☇ Avis sur la situation actuelle ; exécution des rebuts / intervention des insurgés, comportements étranges au sein de la population (fanatisme soudain de personnes qui, à peine quelques semaines plus tôt, se plaignaient du gouvernement), dégâts, propagande anti-insurgés sur la base des dégâts qu'ils causent...

☇ Infos complémentaires ; Moira est loup-garou et bien loin de voir ça comme une malédiction, elle accepte sa nature. Elle se sent entière, elle se sent complète. Elle vit loup à chaque moment, chaque instant et grâce à cela, elle a un certain contrôle sur elle-même. Il n'y a véritablement qu'à la pleine lune où elle devient vraiment dangereuse. •  Moira a été conçue pour sauver sa sœur aînée, Reagan, gravement malade. Mais la cadette est aussi malade : elle est anémique. Pourtant, elle nie complètement sa maladie. Elle a échoué à sauver sa sœur et vit avec cette culpabilité en elle, chaque jour – ça la ronge. Alors Moira décide de défier la mort régulièrement et se met souvent dans des situations dangereuses, rien que pour titiller cette pétasse qui lui prendra sa sœur. • Moira est une experte en explosifs artisanaux. Ses parents sont des membres actifs de l'IRA et la jeune femme est une habituée des réseaux terroristes des Irlandais indépendantistes. Elle a appris très tôt à faire exploser un peu tout ce qu'elle avait sous la main. Avec deux trombones et une bouteille, vous en faites une pyromane de base. • Moira a un rapport particulièrement malsain avec la mort. Elle y est insensible, car confrontée depuis toujours ou presque. Sa sœur doit mourir un jour, elle le sait et refuse cette idée. Mais elle parle de la mort avec des propos souvent très crus, violents et sans gène. Elle n'a pas peur de mourir, mais elle craint plus que tout le vide que la mort laisse autour des gens. Elle a quand même cette fascination un peu morbide pour la mort... • Moira ne se laisse pas approcher facilement. Tellement animale qu'il faut agir comme avec eux, à petite dose, doucement. Il faut de la patience pour apprivoiser cette sauvageonne. Elle a de ce fait très peu voire pas d'amis du tout, mais un bon paquet de gens qui ne peuvent pas la voir parce qu'il se sont pris un poing dans la figure, se sont fait cracher dessus ou insulter. • Quand elle doit réfléchir, elle court, quitte à s'épuiser, quitte à s'écrouler. Elle court, jusqu'à ce que ses jambes ne la portent plus, jusqu'à ce que ses poumons demandent la pitié. Et même quand elle ne peut plus courir et qu'elle est à bout, Moira court. • Son prénom se prononce Moera, et non pas Moïra, et elle y tient particulièrement. • C'est sa troisième baguette, et à date celle avec laquelle elle a le plus d'affinités.  Elle a brisé sa première l'été de sa transformation, comme pour marquer son changement. Elle a longtemps conservé les deux bouts, elle faisait 28 centimètres, taillée en bois de cerisier et composée de crin de licorne. La seconde ( bois de frêne et composée d'une plume de Vivet d'Or), s'est brisée durant la bataille de Poudlard. • Moira est anémique, mais elle nie totalement sa maladie, prend très mal ses traitements. Sa maladie est à ses yeux une malédiction qui l'a empêchée de sauver Reagan quand il était encore temps. • Elle a définitivement renié Dieu depuis longtemps, après avoir cru en Lui fermement. Il ne lui a pas permis de sauver sa sœur, à quoi bon Lui accorder du temps ? •

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi Jean-Jacques. Je suis majeur et vaciné, je viens de l'île aux enfants et j'ai connu le forum via des gens biens.. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 31 jours sur 7. Un dernier mot ? Il dit qu'il a mal au genou.

❝Je ne veux pas gagner ma vie, je l’ai.❞Année & Lieu (capture + fuite)
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝If I only could make deal with God❞Année & Lieu (hosto + enfance)
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝If you could only see the beast you made of me❞Ete 1991 & Lieu
Moira court. Toujours. Elle sent le vent froid contre ses joues rougies, son souffle régulier mais néanmoins rapide qui alimente ses poumons, ses foulées sont régulières. Elle volcan, elle est aigle, elle est torrent, elle est cascade, elle est oiseau. Elle est libre et animale. Personne ne peut dompter cette petite teigne qui préfère les poings au dialogue, qui fait exploser avec plaisir tout ce qui lui tombe sous la main, qui porte des pantalons et des chemises de garçons, qui rechigne pour prendre un bain et démêler ses cheveux. Moira, se bat contre la vie et contre la mort. Et pour s'oublier, elle court. Même si elle se fatigue, même si ses jambes sont lourdes, même si elle ne devrait pas. Il y a tant que de choses qu'elle ne devrait pas faire de toute façon. Manger trop gras, traîner avec les garçons du coin, ne pas manger de carottes parce qu'elle déteste ça, ne pas oublier de prendre ses médicaments, ne pas faire trop de bruit quand Reagan se repose. Pour ne pas faire tout ça, Moira court.

Elle court à sa perte, l'affronte et la regarde droit dans les yeux, un petit sourire narquois sur les lèvres, elle y plonge et se roule dedans. Les yeux grands ouverts.

Moira fuit la ferme de famille, fuit les regards de ses parents, tristes, déçus, inquiets. Elle n'est pas normale, elle le sait. Sorcière. Fut un temps où on les brûlait. Ses parents, eux aussi, préfèrent choisir de ne pas savoir, ne pas voir. Leurs filles vont dans une prestigieuse école pour leurs études. Voilà ce qu'on sait d'elles. Pas grand chose.

Moira fuit.

Elle court, et arrive à la lisière de la forêt. Elle s'y sent bien, parmi les arbres, les oiseaux, les renards, les insectes, ce silence oppressant d'où fourmille une quantité impressionnante de petits sons trahissant une vie riche. C'est l'automne, bientôt l'hiver. Les feuilles sont teintées de couleurs d'or, oranges, jaune, marron ; ça sent bon. A l'aube de la nuit, elle aime encore plus la forêt.

Moira marche maintenant, respire l'air à grande goulée avide. La tête lui tourne, comme à chaque fois qu'elle fait trop d'effort. Pourtant, ce n'est pas ça qui la dérange. Non, elle le sent au plus profond d'elle-même, il y a quelque chose dans la forêt, qui ne devrait pas y être. Quelque chose d'inconnu. De dangereux, d'anormal. Mais elle ne peut pas l'identifier, ne sait pas trop d'où ça vient. Moira s'assoit au pied d'un arbre pour se reposer un peu. Il faudra revenir après, rentrer. Autant ne pas trop s'éloigner.

Et puis le hurlement.
Un regard fixe.
Un bond.
Une douleur atroce. Intolérable.
Un hurlement. Long et déchirant.
Une chute. Longue, lente et vertigineuse, vers l’enfer, vers les entrailles de la mort.
Un réveil. Insupportable. Une prise de conscience.

Moira n'est plus totalement la même. Elle le sent dans ses veines, ça court, ça brûle, ça attaque, ça fait mal. La part animale de Moira se bat contre cette intrusion, lui tourne autour, la titille, la nargue, l'apprivoise, l'amadoue et se fond avec elle. Finalement.

Moira est une louve.

Mais elle l'a toujours été. Elle peut hurler, maintenant.

❝God blesse❞Année & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu(Reagan)
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.