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sujet; Demande de particularité |
 | Merci draconouchet de mon coeur!  |
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WIZARD • always the first casuality Léopoldine Turner | Léopoldine Turner ; Voyante - Bonne aventure
Motivation ; La pratique de la divination est une tradition familiale de la famille de Léopoldine depuis plusieurs siècles. D'après sa grand-mère maternelle, c'est l'une de ses ancêtres qui aurait développé le don de troisième œil dans le courant du XVè siècle et qui l'aurait transmit au génération suivantes. Cette même ancêtre - dont la famille était d'origine milanaise installée en Provence et fabricantes de cartes à jouer magique depuis déjà plusieurs générations – aurait été l'une des premières voyantes d'Europe à pratiquer la Cartomencie et aurait inventé une version jeu de tarot appelée plus communément « Tarot de Marseille » par les moldus. Cette légende familiale dit aussi qu'elle aurait vu que ses descendantes ne métraient au monde que des filles durant plusieurs dizaines de générations et que le jour ou l'une d'elle mettrait au monde un garçon, alors le don de voyance aurait définitivement quitté sa lignée.
Evidement rien de tout ceci n'est vérifiable car on a jamais réussit à remonter jusqu'à cette époque. En même temps, retracer la généalogie d'une famille uniquement féminine n'est pas particulièrement évident ; d'ailleurs, même le nom de cette première voyante a été perdu... Cependant, il est vrai que comme elle, la mère de Léo était fille unique. Tout comme sa mère avant elle, ainsi que sa grand-mère et son arrière grand-mère. D'autre part, on ne peut pas non plus nier que sa mère et sa grand-mère l'ont élevé dans des traditions familiales très précise autour de la pratique de la divination est notamment la Cartomancie. Enfin, si léo n'est pas voyant doté d'un véritable troisième œil, elle est, tout comme sa mère et sa grand-mère dotée d'une certaine clairvoyance. Le don originel s'étant tarit au cours des siècles, il ne s'agit plus que d'un sixième sens, une sorte d'instinct pour sentir venir certaines choses. C'est tellement faible qu'on peut facilement voir ces signes, presque imperceptibles, comme de simple coïncidences, mais pour Léo, les coïncidences n'existent pas et tout ceci ne peut s'expliquer autrement que par cet héritage familial un peu obscure, mais au-quel elle tient et croit fermement. De plus, il s'avère qu'elle a eut un fils ; ce qui signifie qu'elle est la dernière de sa lignée à pouvoir pratiquer la divination. Elle est donc d'autant plus consciente de la faiblesse de ses propres capités.
Alors elle pratique la divination autrement. Les cartes tout d'abord, son domaine de prédilection ; mais aussi la boule de cristal, le pendule, les feuilles de thé, les lignes de la main... Pour Léo, toutes ses pratiques constitues des outils qui n'ont que pour but de l'aider à éveiller ce don presque disparu qu'elle a reçue de ses ancêtres. Si elle n'avait pas cette prédisposition, elle sait qu'elle serait incapable de desceller quoi que ce soit. Tout ça n'est que la combinaison d'un tallent naturel et de beaucoup de travail. Elle n'aime pas le terme de « bonne aventure » parce que ces mots eux-mêmes impliquent une dimension hasardeuse bien trop opposée au concept fondamental de la divination.
Elle ne parle pas énormément de cette histoire familiale. Non pas qu'elle en ait honte, loin de là; simplement, la plupart des gens sont trop obtus pour ce genre d'histoires et considèrent ses traditions comme pures superstitions et autres attrapes-moldus. Léo n'a pas de temps à perdre avec des gens qui ne comprennent pas, et qui se moquent de son héritage. Cependant, il est aujourd'hui de notoriété publique que Léo pratique la divination mais, il n'arrive que rarement qu'elle le fasse pour des clients, seulement ceux qu'elle connait bien ou qui le demandent.
Maîtrise ; Léo ne possède pas de troisième œil, elle n'a pas de vision de l'avenir, ni de rêves prémonitoires. Léo à son jeu de Tarot qu'elle a reçue le jour de ses 11 ans, que sa grand-mère à dessiné et purifié pour elle, selon les pratiques ancestrales, et qu'elle est suposée être la seule à pouvoir tirer de façon efficace. Elle a aussi sa boule de cristal et une collection de mélange de thé spéciaux qui permettent une meilleure interprétation de l'avenir de celui qui le boit. Si quelqu'un vous lit l'avenir dans une tasse de thé vert à la menthe, sachez qu'il se fout de vous. Léo pratique la divination de façon stricte et pragmatique. Il y a des règles à respecter, des choses à connaître, et des façons de lire et d'interpréter les signes. D'ailleurs, ces règles ont souvent fait l'objet d'interminable débats entre elle et le professeur Trelawney lorsqu'elle était élève à Poudlard. L'avenir, ça ne se lit pas n'importe comment, vous comprenez ? C'est très sérieux.
Tout cela elle l'a apprit et elle l'apprend encore. Elle est perfectionniste Léo. Elle sait parfaitement qu'elle n'est pas infaillible. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle n'a jamais songé à en fait un véritable commerce. Elle ne prétend pas détenir une quelconque vérité, elle essaie juste, mais elle ne peut jamais être certaine. Combien d'heure a-t-elle passé devant un tirage, à essayer de croiser et recroiser toutes les lectures possibles afin d'être certaine de s'arrêter sur la bonne interprétation ? Combien de mélange de thé, de fleurs et d'herbes aromatiques a-t-elle essayé pour obtenir celui qui correspond le mieux à telle ou telle questionnement. Le destin est difficile à comprendre, il est difficile à interpréter, il est difficile à voir, Léo le sait. Selon sa grand-mère, la pratique de la divination est un apprentissage constant dont le plus grand ennemi est l'orgueil de croire que l'on détient la vérité absolu.
( J'espère que ça ira   )
Dernière édition par Léopoldine Turner le Ven 4 Nov 2016 - 7:52, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Damian Rhee | je te remonte  |
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WANDLESS • wth is happening Kaori Saito | | | | | |
| | Esther Burke ; Voyant - bonne aventure, lecture des astres Motivation ; Esther a toujours été attirée par la divination. Dès son plus jeune âge elle se cachait dans le grenier de la demeure familiale pour aller fouiller dans les cartons remplis de livres traitant du sujet. Au départ, elle ne faisait que des petits tours: faire la bonne aventure, lire les feuilles de thé, etc. Rien de bien exceptionnel en soi. Puis avec le temps, la jeune femme s'améliora. Ses prédictions se révélèrent de plus en plus souvent fondées et son père commença à s'intéresser d'un peu trop près à ce talent qu'il trouvait, selon ses dires, "fort utile pour son commerce". Avec du recul, le comportement du bon vieux sénior Burke aurait pu être qualifié par la jurisprudence magique "d'exploitation infantile". Il enfermait Esther durant des heures avec des clients tout aussi malveillants que lui pour que celle-ci leur fasse des prophéties. Malheureusement, ce n'était pas quelque chose qu'elle pouvait faire sur commande, en un claquement de doigt. Alors, pour la punir de ce qu'il considérait comme de l'entêtement, monsieur Burke enfermait sa petite fille dans la cour intérieure pour que la pluie lui remette les idées au clair. C'est donc pour cette raison que la jeune femme abonna peu à peu l'exercice de la divination. Cependant, quand Esther rentra en 3ème année, la vision sur sa particularité changea, cela peut d'ailleurs s'expliquer pour plusieurs raisons. Vers le mois de novembre, la jeune sorcière avait malheureusement reçu une sanction et donc une retenue de la part de son professeur de botanique. Elle ne détestait pas la matière néanmoins elle n'avait aucune affinité avec les plantes et préférait donc piquer un somme discrètement entre deux pots de fleur. Pas de chance pour elle, Esther se fit repérer assez facilement quand madame Chourave hurla son nom à travers la serre. Pour en revenir à nos moutons, la punition était simple: Esther devait ramener quelques pouces de Snargalouf, plante qui poussait à l'orée de la forêt interdite. Rien de bien méchant en soi. Au départ, la jeune fille ronchonnait, mécontente de ce qu'il lui arrivait. Cependant, sans cette sanction, elle n'aurait jamais pu faire la rencontre qui changea sa vie. Mademoiselle Burke avait déjà entendu parler des êtres qui peuplaient l'immense bois sans vraiment en croire un seul mot. Mais ce soir là, elle tomba nez-à-nez avec un homme... enfin, il était plus juste de dire un demi-homme, la moitié de son corps étant celle d'un équidé. Il semblait occupé à cueillir un peu plus loin des feuilles de sauge, souvent utilisées pour rendre les prédictions plus justes et faciliter les interactions avec les fluides sensoriels. Complètement statufiée, Esther retenait sa respiration, ne voulant pas que cette bête ne l'attaque. Quelle ne fut sa surprise quand l'hybride se tourna vers elle et s'approcha lentement, sans dégager une once d'intimidation. Le centaure lui expliqua qu'il avait vu que quelqu'un viendrait le déranger dans sa cueillette, et qu'il n'était donc pas surpris de l'arrivée de la sorcière. Il avait vu ça dans les astres, la position d'une étoile ayant changé, cela pouvait être synonyme de changement voir de bouleversement. Esther ne comprenait pas grand chose à ce que la bête disait mais elle ne retint qu'une seule chose: la divination astrale. Alors, poliment, et assez naïvement, elle lui demanda de lui enseigner. Peut-être que ce jeune centaure était moins sage que ses congénères, peut-être qu'il était complètement fou, peut-être qu'il avait apprécié le ton franc de la jeune fille. Personne ne savait. Mais, le résultat fut qu'il accepta. Ils se retrouvaient rarement, mais assez pour qu'il lui apprenne correctement les rudiments de la maîtrise de la lecture astrale. Une seule règle: ne jamais tenter de modifier un futur qu'elle aurait pu entrevoir dans les étoiles. Arrivée en sixième année, Esther continua son apprentissage en tout discrétion avec le professeur Firenze. Celui-ci était au courant de ses petites escapades avec un de ses congénères. Cependant, il ne lui en tint pas rigueur. Il était sage, bien plus sage que les autres et beaucoup moins fougueux. Il avait sûrement vu dans une de ses prédictions que la sorcière ne partagerait pas ses connaissances, qu'elle garderait son secret avec elle jusque dans la tombe s'il le fallait. Alors, il lui apprit tout ce qu'il savait ou du moins, il essaya. La jeune femme avait des facilités dans l'exercice de la divination et de la voyance, néanmoins, il lui était parfois difficile de saisir les propos de son mentor puisque celui-ci parlait régulièrement par énigme. Quand la guerre éclata, Esther avait regardé attentivement le ciel. La planète Mars était brillante, beaucoup plus que d'habitude. Elle ne dit rien, sachant très bien que les prochains moins allaient être difficiles. Puis, lors de son escapade à Amsterdam, elle se rendit compte que la Lune était entourée de quatre étoiles scintillantes. Une période bien sombre allait donc recouvrir le monde magique... Maîtrise ; Esther maîtrise parfaitement l'art de la bonne aventure. Ses prédictions sont en général justes même s'il y a une marge d'erreur bien plus importante que si elle avait était dotée du troisième oeil. Quant à sa maîtrise de la lecture des astres, elle ne prétend pas être au niveau d'un centaure (4 ans n'étant pas suffisants pour dominer l'exercice à la perfection). Cependant, elle s'entraîne assez régulièrement pour l'améliorer. (J'espère que cette fois sera la bonne !  ) |
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HERO • we saved the world Elijah Buckley | Elijah Buckley; semi-loup. Motivation ; contrairement à mes aUTRES PERSONNAGES (je ne vise personne), Elijah est, je crois, plutôt en harmonie avec sa condition de semi-loup. Ça fait plusieurs années maintenant (presque sept) qu'il vit avec du sang de semi-loup dans les veines. J'aime l'idée de faire un personnage qui vit en harmonie avec cette particularité; surtout qu'Elijah a un caractère complètement différent de mes précédents personnages, plus sage, modéré et calme — mature, en fait.  Bref c'est un petit plus qui m'attire pour le personnage, parce que contrairement aux autres, même si ça fait partie de lui, il n'est pas du tout défini par cette particularité mais par toutes les autres sales choses qui lui sont arrivées dans sa vie. Maîtrise ; Donc du coup, ça fait sept ans qu'il a été griffé par un loup-garou lors d'une pleine lune, sept ans qu'il a survécu à un massacre et sept ans qu'il vit avec cette nouvelle condition de semi-loup. Au début, évidemment, ça a pas été simple: il en a beaucoup souffert, surtout du rejet de sa soeur jumelle, complètement anti-créatures. Ça l'a beaucoup taraudé, il a été très perdu mais ça l'a aussi plongé dans l'écriture, un moyen comme un autre pour lui de s'échapper et de s'aider à comprendre vraiment ce qui lui arrivait. Grâce aux Insurgés, il a été mis au contact d'autres gens et surtout, d'autres loups, rencontrant aussi des loup-garous créés par le même créateur. Tout ça l'a beaucoup aidé à s'accepter et si au début les coups de sang, goût de la viande rouge et agressivité autour de la pleine lune ont été horribles pour lui, aujourd'hui, il contrôle un peu mieux (genre il salive pas sur un steak pas cuit et il arrive un peu à rester stoïque, sauf si il est déconcentré, lors d'une pleine lune). Enfin voilà, il vit plutôt en harmonie avec son semi-loup, il a complètement accepté que c'était qui il était aujourd'hui. Il n'a qu'une envie: changer le statut des semi-loups et des loup-garous au sein de la société, parce que même dans les rangs des Insurgés ils sont nombreux à avoir encore des préjugés. j'espère que ça ira, merci de la considération, jvm.  |
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HERO • we saved the world June Winchester  | Esther, la demande est en zone staff Elijah, je remonte la tienne  |
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HERO • we saved the world June Winchester | Elijah, c'est bon pour nous  |
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HERO • we saved the world Elijah Buckley | MERCI. |
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| | Salazar « OS » Sayre ; Animagus
Motivation ;
Tout d’abord, commençons par parler des origines de la famille Sayre afin de connaitre les motivation de Salazar a devenir un animagus. La famille Sayre prend son origine en Irlande, à une époque très lointaine et surtout, très connue. Une sorcière avait la capacité de se transformer en corbeau afin de lutter contre son frère et son plus grand ennemi, je parle bien sûr de Morgane Sayre dit Lafey. Elle a réussi à maitrisé l’art subtile de la métamorphose afin de devenir une créature magique et animal, c’est ainsi que la famille Sayre devint régis par la loi du corbeau.
Sa naissance est aussi bordé sous le serpent à Plume, comme là dit si bien son grand-père maternel. De l’autre côté de la famille, Salazar est à moitié indien Cherokee. Cela se voit surtout dans son rapport à la nature, qui est très fort, il a surtout un talent innée pour la magie chamanique et élémentaire. Sans être considéré comme un hippie, le sorcier reste un homme très proche de la nature et de ce qu’elle nous offre.
Depuis très jeune, Salazar a toujours été passionné par l’histoire de cette superbe sorcière qu’était son ancêtre. Il a toujours voulu arriver à sa hauteur, c’est pour cela que très jeune, il a commençait à faire des recherches sur le fait d’être un animagus. Plus il lisait ceci, plus le jeune enfant comprenait qu’on ne devient pas une telle créature en un tour de main.
Salazar commença donc l’étude de la métamorphose avec beaucoup d’intérêt, et il devint très vite très doué dans ce domaine, au point, ou il fut approché par le mensuel de la métamorphose vers l’âge de seize ans, afin d’écrire un papier sur la métamorphose, un art ou une matière. Cet article ayant suscité beaucoup d’intérêt surtout de la part de son professeur de métamorphose, Salazar la supplia presque à genoux de lui apprendre et de l’aider dans sa quête pour devenir un animagus.
Au bout de quelques mois, le professeur accepta de l’aider, enfin après qu’il eut juré de le faire sans son aide et qu’elle aurait sur la conscience s’il terminait en une créature difforme pour le reste de sa vie. L’entrainement commença et c’est le jour des ASPICS que le jeune étudiant arriva enfin à maitriser sa transformation.
Le jour de l’examen de pratique de métamorphose, l’examinatrice qui avait lu l’article écrit par Salazar, lui demanda qu’elle a été le sort le plus compliqué à apprendre pour lui, en métamorphose. Ce à quoi, il répondu en se transformant en corbeau sous le regard ébahis de l’assistance. Après avoir repris forme humaine, le sorcier fut approché discrètement par son professeur qui lui dit à l’oreille :
o «Je suis fière de toi, tu as réussi à égaler Morgane »
A ces mots, Salazar versa plusieurs larmes, après tout ce temps, il y était enfin arrivé.
Maîtrise ;quel point votre personnage contrôle-t-il sa particularité ? Salade est un animateur accompli depuis plus de vingt ans, il a une forme de corbeau et boite à une patte, cela est à un combat contre trois mangemorts, il y a quelques années de cela. Cela lui a laissé un claudiquement sur la jambe droite.
Points xp accumulés en total ; (pour les personnages déjà validés)
Points xp nécessaires ; (pour les personnages déjà validés)
Gallions à débiter ; (pour les personnages déjà validés) |
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je reposte dans le bon pour qu'Esther voie/sache 
