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sujet; M.F ✝ Burn it down |
| Marcus Flint feat jon kortajanera • unicorn
| ◄ | • nom complet ; marcus flint • surnom(s) ; aucun • naissance ; 3 février 1977 à Bristol • ascendance ; famille flint, dont ursula flint épouse de phineas nigellus black, ancien directeur de poudlard • camp ; gouvernement, mais surtout pro lui-même. • métier ; ministère de la magie, département de la justice magique, rafleur • réputation ; encore jeune, personne ne lui accordait beaucoup de crédit au départ. seul son nom de famille l'a hissé au rang de rafleur. avide de gain. et de pouvoir. il utilise son don de traçage aussi talentueusement que son père. ce dernier le pousse à se surpasser, pour faire honneur au prestige des flint. ses performances imposent peu à peu le respect. mais une sale rumeur vient tâcher sa respectabilité. il paraîtrait qu'il aiderait à la recherche de nés-moldus dans son coin. mais pas pour le gouvernement. mais pour aider les familles. ça jase. ça murmure. comment un élite issu d'une famille de sang-pur pro gouvernement, pourrait tomber si bas ? mais personne encore n'a pu prouver la véracité de ces dires. alors le mot traître est encore silencieux. • état civil ; célibataire • rang social ; élite sang-pur • particularité(s) ; don de traçage, comme n'importe quel membre de la famille flint. • patronus ; ours kodiak • épouvantard ; le cadavre de sa rébut • risèd ; remplacer lord voldemort à la tête du ministère de la magie • animaux ; aucun • baguette ; 29 centimètres, bois d'acajou, ventricule de coeur de dragon
• WIZARDS • Perso inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : il s'est rallié au gouvernement naturellement. parce que sa famille l'a fait. parce que c'est comme ça. il ne pouvait pas en être autrement. même si comme tout bon flint qui se respecte, il en veut plus. ambitieux. présomptueux. il désire secrètement renverser lord voldemort. il partage toutes ses idées. il approuve toutes ses méthodes. les rébuts. les insurgés. il adhère. il applaudit. mais c'est à lui d'être à la tête de tout. il envie la peur qu'inspire le magister. même parmi ses fidèles. il jalouse son pouvoir. son emprise. sa position. il jalouse le maître des ténèbres. ► Infos en vrac : même si marcus était poursuiveur et capitaine de l'équipe de serpentard, ce n'est pas un grand sportif pour autant. il sait voler sur un balai correctement quoi. • son père le pousse à se surpasser. pour faire briller leur nom de famille. qu'on ne souvienne pas d'eux comme des sangs-purs parmi d'autres. pour faire rentrer marcus dans l'histoire. pour exister à travers la jeunesse de son fils. cette pression pèse. mais les flint sont fort. les flint ne craque jamais. jamais. • ambitieux. prétentieux. insatiable. individualiste. violent. • farouche. persévérant. fougueux. possessif. • il a une rébut depuis peu (1 mois) et s'y est attaché. pas pour sa personne. c'est néanmoins ce qu'il affirme. mais plutôt pour son utilité. son amusement. • contrairement à ce qu'on pourrait croire, marcus n'est pas juste qu'une brute de rafleur. il est aussi très cultivé. c'est sûrement grâce à cette présence d’intelligence qu'il n'a pas encore sauté au cou de lord voldemort pour le détrôner. • il paraîtrait qu'il aide des nés-moldus. que son don de traçage ne sert pas qu'au gouvernement. un traître parmi les flint ? • la rumeur est fausse. • on raconte qu'il est violent. parfois incontrôlable. notamment avec son ancienne compagne. • la rumeur est vraie. Nothing compares to you • pseudo & âge ; kiri, 21 ans • comment as-tu trouvé le forum ? bazzart • ton avis, tes suggestions ; ne fermez jamais, jamais, jamais ce forum • connexion ; 4/7 • quelque chose à ajouter ? elle est où la poulette ? • coup de main pour le bottin ;2. Si ton personnage est un inventé ; ▋ ▋ JON KORTAJARENA ; marcus flint - Code:
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▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u76">▋</a> <pris>JON KORTAJARENA ;</pris> marcus flint
Dernière édition par Marcus Flint le Lun 15 Sep 2014 - 12:24, édité 11 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• Ne fais pas confiance à ton cœur, il est assoiffé de ton sang. •――――-――― « Flint ! » Elle hurle. Qu’elle arrête ça. Stop. J’abaisse ma baguette. Le sortilège s’éteint. Désarmée. Impuissante. Elle pleure. Encore. Assise sur le sol. Recroquevillée dans un coin. Tel un être fragile. Telle une proie prise au piège. Elle pleure. Elle m’écœure. Dépourvue de force. De courage. D’amour propre. Elle n’est que faiblesse. Je déteste cette femme. Je la hais tellement. Une rachetée. Elle n’est rien. Juste un souffre-douleur ? Sûrement. Je me rapproche d’elle. Elle trésaille. « Non » Sa voix se casse. Elle sait. Elle sait que je décide. De tout. Elle n’a plus son mot à dire. Elle ne l’a jamais vraiment eu. « Tu m’as cherché » Elle l’a mérité. Elle s’en rend compte. Peut-être. Il serait temps. Je m’accroupie près d’elle. Elle tremble. De la peur. De l’angoisse. De la terreur. Elles remplissent ses yeux trop grands. Cette vision me fait sourire. Me fait plaisir. Elle me craint. « Je ne voulais pas … » « Tais-toi. » Elle s’arrête. Net. Et baisse le regard. Mes phalanges agrippent son menton. Je la force à me regarder. A me faire face. Qu’elle me montre un peu de courage, bordel. Ses pupilles rencontrent les miennes. « Je suis lassé de toi. » Elle ne sert à rien. La rouer de coups. Lui lancer le sort Doloris. La voir souffrir. Ça ne m’amuse plus tellement. « Ne me rend pas ma liberté. » Après un an de relation tordue. Elle n’est jamais partie. J’ai pris ça pour de la témérité. Un temps. Puis j’ai compris. C’est par lâcheté. Fréquenter un sang-pur. Pour sa famille et elle. C’est une bénédiction. Mon père m’avait prévenu. Mais ça me flattait. Cette supériorité gonflait mon égo. « Marcus, je t’en prie … » Mes doigts relâchent leur emprise. Laissant des marques rouges. Sur sa peau blafarde. De poupée cassée. « Je ne crois pas avoir besoin de ta permission. » Je me redresse. « Casse-toi » Elle ne bouge pas. Ses tremblements cessent. Ses muscles se raidissent. La supplique se mêle à sa frayeur. Une larme. Elle coule sur sa joue froide. Elle ne va pas encore se remettre à pleurer ? Combien de fois je l'ai vu dans cet état là ? A sangloter comme une gamine ? Presque provocante de montrer autant de faiblesse. « Casse-toi ! » Ma colère reprend le dessus. Jusqu’à serrer mon palpitant un peu fou. La fureur coule dans mes veines. Rapidement. Brutalement. Ma furie me contrôle. Elle me fait emparer du bras de cette frêle poupée. Avec fermeté. Je la fais se lever. Sans aucune douceur. Sans aucune délicatesse. Je relâche ma prise pour empoigner ses cheveux rêches. Je la traîne à travers la pièce. D’un geste de baguette la porte s’ouvre à la volée. Je la jette. Dehors. Durement. Son corps s'écrase sur le sol. Dans un bruit sourd. Un gémissement s'extirpe de ses lèvres. « Je ne veux plus jamais te voir, est-ce que c’est bien compris ? » Elle acquiesce. Timidement. Mais elle ne s'en va pas pour autant. Elle reste là. Figée. Stupidement. « Ma baguette ... » Ses mots ne sont qu’un souffle. Un vent d'audace mal placée. Une bourrasque de conneries. « Parce que tu crois que tu l’as mérité ? Dégage ! » Je claque la porte. Quelle conne. Il faut maintenant que je me trouve quelqu’un d’autre. Pas une amourette. Pas une amie. Il me faut un nouveau jouet. Une autre poupée à casser. ――――――-―• La douceur est la force de l'homme avisé. La colère est la force de l'insensé. •――――-――― Les enchères s’éternisent. Je ne trouve pas ce que je suis venu chercher. Un pantin à contrôler. Quelque chose qui puisse m’amuser. Me servir. Jusque là je n’ai rien vu d’intéressant. Certains sont terrifiés. D’autres affichent un air de défi. Rien qui n’attire l’œil. Rien d'original. C'est déprimant. Mais à quoi je m'attendais ? J'en ai traqué quelques uns. Ils sont tous pareils. De la vermine. Insignifiante. « Dernier rébut, Taegan Kent » Une jeune femme frêle s’avance. Les cheveux sombres. En bataille. Les pommettes roses. Ses prunelles vertes accrochent chaque détails de la pièce. Presque émerveillée. Un sourire dessiné sur son visage de poupée. Elle a l’air … contente d’être là. Quelque chose chez elle capte mon attention. Frêle. Fragile. Mais je n'observe ni détresse. Ni peine. Ni humiliation. Elle a l'air d'être à sa place. Au rang inférieur. Et pourtant. Cette brunette possède quelque chose. Quelque chose de spécial. Mais quoi ? « Née-moldue. Dix-neuf ans. Ancienne Gryffondor. Scolarité arrêtée en sixième année. Attrapée au nord de l’Ecosse. Aucun signe de rébellion connu. » Banale. Contrairement à sa satisfaction. Pourquoi ? Pourquoi cette allégresse ? Elle semble docile. Obéissante. Peut-être même distrayante. « 100 gallions » Les enchères commencent. Je suis pris de court. Je ne sais pas quoi faire. Depuis combien de temps je n’ai pas ressenti ça ? Cette désagréable sensation de perdre le contrôle ? Elle m’irrite. M'agace. Il est temps de reprendre les rennes. Je la veux. Je veux mon nouveau jouet. Et tout s'accélère. « 500 gallions » « 600 gallions » Qui ose contrarier mes plans ? Je ne prend pas la peine de me retourner. Peu importe de qui il s'agit. Je vais la gagner. Tel un gamin capricieux. Je ne la laisserais pas s'échapper. « 800 » Plus personne n'enchérit. Une fille si banale ne mérite pas autant. Elle ne vaut pas autant. Je trouverai bien un retour sur investissement. « 800 gallions, une fois. 800 gallions deux fois… Adjugé à Sir Flint pour 800 gallions. Fin des ventes pour aujourd'hui. » Je m'avance pour récupérer les clés des chaînes de ma rébut. « Merci pour ma liberté. » Elle chuchote. Amusée. Soulagée. Toujours enjouée. Mes iris captent les siennes. Je reste silencieux. Un peu perturbé. Par sa conduite. Par sa façon d'être. Taegan est déroutante. Elle pense qu'elle est libre. Réellement. Naïvement. Sortir d'Azkaban n'est pas signe de liberté. C'est passer d'une prison à une autre. Rien de plus. Même le plus benêt des moldus le comprendrait. « Avance. » ――――――-―• Le piège de la haine, c'est qu'elle nous enlace trop étroitement à l'adversaire. •――――-――― « C’est vrai ce qu’on raconte ? » « Quoi ? » « Tu aides les nés-moldus ? » L’air claque. Elle se couvre la joue. Presque immédiatement. Comme pour stopper la douleur. Deux semaines se sont écoulées. Depuis que je l’ai gagné. Je n’ai remarqué aucune larme. Son sourire s’éteint. De temps en temps. Mais il est encore présent. J’espère qu’elle abandonné toute notion de liberté. En venant ici. En étant en ma possession. « Je ne suis pas un traître à mon sang. Plus jamais tu n’insinueras le contraire. » Elle acquiesce. Avec gaieté. Elle me déconcerte. Une nouvelle fois. Ses prunelles émeraude me dévisagent. « C’est à cause de cette stupide rumeur que tu t’ais cru libre le jour des enchères ? » « Non. » Serait-ce un ton de défi ? On toque à la porte. M’empêchant de lui demander pourquoi. « Va ouvrir, ce doit être mes parents. » « Oui, monsieur. J’ai hâte d’entendre encore une fois pourquoi les Flint sont la meilleure famille de sang-pur au monde. » Elle disparait de la pièce. Très vite. S’épargnant une nouvelle claque. Je sais maintenant ce qui m'avait attiré chez elle la première fois. C'est cet effet. Celui qu'elle provoque chez moi. Elle désordonne mes pensées. Elle chamboule tout. Sans vraiment me faire perdre le contrôle. « On va dîner chez les Travers dans quatre jours… » Taegan s’affaire autour de la table. Elle est parfaite. Soumise. Obéissante. Un brin provocante. Solide. Eclatante. Efficace. Parfaite … « La fille est une demie-vélane à marier. Son père cherche un sang-pur évidemment. Son sang à elle n’est pas des plus irréprochables. Mais une demie-vélane, avec la rumeur qui court sur toi … l’achat de ta rebut et ce mariage … ce serait une bonne affaire. » « Si tu veux. » Taegan s’éloigne. « Tu es mon unique enfant. On ne peut pas se permettre de merder. Tu comprends ? Les Flint … » Je n’écoute plus. Je l’ai trop entendu. Vanter les Flint. Alors que sincèrement, on est une famille de sang-pur parmi d’autres. On soutient Lord Voldemort comme la plupart. Mais on ne fait pas parti de ses fidèles les plus proches. Aucun d’entre nous n’est mangemort. Même si mon père souhaiterait que j’en sois. Il ne le cache pas. Ni à moi. Ni à ma mère. Ni au reste du monde. Taegan revient avec le repas. Elle nous sert. La mine égayée. Pendant que mon père continue de louer les mérites de notre famille. Et se retire. « Tu n’es pas trop mal tomber avec ça. Certain rebut sont plus difficiles à dresser. » Ma mère désigne du regard la porte. Par laquelle Taegan est sortie. Si elle savait ... si mes parents savaient. Que je regrette. Presque. Que Taegan ne soit qu'une née-moldue. « Haleigh, notre fils traque et dompte des comme elles tous les jours. Evidemment qu’il sait y faire. » Un nouveau monologue sur les qualités des Flint s'amorce. J'abandonne les paroles de mon père. Un instant. Pour m'enlever Taegan de la tête. Elle n'est pas grand chose. Je ne peux pas perdre ce que j'ai. Pour juste elle. ――――――-―• Il est bon de parler, et meilleur de se taire. •――――-――― « Tu es venu pour me parler des deux sœurs ? » Parce que ça n’avance pas. Je piétine. Et je n’ose pas lui avouer. Je ne reconnais pas mes fautes. Surtout pas face à lui. « Non, pas aujourd’hui. » Je patiente. Tel un enfant sage. En admiration. Devant la personne la puissante de son monde. « On t’a vu parler avec Charles Selwyn. » Il demande simplement pourquoi. Qu’est ce que le patriarche Selwyn pouvait bien me vouloir. Soupçonne-t-il un faux pas de ma part ? Evidemment. Sa confiance, il ne me l’a toujours pas accordé. Mais non, je ne lui donnerai pas une occasion d’être déçu. Je ne prétends pas être irréprochable. Mais en vingt-trois ans, je ne l’ai trahi qu’une fois. Lui et sa foi en moi. A cause d’une ex-fiancée. « A cause de Khloé. » Il hausse les sourcils. Mi-étonné, mi-rassuré. « Il veut que je la retrouve et que je la lui livre. Et en même temps, je surveille quelques sorciers pour lui. » « Et en échange ? » Cette question. Je l’attendais. Une demande naturelle. Pour n’importe quel Flint qui se respecte. Eduqué dans des valeurs d’ambitieux. D’égocentrique. « Il promet de me faire mangemort. » « Le premier Flint mangemort … » Sa fierté. Dans le ton de sa voix. Ça n’a pas de prix. Aux yeux d’un gosse. Qui a toujours cherché à l’entendre. Parfait petit soldat. Formé avec excellence. « Ce n’est pas tout. Je dois aussi cherché quelqu’un d’autre … sa fille cachée. Qu’il n’a pas réussi à tuer en même temps que sa mère. A vrai dire, cette traque a été la plus simple du monde. Elle est juste ici. Dans mon manoir. Tout concorde, avec ce que ma rebut a pu me dire sur elle et les informations que m’a donné Charles … Je sais que c’est elle. Il est au courant. Il me laisse libre de son avenir. » Il fait les cent pas. En silence. Longtemps. Bien trop longtemps. A quoi peut-il bien réfléchir ? Il a eu ses réponses. « La dernière fois que je t’ai laissé faire librement, tu as vu ce qui est arrivé. Ton ancien jouet a trop sali ta réputation. Et celle de notre famille. Elle t’a roulé dans la boue, tout ça parce que tu as joué au gamin capricieux. Et que tu n’as rien fais pour régler ce problème. Donc cette fois, je veux que tu m’écoutes bien attentivement. Et que tu m’obéisses. Scrupuleusement. Sans question. Sans objection. Marcus, promets moi d’accepter cet ordre. Et de l’appliquer au plus vite. » « Tout ce que tu veux. » Qu’est ce que je lui ai déjà refusé ? Rien. Absolument rien. J’ai toujours obtempéré. Même lorsque ça ne me plaisait pas. Même lorsque je dois me fiancer avec une hybride. Rompre la pureté de notre ligne. Et récupérer mon premier amour perdu. Comme si c’était simple. De courir deux lièvres à la fois. Avec la présence de Lyubov. Qui vient tout bouleverser. « Ta rebut … L’acheter ne suffit pas pour laver ta réputation. De plus, elle peut faire des bourdes. Peu importe qu’elle soit la fille d’un sang-pur, si elle en est arrivé là, ce n’est pas par intelligence. Et personne ne tardera pas à comprendre qui elle est. Et on ne peut pas se permettre de perdre la confiance que t’as donné Selwyn. » Où veut-il en venir ? « Tue-la. » ――――――-―• Le piège de la haine, c'est qu'elle nous enlace trop étroitement à l'adversaire. •――――-――― « Réveille toi. » Elle émerge. Me dévoile ses émeraudes. D’un éclat trop déroutant. D’un charme trop puissant. Je m’assois. A coté d’elle. Sur le sol froid du grenier. « Je pense qu’il y a certaines choses que tu as le droit de savoir. » L’incompréhension dans ses opales. La curiosité sur son visage de porcelaine. Son innocence. Qui m’a toujours fait chavirer. C’est seulement maintenant que je l’admets. « Lyubov, tu m’as apporté trop de problèmes. Et tu m’en apporteras encore davantage. Tu as foutu le bordel. Dans ma stabilité. Dans mon esprit. Et dans mon cœur. Je ne cherche plus à le nier. Tu as réussi à m’adoucir. Et je me demande si ce n’est pas ça que je cherchais. En t’achetant … un peu d’humanité. » Ça l’amuse. Poupée rebelle. Tout sauf soumise. Elle ne l’a jamais été. Docile et sage. Jamais. Bien qu’elle a su faire semblant. Ce n’est pas elle. Mes paroles la divertissent. Elle en rigole presque. Ni la colère, ni l’amusement, ne viennent. Rien ne vient me perturber davantage. Seul les battements de mon cœur, me rappelle que je suis encore vivant. « Ly, je n’oublierai jamais ton émerveillement le jour des enchères. Je n’oublierai pas ton sourire. Ni celui là, ni les autres que tu m’as offerts. Je n’oublierai pas ce moment sur la falaise. Ni cette nuit où tu es venue. Effrayée par l’orage. Ce qui c’est passé, ça n’aurait pas du arriver. Mais je ne le regrette pas. Je n’arrive pas à le regretter. » « Tu me dis adieu, Marcus ? » J’ai du mal à penser. Trop difficile de réfléchir. « Oui. Parce que je vais t’offrir la liberté. » Parce que tout ça c’est trop. Parce que cette histoire n’aurai jamais dû exister. Je vais ouvrir sa cage. Desserré le piège. Il est temps maintenant. Je me relève. Me remet sur pied. Et lui fait face. Petite esclave fragile. « Celle que tu m’as demandé de te donner un jour. La dernière liberté qu’un être vivant puisse avoir. » Souviens toi simplement de mes sentiments. Aussi réels que la mort. Aussi durs que l’enfer. Mes doigts glissent sur ma baguette. Le néant. Et une lumière verte. « Je suis désolé.» Et ces larmes qui n’ont jamais existés. Et ce déchirement. Cette souffrance. Qui déchire mon palpitant fou. Qui brise le peu qu’elle m’a laissé. Pour consumer et réduire en cendre, ce cœur déjà broyé. Et tout détruire. Tout.
Dernière édition par Marcus Flint le Ven 10 Oct 2014 - 21:17, édité 7 fois |
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| NIN la culotte de Morgana ne frétille pas, elle. CE N EST PAS UNE CULOTTE FACILE ! Toutefois bienvenue ! Installe-toi bien ! Les call-girls sont en pause dominicale mais on se rattrapera ! |
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| Té bô
Bienvenue parmi nous. |
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| Flint Bienvenue, bon courage pour ta fiche ! |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUE c'est un suuuper choix de perso que t'as fait là + Jon colle trop bien au perso (il s'est fait limer ses longues dents, le Marcus ? ) hâte de voir ce que tu comptes faire de ton bonhomme, surtout que la description de la famille Flint laisse de bonne possibilité de jeu si t'as des questions ou que tu cherches un raccourci pour arriver jusqu'à la culotte de Daphné (y'a des embouteillages sur la voie principale, elle est demandée la coquine :siffle: ), n'hésite pas à mpotter le staff ! |
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| Merci tous les trois Marcus doit regretter ses dents terriblement sex ouais |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | je l'ai pas dit tout à l'heure mais ofc tu vas devoir me réserver un super bon lien hein, genre pas le choix |
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