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sujet; Dennis Crivey • Fate loves the fearless |
| Dennis CriveyCe qui compte ce n’est pas le nombre de coups que tu peux donner, mais c’est le nombre que tu peux encaisser et continuer à avancer.❝ We're running in circles again ❞Hunted ; PV☇ pseudo complet & surnom(s) ; Crivey, nom d'origine irlandaise. Pas répandu ou presque chez les moldus, Dennis est même le seul sorcier portant ce nom (à ce jour) dans le monde magique. Court et résonnant, c'est un nom facile à retenir. Ce nom était très connu à l'école de sorcellerie Poudlard, de par le frère de Dennis, Colin. Si un professeur ou un élève parlait de "Crivey", soyez-en sûr : il renvoyait sûrement à son frère. Quand Dennis arriva à l'école de magie à son tour, certains le prenaient même pour son frère. En totale admiration pour lui, cela ne lui dérangeait pas vraiment. Il était très fier d'être deux sorciers dans la famille. Même si cette confusion entre les deux frères pouvait être parfois gênante ... Dennis, prénom totalement moldu, choisi par ses parents dont aucun sang de sorcier ne coule dans les veines. Encore une fois, prénom assez simple, donné par ses parents, adeptes des prénoms courts. Même si au final son nom n'est pas répandu (il est même assez banal), il est anglophone, tout comme son prénom ; et Dennis vous le dira surement : ça l'arrange, en vérité. Pas d’extravagance, un peu passe-partout. Par ailleurs, Dennis ne possède même pas de deuxième prénom, ses parents jugeant cela peu utile dans leur monde moldu à cette époque. Tout le monde le nomme par son prénom, il n'a pas de diminutif ou autre. Cependant, il possède un surnom, ou plutôt, un pseudonyme. Pour garder son anonymat, Dennis utilise le surnom de "Rodent". Il l'utilise pour Potterveille, la radio rebelle. Celui ci lui a été donné naturellement le jour de son arrivée, par les membres de Potterveille. Mais pourquoi Rodent ? Tout simplement car Crivey est toujours accompagné de son rat, la plupart du temps posé tranquillement sur son épaule. Il accepta avec plaisir ce pseudonyme de "rongeur", qui le fit beaucoup rire. Cependant, en tant que journaliste de guerre qui assume totalement ses articles, il utilise son nom Crivey dans son journal clandestin, le Phare à "on", car il estime qu'il n'a pas à se cacher, à démontrer la vérité de notre monde sorcier. De plus, les sorciers pourraient faire un parallèle entre le Rodent de Potterveille et le Rodent du journal illégal. L'impartialité ne serait plus de cause, car Potterveille ne se veut pas aussi neutre que le Phare à "On", comme Dennis s’efforce à le garder. ☇ naissance ; C'est un mois pluvieux d'Avril qu'est venu au monde la petite tête blonde Crivey. Il est né un 10 Avril 1982 exactement, dans la belle ville de Liverpool, Angleterre : la ville des Beatles (groupe moldu, que vous ne connaitrez peut-être pas si vous êtes sorcier de pure souche!). Sa petite tête est apparue dans un hôpital moldu évidemment. Cependant, il n'est pas né dans le centre ville huppé et très peuplé, mais dans un quartier assez excentré de la ville : un arrondissement beaucoup moins urbain. La maison familiale est une petite maison modeste mais très confortable. Vous savez, ce genre de maison dont on aime passer les vacances pour se ressourcer. La nature comme on l'aime. Une demeure rustique qui déborde de verdure. Tout simplement car le père de Crivey est laitier. La petite famille a donc vécu des jours heureux près des animaux et de la nature. ☇ ascendance; Dennis est un né-moldu. En effet, ses deux parents sont tout deux moldus, ils ne possèdent aucun pouvoir magique, et ne soupçonnaient même pas l’existence du monde sorcier avant cette découverte. Quelle fut la surprise pour Mr et Mrs Crivey quand ils ont appris que leur fils, Colin, était un sorcier ! Ils pensèrent tout d'abord à une grosse blague, ces personnes étant très terre à terre, mais aussi très ouverts d'esprits, ils ne savaient pas quoi en penser. Mais alors quel fut le choc quand il ont appris que leur deuxième progéniture, Dennis, l'était également ! Apprendre l’existence du monde magique les prirent au dépourvu, mais ils n'en étaient pas moins excités. Effrayés également ... Les deux frères étaient donc à l'école moldue jusqu'à leur lettre surprise pour Poudlard. Colin étant l'ainé, il fut le premier à partir de la maison. Dennis ne se savait pas sorcier encore. Il le saura seulement un an plus tard. C'était donc avec tristesse qu'il voyait son frère s'éloigner de la maison, mais aussi avec une pointe de jalousie. En vérité, il était juste envieux, pas jaloux, son frère étant son modèle. Un an plus tard il reçu sa lettre à son tour, et ce fut, encore aujourd'hui, le plus beau jour de sa vie. Non seulement il était excité à l'idée d'apprendre la magie à son tour, dont son frère parlait des heures pendant les vacances scolaires ou encore en envoyant des lettres, mais il pouvait aussi rejoindre son frère à l'école. Tout ce dont Colin parlait, il le vivrait également. Deux sorciers né-moldu dans une famille moldue est pourtant une chose extrêmement rare ! Dennis n'a aucune honte de son sang, et en est même fier. Il en a même fait une force, dans ce monde impitoyable. ☇ métier ; Officiellement, Dennis n'a aucun emploi aux yeux de la société, surtout car il est fugitif dans un premier temps. Officieusement, il s'occupe de son journal, le Phare à "On". Il est non seulement son rédacteur et son photographe, mais il s'occupe également de tout ce qui est à coté, comme le journalisme, les interviews (quand il y en a), l'imprimerie, ... C'est également lui qui s'occupe de transférer ces Nouvelles aux lecteurs - assoiffés ou non. Il fait tout lui-même, en étant très discret, celui-ci étant très controversé, il est catalogué comme "média/journal pirate". Ce journal lui prend tout son temps, il n'a aucune seconde pour lui par période. Il est rémunéré par les ventes par ceux qui acceptent de lui donner Gallion. 40% seulement de ses lecteurs payent pour lire le Phare à On avec une sorte "d'abonnement". Les autres 60% ? Il lui arrive - très souvent - de glisser/envoyer des Phare à On dans les volières de certains gratuitement, car c'est pour Dennis sa volonté première : informer les sorciers, coûte que coûte. Et puis comme tout se fait "sous le manteau", ou plutôt "sous la cape", Dennis doit se débrouiller par ses propres moyens et se contenter de ça pour le moment. ☇ camp ; moderniste / modéré / traditionnaliste. ☇ réputation ; réponse. ☇ état civil ; Dennis est célibataire selon son état civil. Il ne considère pas le mariage comme une bonne chose depuis des années. Pourquoi s'unir dans de telles circonstances ? Surtout depuis l'énorme débat de société en ce qui concerne les sangs-pur, les sang-mêlés, et les nés-moldus. Il fut un temps où se "mélanger" était mal vu, cela peut l'être encore à présent d'ailleurs, pour certaines mentalités. Par exemple les mariages d’intérêts, entre les sangs-pur la plupart du temps. C'est une chose dont Dennis est le premier à défendre et à dénoncer : la totale liberté du mariage ou unions entre sorciers, moldus, etc. Et tant que tout ne sera pas parfait, il boycottera le mariage comme état civil. Il prône le mariage d'amour et non pas d’intérêt. Et surtout en tant que né-moldu, il se sent concerné par les mariages exclusivement sangs-pur de ce monde moldu, il dénonce donc ces injustices beaucoup mises en avant depuis des siècles. De toute manière, il n'a vraiment pas ça en tête, et il en est encore (très) loin ! Très solitaire, il n'a eu aucune relation sérieuse depuis un moment ... Batifoler par ci par là, ça lui convient pour le moment, il n'a pas encore trouvé la bonne personne peut-être. ☇ rang social ; Dennis est considéré comme fugitif . ☇ baguette ; Sa baguette est faite de bois d'érable (elle reflète son ambition – parfaite pour les voyageurs & explorateurs – pour les sorciers qui désirent des défis et qui changent de décors très souvent). Tige de dictame. Légèrement flexible. 26,3cm. Elle possède pas mal de griffes sur le manche, elle n'est plus toute neuve. La couleur du bois commence à se ternir, mais Dennis n'a pas l'argent à dépenser pour le moment pour la rafistoler. ☇ épouvantard ; pire peur. ☇ risèd ; désir le plus cher. ☇ patronus ; forme (attention: sauf cas exceptionnel, les mangemorts n'en ont pas). ☇ particularités ; Aucune. ☇ animaux ; texte ici. | ☇ Avis sur la situation actuelle : (récap contexte actuel) |
☇ Infos complémentaires ; • Je déteste le quidditch, tout comme je déteste le sport - moldu ou non - en général. Je suis très loin d'être sportif. Je suis d'ailleurs très nul sur un balais, et je prends peur dès que je n'ai plus les pieds à terre, pourtant je n'ai pas vraiment le vertige. Mes cours de vol à Poudlard était une hantise, et j'ai déjà simulé des maux de ventres pour aller à l'infirmerie plutôt que de me ridiculiser devant les autres élèves. • Je suis un rat de bibliothèque, je passais mon temps à lire quand j'étais à Poudlard, il m'est même arrivé d'arriver en retard en cours car j'étais submergé dans un de mes bouquins. Je dévorais les livres d'histoire de la magie, je voulais me mettre absolument à jour sur mes connaissances magiques, car je n'en avais aucune étant né-moldu. Au final, j'ai dépassé ce stade et j'ai une culture générale plutôt élargie. • xx • xx • xx • xx
Solitaire & voyageur ; xx
Littérature & Photographie | Art ; xx
Herbologiste en herbe ; xx
Caractère lunatique ; xx
❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Spleen. J'ai 21 ans déjà, je viens du Nord de la France (hélas!) :P et j'ai connu le forum via la pub sur bazzart . Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Un dernier mot ? facultatif.Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Dennis Crivey le Lun 13 Fév 2017 - 15:51, édité 6 fois |
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| Vieillir, c'est se rappeler son enfance ❝ Daydream ❞Liverpool J'ai toujours adoré cet endroit. C'était notre cocon, là où je me sentais le mieux. Le plus fort. Vivant. L'endroit où je puisais mes forces, mes inspirations. L'endroit où j'étais sûr de pouvoir laisser mes problèmes de côtés, et ce, peu importe mes idées noires. Où je savais que j'y trouverai du réconfort. Une sorte de renaissance. Vous voyez cette maison, au fond du champ ? Celle avec les lierres grimpants autour des fenêtres, qui cachent même le toit ? C'est ce cocon là. Ce n'est pas une immense maison, mais elle suffisait à notre petite famille. J'avais même ma propre chambre. Je l'ai eu à mes 4 ans, je partageais une chambre avec mon frère avant d’emménager ici. Ce que je préfère ici, ce sont ces immenses terrains autour. Et puis, l'endroit étant très sûr, mes parents nous laissaient gambader comme nous le voulions tout autour. D'ailleurs, mon frère Colin a – avait cette cicatrice sur le mollet. Une petite qui ressemblait à une très petite plume, c'est parce que nous nous amusions à grimper aux arbres, presque tout le temps. Il y a deux arbres très rapprochés près de la ferme, entre les deux il y a une balançoire. Nous avions eu la bonne idée de faire une course de rapidité pour savoir qui pouvait grimper le plus vite. Vous devinez la suite. Le pied de mon frère avait glissé et il s'était entaillé la jambe. On se sentait tellement invincible à cette époque là ... Maman avait déboulé d'une vitesse... Je jure encore aujourd'hui qu'elle était arrivé presque instantanément. Maman, appelez là Dana, est une personne très calme et très attentionnée. Elle était très proche de nous, nous emmenait partout, on sortait énormément. Malgré notre situation financière – classe très moyenne -, elle trouvait toujours le moyen de nous emmener par ci par là, de nous emmener au cinéma, ou au bowling. Par contre elle était aussi sévère quand il fallait l'être. C'était elle qui nous punissait – et dieu sait qu'elle a du nous en donner vu nos bêtises – pour notre bien. Encore aujourd'hui je la remercie, sinon nous serions parti en vrille. Une personne de grand cœur, et surtout très juste. Mon père, Cameron, est lui l'inverse de ma mère. Il est moins calme et beaucoup plus speed, à l'image de mon frère et moi. Il fait énormément le pitre, ne rate aucune blague, aime amuser la galerie. Je pense qu'il voulait laisser le mauvais rôle à ma mère, et prendre l'image du père-ami. Il était du genre à ramener une pizza du centre ville sans même demander à maman si rien n'était préparé, du genre à partir sur un coup de tête faire les magasins ou à la plage ... On a partagé beaucoup de fous rire avec lui. Il est laitier, c'est lui qui s'occupe de la ferme à coté de chez nous, il produit et vend le lait artisanal Crivey. Il bosse beaucoup, mais prenait toujours le temps d'être avec nous trois. Nous étions très soudés, et beaucoup d'amour émanait de notre cocon. Nous avons vécu de beaux jours, je n'ai aucun mauvais souvenir. Sauf peut être la fois où j'avais accidentellement fait tombé un berthe de la ferme, et que j'avais gâché une tournée de lait. Papa et maman étaient tellement furieux. J'étais très proche de mon frère et de mes parents. Nous sommes tout deux allés à l'école moldue, et même si nous étions très speed, et que nous aimions énormément les bêtises, nous étions très bons à l'école. J'adorais apprendre, encore maintenant d'ailleurs. Je ne vais pas vous mentir, ce cocon a bien changé. Brisé, en vérité. Mais ça, c'est une autre histoire, je vous en reparlerai plus tard. ❝ Hold the night ❞Liverpool - 1992 L'été 1992 était un été très chaud pour une ville comme Liverpool. Nous n'attendions pas un temps radieux non plus, mais nous fêtions ça quand nous n'avions pas de pluie. Personnellement, ça ne m'a jamais dérangé, j'aime ce temps. Je ne dis pas non aux vacances au soleil, mais la pluie ne me fait pas peur. Sauf pour mes cheveux, mais ça c'est un autre sujet. Colin et moi, 11 et 10 ans, avions fait une nuit blanche cette soirée là. Ou presque. Nous avions fait un barbecue la veille avec la famille et des amis de nos parents, et nous avions joué aux jeux vidéos jusqu'à très tard avec nos cousines. Ces vacances étaient bien méritées, l'année scolaire avait été dure pour nous deux. C'était enfin le moment de décompresser. J'étais assez triste de penser que mon frère irait à la Secondary school l'année d'après, car il allait sur ses 11 ans. Moi, il me restait une année à l'école primaire avant de le rejoindre. J'étais même admiratif, pour moi à l'époque il était beaucoup plus grand que moi. Très grand. Maintenant à notre age, un an, ce n'est rien du tout. Il avait même droit à faire des choses que je ne pouvais pas. Je l'enviais tellement ! Maman le laissait même aller chercher le pain chez l'épicier, seul. Et même s'il se comportait comme un grand frère avec moi, il n'y avait pas grand écart, je le savais. Mais j'aimais ça, le fait qu'il s'occupe de moi, et de l'avoir comme exemple, et pilier. Je n'avais pas vraiment de meilleur ami à l'époque, c'était lui, mon meilleur ami. "Il est presque midi, bizarre que maman ne nous ait pas encore levé ... " J'émergeais tout doucement, pendant que Colin fixait le réveil style vintage près de son lit. Nous avions dormi dans la même chambre pour laisser la seconde à nos cousines pour la nuit. Rares étaient les nuits où nous dormions aussi tard, maman ne nous aurait jamais laissé s'il n'y avait pas d'invités. Même pendant les vacances, une heure du matin était le maximum. Surement parce qu'elle savait que le lendemain nous serions totalement déboussolés. (et infernaux!) Et que pour se remettre dans le bain, même les vacances scolaires d'été ne seraient pas suffisantes. Nous étions des piles électriques. "Midi ?!" répondais-je, avec une voix qui même moi m'étonnait, plutôt grave. "Ouais ... On a fait la grasse mat'." me répondait-il, avec un peu de fierté dans la voix. "Tu crois que tous les autres sont réveillés ?" Aucune idée, je ne savais même pas si notre tante et nos cousines étaient parties. "Je sais pas, mais j'entends les casseroles en bas." On se regardait avec un sourire et on se comprenait : miam. Ni une, ni deux, on était déjà debout. Rapidement, nous nous étions levé et habillé. A peine un pied sur l'escalier que nous avions fait un pas en arrière. Finalement, nous étions passés par la salle de bain, nous passer un bon coup de gant de toilette sur le visage, comme nous l'aurait reproché notre mère. Et un coup de peigne aussi, notre tare génétique familiale étant la touffe blonde bouclée. Puis nous sommes descendu. La maison avait déjà été nettoyé de fond en comble, et les invités étaient déjà parti. "Colin ... Il y a une lettre étrange pour toi sur la table." lança maman. Ce qui était étrange, c'était que papa était présent alors qu'à cette heure ci, il devait être en ville, finissant la tournée de lait de la semaine. Vu que ça ne me concernait pas, je m’asseyais confortablement à table, prenant le paquet de céréales, la faim de loup au ventre. Aussitôt, maman me prit le paquet des mains, me lâchant une petite tape sur la main droite. "Dennis, tu plaisantes, j'espère ? Des céréales à 13h30 ?" Je levais les yeux au ciel : et pourquoi pas ? Ce n'était pas la première ni la dernière fois. Puis je ne me voyais pas manger les restes de la veille. Colin prenait la lettre qui lui était destinée. Elle était étrange, cette lettre. Les seules que l'on recevait en temps normal étaient les lettres de notre grand mère qui vit à Londres, ou des cartes postales ... La lettre paraissait ancienne, et l'écriture était magnifique, d'une belle encre. Papa et maman avaient l'air inquiet. Ils n'auraient jamais imaginé ce qui allait se passer. Mon frère ouvrait sa lettre, puis commençait à la lire à voix haute. Mes parents croyaient à une vaste blague, mais cette scène, encore encrée dans ma tête comme si c'était hier, était en fait le jour où Colin su qu'il était un sorcier, et qu'il irait à l'école Poudlard à la rentrée. Nous étions tous abasourdi. En vérité, il y avait une seconde lettre, bon, en fait il y en avait trois. Une pour l'annonce, une deuxième avec la liste des fournitures scolaires (je n'avais jamais vu mon père avec la bouche ouverte aussi longtemps devant une liste de courses – il était resté bloqué sur la baguette magique pendant des jours.), et la troisième était une lettre adressée à notre famille de la part du directeur pour nous annoncer que du sang magique coulait dans le sang de Colin, et qu'il fallait s'en réjouir : il racontait ce que cela signifiait, qu'il ne fallait pas s'inquiéter, il donnait plusieurs conseils, et surtout expliquait le monde magique à mes parents, ou encore, le fait qu'il ne fallait pas que cela s’ébruite trop. Bref, il répondait – étrangement – à toutes les questions qu'une famille totalement moldue pourrait se poser. Cette journée fut tellement étrange. Nous venions d'apprendre en un seul jour l’existence de la magie mais aussi le fait que Colin était un sorcier, et qu'il irait en Écosse dans une école privée dans deux mois. Papa et maman étaient resté silencieux pendant des heures. Mon frère n'en revenait pas, et moi non plus d'ailleurs. On ne serait cru dans un film de science-fiction, mais c'était bien réel. J'étais encore plus triste de le perdre, mais je trouvais ça dément. La magie, les baguettes magiques, l'école Poudlard, ... Je ne connaissais rien mais j'en imaginais pas moins. J'ai eu la chance de partir sur le Chemin de traverse avec mes parents et Colin pour préparer sa rentrée scolaire prochaine. C'est là bas que nous avons beaucoup appris. Nous avons pu discuter avec des sorciers, mais également des nés-modus comme nous dans divers magasins. C'est surtout cette journée qui a rassuré mes parents, qui n'osaient pas vraiment envoyer mon frère dans une école de magie. Une école de magie, quand vous êtes moldu, ça parait tordu, vraiment. Nous avons acheté des livres pour la maison aussi afin d'en apprendre plus sur ce monde magique. Nous étions totalement préparé à ce grand changement dans notre petite famille paisible. Mon livre préféré était sur l'Histoire de la magie évidemment. Colin avait promis de nous envoyer des photos (la photographie était sa passion, la mienne également, même si mon point fort était l'écriture) chaque semaine. Il a tenu sa promesse. Il nous en envoyait même parfois plusieurs fois par semaine. Un vrai régal. Maman et papa les ont toutes gardées. Précieusement. Il nous arrive de les regarder ensemble pendant des heures. J'en ai aussi gardé, plus d'une centaine. Je ne m'en séparerai jamais. D'ailleurs, j'en ai toujours trois constamment sur moi, je ne sors jamais sans. La plupart des photographies qu'il envoyait étaient des portraits d'Harry Potter, une sorte de modèle pour lui. J'en était un peu jaloux à l'époque, puis je l'ai connu, et je comprenais pourquoi il l'admirait tant. Non seulement il était très connu, nous connaissons tous son histoire, mais il était une très belle personne, brave et courageux. Mais Colin savait aussi prendre de belles photographies, il savait capturer l'instant présent, sous un angle excellent. Il avait l’œil d'un expert, voyait le monde de par son appareil. Je jure encore aujourd'hui qu'il aurait pu en faire son métier, c'était notre projet commun d'ailleurs : ouvrir un journal où j'en serai le rédacteur et lui le photographe. On en a tellement parlé, rêvé ... Lorsque vous lui ouvrez la porte, la magie est partout. ❝ Let's get lost ❞1997 - Lac de Poudlard Je me tenais fièrement sur le quai. Ma robe était parfaitement repassée. J'avais même fait un effort pour avoir une coupe de cheveux disciplinée. (et Merlin sait combien c'est compliqué). Sans l'idée en tête de faire de la lèche aux professeurs, je voulais tout de même qu'ils me voient comme un bon élève, et surtout un bon sorcier. En tout cas pas comme un cancre. Étant né-moldu, je craignais d'être moins bon que les autres, ou vu comme plus faible. Même si j'avais déjà beaucoup appris grâce aux livres que j'avais lu pendant que mon frère était lui à sa première année à Poudlard, je craignais de ne pas connaitre des choses qui pouvait être banales pour un sorcier pur et dur. J'avais moi aussi reçu ma lettre pour Poudlard, et c'était le plus beau jour de ma vie : j'allais enfin rejoindre mon frère à son école, et surtout, j'étais un sorcier ! Je l'avais crié sur les toits tout l'été. Mes parents devaient être heureux que je parte enfin. Je me tenais donc droit comme un piquet, la tête haute, un sourire jusqu'aux oreilles. Oh que j'étais fier. J'étais clairement le plus petit, on ne voyait quasiment pas ma tête dépasser dans la horde d'élèves de première année ; à cette époque ma taille était vraiment l'un de mes pires défauts, selon moi. Hagrid, le gardien des clés et des lieux à Poudlard, devait nous escorter jusqu'au château. C'était vraiment le plus beau jour de ma vie, et donc voir un demi-géant, j'en étais excité comme une puce. Je n'avais pas dormi de la nuit, je trépidais d'impatience. Un peu trop peut être. J'admirais la nature, la verdure, les arbres, la forêt. Je me sentais comme à la maison ici, l'air était bon comme à la campagne. Je devais partager la barque avec un grand gaillard blond et une fille fétiche rousse. Ils étaient plutôt calmes. Effrayés en vérité. Moi non, j'étais excitée de voir ma nouvelle école. J'étais tellement petit et menu l'époque que l'on aurait pu y glisser un autre étudiant pour la traversée en barque. Je n'avais pas encore demandé leurs noms ou prénoms que je leur "tapais" déjà la discut', naïvement. Mais ils étaient aussi heureux que moi, et partageaient mon enthousiasme pour la traversée sur le lac. Enthousiasme qui pouvait clairement se lire sur mon visage et sur moi, je ne savais pas me tenir calmement plus de deux secondes, un vrai scroutt à pétard. "Oh mais ... Regardez ! Regardez tous ! Le chateau là bas, au fond ! Et les lumières, on dirait qu'e- "Je n'ai jamais pu terminer cette phrase. Je ne pourrai même pas vous dire à quoi je pensais à cet instant là. Montrant du doigt une partie du château, et me retournant vers les autres barques, je me suis senti tomber vers l'avant, et ni une deux, je me suis retrouvé à l'eau, je ne sais pas comment, dans cet immense lac sombre et glacé. On m'a rapporté plus tard que j'avais laissé échapper un cri très strident, avant de faire résonner un beau " plouf" pour ensuite disparaitre. Si j'avais vu un élève tomber comme ça, j'aurai personnellement éclaté de rire ; mais à ce moment là, personne n'osait réagir. Tout le monde avait la bouche grande ouverte, et Hagrid commençait à paniquer quand il ne me voyait pas remonter à la surface. En vérité, je n'ai pas eu le temps de paniquer. Mille questions fusèrent dans ma tête. Tout d'abord, le froid de ce lac, j'en suis intimement convaincu, pourrait tuer en moins d'une minute. Le froid m'avait paralysé, et je ne voyais absolument rien. C'était comme essayer de voir dans du pétrole, impossible. Je ne savais pas où j'étais, je ne savais pas si j'allais survivre, je ne pouvais ni voir ni respirer. Je pensais immédiatement à mes parents et Colin. Étonnamment, je n'étais pas libre de mes mouvements. C'était comme si dès que j'étais tombé dans l'eau, je m'étais évanoui. Puis d'un coup, alors que j'essayais de savoir comment me sortir de ce pétrin, je sentais quelque chose m’enrouler, quelque chose d'aussi froid que le lac, mais quelque chose qui était plutôt gluant. Cette chose glissait autour de moi comme pour m'attraper. J'ai vraiment cru que j'allais mourir étouffé par un je-ne-sais-quoi ce jour là. Ou mourir mangé par un monstre que je n'avais même pas pu voir. Un seul jour dans le monde magique et j'étais déjà dans une galère incroyable ! Je me sentais bouger très rapidement, la chose gluante ne glissait plus contre moi pourtant, mais je me sentais bouger. Comment ? Aucune idée. Tout était très rapide. Puis en moins d'un seconde je voltigeais hors de l'eau. Je pris une grande inspiration pour reprendre mon souffle, je croyais que le monstre me remettrais dans l'eau pour ensuite se nourrir sur ma chair, dans la seconde qui viendrait. En vérité, je montais de plus en plus vers le ciel. J'ouvrai enfin les yeux, et je voyais une immense bête avec d'immenses tentacules. J'étais enroulé, essoufflé, dans l'une d'elle. J'avais une vue imprenable d'en haut, et je voyais les barques de la taille d'un petit buisson d'en haut. J'étais vraiment très haut. Terrorisé. Tout ce que je peux vous expliquer, car la suite je ne l'ai jamais vraiment comprise non plus, c'est que ce calmar géant m'avais sauvé la vie. Il m'a ensuite redéposé sur le bord du château, où les élèves et un Hagrid blanc de peur étaient venu me récupérer. Il m'avait ensuite prit sous son aile - littéralement - il m'avait enroulé sous son manteau de bête, tenu comme un bébé qui venait de naitre, pour me réchauffer, et me ramener au château. Mon sourire était revenu. Plus tard, Hagrid m'a avoué que j'avais eu beaucoup de chance ce jour là, non pas parce qu'il m'avait sauvé la vie (même si c'était vraiment une chance selon moi), mais que j'étais seulement le deuxième de l'école a avoir pu le rencontrer. Rencontre dont on se passerait bien à notre premier jour à Poudlard ! ❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par Dennis Crivey le Lun 13 Fév 2017 - 0:48, édité 5 fois |
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| Titre au choix texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. ❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. Titre au choix texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par Dennis Crivey le Mar 7 Fév 2017 - 4:42, édité 2 fois |
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HUNTED • running man Olivia Hayek ‹ disponibilité : always.
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‹ âge : vingt-six (20/05)
‹ occupation : en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1995.
‹ baguette : est celle d'Ines, courte et souple, composée de bois de chêne et ayant en son coeur une plume de phénix.
‹ gallions (ʛ) : 3010
‹ réputation : je suis un peu perturbée. Manipulatrice, j'ai un humour plus que douteux mais j'étais un bon petit soldat côté Mangemort durant la Guerre. Je trolle le Gouvernement sur MSN et personne ne sait vraiment où je suis. Ines est quant à elle héroïne de guerre, jeune femme volontaire et utile qui a ramené de nombreux sorciers étrangers pendant la Guerre, et qui se faisait appeler Shrimp parmi les Pacifistes.
‹ particularité : métamorphomage, et un peu pas très douée dans le domaine. Je suis aussi maudite. La malédiction, au lieu de me nourrir en magie comme avant, draine ma magie et mon énergie vitale progressivement.
‹ faits : je suis la fille d'un Auror respecté, et la soeur adoptive d'un autre. J'étais Briseuse de Sorts mais après une mauvaise altercation avec un artefact de magie noire, je me suis tournée vers les arts obscurs pour ne jamais en revenir, allant jusqu'à prendre la Marque lors de ma quête de pouvoir.
Je suis désormais en fuite, prenant l'apparence de la petite soeur d'un ancien ami à moi pour qu'il me protège. Mon faux nom est Ines Selwyn, une héroïne de la guerre. Je me drogue à l'Aderall pour optimiser ma concentration et mon utilisation de mon don.
‹ résidence : chez Areo, sur le Chemin de Traverse.
‹ patronus : impossible à invoquer.
‹ épouvantard : un énorme serpent.
‹ risèd : Naz, l'amour de ma vie.
| MON BOY!! dennis est un excellent choix de pv, evan peters est juste bandant, ses biceps sur son avatar me et c'est juste parfait, je t'aime déjà. BIENVENUE PARMI NOUS et bon courage pour al rédaction de ta fiche! n'hésite pas à passer dans le flood d'intégration. |
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WIZARD • always the first casuality Even Li ‹ disponibilité : dispo !
‹ inscription : 29/01/2017
‹ messages : 766
‹ crédits : neo venus.
‹ dialogues : sienna.
‹ âge : 18 yo (19.12.85).
‹ occupation : ancien élève de Mahoutokoro, 1er cycle achevé au RU par correspondance (vitmagic). désormais étudiant à la WADA cursus Arts visuels. jobbe en tant qu'animateur au CEPAS en semaine et au dirico express le samedi (club d'art pour une ribambelle de gosses qu'il adore).
‹ scolarité : 1992 à aujourd'hui.
‹ baguette : cerisier, 27cm, écailles de kappa.
‹ gallions (ʛ) : 3647
‹ réputation : party boy, slut assumée, toujours partant pour des hook up sans signification et probablement un brin obsédé par le sexe, sans limite, dork en compagnie de ses potes, skater taré, doué avec les gosses, artiste prometteur.
‹ faits : - personnalité:
steven jiélùn li, dit even • pyrokinésiste • il porte le nom de sa mère, sorcière pangcah (taïwanaise), plutôt que le "Matsuoka" hérité de son père (japonais) • il a 4 soeurs • tyrannisé à l'école, il a fait une tentative de suicide à 13 ans et est encore aujourd'hui terrifié par le vide. • il a un soft spot pour les gosses mal aimés de son club d'art. • sa famille paternelle est propriétaire de Shape the Future (grand groupe spécialisé en technomagie), où sa mère travaille en tant que directrice marketing de la branche brit. son père a délaissé l'entreprise familiale au profit de sa passion pour l'art et est désormais directeur de la Wada. sa soeur aînée est créatrice de mode, la cadette ingémage chez des concurrents, tandis que les deux dernières sont encore aux études.
- vu par le monde:
Even est de ces jeunes qu'aucun adulte ayant une vie stable et un boulot respectable ne prend au sérieux. de ces énergumènes aux fringues déchirées et aux piercings jugés rebutants, évoluant au sein de bandes qui dérangent l'ordre social, qu'on qualifie de punks et que l'on considère comme d'éternels adolescents attardés. on le fixe avec un agacement mêlé de dédain losqu'il déambule dans les rues avec sa planche coincée sous un avant-bras peinturluré, on le blâme lorsque les roues sales souillent les coussins d'un café, on l'accuse de risquer de cogner les passants lorsqu'il slalome à vive allure parmi la foule, on s'exclame qu'il est complètement inconscient quand il perd le contrôle en plein trick et que son board file entre les pattes des pauvres badauds (ou fait un vole-plané dans une vitrine) après l'avoir envoyé heurter une calèche de plein fouet. on dévisage ses membres couturés de cicatrices, d'égratignures ou pire, et ses genoux ouverts, en le traitant de casse-cou infréquentable. il s'en fiche, ces gens là ne comprennent pas la passion, refusent de voir que c'est un mode de vie, un vecteur de culture, un regard sur la ville et l'architecture. c'est une chose qu'on lui reproche aussi, d'ailleurs : de sembler se foutre de tout. héritier de culture fun et d'une contre-culture urbaine devenue street culture, adepte de pratique sauvage, obnubilé par l'esthétique underground, revendicateur d'un idéal libertaire. lorsqu'une girlfriend exigeant plus d'attention ou un rabat-joie critique le prend de haut, il soupire lourdement et réplique irrémédiablement, avec une patience feinte : "you don’t understand, mom. it’s not a phase. this is who I am."
il a toujours un appareil photo, des multiplettes ou un pinceau au bout des doigts • big softie sous ses allures punk • aime être sous les feux des projecteurs lorsqu'il est dans son élément mais devient socially awkward et mal à l'aise avec les gens aussitôt qu'il doute de lui-même. • praise kink • il préfère cependant se tenir derrière la caméra plutôt qu'être mis en avant. • dents de lapin, sourire de bunny. • veut devenir photographe pro. • poste des cover de chant et de danse sur son msn pour satisfaire ses autres passions. • trop d'alcool, trop de sexe, trop d'orviétan, trop de boissons énergisantes. il ne peut pas s'empêcher d'abuser, bien qu'il ait vu sa sœur Lily frôler la mort à cause d'une overdose. • ses potes et lui sont adeptes de bodypainting et font office de toiles humaines les uns pour les autres. • a l'air mort quand il dort. • infoutu de cuisiner, vit de bouffe à emporter et de gras de fast food. • passe un quart de son temps au skatepark, un autre à l'Espresso Patronum, et sèche beaucoup trop les cours pour son bien. • il a un caméléon (kowalski) et mickey et lui ont adopté d'autres animaux, dont un hérisson et un chien.
‹ résidence : vit au Sawl Yard, dans un appart pour deux avec son bff Rhee Min Ki (aka Mickey), rentre chez ses vieux un week-end sur deux environ.
‹ patronus : un kappa, encore une fois. Son animal totem, décidément : très protecteur de son territoire.
‹ épouvantard : ses proches privés de mémoire. Depuis qu'on leur a rendu un Shin tout sauf lui-même, Even s'aperçoit qu'être totalement oublié par quelqu'un qu'on aime est presque aussi terrible que le perdre à jamais... ou peut-être pire.
‹ risèd : quelque chose ayant trait à son paternel, probablement, mais Even préférerait crever plutôt que l'avouer.
| BIENVENUE parmi nous avec ce super choix de personnage si tu as des questions ou quoi n'hésite pas à mp le staff, on est là pour ça, et comme l'a dit mvdd un ptit tour par le flood d'inté pourra t'aider à te mettre à l'aise bon courage pour ta fiche, hâte de voir ce que tu feras du bonhomme |
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OUTCAST • all hail the underdogs Aspen Dunstan | dennis denNIS DENNIIIIS jpp, ce choix de perso de dingue, je vais stalker ta fiche tellement j'ai hâte de voir ce que tu en feras bienvenuuue sur exci ! bon courage pour la rédaction de ta fiche. |
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HERO • we saved the world Mafalda Weasley | | | | |
HERO • we saved the world Anwar Maseed | dennis mah man! trop jouasse de le voir débarquer omg (je viendrais t'embêter pour un lien obligé ) bienvenue à la casa! |
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WIZARD • always the first casuality Shin Moriyama ‹ inscription : 31/12/2016
‹ messages : 188
‹ crédits : nelliel.
‹ dialogues : chocolate
‹ âge : 26
‹ occupation : au chômage, pour le moment, il ne sait pas tellement quoi faire de ses dix doigts. Shin était Oubliator, et Nazir Chasseur de Trésors, autant dire que ça n'a rien à voir.
‹ maison : Shin était à Serdaigle et Nazir à Gryffondor.
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : Nazir & Shin ont tous les deux perdu leur baguette, il a fallu leur en trouver une nouvelle : 29cm, taillée dans du saule, contenant une moustache de Tanuki.
‹ gallions (ʛ) : 2927
‹ réputation : on disait de Shin qu'il était intelligent, calme, discret, le genre de mec pas chiant, pas intéressant non plus. De Nazir, on disait que c'était une tête brûlée, un cancre, un type violent parmi les Insurgés, mais efficace. Aujourd'hui, les deux sont un peu morts, alors on en parle beaucoup, mais sans trop savoir quoi dire.
‹ particularité : c'est un Métamorphomage, mais il ne sait plus du tout contrôler son don et le tatouage qu'il a dans le dos l'empêche de l'utiliser correctement. C'est également un Maître de l'Air, qui a tout à réapprendre.
‹ faits : shin s'est marié jeune et a eu une gamine qui a maintenant six ans, Sun - sa femme et sa gosse, c'était tout pour lui - c'était un mec brillant, capable de parler trois langues (anglais, coréen & japonais) très à cheval sur son éducation stricte et rigoureuse, très branché culture asiatique - mais shin a été capturé par le gouvernement en 2001 et est devenu le cobaye du département des mystères - ils ont trafiqué son corps, joué avec son don de métamorphomage, ont fait de lui l'espion ultime - en 2002, il est devenu Nazir Peterson, Insurgé Belliqueux, meilleur ami d'Angelina Johnson - aujourd'hui, il ne sait plus qui il est, Shin ou Nazir, les deux ?
‹ résidence : il vit au Manoir Moriyama, sa famille ne veut pas le laisser tout seul après ce qu'il a vécu.
‹ patronus : informe désormais, autrefois il prenait la forme d'un porc-épic, il paraît que celui de Shin avait la forme d'une tortue géante
‹ épouvantard : un miroir, le plus souvent reflétant les traits de Shin.
‹ risèd : il se voit sous les traits de Nazir, avec Rocket et Doxy.
| denniiiiiiiiiiiiiiiiiiiis le choix de pv trop perf ! bienvenue sur exci & bon courage pour ta fiche mon petit |
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| | | | | Dennis Crivey • Fate loves the fearless | |
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