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sujet; willow » i'm a wanderess. |
| Willow Eleonora Burwick feat nicola peltz • crédit lolapeltz@tumblr | ❝ We're running in circles again ❞insurgents ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; ses parents l'ont nommée willow. c'est une tradition, dans la famille de sa mère, d'avoir un nom de plante. son nom de famille, burwick, est un nom purement moldu. ses amis la surnomment will, mais chez les insurgés, son nom de code est belladonna, la reine des poisons. ☇ naissance ; elle est née à manchester, le vingt-sept décembre 1979. ☇ ascendance; née-moldue, sang-de-bourbe, dites-le comme vous voulez, mais ça ne changera pas le fait que ses parents sont dépourvus de pouvoirs magiques, tout autant que sa soeur aînée. ☇ métier ; fut un temps elle se voyait posséder sa propre boutique de prêt-à-porter mêlant les styles sorciers et moldus. quand tout s'est effondré, elle s'est cachée un temps chez ses parents avant de se rendre compte du risque qu'elle leur faisait prendre, et est retournée dans le londres sorcier seulement pour être capturée et se faire vendre comme rebut. libérée à halloween 2001, elle est maintenant un peu trop occupée à fuir le gouvernement pour y penser. ☇ camp ; malgré son tempérament, la petite blonde est dans la rébellion jusqu'au cou. en même temps, c'est ça ou se faire tuer. ☇ réputation ; on la dit trop douce, trop gentille, vaguement égoïste aussi. on chuchote qu'elle ne ferait pas de mal à une mouche et qu'elle n'a rejoint la cause des insurgés que dans l'espoir de voir ses parents emmenés ailleurs, en sécurité. elle se contente de hausser les épaules. ce n'est pas comme si elle pouvait rejoindre la société comme elle le veut. ☇ état civil ; célibataire. vous croyez vraiment qu'elle a le temps pour ça ? ☇ rang social ; insurgée, elle est une pacifiste qui aurait pu quitter l'angleterre en 2002, si ses parents n'avaient pas refusé de quitter manchester. elle reste pour eux. ☇ baguette ; sa baguette originale, en bois de chêne blanc et crin de licorne, longue de trente-deux centimètres pile et plutôt flexible, a été détruite quand on l'a capturée. elle en a récupéré une il y a peu, en bois de pin et de vingt-huit centimètres et demi de long. elle n'en connaît pas le coeur. ☇ épouvantard ; ses parents, tous les deux morts par sa faute. ☇ risèd ; une petite boutique de prêt-à-porter sorcier et moldu, pleine de clients. ☇ patronus ; un boxer. ☇ particularités ; aucune. ☇ animaux ; elle n'en a pas. elle a déjà bien du mal à s'occuper d'elle-même, elle n'a pas le temps de se soucier d'un animal de compagnie. ☇ miroir ; en forme de losange, il prend une belle teinte orange soutenu entre ses mains.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; quel avis peut-elle bien avoir ? elle est fatiguée de courir, fatiguée de devoir se cacher, épuisée à l'idée même de devoir se battre. elle veut juste rentrer chez elle, aller voir ses parents, retrouver sa soeur aînée, qui a eu la bonne idée de partir aux états-unis quand la situation a commencé à se gâter dans le monde sorcier. willow a un neveu qu'elle n'a jamais vu, qui va bientôt avoir trois ans, et c'est une des choses qui lui fendent le coeur. mais elle n'a pas le choix. née-moldue abandonnée par la société qui l'avait pourtant accueillie, rebut échappée des griffes de son maître, elle n'a pas d'autre choix que se battre. si elle s'arrête, c'est la mort assurée, et elle le sait.
☇ Infos complémentaires ; c'est une excellente potionniste. pas autant que snape, mais elle a toujours été douée dans cette matière. • elle est constamment en train de jouer avec un médaillon en forme de rose. un cadeau de sa grande soeur avant qu'elle ne s'envole pour les états-unis. • il est rare qu'elle perde son calme. dotée d'une zénitude à toute épreuve, certains qualifient ça comme de l'indifférence. en attendant, quand il s'agit de faire quelque chose qui demande un grand sang-froid, c'est à elle qu'on pense. • parfait complément de son calme, willow est extrêmement rancunière. il est difficile de la froisser, mais une fois que c'est fait, elle se vengera. ça prendra peut-être des années, mais elle le fera. elle n'oublie jamais. • elle s'est fait tatouer, il y a quelques années. c'était l'été de ses seize ans, pour fêter ses buses. tout allait encore à peu près bien. c'est une rose des vents, en haut de son dos ; la pointe indiquant le nord remonte sur sa nuque. • on murmure qu'elle chercherait à envoyer ses parents ailleurs, que la seule raison pour elle de faire partie des insurgés, c'est celle-ci. elle se contente de hausser les épaules quand on lui demande. • elle s'est déchiré les cordes vocales une dizaine d'années auparavant. depuis, elle a la voix un peu trop rauque pour une demoiselle, chose qui l'agaçait tout particulièrement quand elle était adolescente. • elle est atteinte du trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité. on le lui a diagnostiqué quand elle avait cinq ans. quand ses pouvoirs se sont révélés, ses parents ont cru que la TDAH allait disparaître, que c'était parce qu'elle était magique qu'elle était une telle pile électrique, mais non. elle est sous traitement depuis, sous Ritalin plus précisément, qu'elle arrive à se procurer en falsifiant des ordonnances moldues par magie. elle cherche une potion de substitution, cependant. • d'une loyauté sans précédent, elle donnerait sa vie pour les personnes qu'elle considère comme faisant partie de sa famille. • par contre, elle a tendance à se mettre des oeillères. quand elle fait confiance, elle fait confiance pleinement, et elle a tendance à nier qu'une personne pourrait être un traître. et ce même si ça crève les yeux.. • elle ne se ronge qu'un seul ongle, bizarrement. c'est l'auriculaire gauche. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi phaenomen. ou camille. J'ai 21 ans, je viens de bretagne et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Un dernier mot ? vous êtes beaux
Dernière édition par Willow Burwick le Lun 11 Avr 2016 - 22:51, édité 9 fois |
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| don't belong to no city i'm the violence in the pouring rain ❝ sooner or later, you have to jump ❞1991 to 1995, Hogwarts « Je veux pas y aller... J'veux rester à la maison. » La voix de Willow est tremblante à la veille de sa première rentrée à Poudlard. Elle est terrorisée à l'idée de se retrouver dans un endroit inconnu pendant des semaines, sans possibilité de voir ses parents et sa grande soeur au moins une fois. Elle n'a pas trop le choix, pourtant. A onze ans, bientôt douze, elle est parfaitement consciente que Poudlard est sa seule chance d'être une fille comme les autres, parce que les autres sont comme elle. Découvrir qu'elle était magique quelques années plus tôt a été suffisant pour agrandir le gouffre entre elle et les autres enfants, déjà bien entamé par son hyperactivité. Elle est bizarre, on chuchote dans son dos, si tu t'approches trop d'elle tes parents t'abandonneront. Ses parents à elle n'ont jamais menacé de l'abandonner. Au contraire, ils ont tout mis en oeuvre pour la faire se sentir acceptée au sein du foyer familial, pour qu'elle se sente comme les autres malgré les piques envieuses de Zinnia, mais les étincelles qui jaillissent parfois au bout de ses doigts sont bien un signe qu'elle ne sera jamais comme eux. « Ne t'inquiète pas, ma chérie. Ca va aller. Tu vas te faire plein de nouveaux copains, tu le sais, ça ? » Les paroles pleines de bon sens de son père ne sont pas assez pour la rassurer, mais le lendemain elle se rend quand même à King's Cross avec eux, puis sur le quai neuf trois-quarts, accompagnée par une maman sorcière qui a l'air adorable, avec ses yeux bleus, ses fossettes dans les joues et ses cheveux noirs. Le trajet en train est long, incroyablement long, mais au moins lui permet-il de faire la connaissance d'autres élèves qui vont entrer en première année. Fay Dunbar est plutôt gentille, quoique très pipelette, et Megan Jones l'aide à calmer ses nerfs mis à mal par le long trajet. L'attente en vaut la peine, cependant, une fois qu'elle descend du Poudlard Express et que ses yeux se posent sur le château. Il est gigantesque, et vaguement menaçant, mais Willow ouvre grand les yeux et sa bouche s'ouvre de surprise. Entre le château, la traversée du lac en barque et l'homme gigantesque qui les a accueillis, elle ne sait plus où donner de la tête. La femme qui les retrouve en haut des grands escaliers de marbre a l'air sévère, et la petite blonde se recroqueville instinctivement. Elle a vu cet air sur le visage de bon nombre de ses professeurs, déjà, tous déçus par ses résultats scolaires, par son incapacité à tenir en place, et son coeur rate un battement. Tout se passe très vite ensuite. La Grande Salle est tout simplement gigantesque, les autres élèves bruyants, et le chapeau qui les place dans les Maisons, vraiment trop bizarre. Il l'envoie à Poufsouffle, où les élèves ont des cravates jaunes et noires, et Megan y est envoyée ensuite, et le banquet est délicieux, et elle ne sait plus où donner de la tête. Quand elle s'allonge dans son lit à baldaquin le soir venu, elle est tellement épuisée que sa famille n'a pas le temps de lui manquer. Les années passent vite après ça. Elle se rend compte que la vie au château lui plaît bien, que les cours sont intéressants malgré la terreur que Snape fait régner. Elle se découvre vite une passion pour le Quidditch, même si elle n'osera jamais se présenter aux sélections, et malgré les trucs bizarres qui se passent dans l'école, elle s'y sent bien. Elle a enfin l'impression d'être à sa place. Bien vite, les vacances de Noël sont les seules pour lesquelles elle rentre chez ses parents en dehors des vacances d'été, et elle grandit, s'affirme de plus en plus. La cinquième année arrive vite, et si elle ne comprend pas trop l'histoire autour de Potter, qu'elle a toujours trouvé plutôt gentil (quoiqu'un peu étrange parfois), elle s'en désintéresse bien vite. Au moins jusqu'au troisième cours donné par Ombrage, qu'elle qualifie bien vite de vaste blague. Si elle ne rejoint pas l'A.D., elle demande conseil à d'autres entre deux cours, et à la fin de cette année, elle repart avec toutes ses BUSEs nécessaires pour continuer dans sa voie, celle de médicomage. Ca aurait pu être une bonne année, si seulement Voldemort était resté six pieds sous terre. ❝ snuffed out lights ❞2001, england Son épaule brûle, et le maigre rayon de soleil qui passe entre les rideaux tirés n'est pas suffisant pour éclairer complètement la pièce. Elle a la tête lourde, la bouche pâteuse, et elle est tellement désorientée qu'elle se demande si ce n'est pas mieux de juste se rendormir. Elle n'a pas vraiment envie de se souvenir d'où elle est, mais un seul coup d'oeil vers la porte lui suffit. Elle est ouverte, la haute silhouette de Petar dans l'encadrement, et c'est assez pour qu'elle se redresse en sursaut, le coeur battant à tout rompre, en dépit de la migraine qui lui vrille les tempes et fait monter la nausée. Elle garde son (maigre) dîner dans son estomac, cependant, et recule instinctivement sur son grabat. « Qu'est-ce que vous foutez là ? » Sa voix est rauque, plus faible qu'elle n'apprécie. Elle sait que sa vulgarité lui vaudra un Doloris ou deux, mais honnêtement, elle n'en a pas grand chose à faire. Ce ne sera pas la première fois, ni la dernière. Ca fait, quoi... un an et demi maintenant qu'elle a été attrapée ? Fuir Manchester pour mettre ses parents à l'abri n'a fait que la lancer droit dans la gueule du loup. Cinq semaines à peine après être retournée dans le Londres magique et elle était capturée par la Brigade de Police Magique, pour être vendue aux enchères comme Rebut. Parfois, elle se demande si rester à Azkaban n'aurait pas été une meilleure alternative. Elle n'a aucun doute qu'elle aurait fini par mourir en prison, mais peut-être est-ce toujours mieux que se faire torturer à longueur de journée par un sang-pur à l'équilibre mental douteux. Ca dure sept mois. Sept mois de maltraitances déguisées en punitions qui laissent plus de cicatrices qu'elle ne croit. Si son corps gardera les marques de flagellation, de nombreux maléfices et sortilèges et des parties d'Echecs Géants auxquelles il la fait participer, elle fera des cauchemars pendant encore des années, à se réveiller en sursaut en plein milieu de la nuit, un hurlement sur les lèvres et la peur de le voir dans l'encadrement de sa porte dans le coeur. Elle ne s'arrêtera jamais de le défier tout le temps qu'elle sera son Rebut, cependant, les sourcils froncés, les bras croisés et le ton insolent, mais elle en gardera les marques. Et elle ne sait pas si elle doit le haïr de tout son coeur ou essayer de se radoucir. La main qu'il tend vers elle peut aussi bien la frapper que calmer ses douleurs, et elle ne sait jamais à quoi s'attendre chaque matin. C'est troublant, au mieux, terrifiant au pire. Elle n'aime pas ne pas savoir à quoi s'attendre, mais pour le coup, elle ne peut que subir. Alors elle se contente de l'observer d'un air méfiant, d'écouter quand il se sent un peu trop bavard, et de se laisser faire quand il se montre un peu plus... peut-être pas gentil. Equilibré, peut-être. Certains événements du trente-et-un octobre 2001 restent flous, cependant. Elle se souvient du labyrinthe, de la chasse à l'homme qui a eu lieu entre ses murs, des gloussements aigus d'une sang-pur quelque part dans le public, juste avant que ça commence. Elle se souvient, aussi, de la sensation désagréable du sang qui coule dans son dos en collant son pauvre t-shirt à sa peau et qui lui chatouille le nez. Mais surtout, elle se souvient de la douleur, omniprésente, qui a atteint son paroxysme au moment où elle passait dans un piège quelconque, une douleur abominable, assez forte pour lui arracher un cri strident et pour la faire vomir tripes et boyaux dans un coin. Tout est flou ensuite. Elle se souvient vaguement de s'être demandé pourquoi c'était son épaule gauche, là où le tatouage qui la reliait à Petar avait été dessiné, qui lui faisait aussi mal. Elle croit s'être relevée au bout d'un moment pour boitiller ailleurs, une main sur un mur, l'autre pressée contre son estomac rebelle. Willow a, par contre, le vif souvenir d'une main qui lui tapote la jour, comme si une personne voulait la réveiller, et d'avoir été installée sur une épaule solide pour être transportée ailleurs. Trente-trois heures plus tard, elle se réveille ailleurs, l'épaule tellement douloureuse qu'elle en est engourdie et les larmes au bord des yeux. Elle ne pleure pas, cependant. Elle se contente d'écouter les explications qu'on lui donne ( les insurgés ont réussi à s'infiltrer, on t'a tirée de là, Weasley pourra t'en dire plus, c'est lui qui t'a récupérée) et de se recoucher encore un peu. Elle peut apercevoir son reflet dans un miroir proche, les cheveux sales et emmêlés et un pansement sur le front, les yeux éteints et les bras maigres. Elle ne sait pas encore si elle doit leur être reconnaissante. ❝ tomorrow means misery ❞today, england « Burwick ! Ramène-toi, on a quelque chose pour toi ! » Willow lève à peine les yeux de son chaudron dans lequel glougloute joyeusement une fournée de philtre de la trompette des anges pour la prochaine mission. Ses talents de potionniste sont appréciés au sein des insurgés, elle le sait. Elle aurait préféré ne jamais avoir à faire de poisons aussi vicieux, cependant. « J'ai pas le temps. J'ai un poison à terminer, je te rappelle, et c'est très... très délicat. Si je m'éloigne trop longtemps, le chaudron risque d'exploser, et cet endroit avec. » Elle fait un petit geste de la main au jeune homme qui vient de la déranger. « On verra ça quand j'aurai terminé. » Et elle occulte totalement la moindre présence humaine alors qu'elle ajoute, goutte à goutte, de l'extrait de Tentacula vénéneuse à son chaudron. La mixture se met à siffler et passe du bleu roi à l'améthyste soutenue. Bien. Ca se déroule comme prévu. Une heure et demi plus tard, elle verse le poison rose bonbon dans des petits flacons de cristal, qu'elle place ensuite dans une sacoche de potionniste. Il faudra qu'elle lance un chaudron de potion de régénération sanguine, aussi. Le stock est dangereusement bas. Avec un soupir, elle passe la sacoche sur son épaule et sort de son laboratoire improvisé. Sa vie d'insurgée avait si bien commencé, pourtant. Une fois à peu près remise, elle avait décidé de rejoindre le groupe des « Pacifiques », comme on les appelait. Se battre n'a jamais été son fort, et, de toute façon, elle n'a même pas de baguette. La sienne, sa jolie baguette de chêne blanc si loyale, a été détruite le jour de sa capture. Dire qu'elle lui manque est un euphémisme. Elle se contente d'emprunter celle des autres quand elle a quelque chose à faire, mais ça ne fonctionne jamais parfaitement. Heureusement qu'elle n'a pas besoin d'une baguette pour fabriquer des potions. Sinon, elle se serait vraiment sentie inutile... Comme le jour où son campement a été attaqué, d'ailleurs. Sans baguette, elle n'a pu que se planquer pendant que les autres se faisaient décimer. Elle grogne à ce souvenir, secoue la tête pour revenir à l'instant présent et file livrer ses poisons. « Bon, je suis toute à toi ! » annonce-t-elle finalement à son importun du jour, en se laissant tomber dans un fauteuil face à lui. Elle se masse l'épaule gauche nerveusement, sourcils froncés. Et se retrouve avec quatre baguettes magiques sous le nez. « On les a récupérées pendant la dernière mission. Je sais que t'as pas de baguette depuis un moment, donc j'ai pensé à toi. » Willow fronce les sourcils, secoue la tête avec un soupir mais fait son choix. Elle oublie immédiatement l'une d'entre elles qui lui lance des frissons désagréable dans le dos, et une autre beaucoup trop longue pour elle. Elle jette finalement son dévolu sur la baguette en pin, un peu plus courte que sa baguette de chêne blanc. Le coeur reste un mystère, mais au moins elle fonctionne correctement. Pas parfaitement, loin de là, mais correctement. Elle ne se rebelle pas comme la troisième qu'elle a essayée. « Hm. Ca ira, je suppose. » Avec un soupir, elle glisse la baguette dans la ceinture de son jean, salue le garçon d'un signe de la main et reprend le chemin de son laboratoire de potions. C'est loin d'être la vie dont elle avait rêvée. Ses parents lui manquent, sa soeur aussi, et elle a envie de faire la connaissance de ce petit neveu de trois ans qu'elle n'a jamais vu. Elle est obligée de se cacher, d'utiliser une baguette volée qui ne sera jamais la sienne, et la plaie sur son épaule ne cesse jamais de la tourmenter sans jamais cicatriser complètement. Sa vie, et bon nombre d'autres, est partie en cacahuète le jour où Voldemort a décidé qu'il n'affronterait pas Harry Potter à Poudlard, et rien que ça lui donne envie d'aller lui péter le nez... S'il en avait un, du moins. Mais Willow se contente de soupirer, de lancer un Evanesco sur son chaudron, suivi d'un Recurvite et d'un Aguamenti, avant de rallumer le feu en dessous et de se lancer dans une potion de régénération sanguine. Elle n'a plus qu'à attendre et à faire ses potions entre temps. Elle est douée pour attendre.
Dernière édition par Willow Burwick le Lun 11 Avr 2016 - 22:49, édité 15 fois |
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WIZARD • always the first casuality Ariane Moriarty | LE PERSO j'adore l'avatar et du peu que j'ai lu, c'est une insurgée qui promet (j'ai kiffé les noms des plantes dans la famille ). bienvenuuue sur exci petit eucalyptus, bon courage pour terminer ta fiche |
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| MERCI MA BELLE oué, j'ai un peu trop lu de fanfics le hobbit dernièrement donc voilà, toutes les filles auront des noms de plante (en attendant sa grande soeur s'appelle Zinnia. à côté, Willow, ça passe tout seul et puis c'est le nom d'un perso génial de Buffy donc elle est contente ) j'espère que je te décevrai pas en tout cas |
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HERO • we saved the world Ronald Weasley ‹ inscription : 22/02/2016
‹ messages : 615
‹ crédits : cristalline et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : salmon
‹ âge : vingt-quatre ans.
‹ occupation : C'est la grosse question que se pose Ronald en ce moment. Il n'aspire plus à devenir Auror, être autant de temps en guerre lui a passé l'envie de partir à la chasse aux mages noirs et il ne veut pas non plus avoir de contact avec les autres êtres humains alors il ne sait pas. Il aide Charlie avec ses dragons de temps en temps et ça ne lui déplaît pas. Peut-être qu'il va finir par se lancer dans des études de magizoologie ?
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1991 et juin 1998.
‹ baguette : Bois de saule, trente-cinq centimètres et contient un crin de licorne. Cette baguette le suit depuis qu'il a détruit celle de son frère Charlie en deuxième année.
‹ gallions (ʛ) : 4036
‹ réputation : Difficile de passer à côté de la famille Weasley tout de même. Connue pour l'immense fratrie qui la compose, il est difficile de passer à côté d'eux. Famille emblématique des insurgés, ils ont tous presque reçu l'Ordre de Merlin et une jolie somme pour les services rendus à la société sorcière. On sourit beaucoup plus à Ron depuis la fin de la guerre et étrangement, il déteste cette célébrité. Lui qui convoitait tant celle de Harry quand ils étaient à Poudlard, il a fini par comprendre pourquoi son meilleur ami la fuit.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : il a retapé le Terrier alors en attendant c'est là-bas qu'il est.
‹ patronus : un jack russel terrier
‹ épouvantard : Celle-ci ne changera pas, pour rien au monde. Ronald peut faire face à n'importe quelle horreur, mais si vous le mettez devant une araignée... vous pouvez dire adieu au Gryffondor qui sommeille en lui.
‹ risèd : Il se revoit à Poudlard, quand tout allait bien, avec Harry, avec Hermione. Quand il pouvait encore entendre son père pester contre le fonctionnement d'un objet moldu et que Fred et George étaient en train d'inventer des confiseries piégées pour leur boutique tandis que leur mère s'affairait à la cuisine avec ce sourire si caractéristique. Ronald souhaiterait pouvoir revenir à cette période où tout le monde était encore là.
| AHON toizici et Nicola est toujours aussi belle voilà bienvenuuuue dans l'coin, j'adore l'idée des prénoms et ton personnage promet si tu as des questions, n'hésite surtout pas à envahir nos boîtes à mp ! J'te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche et de te plaire parmi nous |
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| oh nicola ce perso promet déjà beaucoup, j'ai hâte de lire la suite! bienvenue ! et je plussoie le bô rouquin du dessus, n'hésite pas à t'adresser au staff en cas de problème |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | bienvenue ! quelle jolie jeune fille ! ce début de fiche me plait déjà, j'ai hâte de lire la suite et vu que je sens que tu vas être une future floodeuse compulsive (j't'ai vu traîner dans le flood taleur, vicieuuuse va) je t'aime déjà ! |
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| nicola elle est trop parfaite, et pour ne rien gâcher, le perso promet bienvenue sur excidium (et bienvenue dans la #teamblondes) (elle existait pas mais j'viens de l'inventer pour concurrencer la team ginger ) |
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HERO • we saved the world Albane Oswell ‹ inscription : 08/12/2015
‹ messages : 1031
‹ crédits : moi-même (ui, ui).
‹ dialogues : #993366.
‹ âge : 25
‹ occupation : héroïne de guerre pour avoir lutté pendant huit ans au sein de l'Ordre du Phénix puis de l'insurrection. On me connait aussi sous le nom de Blackfish, informatrice au coeur d'un réseau particulièrement étendu; co-fondatrice de l'émission Potterwatch et militante active qui n'hésitait pas à dénoncer les manipulations publiques du gouvernement de Voldemort, la collaboration des médias, ainsi que tous ceux qui avaient des choses à se reprocher et dont j'avais déniché les petits secrets. Si j'ai arrêté l'émission, je n'ai cependant pas fini de fouiner dans les affaires des autres et surtout celles du gouvernement. J'ai acquis un statut de journaliste indépendant et le scroll est pour le moment mon seul support, mais ça ne va pas durer, j'y travaille...
‹ maison : Poufsouffle
‹ scolarité : 1989 et 1996
‹ baguette : actuelle n'était à l'origine pas la mienne mais j'ai tué son ancienne propriétaire et quand j'ai ramassé son arme l'utiliser m'a paru la chose la plus logique à faire. Elle mesure aux alentours de 23 cm, il semblerait qu'elle soit en bois de prunellier, probablement contenant du dragon, mais je ne suis pas certaine de sa composition. Elle est bien plus rigide que mon ancienne baguette de cèdre et crin de licorne dont je n'arrive maintenant plus à me servir.
‹ gallions (ʛ) : 4453
‹ réputation : il ne faut pas tenter de me cacher des choses. Que je sais tout et que ce que je ne sais pas encore, je le découvrirai bientôt. Si Blackfish et une figure de la résistance très respectée par la majorité de la population, mes anciens camarade rebelles ont un avis plus mitigés à mon égard... On dit que je serai prête à faire tout ce que je condamne pour arriver à mes fins: mentir, voler, tuer; que j'ai été dévoré par la haine. Après tout je suis une terroriste.
‹ particularité : prête à faire tout ce que je déteste et dénigre pour arriver à mes fins. Au point que j'en viens à me détester moi-même. Voler, mentir, trahir, me servir d'autrui comme un outil, parfois même de mes amis... "La fin justifie les moyens", c'est ce qu'on dit.
‹ faits : je vis avec le poids de mes actes sur la conscience particulièrement ma participation à l'attaque d'Herpo Creek, mais aussi la mort de mon petit frère dont je me considère responsable. Si certain de mais camarades héros de guerre estiment que je ne mérite pas ce titre, qu'ils sachent que je suis bien d'accord avec eux. Mais je suis libre et je travaille d'arrache pied à mes divers enquêtes pour oublier que je ne suis toujours pas capable de marcher sereinement dans la rue.
‹ résidence : dans un appartement pas bien grand sur Diagon Alley, mais il s'agit plus d'une espèce de bureau improvisé, constamment en bordel, que d'un véritable lieu de vie. Le seul endroit que je considère un peu comme chez moi et où je me sens réellement en sécurité c'est chez Tiago.
‹ patronus : Un grand ban de poisson argentés, c'est de la que je tien mon surnom de Black Fish.
‹ épouvantard : Thomas, moldu de dix-huit ans à peine que j'ai envoyé à la mort et qui revient régulièrement me hanter en pensée. Il a le regard vide et me demande constamment pourquoi je l'ai tué lui et pas l'autre.
‹ risèd : Cédric et moi. On boit une bière au beurre sous le porche de la maison de ma mère à Loustry. Mais Cédric est mort, la maison est détruite, ma mère ne reviendra surement jamais, et la Bière-au-Beurre est devenue beaucoup trop cher.
| Bienvenue sur Exci Super choix de prénom, j'adore ! Et je connais pas la demoiselle mais elle est toute belle Bonne chance pour la suite de ta fiche :3: |
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HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5966
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
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| | | | | willow » i'm a wanderess. | |
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