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sujet; boris bagshot – my baby (bag)shot me down

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Boris Fido BagshotHard like a rock, cold like stone, White like a diamond, black like coal, Cut like a jewel, I repair Myself when you're not there
❝ We're running in circles again ❞death eater ; SC

☇ pseudo complet & surnom(s) ; boris ; concis et rarement utilisé, parce qu’à l’âge adulte, on n’est plus qu’un monsieur et un nom de famille. fido ; il va falloir qu’on t’explique quelle fée a piqué tes parents le jour où ils t’ont accolé ce second prénom. bagshot ; les gueux qui se sont vus purifiés grâce à ta mère. Un nom qui a brillé autrefois, s’est usé, et tend à revenir sur le devant de la scène en plaqué or. casper ; à l’époque insurgée, nom de code en écho à ta distance et ta transparence. En écho, qui sait, à la trahison dont tu allais frapper les rebelles qui te considéreraient, si ce n’est comme un renégat à abattre, comme mort. Fantôme que tu laisses dans les camps que tu quittes. En écho, on dirait, à ta nature éphémère et vaporeuse, le voile qui va d’une pièce à l’autre, porté par l’air du temps et le monde. gueule d’ange, BB ; sobriquets plus ou moins affectueux selon qu’ils étaient dénichés par les rafleurs envieux, les insurgés moqueurs ou les filles et les garçons sous le charme. On a beau t’avoir balancé d’un camp à un autre, y’a pas à dire, en terme de surnoms douteux, les mangemorts valent les Loups belliqueux. fagshot, bagshit ; appartiennent à une époque adolescente révolue, réservés aux grandes goules qui ne se lassaient pas d’essayer de te faire tourner en bourrique.
☇ naissance ; 11 mars 1980 (à quelques années près, tu aurais dépassé ta sœur pour une fois), Irlande du sud, dans une bourgade sur les flancs de Killarney ; Mère n'a pas et le temps d'être évacuée à l'hôpital le plus proche (c'est à dire le plus loin) ; de fait, elle a évacué (excusez le bon goût, mais les accouchements font partie des événements de la vie qui t'échappent, malgré ton esprit fin) dans sa chambre, sur les draps de la grand-tante -la légende dit que c'est elle qui, en compensation, a tenu à t'appeler Fido...
☇ ascendance; adorable rejeton de Balthazar Bagshot et de Hermione Granger Scamander (comment ça, on reste entre nous ?). Eux-mêmes descendants d'hommes et de femmes de sciences et de culture. De fait, gosses frustrés de ne pas avoir pu se démarquer autant qu'eux et désireux de le faire. Ont donc tendance à projeter leurs rêves sur leurs propres mômes. Récemment, Mère ne se sent plus depuis que tu es devenu le héros des tabloïds, pendant quelques mois, où elle sera parvenue à en profiter pour purifier une bonne fois pour toutes la famille. « N’empêche que ce sont quand même des gueux ! » R. L., sang-pur circonspect à la sortie des bureaux.
☇ métier ; mangemort à plein temps et rafleur en formation, tu t’es mis en tête de redorer le blason de cette milice peu reluisante. Tu vas avoir du pain sur la planche. Les supérieurs de tes supérieurs sont très satisfaits de ton travail consciencieux ; mais pour ce qui est de tes collègues, ils ne te trouvent absolument pas taillé pour le job, dans tes petits costumes trop bien taillés.
☇ camp ; gouvernement, d'après les convictions de Père et Mère que tu as fini par faire tiennes.
☇ réputation ; Primadonna boy, joli cœur, reine de la promo, du temps de Poudlard ; on avait tendance à te confondre avec Imogene Rowle ; et à te prendre pour le souffre-douleur favori de Zacharias Smith. Ensuite, après les incidents insurgés et ton retournement de veste, tu es devenu le mouton noir de la bourgeoisie sorcière ; le Caïn de quelque Abel, le Judas. Mais c’est en Messie qu’on a accueilli ton retour, Astoria Greengrass au bras ; la renaissance du fils prodigue. Les odieux portraits qu’on dépeignait de toi du temps de ton infiltration ont légué la place à des interviews en première page, photoshoots charmants et pittoresques du gendre idéal que tu étais en prime ; tandis que chez les rebelles, on jetait à présent des pierres sur le traître qui n’était pas devenu le héros du bon camp.
☇ état civil ; d’après les journaux mondains, tes fiançailles avec Astoria approcheraient à grands pas, bien que vous n’en soyez pas au courant. D’après les torchons à un gallion et demi, tu collectionnerais les mignons un peu moins mignons que toi. D’après ta chère et tendre mère, une chose est sûre : tu es définitivement trop célibataire.
☇ rang social ; jeune mangemort prodige et famille purifiée depuis peu, s’envolant ainsi dans la hiérarchie sorcière.
☇ baguette ; 24 cm, bois de saule et crin de licorne ; on dit qu’il s’agissait du même animal que pour garnir la baguette d’Astoria. Un peu trop rigide et a tendance à pinailler sur la manière dont les formules sont prononcées.
☇ épouvantard ; que plus aucun camp ne te reconnaisse ; que tu ne rentres plus dans aucune case, qu’on renverse toutes les cases, même celles dans ta tête dans lesquelles tu rangeais tout bien pour ne pas tout oublier de nouveau. Tu préférerais devenir la risée des journaux people plutôt que d’être rejeté.
☇ risèd ; Tori, telle qu’elle est, ta sœur de retour, ta mère fière de toi, ton père réceptif, tolérant ; et toi, leur présentant cette main, serrée très fort, très grande.
☇ patronus ; un renard, un nuisible ; il a disparu à présent –dommage, tu aurais bien aimé trouver le temps de lui donner un nom.
☇ particularités ; apprenti occlumens ; tu adoptes le comportement idéal pour être en phase de réussir à totalement fermé ton esprit aux intrus ; malheureusement, les petites manipulations sur ton esprit t’ont condamné à ne jamais être à l’abri des legilimens indiscrets ; mais ça, Mère n’a pas jugé bon de te le préciser, et félicité tes honorables résultats.
☇ animaux ; Clio, Euterpe, Thalia, Melpomène, Terpsichore, Erato, Polymnie, Uranie et Calliope, tes poissons exotiques. Rien de magiques, si ce ne sont leurs robes surnaturelles. Tu es aux petits soins avec elles.
☇ miroir ; tu n'es pas resté suffisamment longtemps chez les insurgés pour qu'ils t'en confient un.
☇ Avis sur la situation actuelle :
à présent, ton avis est on ne peut plus clair ; tu es convié à toutes les soirées chics organisées par la crème de l'élite sorcière. La marque sur ton bras est encore fraîche et parfois douloureuse. Il ne fait aucun doute aux yeux du monde que tu as trouvé ta place dans cette guerre. Néanmoins, certains fouille-merde auraient tendance à se méfier de toi, face à l'indécision et la malléabilité de ta mémoire. C'est vrai quoi, ta collaboratrice de mère avait bien farfouillé dans tes souvenirs pour t'infiltrer chez les rebelles ; qui dit qu'ils n'ont pas retourné le subterfuge à l'envoyeur ?
De fait, pour toi, les choses doivent être bien claires, bien rangées, quitte à adopter une vision manichéenne des choses, attitude propre aux simples d'esprit et à la masse de gueux qui lisent les journaux en première page desquels on t'aperçoit en photo volée au bras d'Astoria ; pour eux, tu es un exemple à suivre, modèle pour la jeunesse bourgeoise et gendre idéal pour leurs parents. La propagande est telle que les stylistes vont jusqu'à associer le motif de ton foulard avec ta marque des ténèbres.
Mais pour d'autres, tu es encore trouble, versatile et ils craignent que tu n'attendes qu'une occasion pour retourner ta veste, une fois de plus, après tout ça, jamais deux sans trois.
Pourtant, d'après la version finale des faits extraits de cette affaire, tu as toujours fait partie du camp du Magister. Il n'y a donc aucune raison pour que ça change, n'est-ce pas? Il n'y a donc aucune raison que qui que ce soit tombe sur les lettres de Casper. Tu n'es pas fou. Tu sais très bien que Casper, c'est toi. C'est simplement des moments où tu t'oublies, à cause de la fatigue et du surmenage, sans doute. C'est simplement ton subconscient qui, de temps en temps, sort de sa case, par les petits trous qu'on n'a pas réussi à reboucher.

☇ Infos complémentaires ; garçon assidu, tu ne comptes plus le nombre de fois que tu as épluché les livres familiaux, Histoire de la magie et Vie et habitats des animaux magiques assidu et besogneux certes, mais seulement pour les matières qui t’intéressent ; de fait, les bonnes notes n’étaient pas toujours au rendez-vous cela étant, tu as quand même été sidéré le jour où sur un coup de tête, Dumbledore a fait annuler tous les examens de fin d’année en effet, tu planifies toujours ce que tu vas faire ; tu ne vois pas d’un bon œil ce qui sort de l’ordinaire – autant dire que tu fuyais Potter comme la peste. De fait, tu peux paraître intransigeant et peu arrangeant ta vision bridée et manichéenne des choses peut être considérée comme un cran de sureté, derrière lequel tu te réfugies lorsqu’on te rappelle à quel point tu avais pu être toi-même ambivalent c’est d’ailleurs à cause de ça que tu ne pourras jamais devenir occlumens ; tu ne le sais pas encore et ne t’en doutes pas une seule seconde. En effet, à emmurer tes émotions dans la vie de tous les jours ou dans les temps critiques, tu adoptais la parfaite attitude (à ce stade de ton enseignement, tu saignes encore un peu du nez, et gardes toujours un mouchoir brodé en soie dans ta poche). Cependant, aussi stoïque que tu puisses être, ta forteresse mentale ne tiendra jamais sur des fondations rongées par les vers cela explique pourquoi tu peux paraître hautain : l’introverti que tu es ne comprend pas les gens qui n’arrivent pas à contenir le flux de leurs émotions, tandis que tu peaufines sans arrêt les dernières barricades de ton barrage –les fuites percées par Mère souvent, on a du mal à te prendre au sérieux à cause de ta gueule d’ange. Grave erreur, tu es du genre rancunier proie facile pour les détracteurs peu avisés, ton sens de l’observation te permet de faire feu quand on s’y attend le moins. Déjà à Poudlard, tu passais facilement pour une langue de vipère, tandis que tu considérais ça comme de l’humour grinçant et apprécié d’une minorité, voire comme de la franchise mal dégrossie tu portes en permanence des cravates, écharpes et foulards de bonne facture, afin de dissimuler l’énorme cicatrice qui dessine comme un sourire goguenard sur ta gorge blanche de la même manière, la maque des Ténèbres sur ton avant-bras gauche jure avec ta peau laiteuse. Tu trouves ce tatouage d’un mauvais goût flagrant ; mais comme on dit, les couleurs, ça ne se discute pas tu collectionnes des poissons exotiques aux gueules pas possibles. Quelque chose dans leur façon d’être beau sans l’être te déconcerte. Toi que la nature avait gâté en te refourguant un visage poupon, tu étais fasciné par cette laideur latente qui avait su se rendre gracieuse de par des artifices pimpants. De la même manière, tu te demandais comment le si laid et peu charismatique Magister avait fait pour attirer tant de fidèles tu es régulièrement sujet à d’affreuses migraines. Dans ces moments-là, tu te sens comme le rocher dans lequel on a planté Excalibur, lorsqu’un chevalier ou un gueux essaye de l’en extirper ainsi, pour remédier à tes capricieux souvenirs, tu as pris l’habitude de tenir un journal, où tu relates les faits objectivement –douce ironie quand on sait que tu tenais des journaux intimes plus subversifs quand tu étais adolescent. Ils ne contiennent à présent rien de bien secret ou de révolutionnaire, mais tu considères ça comme une précaution, pour exercer ta mémoire.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Léopoldine. J'ai 22 ans, je viens du Nord et j'ai connu le forum via mon maître. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [x] oui (j’espèèèère) / [] non. Un dernier mot ? ils ont de moins en moins de poils orz

Approuvé par le Ministère de la Magie


Dernière édition par Boris Bagshot le Mer 19 Oct 2016 - 20:17, édité 9 fois
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i'm forever chasing after timebut everybody dies. if i could buy forever at a price, i would buy it twice
❝ i wanna live forever (forever in your heart) ❞1984 & repas de famille

Laissant aller ses pensées entre deux plats et son dos dans le fond de sa chaise, Eugenia couve des yeux son petit poussin tardif qui joue un peu plus loin, à la table d’enfants, son minuscule index flirtant avec le papier glacé des photos de poissons qui viennent à sa rencontre que Rolf lui avait promis. Elle contemple avec une satisfaction simple cette feuille de parchemin encore vierge, qui ne demande qu’à boire l’encre de ses enseignements, comme son père à elle l’avait fait dans son livre, vendu des milliers d’exemplaires. Eugenia n’a jamais pu rédiger ses mémoires ; au contraire, son job à elle est de faire oublier des choses aux gens.
Mais pas à lui –qui l’eut cru ; à lui, à son bébé Bagshot, elle inculquera tout ce qu’une f- un garçon de bonne famille se doit de savoir. Il sera charmant, docile et obéissant. Jamais, ô grand jamais, on ne l’y reprendrait, à commettre la même erreur qu’avec sa fille aînée.
Boris est peut-être un accident, débarqué quatorze ans après Morrigan. Mais Boris est également une chance de tout reprendre à zéro. Peut-être qu’inconsciemment, il avait été attendu.
Elle nourrit de grandes ambitions pour lui ; même s’il se montre déjà être un enfant discret, il sera aimé, aimé des foules ; il n’y coupera pas, on le lit sur son visage d’ange aux joues et aux lèvres pleines – pas comme les cratères creusant le visage émaciée de Morrigan. Oh, sa pauvre Morrigan ! Heureusement que Boris est là, pour reprendre le flambeau de sa très chère mère.
De ta sœur, tu ne conserves aucun souvenir précis, seulement un sentiment général de tendresse, rendu amer à cause des langues de vipère de tes parents qui n’ont pas arrêté de te répéter que tu ne devais pas finir comme elle –alors en effet, tu n’as pas fini comme elle, puisqu’elle, elle aime les femmes, et toi, bah-

❝ don't wanna live in vain (but nothing lasts forever) ❞1991-98 & Poudlard

couloirs « –mets-toi à leur place, Bagshot ; c’est fort déroutant, pour les plus simplets d’entre eux, qu’un garçon soit plus mignonne que leur copine. » Imogene ramasse ton exemplaire d’Histoire de la magie mille fois compulsé qu’un rustre avait fait tomber en te boulant au passage, décorne quelques pages avant de te le rendre, circonspecte face à son état de décomposition avancée. Pour autant, vous vous teniez régulièrement compagnie, dénichant dans l’autre, non seulement une tenue exemplaire, mais également un camarade plein de ressources. En effet, la rivalité Serpentard versus le reste du monde qui était de mise à l’époque de Potter, très peu pour toi ; ça aurait signifié se couper d’une piscine regorgeant de fortes personnalités.
Ta grande sœur avait foulé les bancs de Serpentard –une petite victoire pour Mère quand elle avait appris que tu avais été réparti à Poufsouffle. Cela avait beau faire quatorze ans qu’elle avait étudié ici, certains professeurs prononçaient encore votre nom non sans une certaine appréhension, comme si tu étais génétiquement prédisposé à causer autant de grabuge qu’elle. Tu marchais donc prudemment dans ses pas, juste à côté, attendant et redoutant les retrouvailles, tandis que tes professeurs se félicitaient –on ne sait de quel droit- que tu n’empruntes pas le même sentier qu’elle.

cours de métamorphose De manière générale, tu consommais tes amis sur le pouce. Même si de par ton côté solitaire et discret, les filles s’arrachaient ton joli minois et les professeurs aussi –surtout quand tu levais la main en classe l’air charmant- tu te coltinais la resting bitch face transmise de mère en fils. « Bagshot, c’est tout à votre honneur d’être fier du patrimoine culturel de votre famille, mais nous sommes en cours de métamorphoses, alors reposez-moi ces sourcils et ce… traité sur les animaux magiques. »
C’était toujours la même chose ; tu voulais lire dans ton coin sans déranger personne, mais c’était considéré comme de l’impertinence. D’autres ne se mouchaient pas du coude pour semer la zizanie en classe, mais comme ils avaient le livre adéquat d’ouvert –est-il nécessaire de préciser qu’il s’agissait de Gryffondors ?-, on ne leur disait rien.
Certes, tu avais tendance à choisir les matières qui t’intéressaient. Cela étant, tu ne comprendrais jamais ces professeurs, pour certains névrosés, qui avaient tendance à relaxer leur frustration sur la ribambelle de bambins qu’ils avaient à charge. A croire que résidait là leur définition de responsabilité. Et rien ne t’insupportait plus que les énergumènes incapables de faire le tri entre l’objectivité nécessaire au travail et les états d’âme de la semaine…
Tu glisses l’exemplaire défoncé dans ta besace, harponnant au passage le regard mutin de Zacharias Smith, un bon à rien qui te servait parfois de binôme. Si tu restais avec lui, ça n’était pas tant que tu ne pouvais pas lui échapper que parce que tu étais curieux de découvrir chaque jour la nouvelle imbécillité qu'il allait régurgiter de sa grande bouche coassante.

février 1996, salle commune Tu laisses tomber ton front sur ton parchemin d’histoire de la magie. Il était certes à rendre pour la semaine prochaine, mais le planning ensorcelé que tu avais concocté (hybridé avec une beuglante) était strict ; tu aurais dû le boucler il y a une demi-heure.
Seulement, tu n’avais pas prévu dans ton emploi du temps sophistiqué que l’équipe de Quidditch remporte son dernier match et le fête toute la nuit. Tu as tenu bon, jusqu’à ce que le brouhaha commence à remonter dans les dortoirs, trop beurré pour te remarquer.
Tu quittes ton plan de travail afin de t’aérer la caboche, le temps que tous ces zouaves se mettent au lit. Il n’y a presque plus personne dans la salle commune, et le canapé près de la cheminée ronronnant a l’air inoccupé. « Merde, Bagshot, t’peux pas rester dans ton lit plutôt que d’traîner comme un p’tain d’fantôme ? » Purin d’hippogriffe, au pays des têtes dures, l’écervelé était roi ; et il fallait que ce soit lui qui soit encore debout –ou du moins, hissé sur ses deux pattes. « Va te coucher Smith. » souffles-tu alors qu’il essaye de retrouver sa dignité derrière un fauteuil « ‘Tention… t’as bouffé un Gryffondor aujourd’hui ? » Tu lèves les yeux au ciel « Smith, par tous les Mages, ferme-la ou je jure par mes ancêtres que je t’occupe la bouche à autre chose. Merci. Cordialement. » Tu avais encore tous tes esprits, malgré ton front encore rouge de concentration. « C’est une proposition Bagshot ? » Pour une fois, c’est toi qui es déjà sur lui, droit et tendu comme un saule cogneur au repos « C’est ce que tu veux que ce soit, Smith. » Et de mettre ta doucereuse menace à exécution en l’écrasant dans un fauteuil, dans des ahanements étouffés et des boucles de ceinture qu’on défait précipitamment.
Comme quoi, Smith devait apprendre à se taire. Tu le lui apprendras de temps en temps, dans la salle de bains des préfets, sans scrupule, puisqu’il n’en avait pas non plus, à transpirer la frustration au retour de ses entraînements –à tous les coups, c’était encore ses histoires avec Bell.

grande salle « J’ignore comment tu fais pour passer autant de temps avec lui » Imogene fronce les sourcils d’incompréhension, lissant pensivement sa plume. « Qui sait si sa bêtise n’est pas contagieuse. » Elle n’ose même pas affronter du regard le chaos de boucles qu’est la tignasse de Smith. « Mais tu as vu un peu la taille de sa bouche ! » tu lèves la tête du manuel Des Monstres humains et malédictions morphologiques. Haussement de sourcil ; elle range la plume à côté de ses consœurs. « Ce qu’il fait de sa bouche ne me regarde pas, Bagshot » vous échangez sans doute le seul sourire de toute l’année. Tu n’en démords pas « Je suis certain que c’est lui qui a appris à Potter à gober le vif d’or » « J’ai presque hâte d’assister au prochain match, quand ils passeront au souafle »
Il n’y a pas à dire ; la Rowle avait un humour mordant qu’elle réservait seulement aux plus avertis.

Mais lui au moins, il remuait la vase sans faire de vague. Il n’était qu’une mouche à merde dans la ruche Potter versus Malfoy. Toi qui n’aimes pas ce qui sort de l’ordinaire, ta promo a été servie. Tu crois avoir plusieurs fois surpris des professeurs soupirer sur ton passage, te couvant du même regard que ta mère, semblant se demander dans quelle promo de timbrés tu étais tombé.
Cette scolarité somme toute banale, si ce n’est saupoudrée d’amitiés particulières, aurait pu s’achever comme elle avait commencé, si Potter n’avait pas une fois de plus fait des siennes. Tu avais été bien obligé de suivre ses exploits, chaque année, commenté entre deux tasses de thé avec Rowle. Mais il est arrivé un moment où, non content d’écouter d’une oreille distraite, ou de se voir punaiser un badge anti-Potter sur la robe, tu t’es vu dans l’obligation de te salir les mains.
C’est peut-être pas plus mal, parce qu’à ce rythme-là, tu ne les aurais pas décrochés, tes ASPICs.

dernière année Tu pressentais que ça allait dégénérer le soir où Smith s’est fait embarquer par le duo Carrow. Oh, tu n’avais pas prédit le retour de Potter et compagnie. C’était dans ta tête que tu sentais que ça n’allait pas tenir.
Tu aurais pu affronter toutes les injustices et les ségrégations du monde, du moment qu’Imogene range toujours ses plumes tandis que tu révisais à la bibliothèque, et que Smith te corrompt avec de nouveaux parfums de savon.
« Et bien, Smith, tu n’as rien pour moi aujourd’hui ? » Ses boucles font volte-face ; pendant une fraction de seconde, tu te demandes s’il va te reconnaître. Et tu regrettes aussitôt d’avoir été pris de cet élan de spontanéité. On ne t’y reprendra plus. Il souligne le malaise d’un silence aussi lourd qu’une émotion. Tout son visage coule –son nez, ses yeux, sa bouche- et, ne prenant même plus la peine de faire bonne figure, il passe son chemin.
Que les choses soient claires : Smith ne représentait rien pour toi. Ou plutôt si, il représentait tous ces petits riens qui avaient constitué ton existence paisible. Il était cette blague vaseuse quand Potter accomplissait des exploits. Il te permettait de réguler tes émotions quand la bande de Potter te faisait avoir des haut-le-cœur.
Tu pressentais que ça allait dégénérer. Mais tu n’imaginais pas que tu allais dégénérer aussi.

❝ but if the earth ends in fire (there'll be just one survivor)1998-2002 & camps des insurgés

On ne t’oubliera pas mon fils, mais pour ça, toi, tu devras oublier.

fenêtre de la chambre Tu t’extirpes aux aurores d’un sommeil de plomb. Ça fait plusieurs nuits que tu dors si profondément ; la tête lourde comme aux lendemains des soirées où vous fêtiez la victoire de l’équipe de Quidditch. Mais cette fois-ci, tu te réveilles seul dans ta couche, et si les draps sont froissés, c’est uniquement dû aux cauchemars adolescents. Ils ont dégénéré, depuis la prise d’otages. Pourtant, Mère n’arrêtait pas de répéter que tu n’y étais pour rien. Pour quoi ?
Tu ignores pourquoi c’est aujourd’hui que tu dois partir. Et pourtant, c’est comme si tu ne pouvais plus te retenir, contenir ; ton sac ne contient que quelques affaires rudimentaires. Ton père ne se lève que dans quelques heures et jusque là, la voie est libre. Que les elfes de maison ne pointent pas le bout de leur nez aurait dû d’ores et déjà te mettre la puce à l’oreille. Jusqu’à présent, tu avais beau leur répéter que tu n’avais pas besoin de leur aide pour te chauffer un lait à la citrouille au beau milieu de la nuit, il y en avait toujours un pour percevoir le bruit de tes pantoufles glissant sur le parquet vermoulu.

Ça t’a pris aux tripes quand jamais rien auparavant. Comme si on avait tout effacé, et que seul importait que tu retrouves les rebelles pour te joindre à eux. Comme si on avait effacé quoi ? Il n’y avait rien, avant, n’est-ce pas ? Ça avait toujours été là, n’est-ce pas ? Tu avais toujours été aussi farouche et investi dans une telle mission. Tu avais toujours su que tu devais les intégrer sans pour autant abandonner ce côté distant qui lisse tes traits impeccables.
Et au vu de leur position, ils n’allaient pas cracher sur ta candidature et le brouhaha que ton intervention avait soulevé lors de la guerre de Poudlard. C’est que tu te sentirais comme un vétéran à ne plus en conserver de souvenirs précis.
Tu resteras néanmoins un élément assez solitaire, comme impérieux à l’idée de la mission dont il est investi, mais cependant suffisamment convaincu par la cause pour qu’on te garde.

qg belliqueux Toutefois, même si tu gardais soigneusement tes distances avec tes nouveaux comparses, tu n’en restais pas moins toujours aux aguets, très au fait des relations et des tensions entre les insurgés. Tu iras même parfois jusqu’à aller dénicher des tensions là où il n’y en avait pas à l’origine, invoquant le stress, la fatigue, la peur, tout ce qui forgeait un hargneux belliqueux. « Tiens, garde un œil sur elle, Casper » ordonne Hudson, le plus fatigué et hargneux des belliqueux « la filature, ça doit être ton truc, non ? invisible comme t’es » le genre qui te prendra éternellement pour une bleusaille dont il faut se méfier. Il secoue le bras de la jeune otage « Estime-toi heureuse, Greengarce, il est tellement discret que t’auras l’impression d’être en liberté ! » Un ricanement de mauvais goût et il vous laisse en tête à tête.
Ennemie ou pas, il n’avait aucun droit de la traiter de la sorte. C’était à cause de rustres dans son genre qu’on ne savait plus qui des deux camps était les méchants. « Ne fais pas attention à lui ; c’est une technique d’intimidation dont il abuse que tu sois dans son camp ou non. » tu hausses une épaule, croises son regard. Il te semble si familier que tu as l’impression d’être retourné à la maison. « Je suppose que c’est Greengrass en fait ? Moi c’est B- Casper » Merlin que tu abhorres ces surnoms ridicules. « Désolé d’avance, ils sont tous comme ça ; mais on s’y fait, crois-m- » « Oh, Casper, t’es pas là pour lui tailler une bavette ! »
Mais j’ai l’impression de te connaître depuis toujours.

janvier 2002Astoria se penche sur la silhouette effondrée de Hudson. « Pas maintenant. Cours. » Et aussitôt, vous détalez épaule contre épaule. Tu devais avouer que ce sortilège-là, Hudson ne l’avait pas volé ; et particulièrement parce qu’il s’en prenait à la jeune femme, profitant de la zizanie pour mener sa petite vendetta personnelle. Soupir consterné ; ça n’était. Vraiment. Pas. Le moment. Du coup, il avait volé.
Après tout, c’était lui-même qui t’avait ordonné de garder un œil sur l’otage. Tu ne faisais que lui obéir un peu trop consciencieusement pour être honnête. Pour le coup, tu pouvais avoir agi sur un coup de tête, puisque tu ignorais où vous couriez comme ça. Tu n’as pas eu à y réfléchir longtemps. Au vu de la cicatrice que tu portes actuellement, il avait dû s’agir d’un Diffindo atterri en plein dans ta gorge. Ça aurait dû t’être fatal. Logiquement tu aurais dû mourir. Tu ne t’es même pas senti tomber par terre. Seulement le sang brûlant qui jaillit sur ta gorge moite. Ton front qui se glace, le sang qui hoquète. Ce geste vain pour essayer de l’arrêter comme on calmerait une toux. Tes mains qui rencontrent celles d’Astoria. Cours, Greengrass, je t’ai dit de courir. Tu lui éclabousses du sang partout. C’est fou à quel point c’est terrifiant quand tout ce qui est dedans ressort, c’est f-

avril 2002 « Pourquoi tu m’as sauvé ? » Ce n’est pas logique, Astoria, nous ne sommes pas censés appartenir au même camp ; à ta place, j’aurais profité de l’occasion pour m’enfuir et rentrer chez moi. Regarde-moi, Astoria, je ne comprends pas. Il faut qu’on rentre chez nous. C’est tout ce qui m’importe depuis que je me suis réveillé. Auparavant, tout ce qui comptait, c’était que je rentre dans les rangs des rebelles. Et à présent, je n’attends qu’une chose, c’est de retourner la situation suffisamment à mon avantage pour pouvoir me carapater. Je n’ai pas peur, Astoria ; j’ai eu très peur quand j’ai failli mourir mais que tu ne m’as pas laissé mourir, même si j’ignore pourquoi. Je n’ai pas peur ; au contraire, je n’ai jamais été aussi convaincu de ce que je devais faire. C’est terrifiant. Aussi fascinant que d’avoir l’impression de te connaître depuis la nuit des temps, Astoria. « Tu connais le mythe des androgynes ? On dit qu’autrefois, il existait des êtres terrestres qui auraient pu égaler les dieux. Pour tuer dans l’œuf toute tentative de prise de pouvoir, on raconte que les dieux ont divisé chacun de ces êtres supérieurs, séparant leurs âmes communes en deux corps distincts. Et depuis ce temps-là, ils se cherchent sans relâche jusqu’à être de nouveau réunis. Si ça se trouve, on » doit fuir, encore.
Descente de mangemorts ; c’est que ça deviendrait une manie. Sauf que cette fois-ci, tu viens à leur rencontre, leur balançant la jeune fille dans les bras « Mettez-la en lieu sûr », et de les laisser se lancer à leur poursuite, le soulagement soulevant ta poitrine. Voilà, ça, c’est fait, comme c’était planifié depuis… tout dépendait de quelle mémoire on parlait.
Tu es de retour, mon tout petit ; tu n’imagines pas à quel point je suis fière de toi.

❝ i wanna be a silk flower (like i'm never gonna die) ❞2002-03 & la grande vie

dans les draps défaits « Tori, qu’est-ce qu’on est en train de faire ? » « Ce qu’il faut pour oublier ; ils disent que c’est terrible ce qui nous est arrivé. »
Tu commences à en avoir assez d’oublier, même si c’est ce qu’ils veulent que vous fassiez. Tu es conscient qu’on te crache dessus, que les doutes persistent. Tu lis les journaux sur les couvertures desquels tu fais la une. Vous vous moquez, parfois, avec Astoria, des clichés on ne peut plus ringard où vous apparaissez comme le couple modèle. Vous riez un peu jaune. Parce qu’ils ont pigé que vous vous aimiez ; mais tu te doutes qu’ils n’ont pas pigé comment toi, tu l’aimais. C’était tout un art d’attraper le bras de l’autre, l’air de rien, quand on sentait un appareil photo dans son dos. Tout un art de jouer son rôle, sans même que Mère n’ait à venir trifouiller dans ta tête, cette fois-ci.
Tu aimerais que ça ne se reproduise plus d’ailleurs, tu as la mémoire en lambeaux et des migraines terribles qui te figent le visage dans un étau, à la merci du marteau. Dans ces moments-là, tapi dans la pénombre de ta chambre, tu tiens avec application des journaux, dans lesquels tu retrouves parfois des lettres de Casper, que tu pensais avoir rangé dans un coin.
Tori est convaincue qu’il n’y a rien de mieux qu’un peu d’orvietan pour faire passer ça. Tout comme tu recourais au filtre d’amour pour passer la nuit avec elle, sans qu’elle ne se doute de quoi que ce soit. C’était pour elle, que tu faisais ça. Elle t’avait sauvé la vie alors tu préservais la sienne.

toutes les soirées Retour du fils prodigue qu’ils aimaient titrer, les journaux.
Tu es de toutes les soirées, fort de ta nouvelle réputation de héros, celle qui te monterait un peu à la tête, comme les coupes de champagne qu’on s’enfile, et qu’on s’empresse de t’enfiler, sitôt la précédente ingurgitée, afin d’observer tes joues de chérubin se vriller de rose, et ta langue –qui sait- se délier.
Mais même si tu te laisses flatter, jusqu’à ne plus savoir comment rendre la pareille autrement que par le langage du corps, tu ne leur diras rien ; parce que tu sais te taire, oh oui, c’est ta spécialité, et tu iras même jusqu’à t’occuper la langue d’une autre manière, plutôt que de leur révéler quoi que ce soit qui puisse desservir ta tendre Astoria. C’est pour elle que tu fais tout ça et que dis tout pas ça.
A frictionner le dos des curieux avec le dernier potin lu dans la Gazette, tu détournes l’attention de derrière tes yeux aux cils définitivement trop longs. C’est encore trop bégayant et parcimonieux pour être de la parfaite manipulation, mais tu serais prêt à tout pour ne pas brusquer le quotidien doré dans lequel tu t’es laissé enfermer avec Astoria.
Au fil du temps, tu t’es fait à ton côté fragile et gracile, ta face de chérubin, et as fini par le détourner à ton avantage ; tu n’as peut-être pas suffisamment confiance en toi pour te trouver beau, mais tu es conscient que ton physique plait aux gens ; de fait, à défaut de sortir du placard –parce que la presse et le père d’Astoria ont décidé que tu ferais un gendre parfait, tu picores des coups d’un soir. Toutefois, tu essayes de rester discret, histoire de ne pas faire scandale sous le feu des projecteurs ; mais il y a des sourires en coin parmi les invités qui ne trompent pas.
« Par Merlin, comment veulent-ils que je sois censée réussir à enfiler ça ? Tu parles de haute-couture ; on devrait appeler ça de la « trop-de-couture »… » « C’est précisément pour ça qu’ils te l’ont offert, Tori ; ils n’attendent qu’une chose ; que tu ne la mettes pas comme il faut ; ça ferait d’exquises photos pour ce soir » « … C’est ta cousine qui te refile ce genre de tuyaux ? » « Non ; les notables qui fantasment sur toi » « ou sur toi… T’es sûr que t’as envie d’y aller ? » « On fait ça pour nous, Tori- »



Dernière édition par Boris Bagshot le Dim 23 Oct 2016 - 16:37, édité 19 fois
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jule

EDIT 1 :
Spoiler:

EDIT 2 : chais chuis pas validée mais yeux te swager avec Rab ça aurait été moins productif tmtc #teamFagshot #teamBagshit

EDIT 3 :
Spoiler:

EDIT 4 : JE SUIS VALIDÉ NOW J'AI LE DROIT DE TE GUEUSER HAHAHA yeah MAIS DU COUP REREBIENVENUUUUUE AVEC BOBO CE BB yeah ow (en vrai tu sais déjà tout mais faut bien que je l'écrive quelque part :stare:) hehe jule


Dernière édition par Zacharias Smith le Jeu 20 Oct 2016 - 0:18, édité 5 fois
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Je viens t'aimer vue que t'as demandé :russe:
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HERO • we saved the world
Luna Lovegood
Luna Lovegood
‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
boris bagshot – my baby (bag)shot me down C9rrp50

‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
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cc bb yeah
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WIZARD • always the first casuality
Astoria Greengrass
Astoria Greengrass
‹ inscription : 29/10/2015
‹ messages : 966
‹ crédits : whorecrux, tumblr, skam.
‹ dialogues : indianred.
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‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.


‹ âge : vingt-trois (03/07)
‹ occupation : volontaire à Saint-Mangouste (TIG) et créatrice de mode, co-fondatrice de la marque OXOX, premier et populaire prêt-à-porter sorcier.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1992 à avril 98.
‹ baguette : est neuve et capricieuse. Elle mesure vingt-trois centimètres virgule six, est faite de bois d'érable et continent un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3968
‹ réputation : je suis une petite bitch écervelée qui ne mérite pas la miséricorde avec laquelle on la traite.
‹ particularité : soigneuse, capable de guérir (presque) tous les maux.
‹ faits : j'ai été enlevée par ma propre soeur et utilisée comme otage par les insurgés pendant quatre ans Je suis aussi la mère du petit Scorpius Malfoy. J'ai été en procès parce que j'ai été Adhérente pendant la Guerre, mais j'ai été innocentée ou du moins, condamnée à plusieurs mois de TIG notamment à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans un petit appartement du Chemin de Traverse avec ma mère et ma soeur, loué par les soins de ma tante.
‹ patronus : impossible pour moi à invoquer
‹ épouvantard : Frank Hudson, un ancien leader Belliqueux désormais mort, tenant la main de Daphne et m'observant d'un air cruel.
‹ risèd : Scorpius, heureux et épanoui.
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ON ME GUEUSE
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abel
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zach, tu vires, t'es même pas validé (voir img ci-dessus)
luna, y'a que toi qui fais les choses bien ici gosh, même ass-toria elle est en retard jpp
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cc bb :russe:







bonus:
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Marcus Flint
Marcus Flint
‹ inscription : 29/09/2016
‹ messages : 236
‹ crédits : ♠MOONY.
‹ dialogues : teal.
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‹ âge : 30 ans
‹ occupation : en taule.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1985 et 1993.
‹ baguette : mesure 31cm, a été taillée dans de l’if et pour le cœur, c’est un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 3253
‹ réputation : on dit que c'était un super bon poursuiveur, que c'est du gâchis, ses anciens camarades mangemorts savaient pas trop ce qu'il foutait là, ça tombe bien, lui non plus, on dit que c'est un idiot, un con, une brute épaisse.
‹ particularité : il est plutôt doué pour repérer les flux magiques, c'est de famille, mais il manque d'entraînement, alors ce n'est pas un très bon Traceur.
‹ faits : il souffre de dyslexie et de dysorthographie, deux troubles qui n'ont jamais été pris en charge et qui rendent la lecture et l'écriture très difficiles pour lui - on le surnommait Ace sur le terrain, parce que c'était un Poursuiveur exceptionnel - il était le Capitaine des Falmouth Falcons et adorait ça - les attentats de Ste Mangouste en 2003 lui ont coupé les ailes - il souffre de douleurs chroniques dans le dos - le navitas est la seule chose qui faisait passer la douleur - aujourd'hui, il doit se contenter de ce qu'on lui donne à azkaban et ça ne suffit pas.
‹ résidence : une jolie cellule à azkaban.
‹ patronus : il n'a jamais su en faire un et prendre la Marque n'a pas aidé.
‹ épouvantard : les corps sans vie des (rares) personnes auxquelles il tient.
‹ risèd : il se voit de nouveau sur un balai, dans son uniforme des Falmouth Falcons.
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dis bonjour à ton sempaï. yeah
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WIZARD • always the first casuality
Ariane Moriarty
Ariane Moriarty
‹ disponibilité : dispo ♡
‹ inscription : 15/03/2016
‹ messages : 876
‹ crédits : kinjiki et fallen. pour la signature.
‹ dialogues : #625072.
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‹ âge : 24 (13/07/79)
‹ occupation : auteur de littérature de jeunesse.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1990 et 1997.
‹ baguette : mesure vingt-trois centimètres, en bois de chêne rouge et contient du dard de billywig ; elle est prédisposée aux enchantements.
‹ gallions (ʛ) : 3997
‹ patronus : inconnu.
‹ épouvantard : un rocking chair, ma mère assise dessus, sa maladie s'étant détériorée – mon futur.
‹ risèd : la reconnaissance en tant qu'auteur, sous mon véritable nom.
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