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sujet; the goddess on my side, she demands a sacrifice - imnotachav |
| Samwell ''Chav'' Jonh Falco Paternoster feat Sid Ellisdon • crédits
| ◄ | • nom complet ; Il n'en a plus. Il n'est plus rien, il est moins que le sol sale sous ses genoux en sang. Le monde entier se fiche que l'air ne noie plus ses poumons, que son visage soit constamment rongé de terre, que sa folie lui chante des berceuses le soir. Il portait autrefois des prénoms que ses parents lui avaient donnés avant de ne le donner lui-même en pâture aux adorateurs d'un dieu qu'il n'as jamais reconnu. Il ne lui reste plus que quatre lettres claquant contre le palais de cette garce qui le tient en chaines. • surnom(s) ; Chav. Son nom d'esclave. On l'appelait Sam avant, maintenant il n'en reste que ce cadavre mutilé. Une insulte contre la blancheur de sa peau martelée. Il refuse toujours de répondre à ce nom, de se tordre le cou dans son collier lorsqu'elle l'appelle par cette insulte qu'elle veut qu'il accepte. Il sait pourtant que le jour où il se présentera comme étant ''Chav'', il ne sera plus insoumis, mais esclave brisé arraché a sa propre peau. • naissance ; C'est dans le petit village britannique de Fairford qu'il a vu le jour, pourtant enfermé trop tôt à la St-Mary's Church où il ne vit plus aucuns astres de près jusqu'à l'obtention de ses onze ans. Cet âge aussi libérateur que cruel. C'est l'année 1980 que l'enfant du diable naquit. Le seize juillet plus précisément, mais maintenant tout le monde s'en balance. • ascendance ; Pur. Il est entièrement et purement forgé de ce sang moldu qu'il répugne probablement autant que la religion, autant que les mangemorts peuvent les détester également. Il n'est pourtant pas de ceux qui déteste les autres né-moldus, mais il ne se sent pas spécialement lier à eux, convaincus que, de toutes façon, son calvaire est pire. • camp ; Autrefois il était fier, actif et fidèle insurgé. Il voulait devenir Auror, foutre des raclées aux vilains et se la jouer mauvais garçon, mais devant l'austérité, rien d'autre d'offert que la rébellion. Trop aveugle, trop téméraire, on l'a capturé. Il fait donc partit des rebuts. Les chaînes et les colliers d'esclaves vont mieux à son teint violacé par les coups, apparemment. Il reste pourtant indompté, insoumis. Unbowed, unbent, unbroken. • métier ; Il n'avait pas le sous depuis que Poudlard a été renversé, qu'il l'a défendu, pour s'enfuir par la suite avant qu'on ne l'attrape. Devenant brigand, volant pour survivre, se cachant pour éviter d'être emprisonné. Il est désormais l'esclave d'une famille qui le maltraite et en abuse. Ce n'est pas un métier, mais ça occupe malgré tout son temps. • réputation ; On dit qu'il mord et qu'il a la rage, celle qui bouille dans son sang impur, qui monte dans sa cervelle délurée et qui gratte contre son crâne comme des insectes. On le trouvait déjà délinquant pendant ses années à Poudlard, maintenant on dit qu'il n'est plus qu'une bête, qu'il tue pour se nourrir. On dit qu'il ne ressent aucune pitié, qu'il dévorerait le bébé rien que parce qu'il pleure. On dit que c'est un barbare avare de destruction et on n'a pas tord du tout. • état civil ; Petit chien de cette garce. Il n'est même pas son amant, encore moins son prétendant, son créateur ou son loup. Il est simplement son chien, sa chose et c'est le seule statu qu'il n'aura jamais. • rang social ; Rebut. Un rejet de la société en tout point. Un être dont personne ne voulait nul part. Sauf eux. Cette fille pleine de colère et de vengeance, se père assoiffée de pouvoir et de sadisme. Ils sont ton enfer, ils sont pourtant les seuls à ne jamais l'avoir ''choisi''. • particularité(s) ; Il n'est qu'un monstre. Un loup solitaire, un alpha qu'on laisse souffrir, qui a trouvé sa Lupa, mais qui n'a pas sa bande. Il ne maîtrise pas sa particularité, même si plus le temps passe, plus il ne fait qu'un avec la bête en lui. Il ne contrôle pas, il a simplement la sauvagesse de la bête en lui. Il mord. • patronus ; Il aurait probablement du mal à trouver assez de souvenirs heureux pour un créer désormais, mais autrefois, il avait tout de même réussi et la bête prenais la forme d'un chien husky. Un chien comme il a souvent rêvé d'en avoir un, mais il n'as jamais pu. • épouvantard ; Autrefois, il avait peur de l'échec, mais maintenant qu'il a touché le fond, il n'as plus peur de perdre et encore moins de mourir. Il a peur d'elle. Il a peur de sa douce dans toute sa torture, toute sa douceur et cet amour qu'il se refuse à accepter. Elle lui fait plus peur encore que son père ou qui que ce soit d'autres. Parce qu'elle est la seule à pouvoir le faire humain alors qu'il ne veut plus. Il veut qu'on l'achève en bête. • risèd ; Ses désirs ont étés tués dans l'oeuf. Il ne rêve plus de s'échapper, il est conscient qu'il sera un esclave pour le reste de sa vie. Pourtant, il espère que quelque part, sa louve deviendra sienne. Que si sa vie d'humain ne lui tente plus, il pourra former sa propre meute et vivre sa vie de loup tranquillement. • animaux ; Aucun, sinon il les dévoreraient certainement. Il est une bête à lui tout seul, entièrement, ce n'est même pas une figure de style. • baguette ; Cassée, son premier amour. Il n'en a plus, il n'aspire même plus à en avoir. Il ne sait même pas s'il arriverait à faire un quelconque sort. Il ne veut plus être un sorcier. • miroir à double sens; Autrefois, il en possédait un avec son maître à lui, celui qui lui avait tout appris et qui prenait soin de lui. Il a pourtant été cassé lors de sa capture. Il lui a été retiré et il n'as plus aucuns moyens de communication avec celui qu'il considérait comme étant son propre père.
• ENSLAVED • Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Tout cela le dégoûtes encore plus qu'il n'aurait osé l'imaginé. Dès son apparition dans le monde des sorciers et les premières attaques des sang purs à son encontre, ça l'avait frustré. Aimes ton prochain , qu'ils avaient dit. Ils ne l'aimaient pas, donc lui non plus ne les aimaient pas. Véritable justicier, il défendait quiconque en avait besoin et il continuait encore avant que son clan soit traqué. Depuis, il opte pour le chacun pour sois. Il n'as tout simplement plus d'espoir pour la fin de cette guerre ou encore pour le changement de ce régime. Il ne veut même plus faire partis d'une société qui a un jour accepté des choses aussi horribles. S'il venait à être libéré, il vivrait malgré tout en ermite avec son presque père, loin de la société et de la prochaine crise à venir. Quand à l'entraînement et la vente des rebuts, as-t-on jamais vu quelque chose d'aussi cruel ? Ils ont fait de lui un animal qui n'arrive plus à exprimer ni sa colère face à la situation ni son désaccord. Il grogne, il est donc bien difficile de savoir ce qu'il penses. On ne lui demandes pas son avis pourtant, on ne lui a jamais demandé. On l'enchaîne et on lui fait ce qu'on veut. ► Infos en vrac : Autrefois il jouait au Quidditch et avait une carrure bien plus imposante. Pourtant, il n'en reste pas moins musclé. Il n'est pas le plus fort du monde, mais il est enragé et il est prêt à mourir au combat, il est donc celui qui gagne, qui n'as pas peur et qui ne s'affaisse pas. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a gagné contre les autres loups lors de leur combat. • Fan des tatouages, il s'en ait fait faire quelques uns pendant son adolescence. Adhérant à sa fierté moldue. Il en a pourtant un aujourd'hui qu'il répugne. C'est cette marque apposée par sa maîtresse, une longue marque de griffes remontant de sa nuque jusqu'au bas de son dos. Son tatouage d'esclave, son numéro indélébile. • Autrefois il jouait beaucoup dans ses cheveux, maintenant il grogne et passe sa langue sur ses dents constamment. On ne serait même pas étonné de voir un peu d'écume s'écouler de sa bouche. Il est a un niveau de bestialité provoqué par le martyr qu'il a vécut avec Greyback. Il était d'ailleurs à vendre avec l'étiquette : bon à torturer jusqu'à ce que mort s'en suive. Un objet de défoulement sur lequel on a voulu faire un peu de fric. On ne pensait pourtant pas qu'il y aurait tant de demandes. La famille à dût se battre et y mettre le reste de leur fortune. Sam est le dernier rebut qu'ils peuvent se permettre. • Il est très protecteur lorsqu'on l'apprivoise, mais encore faut-il le faire. Lorsqu'il aime, il donnerait sa vie sans hésiter. Il est pourtant très sensible et peut retirer son amour aussi rapidement qu'il la donne. • Il est sauvage et l'as toujours été. S'il était dur d'approche lorsqu'il était lui-même, toujours au dessus des autres, au dessus de tout, à s'en foutre et ne pas trop prendre quoi que ce soit au sérieux, maintenant il ne laisses personne le toucher sans une morsure. • Son dos est désormais la chose la moins belle chez-lui, la plus marquée. Non seulement as-t-il ce tatouage noir et immonde, mais il a également les innombrables morsures faites par celui qui l'as transformé. • On dit qu'il a la rage, qu'il aurait mordu Dulcinea et qu'elle l'aurait aussi. Il est un rebut duquel on ne doit pas s'approcher. On dit aussi qu'il n'y a plus la moindre parcelle d'humanité en lui. • Il ne croit plus en dieu, ni en merlin, plus en rien. Il ne croit même plus en la cruelle déesse qui le possèdes, pas plus qu'il ne croit en lui. Nothing compares to you • pseudo & âge ;acidwolf/alexe, encore vingt et une piges. • comment as-tu trouvé le forum ? Jazsmin me l'a murmuré a l'oreille. • ton avis, tes suggestions ; • connexion ; Je ne peux passer une journée loin d'Exci. • quelque chose à ajouter ? Vous êtes bons, martyrisez-moi. • coup de main pour le bottin ;2. Si ton personnage est un inventé ; ▋ ▋ SID ELLISDSON ; samwell ''chav'' paternoster - Code:
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▋ <a href="http://lienverstonprofil">▋</a> <pris>SID ELLISDSON ;</pris> samwell ''chav'' paternoster
Dernière édition par S. ''Chav'' Paternoster le Jeu 2 Oct 2014 - 8:19, édité 4 fois |
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| I workship you like a dog. • We were born sick, i heard them say it. • Il est né malade, différent, mais quelque part ça lui plaisait. Ils avaient dit qu'elle donnerait naissance à un enfant mauvais, que ce n'était pas normal, mais mettre terme à sa grossesse était encore pire que de donner naissance à un monstre. C'est dnas la peur de ses présages que naquit Samwell. Treizième né, à un âge où la mère n'aurait normalement dût ne plus être capable de procréer, sa famille était complète, terminée, douze, c'était bien assez. Pas pour le bon dieu. Il en envoya un treizième, un dernier. Treize. Elle en frissonnait alors qu'elle en parlait au curé de leur village. Il lui avait dit « S'il est pour naître, c'est la volonté de dieu. » Ce fût le premier et le dernier coup de main de Dieu envers Sam. Elle le garda dans son ventre même s'il la rongeait, qu'il aspirait toute son énergie, qu'elle en avait le tournis, jurait qu'elle allait mourir. Elle jurait même qu'il cognait plus fort, lui faisait plus mal lorsqu'elle priait. Elle disait que le diable était dans son ventre et elle n'avait pas tout à fait tord. Sam naquit pourtant sans la tuer malgré toute la douleur qu'elle pu subir. Il grandit avec une éducation stricte, dans un monde qu'il ne comprenait pas du tout. Pourtant, Sam était un enfant différent, effrayant. Ce n'est pourtant que vers ses cinq ans qu'il devint franchement effrayant. Rejeté depuis sa naissance par le reste des enfants de sa fratrie, il n'attirait l'attention que lorsqu'on s'approchait de lui pour l'intimider et s'amuser un peu, en enfants cruels. C'est une journée de printemps que son frère alors âgé de 15 ans s'approchait de lui dans la cours arrière. Les rires éclataient au loin tandis qu'il s'approchait de Samwell sans même penser que dieu punirait certaine le mal qu'il s'apprêtait à faire. Sam jouait tranquillement avec un petit cheval qu le grand garçon lui arracha des mains. Il provoqua les crises de l'enfant, ses pleurs tandis que le reste de la fraterie rigolait de voir le petit bonhomme sautiller en pleurant pour récupérer son jouet. Rien de bien méchant, mais pour Sam, ce jouet était tout. Absolument tout. Fixant la main de son frère avec une telle rage, le pire se produisit. Les doigts de l'adolescent semblèrent fondre, comme une chandelle sous un feu intense. Sa main levée dans les airs s'allongeait vers le bas, perdant tout force sous la panique du garçon qui ne comprenait pas pourquoi sa main était soudainement déformée de la sorte. Sam repris son jouet, puis fila dans le bois. Le jour suivant, on faisait ses valises et il était envoyé directement chez les frères où il passa le reste de son enfance, jusqu'à ce que des envoyés du ministère viennent le chercher pour qu'il débute sa scolarité à Poudlard. • But i love it, command me to be well • Le monde sorcier avait charmé Sam, mais pas encore comme le ferait cette déesse. Elle était passée sous le choixpeau et le petit coeur malade du garçon c'était emballé. Ses longs cheveux, ses yeux bruns, ses lèvres généreuse. Ce petit quelque chose d'effronté dans le regard. Elle rejoint les gryffondors tandis que le jeune sorcier âgé d'un an de plus qu'elle ne pouvait plus laisser son regard dégringoler d'elle. Accompagné de ses deux meilleurs amis, il a donc fait ce qui était nécessaire. Il à courut jusqu'à elle, dans son dos et il a tiré sur l'une de ses couettes jusqu'à ce qu'elle crie. Il a lâché, puis s'est enfuit. Elle t'as poursuit, tu as rigolé, tu lui a échappé, mais elle n'as pas quitté tes pensées pour autant. Et puis, les gosses ont grandit, ne gagnant pas en maturité pour autant. Les sentiments du garçon pour la fille devient gigantesque, même s'il niait tout. Même s'il draguait n'importe quelle fille étant adolescent, comme s'il s'en foutait. Aux yeux de tous, il la détestait, mais en vérité ce n'était pas ça du tout. L'année des dix-sept ans de Sam fut marquante pour lui à plusieurs niveau. C'était sa dernière année, celle où, il tenterait par la suite de devenir Auror, mais quelques parts, ses hormones les travaillait encore. Il y avait cette journée, celle précise où il s'était enfermé à la bibliothèque histoire d'être dans un silence complet lorsqu'il étudierait l'histoire des sorciers. Pourtant, ce n'était pas assez pour qu'il se concentre dans une journée où la biblio était aussi surchargée. À tous moments, son regard courrait sur les gens, oubliant qu'il lisait. Pourtant lorsque son regard flirtait contre ses cheveux et cette silhouette, il ne s'en décrochait plus. Un rage sourde semblait bouillir en lui alors qu'il ne s'obéissait plus. Il quittait sa chaise, sa place convoitée en laissant son livre là en partant. Arrogant comme personne, s'est avec assurance qu'il courrait derrière Dulci, ce sourire aux lèvres tandis qu'il tendait sa main pour tirer encore une fois sur ses cheveux. Fulminante, elle se retournait, le plaquant contre la rangée de livre, il se laissait faire en rigolant, son bras si peu menaçant sous sa gorge alors qu'il se moquait ouvertement d'elle « Mademoiselle est fâchée ? » S'amusait-il, pensant pourtant que son jeu était bien caché derrière son sourire énervant. La jeune femme le dardait pourtant de ses yeux noirs, toute aussi impulsive que lui tandis que sans prévenir, elle collait ses lèvres aux siennes, entre deux rangées de livres. Sam se laissait entraîné, pendu à ses lèvres délicieuses, le coeur au bord de la bouche. Le souffle coupé, désorienté comme il l'était, pauvre idiot. Lorsqu'elle osait enfin le laisser respirer un peu, tenant son visage entre ses mains, le jeune homme avait de la difficulté à être aussi acerbe qu'à son habitude. « Bordel, tu fais quoi ? » S'énervait-il doucement, pourtant en position de faiblesse. La demoiselle souriait pourtant, fière de son coup. « Tout le monde sait que t'es dingue de moi, Sam. » S'amusait-elle à ses dépends tandis qu'elle lui volait un autre baiser, se pressant contre lui et l'étagère. Les regards curieux se glissaient déjà vers eux tandis que sa main remontait dans le cou de la lionne, sa chevelure, que son corps quittait l'étagère sans pour autant se délier de celui de la jeune femme. Ses lèvres embrassant celles de Dulci avec une passion qui n'était pas feinte, le laissant haletant alors qu'il la repoussait enfin. « Fiches-moi la paix, bordel ! » Grognait-il en se séparant d'elle, troublé, tournant les talons pour partir de la bibliothèque sans demander quoi que ce soit d'autres. Le lendemain, leurs baiser échangé faisait la une des rumeurs de Poudlard. •If I'm a pagan of the good times, My lover's the sunlight. • Avant même que l'amour ne naisse : la guerre. Elle s'infiltrait partout dans Poudlard, ne laissant de place à rien d'autres. Membres actifs de l'armée de Dumdeldore, reprenant même leurs entraînements au cours de la dernière année avant que les mangemorts ne débarquent à Poudlard. Sam c'est battus pour sa vie et celle des autres. Ils perdaient pourtant, ils ne gagnaient pas cette guerre. Sam compris rapidement qu'il devait s'enfuir avant qu'on ne l'attrapes. Il abandonnait ainsi la défense de Poudlard, filant à toutes jambes dans la forêt interdite. Filant jusqu'à ce qu'il puisse transplaner près de Daeva. Là où très peu de sorciers se rendaient. On disait que la forêt était dangereuse, mais lui devait se cacher. C'est ce soir là qu'il s'est fait mordre, avec une violence incomparable. Il aurait succombé à ses blessures si ce n'avait été de ce sorcier qui était venu et avait fait fuir le loup garou qui se régalais de ton pauvre dos. Laissé pour mort, il t'avait récupéré et emporter chez-lui. Pollus. Celui qui prit soin de Sam et des ses blessures, un vingtaine d'année de plus que lui, il devient son père, celui qu'il n'avait jamais eut. Il lui offrit un toit, de la nourriture et des vêtements en échange de l'aide à leur survie et à leur nouvelle vie d'insurgés, dans cette cabane à la naissance des bois, invisible aux yeux des sorciers qui ne devaient pas la voir. Une panoplie d'autres sorts étaient lancés et relancés souvent autour de leur demeure, confusion des moldus, des créatures, ils voulaient la paix et s'assurait de l'avoir. La seule règle était pourtant qu'il passe ses pleines lune dans la forêt. La maison lui devenait invisible, ne pouvant y revenir qu'au bout de la nuit. Sam se faisait très bien à sa vie d'insurgé, de loup, ce fût plus difficile au début. Il ne voulait pas choisir de clan en les deux habitant la forêt. Loup solitaire, transformation difficile, on le rejetait même de la forêt avant qu'il ne choisisse son clan. Il n'avait d'autres choix que de rôder autre-part dans l’Angleterre. Sa solitude le poussa à mordre une jeune femme qu'il avait bien cru tué, il n'avait même pas compris qui elle était, qui il avait dévoré. Elle non plus, alors qu'il l'abandonnait pour ne jamais revenir vers elle, qu'il acceptait finalement de se joindre à la horde Eihwaz. De que l'autorité pesa sur lui, pourtant, sa place de rebelle n'était plus évitable. Il s'irrigeait contre l'Alpha, il ne le provoqua pourtant que trois ans plus tard, lorsqu'il était certain d'avoir assez de loups prêts à le reconnaître. Il échoua pourtant lamentablement dans sa tentative et fut de nouveau condamné à être un loup solitaire. La douleur et la hargne étaient de nouveau ses compagnon. Il cherchait, partout, un compagnon. Jusqu'à cette nuit où il trouva sa louve, cette louve. Cette femme qu'il n'avait pas vraiment tuée. Soulagé, charmé, consolé. Sa Lupa. Il avait passé sa nuit à la suivre, à chasser, courir et même copuler avec elle. Ivre de bonheur et de joie, l'humain l'était tout autant alors que c'est dans les bras de Dulci qu'il se réveillait. Transis d'un amour qu'il ne cachait plus alors qu'il embrassait son cou sans relâche et qu'ils reprenaient leurs formes humaines au bout de la nuit. Sam savait qu'ils devraient pourtant ce quitter, qu'il devait rentrer chez-lui pour ne pas que des rafleurs le retrouvent, mais il ne voulait pourtant pas perdre celle avec qui la nuit l'avait lié. Paniqué. Amoureux. Il la convainc de se lier à lui d'un sort et d'un pacte de sang. Elle accepta, sans savoir exactement ce que tout cela impliquait. Alors que Sam pourtant allait embrassé de nouveau sa dulcinée à qui il était liée pour toujours, son corps se glaça par un éclair. Le père de Dulci, qui venait la retrouver chaque matin de pleine lune, couvrant ses épaules d'une couverture, avec des vêtements propre, espérant qu'elle aurait trouvé son créateur. « C'est lui ? » Dulci hochait de la tête et Sam comprenait qu'il avait été trahis. Il ne pouvait pourtant s'enfuir. Retenu par un sort, le père l'attacha à un arbre par le cou, comme un chien, en attendant que les raffleurs viennent chercher cette ordure. Le reste fut horrible. Sam fût récupéré, ramené à Greyback où on excitait les jeunes loups pour qu'ils se battent. Sam aurait préféré se laisser mourir, mais la rage bouillant dans son ventre l'obligea à se battre, à tuer les autres loups et à se rouler dans leur sang. Il gagnait donc le privilège d'être la recrue de Greyback. On tentait de le briser, encore, encore, encore. On lui faisait souffrir toutes les douleurs, mais rien ne semblait réussir à la soumettre. Il ne fît que perdre lentement toute part d'humanité en lui, ne devenant qu'une bête battue, sauvage, effrayée. Il cessa de parler et de marcher normalement. Enchaîné, il était plus près du sol, se tenant pourtant sur ses jambes tout comme sur ses mains. Il était trop violent et agressif pour faire un rebut de choix. Greyback était bien décidé à le tuer, parce que personne ne voudrait d'un rebut aussi insoumis et inutile. Du moins, c'était ce qu'il croyait. Il s'était pourtant laissé tenté à tenter le coup des enchères. Si personne n'en voulait, il tuerait la bête indomptable. Pourtant, les sorciers les plus cruels furent attirés par cette étiquette : rebut à tuer. Pourtant, la survie de Dulcinea dépendait de l'achat de ce rebut. Son père mit donc le reste de leur fortune, s'endettant même pour ramener la bête à la maison. Depuis qu'il a intégré leur foyer, il est attaché dans le sous-sol sombre et humide qui lui sert de chambre.
Dernière édition par S. ''Chav'' Paternoster le Jeu 2 Oct 2014 - 18:20, édité 9 fois |
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