☇ Avis sur la situation actuelle ; exécution des rebuts / intervention des insurgés, comportements étranges au sein de la population (fanatisme soudain de personnes qui, à peine quelques semaines plus tôt, se plaignaient du gouvernement), dégâts, propagande anti-insurgés sur la base des dégâts qu'ils causent...

☇ Infos complémentaires ; Ses premières toiles ont été exposées alors même qu’il n’avait que quinze ans, signées par l’unique lettre « C », sans qu’il ne dévoile son identité. C’est à l’âge de vingt-deux ans qu’il confia à un marchand d’art, l’œuvre qui le rendit célèbre : Le poison de Circé. Un nu qui créa tumulte et outrage parmi les sorciers les plus conservateurs, non seulement pour les parties du corps exposées mais également parce que… c’était un nu de sa propre sœur. • Il est tendre et attentionné, soucieux de son entourage, de l’humanité en général. Quelques mots doux prêts sur la langue pour réchauffer les cœurs, un ou deux sourires pour réchauffer les corps. Cléanthe est facilement submergé par les émotions, n’ayant aucun contrôle, aucune envie de s’en séparer.  • Malsain au possible, il n’est pas toujours tendre et souriant. Il a une fascination morbide pour la Mort. L’impression délirante de parvenir à voir les humains sous leur linceul funeste. • Beaucoup trop de démons, là, dans sa caboche, surtout causés par le mal-être du peintre. Une tripotée d'addictions, surtout les psychotropes. • Il n'a aucune gêne et aucune retenue ; certains diraient qu'il est seulement vulgaire. Lui, il se décrit comme quelqu'un de libéré, de tout, surtout des chaînes. Des chaînes imposées par la société. • Avant-gardiste, son esprit est en constante ébullition : pourtant, il n'est pas protégé du syndrome de la toile vierge. Qu'il redoute, qu'il fuit. Ne rien créer, c'est son pire cauchemar. Même s'il trouve un millier de défauts dans ses créations. C'est maladif, les traits s'enchaînent, il a besoin de les démêler et d'en construire des histoires. • Du duo Moriarty, il est le plus machiavélique, en parfaite contradiction avec l’aura d’innocence qu’il dégage. • Ancien élève de Hufflepuff. Dès les premières secondes de sa répartition, il avait supplié le Choixpeau d’y être placé. Tout en se gardant les véritables raisons qui l’ont poussé à vouloir entrer dans cette maison. D’après lui, les Poufsouffles sont les moutons les plus loyaux, parfaits pour prendre le pouvoir et instaurer l’esclavagisme. Pas sûr qu’il y soit arrivé.

❝ Nothing compares to you ❞ l’humilité, c’est pas quand y’a des infiltrations ?
Appelez-moi obsidienne/anna (harry-cow). J'ai 23 ans, je viens de paname et j'ai connu le forum via diams & vitaa. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 8 jours sur 7. Un dernier mot ? la réponse D.

❝ I find beauty in the grotesque and macabre ❞Année & Lieu
  Chaque détail minime est gravé dans sa mémoire. Au fer rouge, sa boîte crânienne cabossée supporte toutes ces données furtives qui s'insinuent et se fondent dans sa mémoire. C'est un bel avantage de pouvoir se souvenir des rencontres hasardeuses, de ces femmes qui glissent sous son regard d'azur et qui marquent son esprit. Elles sont nombreuses, elles sont ses muses – un mystère qu'il n'a jamais élucidé. Le mystère féminin dans toute sa splendeur. Ces femmes qui donnent naissance. Ces femmes qui ont du pouvoir. Ces femmes qui plient l'échine. Ces femmes défigurées. Ces femmes époustouflantes de beauté. Cléanthe est un fervent défenseur des droits des femmes, il leur donne du pouvoir et leur vole de l'inspiration. L'homme n'est que second, il se repose sur ses acquis, sur sa force, il n'est que banalité et futilité. La femme est reine dans ce monde, elle est la mère du monde. Elle est pleine de non-dits qu'aucun homme ne saisit. Elle transforme ses silences en cris, elle garde jalousement ses rancœurs en son sein. Parfois, elle les dévoile, fragment après fragment. La femme est surprenante, pleine de défauts mais surtout de qualités. La femme est parfaite dans ses imperfections, incohérente dans sa cohérence. Elle donne la vie. À de nombreux enfants. Ces enfants seront pour l'éternité les enfants d'une seule mère – la reine dans leur monde en friche. Cléanthe n'a plus de père, fauché dans sa quarantaine. Il est rapidement devenu le fils prodige d'une mère, d'une femme qui lui a tout donné, une femme qui l'a tant inspiré. Même si elle s’est montrée dure avec lui, il est certain que c’était pour son bien. Il l'a placée au centre de son monde, captant l'inspiration à travers ses sourires et ses rires ; il a peint Femme avec un éventail à l'âge de quatorze ans pour elle. Pour sa sœur également, pour les femmes de sa famille, pour les femmes du monde entier. Même celles qui tournent mal, celles qui embrassent les ténèbres. Cléanthe les trouve courageuses malgré les idéaux qui divergent. Car les idéaux n'entrent pas en compte quand il s'agit de clamer haut et fort l'importance des femmes dans cette société qui stigmatise. Ce monde appartient aux femmes et l’a toujours été.