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sujet; With every broken bone I swear I lived - Harper

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Harper Abigail Anderson
feat Emmy Rossum • crédit swan
❝ We're running in circles again ❞Insurgés ; SC

☇ pseudo complet & surnom(s) ; Harper, prénom simple, court, tranchant et aux consonances peu féminines. Il faut croire que ses parents étaient contre la théorie des genres, ayant choisis des prénoms plus doux pour leurs deux aînés que pour leur petite dernière. Abigail fait figure d’exception à la règle, bien que personne à part sa famille ne connaissance l’existence de ce patronyme (et l’état américain, bien évidemment). Pour le coup un peu trop fille, il fait référence à une vieille tante qui a eu le bon goût de décéder l’année de sa naissance, déclenchant cet hommage. Si elle avait tenu encore un peu plus longtemps, elle n’en aurait pas eu, comme ses frères. Si jamais le sujet venait à être évoqué, elle couperait court et dirait que c’est « Abbie ». Mais mieux vaut ne pas trop poser de questions si on ne veut pas obtenir un échantillon gratuit de son langage le plus fleuri. Quant à Anderson, c’est un nom qui ne disait pas grand-chose avant que la fratrie ne débarque dans le monde magique. Hérité de leur moldu de père, les aînés ont pu le façonner à leur manière, discrètement mais proprement en tous cas sur le sol américain. Harpie est le surnom que ceux que ses manières insupportent lui donnent (et croyez-moi, ils sont nombreux). Cela la fait plus rire qu’autre chose et elle ne se prive pas pour leur donner raison. Il faut donner au public ce qu’il attend, après tout et s’il y a un show qu’elle maîtrise particulièrement bien, c’est celle de l’emmerdeuse finie. Minnie Il n’y a que ses frères pour oser l’appeler comme ça. Ils n’ont pas tellement compris son choix de devenir Animagus alors quand ils ont découvert en quoi elle se transformait … ça a été fini. Elle aurait pu tenter de leur rappeler que Minnie était une souris sainte-nitouche avec des sous-vêtements de grand-mère et non un rat magnifique et furtif, mais cela aurait été une perte de temps monumentale. Elle se contente donc de leur présenter son majeur quand ce nom passe leurs lèvres. Chacun son style. Andy, c’est comme ça que l’appelle Fred et la plupart des Britishs qui sont de grands adeptes des patronymes. Ça lui convient plutôt bien, prénom masculin obligeant. Et peut-être que quelqu’un entendant son nom de famille finira par se souvenir d’avoir croisé un autre Yankee avec le même …
☇ naissance ; Elle est née à Boston, dans un hôpital sorcier, le 4 août 1978, avec son père n'en menant pas large au milieu des Médicomages et sa mère devant le rassurer à chaque instant. Un grand moment de plaisir et de bonheur familial. Heureusement que les deux frères se tenaient tranquillement dans le hall à ce moment-là, sinon, personne n'aurait survécu à cette journée. Et tout le monde conviendra que cela aurait été vraiment dommage.
☇ ascendance; Sang-mêlé, ce qui ne lui a jamais posé le moindre problème. Naviguer entre le côté paternel moldu et sorcier maternel lui a permis d'avoir une ouverture d'esprit assez exceptionnelle très tôt (sans compter son oncle Henry gay, mais ça, c'est un autre débat) et bénéficier de toutes les cultures. Et il faut quand même dire que les moldus font de très bonnes cigarettes.
☇ métier ; Sans emploi fixe, elle n'a jamais gardé un travail très longtemps, que ce soit par ennui ou par désaccord avec ses supérieurs. Elle n'a pas repris d'études à sa sortie de l'école de magie, enchaînant tous les petits boulots qu'on pouvait lui proposer. Elle a donc été livreuse de pizzas, testeuse de balai, assistante d'apothicaire, aide de plombier moldu, entre autres choses. Touche-à-tout, elle s'intéresse à tout ce qu'elle peut apprendre. Et une chose est certaine : elle n'a pas peur de se salir les mains.
☇ camp ; Elle se retrouve du côté de la rébellion sans vraiment l'avoir choisi : ce n'est pas son pays, ce n'est pas sa guerre. Son idéologie rejoint celle des Insurgés, bien évidemment, étant un esprit libre, épris de la découverte des différences et n'en ayant vraiment, mais alors vraiment rien à faire des histoires de sang. Mais elle n'a aucun intérêt à se mêler à ce conflit. Elle veut retrouver son frère, un point, c'est tout.
☇ réputation ; L'emmerdeuse. La nana qui dérange. Et plus on dit ça d'elle, plus elle en rajoute. Naturelle, franche, impertinente, Harper on l'adopte ou on la jette, c'est ce qu'on vous dira sans doute. Assorti d'un haussement de sourcil agacé pour ceux qui n'adhèrent pas, vous signifiant de ne pas perdre votre temps avec cet énergumène qui n'a aucun sens des convenances. Ou avec un grand sourire pour ceux qui ont été charmés par le phénomène. Certaines mauvaises langues pourront également dire qu'elle a le feu aux fesses. En attendant, personne ne l'a prise dans d'autres draps que ceux de Fred depuis son arrivée. Certains Anglais ont vraiment du mal avec l'humour américain débridé.
☇ état civil ; Célibataire. En quelque sorte. Elle s’est séparée de son petit ami « officiel » peu avant son départ de Boston. Jerry et elle, c’était surtout pour faire taire les parents de l’un et de l’autre : ils s’amenaient mutuellement aux repas de famille, par exemple, pour arrêter les questions sur « quand vas-tu te trouver quelqu’un de convenable et te poser ». Ils allaient un peu plus loin quand l’envie les en prenait, mais ce n’était rien de sérieux. Alors quand elle a décidé de mettre le cap sur l’Angleterre pour aller retrouver Jeremiah, ils ont conclu que c’était plus simple d’arrêter là. Surtout elle. A part ça, il y a Fred, évidemment. Simple parce qu’ils ont choisi un mode de fonctionnement sans attaches. « Friends with benefits », pour mettre une étiquette dessus. Ils connaissent pas mal de choses l’un sur l’autre et aiment se retrouver dans les bras de l’autre. Et pour l’instant c’est tout ce qui est envisageable.
☇ rang social ; Clandestine, donc hors-la-loi, vivant aux côtés des insurgés, la jeune femme est entrée en Angleterre par des moyens peu clairs et n'est donc absolument pas déclarée. Elle est donc en quelque sorte hors-la-loi, mais comme personne n'est au courant de son existence ... Que cela reste ainsi, elle ne s'en porte pas plus mal.
☇ baguette ; Cèdre du Texas, 25 centimètres, Tige de Dictame. Clairement pas une baguette académique en Grande-Bretagne, le sorcière y tient particulièrement, même si elle n'est pas une grande duelliste. C'est une partie d'elle, même si elle se débrouille la plupart du temps comme une parfaite moldue.
☇ épouvantard ; Quand Harper se retrouve face à un épouvantard, celui-ci se délite en volutes sombres pour venir l’encercler. Rapidement, Harper se retrouve entourée de barreaux solides, verticaux et horizontaux, l’emprisonnant totalement. Une cage. Il ne s’agit en aucun cas de claustrophobie, mais de sa peur ancrée de ne plus jamais avoir le choix. Ces tuyaux sombres se referment sur elle comme un étau, manquant de broyer son cœur de panique à chaque fois qu’elle les voit. Cela n’a rien de rationnel, elle en est parfaitement consciente, mais le Riddikulus est chaque fois difficile à prononcer tant sa respiration se fait courte.
☇ risèd ; Vivre éternellement. Non pas que la demoiselle ait peur de la mort, avec son mode de vie débridé et son esprit ouvert, il ne s'agit pas de cela. Mais le monde a tant à offrir qu'elle voudrait avoir des siècles pour le découvrir, son appareil photo autour du cou, son carnet de croquis dans sa besace. Elle ne s'est jamais vue dans le miroir du rised, mais elle tomberait sans doute sur son reflet tenant feu la pierre philosophale.
☇ patronus ; Il s'agit d'un chien, un bâtard pure race, comme elle le déclare fièrement à quiconque lui demande de quoi il s'agit exactement. Il n'est pas loin de ressembler au chien de la famille, qu'ils ont recueilli quand il était bébé sur le bord de la route. Une figure rassurante s'il en est.
☇ particularités ; Etant donné que devenir Animagus demande énormément de travail et de rigueur, il s'agit sans doute de l'asset le mieux caché et le plus inattendu chez la jeune femme. Ses manières ne vous feraient jamais croire qu'elle a eu la patience d'aller jusqu'au bout et pourtant ... Elle doit cet apprentissage inattendu à un de ses professeurs qui voulait tester son potentiel, ne tombant pas dans la facilité de la considérer comme une bonne à rien en voyant ses notes moyennes voire catastrophiques. Et elle a su se montrer à la hauteur, maîtrisant cette capacité dans un temps convenable sans être exceptionnel. Harper peut maintenant se transformer à volonté en rat. Animal grandement moqué par ses frères, il a cependant l'avantage non négligeable d'être petit et commun, donc extrêmement pratique pour du camouflage ou de l'infiltration discrète. Il s'agit cependant d'une forme sous laquelle elle peut être extrêmement vulnérable et s'est déjà fait écraser une patte une fois ou deux en étant un peu trop aventureuse.
☇ animaux ; Fred, répondrait-elle dans un grand éclat de rire. C'est vrai qu'elle en prend soin, à sa manière, surveillant ses repas, son sommeil, venant tambouriner à la porte de son atelier jusqu'à ce qu'il lui ouvre et la suive dehors ... C'est une job à plein temps, de s'occuper de ce Weasley, il n'y a pas vraiment de temps pour qui ou quoi que ce soit d'autre. Elle aurait adoré avoir un rat, mais avec sa condition d'Animagus ... "Il finirait par tomber amoureux de moi et alors, bonjour les problèmes", plaisante-t-elle parfois. Le chien de ses parents lui manque un peu, elle aimait bien les câlins humides et affectueux de cette grosse boule de poils. "Mais bon, maintenant j'en ai d'autres ..."
☇ miroir ; Harper n'en possède pas ... encore. Privilège des Insurgés, étant donné qu'elle n'en fait pas réellement partie, elle n'en a pas eu à son arrivée. Cependant, le temps passant, il est possible qu'il lui en faille un, selon la tournure des événements à venir.

☇ Avis sur la situation actuelle ; Ce qui se passe en Grande-Bretagne est évidemment une abomination. Harper ne dira jamais le contraire. Elle n'est pas là pour ça, clairement mais cela ne l'empêche pas de comprendre pourquoi les Insurgés, qu'elle côtoie au quotidien et aide à l'occasion en marge de sa quête infernale, se battent. Amoureuse folle de la liberté, bercée dans un monde de tolérance, tout cela va à l'encontre de sa manière de vivre. Il n'empêche qu'elle ne comprend pas exactement ce qui se passe entre Insurgés, qui se clivent de façon inutile. Tout ceci est certes, complexe, mais elle ne comprend pas pourquoi "ils se prennent autant la tête". Le problème n'a pas de solution évidente, mais il est clair qu'ils n'arriveront à rien en se déchirant et en se dispersant. Il lui est cependant facile d'avoir cet avis détaché et de les regarder de loin en s'en amusant parfois. Son discours risque en revanche de radicalement changer le jour où elle apprendra que tout ce système, toutes ces horreurs, son frère les a subies et qu'il en est mort.

☇ Infos complémentaires ; Les passions de Harper sont la photographie et le dessin. Son parcours débridé est aussi du à l'existence de ces deux "passe-temps", dans lesquels elle s'investit énormément. Et qu'elle préfère à un travail abrutissant qui ne lui apporte rien. Si ses photographies sont exposées au grand air et qu'elle peut les montrer sans souci, aimant même partager sur les techniques (elle en fait de la moldue et de la sorcière à tour de rôle quand ça lui chante), ses dessins sont son jardin secret. Ce n'est pas tant que ses esquisses soient mauvaises ou en tous cas moins bonnes que ce qu'elle tire de son appareil. C'est qu'il s'agit d'une réalisation beaucoup plus personnelle, qui la touche énormément. Et elle n'est pas prête à partager ça avec n'importe qui. Ou plutôt, à l'heure actuelle, qui que ce soit. Harper fume des cigarettes moldues. Loin d'être totalement accro à avoir des besoins furieux de nicotine, il s'agit plus d'un tic, d'une habitude prise qui lui va bien. A moins d'un paquet par jour, elle ne se ruine pas, mais on la voit très souvent la clope au bec. Elle possède également un tatouage réalisé dans un salon moldu. Il s'agit de l'une de ses propres esquisses, et le salon en question est extrêmement loin de chez elle et de toute personne pouvant la connaître. Parfaitement dissimulée quand elle est habillée, son existence autant que son apparence demeurent un mystère si on ne l'a pas déshabillée et regardée sous toutes les coutures. Harper n'est pas très douée en magie. Elle a des bases, c'est indéniable, mais n'est pas du tout un as de la baguette, bien au contraire. Il n'est donc pas question pour elle de se battre en duel et elle a développé d'autres compétences annexes pour pallier à ce manque. Son corps à corps n'est plutôt pas mauvais ("prenez ça comme vous le voudrez", suggérerait-elle dans un clin d'oeil canaille) et elle est plutôt imaginative quant à ce qui peut lui servir d'arme autour d'elle. En résumé, elle sait se débrouiller quand elle le doit et il serait mal avisé de la provoquer si on n'est pas capable de dégainer sa baguette avant qu'elle ne bondisse. Son pouvoir d'Animagus lui sert énormément dans ces cas-là. Harper est pansexuelle Elle ne tombe pas amoureuse d'un genre mais d'une personne, quel que soit son sexe. Cela ne rentre pas en ligne de compte pour elle. Son ouverture d'esprit est sans doute à l'origine de cet état de fait, même si elle se rend compte les années passant qu'elle est en règle générale plus souvent attirée par des hommes que par des femmes. Mais cela n'a pas d'importance pour elle. La viande de boeuf séchée est son péché mignon. Elle est grignote à tout bout de champ. Quand ce ne sont pas des bâtons de réglisse Qu'elle peut s'amuser d'ailleurs à manger de façon suggestive si elle est d'humeur (aka s'il y a quelqu'un à mettre mal à l'aise dans le coin). Sous ses airs de fille de peu d'éducation, Harper possède une culture à la fois moldue et sorcière que peu de personnes peuvent se vanter d'avoir. Elle peut démonter et remonter un chauffe-eau, a lu énormément de classiques des deux littératures pour le plaisir, s'y connaît en cinéma, en botanique ... alors non, ce n'est pas un puits de science, mais elle surprend parfois par le côté éclectique de son savoir de jeune femme touche-à-tout. C'est une grande fan de baseball, ce qui donne lieu à quelques joutes verbales entre elle et Fred sur l'utilité d'une batte et sur la façon de la manier et les mérites comparés de leurs sports, bien évidemment. Elle a déjà essayé le Quidditch, mais accroche beaucoup moins. Quand c'est le balai qui fait la moitié du travail, c'est tricher, comme elle aime à le dire. C'est une fan de la musique des Rotten Apple, mais c'est beaucoup mainstream pour qu'elle s'en vante. (Oui, elle a réussi à attraper quelques-uns de leurs morceaux avant son arrivée et se rattrape comme elle peut depuis septembre. En toute discrétion bien évidemment.)

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Bluefeathers/Anaïs. J'ai 25 ans, je viens de Paris et j'ai connu le forum via toujours la même adepte de prénoms bizarroïdes :p. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [X] oui / [] non. Un dernier mot ? On va bien rigoler...



Dernière édition par Harper Anderson le Mer 6 Jan 2016 - 21:54, édité 26 fois
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❝ Haaaaaaave you met Fred ? ❞août 2002 & Boston

  La nuit était tombée depuis longtemps dans les rues de Boston. Lincoln Avenue ne faisait pas exception à la règle, totalement endormie, les réverbères répandant une faible lueur dans cette chaude nuit d’été. Silencieuse, une silhouette apparut soudain à l’angle de la rue. La soirée avait été très longue pour la jeune femme qui remontait machinalement le trottoir en direction de la demeure familiale. Harper renvoya une mèche de cheveux sale derrière son épaule, étouffant un soupir. Elle avait encore démissionné. Mais ce pizzaiolo moldu avait vraiment fini par l’agacer, surtout ses sous-entendus graveleux et ses regards lubriques. Elle avait fini par rendre son tablier et n’avait pas spécialement envie de se retrouver dans son petit studio. La fenêtre serait ouverte, elle n’avait pas besoin de réveiller la maisonnée. Elle se glisserait simplement au petit déjeuner le lendemain et prendrait des nouvelles de ses parents. Peut-être resterait-elle même quelques jours, le temps de poser quelques esquisses … et avec un peu de chance, ils auraient enfin eu une lettre de Jeremiah, ou des informations.

Le comité d’accueil était à la grille, Napoléon la saluant d’un halètement heureux. Posant un doigt sur ses lèvres, elle la déverrouilla d’un coup de baguette avant de la ranger pour se faire sauter dessus par le chien de la famille. Il n’aboya pas une seule seconde, se contentant de lui faire une toilette en règle, sous les protestations murmurées de la sorcière : Nap’ ! Suffit. Arrête !!! Un éclat de rire lui échappa alors qu’il reculait, s’asseyant pour pencher la tête et la regarder avec ses grands yeux suppliant. Se retenant de pouffer, elle leva les yeux au ciel pour continuer, bas : Moi aussi je suis contente de te voir. Mais on va se faire transformer en saucisses pour le barbecue de demain si on réveille les ancêtres ! L’animal eut un mouvement de tête, comme s’il la comprenait. Il revint vers elle pour une dernière étreinte avant de repartir vers sa niche, au fond du jardin. Harper prit quelques secondes pour respirer, souriant : c’était bon de rentrer, de temps en temps.

Gagnant l’arrière du bâtiment, elle ne mit pas longtemps à escalader la façade, trouvant la fenêtre de la salle de bains attenante à sa chambre entrebâillée, comme d’habitude. Ses parents veillaient à ce que ce soit toujours le cas, pour qu’elle puisse aller et venir à sa guise. Elle n’avait plus qu’à se déshabiller, se glisser dans un short et un t-shirt qui attendaient sous le lavabo et entrer dans sa chambre. Étouffant un bâillement, elle prit directement la direction de son lit, souleva la couette, roula sur le matelas et … Holy sh*t ! … se retrouva contre ce qui ressemblait fort, au toucher, à un torse masculin nu. Pour quelques secondes seulement.

Elle se retrouva bien vite propulsée hors de son lit. Sa tête heurta le mur et elle jura, se massant le crâne. Essayant de comprendre ce qui se passait, elle rouvrit les yeux pour se trouver face à une baguette magique, éclairée par les rayons de la lune filtrant entre les légers rideaux. Cette baguette était tenue par une main, au bout d’un bras, rattaché effectivement à un torse, d’où partait un cou surmontée par une tête possédant un visage : Ils auraient pu me prévenir que l’oreiller était fourni et plutôt confortable ! On ne se refaisait pas. Il battit des paupières deux ou trois fois et sembla finalement émerger. Plutôt pas mal, il fallait bien l’avouer, mais elle préférait être au courant quand un homme se trouvait dans son lit. Qu’est-ce que vous foutez dans ma chambre ? Eh bien ça, c’était la meilleure ! Yeux écarquillés, elle toussa : Je te demande pardon ? Aux dernières nouvelles c’était ma chambre donc je crois que c’est plutôt à moi de poser des questions ! Bah elles doivent dater ces dernières nouvelles parce que c'est ici que je dors. Et depuis quand, exactement ? Dix jours.

Harper secoua la tête, essayant de remettre de l’ordre dans ses idées : Pouce, pretty face, tu peux commencer par baisser ta baguette ? La mienne est dans la salle de bains. Et la baguette se baissa, restant cependant en vue. La jeune femme étouffa un léger rire et se passa les mains dans les cheveux : Ouah, la confiance règne. Bref. Elle soupira, essayant de mettre de l’ordre dans tout ça : J’aurais apprécié que mes parents m’informent qu’ils recevaient, mais bon, nous ne sommes pas connus pour nos manières. Je suis Harper. Anderson. Elle lui tendit la main, pour se prendre un mur : Je ne te fais pas confiance. Je ne te connais pas. My … Je confirme le manque de manières, vu comment tu as squatté mon lit … Hey ! J’m’appelle Fred. Il lui serra la main et elle lui lança un regard torve : Dis donc, l’English, je rentre chez mes parents pour passer la nuit tranquille, je te trouve dans mon lit dont tu m’expulses avant de me faire passer un interrogatoire et c’est moi qui manque de manières ?! Elle était outrée. Et en plus il eut le culot de lui répondre : Tu veux dire que tu te colles à moi dans peut-être ton lit.

Oh, darling, grinça-t-elle avec une moue mi-figue, mi-raisin, un jour tu me supplieras de me coller à toi. Je te supplierai en ce moment même de le faire si tu me jures que ça te fera taire & sortir pour que je puisse me rendormir rapidement Ceci devenait ri-di-cule. Et elle était vraiment fatiguée. Bon, ce n’est pas que je m’ennuie mais j’ai sommeil, donc je vais te prouver que c’est bien ma chambre. Tu ne me tires pas dessus si je me lève, ok ? Elle l’interrogea du regard. Je ne te tire pas dessus si tu ne fais rien de suspect. Une grimace lui servit de réponse et elle déplia ses jambes, se mettant debout. Mains levées dans un geste exagéré, elle pointa l’étagère derrière lui : Je vais prendre l’album photo sur la seconde et revenir gentiment. Ok ? C’était ridicule et elle voulait juste … même aller sur le canapé et demander des comptes à ses parents le lendemain. Heureusement d’ailleurs qu’elle avait insonorisé magiquement sa chambre des années avant …

Elle fut bientôt de retour et l’ouvrit, le jetant sur le lit devant lui. A la page ouverte, une photo de famille avec ses deux frères, ses parents, le chien et donc elle, au milieu. Elle datait d’un peu moins d’un an, avant le départ de Jeremiah pour l’Angleterre. Jeremiah … Elle releva les yeux vers lui, le cœur battant. Est-ce que … ? Là ! Content ? Il mit quelques secondes à regarder l’image, qu’elle évitait maintenant de fixer, reportant son attention sur lui. Il se leva soudainement, dévoilant juste un caleçon qui arracha un sifflet appréciateur de la jeune femme. Elle leva les mains immédiatement pour s’excuser alors qu’il déclarait : Je vais dormir sur le canapé. Je ne crois pas, non. Elle referma l’album d’un geste preste : Mes parents me tueraient s’ils apprenaient que j’ai délogé un invité. J’y vais. Pas question. On peut aussi partager mon lit. Ton lit est trop petit pour deux. Ton manque d’imagination est effrayant. Elle réagissait instinctivement, pour ne pas lui poser le milliard de questions qui lui passaient par la tête. C'est toi qui me supplies pour te coller à moi, maintenant ? Bouche ouverte, soufflée, elle se décala pour lui désigner la porte : Dans tes rêves. Le canapé est à toi, et les baisers baveux de Napoléon également. Ignorant son sourire narquois et sa « défaite » sur un des deux points en jeu, elle se drapa dans sa couette, qui ne sentait plus son odeur et s’endormir plutôt rapidement, malgré toutes les questions qui la torturaient.

❝ If we ever meet again ❞fin septembre 2002 & Petit village moldu anglais

  Les missions avec les Insurgés de Harper étaient peu nombreuses. Elle n’aurait trop su dire si c’était un manque de confiance de leur part ou un manque d’engagement de la sienne, sans doute un peu des deux. Non pas qu’elle se laissait vivre, depuis qu’elle était arrivée, bien au contraire. Ses multiples talents avaient été mis à contribution et elle faisait ce qu’on lui demandait sans rechigner, de l’aide au soin des blessés à la cuisine, aux multiples réparations nécessaires. Ne pas vivre en parasite était une priorité. Et ce n’était que sa deuxième sortie, cette fois-là. Il s’agissait d’aller récupérer une personne dans un village moldu, ce qui était plutôt dans ses cordes. Le groupe était peu nombreux, la sortie devait se faire discrètement. Et sa connaissance de la vie moldue en avait fait un ajout naturel à ce détachement. La nuit était tombée, ils avaient attendu que les gens soient partis se coucher pour limiter le nombre de témoins. Se glissant dans une ruelle sombre à la suite de Fred, Harper râla une nouvelle fois mentalement qu’elle aurait préféré qu’ils fassent ça en plein jour, elle aurait pu se mêler à la foule sans problème pour l’exfiltration. Mais il était bien entendu hors de question qu’ils la laissent y aller seule (qui était-elle, après tout) et comme apparemment l’autre camp se moquait totalement de faire des victimes hors conflit … Enfin.

Un geste de son ami l’arrêta alors qu’elle allait déboucher à l’angle d’une autre rue. Fronçant les sourcils, elle se stoppa alors qu’il passait de l’autre côté. Et aussitôt, des éclats de voix se firent entendre. Plaquée contre le mur, Harper lança un regard interrogatif aux deux personnes qui avançaient derrière. Ils secouèrent vigoureusement la tête. Levant les yeux au ciel, elle décida de faire profil bas, jusqu’à ce qu’un prénom parvienne jusqu’à elle. Reaghan. Son corps se tendit instinctivement. Fred lui en avait parlé, à Boston. Et dire que les choses étaient tendues entre les deux hommes était un doux euphémisme. Son Weasley était en danger. Et aucun murmure courroucé ne la ferait reculer. Elle déboula donc au coin de la ruelle. Fred était dos à elle et lui face. Heureusement qu’elle avait été prévenue, sinon elle aurait probablement juré dans ce que son langage fleuri avait de plus beau. Mais ce n’était pas la question. Leurs yeux se croisèrent une fraction de seconde … elle n’avait pas beaucoup de temps. Virevoltant, elle fit mine de repartir dans l’autre sens … et se changea en rat. Sprint. Les changements de sensation ne la dérangeaient plus et elle aurait tout le loisir de s’extasier un peu plus tard. Furtive, elle dépassa les deux paires de pied, priant pour qu’il n’ait rien remarqué et que la joute verbale se poursuive.

Et tout alla très vite. Arriver à la brique qu’elle avait repérée. Poser la patte avant droite dessus. Se transformer. Et l’assener sur la tête du Raffleur. Un coup d’œil au corps allongé. Haussement d’épaule et regard à Fred : Tu me remercieras ou m’engueuleras plus tard. On a un truc à finir. Enjambant le corps gisant au sol, elle l'attrapa par la manche pour l'attirer ailleurs, répétant : On a un truc à finir. Histoire qu'il abandonne toute idée que ... toute idée. Pas un regard en arrière pour le pauvre bougre qu'elle avait laissé sur le carreau par des moyens peu académiques. Lâche ? Non, disons plutôt pragmatique.

❝ Who let the dogs out ? ❞1986 & Ohio

  Se servir de la ruse plutôt que d’affronter des gens plus forts qu’elle à mains nues ? Ce n’était pas vraiment la première fois que ça se produisait.

La petite Harper, 8 ans, considérait d’un air circonspect les trois petits durs qui entouraient son cousin Mike. Les caïds devaient avoir entre 7 et 10 ans (mais avec les gens de la campagne et leur fourrage au grain, c’était un peu compliqué de savoir de façon certaine) et n’avaient pas l’air de plaisanter. Assise sur une botte de paille, elle tapait de ses baskets contre la paroi en se demandant ce qu’elle devait faire. Son oncle Henry était plutôt débonnaire mais elle savait aussi qu’il n’hésiterait pas à sortir la carabine. Sa mère lui avait bien expliqué que les moldus aimaient résoudre leurs problèmes de cette manière, ce que la petite trouvait particulièrement stupide. Mais autant, comme le répétait son père, que la manie des sorciers du côté maternel de sortir leur baguette pour un oui ou pour un non (« pour remuer la soupe, par exemple » « cela permet à Ma’ de continuer à discuter avec nous » « ce n’est quand même pas compliqué de se déplacer pour y aller et ça prend trente secondes »). Tout ceci pour dire que si les adultes s’en mêlaient, cela allait faire d’horribles histoires. Et il n’était pas question que le dîner soit retardé, parce qu’elle avait faim et que le rôti de bœuf et la purée de pommes de terre de tante Jane embaumaient l’air.

Il n’y avait donc plus qu’une chose à faire : prendre les choses en main. Fronçant le nez, la demoiselle réfléchit intensément pendant quelques minutes. Il fallait que le plan soit efficace, audacieux et que Mike ne vienne pas râler après qu’il s’était fait aider par une fille et que du coup ce serait pire la prochaine fois. (Cela risquait aussi de retarder le repas.) Et soudain, la lumière fut. Ils ne faisaient de toute façon pas attention à elle. Elle put donc faire le tour de la maison tranquillement, aller ouvrir aux cinq chiens qui s’ennuyaient ferme dans leur chenil, les attirer dans son sillage avec un bout de bœuf séché qui traînait au fond de sa poche, pour finir par le lancer en direction du groupe. Elle tourna les talons alors que les marmots s’éparpillaient en criant alors que les molosses leur fonçaient dessus. Les crétins, ces chiens étaient des amours. Elle secoua ses poches, dépitée d’avoir utilisé sa dernière friandise pour secourir Mike (qui l’avait vue, et allait encore geindre, finalement). Une seule chose à faire : filer à table et prier pour qu’il attende la fin des grâces pour se plaindre.

❝ I'm coming at you like a dark horse❞fin novembre 2012 & QG des Pacifistes & Audacieux

  Cette s***pe !!! Entrant comme un ouragan dans les quartiers de Pacifistes et des Audacieux, Harper ne salua personne, ne laissant derrière elle que l’écho de son insulte et quelques gouttes de sang qui coulaient de son épaule. Elle ne voyait personne, elle n’entendait que son pouls battant ses tympans. Elle était encore tombée sur elle. Hazel. Princesse Hazel. Une insupportable pimbêche qui essayait de se la jouer grosse dur et rock alors qu’elle était née avec une petite cuillère en argent dans le bec. Plutôt dans le c*l ! cracha-t-elle en même temps qu’une traînée de sang dans un lavabo avant d’essayer de se calmer. Ce n’était pas la première fois que cela dérapait à ce point entre les deux jeunes femmes, loin de là. Parfois, Harper parvenait à garder son calme et la regardait s’énerver en se moquant d’elle et en appuyant sur le bouton Âqen pour la faire rager. Comment ce con avait-il pu s’enticher d’une emmerdeuse pareille ? Tellement précieuse au fond. Bon, bien au fond. Elles ne s’étaient pas vraiment battues comme des demoiselles, c’était le moins qu’on pouvait dire. La p*te. Elle n’était pas belle à voir. Les cheveux dans tous les sens, elle avait la lèvre fendue et de multiples bleus en devenir. Enfin elle espérait bien de son côté avoir collé un œil au beurre noir à cette : Pustule de Véracrasse ! Sh*t !

Il n’y avait bien qu’elle pour la faire sortir de ses gonds. Pourtant elle n’aurait pas du s’emballer de la sorte. Elle avait le dessus, elle avait traîné avec son ex (elle pouvait donc lui raconter tout ce qu’elle voulait), et elle la trouvait totalement pitoyable de se mettre dans des états pareils parce qu’elle ne partageait pas leur stupide guerre. Mais elle avait trouvé le point sensible. Et elle s’était engouffrée dans la faille. Pas au bon moment. Cela faisait trois mois qu’elle était là et trois mois qu’elle n’avait pas eu la moindre piste sur la localisation de son frère. Alors les paroles de cette vipère avaient fini par s’insinuer jusqu’à son cœur, qui battait douloureusement et se serrait à chaque fois qu’elle pensait à son aîné. Il est mort. NOO-OOON ! Un cri de douleur qui la fit envoyer la première chose qui lui tombait sous la main à travers la pièce. Harper ? ça va ? Elle ouvrit la bouche pour envoyer la personne derrière la porte se faire voir chez les Grecs … et la referma. Crispant les mâchoires, elle se força à respirer. Ca va. Désolée. Ne pas inquiéter les Insurgés, ne pas s’en faire virer. Ne pas attirer de problèmes à Fred. Et ne surtout pas donner satisfaction à cette traînée. Soufflant un bon coup, elle s’employa à nettoyer ses plaies. Elle ne craquerait pas. Jeremiah était vivant, quelque part. Et elle le trouverait. Un regard déterminé à son reflet plus tard, elle se détourna pour aller récupérer l’objet. Qui n’était autre que son carnet de croquis. Qui était tombé grand ouvert. Sur une page précise.
 
❝ Please don't leave me ❞novembre 2001 & Boston

  Rappelle-moi encore pourquoi tu dois y aller ? Assise sur la table de la cuisine, Harper jeta un coup d’oeil à Jeremiah qui s’affairait dans son appartement, préparant ses valises. Son aîné releva la tête pour la dévisager, un demi-sourire sur le visage. Même s’ils s’asticotaient de la sorte depuis une demi-heure, et épisodiquement depuis qu’il avait pris la décision de partir en Angleterre, ils savaient l’un et l’autre que ce qu’il y avait dessous était mortellement sérieux. Tu le sais bien, Minnie. Harper ne tiqua meme pas à l’emploi de son surnom. Elle pinça les lèvres et retourna à son carnet de croquis. Ses doigts étaient crispés sur son crayon pour une main, sur la page pour l’autre alors qu’elle reproduisait d’un trait nerveux la silhouette de son frère. Il se passé des choses affreuses. Le monde entier doit savoir. On ne peut pas laisser faire les choses. Et blablabla, singea-t-elle silencieusement, jouant la gamine. Son frangin secoua la tête avant de se remettre à emballer ses affaires. Tu vois que tu le sais.

La moue de la plus jeune des Anderson s’accentua. Elle le savait, mais elle n’aimait pas ça. Elle n’aimait pas l’idée que son frère s’embarque pour une mission humanitaire / chevaleresque dans un pays en guerre civile. Elle était persuadée que la mort de Ian y était pour beaucoup dans cette décision : il ne faisait plus autant attention aux choses et aux gens depuis, enfin, en quelque sorte. Elle avait bien essayé de le culpabiliser, de le supplier, de le menacer mais rien n’y avait fait. Et le regarder partir lui déchirait le cœur. Même si elle était extrêmement indépendante, sa famille savait qu’elle avait besoin d’eux, à sa façon. Elle voulait pouvoir débarquer n’importe quand et piller sa réserve de beurre de cacahuète, avant de s’endormir sur son canapé et l’entendre râler le lendemain. Et elle ne pourrait plus le faire pendant son absence, tout ça à cause d’une bande de bouseux qui n’étaient pas capables de se défendre tous seuls.

La mine se cassa brutalement et elle ferma les yeux. Deux bras l’entourèrent rapidement et elle enfouit son visage dans le cou de Jeremiah. Pars pas. Y a plein de sujets ici, ils peuvent envoyer quelqu’un d’autre … Il ne répondit pas. Et elle savait qu’il ne le ferait pas, parce qu’il ne voulait pas qu’ils se disputent juste avant de partir. Elle n’insisterait pas. Elle resta juste là, plusieurs minutes, à mémoriser son odeur, à profiter de son étreinte. Jusqu’à ce qu’il se détache d’elle pour la regarder dans les yeux : Tu veux lâcher ton appartement et venir ici ? Mais ça va pas ? Quand tu reviendras il faudra que je m’en trouve un en urgence, et tu me mettras sur le dos la moindre tache ! Ils se regardèrent un moment. Elle aurait voulu éclater de rire, mais elle n’en avait pas envie. Ses lèvres s’ouvrirent pour protester une dernière fois, mais il les scella de son index. Prends soin de toi, Harper. Il l’embrassa sur le front et se recula. La gorge nouée, elle ne put que hocher la tête, incapable de lui dire au revoir. Juste le regarder prendre ses sacs, lui faire un dernier signe de la main et disparaître.


   


Dernière édition par Harper Anderson le Mer 6 Jan 2016 - 21:53, édité 24 fois
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J'trouve que t'as pas trop d'imagination pour les titres de fiches, madame...
Je suis quand même si love de toi.... (et d'Emmy, but Arrow)

:jambon:

PS: J'ai pété sur ta fiche.

EDIT:
Citation :
j'ai connu le forum via toujours la même adepte de prénoms bizarroïdes :p
COMMENT OSE-TU ? èé èé èé èé :russe: mouais


Dernière édition par Âqen Shafiq le Mer 23 Déc 2015 - 0:03, édité 1 fois
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PTN HARPER iiih j'aime ce perso, et j'ai hâte de voir ce qu'il va devenir entre tes mains palpite
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HERO • we saved the world
'Kid' T. O'Faoláin
'Kid' T. O'Faoláin
‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5965
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
http://www.smoking-ruins.com/t2948-kid-blurryface#80706
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trop de love pour ce scénario, il est fantastique et c'est génial de le voir ainsi tenté, omg. T'es bien entourée mais n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit kr
et puis Emmy bave
BREF. rebienvenue sur le forum et bon courage pour la suite potte
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Cette chanson potte

Rebienvenue !
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- lui lance Lila dans les pattes -
hello i love you, won't you tell me your name? perv
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*dégage Lestrange pas beau du décor à coups de Sectumsempra* What a Face
(désolé, l'occase était trop belle mdr )

je me devais de sortir Fred pour t'accueillir parce que BORDEL JE VEUUUUUUUUUUUUUUUUUX iiih ET JE SUIS CERTAIN QUE HARPER VA JUSTE ETRE PARFAITE ENTRE TES MAINS, SOUS TA PLUME, DANS LE PIEU DE FRED sex

(puis je ne te souhaite pas la bienvenue, sale gueuse, parce que c'est un peu ta maison aussi Exci maintenant & tu sais déjà où me trouver pour tes questions, la belle inlove )
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HERO • we saved the world
June Winchester
June Winchester
‹ inscription : 13/02/2014
‹ messages : 2868
‹ crédits : moi et ma signature à crackle bones.
‹ dialogues : lightblue
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‹ liens utiles : présentation - reaghan - ronald - daphne - mood - lyanna - lorcàn - remus
‹ âge : trente ans. (01/06/1974)
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7796
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
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iiih HARPEEEER minikr
Ce choix merveilleux de scénario sans dec trognon en tout cas rebienvenue à la maison hein ! Tu connais la chanson à force alors bon courage pour cette nouvelle fiche et amuse-toiiiii bien avec la demoiselle brille
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HUNTED • running man
Owen Avery
Owen Avery
‹ inscription : 21/07/2015
‹ messages : 1765
‹ crédits : whorecrux <3.
‹ dialogues : #006666 (owen) #A0A0A0 (selma)
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‹ âge : 43
‹ occupation : dans l'ombre du Magister.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1971 et 1978
‹ baguette : est en bois d'acacia rigide, possède un cœur en ventricule de dragon et mesure vingt-neuf centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 5725
‹ réputation : la magie noire a rongé mon âme, dilué toute conscience, accru ma folie.
‹ particularité : fou.
‹ faits : ma soeur jumelle vit dans mon esprit dérangé, secret dont seuls quelques chanceux ont connaissance, que je suis aussi dérangé que peut l'être un sbire de Voldemort, que je n'hésite jamais à user de violences quand bien même elles ne seraient pas nécessaires, car la souffrance et les hurlements me font vibrer comme aucune autre drogue au monde. Mais qu'elles me sont infligées souvent par la main du Magister elle-même, car dieu sait combien de fois je l'ai déçu au cours de mes années de bons et loyaux (haha) services.
‹ résidence : Herpo Creek, dans la maison de mes parents, vide et délabrée; ruines.
‹ patronus : irréalisable, autrefois une hyène bien qu'elle ne soit apparue qu'une seule et unique fois sous forme reconnaissable.
‹ épouvantard : le baiser du détraqueur.
‹ risèd : la fin de cette insurrection qui amène autant de satisfaction que de souffrance.
http://www.smoking-ruins.com/t2376-it-s-just-the-night-in-my-vei
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CE SCENAR DE FIFOU yeah yeah trop bon choix. Rebienviendue comme on dit chez moi (facepalm) et have fun kr
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