fin prématurée. Pour le défi que cela représentait. Et c’était à ça qu’il travaillait, cette nuit. Il n’avançait évidemment pas, stagnant comme jamais. Peut-être faudrait-il travailler plus la pratique avant de construire la théorie de la baguette la plus puissante jamais créée. Mais c’était son talon d’Achille. Son obsession. Qui l’empêchait par ailleurs de déraper en de maintes occasions. Il avait bien entendu toujours mis un point d’honneur à avoir une attitude convenable, à se moquer des camps, de tout, sauf du nom de sa famille. Mais il n’était pas insensible, et pourvu d’un minimum de morale. Il détournait les yeux, il se protégeait, il protégeait son frère. Il l’avait fait pendant la bataille de Poudlard, il l’avait fait pendant leur service obligatoire, il le faisait, au quotidien, en passant au-dessus de tout. Mais parfois, quand cela devenait difficile, il fallait qu’il se raccroche à autre chose. Et il pensait immédiatement à ses notes, inventoriait mentalement les runes qu’il étudiait. Ce qui ne le faisait pas détourner les yeux lors d’une exécution, par exemple. Chacun avait sa soupape de sécurité. Et même si la plupart du temps, l’honneur suffisait, il avait parfois besoin d’un coup de pouce, que ce projet lui donnait volontiers. Pendant ce temps, le deuxième frère rentra chez lui où il vivait seul. Le conte se poursuivait, complètement décousu, la voix de Garrick sonnant comme un écho lointain. Il ne s’agissait pas d’un frère, mais d’une sœur. Eudoxie avait été poussée au loin, par leurs parents, par eux. Il ne se souvenait plus très bien comment cela avait commencé, quand il avait compris qu’elle n’était pas exactement des leurs, sans savoir si cela était bien ou mal. Elle était différente, elle n’était pas assez bonne, pas assez brillante. Et elle ne l’aimait pas. Ça, il le sentait. Peut-être ces mots étaient-ils trop forts. Mais il y avait quelque chose qui planait, comme un parfum d’incertitude de ce qu’aurait été la vie de Nyssandra s’ils n’étaient jamais venus au monde, Lorcàn et lui. Lui, particulièrement. Parce qu’il avait pris sa place, place qu’elle n’avait au demeurant jamais eu. C’était si dur, comme pensées. Etait-ce l’heure ? Là, il sortit la pierre qui avait le pouvoir de ramener les morts et la tourna trois fois dans sa main. Non, personne ne lui rendrait ce qu’elle avait perdu, malheureusement. Jamais. Pourquoi l’image de sa sœur, seule, la main sur son ventre à jamais stérile venait de s’imposer à lui. Il tenta de fermer les yeux pour s’arracher à cette vision. Elle n’était plus seule. Elle ne se pendrait pas de désespoir comme ce frère. Stop. Pendant de nombreuses années, elle chercha le troisième frère et ne put jamais le retrouver. Sa respiration s’accéléra brutalement. Non ! Pas Lorcàn. Etait-il passé au rêve ? S’était-il endormi ? La panique commençait à montrer. Le timbre de son grand-père s’était éraillé, et il y avait quelque chose d’inquiétant dans ses mots. Puis, il accueillit la mort comme une vieille amie qu’il suivit avec joie et, tels des égaux, ils quittèrent ensemble cette vie. NON !Il avait hurlé. Et s’était levé, envoyant valser quelques baguettes en devenir. Son cœur battait la chamade. Ses lunettes étaient tombées, le verre gauche se brisant. Se mordant la lèvre, il dut se prendre la tête entre les mains pour se calmer. Tout va bien. Lorcàn est en vie. Il passerait le voir en remontant, sans le déranger, juste pour s’assurer que tout allait bien. L’écouter respirer quelques instants avant de s’éclipser. Pas ça. Pas sa moitié, pas son double, pas son meilleur ami. Il était le troisième frère, il l’avait toujours été. Le plus discret tout en étant parfois le plus décidé. Il avait toujours pris soin de lui, mais Lork le poussait dans ses retranchements, lui faisait dépasser des limites absurdes qu’il s’était imposées. Ils étaient deux faces de la même pièce, deux pièces du même puzzle, un puzzle étrange qu’il ne fallait surtout pas dissocier. Il était plus calme, ces derniers temps, sans doute à cause des derniers événements. Ardal s’en voulait, quelque part, de lui avoir imposé cela. Mais c’était nécessaire, ils devaient présenter un front uni, comme toujours. Quelques minutes passèrent, le temps pour lui de reprendre complètement ses esprits. Pour que son visage retrouve son impassibilité. Que ses mains arrêtent de trembler. Qu’il puisse saisir sa propre baguette pour remettre de l’ordre dans la pièce. Réparer ses lunettes. Eteindre. Et se glisser dans l’ombre pour revenir dans ses quartiers. A l’abri. Dormir. Et demain, à la lumière du jour, tout irait mieux. Ou en tous cas, il serait en mesure de faire sorte que ce soit le cas.
Dernière édition par Ardal Ollivander le Lun 14 Sep 2015 - 7:46, édité 10 fois |
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| Bonjour bonjour, je commence déjà à vous embêter. J'ai vraiment flashé sur le forum et sur ce scénario en particulier et ne voulais pas le laisser passer ... mais il se trouve que je pars demain pour une semaine de vacances (bien méritées !!!). Il y aura peut-être le wifi mais ce n'est pas certain (et je pense pas mal dormir et nager), donc je me demandais s'il était possible de vous demander un délai d'office pour ma fiche svp ? Je rentre le 13 (avec le décalage horaire je ne promets pas de finir ma fiche dans la journée) mais disons que j'espère avoir tout fini le 16, le weekend d'après GRAND GRAND MAX (j'aurai sans doute fini avant le délai, me connaissant).
Bref, voili voilou, je m'en remets à vous ! Merci par avance |
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| Bienvenue parmi nous super choix de personnage Bonne chance pour ta fiche, et bonne vacances, aussi |
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HERO • we saved the world June Winchester | OH MAIS OUI c'est trop chouette d'avoir enfin les jumeaux Ollivander en tout cas bienvenuuuue parmi nous pas de soucis pour le délai, j'vais rajouter ça dans le sous-titre de ta fiche bonnes vacances à toi, repose toi et reviens nous en forme bon courage pour la rédaction de ta fiche aussi et amuse-toi bien parmi nous |
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WIZARD • always the first casuality Nephtys Shafiq ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 01/02/2015
‹ messages : 2013
‹ crédits : avatar : freesia / signature : whorecrux
‹ dialogues : #8FBC8B
‹ âge : vingt-six
‹ occupation : musicienne, batteuse des Rotten Apple avant que le groupe ne se disloque. Autrefois elle était également une des boules de cristal ambulantes du gouvernement. Aujourd'hui, elle tente encore de créer mais passe surtout son temps à jouer pour les patients de Ste Mangouste.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : fait 21 cm, elle est en saule et contient de la poudre de griffe de sphinge.
‹ gallions (ʛ) : 5442
‹ réputation : Traîtresse, lâche, infâme catin du gouvernement de Voldemort. Parce qu'elle a aidé en toute connaissance de cause le Lord et ses sbires, par ses visions et par sa musique, et parce qu'elle est longtemps restée fiancée à un mangemort même lorsqu'elle était libre de se défaire de la promesse, Nephtys est regardée de travers la plupart du temps. Son sang pur n'aide en rien.
‹ particularité : voyante, affublée à sa naissance d'un don lui provoquant dans son sommeil des visions sporadiques et imprévisibles mais particulièrement violentes.
‹ faits : Orpheline de mère, il lui reste son père, Aswad Shafiq, devenu fou après l'attaque d'Herpo Creek.
‹ résidence : dans un appartement miteux sous les toits, quelque part dans un immeuble peu rutilant de l'allée des embrumes.
‹ patronus : un chacal, symbole de clairvoyance dans l’Égypte ancienne. Elle n'arrive que rarement à en conjurer une forme corporelle.
‹ épouvantard : Tantôt, elle craint que l'on abrège les souffrances d'Aswad et panique. Parfois, elle se dit que ça serait pour le mieux, moins égoïste. A ce moment là, sa véritable peur prend le dessus. Elle voit les gros titres, "Mangemort appréhendé et abattu" et l'avis de décès de Nott quelques lignes plus bas.
‹ risèd : Theodore en sécurité, avec ou sans elle. Des nuits calmes. Du silence. Ne plus rien sentir, à défaut de l'avoir lui.
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