|
sujet; ✝ ✝ ✝ the devil and god have raged inside us both |
| Blaise Hannibal Zabini feat Dudley O'Shaughnessy • crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞insurgés ; SC☇ pseudo complet & surnom(s) ; Blaise Hannibal Zabini, et jamais rien d'autre que l'un de ces noms là. ☇ naissance ; Au premier jour de décembre, l'année 1980 se termine à Birmingham sur les cris légers d'un nouveau-né.☇ ascendance; Petite royauté finalement, jusque dans le port altier et ce désagréable frisson le long de la nuque au premier regard. Le rejeton au sang-pur, si seulement Blaise, faire taire les ricanements du vent, les murmures qui courent le long des dédales, autrefois dans le château, jusqu'au coeur de la salle commune, et encore maintenant, petite ombre fugace. .☇ métier ; Blaise qui ne travaille pas. Qui ne connait pas la monotonie des matins sempiternels à se diriger vers le même office après une dernière tasse de thé, et la fatigue mêlée de reconnaissance à enfin rentrer chez soi. Avec une pointe de regret. ☇ camp ; l'insurgé, l'enfant terrible toujours, incapable de baisser la tête devant l'autorité, avec tellement de fierté. ☇ réputation ; l'étrange mystère de Blaise. Le bel héritier de Serpentard, l'un des princes de vert et d'argent, le compagnon flamboyant de Malfoy, et le jour de la bataille, le traitre. Il n'a jamais pu leur expliquer, mettre des mots sur ses actes, et dissimulé dans l'ombre, Blaise a fait ses adieux à de vieux amis qui ne se considèrent probablement plus ainsi.☇ état civil ; Sans attache Blaise, les liens rapidement rompus avant d'être noués, la méfiance et la prudence comme des poisons. Autrefois pourtant... ☇ rang social ; insurgés ☇ baguette ; vingt et un centimètres et demi de bois de platane pour un coeur en crin de licorne.☇ épouvantard ; ce visage croisés des milliards de fois, ces traits si familiers, aperçus dans chaque reflet, et disparu le sourire suffisant qu'il a su porter comme une seconde peau, si naturelle au creux des pommettes. Il crève de trouille Blaise, à l'idée d'être brisé, celui que l'on forcera à s'agenouiller, celui qui obéit sans jamais se révolter. ☇ risèd ; les flammes tendres et chaleureuses du foyer, les douces et belles années. Il a en travers de la gorge les rires qui se murmuraient avant l'aube, les souvenirs de ce qui fut jamais son seul véritable foyer. Ses amis lui manquent. Poudlard, étrangement, lui manque.☇ patronus ; l'étalon immense qui l'a tellement effrayé la première fois, et chaque fois ce frisson d'excitation à voir l'ombre impétueuse comme une chaleur qui court le long de sa peau.☇ particularités ; la demande est à faire obligatoirement avant la fiche.☇ animaux ; vestige d'une autre vie. Absence de la chaleur réconfortante et aimante dans les allées sombres d'Angleterre, la fuite et jamais un regard en arrière, adieu les caresses et la douceur.☇ miroir ; voir l'onglet "miroirs". |
☇ Avis sur la situation actuelle ; Tellement de haine dans les phalanges, de colère dans les muscles serrés de la mâchoire. Il s'est battu toute sa vie pour voir le monde sombrer sous ses yeux. L'espoir comme un poison lové au creux des entrailles. Ô Blaise. Cette douleur surtout, qui ravage dans la poitrine et à l'intérieur du crâne, cet ouragan qui détruit tout sur son passage et détruit, rageusement, obstinément, cette souffrance qui voudrait ne rien laisser derrière elle. Et dans la désolation, la peine qui court dans les veines devant ces visages, ceux dont même la Mort se répugne, renait encore la rage.
Il était là, si près. Chaque cerne, chaque tremblement imprimés dans les souvenirs de sa chair, il a haït l'impassibilité, l'odeur de la peur qui se répand sournoisement parmi les siens. Quelques visages familiers qui l'ont déchiré. Et les cadavres. Les corps sans vie, figés dans une dernière agonie, les inconnus, les salauds, les innocents. Fatigué de la guerre Blaise. Fatigué des victimes, et pourtant toujours debout à se battre avec la hargne dans les poings et les coups de baguette. Il était là, quand l'enfer s'est déchainé. Avec sur le bout de la langue des années de rancoeur, des mots à hurler dans le vide.
Brusquement, c'est la peur qui lui a éclaté au visage. La terreur froide, celle qui se glisse amoureusement le long de la colonne vertébrale, celle qui dessine dans les rêves des ombres qui engloutissent des galaxies. Il a voulu s'arracher l'épiderme, s'enfuir si profondément dans les méandres de sa propre mémoire, pour ne pas admettre qu'autour de lui, les gens abandonnaient. C'est pire que de perdre, pire que de mourir ou se résigner : soudain, se ranger du côté de l'ennemi. Il donnerait tout Blaise, pour ne pas plier l'échine. Pour ne pas être celui qui rampe, qui accepte sans broncher, celui qu'on humilie.
☇ Infos complémentaires ; les cours de duel n'avaient aucun secret pour lui, à une époque où se battre n'était qu'un jeu, et pas un acte désespéré pour se maintenir en vie. Blaise s'est découvert incroyablement doué pour quelque chose qu'il ne pensait jamais avoir à faire : disparaitre. Se battre n'est plus suffisant et celui qui n'était qu'un enfant malicieusement déterminé à rire a grandi en un homme qui s'efface de lui-même comme une ombre pour mieux survivre. • Il l'aime toujours son café. C'est vrai qu'il n'est pas très efficace avant d'en avoir avalé une gorgée. Blaise tâtonnant, l'ombre qui glisse le long des murs, incapable de résister à une tasse torréfiée. • L'enfant aux mille sourires, incapable de jamais montrer ses faiblesses. Le courage, Blaise. Celui qui s'enflamme dans les artères et ne laisse plus respirer, celui qui prend des formes de colères et de coup d'éclats, le besoin de faire bien, de faire juste. • Un jour, probablement, il apprendra que sa bouche ne peut pas s'ouvrir en permanence, que les mots qui en sortent ne sont pas toujours judicieux. Le sarcasme de l'étudiant, soudain un danger pour lui-même, un danger qu'il ne sait manier que trop bien. Tais toi Blaise, tu vas t'attirer des ennuis. • Blaise émacié. Il déteste ça. Il a l'air malade. Pourtant, chaque muscle de son corps est devenu acier. Il n'aime pas ce que cette vie de cavale a eu comme effet sur son reflet. Il ressemble à un voleur. Une ombre. Blaise devient exactement ce qu'il est, ce qu'il représente. Un fantôme. • Rejeton maudit, traitre à sa cause, l'enfant au destin gravé dans les creux de la peau. Protégé adoré de la veuve noire, le fils d'une et personne, le nom murmuré et bafoué au gré des élites qui se dressent, Blaise engendré par tous et personne, Blaise à la fierté sans géniteur, Blaise l'homme d'une femme. Petit prince déchu. • Douleur des mots jamais échangés, poids écrasant des secrets jamais révélés. Les promesses mortes et abandonnées, les rires oubliés, Blaise aux mille facettes qui s'est laissé dévorer. Et dans les silences qui se coincent dans la gorge, grincent les souvenirs de ce qui aurait pu. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi ASTRAIOS (oui en majuscule, comme ça vous hurlez dans vos petites têtes quand vous pensez à moi, ça me plait ). J'ai vingt-trois ans et pas de dentier, je viens de J'EN SAIS RIEN AVEC TOUT CES CHANGEMENTS DE RÉGION ON EST DANS QUEL PAYS MÊME et j'ai connu le forum via bazzart et j'ai l'impression d'avoir espionné ce forum toute ma vie. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé" . Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [√] oui / [] non. Un dernier mot ? facultatif.
Dernière édition par Blaise H. Zabini le Jeu 14 Jan 2016 - 0:41, édité 9 fois |
| | | |
| glory and gore go hand in hand you hold him in your arms and your hands forget they are weapons ❝ You know legends never die❞Early Years Douce valse des saisons, ombres qui s'effritent au fil des murs sous les arcades. Mélanges épicés de l'enfance, le balancement des hanches sur le rythme du palpitant affolé. Les doigts entremêlés de l'enfance et ses étranges échafaudages. Le labyrinthe sauvagement détruit, pas à pas vers la libération. Blaise et les sourires d'argent, Blaise dans les couloirs qui se défilent, et l'explosion en atomes déliés sur les pierres usées d'une mémoire qui se redéfinit dans les murmures du soir. Liberté couleur blondeur et ivresse du parfum des fleurs au coeur de l'été. Cliquetis des âges et dans les méandres des souvenirs du printemps de l'existence, nuances et teintes en explosions sur l'épiderme frémissant. Entre les doigts tremblants attraper les rires et le sifflement qui berce le coeur en floraison. Parce qu'il discerne encore alors que l'hiver arrive, la tendre caresse du vent entre ses doigts, et la douceur des lèvres sur les siennes, et quand la nuit hurle en silence, Blaise lui répond ce sourire lourd des années gonflées d'aventures. L'enfant aux yeux vides qui arpente les vieux couloirs d'un manoir où danse l'ombre adorée d'une mère-vipère bourgeonne à la cadence des dragons qui se roulent dans les pensées. La magie qui tourbillonne dans les veines, extase qui explose en vagues de chaleur dans le ventre et les doigts et le crâne, et ne reste qu'un adolescent aux poumons désespérés d'oxygène, un jeune homme aux palpitations qui tempêtent dans la poitrine, dix-huit ans en implosion. Brûlure sur l'épiderme et la haine qui ronge, les poings rouges et la langue épineuse, Blaise et les larmes de fureur, longue agonie de l'innocence, et crèvent le long de la route les doutes et l'identité tant cherchée. Blaise et les noms qui s'envolent par les crevures de l'âme, le métal du souffle de vie, enfant aux sourires venus crever à la commissure des lèvres, l'épuisement drapé de fierté bercé par les teintes lascives d'Italie. Le long apprentissage de la coloration en déflagration sur les peaux tendues et la vaste danse de l'orgueil entre les dents serrées. L'enfant aux doigts couverts de la honte des autres, visage tacheté des humiliations dans le paysage grisâtre des ombres suffocantes. Blaise et les murmures dans les couloirs et les jardins, Blaise et l'impertinence en défense. Bouclier de sourire. Bruissement dans les aspérités du monde, l'adolescent mal né et la répulsion au rythme des pulsations. Blaise dans ses rires, valse emportée des sentiments, et les souvenirs d'une mère aussi puissante que le dragon au ventre gonflé, rage couleur vert argent, douce mélodie du sang aux tempes comme un damné en quête d'asile, fier conquérant des rebuts. L'essence des oubliés, des mal-nés, des brisés laissés sur le côté. Et dans les nuits noires, royaume des démons aux rires déchirants, silhouette familière d'un adolescent, chuchotement des étoiles et dans les crépitements de flammes, corps qui s'entrechoquent au fil des émotions. L'embrasement au creux des entrailles, les doigts qui s'effleurent et dans la chaleur des rires qui s'échappent des bouches liées. Serpent enroulé dans les draps, petite mort encore et encore et l'agonie des sens, perdre pieds. Et l'explosion des certitudes. Champion de noir affublé. Saveur des rires qui s'éternisent, dans les alcôves secrètes d'un vieux château un peu grognon. Squelette des lendemains qui se dessinent dans les reflets de l'aube, au gré d'une blessure rousse dans le réel. Rupture de l'existence. La vouivre, le dragon et la pensée gorgés des rayons d'un astre lumineux, les promesses d'un monde qui leur appartient, génération couleur de miel. Les griffes tendres de la veuve noire qui rampent s'emparer des constellations pour sa couvée. Caresse onirique de séléne au sermon qui résonne dans le silence, couleur espoir aux reflets de trahison. Et explose dans les atomes la morsure de la douleur aux yeux de fureur, les hurlements silencieux de Blaise aux mots qui entaillent les bras et le crâne, prince déchu grimé de l'attirail du fugitif. Sous les pas lourds de la course effrénée succombe le fier enfant de Serpentard et les rêves d'une génération perdue d'avance. ❝But the golden age is over❞Running Years Les héros perdus, ombres familières dans l'obscurité, et sous les yeux des enfants émerveillés, cendres d'une existence déjà passée. La fuite aux poumons brulants. Le monde d'une vie à peine commencée qui s'écroule, ô beaux vestiges de pierre. Le soldat, le subalterne à la silhouette de roi des univers, courir les dents serrées et fléchir l'échine, les rêves en éclats acérés, crocs déchirant dans les parois de l'âme usée dans sa jeunesse. Le prince à la peau sombre qui luit dans l'obscurité et la poussière, la faim et la terreur compagnes lascives aux heures profondes du crépuscule. Le révolté à l'hémoglobine qui se déchaîne dans les veines, la rage à avaler le monde et ses galaxies. Être colère, Blaise aux sourires qui se sont amaigris pour mieux dévorer les autres, la guerre et ses ravages dans les misères de l'âme. Le sang en rigoles sur la peau, les traits autrefois familiers couleurs explosions bleu comète des hématomes, la faim de flammes qui court dans les ruelles désertées. La folie qui danse un nouvel air dans les rues perdues, les gestes carnassiers et l'ombre qui meurt à chaque renaissance. Les crocs dans les reins et profonde, déchirante, hurlante, souveraine, la fureur qui tremble dans les atomes. Les poings et les éclairs, la bouche tordue et le tourbillon de vie en teintes rougies qui éclabousse les pierres vieillies. Saveur amère au coin des lèvres qui ne formulent plus que des émotions, mots abandonnés à la faveur d'un ancien temps, longue agonie des sentiments, et Blaise au rire dément. Silhouette féline dans les bras ardents des nuits qui s'effilent, et la veuve noire à portée de doigts, ombre qui rayonne et dans la poitrine l'air qui se rebelle. Le fils insoumis et la souveraine d'une existence regrettée écorchés, le souvenir qui meurt dans les flammes qui consument les vieilles pierres usées. Hurlements, rage personnifiée. Blaise impuissant et dans la bouche d'une mère aux allures de princesse, la fierté comme un venin. Envolé en brasiers indécents, les restes vert argent brodés sur les tissus d'une époque révolue. Bafouée, mise à genoux. Et sur les lèvres obsédantes, les milles insultes aux sonorités ronronnantes. Blaise à la honte cuisante, marquée à même la peau, lorsqu'elle est épiée et dépouillée. Blaise à la rage tempête, dans les sortilèges maigres d'espoir esquissés hors de portée. Gifle de l'humiliation encore et encore, palette de noir et bleu imprimée sur l'épiderme. Colère en teinte de blond et roux, les lèvres déchirées par les mots qui ne se prononcent plus. Colère en vert et argent, colère bleu nuit, et dans les poings serrés une gamme de couleur qui pulse de pouvoir se peindre dans les azurs cendreux. Les relents de morts et de cadavres et de perte et de fin du monde, âcres et frémissants, les orbites vitreux comme des doigts accusateurs et sournoise la honte qui murmure au creux du tympan des songes écarlates. Les nuits gelées remplies d'absence, caresses des fantômes encore frais nichés dans les dalles mal scellées de Londres. La plaie béante dans la poitrine, la faiblesse et la panique et la rage aux doigts liés dans les atomes. Soldat abandonné aux armes usées. Baguette et poings et dents et mots bigarrés. La fierté comme insolence, la liberté comme dernier vestige de l'humanité de l'ombre qui se prend pour un être entier. Chuchotés dans les remous du vent, les noms aux larmes colère et perte et espoir. Utopiste, Blaise. Amer, Blaise. Déçu, renié, constellation imprimée sur les flancs et les joues et au bord des lèvres les mots qui ne sauraient rien arranger, les cris et les excuses et les suppliques. Fier le prince qui se relève encore et encore, et encore, dans les ruines et les corps et les souvenirs. Chevalier à l'armure fracassée, loin des soies et des caresses, au palpitant encore tendre pourtant, flammes familières d'un incendie roux, à l'étreinte des fleurs réminiscence d'un printemps délaissé.
Dernière édition par Blaise H. Zabini le Mer 13 Jan 2016 - 20:31, édité 6 fois |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| prems, je reviens éditer
EDIT : Blaiiiise, enflure, amant indigne, traitre, petit poussin de mon coeur (ahem) ce personnage, ce scénario j'ai trop hâte de voir ce que tu vas en faire, le début est déjà prometteur j'pense que je vais te stalker et te harceler par MP mais entre deux cris du coeur, si tu as des questions, n'hésite surtout pas à en placer une pour demander bienvenue sur le forum. On va faire de grandes choses et me voilà refaite, alors merci d'avoir craqué |
| | | |
HUNTED • running man Owen Avery | BIENVENUUUUE super super excellent choix Je veux du rp Blaise/Panpan à stalker par pitié. et vite ! |
| | | |
PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | | | |
|
|