☇ Avis sur la situation actuelle ; exécution des rebuts / intervention des insurgés, comportements étranges au sein de la population (fanatisme soudain de personnes qui, à peine quelques semaines plus tôt, se plaignaient du gouvernement), dégâts, propagande anti-insurgés sur la base des dégâts qu'ils causent...

☇ Infos complémentaires ; amateur de quidditch durant sa jeunesse, Amycus fut durant une très courte période (à peine une année) batteur de l'équipe de Serpentard. Jugé trop violent, incapable de se contrôler sur un terrain et se moquant éperdument des règles, il a été renvoyé après un match contre les Poufsouffle où il a volontairement fait tomber de son balai le gardien adverse avant de le viser avec un cognard. • sale manie que de se craquer les doigts sous la pression ou l'excitation. • derrière l'aspect d'un colosse irréfléchi se cache une personnalité ambitieuse à souhait. Une ambition qui a toujours conféré à Amycus, une capacité de réflexion surprenante. Capable du meilleur comme du pire, il se laisse d'avantage dominer par ses pulsions que par le reste, mais il est aussi un homme éduqué et qui aime se prétendre gentleman. Toujours bien habillé, ayant un goût prononcé pour la mode et les arts, il collectionne différentes oeuvres, principalement des statues, mais aussi des peintures et aime tout ce qui comporte de l'or. Il porte d'ailleurs différents anneaux en or à ses doigts. • impatient et cruel, cela ne fait pas bon ménage. Quand on ose prendre Amycus pour un idiot, qu'on se moque de lui, on en paie les conséquences. Il sait réveiller la bête qui dort en lui et frapper, frapper encore et encore sa victime pour la faire souffrir. Il apprécie de torturer les choses qui lui sont inférieurs - les sorciers comme les rebuts ou les créatures magiques, les elfes de maison ou même une simple souris - notamment par le biais du feu. Sa petite perversion qu'il aime faire est de "marquer" ses proies avec le bout de sa baguette qu'il enflamme pour leur brûler la chaire en écrivant le mot Carrow dessus, comme une signature. • amycus conserve une cicatrice en bas de son cou assez fine et peu visible qui disparaît derrière sa nuque. C'est un vestige d'un combat durant la bataille de l'école d'un sale gamin dont il n'a pas pu voir le visage. • sa relation avec Alecto fait parler tout le monde sorcier, mais Amycus s'en amuse. Il ne nie rien bien au contraire. • il a échappé à Azkaban après plusieurs crimes grâce à la protection de sa famille, il aime fanfaronner à ce sujet comme quoi les murs de Azkaban n'ont jamais compté sa personne parmi les cellules puantes. Les détraqueurs en revanche, l'effraient, ce sont des créatures qui le répugnent, mais il n'en parle à personne. • il n'a aucun respect pour les elfes de maison et les créatures magiques en général, excepté certains lycantrophes car il trouve une certaine utilité, mais il se méfie d'avantage d'eux, comme Greyback par exemple. • son premier crime s'est produit à l'âge de ses quinze ans, il a volontairement assassiné son elfe de maison, Ulgo après que celui-ci lui ait désobéi. • il apprécie le rhum aux groseilles comme boisson et consomme des produits nobles. • il s'est débrouillé à son arrivée au gouvernement pour se procurer illégalement des richesses qui appartenaient à des sorciers qui furent déchus, son coffre à gringotts est rempli d'objets en argent et surtout en or, divers et variés qu'il a volé sans le moins remord.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi smaug. J'ai 20, je viens de france et j'ai connu le forum via top site. Si tout va bien vous me verrez connectée 4 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". un dernier mot ? les betteraves, c'est pas bon, vive les oreos et les pepitos  

❝ icare aux ailes brûlées ❞1967 & les jardins du manoir
Le vent est froid. Il souffle depuis l’Écosse et s'écrase sur le visage du jeune prince. Les yeux toujours levés vers le ciel grisâtre, il attend. Le froid mord sa peau et ses joues sont déjà rouge à cause du temps passé dehors. Plus loin, l'écho de la voix grave de son père résonne, il l'appel, mais Amycus le fait attendre. Il se moque des sermons à venir, il doit faire quelque chose avant. Ses cheveux noirs de jais volent quand la bise le frappe encore, il recule d'un pas et jure, qu'ils soient tous maudits ! C'est à ce moment là que le garçon l'aperçoit. Dans le ciel, haut, vole un oiseau. C'est une buse, un petit rapace qui chasse ses proies sans aucun scrupule. Cela leur fait un point commun entre le volatile et la bête. Amycus claque des doigts et ordonne de sa voix enfantine qui dénote avec sa volonté de fer. « Ulgo ! » un crack sonore se produit alors et une misérable créature apparaît. L'elfe est vêtu d'une simple serviette qui entour sa taille. Ses deux grandes oreilles, semblables à celles d'une chauve-souris sont baissées et ses mains sont encore recouvertes de croûte, symbole de la dernière punition reçue. L'odieuse créature couine en s'incline, son gros nez difforme touche le sol terreux du jardin. « Vous m'avez appelé maître ? » Amycus ne peut pas s'empêcher de siffler de mécontentement, il n'aime pas cette créature. Elle le révulse et lui donne la nausée, mais il se contente de ne pas quitter de ses yeux sombres le rapace dans les cieux. « Attrape cette buse, vivante. » il précise et lève son doigt pour montrer l'animal. Ulgo se redresse et tend la main. La magie des elfes est efficace, même Amycus le concède du haut de ses neuf ans. La buse se fige, comme pétrifiée dans le ciel et tombe lourdement avant que l'elfe utilise un sort de lévitation pour l'apporter délicatement dans les mains du garçon qui l'examine. Un sourire satisfait se dessine sur ses lèvres avant que ses yeux se posent sur Ulgo qui semble satisfait. Amycus n'aime pas ça et écrase son pied sur le corps frêle de la créature qui tombe au sol. « Retourne t'occuper du ménage, vermine ! » et Amycus se met à courir vers le manoir, sans le moindre remord. Ce mot n'appartient pas à son vocabulaire, jamais ça sera le cas d'ailleurs. Le jeune fils Carrow rentre et ignore les ordres de son père qui réclame sa présence. Il ira après, il doit trouver sa soeur avant, sa chère Alecto. Amycus monte rapidement les escaliers et entre sans frapper à la porte de chambre de sa soeur. Il croise son visage et constate que le teint de Alecto est toujours de porcelaine, que rien ne se démarque, aucun sentiment. L'un comme l'autre, ils sont un mur de glace, ils sont froids comme le coeur de l'hiver. « J'ai réussi à trouver un oiseau. C'est une buse, un rapace qui chasse ses proies. » annonce le garçon en ouvrant sa main devant sa soeur. L'oiseau en question commence à plier ses serres, à reprendre ses esprits. Amycus laisse échapper une grimace en constatant que le sort disparaît. « Attends Alecto, il faut l'empêcher de voler, sinon il partira. » la petite fille pose ses yeux sur l'animal, un sourire se dessine sur ses lèvres, un sourire de satisfaction. « Je ne veux pas qu'il me quitte ! » lance-t-elle sur un ton autoritaire qui n'est pas sans rappeler celui de leur père respectif. « Ca ne sera pas le cas, je te le promets. » Amycus se dépêche déplier soigneusement les ailes de la buse et d'un geste barbare, presque sauvage, il les brise une à une. Casser les ailes d'un oiseau, lui empêcher de voler alors que c'est un geste naturel pour lui comme pour l'homme de marcher, tant pis. Amycus s'en moque et en rit, l'important c'est le bonheur de sa soeur, le reste, il n'en a que faire. « Voilà, prends là. » Alecto ouvre ses petites mains et prend la buse qui se redresse et l'observe. Elle bat des ailes, elle ne décolle pas et se laisse porter sur le lit d'Alecto qui chercher un nom pour son nouvel animal de compagnie. Amycus ne dit pas mot, il se contente d'être spectateur de sa scène. A chaque fois qu'elle réclame, il fait. Il répond aux moindre de ses caprices et inversement. La buse est prisonnière et Amycus le sait, mais que vaut la vie d'un rapace contre le bonheur d'Alecto ? Absolument rien du tout. Il serre dans sa main les ailes qu'il a brisé d'un geste sec et un sourire apparaît sur son visage. Il n'aurait jamais imaginé tirer autant de satisfaction à priver un oiseau de ses ailes. C'est comme être le soleil, le soleil qui a brûlé les ailes de Icare et l'a tué, c'est comme être un dieu parmi les mortels. Amycus laisse échapper un léger rire cynique avant de quitter la pièce.

❝ consumer par le feu ❞1970 & manoir carrow
La plume disparaît dans le coeur noir de l'encrier avant d'en sortir, noirci comme le coeur du jeune sorcier qui se prépare à écrire un mot. Le parchemin se froisse sous les coups de la plume, sous la vivacité à laquelle chaque mot apparaît. Ils sont élancés, longs et cassants. Amycus exprime sa colère et son amertume envers sa mère, partie à la capitale pour une durée indéterminée. Pourquoi ? Amycus l'ignore. Certainement une requête de son père, mais il s'en moque. Il souhaite qu'elle soit là dans les prochains jours, pour l'accompagner et voir son ascension à l'école ou du moins, à la gare. Après tout, Amycus va faire son entrée à l'école et il ne veut pas être seul. Alecto va lui manquer et cette pensée le consume doucement. Il fait une faute sur un mot et une vilaine rature, encore une, il pourrait en tenir un cahier à force. Le sorcier peste, il passe une main dans ses cheveux et les tire, ils tombent sur ses épaules et sont soigneusement plaqués à l'arrière de son crâne, sombres comme le néant. « Maudit sois-tu ! » s'exclame-t-il en trouant le parchemin. D'un geste vif de sa main, il envoi valser l'encrier contre le mur. L'encre éclabousse le mur ocre et se met à s'écouler doucement, tout doucement, comme du sang qui serpente et se faufile. Amycus fixe la scène dans un silence absolu, comme fasciné par les images qui se dessinent dans sa tête. Si la porte n'avait pas grincé en s'ouvrant, il aurait pu admirer ce spectacle encore longtemps. C'est la silhouette de Ulgo qui apparaît. L'elfe boiteux approche de sa démarche incertaine. « Mon seigneur... ? » couine-t-il en baissant les yeux. La plume encore dans sa main, il la serre et un crack résonne. Elle se brise. La colère monte, l'excitation également. « Je crois bien avoir demandé à ne pas être dérangé... » commence-t-il, les yeux pointés sur l'encre qui s'écoule « Mais c'est votre père le maître qui me... » « SOUS AUCUN PRÉTEXTE ! ». La colère domine Amycus quand il hurle. Il se lève et la chaise tombe sous sa force. Il dévisage la créature et le surplombe de sa hauteur. Oui, Amycus est un dieu, il est Mars le destructeur et à l'image du dieu romain de la guerre, il va abattre sa lance pourfendeuse sur le mortel qui se tient devant lui. Celui-ci lève ses bras frêles pour se protéger et recule, il pourrait utiliser ses pouvoirs sur ce sorcier qui n'en est pas encore un, mais la peur domine toute sa misérable existence. Amycus l'attrape par l'oreille gauche, la créature couine et supplie, mais trop tard. Il ne se contrôle pas, plus du tout. Le garçon le tire vers le foyer qui crépite au fond du petit bureau et sourit à l'idée du brasier qui va apparaître. Un sourire carnassier, inhumain, se dessine sur son visage. Une expression d'horreur qui tranche avec l'innocence de l'enfant. Il porte à merveille ce nom, Carrow ! « Voilà ta punition, sale petite pourriture ! » lance Amycus et posant ses mains sur le visage de Ulgo pour lui maintenir la pointe de son oreille dans le feu. Rapidement, les flammes se mettent à danser sur la chaire brûlée de l'elfe qui va hurler pour manifester sa douleur, mais Amycus s'empresse de lui enfouir le vieux tissu puant qui lui entoure la taille dans la bouche. Il jubile, il ricane en observant la scène et l'odeur ne lui déplaît pas, bien au contraire. Le théâtre d'épouvante dure quelques minutes, de longues minutes avant que la silhouette du patriarche se dessine face à la porte et ordonne au fils de cesser ce qu'il fait. L'elfe chute au sol et rampe en suppliant son maître de le soigner, celui-ci le récompense d'un coup de pied pour l'envoyer plus loin. « Le dîner va refroidir, viens. » lance l'homme avant de disparaître. Amycus acquiesce d'un signe de tête et se dirige vers la sortie, non sans jeter un coup d'oeil à sa proie. C'est une promesse silencieuse qui lui fait, ce n'est que le début d'un long calvaire mon enfant.

❝ nid de vipères ❞1975 & dans les entrailles du château
« Tu ferais mieux d'étudier, les BUSES approchent et cette fois, la force brute ne te servira pas, Carrow. » les paroles de Rosier résonne dans la tête de Amycus, figé dans un fauteuil de cuir noir de la salle commune. Il réfléchit, il cherche, il n'a pas envie d'étudier. Il est de ceux qui effraient les autres, mais il n'a pas de bons résultats pour autant. Sa brutalité et sa nervosité font qu'on le craint et que les professeurs ne cessent de le sermonner. Les retenues ? Il les collectionne comme des trophées, mais à dire vrai, le jeune élève de Serpentard s'en moque parfaitement. Le regard planté sur le mur d'en face, ses pensées vont et viennent. Son père lui a fait parvenir un courrier récemment, un courrier où il parle d'un mage noir qui s'élève et qui pourrait être le salut des nobles sorciers, ceux qui ont le sang pur. Une notion qui n'est pas inconnue aux Carrow, une valeur qu'ils ont toujours défendu. Il ne cesse de penser à ça Amycus et c'est pour ça que les études, il s'en moque et n'en voit pas l'intérêt. Certes, il est talentueux dans certains domaines, notamment les maléfices et les sorts liés à l'élément du feu ainsi que les enchantements informulés, mais son niveau pour les potions ou la théorie en général n'est pas brillant, pas du tout même. Cependant, s'élever aux côtés de son père ne sera pas possible s'il ne réussi pas ses examens. Amycus le sait et il est perturbé. Il se mord la lèvre inférieure avec férocité pour essayer d'assembler les morceaux, comme un puzzle, mais ses tentatives sont interrompues par une silhouette qui lui fait face. Il lève les yeux et observe sa cadette dans son uniforme, elle revient d'un cours de métamorphose. « Plaît-il ? » même si c'est Alecto, même si c'est son double, son miroir en somme, il n'aime pas être interrompu, pas du tout même, mais sa soeur a ce sourire espiègle sur le coin des lèvres, un sourire qui en dit long sur ses intentions. « Les BUSES approchent et tu n'as pas le niveau. Tu ne pourras pas répondre aux attentes de père... » commence-t-elle en prenant un ton faussement dramatique. Amycus fronce les sourcils et ouvre la bouche pour parler, non, Alecto pose un doigt sur ses lèvres pour l'interrompre « Ne crache pas ton venin, pas maintenant grand frère. » alors Amycus s'exécute. Il ravale ses injures et laisse Alecto approcher son visage de son oreille pour susurrer quelques paroles « Demande ou plutôt... Exige l'aide de quelqu'un pour te faire réviser, comme Snape pour les potions par exemple. Ca ne devrait pas être difficile, on t'obéit assez finalement en général... Tu sais être persuasif. » termine la sorcière en haussant les épaules avant de se diriger vers les dortoirs attribués aux jeunes femmes. Les pensées vagabondent d'Amycus reviennent en son sein. Il s'égare et sait qu'il doit réussir pour s'élever comme leur père le souhait. Si Amycus est une force brute, Alecto est la pensée et la médisance. Deux entités qui se marient à merveille et dont l'union est dangereuse. Le jeune homme décide de quitter enfin son fauteuil et s'empare de sa baguette. Snape ne l'intéresse pas, il ne lui inspire pas confiance à vrai dire. Non, Amycus doit chasser, il doit trouver une autre cible, quelqu'un de faible et qui ne refusera pas de lui obéir et de l'aider, comme Alecto l'a suggéré, il suffit d'être persuasif et c'est un atout du sorcier. Il s'élance et s'empresse de quitter le nid de vipères pour commencer la chasse.

❝ la souillure ❞1975 & la chambre du manoir
Démence, folie, force, brutalité, sauvagerie, agressivité, magie noire, vermine, meurtre, sang, éclaboussure, perversité, narcissisme, éloquence, victoire, victime, décès, naissance, aspiration, élévation, chute, cassure, brisure, blessure, joie, perte de contrôle. Démence, folie, force, brutalité, sauvagerie, agressivité, magie noire, vermine, meurtre, sang, éclaboussure, perversité, narcissisme, éloquence, victoire, victime, décès, naissance, aspiration, élévation, chute, cassure, brisure, blessure, joie, perte de contrôle. Démence, folie, force, brutalité, sauvagerie, agressivité, magie noire, vermine, meurtre, sang, éclaboussure, perversité, narcissisme, éloquence, victoire, victime, décès, naissance, aspiration, élévation, chute, cassure, brisure, blessure, joie, perte de contrôle. Démence, folie, force, brutalité, sauvagerie, agressivité, magie noire, vermine, meurtre, sang, éclaboussure, perversité, narcissisme, éloquence, victoire, victime, décès, naissance, aspiration, élévation, chute, cassure, brisure, blessure, joie, perte de contrôle. « Je l'ai... tué... »

❝ ascension ❞197? & à définir
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ perversion ❞197? & à définir
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ la main de dieu ❞197? & à définir
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.