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sujet; Gabriel Nicholson ▲ Evil has its winning ways.

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Gabriel Nicholson
feat Nico Tortorella • Tchapalow & Tumblr

• nom complet ; Gabriel Nicholson.  Terrible litanie d'un homme qui hurle à la mort dans cette cellule, il pleure son angoisse en se laissant tomber contre les murs de sa prison, le corps agité de soubresauts accompagnant les larmes qui coulent sur ses joues. Noires. Toujours noires de cette crasse dans laquelle il se roule depuis des jours entiers. Couverts de ce sang qui lui macule le corps, battu encore et encore, jusqu'à ce qu'enfin il ne sache plus rien répondre que ce qu'on lui demande. Jusqu'à ce que la douleur envahisse la moindre des cellules de son corps lui faisant oublier jusqu'à son nom.


• surnom(s) ; La bête. Un sorcier, certes, mais plus vraiment humain. Rien d'autre qu'un chien à la botte de son maître, un fidèle limier remontant la trace des proies, guidant le Loup jusqu'à la Bergerie. La bête parce qu'il n'est plus vraiment humain, et sa vie ne tenant plus qu'à quelques fils d'une soie arachnéenne le font agir tel le pantin d'une destinée qui ne lui appartient désormais plus.


• naissance ; York, Angleterre. Le 28 février 1975. Un instant de plaisir. Un soupir extasiant. Un râle d'aboutissement. Puis plus rien, plus rien si ce n'est neuf mois d'une gestation pleine d'un plaisir qui s’en-fut lors de l'écoulement des eaux. Les cris reviennent, encrés dans la douleur de l'enfantement. C'était un mercredi mais personne n'est plus pour s'en souvenir.


• ascendance ; Sang-mêlé. La famille est vieille, les descendants nombreux, mais bien moins nombreux sont ceux pouvant se targuer d'avoir la magie au creux de leurs veines. Si peu nombreux qu'aujourd'hui il n'en reste plus qu'un. Vestige perdu d'une famille désolée. Ruines déconstruites d'une guerre meurtrière.


• camp ; Gouvernement. Il est bien loin le temps où les principes gouvernaient sa vie. Perdu dans l'immensité de l'horreur, les principes qu'il avait toujours eu jusqu'ici. Formaté dans la douleur, on a réécrit toute son histoire, toute sa façon d'être, tout ce qu'il devait être. Il ne reste plus rien, plus rien du tout si ce n'est l'idée fixe qu'il doit obéir. Obéir à une seule et unique personne jusqu'à l'idée d'une victoire qu'il aurait jadis vu comme une abomination.


• métier ; Animal de Compagnie.  Fidèle et dressé pour devenir l'outil parfait. Il est un espion infaillible, un objet utilisé à la guise d'un maître terrible. Une taupe envoyée avec sagesse pour glaner les informations si bien cachée au delà des limites imposées.


• réputation ; Pitoyable. Que raconte-t-on déjà à son sujet ? Oh oui que l'on fit tuer toute sa famille devant ses yeux, et qu'au lieu de l'abattre aussi, on lui fit supporter mille sévices. Deux ans. Presque trois à servir de cobaye à des experimages acharnés, et son corps tout entier se retrouve désormais marqué par ce passage entre les mains de bien des bourreaux. Si seulement ils savaient que rien de tout ce la n'est la vérité, et que si les sévices sont bien réels mais qu'ils n'étaient pas les étapes d'un long processus destiné à ce retourné contre ceux qui l'ont libéré de cette prison qu'il considérait comme sa demeure.


• état civil ; Célibataire. Il fut une époque où on le considérait comme attirant, il aimait les femmes et les femmes l'aimaient. Ce temps est désormais révolu. Il n'y a plus de place pour ça. Il n'est pas fait pour ça. Pourtant il suffirait de peu pour ranimer cette flamme qui est sienne, il suffirait d'une parole de son maître pour qu'il cherche à devenir l'amant fidèle ou infidèle. Néanmoins, toute son attention est désormais accaparée par cette bien infâme mission, et tout son temps s'en trouve avalé.


• rang social ; Rebut. Voila la vérité bien crue. Il n'a rien d'un insurgé même si aux yeux du plus grand nombre il est de ces hommes qui se battent au nom d'une vérité et d'une liberté qu'il ne peut accepter. Espion à la solde d'un maître qui se sert de ce qu'il fut dans le passé. Ancien défenseur des libertés qui fut brisé puis manipulé comme une marionnette bien ficelée. Il n'est désormais plus rien de cela, rien d'autre qu'une façade poudrée destinée à tromper l'ennemi. Après tout, ne dit-on pas qu'il faut être proche de ses amis mais encore plus de ses ennemis ?


• particularité(s) ; Agent Double. Et c'est déjà bien suffisant.


• patronus ; Bouc. Cela ne fut pas toujours le cas. Avant, bien avant tout cela son patronus ressemblait davantage à une belette, mais la torture et les sévices changèrent la donne et son patronus disparu. Jugeant qu'il était impossible de le renvoyer chez les insurgés sans qu'un patronus digne de ce nom ne sorte du bout de sa baguette on l’entraîna davantage jusqu'à ce qu'enfin des pensées positives ne lui reviennent à l'esprit et qu'enfin s'échappe le filé évanescent d'un patronus. Seulement il n'y eu plus de place pour le mustélidé qui fut remplacé par un animal bien plus ambivalent à l'image de son propriétaire.


• épouvantard ; Une chambre blanche et vide. La première étape de sa rééducation. La plus dure, celle qui le mit au pied du mur. Seul. Désespérément seul jusqu'à ce qu'enfin il rende les armes. La solitude et la couleur morne de ses murs le hantent encore.

• risèd ; Aucun désir propre. Il a perdu la volonté de voir sa propre volonté être réalisée. Il ne voit désormais plus qu'au travers des yeux de son maître, faisant passer sa volonté avant la sienne par cette simple question : « est ce qu'il apprécierait ? », et dès lors, il n'arrive plus à voir par-delà cette vision étriquée, agissant toujours de façon à faire ce que l'on attend de lui.


• animaux ; Aucun. Les animaux de compagnie n'ont pas besoin d'autre compagnie que celle de leur possesseur.


• baguette ; Sapin. Souple. Crin de Licorne. 27Centimètres. Sa seconde baguette, la première reffusant désormais de lui obéir, lui qui après tant d'années a changé du tout au tout. Il lui fallait une nouvelle, une baguette qui irait de paire avec ce formatage imposé.


• miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) voir explications.

• REBUT •
Inventé

The stars have faded away

► Avis sur la situation actuelle : S'il avait encore été lui-même, il aurait craché à la face du monde. Il aurait grondé, grogné, et se serait battu puis encore débattu contre le système déplorant ce qu'est devenu son pays. Seulement tout cela n'est qu'un vestige du passé. Oublié. Enterré. Détruit. Broyé. Désormais il ne voit plus le mal qui rampe dans les demeures naguère fermées aux idéaux des mages noirs. Il ne les voit plus. Il ne sent plus la haine monter en lui, pas plus qu'il ne ressent les effets du temps qui passe emportant avec lui les poussières d'un passé heureux. Il ne fait qu'observer, se posant comme une de ces statues antiques, témoin du passé, du présent, et qui toujours seront là dans l'avenir. Fin observateur, miroir sans teint pour celui qui saurait regarder au travers, il n'est désormais plus qu'un objet fidèle aux désirs d'un maître. Plus aucune convictions ne l'habitent si ce ne sont celle d'un maître aussi terrible qu'apprécié. Il ne ressent pas la tyrannie extérieure tant sa propre âme est sujette à son propre esclavagisme, et dans une soumission la plus totale il se laisse entraîner sur les chemins de la traîtrise de ceux qui furent ses amis. La fin. C'est la fin. La fin de tout, tombant dans le poison mortel que l'on distille savamment dans ses veines le faisant davantage sombrer dans les méandres infernaux des pensées qui ne lui sont plus propres. Gabriel n'existe plus. Gabriel n'existera certainement jamais plus.

► Infos en vrac :

Son caractère est fluctuant, presque de l'ordre de la double personnalité, et cela fait de lui un parfait caméléon qui peut s'adapter à toutes les situations tant que cela ne déroge pas aux ordres de son maître. Il coupe ses cheveux lui-même, et le résultat est parfois des plus hasardeux. Il sait jouer du violon, c'est une des rares choses qu'il sait encore faire malgré sa rééducation. Il fume, beaucoup. Comme un pompier même. Ça aussi la rééducation n'a pas su le lui enlever.   Il n'est pas maladroit, loin de là, mais il apparaît comme l'étant en compagnie de toute autre personne que son maître. Il a passé sept années à Poudlard dans la maison des Gryffondor. Toute sa famille est morte durant la guerre, et il ne lui reste désormais que de la famille en dehors des rangs sorciers. Une famille qui se fiche bien de sa situation. Il a toujours été doué pour les sortilèges, mais malheureusement très décourageant en ce qui concernait la fabrication de potions. Il croyait aux pouvoirs de l'élu, il tomba bien bas quand celui-ci perdit la bataille, si ce n'est la guerre contre les mangemorts. Il a subit deux années de tortures aussi physiques que psychologiques. Son corps en barré d'une multitude de cicatrices. Il n'avait jamais tué personne avant de devenir un sujet d'expérience puis un rebut. Parfois, il a besoin d'une nouvelle séance « d’électrochocs », ses anciennes habitudes semblant remonter à la surface. Une suite de mots établis par son maître pourrait le pousser au suicide si elle venait à être prononcé. Plutôt mourir que de dévoiler la vérité.  Le nom de l'expérience qui a été mené sur lui et quelques autres prisonniers se nommaient "le projet bête de Gévaudan", il en est le seul survivant. Son corps est aussi couvert de quelques tatouages, mais la plupart n'ont désormais plus de sens.


Nothing compares to you

• pseudo & âge ; Tchapalow ou Maumauu • comment as-tu trouvé le forum ? J'y suis déjà! • ton avis, tes suggestions ; Bah écoute je voudrais un mec qui m'apporte un café à chaque fois que je me mets à rp. Il faudrait que le forum le fournisse! • connexion ; Un peu tous les jours!• quelque chose à ajouter ? Pas vraiment!

• coup de main pour le bottin ;

2. Si ton personnage est un inventé ;
NICO TORTORELLA ; gabriel nicholson
Code:
▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u93">▋</a> <pris>NICO TORTORELLA;</pris> gabriel nicholson


Dernière édition par Gabriel Nicholson le Mer 24 Sep 2014 - 14:58, édité 6 fois
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Here comes the hurricane


――――――-―• Life •――――-―――
Le cœur se brisait face à ce corps qui s'effondre. Lentement. Beaucoup trop lentement. Laissant le temps au témoin éteint de goûter chaque micro-secondes saccadées de cette mort prématurée. Lui laissant le temps de graver dans sa mémoire ce visage surpris par la mort, et d'un cri sorti d'outre-tombe, plein de ses souvenirs qu'il jugera à jamais insuffisant, il venait peupler le vide qui s'était fait autour d'eux. Elle venait de mourir. Tombée sur le champ des honneurs qu'elle n'aurait pas du connaître, tombée sur les sentiers d'une guerre qu'il aurait souhaité lui éviter. Tout s’effondrait alors pour ne laisser qu'un trou béant à la place de son cœur. Il n'y avait plus rien. Plus rien en lui si ce n'était cet immense chagrin qui accompagnait la terrible impression d'avoir tout perdu à jamais.
Père. Mère. Et désormais sœur. Il était celui qui avait rédigé chacun de leurs arrêts de mort par ce médiocre courage qui avait finit par le fuir. La témérité n'était bonne que pour les vainqueurs, les autres n'avaient plus que pour choix celui de la mort ou celui des regrets. On ne lui laissait pas le droit à mourir, le jetant presque sans ambages dans la première cellule d'Azkaban qui se trouvait sur son chemin. Enfermé avec d'autres qui, comme lui, avait tout perdu dans cette guerre et qui étaient rongés par un insondable chagrin, vivant dans le doute des jours qui passaient pour mieux retirer à tous un peu plus de cette soif de liberté qui se laissait gangrenées par les chaînes qui les retenaient.
Seulement, dans l'esprit brisé du jeune homme ne résidait qu'une idée fixe. Comme un besoin fragile mais constant de savoir ce qu'il était advenu de sa sœur. Comme un espoir fugace d'avoir rêvé cette mort qui l'avait prise. Comme un espoir futile de la voir vivre encore une vie paisible, peut être même heureuse, loin de la guerre. Une folie. Juste une de plus qui animait ses journées alors qu'il racontait à tous ce qu'elle pouvait vivre, comme une image vaine d'un paradis perdu alors que les yeux roulaient dans leurs orbites et que les murmures apitoyés le donnait pour fou. Mais ils le laissaient tous s'enfermer un peu plus dans sa folie, ils se disaient tous, non sans raison, qu'il valait mieux pour lui vivre dans le déni plutôt dans la réalité. Ils se disaient tous que si ils en avaient eu le pouvoir, il en aurait fait de même.
Ils ne se rendaient juste pas compte de la culpabilité infinie qui avait plongé le jeune homme dans ce cercle vicieux qui, pourtant, lui donnait l'air si vertueux. Ils ne se rendaient pas compte que c'était par sa faute que tout cela était arrivé. Ils ignoraient tous que c'était en se riant d'un danger imminent, en prenant part à cette guerre, qu'il avait entraîné tous les êtres qui lui étaient chers sur des sentiers bien mortels. Personne ne pouvait imaginer que tout ce que Gabriel souhaité, c'était oublier ses propres erreurs. Personne ne pouvait penser que cette fuite en arrière le mettrait sur la route d'un infâme destin. Pis encore que celui qu'il avait jusqu'alors embrassé.


――――――-―• Death •――――-―――
Ils venaient. Toujours en groupe, toujours habillés de ces robes de sorciers immaculés qui n'étaient jamais portés que par les médicomages ou les experimages. Ils arrivaient l'air sérieux, se distinguant avec élégance de tous les prisonniers qui se massaient dans des cellules minuscules. Ils arrivaient les mains vides, pas même armé d'une baguette magique, presque trop certain du pouvoir qu'ils avaient, mais ils repartaient toujours sain et sauf. Ils repartaient toujours en entraînant dans leurs sillages quelques prisonniers. Ceux-là, personne ne les reverrait plus, ils étaient déjà considérés comme mort. Des morts en sursis qui subiraient les pires sévices en devenant de simples souris de laboratoires, pas plus humain qu'un cafard que l'on menaçait à force d'une semelle de chaussure.
Puis un jour ils ne sont pas venus, à leur place était arrivé un homme sombre. La démarche altière, le port royal, et une aura des plus macabre qui l'enveloppait, lui et cette mine fatiguée, maladive, qu'il promenait sur cette carcasse à l'allure faiblarde. Il s’arrêtait devant chaque cellule, observait dans un silence de mort chacun des occupants et faisait griffonner quelques choses au geôlier qui le suivait comme son ombre. Il s’arrêta devant la porte blindée sur laquelle étaient peint en rouge le nombre soixante-dix-sept, il fit ouvrir la petite trappe pour en observer l'intérieur.
Les réactions furent mitigées, mais la peur était la grande dominante, et comme des lapins piégés dans leur clapier, ils cherchaient à fuir le regard scrutateur qui les jugeait. Seulement, dans la pièce résolument close, il y en était un qui ne bougeait pas. Il avait cet air perdu collé au visage, et ne semblait se pas se rendre compte de ce qui était en train de se jouer. Il était perdu, perdu dans ses pensées et dans les souvenirs qu'il avait réussit à sauvegarder. Il était perdu dans un passé révolu et qui le retenait prisonnier d'une toile arachnéenne dont il ne pouvait se défaire sans se voir arracher à sa douce rêverie. Ça lui été impossible. Inconcevable.
Et c'est cela que cet autre remarqua, ce fut ce détachement particulier qu'il entretenait avec la réalité qui fit de lui un choix parmi tant d'autre. Un choix qui le propulsa dans une cellule. Un choix qui amorça le douloureux compte-à-rebours, mettant en place de terribles rouages qui s’enchaînaient les uns après les autres jusqu'à ce qu'il se fasse écraser. Anéanti par un choix, pas des souvenirs. Broyé par un système qu'il avait combattu et qui finalement l'avait avalé.

――――――-―• Resurrection •――――-―――
La torture a été terrible. Si terrible qu'elle le marque de tout ce corps rompu à la violence. Son esprit est brisé, effacé, formaté, animalisé au possible, valant à peine plus qu'un chien. S'il n'est pas un infâme bâtard du destin, il est désormais un pantin aux ficelles tirées d'une main de maître, et face à lui se trouve l'un des fantômes de son passé. Elle est belle. Belle et aussi jeune que sa sœur pouvait l'être. Elle a les joues rosies par la peur, et elle tremble comme une feuille balayée par le vent.  « Voici Judith. Tue-la maintenant », le prénom fait écho dans son esprit, il ne trésaille pourtant pas, et pas un seul doute ne vient s'immiscer dans ses gestes alors qu'il se saisit du couteau qui se trouvait sur la tablette. La lame luit et reluit sous les lampes dont l’éclat vacille sous la tension du moment.
Entre ses mains, le couteau ne tremble pas. Entre ses mains le couteau se fait davantage menaçant alors qu'il fait un pas. Un simple pas vers cette petite fille qui se tord entre les bras des deux gardes qui la maintiennent. Elle pleure consciente de ce qu'il va lui arriver, elle se fait mal à force de tirer sur ses liens de chairs, mais l’étreinte ne rompt pas. Et bientôt, alors qu'il retient sa respiration, la lame viendra caresser sa chair d'une longue entaille qui l'égorge. Le cri meurt au fond de sa gorge, remplacée par des gargarismes sanguins alors que se diverse dans un flot continu l'élixir d'une vie si jeune. Trop jeune pour avoir à subir la violence de l’événement.
Immobile, il la fixe. Sans un geste à peine plus perceptible que sa déglutition devenue difficile au sein d'une gorge trop sèche. Il observe autant qu'il est observé la lueur de vie qui s'éteint dans la surprise de cette jeune fille qui ne peut comprendre l'acte fou qui vient d'être commis. Le corps s'effondre à ses pieds, et les cheveux châtains de cette pauvre victime si semblable, jusqu'au nom, à sa sœur viennent caresser le bout de ses pieds nus. Il marche dans le sang qu'il à lui même fait couler, et sous l'ordre de son maître pose le couteau près de ce corps désormais sans vie. Il regarde le corps être pris, chargé sans une once de respect, laissant la marque de son crime sur son chemin comme des pierres rouges qu'il faudrait suivre pour exiger le pardon. On lui arrache ce piètre souvenir. On le défait de ses propres méfaits.
« Chien, je te redonne aujourd’hui nom et baguette. Tu t’appelles Gabriel et voici l’outil de leur destruction. Répète. » , impassible, d'une façon bien monotone, il reprend mots pour mots ce que son maître lui ordonne répéter. Il reprend alors forme humaine, et retrouvant son nom puis son statut de sorcier. Il se redresse reprenant un peu plus de cette confiance qu'on lui avait retiré, conscient que les temps ont changé, qu'il n'est plus le prisonnier qu'il était, pas plus conscient des convictions qu'il eu un jour, son esprit n'est plus qu'une réécriture quasi parfaite de ce qu'on attend de lui. Il a peut être un nom, une baguette, mais il n'en reste pas moins une créature fabriquée de toute pièce, destinée à trahir ceux qui furent ses alliés d'un autre temps.


Dernière édition par Gabriel Nicholson le Mer 24 Sep 2014 - 14:54, édité 4 fois
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Qué fiche vide èé Tu dis même pas que t'es Roman wth Mais moi je le sais hehe Trop contente de te revoir ici chou
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LE DCC DE ROROOOOO ! youpi
Hâte d'en lire plus sur ce nouveau personnage qui promet à donf !
Rebienvenue chou ! I love you
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j'allais dire bienvenue mais j'ai compris que c'était un re gaah donc rebienvenue jule
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BIENVENUE iiih bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas potte
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Ma créature ! Bienvenue Gabriel, nous allons faire de grande chose ensemble.
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UN DC :russe: cute Rebienvenuuuuue hinhin potte palpite
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Rebienvenue ! iiih
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Il te vas bien Nico rougit I love you
Rebienvenue et bon courage pour ta fiche. palpite
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