HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5949
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
| Erika Van Buren feat. danielle campbell • credit : tumblr❝ We're running in circles again ❞Groupe : wizard ou hunted | ☇ surnom(s) ; Elle en a plein. Elle n'a que ça, à vrai dire. A Londres, la plupart des gens ignorent son véritable prénom. Pour une partie de ses clients, elle est Joy ; pour d'autres, "amis" inclus, elle est Spleen. Elle possède au moins une demi-douzaine d'alias et il n'est pas rare qu'elle s'en fabrique de nouveaux, abandonne les anciens...☇ naissance ; au choix, en Hollande. Elle doit avoir entre 21 et 23 ans.☇ ascendance; sang-pur.☇ métier ; fille de joie, danseuse exotique, elle vend sa compagnie au plus offrant.☇ camp ; elle s'affiche comme étant pro-gouvernement, pour avoir la paix mais en réalité elle collabore avec l'insurrection depuis quelques mois.☇ réputation ; Tout dépend de quel alter-ego on parle. Pour la plupart ceci dit, elle est juste une danseuse au Centuries et un corps à louer, un corps qui trompe la solitude et vend sa chaleur. Comme elle ne s'étale pas vraiment sur sa vie privée, elle passe surtout pour un fantôme du Londres sorcier, une escale pour les âmes esseulées. Son atout est son aptitude à adopter n'importe quelle forme, et c'est ce qui lui garantit une clientèle variée, impliquant de hauts fonctionnaires.☇ état civil ; célibataire.☇ rang social ; prolétaire, à présent, mais elle vient d'une famille s'accrochant à sa bourgeoisie et connaît le goût du confort.☇ épouvantard ; la solitude. Elle n'est pas venue seule en Angleterre et se refuse à en partir sans son partenaire, frère de coeur de toujours. Alors oui, c'est bien là sa seule crainte : le perdre.☇ caractéristiques ; les tatouages, cicatrices et autres marques sont laissés à la discrétion du joueur.☇ patronus ; au choix.☇ particularités ; métamorphomage (demande à effectuer ici). elle a perdu l'habitude de miser sur des métamorphoses complètes pour changer d'identité : depuis un moment déjà, elle transforme seulement des parties de son corps afin de s'économiser autant que possible, la nourriture manquante et/ou déséquilibrée et l'épuisement ayant créé des carences. ses changements ne tiennent pas si elle les multiplie ou ne s'y prend pas progressivement. à savoir que sa véritable identité est en sécurité, puisqu'elle n'était apparue aux côtés de son cousin que sous de fausses apparences; d'où le fait qu'elle soit plus ou moins tranquille à présent, même lorsqu'elle se contente de changements minimes.☇ animaux ; un rescapé, sauvé de justesse. mi-Fléreur mi-chat de gouttière, une oreille à moitié arrachée, corps de vétéran, agile mais abimé. Il feule agressivement à la vue de la plupart des clients qu'il croise et elle l'écarte d'un coup de pied, de peur que les visiteurs ne lui infligent pire. C'est un indépendant, de toute façon. Il vient réclamer sa pitance, apparaît miraculeusement lorsqu'elle se sent mal, mais disparaît la majeure partie du temps.☇ risèd ; au choix.☇ caractère ; Loyale avec un grand sens du devoir, créative, sarcastique, pragmatique, fière, maligne, facilement secouée dans son estime de soi (et ça empire chaque jour depuis qu'elle se vend), tenace et opiniâtre, à la fois consciente de ses capacités à séduire et profondément malaisée vis-à-vis de son corps (elle est persuadée de plaire comme un bout de viande plait, pas pour autre chose), souvent tentée de changer son apparence grâce à son don, appliquée, protectrice, dangereuse lorsque mise en colère ou provoquée. Elle peut s'emporter contre les gens qui comptent à ses yeux mais ne les abandonnera pas pour autant. |
• Famille Hollandaise de sang-pur, les Verbeek n’ont pour richesse, et ce depuis quelques décennies à présent, que leur nom, leur réputation et leur capacité presque indécente à enfanter des filles incapables d’assurer une réelle pérennité à la lignée. La mère d’Erika est la quatrième née de la branche principale. Précédée d’une paire de jumelles, en plus de l’ainée et suivi par une petite sœur et enfin un héritier, il est inutile de préciser qu’elle n’a été qu’une énième demoiselle grandissant dans une demeure étouffante de féminité et manquant cruellement de moyens derrière les apparences tant bien que mal maintenues. Les dots de mariage coûtant beaucoup d’argent, argent que les Verbeek n’avaient pas, elle a été mariée relativement jeune à un homme dont la réputation n’était pas totalement éclatante mais dont le compte en banque rattrapait tout écart (ou presque). Le père d’Erika, Monsieur Van Buren descendant des colons néerlandais s’étant installés en Nouvelle Hollande (actuel côté Nord-Est du Brésil), vendeur d’art magique de son état fut en effet peut-être un peu généreux dans l’estimation de son patrimoine. Souffrant d’un goût pathologique pour le luxe et aimant les jeux, il n’a épousé Mademoiselle Verbeek que pour se racheter une conduite et présenter une alliance forte à ses créanciers, ceux-là même devant lesquels il avait, quelques années plus tôt, dilapidé une bonne partie de la fortune de ses aïeuls. - généalogie abrégée:
MR. & MRS VERBEEK - AINEE VERBEEK • potentielle progéniture
- JUMELLES VERBEEK • potentielle progéniture
- FILLE VERBEEK épouse VAN BUREN + prénom VAN BUREN • Erika Van Buren (entre 22 & 27 ans)
- MEABH VERBEEK épouse PARKINSON (47 ans) + ATTICUS PARKINSON • Pansy Parkinson (22 ans) + Blaise Zabini (22 ans) - Briar-Rose & Violet Parkinson (jumelles âgée de quelques mois)
- HERITIER VERBEEK • potentielle progéniture
• Si l'enfance et l'adolescence de la jeune femme sont relativement libres, il est important de noter qu'elle a été élevé avec son cousin, fils d'une de ses tantes. Presque frère de lait, il est devenu et est resté son meilleur ami au fil des années et c'est avec lui qu'elle s'est rendue en Angleterre. Un autre point important concernant la jeunesse d'Erika : la modestie des moyens. C'est dans les restes abîmés d'une grandeur d'autrefois qu'elle a fait ses premiers pas, connu ses premiers émois. Il y avait là dedans, derrière ces portes voilées par l'humidité et le temps, beaucoup d'orgueil, beaucoup d'envie aussi et bien souvent, on parlait d'une tante ayant réussi à s'enfuir des dettes et du manoir décrépit des Verbeek et vivant au coeur du Londres sorcier, plutôt que dans la campagne hollandaise. Aux murmures s'ajoutait d'ailleurs l'idée d'une fortune amassée par cette tante et la notion que cet argent revenait de droit à la famille et non pas à l'égoïste sorcière devenue débutante arriviste. • Pensant sans doute que les enfants n'écoutaient pas, les deux sœurs ont longuement parlé de la fortune de Méabh Parkinson, celle qui leur avait tourné le dos. Erika et son cousin ont juré de mettre la main dessus et même si à l'époque ce n'était qu'un pacte enfantin n'engageant à rien, de ce que l'on oublie dès les premières pluies, l'idée est revenue quelques années plus tard. • Métamorphomage, elle s'est tout naturellement retrouvée à aider son cousin lorsque celui-ci est devenu journaliste. C'est même grâce à elle qu'il a obtenu son premier emploi. Quoi de mieux qu'un caméléon humain pour aller à la chasse aux informations, n'est-ce pas ? D'investigations peu importantes en reportages bénins, cependant, le jeune homme a finalement été envoyé en Angleterre en Avril 2000 pour couvrir la venue de plusieurs émissaires internationaux en visite à Londres. Le déplacement officiel a cependant tourné au vinaigre et plusieurs ambassadeurs et représentant ont été portés disparus ou tués ( cf. Chrono ). Lorsque le jeune journaliste a tenté de communiquer ce qu'il a pu voir, il s'est retrouvé incarcéré et est par la suite devenu un rebut. • Recherchée en tant que partenaire du journaliste, Erika s'est retrouvée pistée, perdant dans la foulée nombre des couvertures de ses enquêtes. Seule la plus récente a tenu : position de danseuse au Centuries qu'elle n'avait mise en place que quelques semaines auparavant dans l'espoir d'approcher des personnages haut placés, et que les autorités n'ont pas reliée a ses autres identités. Elle s'est donc fixée sur ce visage pour échapper à l'attention, s'enfonçant maladroitement dans un monde nocturne alors fait de spectacles, de paillettes et de danses sensuelles, le temps que ses détracteurs l'oublient. • La Chasse d' Halloween 2001 a ranimé ses espoirs : son cousin a compté au nombre des rebuts fugitifs. Dès qu'elle a lu son nom dans la colonne des criminelles recherchés, Erika n'a eu de cesse d'attendre un signe de sa part, persuadée qu'il saurait la retrouver. Comme de fait, il a toqué à sa fenêtre un soir de décembre, et c'est sans hésitation qu'elle s'est engagée à l'aider. D'abord en lui glissant des gallions, des boissons, de la nourriture, parfois un toit lorsqu'il consentait à profiter de son hospitalité en dépit du danger. Et puis sa présence l'a arrachée à son apathie, a ranimé la motivation qu'elle éprouvait autrefois pour leurs enquêtes. Elle s'est proposé de lui dénicher des informations. • En charge de deux vies (et parfois plus, lorsqu'elle lui fournissait des vivres pour ses comparses insurgés également), Erika s'est rapidement retrouvée à court d'argent. Elle s'est cherché d'autres emplois, en vain, et s'est retrouvée plongée dans un engrenage terrible : la prostitution. D'abord sous la coupe d'un trafiquant dont elle ne connaissait pas l'identité réelle (Maksim Dolohov), puis libérée du joug de ce boss et recrutée par la téméraire Loki, elle s'est fait un nom dans le milieu, attisant les envies grâce à son don. Cette vie l’écœure et elle ne ressent absolument aucun plaisir à subir les abus de certains mangemorts, qui la considèrent comme une marchandise, se servent sans payer et sans se soucier de ne pas avoir son consentement (par chance, ces occurrences sont devenues plus rares depuis qu'elle est la protégée de Loki). Elle tolère les autres clients, pour peu qu'ils la traitent avec décence. Mais dans l'ensemble, elle rêve avant tout de retrouver sa liberté et ne tient le coup qu'en s'accrochant aux confidences récoltées sur l'oreiller, après quelques grammes d'Orviétan. • Il lui arrive encore de songer au plan élaboré quelques années plus tôt, celui visant à dépouiller sa tante, Méabh Parkinson, de cette fortune qu’elle et son cousin ont longtemps estimé comme étant la leur. Quelque part, l’idée est rassurante, un fantasme auquel s’accrocher lorsqu’elle perd espoir, lorsque son moral est au plus bas. Parfois, même, elle se retrouve à imaginer qu’elle va jusqu’à la résidence Parkinson, frappe à la lourde porte, réclame son dû, demande à Méabh qu’elle fasse jouer de ses relations pour la protéger, protéger son sang… Soit elle n’est jamais tombée assez bas pour y aller, soit elle n’a jamais trouvé le courage de réellement se mettre à marcher. Elle s’est pourtant rapprochée, indirectement, de sa cousine, en fréquentant Draco Malfoy. Non content d’être le filleul de Méabh et l’ex petit-ami de Pansy, il habite également dans la même résidence prestigieuse que cette dernière, la Bran Tower où elle se rend régulièrement sous les traits de Joy, la danseuse. (cf liens) " She’s something odd and uncertain, half of her was made of stars, full of death and filled with light; her other half was made of scars, full of life and filled with darkness. "
KID O'FAOLÁIN (richard harmon) ; Lorsqu’ils se sont rencontrés, quelques années plus tôt, Erika cherchait à parler à un rafleur pour avoir des informations sur les insurgés et lui descendait une pinte après une journée de boulot. Ce n’est pas auprès de Kid, qu’elle a cherché des informations, pourtant. A vrai dire, elle s’est débrouillée pour draguer un de ses collègues, s’installant sur ses genoux, riant à ses blagues nulles, le tout sous le regard dubitatif du jeune homme. C’est surement la façon dont il l’observait qui a poussé Erika à lui balancer une pique, qu’il s’est empressé d’égaler, sans gêne, cynique au possible même si planqué derrière son verre. La soirée a continué, elle l’a partiellement ignoré et il a fait pareil, jusqu’à ce qu’elle se fasse emmerder par un type que kid n’aimait pas spécialement. Provoquant une rixe plus par ennui que pour la défendre, cette inconnue jouant les groupies de bas étage auprès des raclures de caniveaux qu’ils étaient, dans ce bar miteux, il a fait en sorte d’envoyer au tapis l’homme ayant collé une main vagabonde aux fesses de l’inconnue. Finissant par se faire jeter dans la rue, la lippe en sang mais affichant un sourire goguenard parce que l’autre était dans un état pire, Kid s’est retrouvé face à la brune, qui a gueulé qu’elle n’avait pas besoin d’aide, puis lui a demandé une cigarette et du feu en le voyant s’en allumer une. De fil en aiguille, de vannes en commentaires, elle a proposé de le soigner et ils ont passé la nuit à discuter, installés sur le rebord de la fenêtre de l’appartement d’Erika, échangeant tour à tour bouteille d’alcool ambré et cigarette à moitié fumée, elle affirmant encore et encore n’avoir besoin de personne, lui finissant par admettre qu’elle avait été juste une excuse pour cogner sur quelqu’un. Kid ne connait pas son vrai prénom. Pour lui, elle est Spleen, juste Spleen. Il connait son visage, pourtant. Il connait son don, son métier et il connait l’odeur de ses draps, surtout. Petit à petit, s’apprivoisant à moitié, ils se sont rapprochés. Lui rafleur désordonné, elle vendant son corps. Jamais rien d’officiel, jamais rien d’exclusif, parce que la jalousie n’avait pas sa place là-dedans. Souvent l’un chez l’autre, ils ont été longtemps amants, sans attache réelle, sans complications ou fioritures, avant que Kid ne disparaisse de la circulation. D’abord porté disparu lorsqu’il a été capturé par des insurgés pendant une rafle, il a ensuite été annoncé comme traître quand plusieurs personnes l’ont vu aider l’insurrection et s’en prendre à certains de ses anciens collègues. Pas au courant de l’existence du cousin de la jeune femme, Kid n’a pas voulu reprendre contact avec elle, pour le moment, pensant la protéger quand bien même elle serait la première à beugler qu’elle n’a pas besoin de ça. Elle lui manque, pourtant. Et il s’inquiète, parce qu’elle traîne avec des gens dangereux, parce qu’elle est seule la nuit, parce que même si elle est capable de se débrouiller, le monde reste chaotique. Il s’inquiète parce qu’il lui fait confiance, parce qu’elle a été importante, parce qu’elle l’est encore, quelque part. Dans une autre vie, ils auraient pu construire quelque chose, mais il reste une relation cinglante et pourtant rassurante, il reste le fait qu’il connaît son véritable visage et l’apprécie comme ça, avec les imperfections, les petites cicatrices, l’air vexé. ( cf : passage de ma fiche de présentation sur eux ) Draco Malfoy (Tom Felton) ; C’est un client, un régulier. Réticent à céder aux plaisirs de la chair au départ, presque vexant avec sa façon de la regarder comme un corps trop usagé pour lui convenir. Mais elle connaît plutôt bien les hommes, Erika, et elle a vu le moment où il a changé – le moment où le dandy pédant et propre sur lui a commencé à sombrer, encouragé par le patron du Centuries à chercher un apaisement dans la débauche. Draco Malfoy, trop délicat pour poser son cul béni sur les sièges des salles privées du club, parce que d’autres étaient passés là avant lui et que cette seule idée lui insupportait. Trop prétentieux pour lui plaire, trop proche de sa cousine Pansy également pour trouver tout à fait grâce à ses yeux, il a eu droit à un numéro de charme en bonne et due forme parce qu’elle n’avait d’autre choix que de faire son travail. Pour lui, elle est Joy : danseuse exotique et flirt agréable dans le cadre de son emploi au club. Et depuis quelques mois, elle lui fournit également les doses qu’il commande à la patronne – il consomme tant les psychotropes que son corps, refusant bien sûr de fouler les draps d’une chambre glauque louée à l’arrache, préférant ses quartiers à la Bran Tower. Joy a voulu en tirer son parti : elle a fouiné à l’intérieur, mis la main sur des dossiers, mais n’a eu que quelques secondes pour jubiler – tout était crypté. Foutus Langues de Plomb. Elle ne désespère pas ; il est une tombe, méfiant comme pas permis, mais elle commence à percer la carapace et sent qu’il baisse la garde, peu à peu. Cela dit, elle s’agace de se sentir satisfaite lorsqu’il fait appel à elle. Pas spécialement pour lui, mais parce qu’il lui rouvre les portes du luxe, brièvement, et qu’il est difficile de cracher sur un tel confort. Parce qu’il la traite correctement, aussi, et que les nuits avec lui sont autant d’heures loin des brutes que comporte sa clientèle ; c’est déjà ça de gagné. Il n’empêche qu’elle est parfois terriblement tentée de lui arracher son air suffisant, supérieur, en révélant qu’elle est de sang-pur et plus : liée, de sang, à cette Pansy qu’il adore tant. (cf : rp qui la mentionne) DARCY O'FAOLÁIN (cara delevingne) ; Si Darcy, la petite sœur de Kid, n’a pas de souci avec les conneries que peut faire son ainé, elle doit admettre avoir pourtant du mal avec Spleen. Elle ne connait pas grand-chose de la jeune femme, elle l’a juste vu traverser l’appartement une ou deux fois, au petit matin, sous le regard insistant de Mallory. Ce dernier a annoncé, la première fois, que cette fille était une prostituée et même en cherchant à ne pas la juger trop sévèrement, Darcy ne peut s’empêcher d’être… réservée. C’est surtout la façon dont Kid faisait la fête, lorsqu’elle était dans les parages, qui l’agaçait le plus. Avec elle, il devenait un peu plus con, un peu plus désagréable, un peu plus irresponsable, aussi, ne donnant pas de nouvelles pendant plusieurs jours lorsqu’il restait chez elle… A vrai dire, lorsqu’il a disparu, Darcy l’a pensé chez la fille de joie et il a fallu plusieurs jours pour qu’elle se décide à venir tambouriner à sa porte pour réclamer son frère, peu importe l’état de débauche. Ce qui l’agace le plus c’est qu’elle n’arrive pas à cerner Spleen. Elle ne sait jamais ce qu’elle pense, ce qu’elle est sur le point de faire. Il est impossible de dire si elle s’inquiète du sort de Kid ou si elle s’en cogne, mais compte-tenu du sang-mêlé et de l’absence de fortune du jeune homme, Darcy imagine facilement qu’elle n’en a rien à faire, ce qui n’arrange pas son avis sur elle… Ce qu’elle ne sait pas, c’est que discrètement, Spleen la surveille, consciente de cette tendance maladive qu’on les enfants O’Faoláin à s’attirer des ennuis. Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par 'Kid' T. O'Faoláin le Mer 31 Aoû 2016 - 21:15, édité 11 fois |
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