☇ Avis sur la situation actuelle ; Eirene, elle est du côté du gouvernement. Elle prêtera allégeance à n'importe qui, tant que cela pourra l'élever haut, le plus haut possible, jusqu'à toucher les cieux du bout de ses doigts. Neutralité de façade, la sorcière est perdue dans un tourbillon de sentiments. Et elle ment, elle se ment. L'élite, un eldorado qui lui fait tourner la tête, au point de s'oublier elle-même. La sang-mêlé doute, puis redoute de faire face, de se faire face. Adhérente, marionnette des mangemorts. Arme de choix sans aucun remord. Eirene va et vient, sans jamais décider. Elle n'est plus maître de rien. Le goût du sacrifice se répand dans sa bouche, et elle devient moins farouche, la sorcière au cœur de pierre. Les insurgés n'ont guère d'importance aux yeux de la poupée, concentrée sur sa personne. Embourbée dans une tempête qui la bouscule, l'anéantie chaque jour un peu plus, Eirene est enclavée dans une situation qui l'échappe, la dépasse. Face au mur, impossible de revenir en arrière, le Magenmagot se dessine devant le regard amande de la sorcière. Une décision, une vie, un avenir, et le temps s'écoule, lui glisse entre les doigts. Alors, elle attend, impassible, disciplinée, calme. Pieds et poings liés, la sang-mêlé est huée par ses démons intérieurs, qui la dévore, la ronge un peu plus chaque jour. Tourmentée, ravagée, torturée, autant d'incommodités qu'elle endure, visualisant son but ultime. Eirene sert le gouvernement, l'élite, ceux qu'elle convoite. L'envie la consume lentement, doucement, elle se meurt de l'intérieur la sorcière. Elle piétine ce qu'elle est pour avoir ce qu'elle désire. Mais la convoitise, ça laisse des traces, ça vous marque au fer rouge. Eirene sert les mangemorts, le Lord lui-même, elle se calcine de l'intérieur. Et la servitude devient une habitude.

☇ Infos complémentaires ; son envie de tout contrôler l'a rendu incapable de monter sur un balai, peur du vide depuis qu'elle a foulé douloureusement le sol au premier cours de vol sur balai en première année, Eirene n'a jamais plus senti la brise parcourir ses cheveux à plusieurs mètres d'altitude, cela ne l'a pas empêché de supporter son équipe de quidditch pendant toute sa scolarité • le choix de sa maison ne fut pas simple, et le choixpeau a mis plusieurs minutes avant de se décider pour Serdaigle, les érudits • elle fait fréquemment des insomnies mais est aussi somnambule en période de stress ce qui parfois peut la mettre en danger, comme la fois où elle s'est réveillée aux portes de la forêt interdite • dès lors qu'elle ressent une émotion extrême, allant de la colère à la joie intense, ses iris changent de couleur  sans qu'elle ne puisse les contrôler, chose qu'elle essaye, en vain, d'améliorer • son petit frère est mort il y a  bientôt dix ans, elle n'en parle jamais, mais elle se sent coupable, terriblement coupable, ça la ronge de l'intérieur, alors elle ne préfère pas y penser. Cette événement de sa vie, elle l'a rangé dans un coin de sa tête, et jamais plus, elle ne viendra le déloger • casanière, elle ne s'aventure que très peu, la sang-mêlé ne se sent en sécurité que lorsqu'elle est chez elle, mais voilà bien des mois, qu'elle ne sait plus, elle ne sait pas où se trouve son foyer • séduire la sorcière ne demande que peu d'efforts, son égo sensible aux compliments permet de vous octroyer sa sympathie de manière quasi automatique, ce qui n'a pas manqué d'échapper au gouvernement • ambitieuse, Eirene a toujours eu cette impression d'avoir à prouver sa valeur, s'épuisant à vouloir faire mieux que les autres, à vouloir se singulariser, se démarquer, montrer, qu'elle aussi, pouvait fouler le devant de la scène • son schéma familial n'a jamais été simple, entre une mère né sorcière bien trop protectrice et un père né moldu bien trop loin de la réalité de sa fille, son enfance a été heureuse, simple, paisible • la rentrée à poudlard fut la première d'Eirene, jusqu'alors habituée à étudier chez elle, un choix de sa génitrice ne souhaitant pas voir sa fille persécutée à cause de sa particularité • son sérieux et ses capacités l'ont amené à être nommée préfète durant sa cinquième année à poudlard, un rôle qu'elle a investi et dont elle est encore fière, le souvenir du blason contre sa poitrine étire instinctivement ses lèvres rosées • Eirene a porté la vie en elle pendant plusieurs longues semaines, un présent devenu fardeau, un futur père sans cesse sur les routes, une vie de couple brisé et puis ce poids n'est plus, la sorcière l'a perdu, inconsciemment, involontairement, elle s'est retrouvé de nouveau seule • la sorcière a été persécutée, harcelée, malmenée durant sa scolarité. Sa particularité n'a jamais joué en sa faveur, et c'est pour cela qu'elle est adhérente, qu'elle continue d'effectuer des missions au péril de sa propre vie, parce qu'elle est spéciale, parce que son don est utile à d'autres, parce qu'enfin, elle a de l'importance. Et elle s'en fiche, la sorcière, elle se moque que cette attention vienne de ceux qui autrefois, auraient pu la persécuter, elle se sent vivre à travers les ordres qu'elle reçoit, mais un goût amer se fait sentir alors que ses pensées se dirigent vers un homme, celui qui aurait du la faire sentir vivante

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi bé. J'ai 21 ans, je viens de bretagne et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connectée 7 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ?       (je l'adore lui)

❝ This may be a sad chapter but you are not a sad story ❞1980 & Londres
La fillette court, vagabonde dans les hautes herbes, un sourire illuminant son visage de poupée. Sa chevelure brune virevolte dans les airs alors qu'elle course un simple papillon. Émerveillée devant un tel amas de couleurs, plus radieuses les unes que les autres. Eirene est fascinée par cet étrange animal qui lui rappelle sa condition. La sorcière aime aussi jouer avec les couleurs, les formes, elle se passionne, la gamine insouciante, devant son large miroir. Changer, se transformer, elle n'arrive pas encore à saisir le mécanisme, mais elle rigole, d'un rire cristallin et doux, elle rigole lorsque ses cheveux deviennent bleus. Eirene saute, tend sa main dans les airs et elle sent le vent fouetter son épiderme, un frisson parcoure son corps mais son sourire ne s'efface pas. Elle est insouciante, inconsciente la gamine et elle finit par se retrouver au sol, à manger les fleurs qu'elle admirait tant. Et les larmes viennent souiller sa peau de bébé. Le regard embué, elle traîne les pieds jusqu'à finir par rejoindre la demeure familiale. Les joues humides, seuls ses sanglots résonnent et la questionnent. D'un pas vif, sa mère arrive, instinct maternel, protection obsessionnelle. Je suis tombée. Des mots difficiles à prononcer, à avouer alors que son cœur s'affole contre sa poitrine. Incontrôlable, les pupilles d'Eirene sont d'un violet éclatant, renversant. Le chagrin se lit sur son visage nymphéen. Alors sa mère essuie les larmes et use de son charme. Shh, Eirene, ma poupée, ça va aller. Sèches tes larmes. Et la magie opère, la seule et unique magie inaccessible aux cœurs de pierre, l'amour. Ses iris violets ne sont plus qu'un songe dans l'atmosphère, la gamine est redevenue une sorcière comme les autres. Eirene lève son doux visage dans les airs et son regard croise celui de son père. Et le silence s'installe, s'enracine, s'ancre dans la pièce. La chaleur maternelle a disparu. L'inquiétude se lit dans le regard du paternel mais Eirene étire ses lippes rosées et le monde s'arrête de tourner.

❝ My best friend is the only one who knows how to forgive me without loving me less ❞1985 & Poudlard
Sa chevelure virevolte alors qu'elle ne cesse de s'agiter. L'inquiétude grandit en elle, à mesure que le temps s'écoule. Et la panique a pris une place de maître dans son cœur. Elle n'est pas habitué à céder au stress. Eirene ne contrôle plus rien, et c'est bien cela qui lui monte à la tête. L'air frais lui fouette le visage, alors qu'l

Spoiler:

1989 & Poudlard
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Depression is like trying to find a light switch in pitch darkness ❞1993 & Londres
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ you’re going to break my heart and I’m going to let you ❞2000 & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

2001 & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

2002 & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.