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sujet; if crazy equals genius then I'm a rocket scientist ☩ mal |
| Mallory 'Mal' Aodh O'Faoláinain't no rest for the wicked❝ We're running in circles again ❞wizard ; SC☇ pseudo complet & surnom(s) ; Mallory On commence par un prénom de fille qu'il déteste assez férocement, plus inquiet des moqueries que du prénom ( pas si moche que ça ) en lui-même. Il ne l'utilise jamais ce nom signifiant littéralement malchanceux, se cachant à longueur de journée sous le diminutif de Mal. Ensuite, vient Aodh. Ça sent la terre d'Irlande et ses origines, sa maison. C'est un prénom très court à la signification pourtant forte, le feu. Pour finir, Lughaidh...Un orthographe bien compliqué pour un nom se prononçant tout simplement Loua. C'est une version enjolivée du nom Lugh, le dieu de la lumière dans la culture celte. Étonnant qu'il ait plutôt choisi de vivre dans l'ombre avec un prénom pareil. Son nom de famille il le porte avec fierté tout comme son accent à couper au couteau, O'Faoláin. Il fait partie de cette meute de sorcier aux traditions ancrées dans le folklore irlandais et ses origines moldues. Ils ont un tempérament de feu et la langue bien pendue, il parait. Des alias il en a plein, auquel il ne répond pas vraiment oubliant parfois ses propres mensonges au fur et à mesure qu'il en invente de nouveau. Parmi ses fausses identités il y a Tommen dit Tommy, le petit étudiant à lunette passionné par la photographie qui rêve d'exposer ou bien Darius, la rockstar en devenir qui parcourt les bars à la recherche de poches un peu trop accessibles. Pour ceux qui n'ont pas le luxe d'accrocher un nom à son visage il y a tout simplement le bâtard, l'irish ou encore le farfadet ou leprechaun dont l'or disparaît bien vite. Ça lui va assez bien et il en est assez fier de ces noms d'oiseaux dont on le coiffe. Mélangez-les comme vous le voulez, pimentez un peu votre surnom en rajoutant une insulte ou deux et vous aurez un bien beau descriptif de l'escroc qu'il est. ☇ naissance ;⊙ en Cancer ☽ en Lion comme disent les sorciers... le 9 Juillet 1978 en clair, à Killarney, Irlande. ☇ ascendance; totalement mêlé et impur, la tradition de pureté du sang n'est pas quelque chose de respecté en Irlande où les familles mélangent ce précieux sang sorcier avec des familles moldues depuis toujours. Les O'Faolàin n'échappent pas à cette règle et ont donnés naissance à des enfants totalement étrangers à ces discriminations jusqu'à leur entrée à l'école de sorcellerie. ☇ métier ; Du moment que vous avez des gallions à lui donner... N'importe quoi lui va. Petit voleur sans plus d'ambition, il est l'un de ces hommes à tout faire, flirtant d'un trafic à l'autre d'une affaire à l'autre au son des pièces offertes. Fabriquant de faux papiers, marchand de rêve, pilleur de tombe... Il est tombé dans la délinquance à la sortie de Poudlard et ne semble plus capable d'en ressortir, bloqué dans sa propre tombe. Au final il a accepté sa condition de voyou sans avenir, il en profite, va un peu plus loin à chaque fois sur l'échelle de la criminalité. Durant la guerre il achetait des rebuts pour les faire combattre, ne se souciant peu des blessures et de la cruauté de ses actes. C'était légal, plus ou moins. Et ça rapportait. Maintenant que le business est mort il trouve d'autres trucs, d'autres façons de se faire du blé. Il trouvera toujours autre chose à faire. Y'aura toujours des gens qui auront besoin de lui. ☇ camp ; Il n’y a que son propre camp qui compte. Et son clan. La vie politique des britanniques il s’en moque royalement, cela ne les regarde qu’eux après tout. Lui il est irlandais, on lui a appris que la seule chose importante était leur nom de famille et les valeurs de celle-ci. Pas les idioties d’un gouvernement ou d’un autre, aussi injustes et barbares soient-ils. Son instinct de survie lui a toujours conseillé de rester loin de ces affaires... Ce n’est pas son combat, ce ne sera jamais le sien, alors tant pis pour eux. ☇ réputation ;Sa réputation ? Loin d'être bonne. Pour la plupart des gens c'est un petit fumier, une ordure, une vermine sans foi ni loi qui s'amuse à dépouiller les autres pour vivre sa vie misérable. On a déjà du le maudire sur dix générations à plusieurs reprises et pourtant le voilà encore, avec dix doigts et dix orteils, toujours aussi enclin à briser des coeurs et des tirelires. Non, vraiment, Mallory a très mauvaise réputation. Pour ce qui est de ses fausses identités tout dépend de qui vous parler, mais même ce brave Tommy ou peu importe le nom qu'il a donné aura volé des coeurs. C'est ainsi. ☇ état civil ; Il collectionne les conquêtes comme les cartes de chocogrenouilles, ne s'attache à rien ni personne. Il aime la chair, peu importe laquelle du moment qu'on le distrait pour un temps. Mais il se lasse vite le serpent, très vite. Avant même que le matin n'arrive il a disparu, laissant traîné une odeur de tabac froid derrière lui. Ah, et il vous a surement allégé de vos gallions au passage. Il lui est arrivé d'entretenir une relation plus ou moins sérieuse, assez pour que ce soit "officiel", pas assez pour qu'il soit fidèle, mais les concepts idiots d'amour et de romance ça lui passe au-dessus de la tête. Il peut comprendre que ça rassure les gens assez stupides pour y croire, mais ce n'est pas pour lui, c'est tout. ☇ rang social ; Simple civil il joue les innocents au passé clair de toute tâche. Bien évidemment il a participé aux atrocités de la guerre, mais tout ceci était d'une légalité parfaite... à peu près. ☇ baguette ; Sa baguette est composée de houx, le bois correspondant à son mois de naissance. Elle contient quelques poils de Leprechaun et mesure vingt-trois centimètres. D'après Ollivander cette baguette est faite pour calmer les forts tempéraments... Ou les accompagner. Les poils de Leprechaun à l'intérieur en font une baguette particulièrement agitée qui refusera d'obéir correctement à quelqu'un qui ne serait pas né sur la terre natale de la créature. En tout cas c'est ce que raconte Mal pour éviter de la prêter à n'importe qui. Le bois est gravé sur la longueur et torsadé à son extrémité. Un défaut persiste sur le bois poli pourtant. Un nœud dans le bois qui survit aux années et aux ongles de Mallory le grattant dès qu'il est nerveux. ☇ épouvantard ;La pire peur de Mallory serait la reconnaissance, la gloire... Puis la chute. Être au-devant de la scène plutôt que dans l'ombre, les projecteurs braqués sur lui et une couronne d'or posée sur le crâne aux ornements luxueux. La place pourrait paraître confortable sur le trône en velours et pourtant, braqué sur son front une baguette. Son opposant n'a pas de visage, mais il le sait, il est là pour la place à laquelle il s'accroche. Il est là pour sa gloire, pour cette couronne neuve qu'on vient de poser sur sa tête. Ou se dessine une cible, d'un liquide sombre, visqueux. Un sang devenu épais. Mallory préfère l'ombre à la lumière et a peur d'être trop reconnu, trop envier. Sa place de petit voyou lui va très bien et il s'en délecte. Voilà pourquoi il ne tente pas de coups trop énormissime ou ne commence pas à monter sa propre petite entreprise. Il est bien mieux seul, capable de disparaître de la circulation en un instant sans laisser de trace derrière lui.
☇ risèd ; Le miroir pour lui n'est qu'un reflet instable, distordu. Plein de buée presque, où le fond, flou, change sans arrêt. Lui reste lui, immobile, tantôt vêtu de vêtements très différents du combo tshirt-jean-converse auquel il est habitué depuis toujours. Cela trahit peut-être son envie d'être influent, d'entrer dans les hautes sphères dont il a pourtant peur. Parfois c'est une paire de botte et un manteau de pluie. La plaine suivie de la forêt bordant leur ferme apparaît, signe qu'il a peut-être tout simplement envie de retourner vivre là-bas avec sa famille. Parfois il n'est pas tout seul, accompagné par des silhouettes floues qu'il est incapable de distinguer. Souvent à côté de lui, parfois tenant ses doigts. Tout se suit et rien ne se ressemble. Tout est flou et déformé, passant en accéléré devant ses yeux comme un film que l'on fait avancer et qui n'a aucun sens. Mallory est incapable d'avoir une idée fixe de ce qu'il veut pour son avenir. Il est incapable d'y penser à dire vrai, toujours incertain de ce qu'il va manger ce soir ce qui expliquerait le burger qu'il a parfois entre les mains. ☇ patronus ; S'il a la capacité de faire apparaître un patronus corporel, il ne prend quasiment jamais cette peine. La première fois qu'il s'est essayé à ce sort le Serpentard espérait voir apparaître un animal impressionnant par sa taille ou par le respect qu'il impose, sa dangerosité, son élégance. À la place est apparu une hyène déchaînée "riant" à gorge déployée. Vexé il a cherché à comprendre pourquoi un lien avec cet animal à la réputation douteuse quand lui à l'époque, n'était pas destiné à être un saccageur. De son rire à son habitude de manger saignant tout y est passé, l'animal étudier dans ses moindres détails. Peut-être qu'avec le temps il s'identifie un peu plus au charognard capable d'attaquer un lion malgré son aspect chétif. Ça mord ces petits trucs, c'est malin et mesquin, comme lui. Cela ne veut pas dire qu'il est pourtant réconcilié avec l'animal. En cas de besoin le halo bleu argenté lui suffit amplement. La hyène, elle, reste en cage. ☇ particularités ; Aucune particularité magique pour lui. ☇ animaux ; Darcy O'Faolàin, sa cousine. Pendant la disparition de Kid, c'est Mal qui a hérité de Calamity à temps plein. La nourrir et la sortir, c'était tellement de travail que dès la fin de la guerre il a foutu les voiles. Pour ce qui est d'un véritable animal de compagnie, Mallory n'y a jamais vraiment songé. Ça demande trop d'attention et de soins, sans compter que ça n'apporte pas grand chose, selon lui. | ☇ Avis sur la situation actuelle : Pendant la guerre Mallory ne s'est jamais intéressé à un camp, ou à une lutte. Il a toujours regardé les combats de l'extérieur, totalement étranger à ces histoires le dépassant totalement. Du moment que ça ne le concerne pas et qu'on le laisse tranquille il ne va pas aller chercher à en faire partie. D'après lui, ils sont stupides à se battre d'un côté il y a les consanguins ( prônant une pureté rappelant fâcheusement les affaires des moldus dans les années quarante) et de l'autre c'est une bande de gamin désorganisée incapable de s'entendre ou d'avoir l'air convainquant (qui cherche à obtenir une liberté qui se casse déjà la gueule au bout de quelques semaines à peine). Il a flirté avec les deux extrêmes, vendant à l'un et à l'autre sans jamais prendre partis. Ni sang-pur ni né-moldu, pas même anglais, c'est leurs ennuis et leurs choses à régler entre eux, il n'a fait que profiter de la situation et des cas désespérés pour faire affaire depuis la libération des rebuts, rien de plus. Maintenant que la guerre est terminée les affaires ne sont pas en voie de disparition pour autant, il faut juste s'adapter au nouveau marché. Faux papiers et nouvelles baguettes, il peut vous inventer une vie en un tour de bras et quelques touches d'imagination. La politique le désintéresse toujours autant, intouchable dans son appartement miteux le coupant du monde. Il n'y a que les réseaux sociaux pour le maintenir à la page, et ils font bien rire Mallory, avec leurs hashtags supposer changer le monde et leurs évasions digne d'un mauvais film. Pathétique. |
☇ Infos complémentaires ; •QUIDDITCH: Ah...Le Quidditch. Mallory il n’y avait jamais trouvé le moindre intérêt. Enfin ça c’était jusqu’en 1994, où l’équipe nationale se retrouva en huitième de finale. Cette fois il se montra enclin à suivre les matchs jusqu'à la fin, pour ensuite vanter la prodigieuse victoire de son équipe durant toute l’année qui a suivi. Une fois la victoire passée, Mallory a de nouveau cessé de s’y intéresser. Hormis pour ce genre d'occasion très particulière il préférerait s’arracher les cils un à un plutôt que regarder ces idiots jouer à la baballe. Particulièrement les matchs à l’école. Ils n’y gagnent rien, hormis une “célébrité” scolaire qu’ils pourraient tout autant gagner en se retrouvant accroché par le slip sur une des tours du château. Non vraiment, il y a bien mieux à faire que cela à faire.
• Bastard : Parfois on se demande face à sa bouille innocente si le sorcier de vingt-cinq ans n'a pas demandé au choixpeau d'être envoyé à Serpentard juste pour pouvoir porter du vert, la couleur de sa chère patrie, en tout occasion. Et puis finalement, on se rappelle très vite à quel point cette maison lui va si bien au teint. Que le sourire douceâtre reprend sa forme habituelle, carnassier, jubilatoire. Plein d'une jugeote agaçante et langue de vipère au venin amer lui donnant sa pleine place au sein de la maison de Salazard Serpentard. Non, vraiment, il n'y a qu'eux pour vouloir d'un petit fumier pareil qui n'avait pas l'intention de s'assagir en vieillissant, bien au contraire. C'est une ordure et il le sait, pas de quoi s'étonner alors s'il trahit toutes les personnes ayant confiance en lui. L'arnaqueur frappe les plus faibles que lui la plupart du temps, faisant croire être un homme à l'honneur irréprochable alors que ce mot lui brûlerait presque les lèvres. L'honneur, tu parles. Ce ne sont que des conneries. Personne n'est tout blanc, tout le monde a déjà trahit son honneur pour faire le mal comme pour faire le bien. Lui a l'honnêteté de ne pas se voiler la face à ce sujet et embrase son statut de tête à claque. De fils de pute comme on l'appelle souvent, de démon aux yeux clairs. Pourtant il sait se faire apprécier. Il sait dompter les âmes et s'en faire aimer, aussi aisément qu'il peut s'en attirer la colère. C'est un manipulateur de première à la connaissance du monde plus vaste qu'il n'y paraît. Un beau parleur qui manie ses mots comme une danse dont la chorégraphie même improvisée semble toujours juste. Petit enfoiré au minois charmant, roi sans couronne à la réputation changeante. Il aime ça, se foutre du monde et de ses occupants. De tout et de tous.
• Encre : Il possède deux tatouages. Le premier est une harpe, encré au creux de son bras droit qu'il a fait faire une fois sa majorité atteinte. C'est bien évidemment le symbole de son pays d'origine qu'il a quitté à son grand regret. Le second est beaucoup plus mystérieux, un claddagh sur son annulaire droit qu'il cache sous une chevalière qu'il ne quitte presque jamais. Symbolisant que son coeur est pris d'après les coutumes irlandaises qu'il raconte avec enthousiasme, il fait souvent croire qu'il a été fait pour sa nouvelle proie, naïve et souvent éprise du petit voyou au visage angélique. Il prétend éprouver un amour éternel, appuyant ses dires grâce à l'encre dans sa chair. C'est comme cela qu'il s'est retrouvé fiancé par deux fois et a réussi à convaincre de sa fidélité à un bon nombre d'occasion. Personne n'a jamais réussi à savoir comment il s'était retrouvé en premier lieu avec un tel symbole, supposé lourd de sens, tatoué à son annulaire. Pas même ses cousins, à qui il raconte que c'est juste pour le business.
• culture Moldue: La culture moldue n'est en rien quelque chose de tabou ou de défendu d'après lui. Il n'a jamais eu peur de se mélanger à eux. De les arnaquer eux aussi, sans plus de scrupule. Il a appris les coutumes et les références, la technologie aussi puis qu'il se retrouve à vivre au milieu de tout cela, avec un micro-ondes pour réchauffer son thé à défaut de posséder une bouilloire par exemple dans son appartement miteux. La principale pièce de technologie qui l'intéresse sont les jeux vidéos, une fois qu'il eu comprit comment fonctionnait ces choses. Ils font passer le temps, occupe son esprit et le divertissent même lorsqu'une longue paire de jambes ne semble pas l'intéresser plus que ça (c'est rare, mais ça arrive). Il se balade toujours avec sa game boy advance SP, sortie l'an dernier pendant leur stupide guerre, devant laquelle il reste le nez collé pendant des heures parfois.
• grandeur : Mal il regarde le monde de haut. Il le voit danser du haut de sa tour délabrée, la clope au bec et un sourire narquois gravé sur le visage. Ils sont mignons les pantins s'agitant à ses pieds, lui qui doit baisser les yeux pour les observer ces fourmis déambulant à travers la terre morte. Du haut de son mètre quatre-vingt-treize il se pense au-dessus du commun des mortels, capable de mieux percevoir la misère humaine. Il en aurait même pitié, s'il était vraiment capable de ressentir un truc pareil. Non. Il préfère en rire, se moquer d'eux un peu plus, dépassant tous ceux-là dans la foule des rues, avec sa propre perception du monde, son propre horizon. Grand et maigre, on peut croire qu'il s'envolera au premier coup de vent tellement il est fin et pourtant il a les pieds bien ancrés sur cette maudite terre qu'il déteste, les pieds dans la boue.
•chevalière : Sa chevalière, c'est un objet qu'il a volé il y a de cela presque huit ans. Merveille de joaillerie magique il pourrait la vendre un très bon prix si elle ne lui était pas aussi utile que précieuse. Il a fini par s'attacher à l'objet insolite, trouvé dans les débris d'une tombe oubliée depuis au moins deux siècles, au point où les os n'étaient plus que poussière et où seul les bijoux étaient restés intacts. À première vue il ne s'agit que d'une bague tout à fait classique. Ornée d'un motif floral et d'une initiale, un V, savamment ciselée dans l'or, la face avant du bijou révèle bien plus de secrets que prévu. Il s'agit d'une bague à double compartiments. Ouvrez la première face et vous tomberez sur le portrait abîmé d'une inconnue au regard amoureux en face de laquelle était gravé un prénom, Ethel. Derrière ce nouveau compartiment s'en cache un second, contenant lorsqu'il l'a découvert une grande quantité d'un liquide devenu putride avec les années. Il s'agit d'une bague à poison définitivement spéciale auquel un sortilège d'extension avait été jeté, surement pour s'en servir de flasque. À l'intérieur de l'anneau est gravé la phrase “mors nos partem solam.” autrement dit “seule la mort nous séparera”. Et effectivement, la mort a séparé le propriétaire de son précieux objet. En enfilant à son tour la bague, Mallory en est devenu le nouveau propriétaire. Il n'y a que lui qui peut la retirer de son doigt ou en ouvrir les compartiments à l'image de ces poches en peau de Moke qu'il est impossible d'ouvrir si on n'en est pas le propriétaire. Pour cause, puisque le bijou a été plongé dans une substance à base de Moke ou quelque chose comme ça, lui donnant cette particularité magique. Dans cette bague il planque parfois quelques pilules, idéale en cas de ventes imprévues, ainsi qu'une petite fiole de potion d'invisibilité et une autre de félix felicis en cas d'extrême urgence. Il ne sépare jamais le bijou de son annulaire, sauf lorsqu'il a besoin de montrer son tatouage. Il s'empressera de la réajuster à son doigt tout de suite après.
•adolescence : C'est sur le carrelage humide de la salle de bain que Darcy s'est retrouvé à percer la narine droite de Mal. C'était des gamins, pas forcément très intelligents qui avaient fini par se lasser d'observer l'orage grondant dehors, transportant sur l'herbe devenue sèche une eau chaude sous laquelle ils s'étaient baladés tous les trois, jusqu'à rentrer. Dans le coin de la pièce Kassidy les regardait faire sans rien dire les cheveux encore trempés. C'était quelques jours avant les quinze ans de Mallory, qui serra les dents quelques minutes avant que ce ne soit fini. Un stupide anneau, c'est comme ça qu'il avait décidé de passer sa crise d'ado rebelle - qui lui avait valu un sermon des plus virulents de la part de sa mère - dont toute trace avait disparu aujourd'hui...Hormis ce point, sur son nez - la cicatrice d'une stupide idée qui aujourd'hui le fait plus rire qu'autre chose - et ses cheveux, teintés grâce à l'incantation Crinus Muto d'un noir corbeau, aux reflets légèrement bleutés à l'occasion. En réalité, il est aussi blond que peut l'être sa cousine Darcy. C'est une habitude prise à cette même époque, pour se démarquer un peu du reste du 'pack' dans sa quête de liberté qui a lamentablement échouée.
•Sexualité : Mallory ne cache pas vraiment sa sexualité aux autres. On l’a vu rentrer avec des femmes comme des hommes dans sa piaule, parfois les deux en même temps sans que personne ne lui pose jamais de question à ce sujet. Il répondra de façon nonchalante quoi qu’il arrive, un peu perplexe face au besoin de s'identifier à un mot. Il se tape qui il veut, c’est comme ça qu’il voit les choses. Alors l’avis des autres à propos de ça il s’en fiche royalement.
❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi bat/audrey. J'ai 23 ans, je viens de Rispa wsh kesta et j'ai connu le forum via jesaisplus. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 15 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? . Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Mallory A. O'Faoláin le Lun 20 Mar 2017 - 12:38, édité 31 fois |
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| summer child once upon a time, fuck you. the end.❝ the good, the bad, and the dirty ❞1993 & Killarney, IRLANDE« Damnú air... » Sous ses pieds le bruit est fatal et trop connu, aucune échappatoire n'est possible et l'insulte fuse comme un automatisme chez l'irlandais au vocabulaire de marin. Il n'a pas besoin de regarder sa botte après l'avoir dégagé du purin pour voir les dégâts alors qu'il pestait encore dans un cocktail d'anglais purulent et d'irlandais assaisonné. Dans le champ l'herbe était devenue haute avec l'arrivée du printemps, mouillant plus que d'ordinaire la terre d'Irlande au vert émeraude. Les vaches recommencent à sortir sous l'œil attentif du moldu leur servant de propriétaire, errant dans la vaste plaine aux délimitations dépassant encore leur horizon. Ce n'est que verdure sur des kilomètres une fois sortis de la ville, jusqu'au bois près duquel ils habitent. Malgré la pluie battante, trois adolescents aux anoraks fermés le plus haut possible traversent en file indienne et à grands pas cette plaine à travers ses champs, évitant du mieux qu'ils peuvent flasques et bouses sur leur chemin, jusqu'à ce que Mallory ne mette les pieds dans le plat. Il ne faut pas longtemps à Darcy, la seule fille du groupe, pour comprendre ce qu'il vient d'arriver. Elle se met automatiquement à rire, en passant devant lui, ce qui ne fait qu'énerver un peu plus son cousin. « Stoptar suas Darcy. Nó beidh tú ag deireadh suas i. Ceann ar dtús. » Il a beau railler les rires ne s'arrêtent pas. Pire, Kassidy, qui les suivait de près, le ratrappe aussi en se moquant tout autant de son cadet. « Tugann sé dea-luck, Mal. » « Gabh suas ort féin. » Une réplique suivie d'un coup dans les côtes de Kid et d'un sourire satisfait, puis leur chemin reprend. À présent c'est Darcy qui ouvre la marche, suivie des deux garçons un peu à la traîne, râlant à l'occasion sur la quantité d'eau et leur incapacité à utiliser la magie pour s'en protéger efficacement. Au bout d'une vingtaine de minutes se dessine sous le manteau humide une enfilade de vieilles bâtisses entourées d'une bordure en pierre calcaire. Une ferme comme on en trouve énormément dans la région, aux toitures courbées par le temps et aux cheminées crachant leur fumée continuellement. Sur la boîte-aux-lettres aux couleurs fanées par les pluies salées martelant le métal était pourtant écrit l'ombre d'un nom à demi effacé, O'Faoláin. Le courrier moldu y était déposé, quand les oiseaux livreurs de lettres passaient, eux, directement par les fenêtres. Le monde tournait toujours rond dans cette ferme à l'odeur de terre humide et de pain chaud qui les avait vus naître, eux, comme leurs pères. Et comme le père de leurs pères, et ainsi de suite. « Dia dhaoibh ! » « Dia dhaoibh, Tá sibh déanach arís ! » C'est Darcy qui entre la première, laissant passer avec elle des gouttes de pluies venant frapper les vieilles dalles de pierres. Dans la cuisine il n'y avait que Máire O'Faoláin, les joues rougies par la force du feu de bois derrière elle. Sur celui-ci était posé un énorme chaudron en laiton noircit par les années d'usage sur le feu brûlant. La louche assortie - qui servait fut un temps, tout comme le tisonnier, d'épée aux deux cousins - était en train de verser dans des assiettes creuses une soupe épaisse à l'odeur familière. Celle que Máire préparait souvenant, au butternut et à la muscade. « Désolé m'man, il s'est mis à pleuvoir. » Au son du feu de bois et le ventre affamé par l'odeur de la nourriture les adolescents se délassent de leurs bottes boueuses et des manteaux trempés qu'ils rangent à leurs places respectives. « Rien de bien surprenant ici donc. » Les yeux rivés sur la jeunesse, on pouvait sentir dans le son de sa voix l'irritation quasiment constante de la mère de famille persuadée que, de son côté de l'Irlande, tout au nord, le sol n'était pas balayé par autant de pluies océaniques et de vent que dans la région de Killarney dont les pierres s'érodent à vue d'oeil. D'un signe de la main et après avoir dégoté sa baguette de la poche de son tablier, Máire invite les enfants à s'approcher un peu pour passer par un processus express de séchage, un sortilège très habituel que tout sorcier Britannique comme Irlandais se devait de maîtriser. Dans cet accoutrement de femme au foyer elle avait l'air presque ridicule. Cela ne lui allait pas forcément au teint la campagne et la vie à la ferme, elle qui était née en ville. Pourtant la mère de Mallory, bien que pas très commode, avait fini par s'habituer à la vie auprès de cette famille bruyante dont on entendait les deux fils rire de l'extérieur de la bâtisse. Il s'agissait des pères de Kid, Darcy et de Mallory. Il était l'heure de dîner. La soupe était arrivée à bon port et le restant du repas avait remplacé les assiettes vides. A table, c'était toujours aussi bruyant que d'habitude. Chacun se racontait les nouvelles du village ou les ragots juteux de leurs différents lieux de travail. Ça parlait politique et changement dans la météo, auquel les enfants ne participaient que de temps à autres, voir pas du tout dans le cas de Mallory. Les yeux rivés sur l'assiette de Kassidy il observait avec envie le dernier yorkshire pudding, trônant là non loin des petits de pois en train de refroidir. Il hocha la tête pour répondre à une question qu'il n'avait pas entendue, les doigts cherchant à mettre la main sur ce qui traînait dans l'assiette de son infortuné voisin. La seule chose à savoir c'est que quelques minutes plus tard, les insultes fusaient et une fourchette s'était malencontreusement retrouvée plantée dans la paume de l'apprenti voleur, hurlant à plein poumon. « D'fhéadfá a bheith cúramach ! » « Tá sé do locht ! » qu'il réplique aussi bruyamment pendant que tout le monde râle autour de la table quant aux querelles idiotes et aux incidents stupides du genre. Tout le monde sauf Darcy, qui, après avoir récupéré le Yorkshire pudding qui avait roulé dans sa direction, était en train de le déguster en observant la scène chaotique. Sorciers de tous âges essayaient de persuader le chapardeur qu'étrangler Kassidy était moins important à l'heure actuelle que de faire sortir l'ustensile de sa paume, ce qui semblait échoué lamentablement. La pluie avait fini par se dissiper, laissant sur la terre gorgée d'eau des flaques dont les profondeurs restaient un mystère auquelle personne ne voulait avoir vraiment réponse. Le jour se couchait à peine, encore un signe que le beau temps finirait par arriver bientôt. Sur le muret de pierre instable bordant la bâtisse principale s'était assis le grand blessé de guerre profitant d'avoir un peu la paix à l'extérieur, loin de tout ce merdier qu'était leur famille. Mais une dizaine de mètre n'était pas suffisant pour s'assurer un peu de tranquillité, puisque la porte claqua après le passage d'un individu peu regardant avec les vieux gonds de la porte centenaire. « Alors ta main ? » Pas la peine de se retourner pour savoir de qui il s'agissait. « Ben tu m'as fait mal, gros con. ‘Man a dit que ça allait passer avec l'episkey. » Elle avait réparé la blessure et ne restait que les traces de sang infiltré sous sa peau, ainsi qu'une rangée de petites marques, légères cicatrices argentées qui finiraient pas s'effacer avec les années. « T'avais qu'a pas toucher à ma bouffe. » Il vint s'asseoir à côté de lui, se laissant tomber de tout son poids sur le muret à l'allure instable qui pourtant ne flanche pas.« C'est un crime de manger ça froid, t'avais qu'à te dépêcher au lieu de discuter. Toute façon c'est Darcy qui l'a eu. » C'était souvent comme ça, pendant que les garçons se battaient pour le dernier dessert en se tapant dessus dans la cuisine Darcy avait déjà entamé la part de gâteau à la cuillère, spectatrice amusée de leur débilité. Ils étaient comme leurs pères, amoureux de la castagne et trop sanguin pour pouvoir se contenir à la moindre provocation. Les bagarres et blessures étaient monnaie courante chez eux, tout comme les sortilèges de soins et potions soulageant la douleur devenant presque la spécialité de la maison. « Ouais ben, je suis pas désolé. » C'était toujours comme ça, depuis toujours et pour encore longtemps. Des chamailleries enfantines et des disputes rapidement oubliées tellement ils en comptaient. C'était une façon comme une autre d'occuper leur temps et de mettre un peu d'ambiance à la maison. Ce n'était jamais vraiment sérieux et personne n'en voulait à personne. « J'sais. » Ils n'allaient s'excuser ni l'un ni l'autre et pourtant c'est comme s'ils venaient de le faire. Comme ça, comme deux frères vivant sous le même toit. Chamailleurs et attachés à cette famille, la leur. - Spoiler:
« Putain..» « La ferme Darcy. Ou tu vas finir dedans toi aussi. Tête la première. » « Ça porte chance, Mal» « Va te faire foutre. »
« Bonjour! » « Bonjour, Vous êtes en retard encore!»
« Tu pourrais faire attention !» « C’ est TA faute !»
❝ dig your own grave ❞octobre 1997 & Londres Un mouvement sec de la baguette déclenche l'apparition d'une boule de lumière blanche au bout de celle-ci, éclairant une galerie qui fut un temps, devait être resplendissante. Dans le mélange de terre et de débris, la structure avait tant perdue de sa prestance que même le carrelage de marbre ne pouvait rien faire pour redonner un peu de forme au lieu. Il devait être une heure du matin et ce n'était pas le genre de lieu où l'on doit se balader à cette heure-là, à l'âge de six-sept ans, seul. Pourtant cela ne semblait pas déranger le jeune sorcier et sa soif de découverte, puisqu'il s'était rendu sur place de bon coeur, son balais déposé à l'entrée du bâtiment et un sac à dos cloué sur ses épaules. Voilà des jours qu'il explorait ces rangées de couloirs en notant son chemin de temps à autre sur un bout de parchemin. Dans l'appartement familial, personne ne s'inquiétait de ne pas le voir revenir avant le petit matin. C'était tellement habituel pour lui que poser la question ne semblait pas nécessaire. À voir son air enjoué lorsqu'il quittait l'appartement il ne devait pas s'ennuyer, peu importe ce qu'il fabriquait et avec qui surtout. Cloué en Angleterre depuis que Kid avait décidé d’y vivre, Mallory faisait ce qu’il pouvait de son temps, étudiant par correspondance l’archéologie magique et se nourrissant, dans des livres poussiéreux d’histoire du folklore britannique et des légendes de la vieille ville de Londres, de faits pouvant agiter sa curiosité d’explorateur en herbe. Il s’était intéressé à ces rumeurs datant d’il y a une vingtaine d’années. Comme quoi Lord Voldemort et ses sbires avaient lancé une véritable chasse au monstre dans ce même lieu où il se trouvait, comme les moldus l’avaient fait quelques années avant, à la recherche de ce qu’ils avaient identifiés comme des vampires errant dans le vieux cimetière de Highgate.. La théorie de Mallory était que contrairement aux moldus surement bloqués par des barrières magiques, eux, avaient trouvés ce qu’ils cherchaient. Cela expliquait le soudain silence au sujet de cette affaire dont personne ne parle jamais, pas même les moldus férus de surnaturel dont les blogs ne faisaient que parler des événements de 1970, allant des meurtres de dizaines de renards à des photographies approximatives de silhouettes gigantesques drapées de noir. C'est comme cela qu'il s'était retrouvé à forcer avec un sort la grille menant à l'entrée des catacombes, allant et venant à travers les corridors bordés de cercueils décatis dont les ossements étaient rendus visible par le bois rongé et le métal rouillé, mais pour la première fois depuis ces quelques jours d'exploration, il était tombé sur ce sol en marbre et une odeur de plus en plus putride malgré son sortilège, qu'il suivait comme un véritable jeu de piste. Au bout du tunnel peut-être pas grand-chose, mais ce qui animait tant son envie de visiter cet endroit était la possibilité de trouver des objets exceptionnels ayant traversé les siècles et les continents, abandonnés là par leurs propriétaires. Des brins de l'histoire magique, celle qui l'a toujours fasciné, au point où ses bonnes notes et son intérêt pour la matière restait quelque chose qu'il n'assume pas du tout, ni au coeur de sa salle commune, ni à la maison. Personne ne s'intéresse à cette matière ennuyeuse et bourrée de dates à retenir, alors il insistait sur le fait que sa voisine de classe le laissait abondamment tricher sur elle et qu'il redoutait un peu le jour où il passerait ses ASPICS sans elle. Bien évidemment il n'a jamais révélé avoir obtenu un optimal à l'examen, le seul, d'ailleurs. Encore moins parler du fait de devenir archéologue, ou simplement mettre un stupide chapeau et partir à l'aventure comme Indiana Jones dont ils avaient vu les films lorsqu'ils étaient plus jeunes. Avoir pour modèle dans la vie un moldu imaginaire, ce n'était pas le genre d'image qu'il voulait donner de lui. Après plusieurs minutes à se demander ce qu'il pouvait bien y avoir derrière les portes longeant les murs, une arcade aux moulures dorées sonnait la fin de son périple. « Lumos Maxima » à ses mots la lumière s'intensifie et lui permet d'avancer avec un peu plus de certitude dans la pièce. Mais à peine avait-il mit un pas dans la poussière que celle-ci se souleva étrangement du sol, qu'une bourrasque de vent souffla à pleine vitesse hors de celle-ci en longeant les couloirs morbides qu'il venait de traverser, d'après ce qu'il pouvait voir en suivant des yeux le mouvement de la cendre. Rien de bien rassurant. L'irlandais déglutit bruyamment les yeux rivés vers l'horizon ne se révélant qu'être la pénombre l'ayant mené jusqu'ici. Son cri résonne dans la pièce et se propage dans les couloirs, comme l'avait fait le vent avant lui et réveillant surement un ou deux rats endormis dans les tréfonds de Londres. Devant lui flottait un cadavre en décomposition à la tête visiblement tranché à moitié tranchée dont les yeux autrefois exorbités s'étaient desséchés depuis. Et ça n'avait rien à voir avec le fantôme de la vieille folle qu'il avait croisé dans le cimetière deux soirs plus tôt. Ça c'était autre chose. Mallory tombe immédiatement sur les fesses sous le coup du choc, continuant à hurler à plusieurs reprises quelques sortilèges de répulsion qui ne semblaient avoir que peu d'effet sur la vision horrifique s'offrant à lui. Ce n'était pas de la magie normale. C'était de la sale magie, de la magie noire, puisque le cadavre continua à avancer dans la direction du sorcier horrifié qui chercha à se relever avant de se rappeler les mois de tortures en cours de transplanage. Ah oui, transplaner. Dans un drôle de bruit habituel à la pratique, il se retrouva de nouveau les fesses sur le sol à la porte d'entrée de ce lieu d'enfer dont il verrouille l’entrée grâce au colloportus Comme-ci cela pouvait maintenir ce truc à l'intérieur. Comme si tout allait s'arranger en un claquement de doigts. Dans un nouveau zap sonore deux sorciers apparaissent face à l'entrée. Deux sorciers de chair et d'os, bien vivants eux, mais avec une sale tronche qui ne lui disait rien qui vaille. Le premier, le plus grand, vint le soulever par le cou et l'observe sous tous les angles pendant que l'irlandais s'agitait, avant d'être relâché et de tomber une nouvelle fois sur son postérieur. « S'en est pas un. » pas un quoi ? La réponse le frappe rapidement, ce n'était qu'un sorcier. Tout s'éclaire quand il réalise ce qui les avait amenés là, le sortilège d'intrusion qu'il avait brisé en marchant dans cette sinistre pièce. Il avait sûrement été placé là pour prévenir l'arrivée de nouvelles sangsues, ce qui visiblement n'était jamais le cas. Au final, ce n'était qu'un gamin à la majorité magique à peine passée qui adorait mettre son nez dans les affaires des autres. « Qu'est-ce que tu fiches ici, le gosse. » dit l'autre, la voix nasillarde et l'air de mauvaise humeur. « Répond, vas-y ! » « Mais rien je. Je. » « T'étais en train de fouiller dans ce qui te regarde pas hein ? » « J'ai touché à rien je voulais juste- » « T'aimes fouiller ? Et ben on va t'en donner du travail mon grand. On a des trucs à trouver. » L'odeur nauséabonde de son haleine aussi près de son nez était insupportable sans sortilège, un mélange de bouche pas nettoyée depuis des semaines et d'un ragoût aux pois et au lard absolument vomitif à inhaler. Mallory s'est retrouvé au service de ces deux types. À piller des tombes, où des objets de valeurs étaient souvent sortis de terre. Au fil des semaines l'odeur avait fini par ne plus le déranger et la décomposition humaine n'était rien de plus que cela. Voler des morts n'étaient “vraiment” le choix de carrière qu'il avait décidé de prendre (même si au final l'archéologie s'en rapprochait un peu, quand on y pense), mais c'est là où il s'était retrouvé malgré lui, emporté dans des affaires de plus en plus louches et des trafics peu recommandables. Puis tout s'arrêta brutalement. Personne ne le fit apparaître dans un cimetière abandonné ou une ruelle malfamée, ni le lendemain, ni le jour suivant. Au troisième jour, les clichés de ses deux patrons, dont les cadavres avaient été retrouvés dans une rue adjacente à l'allée des embrumes, paraissait dans le Daily Prophet, délivrant Mallory de mois de servitudes mal payés. Quelque chose qui changea rapidement, puisque maintenant qu'il connaissait les ficelles du métier par coeur, Mallory avait de quoi vivre de façon tout à fait correcte en travaillant à son propre compte, sans trop s'impliquer dans les trafics des autres. Ce n'est pas du tout le métier dont il rêvait, ni même les pratiques avec lesquels il était le plus d'accord, mais il était doué pour ça, un peu trop et n'avait plus que cela, de toute façon. Au point de commencer à y trouver un malin plaisir, une revanche sur sa situation désastreuse. Une nouvelle façon de voir souffrir les autres à sa place. De se jouer d'eux, comme l'on s'est joué de lui. ❝ End of things ❞25 novembre 2002 & Londres Sur le chemin de traverse déambulait une silhouette élancée portant à bout de bras des sacs volumineux tout aussi lourd que lui. Dans le temps maussade de l'hiver approchant personne ne faisait vraiment attention au brun revenant de la corvée du jour: les courses. Depuis le départ de Mallory c'était lui le responsable de Darcy. Lui qui faisait les courses, la bouffe, le ménage. Si au début il râlait à outrance à force il avait fini par s'y habituer, rechigner n'était plus aussi indispensable qu'il paraissait. Ce n'était pas comme s'il avait eu le choix, ça c'était imposé à lui parce que toute seule elle finirait encore plus bas qu'eux. Qu'elle était trop Darcy, pour pouvoir vivre plus de trois jours sans la surveillance d'un adulte dit responsable. C'est pour cela que trainer n'était pas une bonne idée pour Mallory vivant avec la hantise de la retrouver morte, un éclat de théière brisée dans le crâne. Va expliquer ça aux parents et à Kid après. C'est pourquoi il se pressait vers l'un de ces bâtiments à l'enfilade dans la célèbre rue sorcière, surchargée de vitrines et d'enseignes originales. La porte du bâtiment était ouverte, alors qu'il était pourtant certain d'avoir claqué l'épais morceau de bois violet sur son passage quelques heures plus tôt. Il n'allait pas franchement s'en plaindre, puisque cela lui épargnait la peine d'ouvrir cette saleté les bras chargés de courses qu'il lui faudrait ensuite remonter dans les escaliers tout aussi bancales et difformes que le reste du bâtiment. Mais du rez de chaussé déjà on entendant du bruit, des hurlements et des objets lourds déplacés sur le parquet de l'étage. Le leur. Ce n'était pas n'importe qui en train de s'égosiller la voix sur quelqu'un, c'était Darcy. Il laisse tomber les sacs et monte les marches par groupe de trois jusqu'à arriver sur le palier où leur porte était grande ouverte. A l'intérieur de l'appartement trois hommes dont il ne connaissait pas les visages semblaient avoir une discussion houleuse avec une Darcy retenue sur place visiblement par un sortilège. Le sang de Mallory ne fait qu'un tour, pénétrant dans l'appartement aussi furieux que possible et prêt à en découdre avec quiconque était venu menacer sa cousine et leur maison. « Hey ! Hey ! Vous foutez quoi ici ? » crache-t-il alors que déjà un des hommes se saisissait de lui malgré qu'il se débatte comme un chien enragé. A l'allure des hommes se tenant là, ce n'étaient pas n'importe qui. Des membres de l'élite sans aucun doute, l'arrogance suintant de chaque pore de leur peau et à l'accent de bourgeoisie britannique qui lui aurait presque donné la gerbe sur les bottes en cuirs de dragon de l'homme s'étant approché de lui. « Rien qu'un petit ménage de printemps, pour s'assurer de votre loyauté bien sur. » dit-il, un sourire horripilant ornant un visage qu'il détestait un peu plus à chaque seconde s'écoulant. Le salon était dans un piteux état, plus encore que d'habitude où Mallory avait fini par abandonner de faire le ménage derrière Darcy et laissait la magie le faire plus ou moins correctement, trop flemmard pour vérifier si la vaisselle se faisait avec ou sans eau dans l'évier. Après avoir tiré sur son bras un peu plus fort il se libère de l'emprise de l'autre mec, avant de jeter un oeil sur Darcy toujours immobile et prête à leur bondir dessus, il n'y avait pas le moindre doute là-dessus. « Ouais ben y'a que nous ici, d'accord ? Pas de rebelles, pas de traîtres. On veut pas de leurs affaires, ni des votre sous notre toit. » « Écoute gamin » Le troisième type reprend son bras, le tirant vers lui à la surprise de Mal qui eu du mal à contenir sa soudaine peur. C’était bien beau de vouloir tenir tête aux mangemorts, mais c’est un serpent qui reste la tête terrée dans le sable, pas un héro, et son terrier lui manque soudainement. Pourtant, il doit continuer. En se concentrant plus sur la colère que sur la peur. Ils étaient surement là pour lui. Hors, voilà des mois qu’ils étaient sans la moindre nouvelle. Et ça, ça l'énervait énormément. « Vous savez surement mieux que nous où il est passé, hein ? C’est pas ici que vous aurez les réponses qui vous manquent. » Alors qu’il allait répliquer il fut interrompu. « Y’a rien dans les chambres. » Un quatrième rafleur débarque sur leur droite. Armé de sa baguette il jette lui aussi un œil aux deux descendants de la famille O’Faolain. Deux gosses à la tignasse en bataille et à la même expression de rage, presque risible, pour les partisans du grand mage noir. « Vous voyez ? » crache la cadette en se tournant vers celui qui semblait diriger l'opération. D'un coup de baguette elle fut libérée du sortilège de glue qui lui permi à nouveau de se déplacer. « Bien, Mademoiselle O'Fáolain. Excusez nous de vous avoir importunée. Monsieur O'Fáolain... » Une légère courbette à sa cousine plus tard, il détourna les talons vers lui, assez près pour pouvoir attraper dans un geste brusque son visage creusé. « Faites un peu attention à ce que vous faites, ou dites, vous deux... Il serait de mauvais augure de nous voir à nouveau frapper à la porte de cette jolie petite ferme irlandaise, n'est ce pas ? » La prise s'intensifie au point où les ongles de l'homme ne s'enfonce sans les joues Mal rasées. Il cherchait la peur dans le regard, et il la trouve. Tapie sous des remarques cinglantes. « N'est ce pas... » le rictus s'étend sur ses lèvres, jusqu’à ce qu'il le relâche enfin. D'un geste de la main les trois autres sont invités à le suivre en dehors de l'immeuble modeste dont la porte claqua sur leur passage. « Connards de saloperie de merde. » fulmine-t-il en donnant un coup dans le vieux canapé. La baguette de houx à la main il commanda aux meubles de retrouver leur place et aux sacs de courses et monter à l'étage dans un accio portant les traces de sa frustration. Hébétée, Darcy était restée sur place sans bouger du moindre centimètre. C'était pour lui qu'ils étaient principalement venus. Lui qu'ils cherchaient. « Tu crois qu'ils sont allés à la maison ? » souffle-t-elle sans quitter son espace de confinement, elle l'avait juste suivi du regard pendant qu'il vaquait à ranger les courses dans la cuisine voisine. Parlais ses achats il y avait de tout. Des céréales moldus aux marshmallows qu'il adore jusqu'à un étrange normal de légume magique brillant presque dans sa marinade. Un soupire franchit ses lèvres, il ne voulait pas penser à ça. « Il semblerait. Y'a rien là-bas non plus ils perdent leur temps. » Ils n'avaient rien à craindre pas vrai? Dans leur maison isolée de tous les seuls dangers étaient les animaux de la forêt et la maladresse de Calamity. La famille restée dans leur pays d’origine ne se mêlait pas non plus de ces histoires de rebelles et d'élite, demeurant en sécurité sur leur île. Celui qui était en danger, c'était Kid. Il était devenu presque un sujet tabou entre Darcy et Mallory depuis son départ, le début de beaucoup d’engueulade alors que l'aîné de la famille risquait sa peau dehors pour une cause perdue, avec d’un côté une Darcy inquiète et de l’autre un Mallory refusant d’avoir qu’il l'était aussi. Alors qu’il espérait que le sujet glisse sur autre chose elle ne peut s'empêcher pourtant de le faire tomber pile où il ne voulait pas. Elle s'était assise sur un fauteuil, enfin capable de se mouvoir. Il était rare de voir Darcy en position de faiblesse, les mains jointes et le regard perdu. Mais vu la situation on ne pouvait lui en tenir rigueur. « Et Kid ? Tu crois que...» et merde. Ses mains s'écrasent sur le comptoir de la cuisine, faisant sursauter quelques assiettes et couverts sale sous la violence du choc. Sa cousine aussi sûrement. « J’en sais rien, Darcy, ok ! J’en aucune putain d'idée tu comprends ? » le ton est haussé, autoritaire. Ce n’est pas une sujet qu’il voulait évoquer, le silence était préférable et soulager les estomacs affamés nécessaire. Il soupire longuement, assez fort pour qu'elle réussisse à l’entendre. « Je vais faire la bouffe. J’ai oublié d'acheter mes clopes par contre. » dit-il en s’agitant auprès de la vieille gazinière magique qui me brûlait une fois sur deux. « Je… Je vais aller en chercher. » dit-elle, dans un bégaiement désagréable aux oreilles de Mal. « Merci. » ce fut leur dernier échange jusqu'à ce qu'elle quitte l’appart’ en disant revenir bientôt. À peine avait-elle mit les voiles qu’il sort du sac le paquet qu’il venait d’acheter, celui rendu orphelin de l’une de ses occupantes pendant son voyage de retour. Il l’avait son nouveau paquet, encore pourvu de son cellophane sur la partie inférieure et au carton peu endommagé par les séjours répétés dans la poche de son jean. Il avait des cigarettes, il voulait juste l'occuper pour éviter d’y penser. De s'inquiéter. ❝ Trade mistakes ❞Décembre 2004 & Londres« Combien ? » « Franchement, peu importe. » Deux hommes discutent dans un salon d’été richement boisé où un serviteur les observe dans le silence le plus drastique qui soit. Pourtant l’un d'eux faisait tâche, à porter un sweat-shirt à capuche trop large pour lui et des baskets aux bords fendus, pleines de boues, ayant laissées assez de traces sur le parquet ciré pour savoir précisément quel chemin qu’il avait emprunté, et où il s'était arrêté. Et c’était là, dans cette pièce, devant un canapé qu’il ne pourrait jamais s’offrir, sauf si un miracle se réalisait. Face à lui se tenait une gamine, à peine plus jeune que lui qui le regardait d’un œil mauvais, désirant sûrement sa mort sans même le connaître. Il ne pouvait pas trop la juger. « Pourquoi vous la vendez ? » « C’est une pimbêche, voilà tout. » Répond l’homme aux bras croisés, toisant la gamine. En seule réponse, la jeune fille crache dans la direction du sang-pur l'ayant achetée il y a de cela deux mois. Deux mois durant lesquels la contenir fut totalement impossible. Mallory tourne assez la tête pour voir la réaction du vendeur, assez irrité visiblement pas l’impolitesse dont elle faisait preuve, mais qui semblait beaucoup le faire rire, lui, à en juger par le sourire illuminant son visage. « C’est quoi ton nom ? » qu’il adresse, sans vraiment en avoir un truc à faire. « Va te faire, connard. » « Oh je l’aime bien moi. On va dire… ça. » Il lance en la direction de son nouvel ami une bourse de galions qui sonnait un peu creuse il est vrai, chose que l’homme remarque immédiatement. « C’est tout ? » « Ben quoi, elle est d'occasion nan ? Puis c’est pas comme si vous aviez d’autres acheteurs dans le coin, si ? » Après quelques ronchonnement il fallait qu’il se rende à l'évidence: non, il n’avait que lui dans le coin pour acheter discrètement sa rebut récalcitrante sans trop poser de question ni s’attirer des ennuis. « Bonne journée. » Maugré le sorcier en tournant les talons, emportant avec lui les pièces pendant que son serviteur, toujours aussi muet, aida la jeune rebut à se lever. A peine s’était-ils retrouvés dehors qu’ils avaient transplanés pour un appartement abandonné par ses occupants il y a bien longtemps, au début de la guerre et qu’il utilisait comme planque. *** « Tiens-toi tranquille deux minutes sinon je te jure j’te pétrifie. » « Me touche pas ! » Elle hurle, tente même de mordre son nouveau propriétaire armé d’une aiguille recouverte d’un liquide sombre. Le manège dure depuis assez longtemps pour que la patience - relativement solide - de l’irlandais ne lâche, et que sa main ne vienne saisir son menton pour qu’elle le regarde, de force. « Écoute ma grande.... Sois sympa et j’serais sympa, ça marche ? » Malgré une dernière protestation il finit par avoir un rapide gain de cause et l’aiguille s’enfonce dans la peau, derrière son oreille, en y laissant un simple point. Le tatouage magique obligatoire pour lier un maître et son rebut. Et il suffisait amplement. « Voilà, fini. T’es vraiment chiante comme fille, j'aurais pu te refaire le portrait en entier si j’avais voulu. Alors te plains pas. » Quelques jours plus tard elle était conviée à son premier combat, puis au deuxième, et ainsi de suite. la liberté qu’il lui avait promise, elle n’en a jamais vu la couleur, jusqu’à ce que le gouvernement la saisisse pour s’en débarrasser. Pour qu’elle meurt, face à un Mallory au milieu de la foule, immobile. Parce qu’il s’en foutait. Que ce ne sera pas la dernière. ❝ The calendar ❞Décembre 2004 & LondresIl claque le flacon sur la table de chevet bancale qui ne tenait debout que grâce aux livres remplaçant un des pieds disparu. C’était juste un moyen de s’assurer qu’elle était réveillée. « Anti-migraine.un autre flacon frappe le bois. Tonic. puis c’est au tour d’un fine bourse en cuir de les rejoindre. Et c’est surement ce qui l’intéressait le plus dans ses achats du jour: de l’orviétan. Y’a trois doses. Fais durer, prends pas tout d’un coup. J’m’en voudrais presque si tu surdoses. » Au final peut-être qu’il ne s’en voudrait peut-être pas tant que ça. C’était pas ses oignons si elle voulait se flinguer et après tout, il en faisait déjà assez. Kid n’avait qu'à le faire si elle l'intéressait tant. Depuis combien de temps elle créchait chez lui aucune idée, il ne comptait plus trop. Son appart’ était encore plus bordélique que d’ordinaire, avec le double d’assiettes sales dans l’évier et le double de lessive à faire qui s’étalait sur le sol défoncé, c’est tout ce qu’il savait. Les couvertures bougent à peine, mais cela suffit pour estimer qu’elle l’a entendu. Il en avait eu assez de poser des questions auquel elle ne répondait pas, et essayer de la faire bouger d’un lit qu’elle ne quittait presque que pour aller à la salle de bain. Sans vraiment se gêner il grimpe dans le lit, escaladant sa colocataire sans vraiment prendre garde à si il lui marchait dessus ou pas, elle n’avait qu'à pas être dans sa piaule, encore moins dans son lit dans lequel il se laisse tomber, maussade. C'était le résultat de la libération, tout ça. Dehors le monde se relevait doucement sur ses pieds comme si tous les malheurs du monde s'échappaient. Mais ce n'était pas vraiment le cas, n’est-ce pas ? Les démons sont encore la, changent de formes et se dissimule dans les foules les moins denses. Rien n’a véritablement changé pour Mallory. Pas même ses petits jobs de délinquant juvénile, ni sa capacité à s’attirer des emmerdes et à en sortir par un tour de passe-passe hasardeux. Une routine que rien ne semblait user. [/color]
Dernière édition par Mallory A. O'Faoláin le Dim 2 Avr 2017 - 3:59, édité 21 fois |
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HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5949
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
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Dernière édition par 'Kid' T. O'Faoláin le Ven 24 Fév 2017 - 14:59, édité 1 fois |
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| for god sake ils se multiplient |
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HERO • we saved the world Neelam Rosier | | | | |
| je te ken violemment bye |
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HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5949
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
| C'est ça, Letha tu l'occupes pendant que j'éloigne la Rosier de là #teamwork |
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| Que de doux noms d'oiseau mon cousin préféré <3<3<3<3<3 Moi une catin ? ... trop pas Mais je peux pas te promettre un truc pareil :siffle: Love sur toi et merci NEELAM, viensje vais te faire du bouche à bouche love Kid est pas forcé de savoir REVIENS MOI TOI AUSSI Letha mi amor J'te ken quand tu veux *sbaf* C'est gentil de faire diversion, mais tu rêves Kiddo'... Ce serait pas drôle si je la lâchais, la Rosier
Dernière édition par Mallory A. O'Faoláin le Mer 8 Mar 2017 - 1:49, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Joanne St John ‹ inscription : 20/01/2017
‹ messages : 296
‹ crédits : eledhwen pour l'avatar et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : steelblue.
‹ âge : trente-huit ans.
‹ occupation : Elle est conseillère au cabinet du ministre, c’est une position idéale pour elle puisqu’elle est au cœur de l’action politique du moment. Son mentor - un homme proche du ministre actuel - l'a hissé jusqu'à ce poste, il compte beaucoup sur elle et elle, elle compte beaucoup sur leurs erreurs pour un jour être en haut du podium. Elle prend ce travail très à cœur et essaie de glisser ses propres idées. Si elles sont ignorées pour l’instant, elle ne désespère pas à se faire entendre un de ces jours. Elle siège également en tant que juge au magenmagot principalement parce que ça lui permet de se rapprocher de la population sorcière en s’occupant des affaires courantes. Tout est un moyen pour gagner la confiance des gens.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1977 et 1984.
‹ baguette : Sa plus fidèle compagne. Elle est en bois de frêne, elle contient du crin de licorne et mesure vingt-cinq centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 3155
‹ réputation : Aux yeux des siens, c’est une lâche, elle n’a pas cherché à retrouver Rohan quand on lui a annoncé qu’il n’était peut-être pas mort et elle n’a pas pris les armes pour combattre le gouvernement de Voldemort alors que sa sœur l’aurait fait, mais elle n’est pas Alison et ne le sera jamais. Aux yeux des autres, c’est une garce parce que c’est elle avant tout le reste, parce que c’est une grande gueule qui n’hésite pas à vous enfoncer dès qu’elle en a l’occasion. Si vous ne lui êtes plus utile, elle va se débarrasser de vous sans aucun remord. Lyanna c’est une main de velours dans un gant de fer. Elle sait que se comporter comme ça est indispensable pour monter en grade.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : elle a un appartement sur le chemin de traverse.
‹ patronus : C’est un sort qu’elle a du mal à faire aller jusqu’au bout, sa baguette ne produit que des volutes argentées, rien de plus. Ses souvenirs heureux sont toujours parasités par le visage ensanglanté d’Alison.
‹ épouvantard : Même après tout ce temps, son épouvantard prend la forme des cadavres de la famille Helvar parce qu’elle n’a jamais réussi à faire son deuil.
‹ risèd : Elle a des rêves de grandeur. Elle s’est toujours vu ministre de la magie alors son risèd la montre assise sur le siège qu’occupe l’autre guignol avec un grand sourire sur les lèvres.
| zoefinziogn je suis pas passée par là rebienvenuuuue pis Cole Par contre, besoin d'un délai ? |
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| | | | | if crazy equals genius then I'm a rocket scientist ☩ mal | |
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