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sujet; emmett › all i want to do is be more like me and be less like you |
 | emmett hortensius rosenbach feat benedict cumberbatch • crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞Wizards ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; Emmett. doux à l'oreille, ce prénom n'a pas une origine bien compliquée. en effet, c'était celui de son grand-père, et sa mère l'aimait particulièrement. emmett, un prénom simple pour un homme qui l'est tout autant. Hortensius. le prénom de son père. encore une fois, rien de bien compliqué, même si emmett a toujours trouvé que son second prénom était tordu. sombre. étrange. mystérieux. quelque chose de mystique se dégage de ce nom. Rosenbach. le patronyme de la famille. l'origine est germanique, mais emmett n'a à ce jour rencontré aucun rosenbach allemand. attention à bien prononcer le -ch comme un -k, sous peine de froisser les membres de la famille.
☇ naissance ; Emmett a vu le jour il y a maintenant trente-sept ans, le trois mars mille neuf centre soixante-cinq, dans la ville de Bristol, en Angleterre.
☇ ascendance; Sang-mêlé. Sa mère était une née-moldue, son père un sang-mêlé. Mais pour lui, le statut du sang compte peu. Aucune ascendance ne vaut mieux qu'une autre.
☇ métier ; Guérisseur en pathologie des sortilèges à Saint-Mangouste, carrière qu'il a embrassée après ses études médicomagiques et qu'il aime particulièrement.
☇ camp ; Dans cette guerre qui ravage le pays, Emmett est neutre. Il n'adhère absolument pas aux idées du gouvernement mais ne se sent pas du tout prêt à entrer dans les rangs des insurgés. Parce qu'il aime sa petite vie tranquille, parce qu'il veut conserver son métier ou peut-être par pure faiblesse de caractère, Emmett préfère rester dans cet entre-deux vague où toutes sortes d'opinions sont acceptées.
☇ réputation ; Emmett est un homme discret. Le genre d'homme qui passe au travers de toutes les situations sans faire de vague. Il est davantage connu comme guérisseur qu'en tant qu'homme ; ce métier fait sa fierté et c'est un honneur pour lui qu'on lui fasse des compliments sur ses capacités professionnelles. Les patients apprécient son calme, son professionnalisme, son empathie. Pour les autres, eh bien, disons qu'Emmett laisse indifférent. Il semble être le citoyen lambda, qui accepte son sort et qui tente de tracer son bout de chemin malgré les instabilités du pays.
☇ état civil ; Divorcé depuis deux ans, et depuis, célibataire. Il n'a pas d'enfants.
☇ rang social ; Emmett fait parti du prolétariat.
☇ baguette ; Mesurant vingt-sept centimètres, la baguette est faite de bois de cerisier et contient un crin de licorne. Elle est relativement épaisse et rigide.
☇ épouvantard ; Le cadavre de son ex-femme.
☇ risèd ; S'il regardait dans le miroir de Risèd, Emmett se verrait en compagnie de son ex-femme et entouré des enfants qu'ils n'ont pas eu la chance d'avoir. Il aurait également un insigne "guérisseur en chef", et la guerre serait terminée.
☇ patronus ; Son patronus est un chevreuil.
☇ particularités ; Aucune.
☇ animaux ; Emmett possède un vieil hibou nommé Alfie. Depuis que les mangemorts sont au pouvoir et que tous les hiboux sont interceptés, Alfie est devenu un simple animal de compagnie. Emmett a récemment accueilli un chat qui répond au nom de Sacha.
☇ miroir ; Emmett n'en possède pas.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Emmett déteste le gouvernement. Il déteste voir la dictature s'installer dans son pays. Il hait encore plus les souvenirs de proches qu'il a perdu pendant cette guerre à cause du Ministère. Emmett en pense toujours plus qu'il ne le dit. Il pourrait très facilement être un insurgé, car il partage leurs idéaux. Il n'en a ni le courage ni l'envie. Il considère avoir assez souffert comme cela. Alors évidemment, il n'est pas dupe. Il est très lucide concernant la situation actuelle et les évènements. Emmett a toujours soutenu les interventions des insurgés, espérant à chaque fois que le Ministère serait renversé. Mais il n'a jamais bougé le petit doigt pour cela. Il laisse les autres faire. Il sait également très bien que les comportements étranges au sein de la population sont dû à des sortilèges, mais sûrement pas à des changements brusques d'opinions. Emmett a parfaitement compris que le gouvernement est prêt à tout pour avoir tout le peuple derrière lui, et même si il semble marcher derrière eux, jamais son esprit ne s'alignera. Jamais il n'aimera le Ministère, jamais la propagande ne fera effet sur lui. Les insurgés font des dégâts ? Bien, qu'ils en fassent ! A-t-on déjà vu une guerre sans dégâts, sans destructions, sans victimes ? Non. Pour lui, la situation du pays est critique. Il a le sentiment que tout le monde a complètement perdu la tête. Comment est-il possible de soutenir une dictature ? De soutenir des idéologies racistes ? Emmett aimerait que les choses changent, oui, il le souhaite de tout son être. Mais cela, il le garde pour lui. Peu de gens connaissent son véritable avis. Devant ses patients qui lui parlent du Ministère, il prétend ne pas s'intéresser à la politique. Que tant qu'il a un toit, un travail et de la nourriture, il n'a pas à se plaindre. Il essaie même de s'en convaincre lui-même, car il n'a jamais eu l'âme d'un rebelle. D'une nature docile, l'ardeur de ses opinions l'étonne. Emmett ne s'est jamais réellement impliqué dans une cause, et là, il se surprend parfois à ressentir l'envie de rejoindre les insurgés. Mais qu'est-ce qu'il lui prend ? Alors oui, le monde va mal. Mais ce n'est pas son rôle de le changer.
☇ Infos complémentaires ; Si Emmett ne devait avoir qu'un seul et unique talent, ce serait celui de passer inaperçu. Il est discret, que ce soit de réputation ou dans ses gestes. Il n'a jamais aimé qu'on le remarque et se plaît beaucoup plus dans l'ombre que dans la lumière. Son statut de guérisseur talentueux à Sainte-Mangouste lui confère une certaine popularité, ce qu'il n'apprécie pas forcément • On l'a souvent décrit comme timide, asociable... Lui se décrirait plutôt comme poliment réservé. Emmett va rarement vers l'inconnu et peine parfois à créer des liens. Il en a beaucoup souffert, par le passé, mais désormais accepte le fait qu'il n'est pas homme à relations • Emmett aime son métier plus que tout au monde. Porter son uniforme de guérisseur du prestigieux hôpital sorcier de Sainte-Mangouste le remplit de fierté. Son métier, c'est littéralement sa passion. Il n'y a à peu près que cela dans sa vie. Il travaille durement pour devenir guérisseur en chef, ce qui serait une véritable consécration. C'est principalement pour cela qu'il ne veut pas entrer dans les rangs des insurgés : il risquerait de perdre son travail, et ça, c'est quelque chose qu'il n'imagine pas • Il faisait partie de l'équipe de Quidditch de Poufsouffle pendant sa scolarité à Poudlard. Aujourd'hui, il n'a plus beaucoup de temps mais apprécie toujours une petite balade en balais ou un bon match de Quidditch • Il a toujours été très doué en sortilèges, à Poudlard, ce qui l'a poussé à se spécialiser en pathologie des sortilèges lors de ses études de médicomagie. De fait, c'est également un très bon sorcier • Emmett ne boit pas de thé, trouvant cette boisson infecte. Pourquoi tous les sujets de sa majesté se passionnent-ils pour cette eau chaude aromatisée ? Il préfère davantage le café • Il s'est mis à fumer quand il était marié. Son ex-femme était une grosse fumeuse, et maintenant, il n'arrive plus à se passer de nicotine. Une habitude que Cece —son ancienne épouse— qualifiait de « très moldue ». Étrangement, fumer lui fait penser à elle • Emmett possède une gigantesque cicatrice sur le flanc gauche, qui part de son aisselle jusqu'à sa cuisse. En 2ème année, lui et ses camarades avaient décidé de rendre une petite visite au Saule Cogneur, qui leur a bien rendu • C'est un homme simple : il se contente de peu et vit modestement. Malgré son salaire plutôt élevé, il n'aime pas le luxe. Son seul et unique plaisir matériel consiste à s'acheter de belles chemises et de beaux costumes dans des magasins moldus . En effet, Emmett aime être élégant et bien habillé • Il est foncièrement gentil. Toujours prêt à aider les uns et les autres, d'une grande abnégation, Emmett est ce qu'on appelle communément un « brave garçon ». Cependant, il ne faut pas le croire naïf, loin de là. Il est très perspicace et lucide, surtout en ces temps troublés. • Loyal, Emmett possède beaucoup d'amitiés de longue date. Il ne laisse jamais tomber quelqu'un qu'il apprécie et il fait un ami fidèle • Emmett est plus lâche que courageux et n'est pas du genre à s'interposer quelque part. Il craint généralement les représailles et tient à son petit confort. Jamais il n'osera mal s'adresser à un membre du Ministère, bien qu'il les déteste, tout simplement car il craint de devoir répondre de ses actes. Il n'a en rien l'étoffe d'un héros • Emmett est extrêmement tolérant. Il n'a de préjugés envers personne et surtout, il ne juge jamais avant de connaître tout entièrement. Il déteste les jugements irréfléchis • On lui a souvent reproché sa passivité face à toutes les choses. Ses amis à Poudlard l'appelait « le Suisse » en raison de sa neutralité face à chaque conflit. En réalité, Emmett n'aime pas prendre position mais il a toujours un avis sur chaque chose. Cependant, il est vrai qu'il ne se range jamais d'un côté ou de l'autre. Par lâcheté, par manque de confiance en lui, par passivité... • C'est un homme d'un calme extrême, et on a parfois envie de le remuer un peu • Il n'a eu aucune relation depuis son divorce. Il est très timide avec les femmes, et de toute façon, il est encore amoureux de Cece. Il souffre toujours de cette rupture. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi stockholm syndrome/solène. J'ai seize ans, je viens de la normandiiiie et j'ai connu le forum via jefaisdurp sur tumblr, que je suis assidûment  . Si tout va bien vous me verrez connectée 4/5 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé" . Un dernier mot ? J'ai eu un petit problème à l'inscription, et je pense m'être inscrite deux fois. J'en suis désolée, et le compte s'appelant "Emmett J. Rosenbach" peut être supprimé  Sinon, le forum a l'air génial, je suis fan de cette fin alternative!
Dernière édition par Emmett H. Rosenbach le Mar 27 Oct 2015 - 16:49, édité 6 fois |
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| | please don't go tell me that the lights won't change  ❝ there's an endless world ❞bristol, 1973 « Emmett, tu viens ? » appela Andrew. Emmett n'entendait pas. Les pieds sur terre, la tête dans les nuages, voilà ce que disait feu sa grand-mère. Il se rappelait encore du son de sa voix, de son odeur vanillée, des traits tirés de son visage, comme s'il venait de la voir. Emmett ne parvenait pas à détacher ses yeux embués de la tombe. Une pierre toute simple, toute noire, sans aucun ornement. C'était triste et incroyablement moche. Malgré sa double culture, le petit garçon avait toujours du mal à s'habituer à la technologie moldue. Sa grand-mère méritait mieux que cette tombe immonde. Elle méritait des fleurs éternelles, des petits feux de couleur bleu que même la pluie n'éteindrait pas. Au lieu de cela, il y avait cette chose, cet espèce de caillou taillé. Emmett n'aimait pas cela. Il se sentait plus désemparé qu'il ne l'avait jamais été, il se faisait petit à petit à l'idée qu'il ne la reverrait plus jamais. Ce n'était pas comme quand elle partait en voyage. Cette fois-ci, elle ne reviendrait pas. Plus jamais elle ne lui ferait des cookies, plus jamais elle ne le gronderait avec un sourire complice. C'était étrange, la mort, quand on y réfléchissait. Toute cette vie, ces évènements vécus, pour rien. C'était tellement... définitif. Pas de retour en arrière. Et pourtant, c'était la seule chose qui unissait à coup sûr moldus et sorciers. Tous étaient des êtres humains, et tous venaient à mourir un jour ou l'autre. Ils n'étaient pas si différents, finalement. Il n'y a que dans la mort que les hommes sont vraiment égaux. Toutes ces pensées se bousculaient dans l'esprit du jeune Emmett Rosenbach, bientôt huit ans. La pluie tombait doucement sur la belle veste noire que Maman avait acheté spécialement pour l'occasion. Quelle désolation de faire du shopping pour une chose pareille. « Emmett, réveille toi bon sang ! ». Andrew s'était énervé, et avait attrapé la main de son jeune frère. Ce dernier, hébété, le regarda sans rien dire. Andrew soupira. Emmett avait toujours été comme cela et il n'avait pas l'impression que cela changerait avec le temps. Toujours dans la lune, toujours l'esprit occupé. Mais lorsqu'on lui demandait à quoi il pensait, il répondait toujours avec le même ton rêveur : « oh, à rien ». Était-il possible qu'un enfant de sept ans puisse ne penser à rien ? À son âge, Andrew n'était pas comme cela. Parfois, il avait l'impression que son cadet le dépassait en lucidité. « Tu n'as pas envie de pleurer ? » demanda-t-il plus doucement. Emmett fit non de la tête. En effet, les larmes étaient là, au bord de ses paupières, et pourtant, elles refusaient d'aller plus loin. « Si, j'ai très envie. Je me sens vraiment triste ». L'adolescent passa son bras autour des maigres épaules de son petit frère. « Allez, viens. Il y a d'autres choses à faire ici que de rester planté devant une tombe. L'enterrement est fini. On ne peut plus rien pour les morts, Emmett ». Ces mots résonnèrent longtemps dans le cerveau du petit garçon. ❝ let it begin ❞hogwarts, 1976 Emmett ne s'était jamais senti plus excité qu'aujourd'hui. Il avait peiné à trouver le sommeil tant il s'imaginait toute sorte de choses. C'était la première fois pour lui qu'il allait à Poudlard. D'habitude, le jour de la rentrée des classes était ennuyeux, mais cette fois-ci, tout changeait. Finie, l'inutile école moldue. Avant, il se contentait d'accompagner Andrew prendre son train, avec ses parents, et ils passaient ensuite la journée à Londres pendant que l'aîné partait vers de lointaines contrées. Les deux heures de trajet qui séparaient Bristol et la capitale britannique ne lui avaient jamais parues aussi longues. Les deux enfants avaient leurs hiboux respectifs sur les genoux, enfermés dans de grosses cages encombrantes, car les massives malles prenaient tout le coffre. Ç'avait été un enfer de supporter les piaillements et les odeurs dans un endroit clos. À la gare, Emmett avait passé le quai 9 ¾, comme chaque année, mais il avait ressenti quelque chose de différent. Une sorte de tressaillement au fin fond de son être. Ce qu'il s'apprêtait à vivre n'arriverait jamais plus dans sa vie. Son premier jour à Poudlard. Maman lui avait bien dit de ne rien rater, de se délecter de cette journée comme s'il s'agissait d'un fruit rare. Il ne ressentirait plus jamais le même émerveillement après avoir vu pour la première fois la Grande Salle de Poudlard. Il en était tout émoustillé. Après avoir installé leurs malles dans un compartiment vide, les enfants Rosenbach descendirent du train et enlacèrent leurs parents. Emmett remarqua que certains premières années pleuraient, ne voulant pas quitter leurs familles. Le jeune garçon ne ressentait pas cela, vu que sa famille, il l'emmenait avec lui. Andrew était à Poudlard, et même s'il entamait sa dernière année à l'école de sorcellerie, Emmett savait qu'il pourrait compter sur lui. Les adieux faits, les enfants remontèrent dans les cabines et le coup de sifflet final retentit. Ça y était. La grande aventure commençait. Le voyage en train fut des plus ennuyeux, mais au fur et à mesure que la destination se rapprochait, Emmett peinait de plus en plus à se contenir. C'était un enfant très calme, d'habitude, mais là, il sentait qu'il allait exploser. Il rentrait enfin dans la cour des grands ! Andrew venant d'avoir dix-sept ans, il avait pu montrer aux parents et à Emmett ce qu'il savait faire, et il s'était fait un malin plaisir à transplaner partout, tout le temps, et ce durant toutes l'été. C'était presque insupportable, et pourtant, Emmett se languissait de pouvoir faire la même chose. Le fait d'avoir grandi dans une communauté plus moldue que sorcière rendait la sorcellerie encore plus extraordinaire aux yeux d'Emmett, et chaque chose qu'Andrew faisait et qui touchait de près ou de loin à la magie le fascinait. Cent fois, il lui avait demandé de le faire léviter, ou de transformer son rat en verre à pied. Finalement, le moment tant attendu arriva. Il posa son premier pied à Pré-au-Lard, et inspira une grande bouffée d'air frais. Le garde-chasse vint les chercher, et tandis que les autres montaient dans des calèches tirées par des bêtes invisibles, les premières années grimpèrent dans des barques. Assis à l'arrière du petit bateau, Emmett se pencha et put observer son reflet dans l'eau sombre du Lac. La robe de sorcier lui seyait à merveille. « Tu sais ce qu'on raconte à propos du Lac Noir ? » chuchota un garçon assis à côté de lui. Emmett fit non de la tête. « Il y a une pieuvre géante qui y vit. On l'appelle le Kraken. Elle est tellement grande qu'elle pourrait avaler cette barque toute entière ». Emmett haussa les sourcils. « Tu crois vraiment que l'école laisserait une bête pareille ici ? » Le garçon affirma. Le jeune Rosenbach se pencha de nouveau vers les flots glacés, et cru apercevoir un vague mouvement au fond des eaux. Emmett était encore en train de réfléchir à cette histoire de Kraken quand il se retrouva arrêté face aux portes fermées de la Grande Salle. Les chuchotements s'arrêtèrent aussitôt. C'était le moment, celui qu'il avait tant attendu. Bientôt, il s'installerait sur le tabouret et le Choixpeau déciderait de son sort. Emmett eu à peine le temps de remettre sa cravate -qui ne portait alors aucune couleur- droite que les portes s'ouvrirent, et la masse informe de premières années s'engouffra dans la salle. Tétanisé par la panique qui s'était soudainement emparée de lui, il se mit en marche machinalement. La Grande Salle portait vraiment bien son nom. Le plafond lui semblait aussi haut que la voûte célestes, et un nombre incalculable d'élèves s'y trouvaient. Il y avait même des fantômes, ce qui étonna fortement Emmett. Il remarqua Andrew, assis à la table des Gryffondor, qui lui fit un signe de la main. Tout l'été, Emmett avait rêvé d'être envoyé à Gryffondor. Ses parents seraient si fiers de lui ! Toute sa famille avait été dans la maison du lion, et le nom Rosenbach y était étroitement lié. Les élèves défilaient, s'asseyant rapidement sur le tabouret avant que le Choixpeau hurle un nom. Parfois, il marmonnait quelques mots que seul l'élève en dessous entendait. Le jeune garçon pensait que le Choixpeau était moins... décrépi, et l'idée que des milliers d'élèves avant lui avait enfilé ce vieux bout de cuir le dégoûtait légèrement. « Rosenbach, Emmett ! » l'appela-t-on. Les jambes tremblantes, il se faufila parmi la foule et s'assit lourdement. Sentir le Choixpeau sur sa tête le fit frissonner. C'était une drôle de sensation. Il avait presque l'impression qu'on lui fouillait le cerveau. « Un Rosenbach... » murmura le vieux chapeau. Emmett n'aurait pu dire si son ton était rassurant ou nom. Il était trop concentré à se répéter à lui même « Gryffondor, Gryffondor » dans l'espoir que le Choixpeau l'entende. Mais celui ci, bientôt, se mit à hurler : « Poufsouffle ! » Le cœur d'Emmett manqua un battement. Le tout premier Rosenbach qui n'allait pas à Gryffondor, c'était lui. Mais quelle honte. Il n'était pas digne de tout cela. Il n'entendit même pas les félicitations des jaunes et noirs quand il vint s'asseoir à leur table. Tout ce qu'il voyait, c'était son frère un peu plus loin, qui riait à ses amis. Il s'en fichait. Andrew se moquait bien que son frère soit à Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle ou Gryffondor. Il se fichait de lui tout court. Un colère folle se mit à monter dans le cœur d'Emmett. Il détestait Poudlard, il détestait ce vieux chapeau rapiécé qui n'en faisait qu'à sa tête, il détestait le Kraken, il détestait cette salle sans plafond. ❝ she burns like the sun ❞londres, 1987 « Elle avait un regard incroyable. Ce genre de regard qui me transperçait de part en part et qui me laissait chancelant. Je me rappelle encore parfaitement du jour où j'ai rencontré Casey. C'était un jeudi de novembre mille neuf cent quatre vingt sept. Il pleuvait à sceau -le temps typique d'Angleterre, quoi- et j'étais en retard. C'était à l'époque où j'étudiais encore la médicomagie. Ce devait être ma cinquième année, j'imagine, et mes études touchaient pratiquement à leur fin. J'étais passionné par tout cela. Je me levais le matin et je me dépêchais de me préparer tant j'avais hâte d'assister au cours. En vérité, je n'ai jamais compris pourquoi c'était la médicomagie et pas autre chose. Je serais tenté de dire que c'est parce que j'aime aider mon prochain, mais ce ne serait même pas vrai. Évidemment, je préfère quand mes patients guérissent, mais je sens qu'il y a une autre raison derrière tout cela. J'avais l'impression... que ces études me conféraient une sorte d'importance, l'importance que je n'avais jamais eu en étant à Poudlard. J'étais un élève lambda à Poufsouffle, avec de bons résultats mais trop discret pour attirer réellement l'attention des professeurs. Je n'avais pas énormément d'amis, et même mon poste de Batteur dans l'équipe de Quidditch n'y remédiait pas. Les études de médicomagie sont prisées, difficiles, et j'avais donc le sentiment de réussir enfin quelque chose, de faire ce que d'autres plus populaires ou plus beaux n'ont pas réussi. Ce jour-là, donc , ce jeudi de novembre, j'étais très en retard pour mon premier cours. Ce n'est pas un détail important, en soi ; or, je me rappelle de ce jour avec une précision extrême. Le midi, je n'avais pas mangé car je finissais un important devoir sur l'histoire de la médicomagie à travers les siècles. Quand je l'ai vu, c'était la fin de la journée et je sortais d'un cours pratique. Je marchais dans les couloirs, rapidement mais discrètement, et j'ai tourné la tête. J'ignore pourquoi j'ai fait ça. Je n'avais aucune raison de regarder ailleurs que devant moi, et pourtant, c'est ce qui s'est produit. J'ai tourné la tête et je l'ai vu, adossée contre le mur. Vous croyez au coup de foudre ? Moi, je n'y crois pas. C'est pour cela que je suis toujours en train d'essayer de comprendre ce qui m'est arrivé quand je l'ai vu. Ses yeux se sont posés sur moi, j'ai posé les miens sur elle. Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Quelques secondes, deux minutes, une heure ? Cela m'avait semblé si court et si long à la fois. Je m'étais noyé dans ses yeux, j'avais perdu tout contact. Casey était une fille banale, je veux dire, ce n'était pas ce que l'on peut appeler un canon de beauté. Mais je la trouvais magnifique. Elle avait quelque chose de si... particulier. Une aura. De toute façon, et ça je n'étais pas le seul à le dire, Casey c'était plus qu'une femme. C'était tout un concept. Casey était un électron libre. Elle n'écoutait rien ni personne, et elle aimait son indépendance plus que tout au monde. Après cela, nous avons commencé à nous fréquenter. Il se trouvait que nous avions des cours en communs, et au fil du temps, les choses ont commencé à devenir sérieuses. Ce que j'aimais le plus chez elle, c'était ce que j'appelais sa fausse férocité. Elle aimait montrer les crocs et se faire passer pour la dure à cuire du coin. Mais moi, je la connaissais, et j'étais le seul à voir le petit bout de femme fragile qui se cachait à l'intérieur. J'étais le seul à voir les larmes derrière son sourire quand ça n'allait pas, et j'étais le seul à la comprendre quand les mots ne suffisaient plus. Je pense que c'était pour cela qu'elle m'aimait. Quant à moi, j'étais entièrement dévoué à elle. Elle était tout. Je l'aimais comme un dingue, j'aimais chaque aspect d'elle, et je n'ai jamais eu honte de le dire. Et quand on me demandait ce qu'une fille comme elle faisait avec un gars comme moi, je répondais que l'on s'aimait et que cela dépassait absolument tout. Dans le fond, ces gens n'avaient pas tort. Après notre divorce, je me suis souvent fait la remarque que nous étions mal accordés. C'était une née-moldue qui n'avait pas eu une scolarité facile à Poudlard ; son adolescence s'était très mal passée et lui avait forgé ce fort caractère que tout le monde lui connaissait. Et moi, à côté, j'étais s-tout simplement ridicule. Je n'avais rien vu, rien vécu. Toute ma vie s'était déroulée sans fausse note et j'adorais cette tranquillité. Oui, Casey était mon contraire. Elle aimait faire des discours grandiloquents quand elle était énervée et je l'écoutais sans dire un mot. Parfois, elle s'agaçait car je ne lui répondais pas. Casey, elle voulait changer le monde. Hier, je me disais que nos différences faisaient notre force, et aujourd'hui, je me rends compte que c'est exactement ce qui a finit par nous séparer. » Journal d'Emmett Hortensius Rosenbach. ❝ it's a very mad world ❞londres, 1998 « Alors c'est ça ? Tu comptes rester sans rien faire ? » hurla Casey, hors d'elle. Emmett ne savait que répondre face à tant de colère. Il détestait les conflits, et de toute façon, il ne pouvait pas s'énerver face à elle. C'était dans ces moments là qu'il était le plus amoureux d'elle, quand elle laissait sortir la lionne qui sommeillait en elle. Elle était superbe, son Aphrodite au teint pourpre. « Que veux-tu que je fasse, de toute façon ? Tu crois que c'est moi qui changera le monde ? La seule chose que je parviendrais à faire, c'est de me faire tuer, et c'est pas vraiment dans mes projets » répondit Emmett d'un ton beaucoup plus calme. Cette réponse ne parut pas satisfaire Casey pour le moins du monde. Les mains sur ses hanches, elle n'arrêtait pas de faire les cent pas dans le salon de leur appartement. Des larmes coulaient sur son visage, et Emmett ne savait pas réellement s'il s'agissait de colère ou de tristesse. Tout était allé trop vite, ces derniers. Il y avait d'abord eu la chute du Ministère et la prise de pouvoir des Mangemorts, qui avait choqué tout le monde. Emmett, tout comme Casey, n'avait pas fait attention aux rumeurs concernant le retour de Lord Voldemort, et ce malgré les évènements de la Coupe du monde de Quidditch 1994. Et ensuite... Oui, tout était allé trop vite. Pour tout le monde. « Et donc c'est ce que tu vas faire ? Te terrer dans ton quotidien minable en espérant que les gens fassent bouger les choses pour toi ? C'est ça que tu vas faire, Emmett ? » Casey s'était approchée de son mari et le regardait dans les yeux. « Tu n'es qu'un lâche, voilà tout. Un sale lâche et un menteur, par dessus le marché ! » Et c'était reparti pour les cris. Emmett n'avait pas assez d'amour propre pour être véritablement blessé, mais c'était dur d'entendre ce genre de choses sortir de la bouche de sa Casey. Il en avait eu beaucoup de scènes de ménage de ce genre, avec elle, mais celle-ci avait un ton nettement plus dramatique que les autres. Et cela à cause des récents évènements qui les avaient frappés. « Je déteste ce gouvernement de merde tout autant que toi, et tu le sais ! Moi aussi j'aimerais que les choses changent, moi aussi j'ai envie que ces soi-disant disparitions cessent ! Tu n'as pas été la seule à souffrir, tu n'as pas été la seule à perdre des gens. Ce que tu veux faire, c'est une mission suicide ! Tu ne peux rien faire face à des sorciers aussi puissants » lança Emmett. Le ton montait chez lui, ce qui était rare. Casey le regardait, silencieuse, les yeux remplis de larmes. « Et tu ne crois donc pas que ta mère mérite vengeance ? » cracha-t-elle d'un ton plein de mépris. C'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Emmett se leva d'un geste vif et se plaça devant elle. Casey n'aurait jamais du parler de sa mère comme cela. « Justement, j'ai réfléchi. Et j'ai appris. J'ai bien vu ce qu'elle avait gagné à se rebeller contre quelque chose que de toute façon elle ne pouvait pas combattre. Elle en est morte » Cette fois, c'est elle qui s'éloigna. Elle commença à enfiler son manteau d'un geste enragé. « Et bien, fais ce que tu veux. Démerde toi avec ta conscience. Moi, j'ai pris fait mon choix. Ma soeur ne restera pas sans vengeance, elle. » déclara-t-elle d'un mauvais profondément mauvais. « Casey, ne fait pas ça. Et s'il t'arrivait quelque chose ? » Elle le regarda un long moment. « À plus tard, Emmett » Sur ce, elle tourna les talons, sortit et claqua la porte. ❝ may we meet again ❞londres, 2002 « Chaque matin, je décortique chaque magazine sorcier, qu'il soit celui du Ministère ou celui de l'opposition. Je dévore tout dans l'espoir de trouver la moindre information sur elle, sur ce qu'elle fait. La dernière fois que je l'ai vu, pour signer les papiers du divorce, elle était si pâle et si maigre... ! Depuis, j'essaie de savoir quels sont ses plans. Si elle apparaît dans l'actualité, si elle a pris part dans les récentes attaques des Insurgés. Parfois, je m'en veux. Je m'en veux de n'être qu'un lâche. Je m'en veux d'avoir peur de mourir. J'aurais tant aimé avoir cette capacité que Casey avait, celle de regarder la Mort droit dans les yeux et de lui dire, de cette voix sévère et autoritaire : "Non, pas aujourd'hui". Je ne sais même pas si elle est vivante ou morte, maintenant. J'imagine que si elle était morte, son nom serait apparu quelque part à un moment. Je m'en veux aussi parce que maintenant, je ressens parfois cette étrange envie de joindre les rangs des rebelles. J'adore ces gens, j'aime ce qu'ils font et d'un côté, je suis vraiment fier que Casey en fasse partie. C'est là qu'est sa place. Oui, parfois je repense à ma mère tuée par un Mangemort ou à la soeur de Casey, tuée à la Bataille de Poudlard. Je pense à tous ces gens que je connais pas et qui vivent la même chose que moi ou que Casey. Je pense à toute cette intolérance, cette inhumanité, et ça me donne envie de vomir. Et de tous les tuer un par un, tous les responsables. Cela me vient à l'esprit pendant que je lis les journaux, surtout ceux du Ministère, et que je sens que l'on essaie de me manipuler. Je ne suis pas dupe. Je reconnais la propagande quand je la vois. Mon esprit s'enflamme, je me vois faire de grands discours solennels et plein d'humanité, un peu comme ceux que Casey faisait auparavant. Et puis vient l'heure d'aller au travail. J'enfile mon uniforme de guérisseur, puis je me rends à Sainte-Mangouste. Là, je me sens vraiment chez moi. Les gens me disent bonjour, mes patients font parfois preuve de sympathie ou de familiarité. Ce sont ces hommes et ces femmes que je ne connais pas qui sont ma seule source d'affection humaine aujourd'hui. Mais je m'y plais. J'ai ma petite routine, et je la suis avec plaisir. Au fur et à mesure de la journée, patient après patient, j'oublie peu à peu mon ardeur du matin et mon envie, que je juge désormais ridicule, de rejoindre l'opposition. Comme si j'avais l'étoffe d'un héros ! Je ne changerais jamais le déroulement de cette guerre stupide, de toute façon. Je n'avais de toute façon pas envie de passer ma vie à fuir comme un délinquant en permanence. J'étais déjà assez mal à l'aise en présence d'un Mangemort ou d'un membre du Ministère en étant neutre, alors bon... De toute façon, ce n'est pas pour moi. J'aime les choses simples : mon métier, mon logement et ma femme. La guerre m'a déjà enlevé la dernière, il ne tenait qu'à moi de sauver les deux restantes. Et pour cela, je devais rester aussi neutre qu'auparavant ». Journal d'Emmett Hortensius Rosenbach.
Dernière édition par Emmett H. Rosenbach le Jeu 29 Oct 2015 - 1:25, édité 11 fois |
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HERO • we saved the world June Winchester  | BIENVENUUUUE SUR EXCI ouiii en effet pour l'inscription, je vais m'occuper de ça du coup  en tout cas, j'aime beaucoup beaucoup ton début de fiche (bon j'vais pas trop m'attarder sur le choix de l'avatar parce que j'avoue que ça risque de virer dans le gros fangirl et faut pas que je fasse peur  ) bref si tu as des questions, surtout n'hésite pas à nous mp n'oublie pas d'aller réserver ton avatar puis bon courage pour le reste de ta fiche et amuse-toi bien parmi nous |
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| | Merci beaucouuuup!  Je te retourne le compliment, Karen est vraiment superbe  Encore désolée pour mon petit bug à l'inscription |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi |     CUMBERBAAAATCH UN LIEN ! UN LIEN ! UN LIEN ! GAAAAAH Voilà comment t'as réussi à me tuer deux fois en moins d'une minute ! Teeeellement bon choix de tête !  Et le début de la fiche me plait ! En tout cas bienvenue et bon courage pour terminer ta fiche ! J'ai hâte de lire tout ça ! /retourne mourir dans son coin |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUUUUUE t'as de bons goûts en matière de tumblr et d'avatar toi dis donc :siffle: et puis YES, ton début, j'aime j'aime j'aime cet aperçu de tes plans pour ton gars on manque de guérisseurs et co donc c'est vachement cool que tu en prennes un  bon courage pour la suite et comme dit, on est à ton entière disposition en cas de question alors n'hésite pas à nous mp  |
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| | Anna — Merci beaucoup  Pour le lien c'est avec plaisir, en plus Jessica quoi On la voit trop peu sur les rpgs, je suis contente de la voir ici Draco — Merci pour tous ces compliments Mr Malefoy J'vois que Benedict plaît, ça fait plaisiiir (ET TOM OMG. voilà  ). |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood  ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10224
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| HANLALALALALALALALA. CUMBER BITCH. I DO LOVE HIM, SOSOSO MUCH. Je veux lui faire des bébés tout le temps  LUNA VA ÊTRE TA PATIENTE ATTITRÉE ( #victime). BIENVENUE CHEZ NOUS SHERLY  BON COURAGE POUR LA SUITE DE TA FICHE, j'attends la suite avec impatience  |
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WIZARD • always the first casuality Nephtys Shafiq  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 01/02/2015
‹ messages : 2013
‹ crédits : avatar : freesia / signature : whorecrux
‹ dialogues : #8FBC8B
‹ âge : vingt-six
‹ occupation : musicienne, batteuse des Rotten Apple avant que le groupe ne se disloque. Autrefois elle était également une des boules de cristal ambulantes du gouvernement. Aujourd'hui, elle tente encore de créer mais passe surtout son temps à jouer pour les patients de Ste Mangouste.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : fait 21 cm, elle est en saule et contient de la poudre de griffe de sphinge.
‹ gallions (ʛ) : 5234
‹ réputation : Traîtresse, lâche, infâme catin du gouvernement de Voldemort. Parce qu'elle a aidé en toute connaissance de cause le Lord et ses sbires, par ses visions et par sa musique, et parce qu'elle est longtemps restée fiancée à un mangemort même lorsqu'elle était libre de se défaire de la promesse, Nephtys est regardée de travers la plupart du temps. Son sang pur n'aide en rien.
‹ particularité : voyante, affublée à sa naissance d'un don lui provoquant dans son sommeil des visions sporadiques et imprévisibles mais particulièrement violentes.
‹ faits : Orpheline de mère, il lui reste son père, Aswad Shafiq, devenu fou après l'attaque d'Herpo Creek.
‹ résidence : dans un appartement miteux sous les toits, quelque part dans un immeuble peu rutilant de l'allée des embrumes.
‹ patronus : un chacal, symbole de clairvoyance dans l’Égypte ancienne. Elle n'arrive que rarement à en conjurer une forme corporelle.
‹ épouvantard : Tantôt, elle craint que l'on abrège les souffrances d'Aswad et panique. Parfois, elle se dit que ça serait pour le mieux, moins égoïste. A ce moment là, sa véritable peur prend le dessus. Elle voit les gros titres, "Mangemort appréhendé et abattu" et l'avis de décès de Nott quelques lignes plus bas.
‹ risèd : Theodore en sécurité, avec ou sans elle. Des nuits calmes. Du silence. Ne plus rien sentir, à défaut de l'avoir lui.
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| | | | | | | | emmett › all i want to do is be more like me and be less like you | |
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Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.
(chaîne de réaction normale sisi jvous jure 
