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sujet; THEOMIONE / buy yourself another day |
WIZARD • always the first casuality Amara Bataglia | buy yourself another day
Run, run, run away ; buy yourself another day. Run fast as you can, no one has to understand. Fly high across the sky from here to kingdom come, fall back down to where you're from. Elle tira un coup sec et le rideau de fer tomba brusquement, la forçant à reculer d’un pas et à lâcher la poignée. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait ici et ce n’est pas non plus la première fois qu’elle se faisait avoir et manquait de se prendre le store métallique sur le coin du nez mais elle ne pouvait décemment pas utiliser sa magie ici, pas quand elle s’était efforcée à garder cet endroit secret pendant toute la durée de la guerre. Elle était peut-être un peu trop prévoyante, un peu trop pessimiste, mais il y avait encore trop de Mangemorts en liberté pour qu’elle prenne le risque de compromettre cette planque. Le fracas du fer contre le béton cessa petit à petit de résonner dans le couloir formé par les différents containers et elle se pencha pour refermer le verrou avant de jeter la clé au fond de son sac.
Après sa sixième année à Poudlard, lorsque les choses avaient commencé à réellement se gâter, Hermione avait du faire des choix difficiles, trop pour l’âge qu’elle avait. A peine majeure, elle s’était effacée de la mémoire de ses parents, disparaissant de leurs vies et les poussant à partir le plus loin possible sans même qu’ils ne le sachent. Elle ne leur avait pas demandé leurs avis, elle avait fait ça en secret, méthodiquement, se répétant que c’était la seule solution pour qu’ils soient absolument en sécurité, pour qu’ils ne deviennent pas de vulgaires dommages collatéraux dans tout ça. Elle avait pourtant sauvé quelques affaires, ne pouvant pas se résoudre à tout détruire, maudissant un peu ce matérialisme sentimental dont elle n’avait parlé à personne, de peur qu’on la trouve un peu idiote, un peu faible. C’était ainsi qu’elle s’était retrouvée avec le garde-meuble, loué dans la banlieue industrielle de Canterbury, loin de là où s’était trouvée la maison des Granger vendue quand les propriétaires avaient décidé de poursuivre leurs rêves et de partir s’installer en Australie. Cartons et valises prenaient l’humidité là-dedans depuis, dérangés seulement par quelques visites ça-et-là. Venir était aussi douloureux que risqué, aussi s’était-elle limitée autant que possible, se privant régulièrement de vêtements chauds qu’elle savait pourtant stocké-là, simplement pour éviter d’attirer l’attention de qui que ce soit sur ce lieu, dont les payements n’étaient pourtant jamais en retard, ce qui poussait le propriétaire du hangar à lui sourire et à lui faire un signe de main lorsqu’il la voyait. Elle ne prenait jamais le temps de s’arrêter, de parler, peut-être commençait-il à se demander ce qu’elle pouvait bien entreposer là-dedans mais jusqu’ici, elle n’avait pas eu de problème.
En règle générale, lorsqu’elle était venue à Canterbury, elle l’avait fait de façon particulièrement discrète, attendant les jours où se déroulaient des matchs de foot de la ville locale afin que le patron soit préoccupé par autre chose, ne trainant pas plus que nécessaire, déambulant uniquement pour brouiller les éventuelles pistes mais avec la fin de la guerre, si ses précautions lui collaient à la peau, elles lui semblaient aussi fastidieuses. Elle n’était plus en fuite, plus recherchée, elle pouvait peut-être prendre son temps… Aussi décida-t-elle d’aller se promener le long de la rivière Stour, qui traversait la ville, bordée de chemins arborés et d’écluses que l’on pouvait traverser à pied. C’était là qu’elle avait appris à faire du vélo, accompagnée par son père et c’était également par-là qu’elle était rentrée de l’école pendant des années, marchant aux côtés de sa mère et jetant des bouts de son goûter aux canards en riant de les voir se précipiter, gallinacés avides qu’elle avait souvent défendu lorsque des garçons de sa classe leurs avaient jetés des cailloux. Elle revoyait encore ce jour où l’un de ses camarades s’était retrouvé dans l’eau, jurant avoir été poussé quand bien même personne ne se trouvait à côté de lui – premières manifestations des pouvoirs d’Hermione – et perdue dans ses pensées, longeant Greyfriars Gardens, il lui fallut un moment pour noter jusqu’où elle était allée. Dans une petite ruelle se trouvait un apothicaire et si pour les moldus il ne s’agissait que d’une boutique vendant des herbes aromatiques étranges et des thés trop chers, l’échoppe était également un point de chute pour la communauté sorcière locale, ce qu’Hermione avait appris sur le tard, un peu surprise d’apprendre en quatrième année que des sorciers avaient vécus sous son nez pendant toute son enfance et qu’il avait fallu attendre ses onze ans pour qu’elle apprenne l’existence de ce monde. Toujours était-il que la présence de sorcières excentriques et autres bizarreries n’était pas exactement rare devant la boutique. Il était plus rare, en revanche, que l’on passe devant en se précipitant et fronçant le nez, Hermione suivit du regard la silhouette visiblement pressée. Elle tiqua un peu, ayant l’impression de reconnaître la personne, assez pour lui emboiter le pas, assez pour essayer de le rattraper. S’il ne courrait pas, elle devait presque trottiner pour compenser l’évidente différence de taille entre eux, pourtant bien vite elle se retrouva à sa hauteur, de plus en plus certaine de le connaître et ne pouvant pas vraiment faire passer le mauvais pressentiment qui l’habitait. « Hey! » lança-t-elle à son intention, répétant un peu plus fort « Hey, pardon, excusez-moi, vous auriez- » et cherchant une excuse pour justifier l’apostrophe si elle s’avérait s’être trompée. Elle lui demanderais sa route, au pire, pensa-t-elle.
Elle avait son nom sur le bout de la langue. C’était ça, le pire. Elle était persuadée de savoir à qui elle avait à faire mais n’arrivait pas à le replacer, manquant alors de prudence en lui marchant pratiquement sur les talons. A défaut de mieux, serrant sa main autour de la baguette qu’elle gardait toujours dans la poche de sa veste, elle s’empressa de tendre son autre bras et de refermer ses doigts autour du poignet du jeune homme pressé, le forçant à se retourner. « Je suis désolée, vous avez fait tomb… » commença-t-elle, prête à inventer une histoire de portefeuille égaré, s’arrêtant net lorsqu’elle posa ses yeux sur son visage. Theodore Nott se trouvait devant elle et sourcils froncés, bouche-bée, elle ne pensa ni à le lâcher ni à tirer son arme pour se défendre face au jeune mangemort en cavale qu’il était. |
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HUNTED • running man Theodore Nott ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 08/05/2016
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‹ crédits : killer from a gang pour l'avatar, tumblr, crooked fingers.
‹ dialogues : sienna.
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‹ âge : vingt-quatre ans. (21/06)
‹ occupation : un ancien langue-de-plomb, désormais un Mangemort en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1991 et 1998.
‹ baguette : m'a été rendue par Mafalda. Vingt-deux centimètres virgule trois, ventricule de dragon (boutefeu chinois) et bois de chêne rouge.
‹ gallions (ʛ) : 4365
‹ réputation : je suis un déchet, un étudiant qui a un jour été prometteur, et n'est plus que l'ombre de lui-même.
‹ faits : j'étais un Mangemort défectueux, déterminé mais sans passion. J'ai été capturé par Blaise et Draco peu avant la Bataille et ai passé deux mois dans les cachots de Poudlard à additionner les crises de manque et quelques crises cardiaques sympathiques, dues à mon addiction à l'Orviétan (Excess).
J'ai été condamné au Baiser du Détraqueur quelques jours avant l'abolition de la peine de mort. J'ai été condamné à perpétuité à la place. Je me suis évadé d'Azkaban avec Penelope Clearwater, avec l'aide extérieure de Percy Weasley et vit désormais la vie du parfait moldu.
‹ résidence : dans un petit cottage sorcier posé.
‹ patronus : impossible à invoquer
‹ épouvantard : des milliers frelons qui tournent autour de lui et l'achèvent; la résurrection de Voldemort; le cadavre de sa filleule Cat.
‹ risèd : l'indépendance, une vie paisible et sans remous, aux côtés de Nephtys.
| hermione granger “ Why should he be spared? ” “ Someone ought to be. ” And it will not be me. I have survived, but I have not been spared.C'est risqué. Lui et Penny ont fait deux listes chacun de leur côté (on s'occupe comme on peut quand on est enfermé entre quatre murs et ça dédouble le temps pour réfléchir, c'est encore mieux pour occuper une journée) avant de les comparer pour noter toutes les choses qui pouvaient mal aller dans cette petite expédition que Theodore prépare depuis quelques jours, presque deux semaines en fait. En plus de commencer à courir à court de pages à transformer en quid moldus, ils n'ont définitivement pas tous les éléments pour concocter des potions, du Polynectar notamment. Il ignore encore qui a préparé le cottage, et qui y vivait avant eux, mais les serres sont incroyables et grâce à sa baguette que Mafalda lui a rendu, il peut conserver une atmosphère idéale pour faire pousser, dans les deux cages en verre, la plupart des espèces communes européennes dont il restait quelques graines magiquement conservées au fond d'un tiroir. Il y a aussi un potager (lui et Penny découvrent tranquillement les joies de la vie en extérieur, lui qui détestait tant ça auparavant se trouve désormais un certain intérêt pour la Botanique, l'entretien d'un jardin, et même la marche, tant qu'il ne s'aventure pas trop près des guêpiers sauvages) et ils ont des légumes et Theodore se charge souvent d'aller en ville pour leur acheter des choses basiques, ainsi que de quoi manger pour Catelyn.
Mais là... Theodore sait qu'il ne peut pas rester éternellement dans cet endroit. Malheureusement, lui crie une partie de son coeur. D'une part, au fond de lui, il sait que plus ils sont dans un seul et même endroit, plus où ils ont de chances d'être trouvé, surtout qu'il est celui qui quitte le plus souvent la maison pour se mélanger aux moldus, et est donc celui qui a le plus de chances d'être pris en chasse par quelque sorcier zélé à bonne mémoire. Ensuite, il a l'impression qu'il l'est met aussi en danger à cause de Nephtys (damn her) parce que même si il pourrait lui trouver tous les torts du monde (avec toute la mauvaise foi de l'univers), il peut au moins lui accorder ça: son ex-fiancée est tenace et opiniâtre. Si elle veut le trouver comme il le soupçonne, elle le trouvera. Et ensuite... Perceval a fait tout ce qu'il a fait pour fonder une famille aussi ridicule que ça puisse paraître parfois à Theodore. Et il n'y a pas vraiment de place pour lui sur les photos de famille. Le destin lui rappelle gentiment que non, finalement, il n'était pas fait pour avoir cette petite vie idyllique et parfaite (autant que peut l'être celle d'un fugitif sans foi ni loi).
Son émancipation passe par la concoction de potions, surtout du Polynectar. Impensable pour lui de descendre jusqu'à Londres: il ne veut même pas courir le risque. Il connait quelques adresses... très peu, plus on s'éloigne de la capitale. Mais il se souvient que, à Glastonbury près d'où Nott Manor se trouve, il y avait cet apothicaire chez qui il allait quand il ne voulait pas se taper toute la foule de Chemin de Traverse. Il a fermé l'été de sa cinquième année, et à la place lui a donné l'adresse d'un de ses confrères à l'autre bout du pays (Theodore n'aime véritablement pas voyager) dans le Kent. À Canterbury. Un endroit... sûr, non? On fait difficilement plus ennuyeux que Canterbury. C'est sûr.
L'homme semble comprendre la situation, mais ne fait aucun mouvement pour... Theodore ne sait pas trop quoi. Prévenir le Ministère, en tout cas. Il a quelques Gallions sonnants et trébuchants, des reliques vu leur situation, mais c'est suffisant pour acheter ce dont il a besoin pour un premier chaudron. Pour le reste... Theodore ne peut pas se résoudre à voler. Mais... il trouvera une solution. Il le faut bien. “ Polynectar? ” demande innocemment l'homme derrière le comptoir et Theodore lui offre un petit sourire qu'il espère innocent et pas du tout suspicieux (il a juste l'air d'être légèrement constipé; il est plutôt mauvais acteur, et pire menteur encore): “ roleplay, ” la réponse suffisamment évasive et embarrassante pour se voir récolté d'un froncement de sourcil désapprobateur alors qu'il détourne le visage pour ne pas que le propriétaire du magasin voit la rougeur de ses joues. “ Et... vous pouvez me mettre des feuilles de Mandragore? ” Il récupère sa monnaie, la compte rapidement et met les ingrédients dans le sac à dos qu'il a trouvé quelque part dans le cottage. Il porte des vêtements sombres trop amples qu'il déteste, un hoodie dont il a baissé la capuche en entrant dans le magasin. Il tuerait pour une chemise et une veste bien taillée en cet instant précis. Maintenant, il aimerait bien trouver un dealer. À Canterbury of all places... mais si il y a ici un apothicaire, peut-être peut-il espérer qu'un quartier sorcier existe dans ce village moldu de misère...?
« Hey! » C'est tellement absurde que Theodore entend ça d'une oreille mais ne s'arrête pas, continuant de marcher à vive allure pour trouver un endroit tranquille pour réfléchir. Il lui faut du Navitas pour dormir. C'est son plus grand problème, ces temps-ci: il ferme à peine l'oeil, lit jusqu'à s'effondrer, se réveille avec des hurlements dans la gorge et des terreurs nocturnes embarrassantes. C'est la seule chose dont il n'a jamais parlé à Penny. « Hey, pardon, excusez-moi, vous auriez- » C'est effectivement à lui qu'on parle. Il est un touriste. Il ne parle pas anglais. Qu'on le laisse. Il ne veut pas parler. Il marche vite, c'est une indication qu'il est en retard ou qu'il a quelque part où il doit aller, n'est-ce pas, pourquoi les moldus sont si impolis?! (Son coeur bat à deux cent à l'heure dans sa poitrine. Who the fuck...? La voix est familière, désagréablement familière. Mais il est accueilli par des mots plutôt que par des sortilèges, ainsi se permet-il de ne pas s'arrêter. Pas un ennemi. On n'aurait pas essayé à dégainer si il avait été reconnu). Une main se referme autour de son poignet et le fait faire volte-face. « Je suis désolée, vous avez fait tomb… » Theodore ne laisse rien tomber. Sauf les autres.
Hermione Granger.
Of all people.
Theodore sent toute couleur quitter son visage. Il fait un mouvement brusque du bras pour se dégager avec violence; en vain, elle suit son mouvement. En même temps, le Mangemort glisse une main dans la poche de son sweat pour effleurer sa baguette et, sans se soucier une seule seconde de si ils sont observés, il transplane.
Le sol cède sous ses pieds et un battement de coeur plus tard, ils sont dans un champ pas très loin de Nott Manor à vrai dire, dans le Somerset, le lieu qu'il associe le plus à la sécurité, étrangement. Theodore se jette en arrière en espérant que Granger va le lâcher, se préparant déjà à transplaner, les sourcils froncés; au dernier moment, elle l'attrape par le col et l'accompagne dans son second voyage.
Pas loin d'Herpo Creek. Elle est toujours accrochée à son col. Fuck. “ Lâche-moi! ” C'est elle qui lui a appris cette technique si on peut appeler ça comme ça. La dernière fois qu'ils se sont vus, c'est lui qui la pourchassait et elle qui l'a fait se balader partout en Angleterre. Il donne des violents coups dans ses avant-bras pour qu'elle cède. Elle a attrapé si fermement l'épais tissu de son sweat qu'au moins, Theodore sait qu'elle n'a pas sa baguette sur elle. “ LÂCHE-MOI! ” hurle-t-il une nouvelle fois en transplanant, profitant de ce moment entre ici et là pour la faire lâcher prise, espérant peut-être à ce qu'elle finisse quelque part entre Herpo Creek et la clairière de la forêt dans laquelle ils atterrissent. Il a mené une mission ici... il a tué quelqu'un ici. Theodore se rend pas tout de suite compte de la douleur; c'est seulement quand il fait mine de lever un genou pour l'enfoncer dans les jambes de Granger ou dans son ventre qu'il sent un éclair lui traverser le corps, trouver toutes les ramifications de ses nerfs, réveillant une douleur terrible dans tout son corps alors que la partie désartibulée de son flanc se fait gentiment connaître. C'est lui qui a laissé un morceau de son ventre quelque part en arrière ou entre les deux. Fuck. Il perd l'équilibre, incapable de bouger, et la repousse violemment en même temps, si bien qu'ils finissent tous les deux le nez dans l'herbe. Sa vision est floue, il a mal, il sent déjà la main qu'il a machinalement mis contre son flanc revenir humide... mais quand il voit Granger plus prompte à se relever, sa paume couverte de sang se met déjà à chercher l'herbe à la recherche de la baguette qu'il a perdu dans le combat. Quand il parvient à mettre la main dessus et à rouler sur le dos pour se relever, bien entendu, elle le tient déjà en joue.
Elle a les cheveux plus longs que dans son souvenir. Il ne sait pas pourquoi il remarque ça. Theodore ravale sa colère et sa peur et sa terreur et l'angoisse qui fait déjà trembler sa main, alors qu'il écarte lentement les doigts pour laisser la baguette rouler parterre. Inutile de tenter quoique ce soit: Granger semble sur le point de lui faire exploser la tête et il aimerait tant que ce ne soit pas le cas. Heureusement, la Potion Bloque-Mémoire (bless Draco) l'empêchera de dire quoique ce soit sur l'emplacement du cottage mais... il n'a aucune envie de retourner en prison. “ J'aimerais juste te rappeler que la dernière fois, je t'ai laissée partir, ” dit-il avec mauvaise foi parce que la dernière fois, elle est parvenue à le duper et à partir, ce n'est certainement pas par bonté de coeur qu'il a laissé l'Indésirable Numéro Deux s'échapper. Il garde les mains en évidence, reste allongé sur le lit d'herbe, grimaçant au moindre mouvement quand son flanc se rappelle à lui. Il a ruiné ce foutu hoodie, en plus de tout. Il déteste ces vêtements inutiles et périssables de moldus. Son royaume pour une chemise... Il ouvre la bouche, semble sur le point de dire quelque chose... puis au dernier moment se ravise, et essaie de lui faucher les jambes avec l'une des siennes, se retournant déjà pour reprendre sa baguette et tenter un dernier transplanage, malgré son état, pour lui échapper. |
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