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sujet; (svetlana) wolves without teeth |
| Svetlana Ozwiena Dolohova feat nina dobrev • crédit vampirella | ❝ We're running in circles again ❞DEATH EATERS ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; svetlana. écorche les lippes de suaves promesses sans lendemain. origines sibyllines, oubliées et ravivées au creux des lèvres qui exhalent perpétuellement cette ode aux enjôlés. ozwielda. écho d'un paradis perdu, les vestiges somnolents qui s'estompent en luminescentes accalmies, paradoxes fatigués d'une âme discordante. dolohova, l'héritage qui colle à la peau, les quatre syllabes où s'entremêlent faste et gloire, ténèbres et mystère. porté tantôt avec honneur, tantôt avec insolence. • elle l'appelle oz. l'autre qui rôde, fourbe créature, obscur reflet du miroir. oz qui sauve et qui torture, oz l'ensorceleuse, la cruelle. • ceux qui l'osent usent du patronyme svet' ou lana à son égard. c'est à la roulette russe qu'ils jouent, les pauvres fous. ☇ naissance ; 1978, nuit et jour se peignent à l'unisson sur une voûte céleste parsemée de givre, éclats dansant silencieusement sur l'harmonie poétique des feuilles de cristal qui gémissent sous les pieds des matinaux, des souffles qui s'emmêlent en brumes blafardes. un hiver qui pare la Russie de son manteau immaculé quand le cœur bat pour la première fois. ☇ ascendance; les infâmes souillures n'ont pas atteint le pourpre qui glisse en ses veines, revendiquant l'absolue pureté d'une lignée préservée.☇ métier ; secrétaire du directeur du Département des Mystères, énigme parmi les énigmes. on étouffe la folie sous les silences du sanctuaire. ☇ camp ; l'allégeance à Voldemort. le cœur et la raison vont au sang fraternel qui s'incline, la frivolité au Mal qui grave sa marque dans les chairs.☇ réputation ; elles courent, les rumeurs, futiles ou fondées, lointaines encore de la réalité et pourtant les murmures sur la veuve noire ne se tarissent pas. la beauté camoufle la folie sous ses allures sulfureuses, le déséquilibre derrière les sourires volages se dissimule. les apparences sont trompeuses, et les aveugles ne voient que la fascinante, la mystérieuse, l'insondable Svetlana, l'attrait de l'étranger. ☇ état civil ; célibataire éphémère face au temps qui s'égrène, au sablier qui se vide, trop vite. l'échéance se rapproche, le mariage se profile sur un horizon prochain.☇ rang social ; mangemort, la marque taille ses ténébreuses arabesques sur son derme délicat. mais les funestes présages se parent des altières origines, l'élite sorcière qui l'accepte en son sein. ☇ baguette ; l''aubépine. contradictoire, les fleurs au pouvoir salvateur, les suaves relents de mort qui s'échappent des branches coupées. 31,8 cm. en son sein réside une plume de phénix.☇ épouvantard ; le frère qui meurt, le frère qui sombre, le frère qui l'oublie, jette sur elle les miasmes d'une déception qui détruit, qui ronge. ☇ risèd ; contempler la famille à l'apogée du pouvoir, trônant sur les cadavres fumants des hérétiques qui osèrent défier les Doholov. ☇ patronus ; elle n'a pas de patronus ☇ particularités ; la demande est à faire obligatoirement avant la fiche.☇ animaux ; texte ici.☇ miroir ; voir l'onglet "miroirs". |
☇ Avis sur la situation actuelle ; Svetlana, elle marche sur les carcasses rongées par la vermine avec indifférence. Aveuglément, elle suit les traces du frère, arrache la vie de leurs étaux mortels pour offrir les cœurs impies à celui auquel elle est dévouée. Le Bien et le Mal, les rêves brisés sur l'autel d'ambitions démesurées se sont depuis longtemps estompés au profit de la Loyauté, abyssale et malsaine, qui efface dans les vapeurs carmines de son passage les âpres regrets. Insurgés, tristes pantins du Destin, lui qui les a ainsi si injustement placés sur le chemin de ceux de son sang, obsolètes ennemis qui furent désigné par Lui-même pour donner sens aux murs qui se peignent de pourpre, aux cris dont l'écho résonnent perpétuellement contre les murailles de l'empire des Ténèbres. De pair avec les pauvres rebuts qui crèvent sur les pavés, ceux-là que l'on réduit à rien, rampants insectes que l'on écrase ou épargne au gré des caprices. Elle perce dans leurs entrailles la vérité de l'infamie du monde, mais s'en détourne, l'abandonne à son funeste sort qu'elle sait inexorable. Parce qu'elle est libre, Svetlana, comme les volatiles aux plumes peintes à l'encre de la nuit, ceux-là qui profitent de la mort comme d'autres profitent des imbéciles.
☇ Infos complémentaires ; l'autorité des autres n'a jamais eu d'effet sur la frivole, la libertine. capricieuse enfant, elle n'a jamais obéit qu'au son de sa voix. loin pourtant de se fourvoyer dans son idolâtrie, elle sait les pires secrets, démons et hantises qui tapissent son âme de leurs ténèbres et les embrasse avec douceur. jamais pour un autre ne brillera dans les tréfonds de ses ébènes cette adoration absolue, la fidélité fanatique de son cœur qu'elle lui a confié il y a bien longtemps. furieuse jalousie qui lui broie les entrailles, qui anime la haine des regards langoureux qui écorchent la silhouette fraternelle, nie à peine la possessivité de ce pilier qu'elle imagine immortel. • la lune et le soleil qui se succèdent, l'ange et le démon qui se côtoient, signent leur pacte précaire sur cet oxymore chaotique. de la sereine accalmie à la plus terrible des tempêtes, elle virevolte sans prendre gare. l'âme fracturée , peut-être pour ne plus avoir à supporter les dissensions de sa morale. les deux se succèdent, se mêlent et s'emmêlent si bien que personne ne sait laquelle prend le pas. • les mains rougies, les assassines ignorées que l'on baise dans l'hypocrisie du faste mondain. autrefois faucheuse dansant sur l'hymne de ses sacrilèges, elle ôta les vies aux corps inertes, et les spectres déchus dérobèrent un par un les pans de sa raison. mais le monstre avide fut confiné aux barrières du silence, là, dans les tréfonds du Ministère où nul n'entend les funestes promesses étouffées. • partisane des vanités, les modes qu'elle suit au gré des envies, princesse capricieuse qui demande et refuse, joue et s'ennuie aux dépens des pauvres pantins à son service. c'est bien là leur rôle, après tout. • elle accompagne le fraternel dans ses déboires, s'engouffre dans les abîmes fascinantes d'illégalités lucratives. on craint le murmure de ses pas dans les enfers où elle s'aime à siéger, ambassadrice du diable dont il ne reste après le passage qu'un écho incertain, la délicate saveur de ses vices qui flotte encore. • elle est joueuse, svetlana, toujours les lippes étirées de malice. elle sait, de vous, tout ce qu'il y a à savoir. elle creuse votre passé, votre présent, ravive les plaies ouvertes avec candeur, l'innocence au service de votre déplaisir. mauvaise perdante, certainement. les grimaces à la défaite, les trahisons qui surgissent avant que l'on se réjouisse. et alors quand les cadavres des victorieux pourrissent dans les fosses, elle gagne. elle gagne toujours. • les amitiés sont lunatiques, celles qui durent se fissurent quand l'autre surgit, brise l'image de la souriante sous les acerbes poignards qu'elle vous plante dans le dos, le fiel empoisonné qui s'infiltre dans votre âme pour en tirer quelques larmes. • autrefois, elle représentait sa famille au sein du commerce international mais n'y fait désormais que quelques brèves apparitions, jugée par ses pairs trop instable. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi ashes remains. J'ai 17, je viens de Normandie et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 4 jours sur 7. Un dernier mot ?
Dernière édition par Svetlana Dolohova le Jeu 17 Déc 2015 - 18:55, édité 24 fois |
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| thousand eyes I lie awake and watch it all diffuse ❝ no it's nothing wrong with me, the kids are all wrong the story's aloof ❞1990 & manoir des dolohovelle est encore partie. c'est un papillon, la petite dernière. elle voltige ici et là, les froissements de sa robe vaporeuse qui gravent sur les pavés froids l'écho d'un ange qui passe. tombé du ciel, maladroitement. un sourire, la franchise des caprices, des envies, qu'elle demande à assouvir. les traits mutins dévoré par les prunelles hypnotiques, qui finissent de convaincre. effrontée, insolente, elle se cache derrière les buissons, dans l'ombre des portes. elle est fugace, éphémère. angélique et paradoxale. où est-elle ? où est-elle ? les cris résonnent, mais la candide s'est déjà envolée au loin. elle est là, parmi les fleurs, les jolies fleurs qui sommeillent, qui éclosent, et qui fanent. les jolies fleurs qui forment l'harmonie de son pays au merveilles, délicates et sauvages. elle aime les fleurs, celles que son frère lui offre, celle que le jardinier aime à lui faire découvrir. ses préférées, ce sont les roses, pourpres ou lunaires, qui déploient leurs pétales en cette myriade fascinante. elle les arrache, sans pudeur, les épines déchirent la chair, délivrent les larmes carmines de leur prison charnelle, et pourtant les douleurs restent immobiles, sans attentions. juste la fragrance qui engouffre l'enfant dans l'euphorie, la beauté, si pure, si envoûtante, qui se dessine dans ces gracieuses extensions de la nature. elle en glisse dans sa chevelure d'ébène, anime les pétales qui volent au vent. et alors elle rentre, elle cache ses mains. on l'appelle, sans réponse. elle court dans les couloirs, on entend les éclats de rire cristallins qui résonnent, encore, comme une mélodie perpétuelle inscrite dans les murs depuis la nuit des temps l'amie. rouquine. tâches de rousseurs. émeraudes perçants. elle lui prend la main, danse avec elle. pauvre innocente, invitée au bras du danger souriant. dansons, dansons encore. les frêles silhouettes enfantines qui tanguent, muées dans la complicité bâtie des années communes. elle l'amène, dans les longs couloirs, l'immense manoir qu'elle connaît mieux que personne, elle qui l'a parcouru trop de fois, trop de nuits, trop de jours. elle parle, s'amuse, sourit. elle lui explique, invente, l'histoire de ces portraits qui ornent les murs, sévères, ironiques. elle en vient à pousser la porte de sa chambre, antre royale, de la petite princesse qu'on comble, irrésistible. elle fait mine, de ne pas remarquer la surprise, la jalousie qui hante le regard. tu sais que personne n'entre chez nous. l'autre murmure, entaille ses entrailles. on entre pas dans notre sanctuaire. elle l'ignore, elle continue de parler, de feindre. la normalité. puis elle la voit. ses doigts effleurent son médaillon, celui qu' il lui a offert. alors ils la submergent, la haine, irascible, de voir qu'une autre ose porter la main sur ses trésors, les précieux jalousement gardés. la peur, de ces abîmes qui l'engouffrent, des émotions incontrôlées qui trépassent du fragile, de l'inexistant contrôle. les regrets, de leurs moments passés, où encore sa reine des glaces avait été invisible. puis les iris s'assombrissent, l'autre prend la place. furieuse. sans crier gare, la lame s'enfonce dans la main de la petite peste. elle est de marbre face aux hurlements, de la rousse qui ose jeter un regard sur le coupe-papier qui traverse sa main, ensanglantée, la cloue sur le bureau qui gardera, triomphant, la marque de la folie de la jeune dolohov. la porte s'ouvre à la volée, les regards s’écarquillent. on écarte la rouquine, on l'envoie ailleurs. loin d' elle. alors ils la grondent, ils chuchotent. lui ne dit rien. elle comprend, les mots malade, dangereuse. elle a envie de vomir. parce qu'elle lit quelque chose de nouveau dans leurs yeux, quelque chose qu'elle n'a jamais vu, qu'elle ne veut pas voir. la peur.elle les entend, les voix qui bruissent le soir, distingue son nom dans le maelstrom des mots cruels, des mots assassins. ces mots-là qu'elle ne comprends pas, mais qui transpercent son cœur de milles tourments. elle aurait voulu accuser l'autre, déverser sur elle le torrent de ses haines accumulées, celles qui se taisent sous l'éclat tranchant de son rire froid, du mépris qui givre les os, les chairs, transforme le sang en glace. c'est toi qui m'a créée. je suis ton mal, tes ténèbres. ton ombre. le résultat d'un chaos, d'un cœur contradictoire. la moitié de ton âme, celle-là qui est noirceur, qui est déchéance. je te sauve de toi, je te sauve de nous. parce que nous sommes deux et une. parce que toi sans moi n'est pas, et que moi sans toi n'est pas. Gémissement. Fatalité. ❝ here's to your perfect world, celebrate with the suffering ❞1994 & manoir des dolohovles larmes perlent, sur sa peau de porcelaine. elles dévalent inexorablement ses joues rougies, s'animent à la peine qui broie son cœur. il est mort. précipitamment, elle a quitté Koldovstoretz. un espoir, un infime soupçon de conviction. qui s'efface, s'évapore, se disloque. son frère est mort. son monde s'effondre, s’anéantit. antonin, elle l'aimait. sans doute peut-être un peu moins que maksim. plus sérieux, plus sévère, destiné à prendre la relève. mais svetlana, elle avait toujours préféré ses deux frères à sa sœur, à ses parents. deux frères, deux piliers, deux essentiels. et on l'a séparée d'un tout vital, arraché une partie d'elle. brutalement. alors elle suffoque, elle étouffe. vagues de souvenirs qui remontent, violemment, qui brûlent l'âme d'amertume, de regrets. elle le tenait par la main, indifférente à cette habitude enfantine qu'elle aurait déjà dû abandonner il y a bien longtemps. après tout, elle venait d'avoir treize ans, et ses parents trouvaient peu convenable qu'elle persiste dans ces caprices puérils. pauvre obstinée. oz détestait cette sale manie, mais le contact chaud et fraternel de la peau contre la sienne était le seul qu'elle pouvait supporter. et parce qu'elles n'étaient d'accord que sur l'affection portée à leurs frères, cet amour inconditionnel qui donnait vie à la peur viscérale qui pétrifiait son être tout entier, l'autre lui permit d'offrir sa faiblesse, la question qui martelait son crâne depuis des nuits. « dis, est-ce que tu crois que quand nous ne nous verrons plus, nous finirons par oublier à quoi nous ressemblions, par oublier comment nous nous aimons ? ... Je crois que j'ai peur d'oublier. » l'aveu s'expire, vacillant. mais en réponse à cette angoisse qui tord ses entrailles, seul le rire franc de son frère résonne. alors qu'elle se vexe, il se tourne, s'agenouille pour être à sa hauteur et ancre son regard redevenu sérieux dans le sien. « écoute bien, svetlana, et retient ce que je vais te dire. le temps passe, les souvenirs s’estompent, les sentiments changent, les gens nous quittent, mais le cœur n’oublie jamais. »
douleur fulgurante. vacillement. il n'est plus là. les pensées trahissent, se fissurent sur les prémices de cette ignoble réalité, aussi vraie que le vide creusé par son absence, flagrante. et ils sont là, tous, spectres obscurs et sinistres, infâmes vautours qui rôdent autour d'elle, susurrent leurs mortelles paroles à son oreille. alors elle hurle, sur ceux qui osent dire qu'il n'est plus, elle frappe, les traîtres qui osent la supplier d'ouvrir les yeux. menteurs, menteurs, menteurs. « Mademoiselle Dolohova ? » le regard s'extirpe du bouquin, inquisiteur. un homme lui fait signe de le suivre hors de la salle de classe sous l'approbation de son professeur. fronçant les sourcils, elle se lève, fait face à celui qu'elle reconnaît comme étant l'un des hommes de main de son père. « Vos parents exigent votre retour immédiat au manoir. » la surprise s'entremêle à l'inquiétude. dévorante. a-t-elle mal fait quelque chose ? l'autre perçoit la question muette, y répond avec la résignation de celui qui sait que le moment fatidique est inévitable.« Votre frère, Antonin Dolohov, a trouvé la mort lors d'une bataille en Angleterre. Toutes mes condoléances. »
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❝ you never know what hit you, won't see me closing in❞1998 & angleterre(blabla) ❝ here's to the blackened skies, bring me the endless night ❞1988 & manoir des dolohovLegi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. ❝ shuffling the cards of your game, suddenly I will play my ace ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par Svetlana Dolohova le Mer 23 Déc 2015 - 14:20, édité 11 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUUUUUE parmi nous excellent choix de famille et gosh, Nina quoi, elle est tellement canon cette fille j'te souhaite bon courage pour ta fiche, hâte d'en lire plus et de voir ce que tu prévois pour ce perso si tu as des questions en tout cas, n'hésite pas à contacter le staff, on est là pour ça |
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HERO • we saved the world Matteo Grimaldi ‹ inscription : 04/10/2015
‹ messages : 953
‹ crédits : odistole.
‹ dialogues : #749585
‹ âge : trente
‹ occupation : tisseur de mots, journaliste, coureur de monde. à la dérive.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1984 et 1991.
‹ baguette : était en bois d'érable, relativement flexible, mesurait 26,8 cm et contenait un coeur de phoenix.Désormais brisée, j'ai hérité d'une baguette récupérée sur le cadavre d'un mangemort: bois de noyer noir, 32 cm, coeur inconnu, et absolument pas faite pour moi.
‹ gallions (ʛ) : 4239
‹ réputation : j'ai l'air de regretter la fin de cette guerre, que ce qui secoue ce monde nouveau paraît me révolter bien plus que les atrocités commises par le précédent gouvernement, que je suis un piètre journaliste et écrivain qui tente de percer dans un milieu qui n'a jamais voulu de lui.
‹ particularité : en plein flou.
‹ faits : j'ai soutenu la rébellion, bien que je n'ai quitté ma vie que sur le tard pour aller les retrouver, au détour de la création de la Renaissance du Phoenix ; que beaucoup n'ont pas cru à mon implication, du fait de ma naissance surtout ; que j'ai une tendance fâcheuse à commencer des choses et à ne pas les terminer ; que ma plus grande ambition est d'enfin publier un livre ; que ma fiancée est en fuite et que je n'ai aucune idée de si je la reverrai morte ou vive, offerte aux bons soins des Détraqueurs ; que la nouvelle société me répugne presque autant que la précédente, voir plus ; que je ferai sûrement tout pour ma soeur.
‹ résidence : dans le loft de la Bran Tower ou Eirene et moi vivions avant que tout ne vole en éclat. J'ai réussi à garder l'appartement par je ne sais pas quel miracle, il sert aujourd'hui à ma soeur et à mon beau-frère, Elias, parfois. En vérité je n'y suis pas souvent, je fuis l'endroit.
‹ patronus : une méduse géante
‹ épouvantard : un grand feu, l'anéantissement total de ma famille, rester seul au milieu des cendres
‹ risèd : Eirene se tenant à mes côtés, aussi heureuse qu'elle l'était à nos débuts, lorsque nous étions encore pleins de promesses et de projets fabuleux avant que tout ne soit jeté aux flammes.
| WELCOME HOME Super choix de famille Bon courage pour ta fiche la belle. |
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| UNE DOLOHOVA j'aime trop c'te famille et nina est trop canon sérieux, ça devrait pas être légal ça bienvenue sur excidium |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | NINA LA PLUS BEEEEEELLE en plus Dolohov quoi bienvenuuuue sur exci jolie demoiselle bon courage pour ta fiche et j'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous |
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