☇ Avis sur la situation actuelle ; Bon c'est sure que c'est pas super drôle et fun ce qui se passe en ce moment. On passe plus nos soirées à se prendre d'énorme cuite comme avant, mais bon, au moins l’espérance de vie se rallonge et notre foie nous remercie. Non, honnêtement, je crois bien qu'il y a assez d'Homme politique qui parle très bien en mon nom à ce sujet. Puis je suis madame tout le monde, je veux dire, en tant qu'hunted je suis contre ce gouvernement de pédales sans balls qui prône la suprématie de je ne sais quoi. Je n'ai qu'une seule chose à dire : gare à vous les méchants

☇ Infos complémentaires ; je créer des potions comme personne! et tous les types en plus • Je souris tout le temps, ce qui peux être agaçant ou déplacer en ces temps de totalitarisme • Je suis une grande empathique • J'ai un goût particulier pour l'aventure • J'ai un angiome sous mon aisselle • On dit que j'ai un père mangemorts qui serait connue pour ces pratiques tortionnaires vraiment violente. Heureusement, ce ne sont que des rumeurs. • Peu de gens le savent, mais j'étais à serpentard. • je peux être classe comme vraiment vulgaire • je suis une nerd au fond de moi • j'aime faire plein de liste pour y répertorier tout et n'importe quoi • je suis accusée de double homicide • je veux le même nez que voldemort, je pense sérieusement à la rhinoplastie • je craque sur les lunettes d'harry potter • je suis une fan inconsidérée des sombrals. [en cours]

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi zoé ou eye in the dark. J'ai 16 petites années, je viens des pays de la loire et j'ai connu le forum via un top site. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7.  Un dernier mot ? le forum est génialement magnifique et extrêmement bien ficelé !

❝ once upon a time❞- enfance -
J'ai grandit dans une riche banlieue. Ma famille possède une grande entreprise de livres de sorcellerie de tous genre. Un bizness qui rapporte énormément à la Famille Rosebury. A la tête de cette entreprise, le chef de famille (si peu digne de ce titre), mon père : Alphus. Si vous voulez bien vous en référez à l'Explication du caractère par les prénoms, opuscule de je ne sais quel mage, vous constaterez que pour une fois la définition se trouve parfaite. «  Les Alphus, y est-il dit, sont des garçons faibles, mous, spéculatifs, généralement malheureux en ménage et nuls en affaire » Pour résumer mon père en un mot, c'était un Rosebury statique. « Plus d'esprit que d'intelligence », disait ma mère en fixant son mari d'un regard meurtrier.
Agée, à la même époque, de tentre-six ans, madame mère avait cinq ans de moins que son mari et   cinq centimètres de plus. Née Kenegaan, elle était devenue totalement Rosebury et ne manquait pas de classe. On m’a dit cent fois qu’elle avait été belle.  Je vous autorise à le croire, malgré ses grandes oreilles, ses cheveux secs, sa bouche serrée et ce bas de visage agressif qui faisait dire à mon père, toujours fertile en mots : « Dès qu’elle ouvre la bouche, j’ai l'impression de recevoir un coup de pied au cul. Ce n’est pas étonnant avec ce menton en galoche. » Outre notre éducation, Madame mère aura une grande passion : les timbres. Outre ses enfants, je ne lui connaîtrai que deux ennemis : les mites et les épinards. Je ne crois rien pouvoir ajouter à ce tableau, sinon qu’elle avait de larges mains et de larges pieds, dont elle savait se servir.
Puis, il y avait deux enfants issus de cette union. Mon frère fut le premier à être conçu et se fut nommé Elric. Ce qui est je trouve, de très mauvais goût, pas étonnant lorsqu’on sait que c'est monsieur père qui à daigner choisir.  Mais bon, on ne choisit pas sa famille. Pour être plus subtile on remplacera « choix » par « hasard ». C'est donc le hasard. Le même hasard qui fait que l'ont naît roi ou pomme de terre, que l'on tire une chance sur deux milliards à la loterie, ce hasard a voulue que je naisse Rosebury, sur l'extrême branche d'un arbre généalogique épuisé, d'un olivier stérile.
Passons. L’antipathie n'est pas dans mes cordes surtout quand il s'agit de s'apitoyer sur son propre sort. Il reste donc la quatrième carte de ce méchant poker. Retournons là. Je suis l'as de pique, sans surprise, je vous l'avoue. Je crois bien avoir été l'enfant préférée, peut-être parce que j'avais un vagin et Elric autre chose. Je me rappelle que maman lui tapait plus souvent sur les doigts, pour une raison que j'ignore. Peut-être était-ce tout simplement le sexe faible et qu'une domination mystique de je ne sais quel genre remplaçait mon halo d'ange.
Désolé Elric, je ne souhaitait pas blesser ton ego.

❝ and we grew up ❞de 1980 à 1996, londres.
La famille n'a jamais été une évidence chez les Rosebury. C'est même tabou. J'ai même appris plus tard que mère avait eu une liaison avec un mangemorts haut gradés,et cela je l'ignorais pendant des années passées. Père à toujours voulu combler son manque de libido par une sorte de colère qu'il dégage continuellement. Il a d'ailleurs acheté plusieurs rébuts pour en faire des esclaves. Ils les confinaient dans une pièce dîtes « secrètes ». Cette pièce, je me souviens, était une véritable source de fantasme, mais aussi de torture pour nos esprit d'enfants, car nous ignorions ce qu'il se passait une fois la porte franchit. Emélia fut la première rebuts que mon père acheta, et fut d'ailleurs celle qui garda le plus longtemps, je pense qu'entre-nous, celui-ci c'était amouraché d'amour pour elle. Elle était si douce qu'on aurait pu croire en la réincarnation de la soie. C'était une seconde mère pour moi et mon frère.

Puis au fur et à mesure que je prenais des années et des centimètres, je décida de couper les ponts et d'acheter ma propre maison. C'est alors que j'ai compris que sans papa et maman, je n'étais soumise à aucune règles et que j'étais libre de faire l'activité qui me plaisait, de manger ce que je voulais, de penser ce que je souhaitais. Ce fut alors comme un déclique, du moins pour moi puisqu'Elric préféra rester dans le cocon familial pendant que j'attrapais du bout des doigts mon indépendance. Jusqu'à là, je n'avais jamais eu l'occasion ou l'envie de lever ma tête et d'observer ce qu'il se passait réellement dans mon propre pays. J'ai découvert un pays barbare remplit de truands et de malfaiteur sans empathie ni altruisme. A commencer par mon père qui à l'honneur de se classer en second sur ma liste des gros méchants pas gentil du tout. Mère m'a appris un soir -où elle avait un peu trop abusée de potion droguante- que père  avait vendue Emelia à deux rachetés peu de temps après notre départs, en tant qu'esclave sexuel, et qu'elle avait finit par être tuée lorsqu'elle était tombée enceinte.

❝heaven must be missing an angel❞5 septembre 1996

Une fois le deuil fait et quelques mois passés, je reçu une invitation de mon père qui me conviait au manoir des Winfield. Un grand manoir connu pour la vastité du territoire sur lequel il s'étend. J'avais alors enfilé mes plus beaux vêtements et des parures hors de prix puisqu'il s'agissait d'un dîné d'affaire. Madame mère c'était joint à nous plus tard dans la soirée. Nous étions une quinzaine de personnes autour d'une grande table en marbre, tous discutaient affaires. Monsieur père pris l'initiative de me présenter à deux personnes; peut-être voulez t-il que je rentre dans le monde du bizness, je l'ignore. Je souris, je fais bonne impression, en autres mots : je fais ma poupée plastique. « Cosima, voici Monsieur Galderwint et son frère Lord Mint. » s'enchaîne alors la routine ennuyeuse des bases de civilité. Il réplique. « Tu sais, je t'ai parlé de ces deux monsieurs, c'est à ces personnes  que j'ai confié Emelia. » Non père, tu ne me l'avais pas dis. Et tu ignore ce que mère m'a raconté il y a deux mois de ça. Plusieurs questions fusent : est-il au courant de la mort d'Emelia ? Ou est-il juste niait à un point désespérant ? Peu importe, je souris et trinque : je connais désormais le visage des ses bourreaux.


On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid, mais je crois bien l'avoir dégusté chaud. Vous connaissez la suite, deux cadavres et une meurtrière. Mais laissez moi vous expliquer. L'adrénaline, vous savez, cette même adrénaline que vous ressentez avant une compétition, qui vous imprègne, vous enlace et vous parcours l'échine pour y laisser flirter quelques frissons. Ce genre d'adrénaline qui vous pousse à faire des choses stupides sur le coup de la colère. Je me souviens de peu de choses, tout est flou à vrai dire. Ma mémoire est surement sélective. Ce que j'ai fais est loin de me rendre fier, mais je n'ai aucun ressentiment à ce propos. Je crois bien avoir été dans un état second lorsque nous étions tous les trois enfermés dans ce bureau. Enfaite, je ne tiens pas à m'expliquer sur ce sujet et encore moins à le partager avec vous. C'est juste que tout est devenu facile, atteignable aisément, en un espace de temps. C'était comme si j'avais le plein pouvoir. Il y a quelque chose en moi qui, je crois, désire intensément les ténèbres.

Suite à ça, mes parents ne m'ont étrangement pas reniée. Ils ont d'abord voulu me couvrir; ce que j'ai refusé. Cela les auraient mis dans une position trop risquée. Je ne sais par quel malheur mes parents sont autant attachés à leur fille et persiste à vouloir me venir en aide. Alors j'ai décidé de couper définitivement les ponts. Ils n'ont plus de nouvelle depuis 6 ans, ils ignorent ou je suis et ce que je fais. C'est désormais mieux ainsi.  J'ai due quitter la ville pendant un certains moment suite à ça, histoire de se faire oublier et d'écarter mes proches de mes ennuis. Je suis partit vivre en écosse, près d'un lac, dans un village moldu ou j'ai vécut avec mon frère pendant 3 ans. Puis venu 2003 nous avons déménagé à Canvey Island.