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sujet; LION KINGS † the circle of life. |
WIZARD • always the first casuality Mylan Rhee ‹ inscription : 29/11/2016
‹ messages : 342
‹ crédits : moony.
‹ dialogues : lightsteelblue (design foncé), steelblue (design clair).
‹ âge : 24 ans
‹ occupation : criminel en période de probation | apprenti Mage Social.
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : 1991 - 1994.
‹ baguette : a été brisée à son emprisonnement à Azkaban. A sa libération, on lui a refilé une merde complètement bridée, de 25cm, taillée dans du noyer et contenant un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3368
‹ réputation : on dit que c'est un délinquant, une petite frappe qui essaye de retrouver une vie normale, décente. Les anciens SM et les autres gangs du Londres Sorcier disent que c'est un traître, un vendu.
‹ particularité : c'est un maître du feu, le seul de sa famille puisqu'ils appartiennent tous à la tribu de l'eau.
‹ faits : il était le n°2 des shadow moses, qu'il a créés aux côtés de mood - mais ce dernier l'a trahi et il a passé un an et demi à azkaban - à son retour, mylan a décidé de quitter le gang - il a fait tout un tas de trucs nuls et c'était pour survivre, mais ça pèse lourd sur sa conscience - il ne supporte plus d'être enfermé - il est extrêmement tactile mais surtout, il a besoin qu'on le touche, qu'on lui rappelle qu'il est vivant - il ne ressent pas la douleur et ça le rend dangereux, mais c'est extrêmement pénible à vivre - il mange sans arrêt, adore cuisiner - il aime les chiens, déteste les chats - il ne supporte pas d'avoir froid - c'est un nabot, mais faut surtout pas lui dire, il déteste qu'on lui rappelle sa petite taille - il sait parler coréen, mais c'est un peu rouillé - il a deux petits frères qui sont sa seule famille, puisque ses parents et son aîné l'ont renié - il veut sortir les mômes de la rue, les aider avant qu'ils se retrouvent avec un casier judiciaire long comme le sien.
‹ résidence : techniquement, dans un appart' miteux au Chemin de Traverse, en réalité, chez Heath Ravka.
‹ patronus : il n'a jamais appris à en faire un.
‹ épouvantard : lui, dans sa cellule vide et glacée à Azkaban, privé de tous ses sens.
‹ risèd : lui, entouré de ses proches.
| Lion Kings — the circle of life. Welcome to the room of people who have rooms of people that they loved one day docked away. Just because we check the guns at the door doesn't mean our brains will change from hand grenades. You'll never know the psychopath sitting next to you, you'll never know the murderer sitting next to you. You'll think, "How'd I get here, sitting next to you?" Il est en avance, clairement en avance. Mais bon, c’est lui qui a lancé l’invitation, alors c’est normal. Il est à la fois étrangement impatient et angoissé. Ça fait plus de dix ans qu’ils se connaissent tous et lui n’a été là que pendant trois ans, ce n’est pas parce qu’ils s’entendaient bien à l’époque que ce sera toujours le cas. Le contact est plutôt bien passé quand ils se sont retrouvés sur MSN, mais est-ce que ce sera le cas une fois à l’intérieur ? Son bracelet pèse un peu plus lourd à sa cheville. Il sait que ce n’est pas parce qu’il s’est trop éloigné, juste le poids de sa conscience. Mylan se rassure en se disant que Harry et Seamus savent, ils étaient là et ont tout entendu. S’ils ne voulaient pas le revoir, ils l’auraient dit. Pareil pour Ron. Il ignore ce que Neville sait, visiblement ce dernier ne se rappelle pas de lui – le Rhee est légèrement outré, lui qui avait pensé laisser un souvenir impérissable ! – mais il n’y a pas de raisons que ça se passe mal. Au pire, ils ne sauront pas quoi se dire et ils ont choisi un pub pour une bonne raison : l’alcool déliera les langues. Mylan inspire profondément et pénètre dans le bâtiment. La sorcière qui l’accueille lui adresse un sourire chaleureux et le guide jusqu’à la table qu’il a réservée, au fond du pub. Elle lui demande s’il veut quelque chose et le jeune homme secoue la tête, il préfère attendre que les autres soient là et alors qu’elle retourne derrière son comptoir, c’est exactement ce qu’il fait.
Il attend.
Alors que ses doigts jouent avec le zippo qu’il a sorti de sa poche, il se demande qui entrera le premier. Il tente se rappeler qui était du genre ponctuel en cours et clairement, Harry et Ron arrivent en dernier, puisqu’ils se retrouvaient toujours dans une situation improbable qui les mettait en retard. Il est coupé dans ses réflexions lorsque ce n’est pas l’un d’eux qui entre dans le pub, mais toute la bande – enfin, toute la bande sauf Dean, mais Dean… - qui s’est visiblement attendue pour arriver ensemble. Le jeune homme lève les yeux au ciel, à moitié agacé par ce talent qu’ils semblent avoir développé pour les entrées dramatiques. Ils ne tardent pas à le repérer – ce n’est pas difficile, il est le seul couillon avec la tignasse rose installé au fond du pub. Alors qu’ils s’avancent, Mylan se lève et attrape le sachet rempli de Chocogrenouilles qu’il tend à Harry, les lèvres pincées et un petit air hautain plaqué sur ses traits. « On avait bien dit qu’celui qui survivait à la blessure la plus grave remportait dix Chocogrenouilles, right ? » lance-t-il d’un ton faussement détaché. « Well, puisque t’es mort, j’suppose que ça fait de toi l’gagnant, même si j’me demande si c’est pas un peu de la triche, » poursuit-il avec un reniflement méprisant. « J’m’attends à c’que tu partages, Potter, j’avais pas assez d’thunes pour payer un truc à chacun, » fait-il en désignant les autres.
Surtout que techniquement, c’est Heath qui a payé les Chocogrenouilles.
« ANYWAY, on s’y met ?? » Et avec un grand sourire, il se laisse tomber sur la large banquette en faisant signe aux autres de le rejoindre. C’est vachement bizarre, de tous – ou presque - les revoir. Ils ont changé, il suppose que lui aussi, mais c’est carrément flagrant. Ils se sont presque bien sapés, bien coiffés – sauf Harry, mais Harry n’a jamais été en mesure d’opter pour autre chose que sa coupe I just had wild and really good sex - pour l’occasion et ils ont probablement l’air de types normaux. Ils ont tous grandi, trop grandi, ça s’voit dans leur façon d’se tenir, dans les yeux qu’ils n’habillent pas d’un sourire quand ils ne font pas attention. Mylan se demande s’il ressemble à ça, lui aussi. La serveuse vient les trouver, maintenant qu’ils sont tous installés et prend leur commande qui est rapidement servie. Une fois que les bières sont posées sur la table, ils lèvent la tête, échangent des regards en se demandant probablement à quoi ils peuvent bien trinquer pour commencer.
Mylan se dit qu’ils ont des tonnes de raisons de le faire, et en même temps, rien à célébrer. C’est étrange. Il s’humecte les lèvres, attrape son verre et le lève, un air songeur sur les traits. « J’propose qu’on lève cette première pinte à-- » Son regard balaye la petite assemblée et se perd un peu autour d’eux. « --la serveuse, qui a un cul d’enfer ? » propose-t-il en haussant les épaules. Personne n’a dit qu’ils devaient être dramatiques et larmoyants dès le début, ils ont toute la nuit pour ça, pas vrai ? |
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HERO • we saved the world Ronald Weasley ‹ inscription : 22/02/2016
‹ messages : 615
‹ crédits : cristalline et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : salmon
‹ âge : vingt-quatre ans.
‹ occupation : C'est la grosse question que se pose Ronald en ce moment. Il n'aspire plus à devenir Auror, être autant de temps en guerre lui a passé l'envie de partir à la chasse aux mages noirs et il ne veut pas non plus avoir de contact avec les autres êtres humains alors il ne sait pas. Il aide Charlie avec ses dragons de temps en temps et ça ne lui déplaît pas. Peut-être qu'il va finir par se lancer dans des études de magizoologie ?
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1991 et juin 1998.
‹ baguette : Bois de saule, trente-cinq centimètres et contient un crin de licorne. Cette baguette le suit depuis qu'il a détruit celle de son frère Charlie en deuxième année.
‹ gallions (ʛ) : 4019
‹ réputation : Difficile de passer à côté de la famille Weasley tout de même. Connue pour l'immense fratrie qui la compose, il est difficile de passer à côté d'eux. Famille emblématique des insurgés, ils ont tous presque reçu l'Ordre de Merlin et une jolie somme pour les services rendus à la société sorcière. On sourit beaucoup plus à Ron depuis la fin de la guerre et étrangement, il déteste cette célébrité. Lui qui convoitait tant celle de Harry quand ils étaient à Poudlard, il a fini par comprendre pourquoi son meilleur ami la fuit.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : il a retapé le Terrier alors en attendant c'est là-bas qu'il est.
‹ patronus : un jack russel terrier
‹ épouvantard : Celle-ci ne changera pas, pour rien au monde. Ronald peut faire face à n'importe quelle horreur, mais si vous le mettez devant une araignée... vous pouvez dire adieu au Gryffondor qui sommeille en lui.
‹ risèd : Il se revoit à Poudlard, quand tout allait bien, avec Harry, avec Hermione. Quand il pouvait encore entendre son père pester contre le fonctionnement d'un objet moldu et que Fred et George étaient en train d'inventer des confiseries piégées pour leur boutique tandis que leur mère s'affairait à la cuisine avec ce sourire si caractéristique. Ronald souhaiterait pouvoir revenir à cette période où tout le monde était encore là.
| Le jour où il a reçu le quicky de Mylan, il venait de passer trois quart d’heure à envoyer balader des journalistes qui souhaitaient l’interroger sur ce qu’il s’était passé avec Perceval. Il ne veut pas en parler. Ni avec les autres membres de la fratrie, ni avec ses amis donc encore moins avec des journalistes. Il s’est isolé plus que d’habitude. Il s’est enfermé au Terrier et n’a plus bougé pour s’empêcher d’éclater la figure à quelqu’un sous le coup de la colère. Perceval n’a pas pensé aux conséquences de ses actes visiblement. Il a oublié qu’il avait une famille pouvant l’épauler dans l’éducation de ses jumeaux, visiblement. Ronald n’espère pas qu’il viendra frapper à sa porte pour demander de l’aide. À part se recevoir un poing dans la figure, il n’obtiendra rien du tout. S’il préfère rester avec deux mangemorts, ça devient son problème. Plus le sien. Alors quand il a vu son POW s’allumer pour la énième fois cette journée-là, il avait bien failli l’envoyer à l’autre bout de la pièce avant de suspendre son geste en apercevant le prénom de Mylan. Il a lancé une invitation pour tous les anciens du dortoir de Gryffondor à se retrouver autour d’une bière. Et Ron, ça le branche bien cette perspective. Boire avec des amis c’est bien mieux que de boire tout seul non ? Alors il a répondu que bien sûr qu’il viendrait, avec grand plaisir même. Et en attendant, il a ruminé sa colère dans son coin. Il a reçu la visite de Charlie. Plusieurs fois. Probablement pour s’assurer que Ron n’a pas détruit ce qu’il a réussi à rénover jusque-là (« Merci, Charlie, mais je sais me tenir. Non ne t’inquiète pas je ne vais pas briser l’horloge de maman à chaque fois que son aiguille bouge. Oui je m’en fiche. Tu veux pas retourner en Roumanie ? Non parce que t’es chiant un peu là. »). Puis Charlie a ri et lui a ébouriffé les cheveux. Puis Charlie est parti et il s’est retrouvé seul, de nouveau. Il s’est mis à trop réfléchir et à attiser encore et toujours la colère qu’il peut ressentir pour Perceval et Fred aussi un peu. La même rengaine : l’incompréhension, la rage et l’envie très forte de cogner quelque chose ou quelqu’un. Ronald n’est pas comme ça surtout envers sa famille alors il commence à culpabiliser parce que ce n’est pas vraiment le moment pour la famille Weasley de se disputer. Ils ont besoin des uns et des autres. Ginny a accouché après tout. Perceval est papa. Leur mère est toujours malade.
Bref. Oui, la sortie avec ses amis est la bienvenue.
Et lorsque le jour J est enfin là. Ron guette l’heure avant de transplaner. Il est assis dans le canapé du salon du Terrier – là où il dort, les chambres demandent encore des travaux – et il regarde l’horloge qui avance trop lentement à son goût. Il est impatient de revoir Harry, Seamus, Neville et Mylan. Il aura une pensée pour Dean, mais il se dit que de là où il est, il approuverait totalement ces retrouvailles.
L’heure arrive enfin. Il enfile sa veste, range sa baguette une fois la maison verrouillée et transplane au lieu de rendez-vous. Devant la porte, il trouve tout le monde sauf Mylan. « Yo. » Il sourit et toutes ses pensées négatives s’envolent. Ils retrouvent ses amis, ses frères d’armes. « C’est fou, pour une fois, on est tous à l’heure. » Rapport aux nombreuses fois où ils arrivaient à la bourre à Hogwarts. Peut-être pas Neville, mais Harry, Seamus et lui, c’est certain. Ensemble ils finissent par entrer dans le pub et… une tignasse rose les attend à une table. Il y a qu’une seule personne capable d’avoir des cheveux aussi flash et c’est bien Mylan Rhee. Ça fait un petit quelque chose à Ronald de revoir l’asiatique. Ils ne l’ont connu que trois ans et il avait laissé un sacré souvenir dans la tête du rouquin. Principalement parce qu’il n’avait jamais la même couleur sur la tête et ça faisait rire Ron. Ils s’avancent en même temps et Mylan se lève de sa chaise. Il a un sachet dans la même et le tend à Harry. « On avait bien dit qu’celui qui survivait à la blessure la plus grave remportait dix Chocogrenouilles, right ? Well, puisque t’es mort, j’suppose que ça fait de toi l’gagnant, même si j’me demande si c’est pas un peu de la triche. J’m’attends à c’que tu partages, Potter, j’avais pas assez d’thunes pour payer un truc à chacun. ANYWAY, on s’y met ?? » Ronald entoure Harry avec son bras et s’exclame en lorgnant le sachet de chocogrenouilles. « Mais oui il va partager. Faut bien qu’on éponge un peu, non ? » Oui. Éponger parfaitement. Ron ne dit pas ça parce qu’il a un peu faim. Il pense à l’alcool qu’ils vont boire pour se retrouver. Totalement. Mylan se laisse tomber sur la banquette et Ron le rejoint suivi par les autres. Une serveuse vient prendre les commandes et ils commencent par des pintes.
« J’propose qu’on lève cette première pinte à--la serveuse, qui a un cul d’enfer ? » Ronald se dresse un peu et hoche la tête pour confirmer les dires de Mylan. « Oui. A la serveuse alors ! » Ils trinquent et Ron commence à boire. Parce qu’ils sont là pour se retrouver et probablement pour un peu oublier. La guerre. Les problèmes de l’après-guerre. Ils sont juste une bande de potes qui a décidé que ce soir, ils allaient retrouver un peu de leur jeunesse perdue. |
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HERO • we saved the world Neville Longbottom ‹ disponibilité : always
‹ inscription : 07/10/2016
‹ messages : 644
‹ crédits : freesia, tumblr et khalid.
‹ dialogues : firebrick
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-quatre ans (30/07)
‹ occupation : chômage technique.
‹ maison : gryffondor.
‹ scolarité : septembre 91 et janvier 1999.
‹ baguette : bois d'if, crin de licorne, 28 centimètres 8, souple et rapide, inadaptée mais j'ai la flemme de la changer.
‹ gallions (ʛ) : 3795
‹ réputation : la guerre m'a endurci et changé, que je suis devenu assoiffé de sang et parfois incontrôlable, les longues années de conflit ayant brisé le garçon maladroit et parfois simplet que j'ai été.
‹ particularité : un semi-loup depuis septembre 2003.
‹ faits : je suis très différent du garçon que j'ai été à Poudlard, forgé par des années de guerre, de meurtres et de missions suicidaires. Je suis trop en colère, trop extrême, je n'ai plus rien du garçon timide que j'étais avant même si les blessure d'antan demeurent. La fin de la guerre m'a laissé détruit, et je me suis plongé dans les excès, surtout l'alcool, jusqu'à la naissance de mon neveu James, le fils de Ginny et d'Harry. J'essaie de joindre les deux bouts.
‹ résidence : dans la maison familiale à Blackpool, Angleterre, avec Ginny et son fils James.
‹ patronus : très difficile pour moi à invoquer, mais il a pris la forme d'un lama, une fois.
‹ épouvantard : alternativement le professeur Snape et les cadavres des gens à qui je tiens le plus: ma grand-mère, Luna, Ginny, Hannah, etc.
‹ risèd : une vie heureuse et ennuyante.
| lion kingsIn that moment, he was a little in love with all of them. Their magic. Their quest. Their awfulness and strangeness. His lion kings.Il a failli oublier de venir mais Harry lui a rappelé, tout comme il lui a rappelé y'a trois jours qui était Ifrit après que celui-ci ait créé une conversation groupée "pour se revoir". Il a jamais connu d'ifrit, Neville, et il a lui a bien fallu dix bonnes minutes d'un Harry tant amusé qu'exaspéré pour lui rappeler que c'était l'asiat' qui se pointait parfois pour foutre le feu aux draps parce qu'il avait pas d'amis ou whatever. Mylan. Apparemment, Neville était le seul à ne pas se souvenir mais c'est pas grave, de toutes manières, ces jours-ci, il ne refuse jamais une bonne occasion de boire accompagné; c'est vrai que c'est mieux que les rasades brûlantes de firewhiskey dès le réveil alors qu'il est à peine sorti du lit mais bon, passons — oublions aussi la rasade qu'il a pris avant de transplaner, pour se donner du courage à l'idée de se sociabiliser, et qui commence lentement à faire effet. Et puis, c'est juste queluqes pintes entre potes, ils vont pas se mettre une race et ils vont juste passer un bon moment. Ça fait longtemps que tout le gang n'a pas été réuni comme ça. Enfin, tout le gang... Ron, Harry et Seam. Neville a un énorme sourire quand il les observe, ses trois grands amis, devant le pub dans lequel ils se sont donnés rendez-vous. « C’est fou, pour une fois, on est tous à l’heure. » Neville sort de sa poche le Rappeltout que lui a filé Harry en même temps qu'il lui a rappelé qui était Mylan (il lui a fallu cinq bonnes heures pour relier les petits points et comprendre pourquoi le Rappeltout, enchanté par les soins du Survivant, lui frappait sur la tête en gardant sa couleur carmine) et le lance aux mains du brun, parce qu'il est hors de question de garder cette horreur qui l'a réveillé trop tôt ce matin. “ C'est fou, ouais. ”
Bon, c'est quand qu'on boit? Neville se retient presque de demander, ils sont là pour s'amuser, pas pour se foutre une race (même si bon, finalement, il se fait pas trop d'illusions) et trop boire Neville mais c'est vrai qu'il commence à faire soif. Ils entrent dans le pub et y'a un asiatique (il imagine que c'est Mylan; il a oublié de stalker son MSN, c'est ça qu'il a oublié de faire) avec des cheveux roses (ok) qui s'éclaire en les voyant et se lève quand ils s'approchent. « On avait bien dit qu’celui qui survivait à la blessure la plus grave remportait dix Chocogrenouilles, right ? Well, puisque t’es mort, j’suppose que ça fait de toi l’gagnant, même si j’me demande si c’est pas un peu de la triche. » Neville ne peut s'empêcher de sourire légèrement. Mylan, ouais, il s'en souvient mieux maintenant. Insupportable, incroyablement drôle et franchement grande gueule. (Des fois, il oublie qu'Harry est mort, réalise-t-il. Enfin, qu'une part de lui est vraiment morte et qu'aucun d'eux ne s'en est sorti indemne de cette guerre. Des fois, comme maintenant, il s'en souvient, et il se force à sourire encore plus.) « J’m’attends à c’que tu partages, Potter, j’avais pas assez d’thunes pour payer un truc à chacun. » Neville porte la main à son coeur. “ Pourquoi c'est toujours toi qui récupère tous les cadeaux? ” demande-t-il en lançant un coup de poing dans l'épaule d'Harry avant de faire de même pour Mylan, content de retrouver cet ami qu'il avait complètement oublié (pas sa faute, Neville-la-passoire on l'appelle).
Ils finissent par s'asseoir sur la banquette du booth, Mylan et Seamus sont côte à côte (la mauvaise idée), Harry et Ron aussi et Neville au milieu. Il y a de la place pour quelqu'un d'autre à côté de Seamus et Neville n'arrête pas d'y penser jusqu'à ce qu'ils y déposent leurs vestes. « J’propose qu’on lève cette première pinte à-- » Ça le frappe qu'ils ont plein de choses à célébrer, à toaster, à se rappeler. La fin de la Guerre, Dean, James, et tous ces trucs nuls auxquels Neville ne pense plus depuis qu'il vit plus en moins en autarcie dans la maison Longbottom en découvrant lentement que finalement, ses ressources ne sont pas sans fond. « --la serveuse, qui a un cul d’enfer ? » Neville éclate de rire, passant sa main autour de sa pinte, levant son verre avec les autres. « Oui. A la serveuse alors ! — À son cul, plutôt! ” Et d'aboyer un autre rire, et de boire. Il avale une (trop) longue rasade de bière et repose brutalement le verre sur le table, braquant des yeux brillants sur Harry. “ On a plein de trucs à célébrer, les gars vous vous rendez compte?! La Guerre, la libération, la fin de l'oppression, blablabla, les trucs comme ça. Et, surtout, le fait que tu sois papa, fait-il en pointant Harry, toi, oncle, ensuite Ron, moi parrain, fait-il en tournant son index vers lui avant de continuer de l'autre côté: toi t'es sorti de taule et toi, mon bon Seamus, tu sauves des bébés au Ministère?! Lads, je n'ai jamais été aussi fiers de nous. Jamais. ” Maladroit comme Nev le petit garçon et bavard comme le héros de guerre. Peut-être que la rasade avant de partir était de trop. |
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HERO • we saved the world Harry Potter | LION KINGS + the circle of life He was their family. They were his. They were worth every cut and bruise and scream.
« Harry, darling, how about I call sometime to interview you ? » La voix malaisante de Rita Skeeter le fait immédiatement lever les yeux de son pocketowl, transformant l’expression amusée en une grimace irritable alors qu’elle papillonne des yeux avec un petit sourire. Mais son attention retourne immédiatement sur son appareil, reprenant le quicky qu’il avait commencé à écrire. « I don't have a pow. » Et comme si sa réplique n’était pas déjà savage, il l’écarte de son chemin et s’avance jusqu’à l’employé du café qui a les yeux fixés sur sa cicatrice. Il ne fait pas attention à la posture figée de Skeeter et passe sa commande en tentant d’ignorer les regards insistants de Bobby qui ne pensait probablement pas servir le sauveur aujourd’hui. « À emporter » précise-t-il en indiquant un gâteau entier pendant que Bobby sert les boissons chaudes. Une fois que tout est placé dans un sac ajusté d’un petit ruban, il sort les gallions et tourne les talons en passant tout près de Skeeter toujours dans la même position, ayant sans doute du mal à réaliser le vent que le sauveur lui a foutue. À l’extérieur du café, il transplane jusqu’à chez Neville mais ne toque pas à la porte, dépose seulement le sac de pâtisseries et de boissons protégées par un sortilège ; il y écrit une petite note ’’laisse béton nev c’est pas pour toi’’. Il transplane rapidement chez lui pour éviter que les émotions lui étreignent de nouveau le cœur au souvenir de Ginny qui a refusé de l’épouser – c’est pas grave c’est pas grave c’est pas grave. Au moins… Au moins, il a James.
Il n’met pas beaucoup de temps pour se préparer et transplaner jusqu’à pub pile à l’heure, miraculeusement, en même temps que ses potes. Même s’il remarque le souffle court de Seamus et son skateboard coincé sous le bras, regardant plusieurs fois par-dessus son épaule, il lève une main pour balayer l’air quand il remarque le regard de Harry, ajoutant un « don’t ask ». Potter hausse les épaules et se tourne vers Ron et Neville qu’il salue avec un petit sourire qui montre quand même ses éternelles fossettes. « C’est fou, pour une fois, on est tous à l’heure. » Il rattrape le Rappeltout que Neville lui lance. « C'est fou, ouais. » Il ajoute à son tour « c’est l’appel de l’alcool » pendant qu’ils s’engouffrent à l’intérieur du pub, enveloppés dans une ambiance chaleureuse qui lui rappelle ces après-midis passés aux Trois Balais à essayer presque toutes les boissons disponibles pour des gosses. Avant, y’avait Dean. Maintenant, y’a juste Seamus qui pue l’herbe et qui s’traîne un fantôme comme un boulet à la cheville. Mais à la vue de Mylan son sourire s’élargit de plus en plus, les cheveux roses du coréen faisant ressortir ses souvenirs d’enfance quand il squattait leur dortoir, quand il embêtait Neville avec ses farces, quand il teasait Dean et Ron, quand il complotait avec Seamus, damn, ça fait du bien d’le voir sans les circonstances d’un procès. Juste entre eux et de l’alcool et des cochonneries et des saloperies à raconter.
Et puis ce putain d’pari qu’il avait fait avec Harry et qui maintenant font ressortir ses fossettes encore plus tellement il n’peut cacher son sourire. Il attrape les Chocogrenouilles et hausse les sourcils par habitude. « On avait bien dit qu’celui qui survivait à la blessure la plus grave remportait dix Chocogrenouilles, right ? Well, puisque t’es mort, j’suppose que ça fait de toi l’gagnant, même si j’me demande si c’est pas un peu de la triche. J’m’attends à c’que tu partages, Potter, j’avais pas assez d’thunes pour payer un truc à chacun. » « Au pire, on s’fait un nouveau pari, celui qui finit en sous-vêtements le premier gagne les Chocogrenouilles. » Il ignore complètement le bras de Ron qui tente de jouer de ses charmes pour avoir les chocogrenouilles que Harry éloigne soudainement en tirant son bras loin de Ron. « Mais oui il va partager. Faut bien qu’on éponge un peu, non ? » Stay strong Harry. Ne succombe pas!! « Pourquoi c'est toujours toi qui récupère tous les cadeaux? » En réponse à Neville, Harry lui lance son sourire le plus innocent qu’il possède, celui qui dit ‘’j’ai juste à sourire comme ça et on m’offre tout ce que j’veux’’ avant qu’ils ne s’installent sur la banquette. C’est drôle de voir Mylan et Seamus côte à côte, là où normalement D… « J’propose qu’on lève cette première pinte à-- » il lève également son verre et donne un coup de pied sur la jambe de Seamus qui avait déjà commencé à boire sans qu’ils n’aient fait de toast. « --la serveuse, qui a un cul d’enfer ? » Harry se facepalmerait s’il n’avait pas ses lunettes à protéger. « Oui. A la serveuse alors ! – À son cul, plutôt! » Il grimace parce qu’il n’a pas vraiment eu le temps de remarquer le derrière de la serveuse, trop absorbé qu’il était à observer ses amis un par un et à… P’tain les chocogrenouilles ont disparu. Il lance un regard envers Ron et quelque chose crie ‘’coupable!’’ mais il ne s’attarde pas trop sur son meilleur ami parce que soudainement Neville a commencé à parler. « On a plein de trucs à célébrer, les gars vous vous rendez compte?! La Guerre, la libération, la fin de l'oppression, blablabla, les trucs comme ça. Et, surtout, le fait que tu sois papa, toi, oncle, moi parrain, toi t'es sorti de taule et toi, mon bon Seamus, tu sauves des bébés au Ministère?! Lads, je n'ai jamais été aussi fiers de nous. Jamais. » La mention de son fils lui réchauffe tellement le cœur qu’il dépose son verre alors qu’il a à peine bu quelques gorgées pour sortir son pow de sa poche et le déverrouiller et faire un tour sur ses dernières photos. « …je vous ai pas encore montré mon fils », il n’sait pas trop pourquoi il se sent obligé d’insister sur ce mot, probablement parce qu'il n’a pas vraiment réalisé. « Il est beau, mon fils, huh? » Il a quoi, une semaine ? Deux ? Il est tout écrabouillé et pas très beau mais pour ses yeux de père, James est le plus beau. Son pow a fait le tour de la tablée même si Ron et Neville ont leurs stocks de photos – surtout que Neville vit carrément avec James. « Mon fils est un lycan, Remus – » et il s’interrompt, pour ne pas faire ressurgir les fantômes du passé. Il s’éclaire la gorge et se saisit de son verre pour boire. Remus aurait été un pilier pour James. Au moins il aura son parrain semi-loup pour l’aider. Et puis il lève soudainement son verre assez haut et se met à gueuler « Heeey tout le monde, je suis papa!! » assez fort dans le pub, recevant même des sifflements de la part de quelques inconnus déjà bien bourrés de l’autre côté de la salle. Il espère quand même qu’il n’a pas jeté un malaise en mentionnant le nom de Remus ou que quelqu’un (de préférence Mylan) avec un bon humour relancera la conversation sur quelque chose de plus gai.
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WIZARD • always the first casuality Mylan Rhee ‹ inscription : 29/11/2016
‹ messages : 342
‹ crédits : moony.
‹ dialogues : lightsteelblue (design foncé), steelblue (design clair).
‹ âge : 24 ans
‹ occupation : criminel en période de probation | apprenti Mage Social.
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : 1991 - 1994.
‹ baguette : a été brisée à son emprisonnement à Azkaban. A sa libération, on lui a refilé une merde complètement bridée, de 25cm, taillée dans du noyer et contenant un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3368
‹ réputation : on dit que c'est un délinquant, une petite frappe qui essaye de retrouver une vie normale, décente. Les anciens SM et les autres gangs du Londres Sorcier disent que c'est un traître, un vendu.
‹ particularité : c'est un maître du feu, le seul de sa famille puisqu'ils appartiennent tous à la tribu de l'eau.
‹ faits : il était le n°2 des shadow moses, qu'il a créés aux côtés de mood - mais ce dernier l'a trahi et il a passé un an et demi à azkaban - à son retour, mylan a décidé de quitter le gang - il a fait tout un tas de trucs nuls et c'était pour survivre, mais ça pèse lourd sur sa conscience - il ne supporte plus d'être enfermé - il est extrêmement tactile mais surtout, il a besoin qu'on le touche, qu'on lui rappelle qu'il est vivant - il ne ressent pas la douleur et ça le rend dangereux, mais c'est extrêmement pénible à vivre - il mange sans arrêt, adore cuisiner - il aime les chiens, déteste les chats - il ne supporte pas d'avoir froid - c'est un nabot, mais faut surtout pas lui dire, il déteste qu'on lui rappelle sa petite taille - il sait parler coréen, mais c'est un peu rouillé - il a deux petits frères qui sont sa seule famille, puisque ses parents et son aîné l'ont renié - il veut sortir les mômes de la rue, les aider avant qu'ils se retrouvent avec un casier judiciaire long comme le sien.
‹ résidence : techniquement, dans un appart' miteux au Chemin de Traverse, en réalité, chez Heath Ravka.
‹ patronus : il n'a jamais appris à en faire un.
‹ épouvantard : lui, dans sa cellule vide et glacée à Azkaban, privé de tous ses sens.
‹ risèd : lui, entouré de ses proches.
| Lion Kings — the circle of life. Welcome to the room of people who have rooms of people that they loved one day docked away. Just because we check the guns at the door doesn't mean our brains will change from hand grenades. You'll never know the psychopath sitting next to you, you'll never know the murderer sitting next to you. You'll think, "How'd I get here, sitting next to you?" Et juste comme ça, Mylan a presque l’impression d’être de retour dans le dortoir des Gryffondors, avec Ron qui ne peut s’empêcher de lorgner sur la bouffe d’Harry et ça fait du bien de voir que certaines choses n’ont pas changé. Oh il y en d’autres, qui sont bien différentes, comme Neville qui semble avoir gagné une confiance en lui qu’il ne possédait pas avant, mais le jeune homme suppose que la guerre fait ce genre de choses. Il y a aussi cette ombre qui semble suivre Seamus alors qu’il n’était que lumière avant, mais Mylan ne veut pas penser à ça, pas ce soir. C’est difficile d’ignorer l’emplacement vide à la table qui semble avoir été conçue pour accueillir six personnes et non cinq. Le Rhee voudrait pouvoir l’effacer et en même temps, il n’ose pas faire le moindre geste pour combler ce vide. Après tout, ce n’est pas en s’étalant ou en parlant plus fort qu’ils arriveront à remplacer Dean Thomas et ils ne disent rien, mais ils le savent tous. Pourtant, les vestes finissent par s’empiler à cet endroit et le jeune homme arrive à respirer un peu plus facilement. « Oui. A la serveuse alors ! » s’exclame Ron et Neville enchaîne : « A son cul, plutôt ! » et Mylan manque de s’étouffer avec sa gorgée de bière parce qu’il ne pensait vraiment pas entendre Longbottom parler comme ça un jour et ça lui rappelle ce qu’il a manqué mais en même temps, c’est étrangement rafraîchissant. « On a plein de trucs à célébrer, les gars vous vous rendez compte?! La Guerre, la libération, la fin de l'oppression, blablabla, les trucs comme ça. Et, surtout, le fait que tu sois papa, toi, oncle, moi parrain. » Et encore une fois, ça manque de passer de travers parce que Mylan avait presque oublié ce détail. Pourtant, tout le monde est au courant – comme toujours lorsqu’il s’agit de la vie privée pas si privée d’Harry Potter – mais c’est juste tellement dingue que le Rhee avait vaguement zappé ça. « Toi t’es sorti de taule, » poursuit Neville et Mylan se retient d’ajouter qu’il n’y est même pas retourné parce qu’il a lui-même encore du mal de croire à sa libération. Il ne sait pas où Heath a déniché son avocat, il ne sait pas comment c’est possible qu’il puisse être dehors, mais il ne va pas cracher sur sa semi-liberté, oh ça non. « Et toi, mon bon Seamus, tu sauves des bébés au Ministère?! Lads, je n'ai jamais été aussi fiers de nous. Jamais. » Et Mylan ne peut pas s’empêcher d’esquisser un grand sourire parce que l’étrange bonne humeur de Longbottom est contagieuse.
C’est vrai, ils ont des tas de raisons de célébrer, finalement.
C’est dingue comme en quelques mots, Neville a réussi à faire s’envoler le poids qui pesait sur les épaules de Mylan à l’idée qu’ils le jugent, qu’ils lui en veuillent, d’une certaine manière. Son avocat a suffisamment insisté sur le fait qu’il n’avait pas tellement le choix, mais il n’empêche qu’il a participé à la torture de certains Insurgés et il pensait qu’au moins quelqu’un à cette table lui en voudrait pour ça. Ils auraient raison, après tout. « Je vous ai pas encore montré mon fils. » Potter le tire de ses pensées qu’il chasse bien vite pour reporter son attention sur l’ex-Gryffondor. « Il est beau, mon fils, huh ? » demande Harry, visiblement très fier et le POW finit par arriver jusqu’à Mylan qui observe attentivement le bébé tout fripé et les photos lui tirent un sourire en coin. Il ne sait pas s’il est beau, mais il a bien une gueule de Potter-Weasley, ce gosse. « Mon fils est un lycan, Remus-- » Et juste comme ça, il y a un autre fantôme à leur table. Mylan se souvient de Remus Lupin, le meilleur professeur de DCFM qu’il ait pu avoir – d’accord, il n’en a pas eu beaucoup, whatever. Il se souvient surtout de son retour à la maison, après que tout le monde ait été mis au courant de la véritable…. Nature de Lupin. Sa mère est devenue folle, elle a littéralement crisé que c’était honteux qu’un loup-garou soit devenu professeur, qu’il ait pu avoir des contacts avec des enfants. Ils se sont salement pris la tête ce jour-là, parce que Mylan ne voyait clairement pas où était le problème, étant donné que Lupin n’avait jamais blessé personne et qu’il avait été un excellent enseignant.
« Heeey tout le monde, je suis papa!! » s’écrie alors Harry et Mylan a un gloussement un peu bête, parce que ça se met à siffler dans le pub et Potter est tellement content qu’il l’est un peu lui aussi. « C’est tellement chelou, » lance-t-il alors en portant son attention sur Ron. « La dernière fois qu’j’ai vu ta sœur, elle était plus p’tite que moi, c’est dire. » Il descend un peu plus sa bière, puis se tourne vers Harry. « En tout cas, félicitations mec, avec des gênes pareils, nul doute que lil’James t’en fera voir de toutes les couleurs alors…. bois tant que tu l’peux encore, » murmure-t-il avec une grimace, en poussant sa pinte vers Harry. Ce dernier est prêt à se l’enfiler, quand une Chocogrenouille plonge dans le verre, éclaboussant le brun au passage et d’un même mouvement, ils se tournent tous vers Ronald qui affiche un air coupable. « Tu payes la prochaine tournée, Weasley, » déclare Mylan avec un sourire carnassier avant de vider son verre d’une traite.
Probablement une très mauvaise idée, mais il est entouré de valeureux héros de guerre alors il ne risque rien, pas vrai ? La pensée lui tire un rire stupide alors qu’avec une mine faussement vaincue, Ron se lève pour aller chercher d’autres pintes de bière. A son retour, Mylan attrape le verre qui lui revient et le lève pour poster un autre toast. « Okay lads, let’s go with bless puberty, ‘cause that’s a mighty fine ass you’ve got here Weasley, I’m pretty sure you beat the cute waitress, but I’ll have to take another look just to be sure, » susurre-t-il avec un clin d’œil. Il est temps de voir si ça fait partie des trucs qui ont changé, ou si Ronald s’empourpre toujours aussi facilement, c’était après tout, un de ses jeux préférés. |
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HERO • we saved the world Ronald Weasley ‹ inscription : 22/02/2016
‹ messages : 615
‹ crédits : cristalline et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : salmon
‹ âge : vingt-quatre ans.
‹ occupation : C'est la grosse question que se pose Ronald en ce moment. Il n'aspire plus à devenir Auror, être autant de temps en guerre lui a passé l'envie de partir à la chasse aux mages noirs et il ne veut pas non plus avoir de contact avec les autres êtres humains alors il ne sait pas. Il aide Charlie avec ses dragons de temps en temps et ça ne lui déplaît pas. Peut-être qu'il va finir par se lancer dans des études de magizoologie ?
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1991 et juin 1998.
‹ baguette : Bois de saule, trente-cinq centimètres et contient un crin de licorne. Cette baguette le suit depuis qu'il a détruit celle de son frère Charlie en deuxième année.
‹ gallions (ʛ) : 4019
‹ réputation : Difficile de passer à côté de la famille Weasley tout de même. Connue pour l'immense fratrie qui la compose, il est difficile de passer à côté d'eux. Famille emblématique des insurgés, ils ont tous presque reçu l'Ordre de Merlin et une jolie somme pour les services rendus à la société sorcière. On sourit beaucoup plus à Ron depuis la fin de la guerre et étrangement, il déteste cette célébrité. Lui qui convoitait tant celle de Harry quand ils étaient à Poudlard, il a fini par comprendre pourquoi son meilleur ami la fuit.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : il a retapé le Terrier alors en attendant c'est là-bas qu'il est.
‹ patronus : un jack russel terrier
‹ épouvantard : Celle-ci ne changera pas, pour rien au monde. Ronald peut faire face à n'importe quelle horreur, mais si vous le mettez devant une araignée... vous pouvez dire adieu au Gryffondor qui sommeille en lui.
‹ risèd : Il se revoit à Poudlard, quand tout allait bien, avec Harry, avec Hermione. Quand il pouvait encore entendre son père pester contre le fonctionnement d'un objet moldu et que Fred et George étaient en train d'inventer des confiseries piégées pour leur boutique tandis que leur mère s'affairait à la cuisine avec ce sourire si caractéristique. Ronald souhaiterait pouvoir revenir à cette période où tout le monde était encore là.
| À son cul, plutôt! ” Ronald manque de s’étouffer un peu en entendant Neville dire cette phrase. C’est tellement pas de lui qu’il en est choqué. Il sait que la guerre a changé beaucoup de monde, mais il ne s’était pas attendu à ce que ça soit autant pour Neville. Où est passé le gamin craintif de Poudlard ? Après Ronald ne s’en plaint pas trop, Neville doit s’imposer, c’est un chouette type qui mérite de rouler sur tous les Serpentards qui lui ont causé du tort un jour. “ On a plein de trucs à célébrer, les gars vous vous rendez compte?! La Guerre, la libération, la fin de l'oppression, blablabla, les trucs comme ça. Et, surtout, le fait que tu sois papa, toi, oncle, ensuite Ron, moi parrain, toi t'es sorti de taule et toi, mon bon Seamus, tu sauves des bébés au Ministère?! Lads, je n'ai jamais été aussi fiers de nous. Jamais. ” Ronald se met à rire. C’est vrai que James est né, qu’il est le fils de sa petite sœur adorée et de son meilleur ami et qu’il vient d’entrer dans la grande famille Weasley. Il n’est pas peu fier parce qu’il sait que le gamin est bien entouré et qu’ils seront toujours tous là pour épauler Ginny avec le fait qu’il soit un lycan. Ronald est confiant pour la suite, ça ira. Il boit une autre gorgée en levant son verre. Oui, à James, à eux et à la fin de cette maudite guerre. Malgré lui, son regard se pose sur l’espace vide qui aurait accueilli Dean tout naturellement. Mais Dean n’est plus là. Harry sort de son silence et fait revenir Ron à la réalité. « …je vous ai pas encore montré mon fils. Il est beau, mon fils, huh? » Il fait circuler le POW autour de la table.
« Mon fils est un lycan, Remus – » Le sourire de Ron se fane parce que oui, fatalement, ils repensent souvent à Remus quand il est question de lycanthropie sauf que Remus non plus n’est plus là. Ronald déglutit difficilement et il décide de reprendre une gorgée de sa pinte parce que ça lui fera passer le goût amer qu’il a dans la bouche. Repenser à ses compagnons d’arme disparus lui fait toujours le même effet. Harry se met à gueuler, verre à la main. « Heeey tout le monde, je suis papa!! » Tout le monde s’est arrêté pour l’acclamer ou siffler ou lui adresser des félicitations d’une voix incertaine. Et Ronald se met à rire. Ils ne sont pas là pour pleurer sur les morts mais bien pour fêter leurs retrouvailles. « C’est tellement chelou, » Fait Mylan en se tournant vers lui. « La dernière fois qu’j’ai vu ta sœur, elle était plus p’tite que moi, c’est dire. En tout cas, félicitations mec, avec des gênes pareils, nul doute que lil’James t’en fera voir de toutes les couleurs alors…. bois tant que tu l’peux encore, » – « Mylan a bien raison. Profite, vieux. » plaisante-t-il sans se rendre compte qu’il a desserré sa prise sur le sachet de chocogrenouilles qu’il a chouré à Harry. C’est à ce moment que l’une d’elles décide de sauter pile dans le verre de bière destiné à Harry. Tous les regards convergent vers lui. Oups ? « Tu payes la prochaine tournée, Weasley, » Ron ronchonne un peu, mais c’est de bonne guerre. Faut qu’il apprenne à maîtriser sa gourmandise. « Alright ! J’y vais. » Il se faufile hors de sa chaise comme il peut, se dirige vers le bar pour commander la prochaine tournée. Il fait un peu les yeux doux à la serveuse, l’alcool aidant un peu à vaincre son manque d’assurance. Elle le fait payer sans broncher et en le remettant un peu à sa place puis il retourne auprès de ses amis sans demander son reste. Il sait qu’il ne faut pas insister quand une demoiselle dit non.
Ils n’attendent pas très longtemps avant qu’on vienne les servir de nouveau laissant le temps à Ronald de descendre sa première pinte. Il laisse échapper un soupir de satisfaction quand c’est le cas. Une bonne bière dans un pub entouré de ses amis, il n’y a rien de mieux. « Okay lads, let’s go with bless puberty, ‘cause that’s a mighty fine ass you’ve got here Weasley, I’m pretty sure you beat the cute waitress, but I’ll have to take another look just to be sure, » Le rouquin se saisit de son verre et pique un fard monumental en entendant ce que dit Mylan. Il ne s’était pas attendu à ce toast. « Wow… attends… quoi ? » Il bégaie un peu pitoyablement avant de voir ses amis éclater de rire et boire un coup. Il les suit tout naturellement, mais il sent encore ses joues et ses oreilles qui chauffent et il sait qu’il doit probablement ressembler à une tomate bien mûre à l’heure actuelle. Il sait que Mylan a probablement fait exprès parce que ça l’a toujours amusé de voir une teinte de rouge en plus sur sa gueule. « Vous… vous voulez des chocogrenouilles ? » Fait-il encore plus maladroitement en posant le sachet encore plein sur la table. Sachet qui appartient à Harry à l’origine. « Quoi ? Me regarde pas comme ça, c’est Mylan qui a dit que tu devais partager, je le fais pour toi. » Explique-t-il en croisant le regard du brun. Il descend la moitié de sa pinte histoire de faire passer la gêne qu’il ressent. Il doit arrêter de rougir aussi, ça serait top. |
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HERO • we saved the world Neville Longbottom ‹ disponibilité : always
‹ inscription : 07/10/2016
‹ messages : 644
‹ crédits : freesia, tumblr et khalid.
‹ dialogues : firebrick
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-quatre ans (30/07)
‹ occupation : chômage technique.
‹ maison : gryffondor.
‹ scolarité : septembre 91 et janvier 1999.
‹ baguette : bois d'if, crin de licorne, 28 centimètres 8, souple et rapide, inadaptée mais j'ai la flemme de la changer.
‹ gallions (ʛ) : 3795
‹ réputation : la guerre m'a endurci et changé, que je suis devenu assoiffé de sang et parfois incontrôlable, les longues années de conflit ayant brisé le garçon maladroit et parfois simplet que j'ai été.
‹ particularité : un semi-loup depuis septembre 2003.
‹ faits : je suis très différent du garçon que j'ai été à Poudlard, forgé par des années de guerre, de meurtres et de missions suicidaires. Je suis trop en colère, trop extrême, je n'ai plus rien du garçon timide que j'étais avant même si les blessure d'antan demeurent. La fin de la guerre m'a laissé détruit, et je me suis plongé dans les excès, surtout l'alcool, jusqu'à la naissance de mon neveu James, le fils de Ginny et d'Harry. J'essaie de joindre les deux bouts.
‹ résidence : dans la maison familiale à Blackpool, Angleterre, avec Ginny et son fils James.
‹ patronus : très difficile pour moi à invoquer, mais il a pris la forme d'un lama, une fois.
‹ épouvantard : alternativement le professeur Snape et les cadavres des gens à qui je tiens le plus: ma grand-mère, Luna, Ginny, Hannah, etc.
‹ risèd : une vie heureuse et ennuyante.
| Le silence était des plus assourdissants, et l'absence des plus aveuglantes. C'était entre chaque mot, entre chaque prise de parole: ils étaient tous, à des degrés différents, hantés par ceux qu'ils avaient laissés derrière. Et il y en avait bien trop... Neville repensa aux gamins qu'ils avaient été, partageant des dragées de Bertie Crochue ou se plaignant des devoirs: Harry et ses lunettes rondes et les problèmes qui lui collaient à la peau; Ron et la touffe de cheveux la plus rousse que Neville ait jamais vu, sa grande stature et sa gêne intrinsèque; Seamus et ses coups de feu et de sang; Mylan et ses cheveux multicolores, ses blagues vaseuses et son énergie à toute épreuve; Dean (Dean...) et sa force tranquille, son charme naturel; et lui-même, timide à en crever et rond comme Gallion. Ils avaient bien changé; mais à certains instants, Neville était incapable de distinguer si c'était particulièrement en bien, ou en mal. « …je vous ai pas encore montré mon fils. » Son fils, putain. Harry a un fils. Neville est bien le premier à savoir — après tout, c'est lui qui doit se taper les hurlements au milieu de la nuit, vu qu'il vit avec Ginny — mais il ne peut pas s'empêcher de se pencher pour regarder les photos du POW, poussant des petits grognements attendris ça et là, qu'il ne peut réprimer. « Il est beau, mon fils, huh? — Il est trop mignon, ” marmonne Neville avec adoration, sans cesser de boire sa pinte. Il a soif, d'accord? Il a juste soif. Et puis ils sont là pour s'amuser, il va pas limiter sa consommation, Ginny lui avait dit que ça ne le dérangeait pas qu'il sorte ce soir, surtout pour voir les copains (woah, peut-être que c'était sarcastique, en fait, et qu'elle voulait qu'il reste à la maison? Mais non, elle lui aurait dit, sinon). « Mon fils est un lycan, Remus – » Remus.
Neville se tend malgré lui sur sa chaise. Remus Lupin a été le meilleur professeur de DCFM qu'ils ont jamais lu et la première personne qui lui a donné confiance en lui, vraiment confiance en lui, ainsi que le seul professeur auprès duquel il est allé chercher des conseils après les cours, en dehors du professeur Chourave. Un sourire amer barre le visage de Neville, malgré lui, alors qu'il se perd dans ses pensées un instant. Remus Lupin. C'est tellement... tellement injuste. Tellement injuste, aussi que James soit un lycan. Un lycan, à cet âge... lui-même peut à peine supporter l'influence de la lune alors James, son filleul, cette petite chose magnifique et parfaite... « Heeey tout le monde, je suis papa!! » Le cri d'Harry l'arrache brutalement de ses pensées; Neville est reconnaissant, il acclame Harry avec un grand rire avant d'éclater de rire, repoussant ces pensées néfastes et bien sombres, préférant finir sa pinte (“ gardez l'rythme, les gars, ” qu'il lance doucement, sans cesser de rire) et la reposer un peu brusquement. « C’est tellement chelou. La dernière fois qu’j’ai vu ta sœur, elle était plus p’tite que moi, c’est dire. En tout cas, félicitations mec, avec des gênes pareils, nul doute que lil’James t’en fera voir de toutes les couleurs alors…. bois tant que tu l’peux encore. — Mylan a bien raison. Profite, vieux. » Neville s'apprête à rajouter un truc, pour enfoncer le clou, de certainement très spirituel et maladroit à la fois... quand une Chocogrenouille s'échappe du paquet que tient Ron, et finit par sauter dans la pinte d'Harry, éclaboussant un peu la table. Neville se met à rire, incapable de s'arrêter, devant le spectacle de la Chocogrenouille qui essaie vainement de s'en sortir, glissant sur les parois du verre et apparemment... en train de ressentir les effets de l'alcool dans laquelle elle se noie. C'est horrible. C'est parfait. “ Bah alors, mate, tu vas pas- tu vas pas-- ” Rien avoir avec un bégaiement typique de Longbottom; il arrive juste pas à finir sa phrase parce qu'il ne cesse de s'esclaffer, atteint d'un fou rire, devant la moue du Survivant.
Ron revient s'asseoir (Neville a toujours du mal à respirer, il va avoir un point de côté à ce rythme; il est aussi incapable de regarder Harry, à point de se remettre à rigoler bruyamment) et les pintes arrivent et- « Okay lads, let’s go with bless puberty, ‘cause that’s a mighty fine ass you’ve got here Weasley, I’m pretty sure you beat the cute waitress, but I’ll have to take another look just to be sure. » -et comment est-il supposé garder son sérieux? Fuck's sake, mate! “ Amen to that! ” La puberté, la grande amie de Neville (et c'est vrai qu'ils ont tous eu un putain de glo up, quand même, sauf Mylan qu'est resté un nain). « Wow… attends… quoi ? » Ron est tout rouge, et ils rigolent, et ils boivent. Ses amis lui avaient tellement manqué, tout comme ces moments de camaraderie sincère parce qu'après tout, à chaque fois qu'ils s'amusaient, au camp, c'était non sans une pointe de culpabilité, à l'idée qu'ils auraient dû être en train de faire quelque chose de constructif, d'utile pour le bien des Insurgés... mais ils ont gagné la Guerre. Ils sont promis à un grand avenir! Heureux et parfait. Peut-être qu'ils peuvent garder les fantômes à distance pendant quelques temps encore.
« Vous… vous voulez des chocogrenouilles ? » Neville pousse ce qui pourrait ressembler à un rugissement appréciateur pour une oreille entraînée. « Quoi ? Me regarde pas comme ça, c’est Mylan qui a dit que tu devais partager, je le fais pour toi. » Avant qu'Harry ait le temps de rétorquer, Neville tend la main et s'empare d'une Chocogrenouille qu'il décapite d'un coup de dents. Ça le fait penser à Trevor, et ça le rend un peu triste mais il aime bien trop le chocolat pour trop culpabiliser. Distraitement, après avoir avalé la moitié de sa grenouille qui ne saute plus vraiment, il plonge de nouveau sa main dans le paquet pour en extraire la carte... “ Holy shit, dudes! ” ne peut-il s'empêcher de crier, tenant la carte à bout de bras pour qu'ils puissent tout voir le portrait... d'Harry! qui les regarde avec son petit sourire en coin habituel, ses yeux verts, ses cheveux ébouriffés et le dessin (trop rouge, pour qu'elle soit bien visible) de la cicatrice en forme d'éclair sur son front. “ Harry Potter, surnommé le Survivant, est le sauveur du monde magique et celui qui l'a débarrassé du Mage Noir Voldemort au terme des deux guerres sorcières britanniques, en 1981 et en 2003, lit-il, sa voix montant au fur et à mesure de sa lecture. Considéré comme un grand sorcier parmi ses pairs, excellent joueur de Quidditch et fier membre de la maison Gryffondor, Potter est aussi le plus jeune récipient à ce jour de l'Ordre de Merlin Première Classe. HOLY SHIT, JE GARDE CETTE CARTE, J'M'EN FOUS, T'ES TROP BEAU DESSUS? EST-CE QU'IL Y A UNE CARTE À MON NOM? LES SORCIERS VEULENT SAVOIR, Harry Potter, que pensez-vous de votre caRTE DE SORCIER HOLY FUCKING SHIT. ” Il n'y croit pas, tendant un micro imaginaire en direction du visage d'Harry, avant de lui foutre une pinchenette sur le menton, laissant un sourire ironique envahir son visage, il sait bien ce qu'Harry pense de sa célébrité.
- Spoiler:
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HERO • we saved the world Harry Potter | « C’est tellement chelou. La dernière fois qu’j’ai vu ta sœur, elle était plus p’tite que moi, c’est dire. En tout cas, félicitations mec, avec des gênes pareils, nul doute que lil’James t’en fera voir de toutes les couleurs alors…. bois tant que tu l’peux encore. – Mylan a bien raison. Profite, vieux. – Merci babe de me donner ta bénédiction – » Harry s’apprête à envoyer un baiser volant à Ron (aka son meilleur ami, l’amour de sa vie version pas homo même s’il l’a déjà maté sous la douche, son âme-sœur de toujours, petits ils avaient remarqué qu’ils avaient EXACTEMENT les mêmes tâches de rousseur sur l’épaule droite, si ça c’est pas un signe du destin, franchement) quand SOUDAIN, une horrible bestiole sautille et s’écrase dans son verre et… il se retrouve… couvert de bière. Shit. C’est même entré dans ses yeux et ses lunettes sont mouillées et il voit tellement flou que ses copains ont des formes étranges. Ça le dégoûte parce que la bière est foutue maintenant. « Disgustin », il attrape quelques serviettes en papier et s’essuie le visage (et les lunettes parce qu’un Potter sans lunettes, ça ne voit rien, comme une certaine Marion dans le monde moldu même s’il ne la connaît pas trop) et les voilà qui se foutent de sa gueule pendant que la chocogrenouille s’allonge complètement dans son verre comme si elle était dans un jacuzzi s’il se réfère à son sourire exalté et aux petites bulles qu’elle produit. Dégueu. “ Bah alors, mate, tu vas pas- tu vas pas— ” son coup de pied sous la table sur le pied de Neville part tout seul, il n’en est pas responsable, okay (et il n’a pas frappé fort parce qu’il n’veut pas faire de mal à la peau précieuse de son Neville, Harry est tellement gay pour lui aussi ). Mais heureusement que Ronnie (le soleil de ses nuits, la lune de ses jours) revient après avoir commandé la prochaine tournée et les pintes ne tardent pas à arriver ; Harry peut noyer la peine de la perte de sa précédente pinte accaparée par la maudite chocogrenouille en se saisissant d’une nouvelle. Il le mérite, okay, ils l’ont dit !!
« Okay lads, let’s go with bless puberty, ‘cause that’s a mighty fine ass you’ve got here Weasley, I’m pretty sure you beat the cute waitress, but I’ll have to take another look just to be sure. – Amen to that! » Harry ne peut qu’acquiescer avec les deux autres, s’enfilant déjà la moitié de sa bière alors que son regard mire instinctivement le derrière de Ron reposant sagement sur la chaise (quelle chanceuse, damn). « Wow… attends… quoi ? » Et c’est tellement cute de voir Ron rougir qu’il envoie un clin d’œil à Mylan qui a toujours eu un kink bizarre avec le rougissement du rouquin. Ledit rouquin tente de changer le sujet de conversation, trop embarrassé d’avoir toute l’attention de ses potes sur lui et oh, de la serveuse aussi que Harry voit sourire de l’autre côté du comptoir en regardant son meilleur ami. Il est un peu beaucoup proud de son rouquin (mais il n’aime pas vraiment partager ). « Vous… vous voulez des chocogrenouilles ? Quoi ? Me regarde pas comme ça, c’est Mylan qui a dit que tu devais partager, je le fais pour toi. » Neville en pique évidemment, Mylan partage quelques mots avec Seamus qui, depuis tout ce temps n’a rien ajouté à l’échange mais Harry l’a entendu rire quelques fois so… c’est déjà ça ? Il ne va pas bien mais il n’est pas complètement mal non plus, right ? Le regard du survivant glisse vers lui, alors que Seamus roule de l’herbe sur la table. Il marmonne « c’est du tabac » quand il repère le regard de Harry sur lui, accusateur sans qu’il le veuille mais Harry se doute bien qu’il n’y a autre chose sur les feuilles. Mais son attention se focalise sur Neville, qui s’écrie brusquement. “ Holy shit, dudes! ” Et… shit, c’est son tour d’être embarrassé. À contrario de Ron, Harry ne rougit pas mais il se prend la tête entre ses mains alors que la carte est brandie comme Simba dans le Roi Lion. “ Harry Potter, surnommé le Survivant, est le sauveur du monde magique et celui qui l'a débarrassé du Mage Noir Voldemort au terme des deux guerres sorcières britanniques, en 1981 et en 2003. Considéré comme un grand sorcier parmi ses pairs, excellent joueur de Quidditch et fier membre de la maison Gryffondor, Potter est aussi le plus jeune récipient à ce jour de l'Ordre de Merlin Première Classe. HOLY SHIT, JE GARDE CETTE CARTE, J'M'EN FOUS, T'ES TROP BEAU DESSUS? EST-CE QU'IL Y A UNE CARTE À MON NOM? LES SORCIERS VEULENT SAVOIR, Harry Potter, que pensez-vous de votre caRTE DE SORCIER HOLY FUCKING SHIT. ” Et le voilà qui le tend un micro imaginaire que Harry écarte en lui donnant des tapes sur la main. « Stahp it !! » Mais il ne peut s’empêcher de sourire (même s’il est mort d’embarras, high five Ron) parce que… le geste est quand même cute? ça lui fait plaisir? que ses potes soient là? même s’ils se foutent de sa gueule? « J’crois que y’en a une à ton nom mais je l’ai pas encore trouvée. Par contre, il prend une pause dramatique pour faire son éternel sourire en coin et plisser légèrement des yeux quand il regarde Neville, j’ai toute une collection de serviettes à ton effigie. J’aime m’essuyer avec ta tête dessus, c’est réconfortant I guess? Ron, cette fois-ci il se tourne vers son meilleur ami toujours avec le même air un peu smug et satisfait, j’ai toute une vaisselle complète sur toi, prochainement je vais acheter des tasses. Et Seamus, ce dernier interrompt brusquement ce qu’il était en train de faire pour le regarder, j’sais pas si t’as vu dude mais y’a du PQ avec ta tête en grande surface? ‘Fin c’est doux et agréable pour mon derrière. Je crois qu’ils font aussi des tampons sur toi, ‘faut que t’ailles voir ça. Et Mylan, et finally, il se tourne vers Mylan, croisant les bras sur son torse, tu deviens célèbre quand pour que j’achète des boxers avec ta tête dessus ? » Et le pire c’est que c’est vrai, il a acheté toutes ces conneries sur ses potes. |
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