|
|
WIZARD • always the first casuality Yohan Park | closer adidja zabini + yohan park.C’est son moment préféré de la semaine. Personne ne sait où il est. Son téléphone est éteint, dans son sac, dans les vestiaires. Personne ne sait ce qu’il fait. Le volume de la musique est indécent, les néons éblouissant, et Yohan ne regarde même pas le mur miroir. Il n’y a que lui et la musique. Sa playlist est en aléatoire, et chaque chanson l’emporte pour des raisons différentes. Il use de son don pour l’aider dans ses figures les plus complexes; il va bien. Il se sent bien. La danse est devenue son échappatoire quand il a commencé la rééducation, après… l’accident. Le Quidditch étant hors de question étant donné l’état de son bras, il a dû trouver autre chose pour se défouler, pour s’exprimer. La danse s’est imposée quand il travaillait à la salle de sport, alors qu’il était encore en semi-convalescence, et que les clés du studio de danse étaient sa responsabilité. Au début, c’était juste pour voir - il restait un petit quart d’heure après que tous les clients soient partis, tentait des enchaînements au hasard. Et puis c’est devenu autre chose. Il a passé de plus en plus de temps là-bas, jusqu’à s’entraîner pendant des nuits entière et à arriver à l’université le lendemain sans avoir fermé l’oeil. Et il est devenu bon. Vraiment bon. Du moins, il le pense. Ce n’est pas comme s’il avait vraiment montré ses skills aux autres, et qu’il avait pu leur demander confirmation. C’est quelque chose de si intime pour lui, la danse. Il met toute son âme dans ses mouvements, et la musique le prend toujours tellement aux tripes… Il a du mal à s’imaginer faire ça devant les autres. Il est là depuis presque deux heures et est assis par terre quand les premières notes d’une musique familière explosent dans le studio. Il a tamisé les lumières depuis une vingtaine de minutes, mais il surprend quand même son sourire dans le miroir. XO bien sûr. Il y a toutes leurs chansons dans sa playlist, c’est presque surprenant qu’il ne soit pas tombé avant sur l’une d’entre elles. Il est obligé de se lever et de commencer à danser, c’est plus fort que lui. C’est une chorégraphie joyeuse, même si les paroles ne le sont pas forcément. XO ça lui fait penser à des gens qui comptent pour lui. Dans chacune de leurs chansons, il y les souvenirs de ces soirées à refaire le monde avec Kida. Ces battles de compliments avec Orla Jane. Il y a les sourires et le talent affolant d’Adi. Il y a la fierté qu’ils en soient là, aussi. Bref, que des choses qui lui donnent plus envie de rire que pleurer. Il décide de quitter le studio sur cette bonne note, et rend les clés à l’employé de la salle qui s’apprête à faire l’ouverture. C’est parce qu’il a travaillé là, qu’il connaît bien le boss - et surtout parce qu’il est devenu célèbre, qu’on a accepté qu’il vienne s’entraîner avant que les clients arrivent. Il n’est pas très fan du fait d’user de ses privilèges, mais pour ça, il ne le regrette pas une seconde. Il retourne à son appartement à pied, et rallume son POW qui lui notifie que personne n’a essayé de le joindre. Tant mieux, il n’aura pas à trouver une excuse pour son silence. Il fait beau, aujourd’hui, et le soleil lui fait plisser les yeux sur le chemin de son appartement. « What’s going on? » demande Nina, en relevant les yeux de son café, quand il entre dans la cuisine après une bonne douche d’une démarche joyeuse. « Nothing special. Just in a good mood. You should try it sometime. » embête-t-il sa meilleure amie qui se venge en le frappant avec sa serviette de table. « Fuck off. » dit-elle d’un ton désagréable, mais il voit bien le rictus dans ses yeux. Il jette un coup d’oeil sur le planning, et note qu’elle a entraînement toute la journée. Il comprend mieux l’humeur sombre.
La chanson l’a hanté toute la journée, sans répit. Il n’a pas fait grand-chose pour la chasser. Il a continué à la fredonner en mettant de l’ordre dans sa chambre, en regardant Nao passer la serpillère, en remplissant des papiers administratifs et pendant son footing. Elle est toujours dans sa tête quand il monte les escaliers qui mènent à l’appartement d’Adi. Il a décidé de manière un peu subconsciente d’aller le voir en fin d’après-midi. Ça faisait quelques jours qu’il y pensait, et la chanson a du jouer son rôle. Peut-être qu’il ne sera même pas là - ce ne serait pas surprenant, il a un emploi du temps de ministre, depuis la sortie de l’album… Mais Yohan croit au destin, et son instinct l’a poussé à venir ici pour le trouver. Tant pis, s’il n’est pas là, il rentrera pour voir Nina s’endormir devant une série après sa journée harassante. Il la prendra en photo sous toutes les coutures. La vérité, c’est qu’Adi lui manque un peu. Il n’a pas osé aller le voir par peur de le déranger. Alors bien sûr, ils se croisent quasiment tout le temps aux soirées mondaines, passent beaucoup de temps avec le Flower Squad... Ce n’est pas comme s’ils ne se voyaient pas. Le truc, c’est qu’ils ne se voient plus comme avant. Ils avaient l’habitude de discuter, de regarder des trucs ensemble, de parler musique. Depuis quelques mois, il se sont un peu perdus, et Yohan n’aime pas trop ça. Il déteste ça, même. Il sait bien qu’ils sont supposés devenir adultes, qu’inévitablement, les amitiés changent et que les vies professionnelles font qu’il est plus compliqué d’être sur la même longueur d’ondes. C’est comme ça. Mais ça le chagrine un peu, alors il s’est promis de se raccrocher aux amitiés qui comptent vraiment pour lui jusqu’au bout. Jusqu’à ce qu’on lui fasse comprendre qu’il faut lâcher prise. Il comprend que son instinct ne l’a pas trompé (comme souvent) quand il entend les bruits de pas et que la porte s’ouvre « I knew you would be there. » lance-t-il, presque énigmatique. Un sourire s’étire sur ses lèvres. Il pose son épaule contre l’encadrement de la porte. « So… I’ve had this song stuck in my head all day… I can’t remember the name of the artist… » Il prend une mine pensive. « It’s a shitty song, it goes… » Il commence à fredonner l’air de manière un peu théâtrale, un sourire au coin des lèvres. « I figured you could help me. » Il n’a pas quitté Adi des yeux, un air un peu mutin dans le regard. « and maybe… spend a few hours... with me? » Il prend un air de petit chat potté. « Your sister’s a grumpy zombie and Nao can’t stop cleaning… You have to say yes. Don’t make me go back to this hell. » |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Adidja Zabini | yohan park I can't stop, So, baby, pull me closer In the back seat of your Rover That I know you can't afford, Bite that tattoo on your shoulder, Pull the sheets right off the corner Of that mattress that you stole From your roommate back in Boulder, We ain't ever getting older.“ Hey, about that coffee we were supposed to- hey, where are you? Whose bed is that? Oh my MERLIN. — Don't. — That's his bed innit? — ...maybe...... — YOU DON'T HAVE BLACK BEDSHEETS DON'T TRY ME KIDAGAKASH WE'RE SO GETTING THAT COFFEE LATER AND YOU'RE TELLING ME EVERYTHING. ” Adidja se rend compte qu'il parle un peu fort quand Kida grimace (elle a l'air de ne pas avoir beaucoup dormi) (well, il se doute que si elle est chez Hiram, c'est qu'elle n'a pas beaucoup dormi effectivement) et se force à se calmer, même si il ne peut pas vraiment inciter son sourire à disparaître de son visage, surtout en voyant la moue mi-agacée mi-amusée que Kida a sur les lèvres. La dernière fois qu'il les a vus interagir, c'était plutôt... explosif, pour ne dire que ça, et il est plus ou moins content que ça aille mieux entre eux — avec un peu de chance, ils pourront finir la chanson qu'ils avaient commencé à enregistrer avant que tout n'explose. “ Think you could drag him back to our studios to finish the song? — I don't know, Adi. — Well I can think of at least five things that you could do to convince him... — I'm hanging up, I'll see you later. — Love you! ” Dès que le powcall est fini, Adidja est en train d'appeler Nina qui ne répond pas, du coup il lui envoie dix quickies à la place pour tout lui raconter (le sortilège de bloclangue ne fonctionne pas à l'écrit et puis de toutes façons, c'est sa soeur, il ne peut rien lui cacher) sans aucune forme de honte ou d'hésitation, il est un peu déçu qu'elle ne lui réponde pas tout de suite mais ça a le mérite de l'occuper pendant la plupart de la matinée.
L'album est sorti. Son premier véritable album et le premier (et unique?) album d'XO. Ils ont déjà une tournée de prévue tous les quatre, bien entendu, et ils sont pris pour les prochaines semaines pour la promotion mais... Adidja ne peut pas s'empêcher de se demander et maintenant? Un étrange sentiment que de finir un projet: il en a commencé des centaines, mais n'a jamais pu véritablement tout fignolé, ce n'était que des chansons lancée sur les réseaux sociaux, des morceaux parfois sans parole qu'il aimait bien, mais sans sens ni direction. Maintenant il a un album, qui se vend plutôt bien en plus, et dont il est fier. Son nom sera toujours rattaché à XO, à Kida Vane et Orla Jane et Shakira. Adidja ressent un mélange de peur et de fierté à chaque fois qu'il croise son propre regard sur MSN ou dans les magasins, sur les scrolls sponsorisés ou alors sur la couverture du magasine WICE qu'ils ont photographiés il y a deux semaines. Il est entouré des trois autres et Orla est en train de rire et Shakira sourit en coin à la caméra et Kida est ravissante et lui est au milieu avec un air un peu perdu, mais heureux. Un peu comme dans toute sa vie, perdu mais heureux. La vie lui sourit enfin. Et maintenant? Il a fait beaucoup d'allers-retours en studio, celui d'OVO son label et celui de son appartement aussi, il continue d'écrire sur des chansons, il a été contacté pour en produire d'autres, pour en vendre aussi... il ne s'arrête pas, il n'a pas le temps de souffler. C'est mieux ainsi ceci dit. Et puis ça ne le dérange pas, il fait tout ce qu'il a toujours voulu faire.
Sans grande surprise, Kida finit par annuler mais Adidja ne lui en veut pas (trop), de toutes manières, il faut qu'ils se revoient parce qu'apparemment elle a réussi à ""convaincre"" Hiram de redonner une chance à la chansons qu'ils font tous les trois: ils verront, ça se passera bien. Adidja se retrouve un peu à ne rien faire de sa journée, il reste chez lui, commande à manger, s'entraîne à la guitare comme souvent pour ses journées de libre; il peut passer des heures sans parler à rien ni à personne, son pow sur silencieux, ses doigts jouant avec les cordes pour en tirer des mélodies. Le temps passe, Adidja ne s'en rend pas compte et sursaute comme un beau diable quand on frappe à la porte de son appartement. Il n'a rien commandé, il redouterait presque que ce soit un ou une fan venu l'enquiquiner (apparemment Orla a eu droit à ça récemment) ou carrément l'assassiner (tout est possible) et il est un peu méfiant quand il ouvre la porte... se détendant incroyablement en reconnaissant Yohan. « I knew you would be there. » C'est plus fort qu'Adidja, son coeur bat plus vite et fort dans sa poitrine quand Yohan se laisse aller contre l'encadrement de la porte. Il doit savoir combien il est sexy quand il fait ça et évidemment, Adidja n'est pas stupide au point de penser que Yohan essaie d'être sexy devant lui... mais quand même, il pourrait se calmer. “ Oh yeah? ” Il a la gorge et les lèvres un peu sèches. Comme toujours quand son meilleur ami est dans les parages.
« So… I’ve had this song stuck in my head all day… I can’t remember the name of the artist… » Adidja arque un sourcil. Il se fait la réflexion que ce serait super cool d'avoir une application sur le pow pour détecter les musiques quand elles passent autour d'eux, ça résoudrait bien de ses problèmes... « It’s a shitty song, it goes… » Adidja lève les yeux au ciel en reconnaissant l'air d'une des chansons d'XO — Closer. « I figured you could help me. » Adidja aimerait bien avoir l'audace et le nerf pour lui dire quelque chose genre yeah it's complete shite what the fuck are you listening to ou alors want me to sing it to you acapella? Mais il est incapable de rien, Yohan ne le quitte pas du regard et il se sent légèrement rougir. « and maybe… spend a few hours... with me? » Le coeur d'Adidja n'en peut plus, même si il arque de nouveau son sourcil sans comprendre. « Your sister’s a grumpy zombie and Nao can’t stop cleaning… You have to say yes. Don’t make me go back to this hell. » Il renifle légèrement. “ Sounds like Nina. And Nao. ” Il secoue la tête, reculant pour laisser Yohan entrer. “ Of course, Yohan. You're always invited here. ” Il a presque l'air trop sérieux et il se force à sourire, même si il est parfaitement sincère. Il regrette un peu de porter un t-shirt trop large mais en revanche, Adi est bien content de se détourner parce qu'il porte un jogging gris qui met bien en valeur ses fesses (et le reste) d'après Nao (et il fait confiance à Nao par rapport à ça), l'invitant à refermer la porte derrière lui alors qu'il se dirige vers la cuisine.
“ Cup of tea? ” propose-t-il en sortant sa baguette pour remplir et mettre en marche la bouilloire, se mettant sur la pointe des pieds pour récupérer son thé en sachets sur l'étagère du haut. “ This song is a bit shitty, ” agréé-t-il sur le ton de la blague en se retournant vers Yohan avec un sourire en coin. “ Hey, you tell your friends it was nice to meet them, but I hope I never see them again, ” chantonne-t-il doucement — c'est lui qui chante ce couplet-là sur la chanson, le reste appartient à Orla. Il lève les yeux au ciel d'un air exagéré. “ Ugh! This singer sounds like an arrogant asshole if you want my opinion. The music industry... ” commence-t-il dramatiquement, avant de faire une pause théâtrale. “ ...used to be better...! ” Et d'éclater de rire, ravi d'avoir Yohan rien que pour lui pour les prochaines heures à venir. |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Yohan Park | closer adidja zabini + yohan park.« Sounds like Nina. And Nao. » Yohan hausse les sourcils, l’air exaspéré. Ses deux meilleurs amis lui mènent la vie dure depuis quelques semaines. Il ne leur en veut pas, ils sait pourquoi ils ne sont pas au top de leur forme, et il sait aussi que ça finira par passer. Ils sont comme une petite famille, tous les trois : ils savent comment les autres fonctionnent, quand il faut se parler, quand il faut garder le silence. Alors Yohan fait en sorte de ne pas trop être dans leurs pattes en ce moment, le temps que les choses se tassent. S’ils ont besoin de lui, ils savent le lui dire ou le lui faire sentir, de toute manière. « Of course, Yohan. You're always invited here. » Le batteur sourit, avec un petit air mi-gêné, mi-ému dans le regard, et entre en refermant la porte derrière lui. Ce n’est pas la première fois que le jeune homme lui dit qu’il est le bienvenu chez lui, il sont amis depuis longtemps maintenant. Mais Yohan est plutôt content qu’il le lui rappelle. Les derniers mois ont été bien chargés, et ça fait du bien de savoir que leur amitié, leur lien a toujours une importance, sa légitimité. C’est con, parce que Yohan sait pourtant très bien que la célébrité ne changera rien : Adi n’est pas comme ça. Il est beaucoup trop génial pour laisser ses vieux amis derrière lui - et il sait qu’il compte suffisamment pour que la question ne se pose même pas. Mais bon, quand même. C’est bon à savoir. En tous cas, ça lui fait du bien de retrouver l’appartement d’Adi. Yohan n’est pas venu depuis un moment, mais retrouve très rapidement ses repères - les meubles, les objets… Tout crie Adidja ici. Cet appartement est une véritable illustration de ce qu’il est : beau et chaleureux à souhait. Adi s’est dirigé vers la cuisine, dans son t-shirt trois fois trop grand. Yohan essaie de ne pas trop fixer son jogging, qui le rend bien trop conscient de ce qu’il y a dessous à cause de la matière et de ses mouvements. Il détourne le regard, gêné, et préfère s’intéresser de près à une paire de lunettes de soleil, posée sur une petite table dans l’entrée. C’est toujours comme ça, avec Adi. Ça a toujours été comme ça. Quand ils ne passent pas de temps ensemble, Yohan oublie facilement qu’il est super canon, sûrement parce qu’il est trop concentré sur d’autres choses, obnubilé par d’autres traits. Et puis ils se retrouvent, ou il le voit sur une couverture de magazine ou sur MSN, et il a toujours besoin de ce moment pour se réhabituer. Dans ses souvenirs, Adi n’est jamais aussi beau qu’en vrai, et c’est plutôt rare, parce qu’en général, c’est plutôt le contraire. Yohan a tendance à garder des souvenirs un peu améliorés des gens qu’il apprécie et qu’il aime. « Cup of tea? » - « Of course. » Heureux de trouver quelque chose qui le détourne de ses pensées peu innocentes, Yohan rejoint Adi dans la cuisine et commence à passer en revue les thés qu’il a posés sur la table. Yohan n’est pas vraiment un buveur de café, et n’aime pas spécialement l’alcool - il évite ces deux-là le plus possible depuis qu’il a été titularisé chez les Canons de Chudley, soucieux d’avoir le train de vie le plus sain possible. « This song is a bit shitty, » Adi joue le jeu, et ça soulage Yohan qui tente de chasser une bonne fois pour toute la gêne qui s’est emparée de lui quelques secondes plus tôt. « Ugh! This singer sounds like an arrogant asshole if you want my opinion. The music industry... » Le batteur acquiesce, feint de partager ses pensées sans la moindre hésitation. Adi s’interrompt, mais Yohan sourit un peu plus en sachant très bien comment la phrase va se terminer. « ...used to be better...! » Il lève les yeux au ciel puis lui lance un regard complice.
Le coréen passe derrière la table et prend l’initiative de sortir deux tasses, coupant l’herbe sous le pied à son hôte avec un petit sourire. « So,what’s it like to see yourself everywhere ? » finit-il par demander, retenant les sachets tandis que l’eau se verse dans les tasses. Il se doute bien que ça doit être plus bizarre qu’autre chose. La première fois qu’il s’est vu en photo quelque part, après l’annonce de sa sélection, ça lui a fait un petit choc. Et même maintenant, il a du mal à soutenir son propre regard dans les pages sport et dans celles qui résument les soirées mondaines. « Everytime I turn on the MirrorTV you’re there. In every magazine, on my MSN feed… » Il souffle sur son thé, beaucoup trop chaud, et lance un regard à Adi par-dessus la vapeur. « Not that I’m complaining. » Il remarque que le brun repose son thé, sûrement parce qu’il est aussi beaucoup trop chaud pour lui. Yohan approche sa main de la tasse. « Let me. » Il ne lui faut que quelques secondes pour refroidir un peu l’eau. Ce serait dommage de ne pas user de son don d’airbender pour impressionner un peu, de temps en temps. Pas qu’il ait besoin d’impressionner Adi, hein. Ou.. si ? Peut-être qu’il voulait l’impressionner. C’est débile. « I hope you’ll still have a bit of time for us, now that you are a superstar. » dit-il avec une petite moue, en se tournant un peu vers le salon. Il ne sait même pas pourquoi il a demandé ça. Encore une fois, il sait très bien qu’Adi n’est pas comme ça, et il doit en avoir un peu marre que tous ses proches lui fassent cette réflexion. Mais c’est comme ça, il n’a pas pu s’en empêcher. Est-ce qu’on peut vraiment le blâmer d’avoir peur de le perdre, de ne pas faire le poids face à tout le reste ? |
| | | Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
|
|
|