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sujet; Ce ne sont que les ailes d'un ange que l'on a si facilement arrachées | Victoire

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Ce ne sont que les ailes d'un ange que l'on a si facilement arrachées | Victoire Empty
Victoire Rosalie Mordrake
feat Barbara palvin • crédit swan
❝ We're running in circles again ❞Death Eaters ; Inventé

☇ pseudo complet & surnom(s) ; Victoire. Je ne l'étais pas. Ils ne l'ont jamais vu en moi. J'étais la dernière, la fille, la honte de la famille. Née d'un adultère, née d'un mensonge. Et pourtant il faut conserver les apparences. Alors je suis une victoire. Celle d'une femme sur un homme. En second nom, ma mère m'a nommé comme elle. Rosalie. J'étais sa fille, sa fleur, celle qu'il faut protéger. Mensonge. Vaste mensonge. Elle ne m'a jamais protégé. Elle l'a laissé agir. Elle l'a laissé frapper.
Une Mordrake . Plaisanterie si peu drole. Je ne suis pas de leur sang. Je suis une bâtarde, je ne sais qui est mon véritable père.  Mais le monstre m'a reconnu car il le fallait. Le monstre m'a reconnu car il ne fallait aucunes taches dans son arbre généalogique.

☇ naissance ; 22 Février | Tavistock, Devon, Angleterre
☇ ascendance; L'officiel veut que son sang soit aussi pur que celui de tout les Mordrake. Cette famille de legende, qui a vu l'un de siens devenir aussi fort que l'immortalité offre alors qu'il vient chercher les monstres qui osent jouer durant la nuit d'Halloween. Cette famille née dans les légendes d'Ecosse et qui est venu jusqu'en Angleterre voilà si peut de temps. Mais dans l'officieux des mystères, elle est une batarde. Pire encore. Elle est née d'un Moldu, une honte pour sa famille.
☇ métier ; Son père, l'officiel, voulait qu'elle rejoigne le ministère. Qu'elle offre de la puissance à sa famille. Elle a refusé.  Elle a suivit la futilité. Elle a suivit l'insouciance. Bâtarde oui. Mais si belle que les photographes veulent son visage.
☇ camp ;Embrasse la cause du gouvernement. Mangemort dans son coeur et dans son âme.
☇ réputation ; Souffle glacé. Vic, ses mensonges et ses mystères. Son nom fait toute sa réputation. Son nom prévient. Les Mordrake sont tous les mêmes.
☇ état civil ; Célibataire.
☇ rang social ;Élite sorcière et Mangemort meme si elle refuse la véracité de cette mention.
☇ baguette ; Bois d'if, plume de phénix
☇ épouvantard ; Il a toujours été un cauchemar. Pour sa mere, pour elle. La tromperie est horreur et elle a payé le prix des actes de sa génitrice.  Aujourd'hui, il est celui qui l'a fait frémir, il est le monstre sous son lit. Son père et toute l'horreur de son nom.
☇ risèd ; Une famille, heureuse. Un homme a ses côtés au visage flou. Il embrasse son épaule et à son doigt brille le diamant d'une bague de mariée. Un enfant gambade à ses pied. L'impossibilité de l'amour heureux.
☇ patronus ; Aucun. Les souvenirs heureux ont quitté son corps à l'instant où la marque venait décorer sa peau.
☇ particularités ; Depuis l'éternité, ils changent et se transforment. Les Mordrake ont toujours apprit, aussi loin que remontent les souvenirs, aussi loin que remontent les archives. Ils étaient des animagus. Malgré son statut de sang si différent, malgré ce mensonge qu'est son identité, elle est à son tour devenue l'une des leurs. Elle change, se transforme. Son corps se modèle alors qu'elle prends l'apparence d'un lynx dont seuls les yeux trahissent la véritable identité. Aussi bleus que les siens. Aussi froid que la glace.
☇ animaux ; Un chat noir au poil long. Un chat de race, un chat dangereux. Un animal au caractère ombrageux. Ombre est la discrétion. Ombre n'en aime qu'une. Dans le domaine de Mordrake, dans les écuries d'un empire, un étalon arabe attend. Tanke est alzean avec une pelote blanche sur le front. Tanke était son élan d'espoir lorsqu'elle hurlait sa douleur.
☇ miroir ; /

☇ Avis sur la situation actuelle ; Elle lèvera les yeux au ciel à cette question, se contentant de répondre qu'elle est une Mangemort et que oser lui poser la question est stupide. Intérieurement, elle bouille de rage et elle sourit un peu plus à chaque exécution. peut être que dans ses corps qui tombent se trouve celui ou celle qui a mit fin aux jours de William. Mais elle ne fait pas la sourde oreille aux paroles qui brusquement enflent. Ils ont été heureux. Ils ont trouvé quelqu'un à qui confier leurs peurs. Mais elle les trahira. Elle déteste ceux qui change d'avis et sont suffisamment stupide pour médire sur le gouvernement. Son frère l'avait dit. Ils ont gagné. Il ne sert à rien de se battre. L'ennemi n'est pas là où les opposants le croient. Il n'y a qu'un seul ennemi et il se trouve dans la glace qu'ils tiennent entre leurs mains. Alors Victoire agit. Elle croit aux paroles du gouvernement. Elle les embrasse à pleine bouche pour mieux oublier. pour mieux oublier cette blessure qui n'a jamais cicatrisée.

☇ Infos complémentaires ; Monte à cheval comme une dame. Mords l'intérieure de sa joue ou sa langue jusqu'à sentir le goût du sang lorsqu'elle est face à un dilemme. Réfléchie. Capricieuses. Outre la marque qu'elle arbore sur l'avant bras, elle a flashé sur un petit TIC moldu que beaucoup n'ont pas compris et elle a fait tatouer une envolée d'ombre d'oiseau sur son haine. Elle aurait été abandonnée par un homme qu'elle aimait terriblement et elle aurait un ou deux secrets datant de sa période étudiante dans le placard. Elle boit beaucoup de thé en parfaite lady anglaise.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Lylou. J'ai 19 printemps, je viens de Rhône Alpes et j'ai connu le forum via cette peste de Dantette. Si tout va bien vous me verrez connectée 7 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ?  ouin  ouin  ouin  ouin  ouin  ouin  ouin



Dernière édition par Victoire R. Mordrake le Sam 16 Jan 2016 - 18:36, édité 15 fois
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“Un démon ?
C'est un ange qui a eu des malheurs ; un ange émigré.”


❝ Le noir du corbeau ❞1986 & Tavistock, Devon, Angleterre
(NM 8 ans)

Thème Un cri retentit dans l'immensité du manoir suivit de près par le claquement sec d'une paume contre de la chair. Un corps tomba sur le sol alors qu'un autre hurlement se joignait au premier, celui d'une enfant. Devant deux paires d'yeux fixés sur lui, un homme frappait, encore et encore. A l'instant même où il arrêta son geste, ses lèvres laissèrent s'échapper des paroles transformée en injure dans sa voix furieuse. Une incapable. Elle n'est rien d'autre qu'une incapable. N'attendez rien d'elle, elle ne pourra vous le donner. Après tout, ce n'est qu'une bâtarde. Le sang des Mordrake ne coule dans ses veines tout comme dans celles de sa putain de mère.

Les mots sonnaient avec violence alors qu'une enfant se recroquevillait sur elle-même. Dans ses immenses yeux bleus, si différents de ceux de l'homme devant elle, si différents des prunelles sombres de Mordrake, on lisait la peur la plus profonde. Elle se ramassa un peu plus, entourant ses jambes de son bras alors qu'il revenait à l'attaque, frappant une fois de plus, un plus plus fort, un peu plus terriblement. Sa mère essaya de la défendre mais le coup qu'elle reçut l'envoya contre le mur et le bruit de sa tête contre les pierres ne laissa aucun doute. Victoire, la si petite Victoire, hurla beaucoup plus fort alors qu'elle vit le sang et ses frères firent de même. Mais il n'avait pas dit son dernier mot et il eut tôt fait de les ramener sur terre.

Votre mère est égale à cette petite pute. Ne bougez pas ! Le cri du prédateur interrompit les garçons dans leurs mouvements jusqu'au corps de cette si jolie brune qui ne bougeait plus. Un regard suffit. Sa poitrine ne se soulevait plus. Votre faiblesse, votre mère. Votre amour stupide. Ou la puissance. Ou le chemin de la grandeur. Le choix est à vous les garçons.

Le silence répondit aux paroles de cet homme qui les faisait tous trembler et l'un après l'autre, les trois enfants Mordrake baissèrent la tête. La facilité était bien plus attrayante que la douleur. La facilité était bien moins terrifiante que la colère de leur géniteur. Victoire baissa à son tour la tête, suppliant ses frères de rester. Mais aucun ne lui accorda un regard pour le plus grand bonheur de celui qui se tenait devant elle et la toisait avec délectation. Elle était seule devant ce monstre. Seule devant l'horreur.

Les yeux bleus de Victoire se posèrent sur le corps de sa mère, sur le sang qui s'écoulait lentement de son crâne et formait petit à petit une flaque écarlate qui tachait les cheveux bruns et la peau trop blanche. Vous l'avez tué... murmura-t-elle, ses lippes à peine entrouvertes. Un regrettable accident. N'oublie pas que ce n'est qu'un regrettable accident. Ta vie est entre mes mains et je te conseille de faire très attention à la moindre parole qui peut s'échapper de tes lèvres. Nous nous sommes compris ? Victoire hocha la tête et il la congédia. Elle n'avait pas son mot à dire. Elle n'avait aucuns adieux à faire. Sa mère était une putain qui avait osé tromper un Mordrake. Elle avait payé le prix de ses actes.

_________________________

Thème Le silence s'enfonçait entre les murs du château, glaçant ses occupants avec une perfection macabre. Pas le moindre craquement du plancher, pas le moindre soupir des boiseries. Rien d'autre qu'un silence bien trop pesant. Au loin, le hululement d'un hibou tronqua les mutismes du temps contre le sifflement rauque de l'oiseau de nuit qui partait en chasse. Puis revient le calme. Le manoir était si silencieux. Dangereusement silencieux. Le vent s'était tu à l'extérieur et il avait arrêté depuis longtemps de venir frapper contre les lourds volets de la demeure.

Victoire reposait dans son trop grand lit, serrant contre elle les pans ensanglantés de sa robe de chambre. Elle pleurait, seul bruit étrange dans ce manoir trop calme. Ses mèches glissaient sur ses joues, recueillant les larmes. Le matin même, cachée derrière son frère, elle avait vu le corps de sa mère être déposé dans une tombe qui n'attendait qu'elle. Elle avait vu celui qu'elle devait appeler père aux yeux de la société lui offrir un regard plus que mortel. Elle avait entendu les fausses tristesses de tous les sangs purs soit disant si proche de sa mère. Elle les avait trouvés puants et menteurs mais elle n'avait rien dit. Car le pire de tous ne la quittait pas de ses prunelles. Il avait frappé lorsqu'il était rentré. Le sang avait coulé sur ses poings et sur la peau de la brune en bouillon écarlate. Elle avait vu le plaisir qu'il y prenait. Elle était une bâtarde, certes. Mais sa cruauté n'était pas uniquement due à cette réalité.

Victoire renifla avant de s'étrangler dans un nouveau sanglot. Elle devait se taire. S'il entendait, il reviendrait. Il serait bien plus dangereux, bien plus violent, bien plus mortel. Un souffle résonna à son esprit et elle se tue. Elle n'était plus seule. Se recroquevillant un peu plus sous la lourde couverture de plume, elle bloqua sa respiration, laissant son ouïe s'aiguiser. Elle sentait de l'air froid contre sa nuque. Elle sentait une présence terrifiante. Curieuse, elle se retourna et le regard qu'elle rencontra la glaça d’effroi.

Maman. murmura-t-elle, ses yeux grands ouverts sur la stupeur qui la tétanisait.
Je ne pouvais partir sans te dire au revoir. Je suis navrée Victoire. Je suis désolée. Il n'aurait jamais dut le savoir. Il n'aurait jamais dut s'en rendre compte.

La voix du fantôme était emplie d'amour et pourtant, la petite fille ne parvenait à lui offrir le regard qu'elle désirait. Elle ne parvenait à laisser la douceur la saisir. C'était de sa faute. C'était sa mère, c'était par elle que tout était arrivé. C'était uniquement de sa faute.

Je te déteste. Tu n'as jamais rien fait !

La colère assombrissait les prunelles de la petite fille et sa voix se fit violence. La rage avait remplacé la peur en quelques secondes. Aussi froide que la peau d'un serpent, elle s'insinuait dans ses veines et la contrôlait, la poussant à regarder le fantôme avec haine. Elle aurait pu l'aimer. Elle aurait voulu. Mais sa mère n'avait rien fait, n'avait jamais levé le petit doigt devant ce mari bien trop dangereux, bien trop violent. Elle n'avait jamais agi, à aucun instant. Elle aurait pu faire ses bagages et l'emporter loin d'ici. Mais non. Jamais elle n'aurait pu. Tromper avait été facile. Assumer... elle n'est avait jamais été capable.

Retourne d'où tu viens ! Je ne veux plus jamais te revoir ! Jamais ! Jamais ! Jamais !

Les traits du fantôme se froissèrent et une larme naquit au coin de son oeil droit. Mais Victoire ne bougeait pas, gardant le menton aussi droit que n'importe quel Mordrake. Elle n'avait pas leur sang mais elle avait leur fierté gravée dans la chair.

Victoire. S'il te plait... supplia l'ombre de sa mère mais la petite fille ne bougea pas, ne laissa rien paraitre de la détresse de son âme. Serrant entre ses mains d'enfant les pans de sa chemise autrefois blanche et tâchée par son propre sang, elle gardait les yeux fixement plongés dans ceux de sa génitrice. Va-t-en. La discussion était close. Le fantôme se releva, volute si étrange de l'emprunte d'une vie et sorti de sa chambre comme si le monde même l'avait chassé. C'était peut-être la vérité. Mais peu importait dans les yeux de Victoire. Sa mère n'était plus. Sa mère était morte. Et plus jamais elle ne voulait qu'on lui parle de cette femme si faible et si lâche.



❝ Le bleu des aigles ❞1989 à 1998
poudlard

Thème | Sa petite main perdu dans celle de son grand frère, loin du regard de leur père, Victoire tremblait devant l'immense locomotive d'un rouge étincelant. Elle mordillait sa lèvre inférieure, encore et encore, essayant de faire naitre le gout métallisé du sang qui claquerait contre ses pupilles, lui offrant un peu plus de conscience de ce qui l'entourait. Elle avait peur. Peur de se rendre compte qu'elle n'était pas une sorcière une fois là-bas, peur de finir à des kilomètres de la maison serpentard. Peur de son plus vieux frère qui appliquait à la lettre les paroles de leur père. Elle tremblait contre le seul qui essayait vainement de la soutenir. Celui qui risquait bien trop gros pour elle.

Les doigts se détachèrent des siens à l'instant même où les iris bruns de leur père se posèrent sur eux. Ressemblant les quatre Mordrake, il tenait là son avant dernier discours. Victoire, puis le benjamin. Personne d'autre.

Qu'importe la maison dans laquelle cette bâtarde va. Je compte sur vous les garçons. Vous êtes deux, vous pourrez la surveiller. dardant son regard sur William, le seul qui prenait encore soin de la petite brune, il continua, sans le quitter un seul instant des yeux. pour la pureté de notre sang. N’oubliez pas ce que j'attends de vous.

Il les laissa partir, observant bien trop son second fils puis Victoire. Cette dernière lui offrit un dernier regard apeuré mais ne vit rien dans les prunelles qui lui faisaient face. Rien d'autre que la noirceur, rien d'autre que les ténèbres qu'il avait tatoué sur le poignet.

Elle monta dans le train, serrant à s'en faire blanchir les phalanges un livre contre sa poitrine. Rejoignant son frère dans le compartiment qu'il partageait avec les Serpentards de sa maison, elle se tassa dans un coin, essayant de disparaitre, cachant son visage derrière une lourde mèche brune alors qu'elle écoutait les élèves fanfaronner. Qu'ils la laissent en paix. Qu'ils la laissent seule.

Le château l'ébloui à l'instant même où elle en passa la porte et lorsque de la bouche du choixpeau s'échappa le nom de sa maison, elle soupira de bonheur. Sous les applaudissements de bleu et bronze, elle le rejoint, offrant un regard navré à son frère. Elle n'était pas une Mordrake. Elle n'était qu'une bâtarde au sang souillé. Mais peut lui importait. Elle serait à sa place parmi les érudits. Parmi ceux qui l'accepteraient peut-être un jour. Parmi ceux qui feraient s'élever les ailes dans son dos.

Thème | Qu'ils avaient été beaux les rêves du début. Qu'ils s'étaient brisés contre les poutres de la réalité. Il n'y avait rien pour une enfant comme elle dans la dureté des murs de poudlard. Rien d'autre que les ténèbres qui un peu plus engloutissaient son âme alors qu'on la mettait à terre, que des sourires en coin étiraient les lèvres des amis de son ainé. Victoire était mignonne mais bien trop douce pour parvenir à lutter contre des serpents. Pire encore, sa langue se faisait aussi acérée que ceux d'une maison à laquelle elle n'appartenait pas. Elle avait de la répartie. Trop. Cette première année fut l'enfer. Celui qu'elle n'aurait cru jamais vivre. Et pourtant, malgré les brimades menées d'une main de maitre par celui qui refusait d'être reconnu comme son frère, elle survivait. Ce qu'ils pouvaient faire ou dire n'était rien en comparaison de ce qu'avait fait leur père. Ils ne parviendraient à la faire craquer. Jamais. Elle pleurait, seule, la nuit dans un couloir qu'elle savait désert, loin du dortoir où on aurait pu l'entendre. Elle travaillait jusqu'à ce que ses nerfs lâchent et elle laissait les poches se former sous ses yeux. Mais jamais la moindre larme ne venait les remplir lorsqu'elle se tenait devant eux. La douleur semblait ne pas l'atteindre mais elle hurlait sa rage dès qu'elle mettait les pieds dans les toilettes. Elle grondait, encore et encore, utilisant sa magie pour les détruire à trop de reprise. Rusard mena une enquête, l'obligeant à trouver un nouvel exutoire à sa haine. La forêt. La forêt et toute la terreur qui l'entouraient. Elle se perdait dans les bois, les années lui offrant d'aller de plus en plus loin.

Hey le glaçon ! Ouais c'ta toi qu'je parle ! T'es plutôt mignonne enfaite quand on regarde bien. T'es même sacrément bien roulée pour une gamine. Tu viendrais pas avec moi. J'suis sure que t'a des dizaines de choses à apprendre en compagnie d'un vrai mec. J'suis sur que des qu'on t'excite un peu, tu fonds pas vrai. J'suis sûr que t'es déjà dingue sous ta minie jupe.

La gifle partie en quelques secondes, s'abattant avec violence sur la joue de celui qui avait eu le malheur de mimer un geste obscène de ses deux doigts remonter entre lesquels se glissait sa langue. Victoire fulminait de rage alors que le Serdaigle devant elle lui offrait le plus noir des regards et osait poser ses sales pattes sur elle, employant la manière forte plutôt que la manière lourde. Mais embêter une serdaigle ivre de rage de cinquième année devait être la dernière erreur de sa vie. Le sort fusa, touchant son entrejambe et il ouvrit de grands yeux alors qu'il glapissait, lâchant immédiatement le bras qu'il avait attrapé.

Tu fais bien d'enlever tes sales mains de sang de bourbe de ma peau. Je suis une Mordrake abruti. Pas une vulgaire idiote de ton sang que tu soumettrais à tes désirs futiles. Glaçon. Tu n'en as pas la moindre idée. N'oublie pas que la glace trop froide brule.

Elle lui offrit le plus froid des sourires avant de suspendre d'un mouvement de baguette le sort. L'air dans les poumons du serdaigle sortie de sa gorge et il recula. Les années forgeaient. Les années faisaient mourir l'innocence. Les années réduisaient en cendre la bonté. Jonathan était parti, William l'avait abandonné. Ne restait que le benjamin qui avait essayé de suivre les pas de l'ainé. Qui avait essayé d'être comme Jonathan. Et qui en avait payé cher le prix. Il n'y avait plus rien dans le coeur de la brune qui s’éveillait au moindre. Rien d'autre qu'une haine qui ne demandait qu'un exécutoire.

Thème | Tous ! Ils étaient tous des animagus. William avait enfin changé, pour la première fois après des années à s'entrainer. Il était devenu un lion, un magnifique lion devant toute la famille rassemblée pour les vacances d'été. Il avait rugit sous le sourire appréciateur de leur père et de leur grand frère qui ressemblait de plus en plus à celui qui les modelait à son image. Victoire était restée silencieuse durant toute l'étrange cérémonie, serrant entre ses doigts un médaillon en forme d'aigle. Ils étaient des félins. Ils ne rompaient avec la puissance des Mordrake. Qu'elle haïssait ce nom à mesure des journées qui passaient. Qu'elle les haïssait tous alors que William baissait pieusement la tête, ne pouvant cacher le sourire qui étirait ses lèvres. Il était heureux. Tellement heureux. La brune détourna les yeux de ce spectacle avant de demander à quitter la pièce. Sous le sourire satisfait de son père et le rire de Jonathan, elle s'offrit le silence de l'aile du manoir où elle était consignée comme une malpropre mais où elle goutait la tranquillité.

Il l'a rejoint bien trop vite. Ses cheveux bruns, ses yeux noirs, ses sourires goguenards. Il lissait en elle comme dans un livre ouvert et il ne s'en privait pas. S'appuyant contre le mur, il le regardait, prédateur dont il avait toutes les caractéristiques. Il jouait avec sa proie. Il s'amusait de la voir vainement se débattre.

Tu ne seras jamais une Mordrake petite putain. Tu es comme l'était notre mère. Tu n'es pas des nôtres, tu n'as rien de notre sang. Il aurait dut te mettre à mort, débarrasser notre famille de ton sang vicié.

Les mots l’effleurèrent sans percer la lourde carapace qu'elle s'était forgée. Elle n'était rien. Il était tout. L'ainé, celui aux trop nombreuses responsabilités. Celui dont les prunelles brillaient déjà de l'éclat du Mangemort. Il s'approcha, trop près. Victoire tenta de reculer mais son corps heurta le mur alors qu'elle sentait les mains avides de son frère sur sa peau, alors que le fin duvet de ses bras se hérissait et que le regard de Jonathan changeait, tronquant ses mots dangereux pour une haine pire encore.

Je te hais Victoire. Tu n'imagines pas à quel point je te hais. Tu l'as toujours préféré lui pas vrai ? TOUJOURS ! Maintenant il est comme nous pas vrai ? Peut-être que tu vas enfin le haïr comme tu dois le faire. Il est des nôtres. Tu m'entends Victoire ! DES NÔTRES !
Jonathan arrête. Tu me fais mal...

Mais ses paroles ne touchaient aucune âme. Il caressa sa joue, son visage se brisant, les larmes roulant déjà sur ses joues alors qu'il glissait de sa gorge jusqu'à sa poitrine.

pourquoi tu me fais ça ? Pourquoi tu es comme ça ? pourquoi je te désire autant ?

Les mots de Jonathan stoppèrent le moindre geste de Victoire. Que... Comment... Comment pouvait-il ? Non. Impossible. Effrayée, elle se remit en mouvement alors qu'elle sentait ses mains sur sa peau. Il n'en avait pas le droit. Il ne pouvait lui reprocher ça. Elle était de sa famille, elle était de son sang. Elle deviendrait une animagu, qu'importe le manquement de sang Mordrake dans ses veines. Il ne la toucherait pas. Jamais ! NON ! Elle fuit. Une nouvelle fois, l'évitant, disparaissant de son champs de vision. Elle ne voulait plus le croiser. plus jamais.

Thème | William ! Ce n'est pas notre combat. N'y va pas. S'il te plait, n'y va pas !

Une main glissa dans ses cheveux, un baiser rencontra son front. Elle l'avait vu. La marque qui brillait sur l'avant-bras gauche de ce frère tant aimé. Elle l'avait sentie. La peur qui grondait dans ses yeux. Elle les avait effleurés. Ses doigts qui tremblaient alors qu'il les serait contre sa baguette.

William. Tu sais que tu ne reviendras pas. Je t'en supplie. Reste ici. N'y va pas. Tu te fiches de cette guerre. Tu te fiche de Potter et de toutes les histoires du seigneur des ténèbres. Bill je t'en supplie.

Il l'a pris dans ses bras une nouvelle fois, essuyant la larme qui coulait sur sa joue avant qu'elle n'enfouisse son visage dans son torse et que les perles salines ne se déversent de ses prunelles en trombes d'eau. Mais rien ne semblait pouvoir influencer sa décision.

Vient te battre. Tu sais qu'il va gagner. Tu sais ce que tu risques s'il se rend compte que tu n'étais pas là. Père lui dira. Père te vendra au plus offrant. Tu sais ce qui est prévu. Rejoint-nous Victoire. Sauve ta vie. Je sais que tu les hais bien plus que moi. Je sais que tu es d'accord avec l'idée du sang souillé des nés moldus. Bat toi. Tu gagneras la marque, tu gagneras la paix. Et tu seras libre pour la première fois de ta vie.

Les mots s'enroulaient autour d'elle, séduisante complainte d'un esprit bien trop malade. Il avait raison. Lui seul avait raison. Elle serait le canon des Mangemorts. Celle qu'on expose, belle, fraiche, prouvant que les Mangermorts n'étaient pas des monstres et loin de là. Une marque sur l'avant-bras, le regard tourné vers le photographe. Oui, il avait raison. Elle devait le suivre. Il se mettait en danger. Elle refusait.

Son frère se changea en ce lion à la crinière flamboyante et elle le suivit de sa démarche plus modeste de lynx. Feulant, tournant sur eux même, les deux sorciers furent dans les premiers à bondir. Les crocs s'enfonçaient dans les gorges, les griffes laceraient la chair, comme leur avait si bien apprit leur animagii de père. Comme les Mordrake qu'il était, la magie coulait dans leurs veines. Elle avait réussi. Trois longues années, trois douloureuses années pour voir un résultat au pelage si doux et aux crocs si dangereux.

Le bruit mat de leurs lourdes pattes sur le sol disparu alors qu'ils reprenaient forme humaine, la baguette à la main, un sourire sur leurs lèvres. Le frère et la soeur combattaient cote à cote. Ensembles, dans les rires comme dans la mort. Les sorts fusaient de toutes parts alors que les rebelles s'interposaient, alors que les cris retentissaient, suivit des larmes des pleutres. Les deux sangs purs devenaient le plus mortel des duos alors qu'ils frappaient, encore et encore, comme si le monde et les vies qu'ils prenaient leur appartenaient. Victoire se sentait vivre. A sa place, enfin. Pour la première fois depuis une éternité. A sa place, nul autre part. Dans la violence des combats, sous le feu vert des autres mangemorts. Dans un groupe. Dans un ensemble qui combattait pour un idéal commun.

Mais le bonheur est aussi éphémère qu'un papillon. Un sort toucha la poitrine de son frère et elle n'eut que le temps de crier avant de le voir s'effondrer. Croisant son regard encore rieur bien que déjà loin, elle hurla. Tombant à genou, ses bras s'entourèrent autour de celui qu'elle savait déjà mort. Elle cria, cria et cria. Son prénom qui revenait comme une litanie alors que son seul point d'accroche ne répondait plus. William ! William était parti ! Il l'avait laissé !

Les larmes ne le ramenèrent pas. A l'aube, le visage couvert de sang et de terre, elle retourna chez elle, apprenant la douloureuse nouvelle à son père qui passa sa colère sur elle. Pour la première fois de sa vie, Victoire accepta les coups avec bonheur, sentant à chaque nouveau choc sa foi vaciller un peu plus. Un ennemi avait tué ce frère tant aimé. Un monstre avait pris sa vie et elle prendrait la leur. Elle les détruirait. Elle les maudirait. Elle le jurait. Ils lui avaient tout prit. Elle tuerait tout ce qui leur appartenait.



❝ Le rouge de la morsure  ❞2000 & Londres

Thème Le soleil ne laissait plus ses rayons caresser la peau de la jeune femme. Victoire, assise sur un banc, attendant patiemment qu'ils daignent se montrer. Elle rencontrait les hommes de son père, ceux qui tuait en sa compagnie, ceux qui connaissait réellement le monstre. Elle avait refusé de faire équipe avec lui mais on ne lui avait pas laissé le choix. Une Mordrake n'est formée que par un homme de sa famille. Comme ses frères l'avaient fait avant elle. Personne ne savait pour son sang. Personne n'imaginait qu'une moitié de moldu roulait dans ses veines. Seul son géniteur, seul sa famille proche connaissait l'existence de cet immense secret. Elle n'avait pas les yeux bruns. Elle était si différente. Bien trop jolie.

Ils apparurent dans un craquement sonore et elle tomba, son coeur l'abandonnant. Elle croisa ce regard qui la hanterait pendant tant d'année, elle croisa les prunelles de cet homme si différent. Quelque chose en lui la transperça. Durant une seconde, elle se sentit comme les héroïnes des romans dont elle vivait les histoires lorsqu'elle n'était qu'une enfant cherchant à s'échapper de la noirceur de son quotidien.

Elle s'appelle Victoire Mordrake.

La brune baissa la tête à la présentation de celui qui pour tous était son père et ne chercha à demander le moindre nom. Elle n'avait pas besoin de les connaitre. Elle désirait seulement l'identité de l'un d'eux. Mais elle ne dirait rien.

Son regard se noircit alors qu'elle suivait les indications de son père et que d'un mouvement de baguette, elle ouvrit la porte. Les cris retentirent, leurs mélodies s'attardant à son oreille. Il n'y avait plus rien dans son esprit. Juste le sang qui coulerait, les réponses qui viendraient. Ceux qu'ils traquaient n'avaient probablement rien fait. Le problème n'était pas le sien. Les Mangermorts croyaient en leur cause autant que les rebelles. Peut lui importait.

Une ombre lui sauta à la gorge et elle n'eut le temps de réagir qu'un éclair vert bondissait dans sa direction. Son regard croisa celui de la mort qu'elle vit s'implanter dans les yeux de son assaillant. Elle repoussa le corps sans la moindre pitié et il s'imprima dans sa rétine. Il venait de lui sauver la vie. Il venait de lui offrir l'éternité de l'horreur. Il venait de tuer devant elle. Ses prunelles de saphir se perdirent dans celle de son sauveur mais il ne lui dit rien, partant avant même qu'elle ne puisse le remercier. Il ne l'avait pas sauvé elle. Il avait sauvé la fille d'un Mangemort, sauvé une sang pure. Se persuader pour ne pas rêver un peu plus. Voilà tout ce qui lui restait.

Mais les semaines lui offrir des réponses et il l'embrassa. Ses lèvres se firent brulantes alors qu'elle lui offrait plus, alors qu'elle lui donnait tout. Alors que ses ongles s'enfonçaient dans sa chair et qu'il glissait sa main dans la sienne, comme une protection vaine d'un futur qu'elle imaginait déjà en sa compagnie.

Bêtement, elle tomba amoureuse, offrant son coeur comme elle lui avait offert son corps. Offrant tout ce qu'elle avait, devenant plus sombres et plus dangereuses qu'elle ne l'était déjà. Son père frappait de plus en plus fort mais elle ne sentait plus rien. Dante devenait la lumière dans ses ténèbres où elle s'enfonçait. Il devenait le prénom qu'elle criait alors qu'il vivait en elle. Le prénom de l'espoir. Le prénom de celui qu'elle épouserait. Le prénom qu'elle aimait à prononcer. Elle se plaisait à imaginer son nom, mélangé au sien. Elle aimait à s'imaginer fuir avec lui. Comme dans ses romans. Comme dans un rêve.

Thème De tous tu aurais pu choisir n'importe qui et tu as décidé de t'amouracher de ça ! Tu me dégoutes, tu es bien une bâtarde, tu es bien du sang de ses moldus qui devraient ramper à nos pieds. Il est parti ton tendre amant, celui qui te sauverait. Il t'a abandonné Victoire. Tu ne mérites que ça.
Vous mentez ! Il n'aurait jamais fait ça ! Il m'aime !

La gifle d'une main ornée d'une bague vient heurter la joue de la brune alors que les prunelles brunes de son père se plissaient un peu plus. Dans son regard sévissait un plaisir malsain de la voir pleurer de la sorte, de la voir chercher vainement une échappatoire, tenter de se convaincre d'un amour qui avait eu la douce de la caresse d'une plume.

T'aurait-il abandonné de la sorte s'il t'avait aimé ? S'il avait daigné aimer ta sale engeance de moldu ? Je ne crois pas chère petite Victoire. Tu ne mérites rien de ce qu'il t'avait donné. Tu lui as tout offert et lui part avec ton cœur dans ses bagages. Douce innocente. Je t'avais sur estimer, je croyais que cette veuve noire que tu faisais mine d'être devenue était réelle. Mais tu es faible. Incroyablement faible.

Un sourire flottant sur ses lèvres, il la laissa là, ruminant les paroles qu'il lui avait glissées comme le serpent laisse son venin s'insinuer dans les blessures.

Les larmes roulèrent sur le visage de Victoire alors qu'elle se laissait tomber sur le sol, essayant de retenir à elle les images qu'elle pensait réelles de l'amour. Il était partie. Comme s'il n'avait jamais existé. Comme si rien ne s'était passé entre eux. Pas le moindre mot à son départ, pas le moindre signal. Il savait qu'elle l'aurait suivi jusqu'au bout du monde. Il savait qu'elle aurait tout fait pour lui s'il lui demandait. L'amour qui grondait dans son sein n'avait jamais été mensonger. Mais lui... Elle aurait dû croire les douces paroles qu'on lui offrait alors qu'elle se glissait dans ses bras. Elle aurait dû croire son frère lorsqu'il lui soufflait que Dante n'était qu'un monstre qui aurait tôt fait de lui briser le coeur. Elle aurait dû croire la réputation, du tous les croire. Tous sauf lui alors que dans son amour, elle n'en avait cru aucun autre que lui.

Ses doigts rassemblés en poings filèrent vers le mur où ils s’écrasèrent et la douleur la fit hurler. Mais la douleur avait se double tranchant de faire enfin réfléchi. De faire réagir. Elle ne resterait à pleurer sur les silhouettes d'un passé. Il ne payerait jamais, certes. Il était parti et elle ne pouvait plus espérer le retrouver pour le faire souffrir autant que ce coeur qui avait éclaté dans sa poitrine. Autant que ce coeur qui se durcissait comme le plus douloureux des rubis. Mais elle grandirait. Elle embrasserait la cause, elle trahirait quiconque se mettrait sur son chemin et oserait lui faire confiance. Elle les tuerait, elle les torturerait. Pour la gloire d'un maitre en qui elle ne croyait pas. Mais surtout pour détruire quelques choses de beau. Pour détruire l'amour, pour détruire le moindre sentiment. Elle se voulait prêtresse de glace. Il avait tout fait mourir. Et elle se complairait dans le gèle qui envahissait son regard.



Dernière édition par Victoire R. Mordrake le Ven 15 Jan 2016 - 0:08, édité 31 fois
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MA LEAAAAAAAAA TE VOILA AVEC TA JOLIE BARBIIIIIIIIIIIE fire palpite sex hug kr minikr saute inlove kiss placard huug bed ouh string noeil
J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves avec ta belle brille
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barbie palvin, ptn trop de beauté quoi iiih bienvenue sur exci trognon
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Dante palpite palpite palpite palpite palpite palpite palpite dévore dévore dévore dévore dévore dévore :oué: :oué: inlove inlove inlove inlove inlove bed bed bed bed :fleur: :fleur: :fleur: attack attack yiih yiih yiih yiih

T'inquiète, je suis certaine qu'elle va te plaire. Je te présente une moitié de pandore et le reste de connasse /SBAF/

Merci Sansa (comme j'adore ton prénom grouh )
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Viens me faire des bébés alors jule youpi hinhin sex kiss bed yiih
Je suis contente que tu m'aies rejointe ici en tout cas trognon potte
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WIZARD • always the first casuality
Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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BARBIE PALVIN gaah bave
bienvenue sur exci ! N'hésite pas en cas de souci, le staff est là pour ça. J'aime beaucoup le nom de famille de ta demoiselle iiih bonne chance pour la suite jule
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Ce personnage m'intrigue, hâte de lire ta fiche potte

Bienvenue par mi nous en tout cas !
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Simon Rosier
Simon Rosier
‹ disponibilité : dispo (1/6)
‹ inscription : 07/09/2014
‹ messages : 1145
‹ crédits : tplrs (avatar), tumblr (gifs).
‹ dialogues : #669999.
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‹ liens utiles :
‹ âge : trente-huit ans (24/05/66).
‹ occupation : criminel, propriétaire déchu du Centuries.
‹ maison : Serpentard.
‹ scolarité : 1977 et 1984.
‹ baguette : brisée.
‹ gallions (ʛ) : 5314
‹ réputation : il n'est plus rien, l'héritier réprouvé d'une famille presque extincte, indigne de toute confiance et bon à moisir dans les geôles d'Azkaban.
‹ faits : toujours considéré comme une ordure remplaçable, dans le clan désuni de Voldemort, Rosier est désormais perçu comme un lâche ayant déserté avant la bataille finale. Un monstre qui a abusé de la confiance d'une sorcière honnête (Anna), et un père indigne par-dessus le marché. Nombreux sont ceux qui auraient aimé maintenir la peine de mort jusqu'à ce qu'il y passe.
‹ résidence : Azkaban.
‹ patronus : un vague filet argenté, sans forme ni consistance.
‹ épouvantard : un précipice.
‹ risèd : une plage, avec Anna et Charlotte.
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la magnifique Barbara yeux yeux
bienvenue ! pétille
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Une Victoire en Barbara yeux
Bienvenue jolie demoiselle I love you
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