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sujet; the cursed shall rise |
| Narcissa Charis Malfoy feat naomi watts • crédit klariza | ❝ We're running in circles again ❞WIZARD ; scénario☇ pseudo complet ; Il est murmuré, fait frémir à sa simple appellation. Savant mélange de crainte et d'admiration, ses légendes le précède largement, il ne laisse indifférent. Narcissa, dernière née de la première branche des Black, elle a connu les fantômes des âmes damnées, a grandi avec les maintes superstitions et traditions, s'y est vu confronter sans fort heureusement en être la cible directe. Fidèle à ce nom ses quinze premières années de vie, c'est pourtant celui des Malfoy qui prédomine depuis. ☇ naissance ; C'est le treizième jour du mois d'avril de l'année 1955 qui l'a vu naître, dans la demeure familiale des Black, cette singulière enfant aux cheveux clairs qui ne serait copie de nul aîné. ☇ ascendance; Toujours purs, adage qui avec la gloire apporte le tourment. ☇ métier ; Sorcière de salon aisément sous-estimée, femme mondaine, pilier de la haute société. Épouse et mère aimante, sûrement dans l'excès. ☇ camp ; Neutralité égoïste, elle soutenait pourtant le gouvernement, convaincue que c'était le camps dans lequel il fallait être, et celui qui de par son rang lui tendait ces bras rassurants qui ont fini par l'étouffer. ☇ réputation ; Figure bien connue de l'univers mondain, elle est pourtant devenue l'invisible autour de laquelle plane un mystère qui alimente les causeries des ignorants. ☇ état civil ; Mariée à l'être aimé, mère de la prunelle de ses yeux et grand-mère qui peine à se souvenir des traits de sa descendance. ☇ rang social ; Femme de l'élite. ☇ baguette ; En bois d'ébène d'un noir profond, elle est droite, rigide, renferme un ventricule de cœur de dragon et est dotée d'un manche en argent sculpté. ☇ épouvantard ; Ce qu'elle a toujours redouté, voir l'un des siens souffrir, ou pire, se retrouver dans la position qu'elle occupe à ce jour. ☇ risèd ; L'agonie, lente et douloureuse, de Lord Voldemort. ☇ patronus ; Jamais elle n'a pu créer ces filaments bleuâtres. ☇ particularités ; C'est une occlumens aussi douée qu'insoupçonnée. ☇ animaux ; aucun.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; La situation, jadis ou future, Narcissa n'en avait que faire. Jamais la cadette des Black n'avait été de ces gens investis. Discrète, loin des férus de rébellion, elle demeurait cette égoïste aux yeux du monde, celle qui ne pensait qu'aux siens, qui néanmoins tuerais n'importe quelle âme peu importe le camps si la vie de son unique enfant ou celle de son époux était mise en péril. Toutefois femme mondaine à l'avis bien tranché, elle n'appréciait guère de côtoyer ceux dont la pureté du sang n'égalait la sienne, ne demeure pas plus encline à s'adoucir avec le temps. Mais si la situation du monde semblait être le cadet de ses soucis par le passé, elle a présentement sombré dans les méandres de son esprit impuissant. Elle n'est d'ailleurs au courant des changements notables survenu ces trois dernières années, du moins pas davantage que les grandes lignes, et fort déplacé trouveraient sûrement les gens de lui en parler, à elle, celle qui se bât pour sa propre vie, celle qui n'est plus que l'ombre d'elle-même et qui demeure l'une des plus touchées de cette guerre malgré sa place dans ce qui à l'époque semblait être le bon camps.
☇ Infos complémentaires ; La haine viscérale qu'elle porte à Lord Voldemort s'est affirmée dès l'instant ou l'audace lui a fait poser la main sur son petit-fils, et sûrement ce souvenir la consume plus encore que sa condition de poupée de chiffon. • Elle a effectué une scolarité studieuse et discrète dans la maison de Salazar Serpentard avant d'uniquement se consacrer à son rôle d'épouse, puis de mère. • Loyale envers les siens, elle laisserait sa chaire pour cette droiture poussée par ce besoin de protection excessif. Mais elle est aussi cette âme rancunière qui ne pardonne jamais les affronts passés. Et souvent l'orgueil la ronge, mêlé à cette fierté qui l'empêche d'être assujettie par nul autre que ceux devant qui elle aura décidée de mettre genou à terre. • Depuis toujours admirée de loin telle une inaccessible effigie de perfection, l'enfant soucieuse des apparences, des conventions et autres règles de bienséance est devenue cette femme digne de la haute société que chacun présumait. • Aussi avisée qu'intelligente, l'on ne soupçonne chez la parfaite maîtresse de maison ces qualités et pourtant, elle a très tôt développé cette aptitude à anticiper les problèmes et conséquences se dessinant à l'horizon et a pris l'habitude de rester judicieusement discrète si cela ne touchait ceux qui lui sont précieux. • La trahison d'Andromeda demeure une plaie béante et douloureuse de laquelle elle ne s'est jamais véritablement accommodée, aussi radicalement l'a-t-elle rayée de son existence. • Elle a vécu l'installation du Lord dans sa propre demeure comme un véritable affront, et le dépit qu'elle ne prenait la peine de cacher en privé était indéniablement partagé par son époux. • N’appréciant la désinhibition et dans l'optique de garder un esprit cristallin en toute circonstance, elle ne boit que très peu d'alcool. • Réduite en monnaie d'échange contre la loyauté des siens, enfermée dans une prison dorée depuis trois années, elle subit quotidiennement les tortures du mage noir et de son reptile, conséquences de mauvaises actions des siens. Et si elle supporte l'enfer, c'est parce que la simple idée qu'époux ou fils pourraient être à sa place la tuerait. • Les crocs du Serpent mêlés aux maléfices du mage noir ont marqués son corps à jamais. Et à la place de sa main droite le néant, tel un souvenir aussi lointain que douloureux. Mais l'entièreté de sa silhouette n'est que meurtrissures, et du bas de son dos jusqu'aux cuisses la signature de Nagini reste gravée. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi jennifer. J'ai vingt-deux ans, je viens de bretagne et j'ai connu le forum via bazzart il y a fort longtemps. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [x] oui / [] non. Un dernier mot ? je suis amoureuse
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Mar 1 Mar 2016 - 0:29, édité 6 fois |
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| A bitter pill bad luck relies on absolutely perfect timing 1968 - POUDLARD Elle portait un verre à ses lèvres, délicatement, et son regard filait de gauche à droite, fixé sur ce parchemin qu'elle relisait pour la troisième fois. Un simple devoir de potions dont la note ne conterait guère et pourtant, comme toujours elle s'appliquait, prenait le temps, de relire, corriger certaines tournures de phrases qu'elle jugeait nécessaire de modifier afin de faire paraître ses écrits comme proche d'une perfection pourtant insaisissable. « Tu es bien calme. » Dérangée par cette voix, elle remarquait finalement le brouhaha alentour alors que sa concentration de dissipait, s'évaporait à mesures que les bribes de conversation parvenaient à ses oreilles. Un sourire poli étirait ses lèvres, alors que ses pupilles lâchaient son manuscrit pour se poser sur le faciès d'un garçon, un camarade, dont les traits lui étaient familier, sur lequel elle savait mettre un nom. En raison de son sang certainement, puisqu'elle l'avait déjà vu auparavant. Pas habillé de cette cape aux couleurs des verts et argents, non, vêtu bien plus noblement, sûrement à l'occasion d'une alliance ou autres festivités mondaines lors desquelles les vingt-huit ou presque se retrouvaient. Il en faisait partie, elle en était certaine. Pas certaine de son patronyme, mais elle n'oubliait jamais un visage, jamais, parvenait même à y associer un souvenir, et sa mémoire en l'instant la ramenait à l'été passé, à sa propre demeure, où ce garçon déambulait parmi la foule aux côtés d'une femme, grande, aussi blonde que les blés. « Il parait, oui. » De sa voix douce, elle répondait à l'intéressé, lâchait ce verre qui demeurait toujours entre ses doigts fins et cherchait du regard ce que lui-même semblait fixer au loin. « Toujours si expansive. » Bellatrix, entourée de son groupe d'amis bruyants semblait déclencher les rires, et d'ici elle pouvait presque entendre chacun de ses mots, décelait au moins le sens de ses phrases. « Elle est dotée d'une voix qui porte. » Elle ne passait jamais inaperçu, sa sœur. L'on devinait sa présence, l'entendait arriver, ne pouvait en faire abstraction dès lors qu'elle se trouvait dans une même pièce. Elle avait cette âme de leader, sûrement aussi ce besoin d'être sur le devant de la scène, d'être au centre des regards et autres attentions, mais cela ne dérangeait sa cadette, celle qui au contraire en ce qui pourrait sembler défauts ne voyait que qualités. « Tu sembles si différente. » Elle vouait une certaine admiration à l'audacieuse, autant qu'à Andromeda, son autre sœur au caractère si proche de la première. Elle, elle n'avait jamais été qu'un trait d'union entre ces deux personnalités si expressives. « Peut-être. » Ce n'était la première fois qu'on soulevait la différence en elle, loin sûrement d'être la dernière. Et pourtant elle n'avait rien à leur envier, celle qui a sa façon s'élevait à leur niveau, toutefois plus en finesse. Bien des gens la pensait innocente, la parfaite et bien élevée Narcissa, parce qu'elle ne déchaînait les passions comme Bella, n'attirait les insurgés comme Meda. Parce que sa douceur camouflait si bien ses noirceurs, et qu'elle n'était que réflexions, là où ses aînés n'avaient toujours été qu'actions. Et finalement, peut-être qu'ils avaient raison, car elle ne serait jamais la fougueuse qu'on attendait, juste cette cendre à l'apparence éteinte qu'un simple filet d'air suffirait à raviver.1970 - MANOIR MALFOY Elle marchait lentement, son bras entrelacé dans celui de son père. Et au rythme de leurs pas s'accordait l'air d'une musique, comme si les notes de cette dernière avaient été pensées pour elle, pour ce moment. Une fine larme s'écoulait sur sa joue sans jamais qu'elle ne sache quel sentiment la provoquait. L'émotion, le soulagement d'ainsi parader, d'être celle qui lierait ces nobles familles qui chacune d'un côté de l'allée s'était élevée afin de montrer leur respect à celle qui laisserait le nom des uns pour porter celui des autres. La joie aussi, de voir son destin joint à celui de l'homme qui au loin ne la quittait du regard, mais surtout l'angoisse, l'appréhension lorsqu'elle songeait à l'après, à ce que serait sa vie aux bras de ce prétendant froid et indifférent qui prenait sa main au moment ou son père la lui confiait. Elle se tenait droite, face à lui, laissait se perdre ses pupilles dans les siennes, comme si elle espérait qu'il en résulte un signe, ou quoi que ce soit qui l'aiderait à se persuader qu'elle avait fait le bon choix. Ou plutôt qu'ils, eux, toute cette assemblée, avaient choisi pour leurs progénitures le meilleur des alliés. Parce que c'est ce qu'elle désirait, un partenaire, un associé, une personne en qui elle pourrait avoir aveugle confiance, quelqu'un qui deviendrait son ami, au mieux l'amour de sa vie, mais au moins une épaule sur laquelle elle pourrait compter. Et alors que la courtisée se voyait obligé d'ôter son regard de celui auquel son destin allait d'un instant à l'autre être enchaîné, alors qu'elle faisait face à cet homme de foi, celui qui déjà récitait les premières phrases choisies et imposées, elle continuait à songer, espérer, que l'homme si digne qui se tenait à ses côtés la verrait un jour autrement que comme un maillon servant à unir leurs noms dans l'histoire, autrement que cette certes jolie, mais un brin effacée petite poupée qu'on lui avait donnée. Elle espérait pouvoir briller à ses yeux, et qu'un jour ses mots comptes, autant qu'elle pourrait compter pour lui, cet homme d'entre les lèvres duquel sortait cet adverbe qu'à son tour elle répétait. « En vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare mari et femme. » Et par ces simples mots, alors que leurs lèvres se touchaient pour la première fois, un accord était celé sous les applaudissements de ceux qui par cette liaison marquait un peu plus l'histoire et surtout, assuraient aux yeux du monde la pureté de leur lignée.1972 - TEMPLE GREC Deux prêtes jetaient une goutte d'eau sur l'animal et ce dernier tremblait. Les mains de Narcissa et Esther se serraient plus fort alors qu'elles étaient conviées à entrer dans l'adyton, en ce septième jour du mois. Le silence régnait, pesant, alors que derrière un voile chacune devinait la présence de la Pythie, celle qui par sa simple présence rassurait celles qui en attendaient tant. « Serons-nous un jour capable d'enfanter ? » Simple question qui ne venait à l'habitude à l'esprit des femmes, celles qui bien souvent juste après leurs noces se retrouvaient porteuses d'un héritier. Et pourtant pour elle, ainsi que son amie la plus proche, cette conception s'avérait plus complexe que racontée par les femmes de leur entourage. Déjà plus d'une année que la dernière née Black avait vu son destin être lié à celui dont maintenant elle portait le nom, mais toujours pas l'enfant. Ce n'était pourtant faute de le vouloir, ni d'avoir provoqué le destin, car plus encore que de désirer des grossesses communes, les deux jeunes mariées voulaient tout bonnement porter en leur sein ce qui serait la promesse d'une alliance réussie. Créer une descendance, là n'était-ce que la raison qui poussaient au mariage, qui forçait les aînés à trouver moitié à leurs progénitures. Et pour l'instant elle décevait, Narcissa. Pire encore que le regard insistant des siens, ses propres pupilles qui n'arrivaient à fixer ses traits dans un miroir. Elle se sentait coupable. Coupable de ne pouvoir faire ce que l'on attendait d'elle, plus encore de n'être normale, car la normalité aurait voulu qu'elle procréé depuis longtemps. Là était-ce la raison de ce séjour outre-mer, la raison pour laquelle elle se tenait là, silencieuse, à attendre la réponse de Dieu sur sa condition, celle qui lui serait donnée par l'intermédiaire d'oracles de la Pythie qui tombait en état de transe. Elle n'avait passé plus de quelques minutes dans l'adyton, se voyait forcée d'en sortir avant même d'avoir pu pleinement profiter de l'instant. Et au premier pas dehors, un parchemin leur était tendu, sur lequel la réponse de la divinité figurerait, celle qu'elles n'avaient pu comprendre de la voix directe de la Pythie, les râles sortant de son âme n'étant qu'incompréhension pour le commun des mortels dont elles faisaient partie. C'est ainsi toujours silencieuses qu'elles trouvaient le courage de lire la prédiction, ces quelques proses qui répondaient à leur énigme par la positive.1973 - DEMEURE DES BLACK Ambiance pesante, personne ne semblait vouloir, ou peut-être pouvoir se mouver. La famille Black presque au complet demeurait en cet instant présente dans le salon de la demeure, chacun plus ou moins en retrait, seule la matriarche figurait indiscutablement en premier plan, baguette tendue vers cette tapisserie que certains n'osaient regarder, que d'autres ne pouvaient s'empêcher de fixer. Narcissa elle occultait. Tout. Autant les faciès que les mots, plus encore ce visage qui s'effaçait, qui ne tardait à être remplacé par une tâche noire difforme, abolissant une branche de l'arbre dans son entièreté et en même temps, une partie d'elle. « Qu'elle aille au diable. » Et c'est en trombe que Bellatrix quittait la pièce, alors que la cadette se contentait de fermer les yeux, baisser la tête, comme pour ne pas entendre davantage, ne pas assister à ce funeste spectacle.1974 - DEMEURE DES BLACK Druella, femme forte, fière, était installée mains jointes à la table du salon servant à prendre le thé. A ses côtés, la toute aussi imposante madame Malfoy, ainsi que Cygnus et même Bellatrix qui toutefois après seulement quelques minutes de sa noble et rassurante présence quittait les lieux, appelée par ce qui ne semblait regarder qu'elle. « Cela ne peut durer plus longtemps. » « Sûrement ne fait-elle de son mieux, il est impossible que cela prenne autant de temps. » Mère et belle-mère s'échangeait des phrases, alors que l'intéressée restait muette, dos droit, mais regard fuyant. « Elle n'est pourtant stérile, l'enfant perdu en est la preuve. » Elle peinait toujours à faire le deuil de cette fausse-couche survenu l'année passée, celle qui ne semblait la toucher qu'elle à en juger par la facilité dont les autres en parlaient, et surtout celle avec laquelle ils avaient oublié. Pourtant à l'annonce de cette perte, chacun était resté muet, s'était muré dans un silence de quelques jours qui n'avait toutefois semblé perdurer qu'en sa présence. La vérité est qu'ils avaient vite écourté cette politesse, tous, car au galop la pression était revenue, si peu, trop peu de temps après ce qui resterait l'échec le plus cruel de sa vie. Et si elle n'arrivait à faire son deuil, sûrement était-ce parce que la bénédiction ne semblait vouloir la toucher du doigt une seconde fois. Malgré les tentatives, l'avenir semblait s'assombrir chaque mois davantage. « Il faut un héritier. » « Nous en sommes tous conscients Druella, mais que voulez-vous y faire, n'avons-nous pas tout essayé ? » « Je suppose que non, sinon elle ne serait aussi mince. » Les regards se tournaient vers elle, celle qui ne les supportaient plus. « Peut-être est-ce un défaut de santé. » « Vous avez raison. » D'un simple geste de main, Druella appelait l'un des servants à son côté, lui murmurait une phrase avant d'ordonner de sa stricte autorité qu'il fasse venir au plus vite en leur demeure le médicomage familial. « Cela ne peu qu'être ça, après tout aucune raison n'a été trouvée à la perte. » « Prenons les devants cette fois, parons le problème avant qu'elle n'enfante à nouveau. » Et chacun à leurs lèvres portaient une tasse de thé, mettant par ce simple geste fin à cette discussion qui revenait incessamment, mais qui pour l'instant, un sûrement trop court instant, laissait place à de bien plus frivole banalités. |
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| 1980 - MANOIR MALFOY C'est dans la douleur que l'héritier naissait, enfin. Et à l'entente de son premier cri, la mère fondait en larmes. Des larmes de soulagement, de ravissement. Neuf long mois qu'elle attendait cet instant, si ce n'était une décennie. Toutefois nul doute que chaque seconde de cette grossesse avait été pire que ces dernières années de tourments, car chaque matin lorsque ses paupières s'ouvraient, elle redoutait la perte de l'enfant, effrayée par ce mauvais sort qui une seconde fois aurait pu s'abattre sur elle en lui enlevant ce qu'elle désirait du plus profond de son être, la seule chose qui manquait à sa vie : son enfant. « Draco. » Tel est le prénom qu'elle laissait filer, celui que l'héritier porterait tout au long d'une existence qu'elle espérait longue, pour laquelle elle n'aurait de cesse de prier, trop sûrement. Et elle le lovait au creux de ses bras délicats, ce nouveau-né présage de bonheur, car par sa simple présence il consolidait des liens qui depuis des années semblaient en péril, et effaçait par ses cris les déceptions et reproches endurés depuis trop longtemps.1991 - MANOIR MALFOY « Le meilleur tailleur se trouve sur le chemin de traverse, fils. » « Très bien, alors nous irons demain. » Pourvu d'une autorité démesurée pour un si jeune âge, le fils unique se tenait fièrement face à son père, presque dans la même posture, comme s'il désirait le prendre en exemple. Elle remarquait d'ailleurs davantage cette attitude avec le temps, cette manie de calquer son aîné, de reproduire ses gestes, postures, mimiques et souvent paroles. Il avait d'ailleurs cette même intonation, quoi qu'au contraire de Lucius au sein des paroles duquel l'on pouvait parfois déceler sarcasme, celles de Drago ne semblaient qu'haineuses. Toutefois, la mère aimante ne voyait en cela que drôlerie. Cette envie de grandir plus vite que de raison la faisait sourire, de toute manière, jamais elle ne voyait le mal en les actions de son fils, jamais. Comment pourrait-elle, c'était cette tendance à la surprotection qui l'avait rendu ainsi. Et ce besoin permanent de le voir gravir toujours davantage les échelons l'avait bien sûrement pourvu d'une ambition démesurée, mais aux yeux de la mère cela n'était défaut, au contraire, s'il voulait réussir en ce monde il en aurait besoin, tout comme de ce brin de prétention. « Rien ne sert de presser les choses, la rentrée n'est que dans plusieurs mois. » « Je veux y aller demain. » « Non. » Le père se voulait ferme, et l'était puisque sans rétorquer, le fils quittait la pièce, non pas sans cette mine déconfite qu'il arborait à merveille, qui faisait sourire sa mère. « La rentrée semble loin, mais il serait temps de faire un choix. » Laissait échapper Lucius, non pas sans avoir vérifié que son fils ne laissait pas traîner ses oreilles à proximité. L'intéressée elle se contentait de lever les yeux vers son époux, toujours ce même sourire dessinant ses lèvres. « Je pensais que le choix était déjà fait. » Répondait-elle tout en lâchant la plume qu'elle avait en main pour se concentrer uniquement sur l'être aimé. « Nous ne sommes jamais allés au bout de la discussion. » Il s'approchait, s'asseyait auprès d'elle et prenait sa main, tendrement. Pourtant le sourire de sa belle s'effaçait un brin, laissant place à une mine enjôleuse. Main de fer dans un gant de velours, c'était en ce genre de situation qu'on décelait sa force, et surtout cette fourberie si bien cachée par la réputation doucereuse qu'on lui attribuait. « Nous ne pouvons l'envoyer à Durmstrang. » Elle resserrait l'étreinte entre leurs mains, avant de se lever, passer derrière lui et l'enlacer de ses bras frêles. « Aussi moyenne demeure l'éducation à Poudlard, je te l'accorde. » Ses paroles, bien que définitivement enjôlées, étaient indéniablement tranchées. était-ce côté de sa personnalité qui avait fait fondre l'époux, qui l'avait fait la regarder plus que de raison, l'avait poussé à vouloir percer à jour l'entièreté de son être et surtout, à l'aimer, sincèrement, passionnément, intensément ? Sûrement un brin, mais si en l'intimité elle semblait reine, nul doute qu'elle se contentait juste de gouverner auprès de son roi. Car jamais elle ne remettait en doute son autorité, se contentait simplement de l'aiguiller, de tempérer ses décisions et de le soutenir, quoi qu'il lui en coûte, que ces dernières soient bonnes ou mauvaise. Toutefois, seulement lorsqu'elles ne risquaient de nuire à lui-même ou à la prunelle de ses yeux, Draco. Et en ce qui concernait cette discussion sur laquelle ils polémiquaient depuis des mois, peut-être même des années si ce n'était depuis la naissance de l'enfant, elle ne pouvait le laisser avoir le dernier mot. « Mais nous devons prendre en compte l'absence de véritable alliance outre-mer, ainsi qui pourrait bien veiller sur lui ? Tu le sais, je serais infiniment plus rassurée s'il demeurait proche. » Elle retournait finalement s'asseoir, alors que lui se levait. « Puis il serait en compagnie de Pansy, Nyssandra, Vincent et bien d'autres. Nous savons ce que leurs parents pensent de Dumbledore et pourtant, ils leur confient leurs enfants. Peut-être ne serait-ce si terrible d'en faire de même. » Et elle lui offrait ce sourire affectueux, celui qu'il lui connaissait si bien pour souvent le voir égayer son faciès, alors que lui n'arborait qu'impassibilité. « Soit. Je vais y songer. » Elle déposait un baiser sur sa main qu'elle prenait dans la sienne, puis s'en allait, le laissant avec ses songes en priant pour qu'ils rejoignent les siens.1997 - MANOIR MALFOY « Je te supplie, Lucius, de faire quelque chose. » Il restait muet, impassible, et elle savait qu'en l'esprit de son époux maintes batailles étaient en train d'être menées. Elle s'approchait de lui, prenait ses avant-bras laissés ballant entre ses fines mains, le serrait comme pour le faire réagir, accélérer ses tergiversations. Et elle soutenait son regard fuyant, le suppliait par ses prunelles, ses mots, et l'entièreté de son corps. « Nous ne pouvons laisser faire ça. » Elle reculait, se tournait, faisait quelques pas avant de revenir vers lui. Elle ne tenait en place, ne pouvait rester immobile, n'avait certainement jamais été aussi anxieuse qu'en l'instant. « Nous ne pouvons faire ça à Draco. » Une seconde fois elle se retirait du champs de vision de son époux, posait ses mains sur le dossier d'une chaise sur laquelle elle ne semblait pouvoir s'asseoir, puis regardait par la fenêtre. Le pluie battante tapait sur les carreaux, et le ciel était si gris, presque noir, qu'il semblait refléter tout le désespoir dont elle était éprise. Voilà seulement quelques heures que son fils lui avait annoncé la nouvelle, et quelle nouvelle. Il avait enfanté celle à laquelle il n'était pour l'instant que fiancé. Enfant fait hors mariage, il ne pouvait survivre, elle en était aussi intimement consciente que les autres le seraient une fois la nouvelle dévoilée au grand jour. Et elle ne pouvait laisser faire, celle qui ne connaissait que trop bien la droiture des parents de celle qui portait le bâtard, celui qu'elle ne considérerait jamais comme tel, qu'elle portait déjà en son cœur et défendais corps et âme tel l'un des siens. « Je vais y réfléchir. » Sans quitter ce paysage invisible masqué par l'obscurité des yeux, elle hochait nerveusement la tête, repliait ses bras sur sa poitrine alors qu'un frisson lui parcourait l'échine. « Nous allons trouver une solution, fais-en part à Draco. » Murmurait Lucius à l'oreille de l'épouse apeurée, éreintée. « Tu vas devoir parler à Wyatt. » Aussi proches étaient-ils du couple Greengrass, elle n'était pas sans connaître le caractère de l'opposant, sans savoir de quoi il était capable et surtout, la hargne dont il faisait preuve pour mener à bien ses projets. Et aussi important était son époux aux yeux de leur ami, aussi influent étaient-ils l'un pour l'autre, Wyatt Greengrass n'avait aucune once d'empathie en lui, moins encore de pitié ou de compréhension. « Je le sais. » Et plus consciente qu'elle encore, Lucius.2001 - QG DE LORD VOLDEMORT Le souffle coupé, elle se sentait happée, prenait conscience qu'elle était en train de transplaner. Et les mains qui lui tenaient les bras se serraient toujours davantage, alors qu'une autre montait jusqu'à son cou, lui empêchait d'esquisser le moindre mouvement. Elle étouffait un cri, se laissait pourtant aller jusqu'à ce que ses pieds touchent finalement la terre ferme dans cet endroit qu'elle ne peinait à reconnaître. « Pourquoi tu fais ça, Rabastan ? » Elle tentait de se débattre, un instant, avant d'avoir l'intelligence de se stopper, devenir telle une poupée de chiffon aussi malléable que ses détracteurs le désiraient. Plongeant son regard dans celui de son assaillant, elle percevait un brin de mal-être en son regard fuyant. « POURQUOI ? » Elle hurlait presque cette fois, intonation qu'on ne lui connaissait pas, dont elle n'usait que rarement et au combien jamais en public. D'ailleurs, sûrement était-ce la première fois que tous la voyaient ainsi. Cendre ravivée par le souffle de leur lâcheté, elle s'embrasait, devenait sous leurs yeux plus impétueuse et amère qu'elle ne l'avait jamais été. « Et toi Wyatt, es-tu devenu si minable au point de t'en prendre à une femme ? » Elle pouvait presque sentir le sang faire demi-tour à l'endroit où on lui liait maintenant les bras, puis les jambes. « Qui plus est à moi. Es-tu si rancunier, Wyatt ? Ou simplement aussi faible d'esprit que je l'ai toujours pensé. » « Fais là taire. » Lançait celui auquel elle s'adressait au second qui se trouvait dans le dos de la prisonnière, toujours en train de vérifier ces liens qui, elle aurait désiré le rugir, étaient déjà bien trop serrés. « J'espère que la noirceur de ce monde s'abattra sur vos têtes ainsi que sur celles de ceux qui vous sont chères. » Au loin, des pas se faisaient entendre, signe que quelqu'un se rendait en leur direction. Alors, elle accélérait la cadence de ses mots, pleinement consciente de ce qui se tramait quand bien même ne devaient-ils deviner chez elle une pareille perspicacité. « Et toi Wyatt, j'espère que tu mourras dans des souffrances aussi atroce que tes paroles l'ont été envers mon petit-fils. » C'était la dernière fois qu'elle voyait les faciès de ceux qui dans ce qui semblait être une autre vie, étaient ses amis. La dernière fois, puisqu'avant de la laisser aux mains de celui qui en ferait son jouet, le mangemort lui assénait une gifle bien placée qui lui faisait perdre connaissance, et qu'il ferait certainement passer auprès de son maître comme un sortilège momentané qui les avaient aidés à la ramener ici, dans ce qui demeurerait son enfer pour les prochaines années.2002 - QG DE LORD VOLDEMORT La porte s'ouvrait, ce simple bruit qui avant lui faisait si peur. Mais elle n'avait plus la force d'être effrayée à présent, ni de ressentir quelconque sentiments. Excepté l'amour, assurément l'amour, celui qui s'accentuait en l'instant alors qu'à ses côtés elle sentait un corps se lover, l'enlacer. Et cette chaleur lui faisait esquisser un sourire, ce simple mouvement des lèvres qui en ces temps lui était si difficile. Un sourire oui, franc, et ses yeux brillaient alors qu'à ses oreilles parvenait la voix de son enfant. Elle ne saisissait le sens de ses phrases, l'esprit trop embrumé pour qu'il soit capable d'assimiler l'ensemble des mots, mais elle tentait une pression sur le bras de celui qui était sa chaire à l'entente d'un nom : Scorpio. Aussi fort aimait-elle son fils, sûrement cet amour rivalisait avec celui qu'elle portait à son petit-fils, celui dont elle n'avait que trop peu profité. Si peu, qu'elle se souvenait à peine de ses traits, mais sa mémoire lui rappelait qu'il ressemblait tant à Draco au même âge, et le faciès de ce dernier, jamais elle ne pourrait l'oublier. Elle se souvenait de lui à tout âge, pouvait retracer la chronologie de chaque changement, c'est d'ailleurs à cela qu'elle songeait lorsqu'ici l'on la laissait en paix, lors de ces rares moment où elle était suffisamment consciente pour pouvoir penser. Mais ils ne duraient jamais bien longtemps, comme en l'instant. Elle essayait de dire quelques mots à voix haute, mais n'y arrivait pas. Il comprenait, il ne lui en voudrait de rester muette. C'était un bon fils, et le simple fait d'avoir pu admirer son visage soulageait l'entièreté de ses maux, comme il l'avait toujours fait. Il demeurait cette lueur d'espoir et de bonheur dans sa vie, depuis toujours et encore aujourd'hui. Cet éclat duquel elle ne pouvait profiter, car déjà ses paupières se fermaient, suivi par son esprit, et elle s'endormait d'une manière qu'elle n'avait plus connue depuis des mois, sereinement.2003 - QG DE LORD VOLDEMORT Incapable de songer, se mouver, de faire prendre à son visage quelconque expression ou même d'ouvrir les yeux, elle sentait pourtant lorsque la douceur d'une âme amicale était proche, à défaut de voir venir le mal. Ce mal qu'elle ne sentait plus, les crocs du serpent ne la faisaient plus souffrir lorsqu'ils se plantaient dans sa chaire, ou souffrait-elle tellement continuellement que lorsque la bête se montrait il était impossible d'endurer davantage ? Elle-même ne le savait. Son corps n'était que pierre et feu ardent. Impossible de lui ordonner quoi que ce soit et pourtant, elle n'en ressentait pas moins la douleur que lui causaient ses plaies. Des plaies qui ne se refermaient jamais, qui depuis trois années maintenant étaient à vif, laissaient s'écouler le sang au point qu'ils se demandaient comment elle pouvait être encore en vie. Grâce à lui, habile maître des potions, surtout ami. Severus Snape, fidèle partenaire devenu garde de son antre dorée, panseur de ses meurtrissures, elle lui devait la vie. Mais quelle vie. Parfois elle se souvenait des débuts, de ces moments d'espoir, mais finalement surtout de ceux où elle le suppliait de lui ôter la vie. Et encore aujourd'hui elle se retenait d'entrouvrir ses lèvres pour supplier, celle qui durant son existence lui avait déjà bien trop demandée. Pourrait-elle seulement un jour lui rendre ne serait-ce qu'un quart de ce qu'il lui a donné ? S'il était là lorsque Lucius avait été emprisonné, lorsque le Lord avait commencé à porté cet intérêt démesuré à son fils, il l'était encore aujourd'hui, là, à murmurer des incantations, badigeonner ses blessures et lui faire difficilement avaler des décoctions. Il était là, au chevet de celle qui il y a quelques mois encore se sentait ingrate, mais qui maintenant n'avait plus la force de culpabiliser. Et l'une des rares choses qui l'empêchaient de se laisser prendre par la mort, c'était cette présence quotidienne bien que discrète à ses côtés. Elle était consciente qu'il serait peut-être le dernier visage qu'elle aurait l'occasion de voir de son vivant, et si tel devait être le cas, alors cela lui conviendrait.
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Dim 28 Fév 2016 - 0:47, édité 1 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | AAAAAAAAAAAAAAAH UNE CISSY c'est trop le bonheur de voir quelqu'un avec cet excellent scénario vraiment il ne manquera plus qu'un Lucius et ça sera parfaiiiiiit ! En tout cas bienvenuuue parmi nous ma belle, j'espère que tu vas te plaire sur exci et je te souhaite bon courage pour la fin de ta fiche |
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HERO • we saved the world Severus T. Snape ‹ inscription : 03/01/2016
‹ messages : 341
‹ crédits : ultraviolences.
‹ dialogues : #006633
‹ âge : 44 (09/01)
‹ occupation : En recherche d'emploi, il se demande surtout à quoi il pourrait bien servir aujourd'hui.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : De septembre 1971 à juin 1978.
‹ baguette : Elle est sculptée dans du pin, contient une plume de phénix et mesure 29.3 centimètres. Idéale pour les sorts informulés, elle est souple mais difficilement maniable.
‹ gallions (ʛ) : 3830
‹ réputation : Il est le plus grand arnaqueur de la dernière guerre. Bras droit du Lord il a réussi à obtenir le titre de War Heroes et ça ne plaît pas à tout le monde. Pourtant, certains aujourd'hui reconnaissent son implication auprès de Dumbledore et ne le jugent plus coupable de sa mort. Le gouvernement a essayé d'utiliser son procès pour apaiser les foules et les #nomoresirius mais fort heureusement personne n'a l'air d'y avoir prêté une grande attention. Ou tout du moins quelques personnes se sont insurgées sur MSN avec le hashtag #SeverusSnapeTheHero.
‹ particularité : Legilimens, Occlumens et pratiquant le vol sans balai mais il n'est plus autorisé à utiliser ses particularités depuis son procès. Il lui reste cependant une importante prédisposition pour les sorts informulés.
‹ faits : Il est resté dans les geôles du ministère pendant deux mois. Son procès s'est tenu le 27 février 2004 et a duré plusieurs jours. Il a finalement été relâché grâce à sa sorcière de la défense qui a fait un travail exceptionnel, au soutien de Meda et à de nombreux témoignages (June/Fred/...). Depuis il doit se rendre à Sainte-Mangouste pour un bilan médicomagique et psychomagique complet deux fois par mois. Il est aussi à la recherche de Gwen, sa protégée qu'il n'a pas revu depuis des mois. Il s'apprête également à travailler sur des potions destinées aux lycans en collaboration avec June.
Or lors des perturbations liées à l'orage magique, Meda a perdu la vie. Depuis ce jour, dans l'obligation de confier Teddy à son parrain et à sa marraine, Severus se sent très seul. Meda était l'une des seules personnes à le pousser à reprendre sa vie et à aller de l'avant. Encore plus perdu qu'à l'annonce de la fin de la guerre il ne sait plus quoi faire.
‹ résidence : Dans la maison de Meda à Londres. Cette dernière lui avait confié qu'il était le bienvenu aussi longtemps qu'il le souhaitait et qu'elle désirait conserver cette maison pour son petit-fils Teddy quand il serait plus grand.
‹ patronus : Une biche
‹ épouvantard : Le monde sorcier plongé de nouveau dans la guerre.
‹ risèd : Meda à ses côtés. Meda le poussant à sortir de chez lui et à ne pas prêter attention aux regards défiants.
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | bienvenuuuue ! Quelle beaaaauté de plume ! Et Cissy quoi ! Ton début de fiche était juste délicieux ! Bon courage pour le peu qu'il te reste ! |
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| Bienvenuuuuue J'ai pas encore pris le temps de lire ce que tu as posté (faut dire que tu as envoyé une bonne tartine d'un coup ) mais j'vais pas tarder à tout dévorer Theodore est content de voir sa mère de substitution se pointer depuis le temps qu'on attendait ça ! En plus il est temps pour que Narcissa se lève et marche ( #Jesusstyle) parce que sinon elle va vraiment finir en tacos pour Nagini |
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| Nyssandra - j'ai vraiment hâteeeee aussi, oh et je suis ravie d'apprendre les fiançailles, Narcissa ne pourra sûrement pas y participer, mais le cœur y sera. en tout cas dès que je suis validée, je veux tout tout tout savoir. Reaghan - je suis ravie que mon choix vous plaise, Narcissa est awesome, je ne pouvais pas passer à côté. et ouuui, plus que l'époux et la famille sera au complet - enfin, cette branche quoi, parce que ça se reproduit à outrance ces bêtes là. Severus - j'espère l'être, vraiment. j'ai aussi dévoré ta fiche - et celle de beaucoup d'autre en fait, puisque je suis tout bonnement fan de tout ces liens que vous avez fait entre vous. et bien-sûr qu'on se retrouve vite, j'ai hâte ! Anna - oh merci beaucoup à toi, c'est vraiment adorable. Guenièvre - ouhhh quel honneur. :queen: merci énormément à toi, j'ai vraaaaaiment hâte aussi de pouvoir approfondir tout ces liens familiaux - puis t'es si belle, Adélaïde en Lestrange, superbe choix Theodore - huhu j'avoue que pour le coup, je n'ai pas laissé de répit à vos pauvres pupilles, elles doivent être agressées par tant de lignes. et gosh, je veux tout savoir une fois validée à propos du lien avec le beau Theo, car je n'en ai pour l'instant pas eu ouïe dire. et oui, sortez Narcissa de làààà. |
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