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sujet; Take care of my wand [Lyu]
MessageSujet: Take care of my wand [Lyu]   Take care of my wand [Lyu] EmptyMar 20 Oct 2015 - 20:23

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Voilà deux fois que sa baguette lui faisait défaut. La première fois, c’était pendant son travail. Alors qu’il sortait des dossiers de son bureau, la baguette avait fait un caprice et ouvert tous les tiroirs puis mélanger tous les papiers qui s’y trouvaient. Il avait dû faire appel à une secrétaire pour ranger. Une véritable humiliation pour lui. Et cette fois, c’était chez lui, en voulant attraper son journal. Un simple accio qui avait pris une ampleur un peu trop importante puisque tout ce qui se trouvait sur la table à proximité dudit journal lui était arrivé dessus. Comment un sort aussi banal pouvait lui faire défaut, et par deux fois ? À bien y réfléchir, le problème ne datait que de la veille et il ne lui sembla pas avoir utilisé d’autres sorts que celui-là. Il n’osait donc imaginer ce qui se serait passé s’il avait dû avoir recours à un enchantement plus puissant. C’était plus que certain, sa baguette avait réellement un problème. Or, il y tenait, comme chaque sorcier à la sienne, et n’avait pas l’intention d’en changer. Il ne voyait guère d’autre solution que d’aller demander conseil, et, éventuellement, réparation, chez Ollivander. Il se prépara donc à transplaner au Chemin de Traverse, avant de se souvenir de quelque chose. On lui avait récemment présenté, lors d’une réception dont sa femme raffolait, la petite fille du très célèbre fabricant de baguette Gregorovitch, en lui apprenant qu’elle comptait reprendre l’affaire de son grand-père et installer sa boutique en ville. Clyde n’était pas vraiment du genre à faire confiance à une femme, encore jeune qui plus était, pour s’occuper de sa baguette. Pas de cette baguette-là, en tout cas. Mais il adorait la nouveauté. Ollivander avait fait son temps, et Gregorovitch était extrêmement réputé, en particulier auprès des partisans du Lord, alors pourquoi pas ? Peut-être rendrait-elle sa baguette plus puissante encore. Et puis, c’était un beau brin de fille, il aurait donc de quoi s’amuser un peu.

Il fit tournoyer sa baguette en l’air et la rattrapa, un sourire sardonique sur les lèvres, puis transplana à l’endroit qu’on lui avait indiqué. La boutique ne pouvait pas se rater avec sa façade colorée. Il pénétra à l’intérieur, faisant tinter une clochette. On pouvait immédiatement sentir la patte de Gregorovitch. Tout était parfaitement rangé et organisé d’une main de maître, ce qui était déjà un bon début. Une jeune femme l’accueillit alors. C’était elle, la petite fille de Gregorovitch, dont il avait par ailleurs oublié le prénom, mais ça n’avait que peu d’importance. Sublime. Un rien excentrique, mais c'était intéressant. Ce genre de fille se montrait en général tout aussi excentrique au lit, et ça lui plaisait. « Miss Gregorovitch ! » s’exclama-t-il d’un ton jovial. « Je tenais à vous voir en personne. » Il s'approcha et lui saisit délicatement la main pour y déposer un baiser. « Oh, mais j'en oublie les convenances, peut-être ne vous souvenez-vous pas de moi, nous nous sommes simplement croisés lors d'une soirée. Je suis Clyde Avery, je travaille au Ministère de la Magie », se présenta-t-il en s'inclinant légèrement. Comme toujours, il jouait le jeu du parfait gentleman tant qu'il se contentait de tourner autour de sa proie. « Tout d'abord, permettez-moi de vous souhaiter officiellement la bienvenue à Londres et vous féliciter pour l'agencement de cette boutique, vous êtes très bien installée. J'ose supposer que la qualité de vos services sera aussi excellente que la présentation. »

D'un geste soigné, il sortit sa baguette et la déposa sur le comptoir. « Voilà, j'ai un petit souci depuis hier… Quand je lance un accio, elle s'emballe et m'apporte tous les objets qu'elle trouve à proximité. Je n'ai pas osé essayer un autre sort, vous comprenez bien pourquoi », ajouta-t-il avec un sourire amusé. « Je serais très contrarié de devoir en changer, j'y tiens énormément. C'est bien la première fois qu'elle me résiste. Notez que j'apprécie que l'on me résiste habituellement », précisa-t-il d'un ton malicieux, « mais ce n'est pas ce que j'attends de ma baguette. » Le sous-entendu n'était bien sûr pas encore évident, mais il le serait bientôt. Il n'avait pas l'intention d'aller bien loin. Une nuit, tout au plus. Histoire de passer du bon temps, et parce qu'une jolie femme se devait de se retrouver dans son lit. Mais si elle opposait la moindre résistance… Il ferait certainement durer le plaisir, et cela n'en serait que plus amusant. Il caressa doucement sa baguette, l'effleurant du bout des doigts, puis releva les yeux sur la jeune femme, une lueur ardente dans le regard. « Je m'en remets à vous, je suis certain que vous avez les compétences nécessaires pour la réparer. » Il ne le pensait pas sincèrement en réalité, mais un peu de flatterie ne faisait pas de mal. « Si vous réussissez, je saurai vous payer comme il se doit », acheva-t-il, le regard flamboyant. Faire d'une pierre deux coups, sa baguette réparé et un bon moment en perspective, voilà ce qui l'intéressait. Il espérait simplement qu'elle se montrerait à la hauteur dans tous les cas de figure.
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MessageSujet: Re: Take care of my wand [Lyu]   Take care of my wand [Lyu] EmptySam 24 Oct 2015 - 0:06

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Une journée de plus à la boutique. Une journée de plus en dehors de ton atelier aussi. Décidément, tu n'aimes guère te poser du côté réservé aux clients. Pourtant tu apprécies l'ambiance qui s'en dégage. Normal, tu as tout redécoré à ton arrivée. Tu aimes quand c'est coloré, comme le prouvent tes cheveux à moitié violets. Tu aimes te démarquer. Tu aimes faire la différence. Mais en attendant, tu t'ennuies profondément. Tu savais que ce ne serait pas facile. L'Angleterre, territoire déjà conquis. Par les Ollivander. Les anglais aiment leurs baguettes. Il est vrai qu'elles ont bonne réputation, qu'elles sont puissantes aussi, mais tu n'as pas la même philosophie qu'eux quant à ce qu'il faut faire comme mélanges et la forme finale du bois. Chez eux trop clinquant, trop travaillé. Le naturel disparaît et toi tu n'aimes guère cela. La personnalisation doit être subtile, s'adapter au bois, le sublimer et non pas le dénaturer. Tu secoues un peu la tête, t'arrachant à tes pensées, et décides de quitter le comptoir pour ranger les dernières créations. Lorsque tu passes dans l'atelier, tu remarques Lada qui se roule avec délectation dans les copeaux de bois. Tu souris. Ce soir encore, tu devras passer une demi-heure à la brosser pour nettoyer son pelage. Elle va détester cela. Tant pis. En attendant, tu récupères trois baguettes magiques, soigneusement rangées dans leur étui, et les emportes côté boutique. Tu es en train de les positionner à leur juste place lorsque la cloche sonne, t'indiquant que quelqu'un est entré. Aussitôt, tu reviens vers le comptoir pour l'accueillir.

-Bonjourrr Monsieur. En quoi puis-je vous aider ? fais-tu, joviale, avec ton léger accent bulgare.

C'est un homme d'une trentaine d'années. Assez séduisant, tu dois bien l'avouer, et son visage te dit vaguement quelque chose, même si tu es bien incapable de mettre un nom dessus. Un homme qui tenait à te voir en personne, selon tes dires. Si tu es surprise, tu n'en montres rien, si ce n'est un léger coup d’œil vers le fléreur qui dormait sur le comptoir, un peu plus loin. Allongé, il vous regarde, ses grandes oreilles orientées vers vous. Il t'aidera à savoir si l'homme te ment. Mais avant que tu ais pu faire quoi que ce soit, le nouveau venu s'empare de ta main et y dépose un baiser. Déstabilisée, tu l'écoutes parler, se présenter. Clyde Avery. Ah, oui, tu t'en souviens à présent. Tu avais entendu son nom au détour d'une conversation, mais tu n'avais apparemment pas jugé utile de retenir l'information. Tu te contentes alors de hocher la tête, en réponse à ses propos. La suite, par contre, te plaît un peu moins. Cela fait déjà six longues années que tu es arrivée en Angleterre, que tu travailles dans cette boutique avec l'actuel gérant, même si tu es destinée à la gérer d'ici peu de temps. Qu'est-ce qui te dérange dans ses propos ? Un certain manque de naturel, peut-être. Ce n'est que ton impression.

-Enchantée de fairrre votrrre connaissance, Monsieur Averrry. Et je vous rrremerrrcie aussi.

Garde le sourire, Lyudmyla. Ne relève pas, tout se passera bien. C'est bel et bien ce que tu fais, attendant qu'il t'explique la raison de sa venue. Et cela ne tarde pas à se produire. Ton attention lui est entièrement dédiée, te concentrant sur ses propos, les analysant, imperméable aux sous-entendus qu'il peut glisser dans ses propos. Une baguette récalcitrante. Des sortilèges exécutés de la mauvaise manière, Alors qu'il parle, tes doigts effleurent la l'objet posé sur le comptoir, frôlant par instants ceux de Monsieur Avery. Vingt-sept centimètres, bois de noisetier, très certainement du cœur de dragon mais il faudrait que tu puisses la manipuler pleinement pour confirmer ce que te souffle ton instinct. Ce que tu ne fais pas immédiatement, justement parce qu'il caresse toujours sa baguette. Mais aussi parce qu'une phrase fait réagir Yarilo. Il est certain que tu as les compétences nécessaires pour réparer sa baguette. Il ment. Le fléreur a les oreilles en arrières et agite violemment sa queue de lion. Il ne croit pas en tes compétences. Alors pourquoi s'est-il déplacé jusque dans cette boutique ? Encore un qui ne croit pas en toi, parce que tu es une fille, parce que tu n'as que vingt-cinq ans. Pourquoi faut-il toujours que tu te retrouves confrontée à de tels préjugés ? Tu n'as pas envie de le savoir, tu n'as pas envie de les comprendre. Ce genre de personne t’agace. Et très franchement, s'il pense que c'est l'argent – ou autre chose qu'il puisse t'offrir – qui t'intéresse, il se trompe du tout au tout. Mais rien ne transparaît sur ton beau visage. Tu es neutre. On t'a appris à l'être. Pour faire bonne figure en société. Pour ne pas ternir ton image de gentille fille de bonne famille.

-Attendez que j'aie fini pourrr tenirrr de tels prrropos, s'il vous plaît.

Sur ce, tu récupères l'objet de bois et de magie et fait quelques pas. Tu sens la magie dans le bois, tu sens le cœur pulser. Elle sait que tu n'es pas sa propriétaire, tu n'es pas non plus celle qui l'a façonnée. Tu n'auras pas l'audace de lancer un sortilège avec un tel instrument. Le bois de noisetier est extrêmement attaché à son propriétaire légitime, bien que ce soit un peu moins marqué que le frêne. Les mots s'échappent d'entre tes lèvres, non calculés. Tu réfléchis à voix haute.

-Ventrrricule de drrragon... Je m'en doutais... La patte des Ollivanderrr est bien marrquée... Vingt-sept centimètrrres, du noisetier...

Ton regard revient vers lui, se pose sur lui. Tu n'es pas sûre que tes questions seront bien accueillies mais il y  a certaines questions que tu te dois de poser.

-Cerrrtains bois sont trrrès influencés parrr les émotions de leurrr prrroprrriétairrre, le noisetier en fait parti. Est-ce que vous aurrriez vécu une situation plus strrressante que d'habitude ces derrrniers jourrrs ? Aurrriez-vous une rrraison d'êtrrre énerrrvé ou trrriste ?

Tu te dois de poser la question, avant tout examen de la baguette. Parce que tu pourrais tout faire avec cette baguette, si le problème vient de l'homme en face de toi, tu ne pourras absolument rien faire pour lui. Tu es apprentie artisan baguettiste après tout, pas psychologue. Le noisetier a besoin d'un propriétaire capable de maîtriser ses émotions en toute circonstance. Si jamais il se laisse emporter, la baguette se transforme en éponge et sa magie fluctue. Mais si rien n'a changé dans son quotidien, tu te pencheras alors en détails sur l'objet entre tes doigts. Pour découvrir pourquoi une baguette des très célèbres Ollivander a soudainement décidé de faire des siennes. Voilà qui pourrait se révéler intéressant comme expérience. Et cet homme ? Tu vas devoir surveiller ton comportement, parce que le sien ne te plaît guère. Mais tu dois rester calme et polie. C'est impératif pour ton image. Et définitivement chiant.
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MessageSujet: Re: Take care of my wand [Lyu]   Take care of my wand [Lyu] EmptySam 24 Oct 2015 - 16:15

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Non seulement la jeune femme ne semblait pas réceptive, mais elle était même complètement sur la défensive. Elle avait beau garder le sourire, il pouvait sentir qu'elle était légèrement tendue. Sans doute avait-il été un peu trop avenant, un peu trop pressant. Il aurait dû s'en douter, c'était une fille de l'est, et les filles de l'est ne se laissait pas apprivoiser si facilement. En revanche, quand elles étaient à l'aise, elles se déchaînaient, et cette perspective lui mit l'eau à la bouche, d'autant que l'accent de la jeune femme l'émoustillait beaucoup. Cela n'allait pas être aussi simple que ce qu'il aurait pensé au départ. Il l'avait imaginée un peu innocente, un peu perdue dans cette grande ville, et il aurait été ravi de lu apporter son aide. Mais il n'en était rien, c'était une femme de caractère et d'assurance qui allait être difficile à manipuler. Clyde aimait qu'on lui résiste, mais il aimait surtout asseoir sa domination à terme, et il n'allait certainement pas la laisser s'en sortir comme ça. Il avait évidemment repéré son fléreur, qui ajoutait encore à la difficulté. La créature avait immédiatement réagi quand il avait menti, ce qui signifiait qu'il allait devoir la jouer très fine s'il ne voulait pas être démasqué. C'était un challenge extrêmement difficile à relever, mais il pouvait le faire. Il fallait juste qu'il se concentre sur la vérité. Qu'il mente par omission.

Pourtant, ça n'avait pas si mal commencé. Malgré son visage fermé, la jeune femme n'avait pas hésité à caresser la baguette en même temps que lui, lui offrant le plaisir de sentir sa peau contre la sienne, même s'il ne s'agissait que d'une petite partie. Clyde avait observé ces mouvements avec délectation et son prédateur intérieur s'était éveillé. Mais un autre prédateur avait tout gâché. Ce satané fléreur. Ces bestioles auraient dû rester à l'état sauvage au lieu d'empêcher certains sorciers de tourner en rond. La jeune femme s'empara finalement de la baguette, et il la regarda faire avec curiosité. Bien sûr, sa baguette venait de chez Ollivander, et la logique aurait voulu qu'il l'amenât chez lui pour la faire vérifier et réparer, mais il y avait bien longtemps que Clyde faisait fi de toute logique et laissait plutôt parler son instinct. Et son instinct l'avait mené ici. Son instinct lui avait lancé un défi, dompter cette femme insoumise et fier. La pousser dans ses retranchements et la faire céder. Il la voulait, et il était têtu. Il ne laissait jamais fuir ses proies.

Après avoir manipulé la baguette sans toutefois jeter de sort avec, elle se réintéressa à son client. Il ne haussa pas même un sourcil face aux quelques questions qu'elle lui posa. Il connaissait sa baguette et la nature de son bois, il savait comment elle réagissait, et si elle l'avait choisi, c'était justement parce qu'elle le savait capable de contrôler ses émotions. Les seuls moment où elle avait pu lui désobéir, c'était quand il était en colère après son frère. Cette baguette était donc un défi permanent. S'il voulait qu'elle soit parfaitement docile, il se devait de garder son sang-froid et d'être imperturbable. Elle avait contribué à forger son caractère. Il adressa donc à la jeune femme un sourire un peu résigné. « Hélas non, mademoiselle, il ne m'est rien arrivé de tel dernièrement. C'est justement la raison de ma présence ici, car en effet, cette baguette se montre rebelle quand mes émotions prennent le dessus, ce qui soit dit en passant est assez rare. Je suis quelqu'un de naturellement placide, et c'est pour ça qu'elle m'a choisi. » Son sourire s'élargit. « Vous semblez connaître parfaitement votre travail, Miss Gregorovitch. » Et cette fois, il ne mentait pas. Elle venait de montrer qu'elle avait quelques connaissances en la matière, même si cela ne suffisait pas à prouver qu'elle était une experte, et c'était la raison pour laquelle il avait utilisé le verbe sembler.

Il l'observa quelques instants de ses prunelles céruléennes tandis qu'elle examinait sa baguette, mais son regard était bienveillant. « Je vous prie de m'excuser si je vous ai semblé trop familier. J'imagine que les us et coutumes sont différents par chez vous, j'aurais dû y penser avant de me montrer si béotien. » Il avait pris l'habitude d'être jovial et avenant avec les gens qu'il rencontrait, mais tous n'étaient pas aussi réceptifs à ce genre de comportement. « Mais votre présence me met en émoi », expliqua-t-il, « c'est pourquoi j'ai du mal à garder mon calme habituel. » Il jeta un furtif coup d’œil au fléreur, craignant qu'il ne réagisse. Mais il n'avait pas vraiment menti, il était vrai qu'il se montrait toujours flatteur avec les jolies femmes, et en général, elles y étaient sensibles. Il avait l'habitude d'entendre leurs gloussements de plaisir quand il les complimentait. Toutefois, la petite fille de Gregorovitch n'était vraisemblablement pas du genre à glousser. Elle n'était pas de celles que l'on séduisait facilement.

« Pensez-vous pouvoir faire quelque chose pour moi ? » lui demanda-t-il ensuite, d'un ton beaucoup moins pressant que précédemment. Il avait bien compris qu'elle pouvait facilement se braquer. Il se tut finalement, pour ne pas se montrer trop insistant. Puisqu'elle ne le laissait pas venir à elle, il allait la laisser venir à lui, naturellement. Il pouvait prendre son temps, il en avait. Le but n'était pas spécialement de s'envoyer en l'air, l'intérêt, c'était le jeu qui menait à cette conclusion. Car s'il réussissait, la victoire n'en serait que meilleure, et il pourrait savourer ses ébats avec elle avec la satisfaction du travail durement accompli. Deux sortes de femmes avaient sa préférence. Les soumises, celles qui ne se contentaient pas de se laisser sauter une fois mais qui obéissaient par la suite au moindre claquement de doigts et qu'il pouvait manipuler à volonté. Il aimait qu'elles le vénèrent. Il aimait de sentir puissant à leurs côtés. Et puis il y avait les femmes comme son épouse, ou comme cette Gregorovitch, séditieuses, difficile à obtenir, de véritables diablesses, mais qui se révélaient souvent extrêmement perverses au lit, comme l'était Felicia. Toutefois, nulle n'égalait jamais sa femme, et il pouvait parfois rapidement s'en lasser.
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