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sujet; Dennis :: i remember when this road was my own

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Dennis :: i remember when this road was my own Empty
Dennis Crivey
feat Evan Peters • crédit Tumblr
❝ We're running in circles again ❞Groupe ici ; PV

☇ pseudo complet & surnom(s) ; Dennis Crivey, plus connu sous le pseudo de Rodent quand il écrit pour le Phare à "on"
☇ naissance ; il est né le 14 février 1982 à Liverpool
☇ ascendance; c'est un né moldu, ce qui a d'ailleurs valu à son grand frère, Colin de se faire pétrifier par le Basilic de la Chambre des Secrets
☇ métier ; journaliste pour le Phare à « on », sous le pseudo de Rodent, il publie de nombreux articles dont le but premier est de dénoncer les actions du gouvernements, mais également celles des insurgés lorsqu'ils se risquent à dépasser les limites eux aussi. Il a conscience que la carte du « il n'y a pas d'omelette sans casser d’œufs » est bien trop souvent brandie par les deux camps et il n'a pas l'intention d'épargner l'un ou l'autre dans son journal...
☇ camp ; fondamentalement, il serait plutôt associé au camp des insurgés puisqu'il ne soutient pas du tout le gouvernement qui lui a entre autre arraché son grand frère, cependant, il ne se prive pas pour dénoncer les exactions des insurgés dont il a eu vent grâce à ses informateurs. Il n'appartient donc en somme à aucun camp spécifique, puisqu'aucun ne veut de lui et qu'il préfère adopter une position plus objective sur la situation.
☇ réputation ; Dennis est vu comme le gars marrant et charmeur, mais dont il vaut mieux se méfier : les insurgés notamment savent qu'il n'aura aucun scrupule à retourner leurs tords contre eux en les exposant dans la presse. Il vaut mieux tourner 36 fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoi que ce soit au journaliste, car même s'il n'est pas aussi agaçant et tête à claque que Rita Skeeter quand il récolte des infos, il n'empêche qu'il retient et entend tout. Et ça, ça ne plait pas à tout le monde. D'ailleurs, le gouvernement s'est mis en tête de l'arrêter, preuve que sa réputation n'est pas au beau fixe de tous les côtés...
☇ état civil ; célibataire, mais souvent bien accompagné... le sourire en coin et la vie de vagabond, ça fait des ravages. La belle gueule aussi.
☇ rang social ; compte tenue qu'il affirme clairement son opposition au gouvernement de Voldemort mais qu'à côté il ne fait pas partie des insurgés, on peut dire qu'il est plus bas que bas dans la hiérarchie sociale.
☇ baguette ; sa baguette fait 24cm, elle est flexible et faite en bois de séquoia avec du crin de licorne en son cœur.
☇ épouvantard ; Greyback, l'horrible loup-garou qui accumule les victimes pour la gloire de son espèce
☇ risèd ; dans le reflet du miroir, il voit son frère Collin, en vie, tout simplement. Pas de fantasme héroïque ou de pouvoir acquis, simplement un semblant de famille retrouvé.
☇ patronus ; un énorme grizzly qu'il fait surgir en pensant à un jour d'été, à l'époque où tout allait bien, à l'époque ou Colin était encore là.
☇ particularités ; une langue bien pendue, des oreilles partout, un sourire ravageur et un esprit aiguisé : il ne lui en faut pas plus.
☇ animaux ; sa ratte rousse qu'il a appelé Kitty
☇ miroir ; Il n'est pas insurgé et n'en possède donc pas.

☇ Avis sur la situation actuelle ; Dennis s'est toujours senti proche des insurgés et a longtemps hésité à les rejoindre. De ce fait, il partage la plupart de leurs convictions (si ce n'est toutes). Mais ne serait-ce qu'en temps d'être humain et né-moldu, voir des centaines de "rebuts" (le simple fait de savoir que certaines personnes, du fait de leur naissance, puissent être considérés comme des déchets lui donne envie de gerber) se faire exécuter purement et simplement, ça lui donne envie de tout cramer. Il a donc été le premier à applaudir l'intervention des insurgés.
Oui, Dennis a de la sympathie pour les idées des insurgés. En revanche, il n'approuve pas leurs méthodes. Cela ne va pas au point de se laisser berner par la propagande gouvernementale contre les insurgés en exposant les dégâts de leurs actes mais il ne cache pas le fait qu'il s'oppose à leurs actions violentes. La preuve, il est le premier à les dénoncer dans son journal. Mais à côté, il enfonce bien le gouvernement, ça permet un certain équilibre...
Dennis a une méchante tendance à fouiner partout et à chercher des explications quand les choses lui semblent trop obscures. Ainsi, il est devenu particulièrement curieux de savoir ce qui a bien pu se passer dans la tête d'une population prête à entamer une révolution pour glisser si soudainement dans le fanatisme d’État. Il s'est donc mis en tête de mener une investigation à ce sujet...

☇ Infos complémentaires ; Il a un tatouage sur l'omoplate gauche, un dragon à deux têtes qu'il a fait faire après avoir pris la décision de faire cavalier seul en exposant au grand jour la vérité, toute la vérité et seulement la vérité à propos des deux camps s'opposant dans cette guerre. Ça n'a rien à voir avec le dragon mais cette explication est plus classe que "j'étais bourré, j'm'en souviens plus". Denis est un tombeur : il voyage beaucoup et apprécie la compagnie des femmes sans pour autant se risquer à leur faire de grandes promesses pour les attirer dans son lit. Quand elles le suivent dans sa chambre, elles savent en général que ce ne sera que pour une nuit et qu'il aura probablement déjà disparu au petit matin. Quand Dennis doute, qu'il se sent acculé sous le poids de la solitude ou qu'il a l'impression d'être sur le point de craquer, il bidouille un vieil appareil photo ayant appartenu à son frère. Ça le détend. Dennis a un humour mordant et n'hésite jamais à user du sarcasme : il fait confiance au pouvoir que peuvent avoir les mots, aussi bien prononcés qu'écrits et a déjà pu constater que surprendre l'ennemi avec la blague la plus stupide de l'histoire de l'humanité peut être aussi efficace que lui jeter un petrificus en pleine tête. En tout cas, ça laisse le temps de se faire la malle... Il adore les animaux mais a un peu de mal avec les chats depuis que l'un d'eux a failli bouffer sa ratte Kitty. Il faut dire aussi qu'en essayant d'arrêter le félin, ce dernier lui a donné un coup de patte dans la poire qui a manqué de peu d'assommer le pauvre Dennis. Depuis, il se méfie, même du petit chaton tout mignon ... Il possède de nombreuses chouettes qu'il a retrouvées seules suite à la disparition de leurs maîtres et maîtresses. Il a d'abord récupéré celle d'un de ses amis de Poudlard tombé au combat, puis a décidé de recueillir toutes celles qu'il trouvait sur sa route. Désormais, il ne manque jamais de messagers pour transmettre ses articles au journal et puisque ce n'est jamais le même hibou ou la même chouette, les risques pour lui de se faire retrouver sont réduits. Il est littéralement accro au chocolat : il a toujours une plaquette sur lui et serait capable de péter un plomb si on l'en sevrait trop longtemps. Il prend parfois le risque de s'attarder dans des centres commerciaux juste le temps de trouver du bon chocolat et pousse le vice au point de se rendre malade à force d'en bouffer quand il a besoin de se "remonter le moral" (on sait tous que c'est une excuse bidon pour se goinfrer sans culpabiliser mais bon...)

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Bib l'Eponge. J'ai 19 ans, je viens de la région parisienne et j'ai connu le forum via deux gueuses, j'ai nommé neir (Sansa) et Anna (Harry). Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [X] oui / [] non. Un dernier mot ? :jambon: parce que rien que pour cet emoji, je vous aime déjà  rougit



Dernière édition par Dennis Crivey le Ven 9 Oct 2015 - 1:13, édité 3 fois
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I was livin' in the heat of the moment
I lost the feelin but I try to hold on


❝Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, et, te sentant haï, sans haïr à ton tour1986, Liverpool

« Je maintiens que c'est pas une bonne idée...
- Roooh mais si Cathy, t'inquiète ! Pas vrai Dennis ?
- Ouiiii ! »

Le petit garçon de 4 ans trépignait d'impatience à l'idée de commencer le jeu. Installé dans la petite caisse à roulettes dans laquelle se trouvaient les bouteilles de champagne quelques heures plutôt, il jeta un regard impatient en direction de son frère Colin âgé de 2 ans de plus que lui, et de sa cousine Cathy, manifestement très sceptique face à l'idée des deux frangins du haut de ses 7 ans. Pourtant Dennis ne voyait pas où était le problème. Le plan était simple : Colin poussait la caisse dans laquelle le plus jeune se trouvait pour qu'il puisse descendre toute la route très raide qui menait à la salle des fêtes dans laquelle la famille Crivey fêtait le mariage d'une des tantes éloignées. C'était un peu comme un toboggan géant quoi, autrement dit ça promettait d'être franchement marrant.

« Il a même pas de casque ! tenta d'insister Cathy.
- Mamie dit toujours que j'ai la tête dure, s'exclama Dennis avec fierté. Même pas besoin de casque !
- Voilà, tu vois ça va être chouette, renchérit Colin au comble de l'impatience. Bon on y va ? Prêt Dennis ?
- Prêt !
- Alors c'est partiiii ! »

Colin se plaça derrière son frère, attrapa le bord de la caisse et commença à courir en direction de la pente devant eux. Le plus jeune poussa un cri de joie en sentant qu'il prenait de la vitesse et leva les bras au ciel sous le regard un peu inquiet de sa cousine. Finalement, Colin lâcha tout et Dennis entama la descente de la côte en hurlant de rire. Le vent lui giflait le visage, faisant voler ses boucles blondes de garçonnet et colorant ses joues rondes de rouge. Dennis était aux anges, il se sentait grand comme son frère et se risqua même à se retourner pour lui faire coucou. Ce dernier lui répondit d'abord avec de grands signes et un sourire jusqu'aux oreilles mais tout d'un coup, il sembla déchanter et blêmit en se mettant à courir à lui suite de son petit frère.

« Dennis attention ! hurla Cathy un peu plus haut. »

Dennis se retourna pour voir ce qu'il se passait devant lui et ses yeux s'écarquillèrent de terreur : il se dirigeait tout droit vers une voiture. Une voiture stationnée certes, mais une voiture quand même. Et sa petite caisse n'avait pas de freins. A cet instant, Dennis regretta de ne pas avoir de casque. Il poussa un hurlement avant de se prendre le pare-choc de l'automobile en pleine poire. A moitié assommé, il se retrouva projeté sur le bitume de la route et poussa un petit gémissement de douleur. Cathy et Colin arrivèrent rapidement près de lui et se laissèrent tomber à genoux à ses côtés pour s'assurer que tout allait bien.

« Dennis ? Dennis ! Ça va ? Tu as mal où ? demanda la fillette complètement paniquée.
- J'ai tué mon frèèèèère, pleurnicha Colin en enfonçant son doigt dans la joue du petit blond agonisant sur le béton.
- Crétin ! rouspéta sa cousine en lui donnant un coup sur le crane. Il est pas mort !
- Geeeuuuuh, marmonna Dennis. »

Cathy et Colin cessèrent immédiatement de se disputer et aidèrent le petit garçon à se mettre en position assise. Il avait plusieurs écorchures sur le visage, la lèvre fendue et l’œil droit légèrement bleuté mais sinon tout avait l'air d'aller.

« Ça va frérot ? s'enquit quand même Colin.
- C'était... trop cool, lâcha Dennis avec un grand sourire. »

Sourire que lui rendit son frère tandis que Cathy poussait un soupire d'exaspération totale. Aaah les garçons...

« Quand est-ce qu'on r'commence ? demanda Dennis en se relevant.
- On recommence pas ! s'écria sa cousine avec humeur. T'as déjà failli finir en bouilli une fois, maintenant c'est bon j'ai eu ma dose !
- DENNIS ! CATHY ! COLLIN ! MAIS QU'EST CE QU'IL S'EST PASSÉ ?? »

Les trois enfants se retournèrent comme un seul homme et se retrouvèrent nez à nez avec la mère des garçons qui frôla l'attaque en voyant l'état de son cadet. Dennis grimaça. Aïe, les ennuies allaient commencer...

Mais pas grave, c'était quand même super marrant.

❝ Si tu peux supporter d’entendre tes paroles travesties par des gueux pour exciter des sots1994, Poudlard


Au milieu de toute la foule des nouveaux petits premières années, Dennis attend au comble de l'excitation. Toujours emmitouflé dans le gros manteau qu'Hagrid lui a prêté suite à sa chute dans le lac, il observe tous les élèves passer les uns après les autres pour être répartis dans les différentes maisons de Poudlard : Serpentard pour les uns, Serdaigle pour les autres ou encore Poufsouffle et Gryffondor. Lui sait déjà où il veut aller : Gryffondor est la maison de son grand frère et modèle, Colin, il est donc à ses yeux évident qu'elle sera également la sienne. De toute façon, tout le monde s'est toujours accordé pour dire que Colin et lui se ressemblent comme deux gouttes d'eau, il n'y a donc en principe pas de raison pour que lui se retrouve à Poufsouffle ou Serpentard ! Dennis est donc confiant. Même si au fond de lui, l'angoisse pointe un peu. Pour éviter de se mettre à paniquer bêtement, il prend le temps d'observer la Grande Salle de Poudlard : ses cierges flottants, son plafond comme une nuit pleine d'étoiles... Il n'a jamais vu, jamais imaginé quelque chose d'aussi époustouflant, d'aussi beau, d'aussi... magique. Et pourtant, Merlin sait que Colin lui en a raconté des choses sur la fameuse école des sorciers ! Des récits qui commençaient par « Tu verras, quand tu seras à Poudlard... », il en a eu à la pelle ! Et il ne compte même pas tous ceux qui incluaient le nom Harry Potter ! Mais son frère n'avait manifestement pas pensé à lui parler du château en lui-même. En même temps, comment le lui reprocher ! Pourquoi un petit garçon de 10 ans se serait intéressé à l'architecture ? Mais Dennis est curieux et apprécie les belles choses à leur juste valeur. Toutes les belles choses. Et surtout les filles depuis un moment...

Alors qu'il est justement en train d'observer à la dérobée une jolie demoiselle installée à la table des Poufsouffle, son nom résonne dans la salle et il se redresse d'un coup, presque prêt à faire le salut militaire comme dans les films avec Richard Gere que sa mère regarde tout le temps à la télé. Mais il se ressaisit rapidement et se précipite vers le tabouret, prêt à recevoir le Choixpeau sur sa tête. A peine installé, il sent le couvre-chef magique s'agiter sur son crane et marmonner des choses qu'il ne comprend absolument pas. En même temps, il s'en fiche un peu : il vient d’apercevoir son frère à la table des Gryffondor qui lui fait signe en croisant les doigts, histoire de lui montrer que lui aussi prie très fort pour qu'il intègre sa maison. Finalement, le Choixpeau ne met pas longtemps à se décider et beugle :

« GRYFFONDOR ! »

Des hurlements de joies se font entendre de la table de la maison du lion et Dennis attend à peine que le chapeau magique soit retiré de sa tête pour se précipiter vers son frère qui, pour l'occasion, s'est carrément levé du banc pour le prendre dans ses bras. Il lui présente toutes les personnes autour de la table, tous ses amis en gardant une main sur son épaule comme pour dire « Regardez un peu les gars, ça, c'est mon frangin ! ». En tout cas, c'est comme ça que le ressent Dennis et il n'en idolâtre que d'avantage son grand frère. Finalement, ils s'installent tous les deux côte à côte et Colin finit par retirer l'appareil photo autour de son cou pour le tendre à un garçon qui se trouve devant eux en lui disant :

« Tiens Neville, tu pourrais nous prendre en photo s'il te plaît ? »

Neville accepte avec plaisir et après avoir passé un bras autour des épaules de son frère, Colin lui murmure à l'oreille :

« Je suis super fier de toi frérot. »

Dennis a un sourire jusqu'au oreille. Il se tourne vers Colin, puis reporte son attention sur Neville qui commence le décompte à trois. Un... Deux.... Trois !

« CHEEEEEEEEEEEESE ! hurlent les deux frères. »

FLASH ! Le plus beau jour de la vie de Dennis est désormais imprimé dans une pellicule et à jamais dans sa tête.

❝ Si tu peux rester digne en étant populaire1996, Poudlard

« Dennis ! »

Dennis se retourne en se frottant le visage avec sa manche : d'après son ami Agoris, il a encore de la terre sur la joue, triste souvenir de la rencontre de sa tête avec le sol du jardin de Poudlard quelques minutes plus tôt, alors qu'il tentait de rattraper Kitty, sa ratte rousse. Non loin de lui, une jolie blonde qu'il n'a jamais vu (surprenant ça) le rejoint d'un pas précipité. Elle triture une mèche de ses longs cheveux en se mordillant la lèvre, et Dennis ne manque pas de remarquer qu'elle a les joues rouges (après, savoir si c'est à cause de sa course pour le rattraper ou parce qu'il l'intimide c'est une autre question mais il préfère se dire que c'est la deuxième solution parce que c'est bon pour l’ego). Il offre un sourire chaleureux à la fille (une Poufsouffle) et demande :

« Je peux faire quelque chose pour toi ?
- Oui euhm... Je me demandais si tu accepterais qu'un jour... Enfin si tu as le temps dans un futur plus ou moins proche tu voudrais bien... venir te balader avec... avec moi ? »

Dennis hausse les sourcils un peu étonné : des propositions de filles pour une balade ou autre, il en reçoit souvent cependant c'est la première fois qu'il en a une d'une parfaite inconnue comme ça. Mais rapidement il se ressaisit et répond, toujours avec son sourire gamin :

« Oui bien sur avec plaisir euh...
- Tarana ! Je... je m'appelle Tarana, se reprend la blonde en tentant cette fois de dissimuler un minimum son enthousiasme.
- Alors à bientôt Tarana ! »

Tarana lui fait un sourire jusqu'aux oreilles et part retrouver en sautillant ses amies postées un peu plus loin, attendant manifestement de connaître le verdict de cette mission rencard. Amusé, Dennis continue de se frotter la joue en l'observant, tandis qu'Agoris se rapproche de lui. Il n'a apparemment rien loupé de la scène puisqu'il lâche en posant une main sur l'épaule du cadet des Crivey :

« C'est fou ça : même avec une gueule de bouseux qui vient de rouler une pelle à mère Nature, elles te tombent toutes dans les bras...
- J'y peux rien si j'ai un charme tout simplement irrésistible, répond Dennis en haussant les épaules.
- Ouais bah si tu pouvais utiliser ton charme irrésistible pour convaincre la mère McGonagall de me filer une note pas trop à chier pour le prochain exam', franchement ça m'arrangerait...
- Désolé mon gars, passées 500 ans j'crois que les femmes deviennent hermétiques à mes avances de tombeur... »

Les deux garçons commencent à rire quand soudain ils sentent des doigts leur tirer chacun une oreille et en tournant la tête, constatent que c'est belle et bien la mère McGonagall qui est sur le point de leur arracher le cartilage. Dennis se dit que là, ça sent vraiment pas bon pour eux et il n'a pas idée d'à quel point il est loin du compte : c'est même pas que ça sent pas bon, c'est carrément que ça pue.

« Jeunes gens, on ne vous a jamais enseigné que parler de l'âge d'une femme est totalement à l'encontre de toutes les règles de politesse ? »

Dennis est légèrement tenté de lui demander si ces règles sont supposées s'appliquer aussi aux ancêtres proche de l'état de fossile, mais il a suffisamment de jugeote pour se dire qu'il vaut mieux la boucler s'il ne veut pas faire perdre 3 millions de points à Gryffondor. En revanche, Agoris n'est pas du genre à réfléchir plusieurs fois avant de lâcher des trucs vraiment très cons. C'est pourquoi le cadet des Crivey se dépêche de répondre :

« Si madame.... et on est vraiment désolés...
- Oui, ajoute Agoris, surtout que tout le monde sait que vous ne faites pas plus de 25 ans... »

Dennis ne sait pas si il a envie de se pisser dessus de rire ou de trucider son ami qui ne fait que les enfoncer tous les deux avec son numéro de charme aussi pourri que ceux de Gilderoy Lockhart (avant qu'il ne devienne sénile évidemment). McGonagall soupire en roulant des yeux et les traîne dans le couloir par la peau de l'oreille (faute d'être par la peau d'autre chose) sans se soucier des plaintes de douleur des deux garçons.

« Allez messieurs, je vais vous donner de quoi vous occuper intelligemment puisque manifestement, réfléchir ne vous réussit pas. »

Un peu plus loin, parmi la foule d'élèves amusés qui ne rate rien de la scène, Dennis aperçoit un petit groupe de filles qui lui font signe. Il leur répond avec un coucou de la main et un sourire avant de se faire rappeler à l'ordre par la vieille sorcière. Au moins, même si il risque de perdre son oreille, sa côte de popularité restera au beau fixe !

❝ Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir1998, Poudlard

C'est comme si le monde était à feu et à sang. Comme si jamais plus le ciel ne serait bleu, comme si plus aucun rire ne pourrait franchir les lèvres d'un enfant, comme si le bonheur avait été annihilé de la surface de la terre. A l'entrée de Poudlard, Dennis regarde les dégâts de la bataille. Les dégâts du massacre. L'armée de Dumbledore a été vaincue. Mise à genoux face aux forces colossales du Maître des Ténèbres. Maître qui n'a d'ailleurs même pas pris la peine de se présenter. Car après tout, la vie de centaines d'étudiants, de jeunes sorciers innocents lui importe peu. Le mal ne connaît pas la pitié. Le mal se fiche bien de l'importance d'une vie tant que ce n'est pas la sienne. Malgré la fumée qui pique les yeux de Dennis, malgré la chaleur suffocante des flammes flamboyantes non loin de lui, il ne parvient pas à détacher son regard de la scène de désolation qui s'étale devant lui. Il a le souffle court, le cœur lourd et les mains secouées de tremblements qu'il ne parvient, qu'il ne cherche pas à maîtriser. Il y a des cadavres partout. Beaucoup de cadavres. Trop de cadavres. De personnes qu'il avait croisées entre deux cours à Poudlard. Non loin, il aperçoit la jolie blonde de Poufsouffle avec qui il est allé se balader quelques fois à Pré au Lard. Elle s'appelait Emia et elle adorait les griffons. Désormais, Emia est étendu sur le sol dallé de la coure, son beau visage couvert de suie et de sang, ses beaux cheveux emmêlés et ses beaux yeux bleus vides de vie. Dennis sent un sanglot lui monter à la gorge à cette vue. Il veut se rapprocher d'elle, il veut tenter de faire quelque chose pour l'aider, n'importe quoi. Mais au fond de lui, il sait bien que c'est trop tard. Alors, difficilement, il tente de s'arracher à la vue du corps de son amie et porte son attention autre part. N'importe où, du moment qu'il ne voit plus ces deux grands yeux bleus...

Dennis renifle un coup, pour tenter sans succès de ravaler les larmes qu'il essaie de retenir depuis ce qui lui semble être des heures. Il prend une grande inspiration et s'apprête à retourner auprès de ses camarades prêts à prendre la fuite, non loin quand soudain son regard capte sur une touffe de cheveux blonds. Il fronce les sourcils tandis que son cœur se retrouve soudainement enfermé dans un étau de fer. Le corps qui a attiré son attention est loin, il ne voit pas bien. Et puis, il y a des centaines de blonds à Poudlard après tout ! Dennis se rapproche lentement, priant tous les dieux qu'il connaît pour que ce ne soit pas lui. N'importe qui, mais pas lui. Mais rapidement, le doute ne devient plus permis. Rapidement, l'abominable vérité le gifle en plein visage. Il n'arrive plus à respirer, le sang bat trop vite contre ses tempes, il se sent sur le point de tomber dans les pommes. Sa vue se brouille, mais ce n'est pas à cause l'inconscience qui le guette : ce sont les larmes.

« Non... pitié non, murmure t-il. »

Pourtant, c'est bien lui. C'est bien Colin Crivey qui est là, allongé sur le sol et sans vie. Son grand frère, son modèle, celui à qui il confiait tout. Ses jambes le lâchent d'un coup et il se retrouve à genoux aux côtés du corps de son aîné. Les larmes dévalent ses joues sans qu'il ne cherche à les essuyer, il ne comprend pas pourquoi c'est arrivé. Pourquoi lui ? Pourquoi lui prenait-on son seul frère ? Dennis se fout bien d'être un égoïste à cet instant, la seul chose qu'il souhaite, c'est que quelqu'un d'autre ait pris le sort ayant eu raison de Colin. Doucement, il attrape le corps de son frère par les épaules et le serre contre sa poitrine secouée de sanglots incontrôlables. Jamais de sa vie il ne s'est senti aussi mal, comme si une partie de lui venait de mourir avec Colin. Il voudrait que cette guerre n'ait jamais eu lieu, que Voldemort ne soit jamais venu au monde. Il voudrait que son frère et lui soient nés simples moldus comme leurs parents et le reste de leur famille. Après tout, ils n'avaient rien demandé eux !

Pendant de longues minutes, Dennis reste là, à bercer son frère tout en mouillant son visage, figé par la mort, de ses larmes. Finalement, il sent une main se presser sur son épaule et tenter de l'aider à se relever. Le jeune homme tente de lutter mais la voie de son ami Agoris le ramène à la raison :

« Dennis, il faut y aller. Je suis sincèrement désolé pour toi vraiment, mais on... on peut pas rester là.
- Je peux pas laisser mon frère ici, répond Dennis d'une voix brisée par le chagrin. Je peux pas l'abandonner...
- On a pas le choix, on pourra pas le transporter avec nous, explique Agoris qui prend sur lui pour ne pas s'effondrer lui aussi. Viens s'il te plaît... »

Dennis essuie son nez avec la manche de son pull, puis serre une dernière fois Colin dans ses bras. Agoris a raison, il ne peut pas l'emmener avec lui. Il aurait pourtant voulu lui offrir des belles funérailles. Mais le futur ne s'annonce pas propice à ce genre deuil. Le plus délicatement possible, il ferme les paupières de son frère, puis le dépose à terre avant de se lever. Ses jambes sont flageolantes, il a la tête qui tourne et l'idée d'abandonner le corps de son aîné ici lui donne envie de vomir. Mais Agoris ne lui laisse pas le temps de réfléchir et le tire à sa suite en direction des autres membres de l'armée de Dumbledore ayant survécu au carnage. Plus il s'éloigne de Colin, plus la tristesse se mélange à un nouveau sentiment : une haine sourde qui le ronge du plus profond de son être. Un désir malsain qui l'envahit avec une violence inouïe. Désormais, Dennis ne songe qu'à une chose. Désormais, Dennis n'a plus qu'un but.

Venger son frère.

❝ Si tu sais méditer, observer et connaître sans jamais devenir sceptique ou destructeur1999, Abords de Londres


Le vent hurle sur la route déserte qui relie Winkfield Row à Chavey Down. Le ciel est sombre et bas, aucun oiseau ne chante en ce matin de novembre. Tout semble mort et oppressant. Dennis a le cœur qui bat comme un fou dans sa poitrine, ses mains tremblent d'une façon qui semble presque maladive. Il tente de refouler en lui tous les sentiments qui ne ressemblent pas à de la haine. Il se remémore le jour de la bataille de Poudlard. Il se rappelle le moment où il a compris que son frère Colin l'avait quitté, qu'il ne serait plus jamais là pour l'accompagner, pour lui parler de ses dernières photos, pour lui raconter des histoires sur l'école des sorciers ou sur Harry Potter. Il se revoit tenir le corps froid et sans vie de son frère contre lui, puis se résoudre à le laisser là pour prendre la fuite avec les autres survivant. Dennis visualise mentalement sa vie cette dernière année, ces longues heures à tenter d'établir un plan pour rendre justice à son aîné, tout en tentant d'échapper aux Mangemorts qui ne manqueraient pas de le transformer en Rebuts si ils lui mettaient la main dessus. Toutes les nuits d'insomnies, toutes ces journées rythmées par la peur continuelle de mourir... Dennis se sent tellement fatigué à cet instant, tellement las. Et pourtant, ce n'est pas le moment de flancher. Car aujourd'hui, ce pourquoi il a tenu pendant un an est sur le point de s'accomplir. Aujourd'hui, il est plus proche que jamais de son but. Aujourd'hui, Dennis va tuer un Mangemort. Aujourd'hui, il va venger une bonne fois pour toute Colin.

La baguette pointée sur le sorcier au service du Seigneur des Ténèbres qu'il a désarmé quelques secondes plus tôt puis immobilisé, Dennis se concentre. La formule est sur le bout de ses lèvres, il n'a plus qu'à la prononcer. Il la connaît par cœur. De longues nuits durant, il s'est imaginé psalmodier ces mots interdits, ces mots qu'il s'était juré de ne jamais dire. Mais les choses ont tellement changé ! Peut on réellement le blâmer de revenir sur cette promesse silencieuse ?

Dennis prend une grande inspiration et regarde le Mangemort en l'imaginant tuer son frère de sang froid. Il tente de se persuader que c'est lui qui est responsable de la perte de Colin, que tout est de sa faute à lui, cet homme qu'il n'a jamais vu, cet homme qui a décidé de ne pas appartenir au bon camp. Ce camp qui s'est octroyé le droit de vie et de mort sur les autres. Mais qui sont-ils pour décider de qui doit mourir ou pas ? Qui leur a permis de choisir ? C'est alors que Dennis comprend une chose qui le frappe avec la violence d'un coup de poing dans l'estomac : et lui, lui Dennis Crivey, qui est-il pour prendre la vie d'un homme ? Tout Mangemort qu'il soit, il reste un être humain, et jamais Colin n'aurait cautionné que son petit frère donne la mort à un autre être humain, même pour le venger. Surtout pour le venger. Dennis comprend que si maintenant il décide de tuer cet homme, il ne vaudra pas mieux que celui qui a arraché la vie à Colin.

Alors, la vue brouillée par les larmes, il abaisse sa baguette. Lentement, mais sûrement. Quand sa main finit par effleurer sa cuisse, il renifle un grand coup et essuie ses yeux d'un geste rageur de la main. Il ne se sent pas mieux qu'avant, loin de là. Il est même écœuré de paraître aussi lâche. Mais au moins il sait qu'il n'aura pas à vivre le reste de son existence avec le poids de la culpabilité qui aurait pesé sur sa conscience si il avait tué cet homme. A croire qu'une fois de plus, Colin lui est venu en aide en lui ouvrant les yeux, où qu'il soit à présent. Dennis relève la tête et observe brièvement le ciel gris : il ne va pas tarder à pleuvoir. Il reporte son attention sur le Mangemort, toujours immobilisé devant lui. Une partie de lui lui souffle de lui infliger au moins un Doloris bien senti, mais il sait bien que cela ne changera rien. Alors il se contente de dire :

« Je ne suis pas comme les tiens. Je ne suis pas un meurtrier. »

Il a conscience en disant ces mots que si seulement la personne qui a tué son frère s'était dite la même chose avant de l'abattre, les choses seraient totalement différentes aujourd'hui. Il se rappelle alors un vieux dicton que sa grand-mère répétait souvent : la haine engendre la haine. Comme un cercle vicieux. Et Dennis ne veut être de ceux qui suivent les dictons à la lettre. Il se concentre donc sur l'endroit où ils ont trouvé refuge ces derniers jours, Agoris et lui, puis transplane, abandonnant là le Mangemort. Il ne rentrera pas avec un meurtre sur la conscience ce soir, mais avec la certitude que ce n'est pas par la violence que les choses finiront par se régler. Il y a forcément d'autres moyens. Et il se promet de les trouver.

❝ Alors tu seras un homme, mon fils. ❞2001, Liverpool

Assis sur le dossier d'un banc, Dennis se perd dans la contemplation de Liverpool. Cette ville qui l'a vu naître, là où il conserve ses plus beaux souvenirs d'enfance. Il aurait aimé parler à ses parents, leur dire que tout va bien, les aider à surmonter leur deuil, même des années après la mort de Colin, mais il n'a pas réussi à se résoudre à franchir le seuil de la maison. Il a eu trop peur de les mettre en danger en s'approchant trop d'eux. Plus que tout, il craint de perdre encore des personnes qui lui sont chères. Car la vie qu'il a choisi de mener est dangereuse et susceptible de signer l'arrêt de mort de toute sa famille, alors il s'efface comme une ombre, comme un souvenir. C'est finalement pendant la nuit précédente qu'il est parvenu à entrer dans la maison qui l'a vu grandir pour lancer un sort d'oublie sur ses parents. Pour leur bien, il le sait, pourtant prononcer la formule fut l'une des choses les plus difficiles qu'il eut à faire dans sa vie.

Il n'avait tout bonnement pas le choix. Dennis n'a pas de camps dans cette guerre, aucune protection. C'est un fugitif, purement et simplement. Les articles incendiaires qu'il envoie au Phare à « on », le journal clandestin, à propos du gouvernement et des insurgés a provoqué l'animosité des deux côtés à son égard. Désormais, il ne peut compter que sur lui même. Mais il s'est habitué à cette vie, il a même appris à l'apprécier. Frapper avec des mots lui semble être une bien meilleure méthode pour avancer dans cette guerre que faire couler le sang à tout va. Si personne ne se préoccupe des dégâts collatéraux du combat qui oppose les insurgés aux Mangemorts, alors lui se chargera de le faire. Finalement, peut être qu'il en a un, de camps : celui du peuple, de ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas se battre et qui subissent malgré eux la violence des batailles. Dennis sourit. Ouais, ça lui plaît ça.

Entre ses mains, il fait tourner un vieil appareil photo. Un de ceux que collectionnait son frère. Avant de partir de la maison familiale, le cadet des Crivey n'a pas pu s'empêcher de passer par la chambre de Colin et il en a profiter pour récupérer l'un des objets que chérissait le plus son aîné. Dennis se souvient de l'époque où il piquait toujours les affaire de son grand frère pour faire comme lui, pour lui ressembler. Il n'est pas encore très doué avec les appareils photo, ses clichés sont toujours mal cadrés ou avec un gros doigts sur le côté du plan (il ne sait pas comment il se débrouille à chaque fois pour foutre ses doigts là mais il faut croire que c'est une vraie malédiction chez lui). Mais il compte bien s’entraîner. Et puis en attendant, il peut toujours se rattraper en écrivant de bons articles. Là encore, il s'est vraiment exercé pour parvenir à pondre des trucs vraiment potables. Il a vite compris qu'être reporter de guerre, ça ne s'invente pas, et il a encore beaucoup à apprendre mais il persévère. Ce n'est pas dans son caractère de baisser les bras.

Dennis prend une grande inspiration et sourit au soleil qui se couche devant lui. Il ne sait pas quand il reviendra (ni si il reviendra un jour d'ailleurs), mais il a l'espoir que le jour où il rentrera, sa ville n'aura pas bouger. Il espère que jamais sa famille n'aura entendu parler de la guerre qui fait rage entre les sorciers. Dennis se lève, époussette rapidement son jean et jette un dernier regard sur sa maison avant de transplaner. En espérant qu'elle sera toujours là à son retour.



Dernière édition par Dennis Crivey le Dim 11 Oct 2015 - 16:03, édité 8 fois
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zsefrgth

EDIT.

ceci était uniquement pour réserver la première place hehe
HARRY S'IL TE PLAIT SOIS GENTIL, NE ME TUE PAS èé èé èé èé

+ bienvenue officiellement chez nous, mon jambon yeah :jambon: j'ai trop hâte de voir ce que tu vas faire de ce petit (mais diablement sexy) dennis iiih


Dernière édition par Sansa Rosier le Dim 4 Oct 2015 - 16:32, édité 1 fois
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HERO • we saved the world
Harry Potter
Harry Potter
‹ inscription : 04/06/2015
‹ messages : 4243
‹ crédits : killer from a gang (avatar) ; anaëlle (sign).
‹ dialogues : indianred
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‹ âge : vingt-trois (31/07/80)
‹ occupation : décédé depuis le 24/08/03.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1991 et 1997.
‹ baguette : en bois d'aubépine, mesure 30 cm et a en son cœur un crin de licorne (anciennement à Draco Malfoy) ; je suis également le maître de la baguette de Sureau.
‹ gallions (ʛ) : 8300
‹ réputation : je suis un dude très cool maintenant que j'ai tué Voldemort (rip).
‹ particularité : Fourchelang.
‹ faits : j'ai beaucoup changé, je suis devenu froid et maîtrisé, prudent et confiant ; les foutues répercussions de la guerre qui m'ont fracassé la gueule. Parmi les Insurgés, je suis Specs, anciennement parmi l'un des leaders des Audacieux. Membre du conseil de la RDP – les seuls étant au courant que je suis en vie. J'ai passé un marché avec Drow : 80 années de ma vie en échange d'un talisman prévu pour détruire l'horcruxe en moi.
‹ résidence : au 12 Grimmauld Place (Sirius m'a désigné comme étant son héritier pour reprendre la demeure familiale des Black).
‹ patronus : un cerf
‹ épouvantard : un détraqueur (la peur elle-même).
‹ risèd : mes parents, une femme et des enfants - une famille complète.
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o

edit; JE SUIS FORCE ROUGE AKA DESPOTISME, JE TE SALUE FORCE BLANCHE AKA LA VICTIME hinhin

daaamn toi ici, ça promet ptn ça m'émoustille dans mon dedans puissance huit youpi on bz ? dents


Dernière édition par Harry Potter le Dim 4 Oct 2015 - 16:39, édité 1 fois
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HERO • we saved the world
June Winchester
June Winchester
‹ inscription : 13/02/2014
‹ messages : 2868
‹ crédits : moi et ma signature à crackle bones.
‹ dialogues : lightblue
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‹ liens utiles : présentation - reaghan - ronald - daphne - mood - lyanna - lorcàn - remus
‹ âge : trente ans. (01/06/1974)
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7797
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
http://www.smoking-ruins.com/t6908-june-shadow-of-the-colossus
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DENNIS BB I love you je suis tellement heureuse de voir qu'il intéresse quelqu'un minikr j'ai tellement adoré écrire son évolution que voilà quoi Arrow j'en perds mon latin voilà ! Bref bienvenuuuuue sur exci, si tu as des questions, n'hésite surtout pas à nous mp. N'oublie pas de réserver l'avatar, ça te permettra de réserver le pv par la même occasion trognon (enfin comme Draco t'a rep dans les invités quoi) bon courage pour la rédaction de ta fiche et j'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous brille
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
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‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14295
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
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Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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DENNIIIIIIIIS iiih fire iiih fire ok ça gère trop que tu ais choisi ce perso, il a du potentiel et oqfijdofid ce sera tellement cool de le voir évoluer ; hâte de voir ce que tu en feras superman BIENVENUUUUE parmi nous du coup, et bon courage pour ta fiche ! comme dit, on est à ta disposition en cas de questions jule
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Pas plus loin qu'hier j'finissais la saison un de American Horror Story mdr et j'me disais que sa bouille manquait un peu sur les forums quand même ! QUE DE HASARD.

BIENVENUE PARMI NOUS EN TOUT CAS ! Pis t'es bien entourée avec deux folles comme sansa et harry sisi, que des folles vous dis-je (mais on les aime pour ça il parait yeah) bonne chance pour ta fiche en tout cas kr
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SANSATIONNELLE : te voir te précipiter sur ma fiche comme ça, ça me fait trop d'effet du coup même si tu es à deux doigts de me taper quand j'éteins pas les lumières bah je t'aime rougit merci mon bouchon, Dennis va te faire rêver promis :russe: :jambon:


HARRYKIKI : on bz quand tu veux BG :stare: et puis en principe t'as même pas besoin de poser la question, vu que je te suis soumise ad vitam eternam yeah


JUNED'OEUF : respect éternel pour avoir écrit ce super PV, j'en suis tombée amoureuse au premier coup de zyeux rougit merci beaucoup pour l'accueil, ça fait vraiment plaisir, je suis trop contente d'avoir sauté le pas ! iiih kr


DRACORSAIRE : Merciiii ! trognon ho la vache la pression là, j'espère que je serai à la hauteur.. En tout cas je vais me défoncer pour fire et j'aime savoir qu'on est à ma disposition, j'ai l'impression que je suis puissante alors qu'en vrai je suis une victime saute yeah kr


LUCIUSTENSIL : toi, t'as des très très très bon goûts l'ami wi AHS c'est la vie, et Tate London c'est le cosmos de la génialitude iiih en tout cas merci beaucoup pour l'accueil, c'est vrai qu'avec ces deux tarées je suis bien entourées rougit
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DENNIS, OMG (il é bô, comme ça gaah )
La #TEAMJAMBON est dans la place, bienvenue, au nom du saint :jambon: et de ses statuettes de nain unijambiste :-^:
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HUNTED • running man
Owen Avery
Owen Avery
‹ inscription : 21/07/2015
‹ messages : 1765
‹ crédits : whorecrux <3.
‹ dialogues : #006666 (owen) #A0A0A0 (selma)
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‹ âge : 43
‹ occupation : dans l'ombre du Magister.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1971 et 1978
‹ baguette : est en bois d'acacia rigide, possède un cœur en ventricule de dragon et mesure vingt-neuf centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 5726
‹ réputation : la magie noire a rongé mon âme, dilué toute conscience, accru ma folie.
‹ particularité : fou.
‹ faits : ma soeur jumelle vit dans mon esprit dérangé, secret dont seuls quelques chanceux ont connaissance, que je suis aussi dérangé que peut l'être un sbire de Voldemort, que je n'hésite jamais à user de violences quand bien même elles ne seraient pas nécessaires, car la souffrance et les hurlements me font vibrer comme aucune autre drogue au monde. Mais qu'elles me sont infligées souvent par la main du Magister elle-même, car dieu sait combien de fois je l'ai déçu au cours de mes années de bons et loyaux (haha) services.
‹ résidence : Herpo Creek, dans la maison de mes parents, vide et délabrée; ruines.
‹ patronus : irréalisable, autrefois une hyène bien qu'elle ne soit apparue qu'une seule et unique fois sous forme reconnaissable.
‹ épouvantard : le baiser du détraqueur.
‹ risèd : la fin de cette insurrection qui amène autant de satisfaction que de souffrance.
http://www.smoking-ruins.com/t2376-it-s-just-the-night-in-my-vei
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TEAMJAMBON :jambon:
Bienvenue avec ce choix de PV de fifou de guedin ! èé
T'es perf. yeah
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