| Oscar feat nico mirallegro • mischievous wink | • surnom(s) ; au choix, cela dépendra du prénom. • naissance ; en 1980, lieu au choix. • ascendance; sang-mêlé (père cracmol et mère née-moldu) ou bien sang-mêlé (mère sorcière et père né-moldu). • camp ; celui des insurgés, il ne pouvait pas en être autrement. • réputation ; au choix. • état civil ; au choix, mais je le voyais bien célibataire. • rang social ; je le voyais bien en tant que fugitif. • épouvantard ; au choix. • risèd ; au choix. • caractéristiques ; au choix. • particularités ; au choix, ce n'est pas obligatoire. • objets ; au choix • caractère ; impulsif, franc, bagarreur, souriant, hyperactif, observateur. |
• infos sur le pv ; • Pour ses parents, j'avais deux idées en tête comme dit plus haut. Dans la première, son père était un cracmol et sa mère une née-moldu, donc je voyais une certaine tension dans la famille. En dévoilant ses pouvoirs, son père aurait pu lui en vouloir d'être ce que lui ne sera jamais, donc lui montrer par une certaine violence. Dans la seconde, sa mère aurait été une sorcière (elle serait morte quand il était très jeune) et son père un né-moldu, donc il aurait grandi dans l'ignorance du monde magique. À vous de choisir ce qui vous arrange le mieux. • A Poudlard, il a été envoyé soit à Gryffondor ou à Serdaigle, même si je le vois bien dans la première. • Il est en fuite depuis au minimum sa sixième années, cela dépend du choix par rapport à sa famille, mais en tout cas, il est contre ce gouvernement et fera tout son possible pour que les choses changent. Euphrosine d'Anjou • rosie tupper | Même âge, maison différente, aucun lien n'aurait dû naître entre eux. Euphrosine ne pensant qu'à une chose, les apparences et le jeune homme cherchant à se faire une place dans ce monde qui lui était totalement inconnu. Chacun a grandi dans son coin, construisant des amitiés dans ce qui était devenu sa seconde maison, jusqu'à ce jour, lors de leur cinquième année quand tout à changer. L'un et l'autre, deux étrangers se retrouvant pour un devoir, le début d'une histoire qui n'allait pas être simple. Impossible pour la jeune fille d'accepter de se retrouver en public avec un garçon comme lui, pendant qu'Oscar avait du mal à se faire à l'idée de se retrouver avec une fille à papa qui ne pensait qu'à elle. Des frictions, des mots plus haut que l'autre et un jour, un baiser. Euphrosine a choisi ce geste pour lui couper la parole, ce qui a plutôt bien réussi. Une passion certaine, mais toujours une certaine rancoeur l'un envers l'autre. Une fois leur devoir fini, ils ont cherché à reprendre leurs vies chacun de leur côté, oubliant ce que l'autre pouvait lui faire ressentir. Plus facile à dire qu'à faire. Rapidement les rendez-vous secret se sont succédé, jusqu'à ce que l'évidence les frappent tous les deux, ils étaient amoureux. Un coup plus que dur pour chacun, leurs différences étant beaucoup trop présentes. Leur relation est restée secrète jusqu'à ce que Oscar commence à en avoir simplement marre de devoir faire attention, à la voir en compagnie d'autres garçons sans que lui puisse être avec elle. Pareil du côté d'Euphrosine, dont la jalousie était de plus en plus palpable au fil des mois, cela a bien entendu fini par une rupture plus que difficile pour les deux, surtout pour la demoiselle. Les choses sont devenues vraiment tendu entre eux ensuite, elle essayant de lui faire payer ce choix de mettre fin à leur histoire pendant que lui essayait de se reconstruire de son côté. Aujourd'hui il est en fuite et elle fait sa vie, ayant encore un peu de rancoeur envers lui et cela malgré les années. - Spoiler:
« Reste. » Sa voix était autoritaire, presque impérieuse et le garçon avait stoppé son geste sous son injonction, comme-ci un sort l'avait bloqué sur place. Elle ne voyait que son dos, mais il n'était pas difficile de savoir qu'il aurait voulu être ailleurs qu'avec elle en ce moment même, à l'autre bout du monde si possible. « Pourquoi je ferais ça, on n'a plus rien à se dire. » Euphrosine senti ses yeux lui brûler, il était inconcevable qu'elle se mette à pleurer et encore moins pour un garçon qui ne pouvait pas comprendre le monde dans lequel elle vivait. C'était le même que le sien, mais il était tellement dissemblable au sien. Tout aurait pu les rapprocher, mais il y avait beaucoup trop de choses qui les séparaient. Pourtant, elle était prête à tout pour ne pas le perdre, car même s'il était trop difficile de l'avouer, il avait pris de l'importance dans sa vie, dans son cœur. Ah, comme elle pouvait se détester à ce moment précis, elle qui riait encore des filles dans sa situation il y a quelques mois. Le destin pouvait vraiment être une saloperie. Perdue dans ses pensées, elle ne l'avait pas vu se retourner et lui faire face. « Dis-moi, pourquoi je devrais rester face à une fille qui n'a pas le cran de faire face à ses amis, à ses sentiments ? On est beaucoup trop différent, on va finir par se faire souffrir de la pire des manières. » Il avait raison sur ce point, mais elle était beaucoup trop égoïste pour le laisser partir, pour ne plus l'avoir auprès d'elle dès que le besoin s'en fait ressentir. Comment est-ce qu'elle ferait quand sa mélancolie reprendrait le dessus, quand elle se poserait encore une fois la question qui avait traversé son esprit alors qu'elle était encore une petite fille ? Il avait un pouvoir sur elle, un pouvoir qui lui faisait du bien et beaucoup de mal en même temps. « Si tu pars, je te le ferais payer de la pire des manières. Tu es à moi. » Jamais cette façade de sa personnalité avait jailli avec autant de force, cette empreinte de possessivité. Non, l'amour n'avait jamais fait partie de sa vie avant, mais la souffrance non plus. Il ne semblait pas avoir peur de ses menaces, après tout, il savait de quoi elle pouvait être capable pour avoir été lui-même auparavant la victime de certaines de ses blagues. De ses paris. « Je n'appartiens à personne, Euphrosine, surtout pas à toi. » Cette fois, il avait atteint la limite et sans s'en rendre compte, sa baguette avait trouvé avec une agilité déconcertante sa gorge. Elle laissa glisser le bout le long de sa carotide tout en plantant son regard dans le sien. Il n'allait pas lui échapper, pas de cette manière. « Tu ne sais pas à qui tu parles, je ne te laisserais pas partir. » Une larme glissa sur sa joue pendant qu'elle le tenait toujours en joue, attendant enfin qu'il lui dise qu'il ne pourrait pas la laisser, mais sa réponse ne venait toujours pas. Au bout de près de dix minutes, elle laissa tomber son bras avant de secouer la tête, pour la première fois de sa vie, elle devait faire face à une défaite. La colère l'envahit et ses poings trouvèrent la surface dur du cachot dans lequel ils se trouvaient, celui qui avait abrité aussi leur premier baiser, le vrai, celui qui lui avait fait ressentir bien des choses. Ses doigts lui faisaient mal, mais cette souffrance était la bienvenue, elle lui faisait momentanément oublier celle de son cœur qui tambourinait dans sa poitrine. Des bras l'entourèrent, les siens, ceux qui lui faisaient tout oublier. Les larmes coulaient enfin, celle qu'elle refoulait depuis tellement d'années et faisait ressortir le pire en elle. « Arrête... Arrête de te faire du mal. Je resterais qu'à une seule condition, celle que tu assumes enfin ce qu'il y a entre nous. » Son corps cessa de ce rebeller et elle quitta l'étreinte de ses bras avant de reprendre la parole. « Tu sais que je ne peux pas et l'unique raison est que je t'aime, si je m'ouvre, tu souffriras et je le refuse. » Si quiconque devait être au courant de leur histoire, elle savait que très peu de ses amis l'accepteraient et que ça pourrait très mal tourner. Il devait l'accepter, il ne pouvait pas en être autrement. Mais en le voyant reculer doucement, elle savait que tout était perdu, totalement. « Je souffre déjà, je souffre de devoir t'aimer en secret et j'en est marre, alors c'est fini. » En le regardant sortir, Euphrosine compris qu'il avait raison, c'était fini, tout était fini.
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Prénom P.² Nom • célébrité Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. | |
Prénom P.² Nom • célébrité | Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. |
Prénom P.² Nom • célébrité Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. | |
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