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sujet; l'épine d'une rose (rosalinde) |
| Rosalinde Jade Bulstrode feat Crystal Reed • crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞Wizards ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; Bulstrode, un nom de famille qui évoque les amazones et un modèle de famille où les femmes possèdent le pouvoir, domine les hommes par une volonté de fer et une poigne ferme. Rosalinde, un prénom évoquant les roses mais aussi la douceur, sa mère semblait vouloir s'assurer que sa fille dispose de suffisamment de douceur pour manipuler subtilement les hommes. A ce prénom, elle a ajouté celui de Jade, évocation à la pierre dure et tenace espérant que sa fille obtienne les mêmes caractéristique que cette pierre. Puis, en grandissant, il y a eut les surnoms les deux plus connus étant Rosa utilisé par ceux l'appréciant et assez proches d'elle avec Bulstrode employé par ceux ne l'aimant guère voir la haïssant. Enfin, il y a Rosie, un surnom peut usité que seuls quelques rares personnes sont autorisés à utiliser, Rosalinde n'hésitant pas à faire comprendre aux autres qu'ils n'ont pas intérêts à la nommer ainsi. ☇ naissance ; Le 17 mai 1976, une date, la seule surement que Rosalinde associe directement à un fait, sa naissance à Saint-Mangouste. Sa mère n'était plus tout jeune et les grossesses précédentes avaient toutes finis sans un enfant. Se refusant à employer la technique du chaudron, trop dépassé, le couple avait mis ses derniers espoirs dans cette grossesse tardive. L'arrivée miracle d'une petite-fille prouvant le bien-fondé des parents de ne pas cesser de croire à la naissance d'un enfant pour prendre la relève. ☇ ascendance; Pure, la famille n'a jamais vu son sang souillé par des moldus. Une question de volonté de chaque génération où les femmes choisissaient le plus souvent de sauvegarder cette pureté pour une raison qui échappe à la belle. Elles sont libres de choisir leur destin les femmes Bulstrode et elles ont fait le choix de sauvegarder cette pureté, par ambition, par idéologie ou tout simplement par hasard. Les raisons restent diverses mais ne changent point le résultat. ☇ métier ; Médicomage-Urgentiste, un métier exigeant et passionnant. Un métier qui sonnait comme une vocation aux oreilles de la douce fleur qui s'est y est plongé corps et âme. Oh, certains y voient une faiblesse, l'aveu que les Bulstrode ne sont pas forcément toutes des amazones et qu'on peut les dompter. Mais Rosalinde n'est pas de ce genre et certains de ses patients peuvent témoigner de la sévérité dont elle sait faire preuve. ☇ camp ; Neutre, Rosalinde n'apprécie pas les actes du gouvernement mais elle refuse de se mettre en danger pour montrer son avis sur ces actes. Elle a donc opté pour la neutralité,observant la guerre sans s'en mêler et gardant au fond d'elle, l'espoir qu'un jour tout s'arrange et que le monde sorcier puisse panser ses plaies. ☇ réputation ; On dit d'elle qu'elle est l'exception des Bulstrode, la douce celle qui cherche à aider les autres plutôt qu'à les dominer. Certains voient en elle la possibilité de dominer les Bulstrode et de ne plus faire d’elles ces amazones dominatrices mais des femmes comme elles auraient du toujours être. D’autres connaissant le véritable caractère de la demoiselle, savent qu’il ne faut pas se fier à cette douceur, qu’elle sait aussi dominer les gens et se faire obéir. Apparences trompeuses et avis divergents voilà la réputation de la petite Rosalinde. ☇ état civil ; Célibataire, elle ne souhaite pas se marier dans les temps troubles qui règnent actuellement sur le monde magique. Et puis, il y a aussi le fait qu'elle a conscience que pour sa survie il faut qu'elle épouse un sang-pur et pour le moment aucun n'a su faire battre son cœur pour qu'elle le choisisse. ☇ rang social ; De par son sang et son nom, Rosalinde appartient à l'Elite et cela ne lui procure aucun plaisir ou inconvénient. Oh, elle ne se plaint pas de sa place, elle sait qu'elle est privilégiée mais elle n'en tire aucune arrogance, aucune suffisance. C'est ainsi, et elle se plie au jeu des apparences avec aisance sans chercher à gagner plus du pouvoir qu'elle n'a. ☇ baguette ; La baguette de Rosalinde est toujours celle qu'elle a acheté chez Ollivander à ses onze ans car la jeune fille ne supporte pas l'idée de devoir un jour se séparer de celle-ci. Faites en bois de sapin, elle contient une poule de phénix, mesure 27,8 cm et se trouve être souple et maniable. Une chose étrange est à noter à propos de cette baguette, c'est sa prédisposition, alors que le sapin aurait plutôt tendance à avoir une prédisposition à la métamorphose, celle possédée par la Bulstrode semble plutôt tournée vers les soins. ☇ épouvantard ; Le sol qui se fissure pour devenir une immense crevasse où la chute est inévitable et forcement mortelle. Loin d'être paralysée par le vide, elle prends peur et refuse toute situation qui pourrait entrainer une chute. ☇ risèd ; Elle voit une grande assemblée de sorciers dans l'atrium du ministère afin de célébrer le retour à la paix du monde magique. Les seuls visages reconnaissables sont ceux de ses proches qu'elle ne veut pas voir mourir. ☇ patronus ; Sortilège compliqué, Rosalinde a mis beaucoup de temps à en produire un corporel sous la forme d'une colombe ce qui ne cède de l'étonner. ☇ particularités ; Soigneuse, un don rare, un don contraignant que certains voient comme une bénédiction mais qu'elle ressent comme une charge. Elle possède un grand pouvoir et elle se doit d'en assumer les responsabilité du mieux qu'elle peut, voilà son ressenti sur ce don. Alors, elle a appris à s'en servir, connait ses limites et fait tout pour se rendre utile sans jamais enfreindre les lois de Mère Nature. ☇ animaux ; Un hibou petit duc nommé Edgar et qui l'accompagne partout crois qu'elle a fait son entrée à Poudlard. A cet ancien compagnon s'ajoute un chaton roux de quelques mois qu'elle a baptisé Whiskey. ☇ miroir ; Elle n'en possède pas ignorant jusqu'à leur existence.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Les situations de guerres sont toujours horribles à vivre et celle-ci n’échappe pas à la règle. J’aimerais vraiment que tout cela cesse, qu’importe le vainqueur même si je garde au fond de moi une préférence pour les insurgés. Cette préférence est minime, pas à cause du fait que je suis favorisée par le gouvernement mis en place mais parce que j’ai peur de ce qu’il adviendra si les insurgés remportaient la victoire. Cela fait presque quatre ans que le monde magique voit des horreurs sous ses yeux et les insurgés en ont subit beaucoup, ils doivent être épris de vengeance et je le comprends. Mais cette vengeance ne risque-t-il pas de vouloir la mener jusqu’à son terme, sans se soucier de leurs idées de bases sur la tolérance ? C’est ma crainte et alors mon sang ne jouerait pas en ma faveur au contraire. Et puis, il y a dans mon entourage des gens qui aide ce gouvernement ou le font en façade et je crains les procès qui suivront une victoire des insurgés. Leurs idées sur la tolérance, le fait qu’un sorcier n’est pas plus méritant qu’un autre selon son sang ou sa famille me semble fondée. Mais je doute qu’aujourd’hui, ils y adhèrent tous encore et qu’une fois victorieux, ils ne cherchent pas à se venger en oubliant leurs principes, en oubliant de chercher la vérité. J’aimerais que cette guerre se finisse, j’aimerais ne plus voir les regards terrorisés de mes jeunes patients à Sainte-Mangouste mais je ne choisirais pas un camp. Je ne peux pas choisir, tourner le dos à certains de mes proches, les inquiéter ou pire me retrouver face à eux, ce n’est pas pour moi. Je suis née pour soigner les gens pas pour combattre ou faire souffrir, alors j’attends et espère des lendemains meilleurs pour toute la population magique. Certains me traiteront de lâche, personnellement, j’estime que le courage ne se mesure pas aux cicatrices, aux nombres de meurtres qu’on commet ou aux nombres de risques qu’on prend pour un idéal. Le courage ça peut aussi d’accepter de voir des choses pour protéger ses proches et d’essayer de rendre le monde meilleur à son niveau sans chercher à tout changer au risques de détruire encore plus le peu qu’il reste à sauver... ☇ Infos complémentaires ; Si le Quidditch est le sport préféré des sorciers, Rosalinde ne l’apprécie que moyennement. Voir un match l'effraie à cause de risques encourus par les joueurs aussi elle préfère suivre l'évolution de ce sport dans les magazines. • Lorsqu'elle est gênée, Rosalinde tendance à jouer avec ses cheveux en se mordillant la lèvre inférieure. Cette dernière habitude revient quand elle est devant un cas difficile avec un froncement de sourcils et sa plume qui tourne entre ses doigts. • Douce Bulstrode, elle sait très bien rassurer ses patients stressé et elle supporte très mal le climat ambiant de guerre. Elle rêve d'un monde de paix, de tolérance et où elle n'aurait plus à croiser de regards effrayés ou traumatisés. • Sa friandise préféré est le fondant du chaudron bien qu’elle ne crache pas sur une bonne chocogrenouille. Par contre, ne lui offrez jamais une patacitrouille, elle déteste ça et n’hésiterait surement pas à vous remercier avec un sort en pleine tête. • Si la majorité de la population est droitière, Rosalinde fait partit des rares personnes gauchères et elle estime que c'est un avantage non négligeable, plus que son sang pure. Après ce liquide rouge qui coule dans ses veines ne lui apporte aucun plus en matière de magie alors qu'en tant que gauchère, elle peut surprendre durant un duel. • Cela fait trois mois que son appartement sert de refuge à un racheté célèbre dans le monde magique créant son lot de tensions avec sa famille. Rosalinde a conscience des dangers auxquels elle s'expose en ouvrant aussi facilement sa porte mais elle ne compte pas abandonner le garçon. Sa seule inquiétude repose sur les journalistes qui pourraient découvrir tout ceci et la harceler pour des réponses alors qu'elle tient à sa relative tranquillité. Mais elle ne compte pas l'abandonner, c'est sa manière à elle de lutter contre cette guerre d'aider les autres. • Une main de fer dans un gant de velours, voilà une expression qui montre vraiment le caractère de Rosalinde. D'apparence fragile, elle sait s'imposer, ne pas se faire marcher sur les pieds et quand elle tient à quelque chose, elle ne lâche jamais l'affaire. Comme toute Bulstrode, elle est une amazone mais peut-être plus subtile dans sa manière de dominer que les autres femmes de sa famille. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi spf. ou Mélo. J'ai 22 ans, je viens de France et j'ai connu le forum via millicent bulstrode. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 jours sur 7. Un dernier mot ? Hum...
Dernière édition par Rosalinde Bulstrode le Dim 3 Jan 2016 - 18:13, édité 11 fois |
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| Safe in my hands So take my hand, don't be scared ❝ We can go anywhere ❞Août 1983 & Manoir Bulstrode Rosalinde fixait par la fenêtre les nuages qui passait dans le ciel en essayant de leur attribuer des formes. Ses parents discutaient en bas avec d’autres adultes et elle avait reçu la consigne de s’amuser en haut et de les laisser entre eux. La consigne émanant de sa mère, la petite fille n’avait pas osé s’y opposer consciente que celle-ci n’hésiterait pas à sévir si elle n’obéissait pas sur le champ. Son père était plus ouvert à la discussion avec elle et il avait tendance à se laisser manipuler par sa fille ce qui ne semblait pas commun. Elle n’était encore qu’une enfant mais elle avait bien remarqué que dans les autres couples, c’était l’homme qui dominait et que tout le monde écoutait alors que dans sa famille s’était l’inverse. Rosalinde avait posé une fois la question à sa mère et celle-ci lui avait répondu que les femmes Bulstrode n’était pas du genre à jouer les potiches pour ses messieurs et que c’était ainsi que leurs noms de famille perduraient dans le monde magique. La gamine ne comprenait pas pourquoi les autres femmes n’en faisaient pas autant d’après sa mère c’était parce qu’elle était de sombres crétines mais cela ne collait pas avec ce qu’elle voyait ou entendait. Certains enfants de son âgé qu’elle côtoyait disait qu’il y avait très longtemps en voyant qu’elles ne donnaient que des filles, les Bulstrode avaient décidés de faire perdurer leur nom de famille en asservissant leurs maris. C’était ainsi qu’elles étaient devenus des monstres qui n’éprouvaient aucun amour et choisissaient leurs maris suivant leurs caractéristiques. Rosalinde avait fait taire l’insolent avec une énorme claque malgré le fait qu’il soit son aîné de plusieurs années en lui hurlant que ses parents s’aimaient et qu’aucun femmes de sa famille n’étaient un monstre. Les adultes avaient du les séparer et elle avait été réprimandés par sa mère qui lui avait ensuite offert une immense glace en dessert le soir même pour avoir défendue l’honneur des Bulstrodes. Un nouveau soupir franchi ses lèvres en se souvenant de cet épisode, faisant danser la poussière d’or que les rayons de soleil rendait visible en traversant la vitre. L’un d’eux fut bientôt occulté par une forme noire qui fit froncer les sourcils à l’enfant qui d’un bond se rua vers les escaliers. Elle avait reconnu la forme, il s’agissait d’un hibou, mal en point et qui peinait à voler, il avait surement été attaqué durant son voyage. Courant sur le sol de marbre, elle dérapa vers la cuisine qui lui permettrait d’accéder au jardin sans passer par le salon où les voix solennelles des grands résonnaient. Une fois face à l’étendue herbeuse, elle repéra bien vite la boule de plume effondrait qui tentait de battre encore des ailes pour se relever. Courant, elle s’arrêta à genoux devant l’oiseau sans se soucier des tâches que sa tenue ne manquerait pas de porter et prit l’oiseau dans ses bras. Doucement, elle tâcha de détacher l’enveloppe en murmurant des mots doux à l’animal pour le calmer. L’attache qui retenait le courrier venait de céder et Rosalinde se pencha sur la blessure les sourcils froncés, curieuse de voir ce qui pouvait tant gêner le vol du rapace. Elle eut juste à peine le temps d’observer la plaie qu’une vive douleur déchira son flanc et qu’un cri de douleur franchie ses lèvres. Elle s’effondra tremblante sous l’effet de la douleur qu’elle n’avait jamais ressentie et n’aperçu que l’oiseau qui volait de nouveau droit vers la demeure comme s’il n’avait jamais été blessé. Ses parents accoururent au cri et l’emmenèrent immédiatement à Sainte-Mangouste en voyant le sang qui s’écoulait de la plaie. Sur place, elle fut soignée et le médicomage qui s’occupait d’elle lui posa plusieurs questions cherchant à savoir ce qui s’était passé. C’est en entendant son récit, qu’il prit conscience du don que pouvait posséder cette jeune sorcière et qu’il en parle à la famille. « Il semblerait que votre fille soit une soigneuse. C’est une sorcière cela ne fait aucun doute, aucun enfant dénué de magie n’aurait pu guérir un hibou. Mais ce qu’elle décrit me laisse penser qu’il y a plus. Un ancien confrère pourrait mieux vous renseigner, il l’es lui-même et je pense qu’il saura quoi faire pour s’assurer qu’elle est bien ce que je pense et aussi quoi faire pour qu’elle ne vous cause plus d’aussi grande frayeur. » Ses parents inquiet prirent contact avec l’ancien dès le retour au Manoir et Rosalinde eut interdiction de toucher un seul être vivant jusqu’à ce qu’elle l’ai vu. L’homme aux cheveux grisonnants l’examina, trois jours plus tard, écouta son récit et fit quelques tests avant de valider la thèse de son confrère. Il fit part des risques de ce don à monsieur et madame Bulstrode, celui-ci risquant de troubler l’intégrité physique ou mentale de leur fille sans un bon apprentissage. Ce fut sa mère qui réquisitionna l’homme en tant que précepteur n’étant pas habitué au refus, elle entreprit de convaincre l’homme qui accepta la charge sans trop de difficultés. A ses côtés, Rosalinde se découvrit une empathie et une ouverture d’esprit que sa famille n’aurait surement jamais su cultiver étant habitué à éduquer leurs filles pour le pouvoir et non l’aide aux autres. ❝ You don't have to run ❞Septembre 1987 & Poudlard Poudlard, Rosalinde en avait rêvé pendant des années en écoutant le récit des adultes sur la vie dans l’établissement et les critiques des changements qui y était effectué. Elle se souvenait encore de quand la lettre était arrivé, elle venait de pénétrer dans la salle à manger quand sa mère lui avait dit qu’elle avait du courrier. Elle avait pensé que c’était une de ses cousines qui lui proposait de venir passer du temps avec sa fille mais quand elle l’avait retourné et vu le blason son cœur s’était arrêté. Un serpent, un aigle, un lion et un blaireau étaient imprimés dans la cire. Poudlard, elle était acceptée dans l’établissement. Fébrile, elle avait fait sauter le cachet de cire avant de dévorer la lettre et d’observer la liste de fournitures. Le fait de ne pas avoir le droit à un balai la rassurait un peu, depuis toute petite, elle n’aimait guère le vide et l’idée de tomber la terrorisait. Elle n’avait jamais essayé de voler à plus de quatre centimètre au-dessus du sol et généralement, elle se tenait bien droite sans bouger pour éviter de chuter sur le sol. Cette peur ressortait dans son caractère, la jeune demoiselle refusant d’échouer dans ce qu’elle entreprenait, c’était inconcevable pour elle, elle était une femme Bulstrode et elle devait réussir dans tout ce qu’elle faisait. Prise de terreur à l’idée de débarquer dans l’établissement et de ne pas en savoir assez, elle avait passé l’été à lire les livres achetés et d’autres choses qui l’intéressaient voulant être la meilleure de son année et faire briller très haut les couleurs de sa maison. La grande salle était remplie des élèves des années supérieures et la file des premières années avançaient sous leurs regards avant de s’aligner le long de l’estrade où se tenait les professeurs. Rosalinde écarquilla les yeux en entendant la chanson du choixpeau miteux et l’observa les sourcils froncés, elle n’aimait vraiment pas l’idée que ce truc fouille dans sa tête et la répartissent. Loin d’avoir des idées préconçues sur ce que devait être un véritable sorcier, la famille Bulstrode souhaitait tout de même voir ses filles allaient en priorité à Serpentard ou à Serdaigle afin de montrer leurs forces de caractères, la maison des lions étaient tolérés dans la mesure où cela démontrait aussi un tempérament de feu mais les Poufsouffle n’avait jamais hébergés l’une d’elle. Cette maison symbole de loyauté et de patience ne correspondait absolument pas à la vision des femmes Bulstrode sur ce qu’elle devait être et Rosalinde avait peur d’y finir. Les noms s’égrenant dans l’ordre alphabétique, elle surprit un garçon pestait contre ce système qui allait le faire patienter trop longtemps à un rouquin qui semblait dans le même cas. Croisant leurs regards, elle esquissa un pâle d’amitié avant d’entendre son nom résonnait dans la pièce et se tourna vers le choixpeau avant d’inspirer une grande bouffé d’air. Relevant la tête, se tenant droite, elle s’avança vers le choixpeau d’un air décidé et s’installa sur le tabouret prêt à sceller son destin. La dernière vision qu’elle eut fut les deux garçons qui la dévisageaient et le clin d’œil d’encouragement que lui fit le brun. « Ah...une Bulstrode ! Voyons voir, appartiens-tu aux ambitieuses ou aux intelligentes de la famille...hum...de la compassion pour ton prochain et même de l’inquiétude...et tu souhaite devenir médicomage...voilà qui est intéressant, ton don te démarque des tiens. Poufsouffle t’aiderait surement dans ta vocation ma petite, tes camarades... » « Non ! Pas cette maison ! Mettez-moi où vous voulez dans les trois autres mais pas elle...aucune Bulstrode n’a fini là-bas...je veux bien Gryffondor ou peu d’entre nous avons été mais pas... » « Un échec, hein ? C’est comme ça que tu prendrais ta répartition dans cette maison. Un échec alors que tu souhaites montrer à tous que les Bulstrode ne sont pas des monstres sans cœur et qu’elles peuvent aussi dominer... Oh, oui, tu as raisons, Poufsouffle ne te corresponds pas, cette manière de jouer sur les apparences ne sied à aucun des ces loyaux, non, ta place se trouve chez les SERDAIGLE ! » Rosalinde afficha un grand sourire quand elle entendit les applaudissements à la table de bleu et argent où elle se dirigea. Elle observa la répartition des autres élèves accueillant ses nouveaux camarades de maisons avec qui elle commença déjà à échanger dès le début du repas. Serdaigle était vraiment la maison qui lui convenait le mieux, elle y trouva des gens habités par la même curiosité qui visait l’excellence et n’hésitait pas à s’entraider pour mener à bien des expériences communes. Les cours de vol furent très vite une catastrophe pour elle et elle fit tout pour se porter pâle à un maximum d’entre eux afin d’éviter les chutes fatales. D’ailleurs, elle ne comprenait pas l’engouement de certains pour le Quidditch et durant toute sa scolarité, elle ne se rendit qu’au match de sa maison et encore seulement si elle n’avait vraiment rien d’autres à faire. Si elle aurait pu se rapprocher des deux garçons entrevu à sa répartition qui avaient fini tous les deux à Gryffondor, il n’en fut rien bien que le brun et elle échangèrent régulièrement des sourires en se croisant dans les couloirs. ❝ You don't have to hide ❞Avril 1997 & Pré-au-Lard Chère Milicent, Je te remercie de l’information que tu m’as donnée sur...lui. Je ne voulais pas y croire malgré ce que tu m’avais dis et pourtant, il a bien fallu m’y résigner. L’imbécile qui t’a tout dis n’a pas cherché à nier, je ne sais pas ce que tu lui as fait pour obtenir ce renseignement mais il semblait terroriser... Sache que je ne suis pas tombée dans le panneau qu’il a voulus me tendre en disant qu’il était vraiment tombé amoureux de moi et qu’il comptait tout me dire pour ce pari idiot qui lui avait permis de rencontrer la femme de sa vie. Je n’arrive pas à croire que j’ai pu me faire berner ainsi, des fois, je me demande si mon don n’a pas fait de moi une femme faible à l’opposé des Bulstrode. L’idée d’avoir laissée un tel homme me manipuler comme si j’étais la dernière des crétines me révulse ! Enfin, il comprendra son erreur quand il débarquera à Sainte Mangouste... J’espère que tout vas bien pour toi. Que ta sixième année à Poudlard se passe comme tu t’y attendais et que tes résultats sont à la hauteur de tes espérances. Ne t’inquiètes pas trop de ce que peuvent dire ces crétins de Gryffondor, ils ne savent pas qui tu es et ils ne peuvent pas te comprends. Les parchemins que j’ai joins sont mes cours de Défenses contre les Forces du Mal avec un livre instructifs qui devrait t’aider pour l’année prochaine avec les ASPIC. Je ne doute pas des compétences du professeur Rogue, bien au contraire, mais avec les différents professeurs successifs et certains d’un niveau douteux que tu as eu... Je n’arrive pas à comprendre les imbéciles de fan de Lockart qui lui envoie encore du courrier alors qu’il est évident qu’il n’est qu’un incapable ! Enfin, je te laisse, je dois bientôt aller travailler, je pense finir mon apprentissage bientôt. Merci encore de ton aide pour l’autre. Ta cousine, Rosie. ❝ Cause I got you ❞Juin 2000 & Ministère Six mois obligatoire à servir le ministère. Quand Rosalinde avait lu la chose dans la Gazette du Sorcier, sur le coup, elle avait refusé de le croire. Puis, il y avait eut la lettre officielle avec son assignation, elle avait essayé de faire valoir que son travail à Sainte-Mangouste était primordiale en ces temps sombres d’autant plus qu’elle venait de finir son apprentissage. La réponse avait été ferme et sans équivoque, elle se plierait à la loi et pourrait intégrer son poste de Médicomage-Urgentiste à l’hôpital une fois ses six mois effectué. Une douleur intenable au ventre, l’envie de vomir et d’en finir l’avait saisie lorsqu’elle avait traversé l’atrium pour rejoindre son poste. Elle avait espéré qu’elle serait essentiellement derrière un bureau mais elle s’était très vite rendu compte que ce n’était pas la volonté du Magister qui cherchait de nouvelles recrues compétentes pour gagner cette guerre. Loin de vouloir briller, Rosalinde entreprit de tout faire pour rester dans la moyenne du groupe auxquelles elle avait été affiliée. Elle fit en sorte de ne pas faire de bourbes monumentales qui aurait pu éveillé de soupçons de traitrise ou de manque de volonté lui attirant une foule d’ennuis mais jamais elle ne saisit les occasions tendues pour montrer son talent de grande sorcière en tant que sang-pur. Car oui, les adultes qui étaient chargés de les encadrer donnaient régulièrement des occasions au braves sang-purs de prouver la valeur de leur sang face aux stupides impurs qui leurs servaient des collègues. Mais Rosalinde s’effaçait toujours laissant un autre au sang tout aussi pur que le sien saisir l’occasion, sous les regards désabusés et furieux des mangemorts. Ce furent les six mois, les plus horribles et les plus éprouvants pour la jeune fleur qu’était la Bulstrode, forcée de voir les horreurs qu’accomplissait le gouvernement, forcée d’y participer. Elle rentrait le soir, livide avec une nausée sans cesse grandissante au fil des jours. Elle qui s’était toujours vouée à aider les autres, qui souhaitait un monde de tolérance se trouvait forcée de participer à une guerre dont elle ne voulait pas, pour des idées dont elle se fichait. Elle haïssait ces anciens camarades de jeux, ses amis d’enfances qui se glorifiaient de tout ça et au fond d’elle, elle souhaitait changer son sang, le rendre impur pour ne plus supporter le poids de ce que d’autres faisaient en l’honneur de ce sang. L’horreur qui s’inscrivait un peu plus chaque jour sur ses rétines la détruisait à petit feu et bien vite, elle se trouva au bord du gouffre. Au bout du quatrième mois, elle avait laissé son appartement à Londres, signe de son indépendance pour retourner chez elle, dans le manoir familial. Là, dans cet univers remplis de souvenirs heureux, avec ses parents et l’elfe de maison, elle avait appris à faire face, face à ce que la guerre la forçait à faire, face à ce qu’elle jugeait insupportable. Lever sa baguette, viser le fuyard, voir le sort fuser, l’esquive accomplie par le traqué qui se prenait le sort en pleine face, le ramener au gouvernement. Repartir après avoir déposé le prisonnier, descendre dans une maison suite à des indications, s’assurer que personne ne s’y cache, terroriser la famille voir emmener les prisonniers, retourner au ministère. Rosalinde passe ces journées dans une brume obscurs où seuls le noir et le rouge ressortent, elle suit le mouvement tâchant de se fondre dans la masse, de ne pas se faire remarquer. Puis arrive la délivrance, la fin des six mois, pas assez bonne pour continuer on la laisse retourner à Sainte-Mangouste. Logeant toujours chez ses parents, elle se reconstruit lentement mais surement, retrouve sa raison de vivre, aider les autres et non pas les tyranniser. Soigner ses patients, surtout les plus jeunes lui redonner l’espoir qu’avait détruit ses six mois et lui font prendre conscience d’une chose, elle ne pourra jamais rejoindre les insurgés. Ils mènent une vie qui ressemble beaucoup trop aux six mois écoulés à servir son pays de manière abjecte. Alors, la rage au ventre, l’envie de voir triompher les insurgés tout en étant effrayés des conséquences que leur victoire aurait sur son entourage croit en elle. Une dissidence qu’elle ne laisse pas entrevoir, se permettant juste de temps en temps, de glisser quelques gallions dans la bourse de ses patients pour qu’ils puissent payer leurs soins sans en crever. Elle lutte à son niveau, sans faire de vague et sans rentrer dans une lutte d’idée cherchant juste à rendre meilleur le monde en espérant des lendemains heureux et plus tolérants. Elle oublie sa sécurité, ouvrant sa porte facilement trop facilement aux yeux de sa cousine et pourtant elle fait attention. Aucune aide direct envers les insurgés et aucun accueil d’inconnus, juste des amis mais surtout lui.
Dernière édition par Rosalinde Bulstrode le Lun 4 Jan 2016 - 20:49, édité 10 fois |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | Bienvenue jolie demoiselle ! Ta petite bouille est trop mignonne ! Crystal Reed quoi (laissez-moi mourir en paix) Si on arrive à se trouver un lien ça serait trop top ! J'y réfléchirai ! En tout cas bon courage pour ta fiche ! Et plein de poutouilles ! |
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| Mélo pour Mélodie? Je crois que peut-être on s'est rencontrés si tu es celle que je pense bienvenue demoiselle |
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| Anna, merci. Et pour le lien, je suis sur qu'on trouvera ensemble si tu ne trouve rien de ton côté. Aramis, oui Mélo pour Mélodie et c'est possible qu'on se soit croisé mais je ne sais pas où par contre... Et merci. |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | UNE BULSTRODE bienvenuuue sur exci miss si tu as des questions, n'hésite surtout pas à nous mp bon courage pour la rédaction de ta fiche et j'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous |
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HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5966
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
| BIENVENUE sur excidium ; n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit, le staff est là pour ça. J'aime tellement cette famille, j'ai hâte de voir ce que vous allez en faire, avec Mili bon courage pour la suite |
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HUNTED • running man Owen Avery | Bulstrode, cette famille super choix Bienvenue à toi, amuse toi bien chez les fous :3: |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Simon Rosier | | | |
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