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sujet; What do I do with you, boy {Constaniea}

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 I might just tear you apart
i'm gonna lure you into the dark, my cold desire to hear the boom, boom, of your heart.
i'm gonna catch ya, get ya. i wanna taste the way that you bleed, you're my kill of the night.
Je quitte tout juste les planches que déjà je sens la frustration gronder depuis les tréfonds de mon être. C’est foutu, il n’y a rien à faire, dès que je n’ai plus à me concentrer sur mon rôle, toute trace de contrôle m’échappe. Maudite sois la pleine lune à venir, maudite soit la louve qui me remplace à chacun des baisers lunaires, maudite sois cette satanée situation ! Je lance un escarpin dans ma loge, sans me contrôler, sans m’inquiéter des regards qu’on me lance. Je suis à cran, je suis à bout, c’est comme si une deuxième personne se partageait mon corps avec moi. C’est un surplus d’énergie, un surplus de sensation, un trop plein de colère et d’agacement. Une envie folle de détruire, de mastiquer, de hurler. Mais pas ici, non surtout pas. J’essaie de me calmer, au moins le temps de changer mon maquillage, de me faire belle, d’enfiler une nouvelle robe et je m’enfuis de là. J’aime le théâtre et je crois qu’il m’aime aussi, d’ailleurs la masse d’admirateur m’attendant à la sortie, a de quoi me réchauffer le coeur. Impossible de ne pas sourire quand autant de mains se tendent vers moi, quand autant de spectateurs viennent à moi, susurrant des compliments, m’assurant que j’ai donné la performance de ma vie. C’est toujours ainsi quand la pleine lune approche, j’attire davantage les regards et les compliments. Je cherche déjà ma proie de la nuit parmi mes admirateurs, à moins que ce soir je dévore une admiratrice ? Je n’arrive pas à me décider quand son odeur à lui me chatouille les narines, me faisant tourner la tête dans sa direction : Constantin. Je le reconnaitrais entre mille et déjà j’étire le cou, ma langue passant sur mes lèvres pleines, alors que je croise son regard, par-delà le petit groupe de spectateur me couvrant d’éloge. Il est venu me voir ce soir, il est sous le charme aussi, quand bien même il tente de paraitre détaché, il a cet éclat dans le regard, celui qui m’arrache un petit frisson d’anticipation. On me flatte, on me félicite, on me touche, les gens tourbillonnent autour de moi et bientôt, il est tout près, se contentant d’un petit mot gentil. Rien de plus, rien de moins, le petit jeu de Constantin, alors qu’on annonce la suite de la soirée de la troupe dans les bars. Je sais pertinemment qu’il ne nous suivra pas, tout comme je sais que je n’ai pas non plus envie de les suivre, que c’est chez lui que je terminerais la soirée. Quitte à me faire les dents sur quelqu’un, aussi bien que ce soit l’un de mes amants habituels. Il y a moins de risque, moins de détail à prendre en compte.

Alors je me mets en route avec le groupe, mais je le sens derrière moi, qui nous suis en silence. Il chasse et cette idée m’arrache de délicieux frisson, ainsi qu’un sourire amusé. Et quand toute la troupe se faufile dans le bar, je prétexte avoir vu quelqu’un que je connais bien, pour ne pas avoir à les suivre, « je vous rejoins ! » Et dès qu’ils ont tous disparus, je me remet en route, en direction des cheminées les plus proches. Je marche comme les hommes, attirant les regards, parce que je suis sans crainte, sans peur. Les pans de mon manteau ouverts, dévoilent des bouts de peau basané, des bouts de chaire attirant le regard, la convoitise, mais je ne crains absolument rien. Constantin veille sur moi, son regard me chatouillant la nuque, se faufilant jusque sous ma robe de dentelle, trop décolleté, trop transparente, trop tout. Trop rien. Surtout une fois que ma main et la sienne se rejoigne, le temps d’être transporté chez lui. Parce qu’il n’est pas possible que nous passions la nuit ensemble chez moi, parce que des deux, il est celui possédant la plus belle maison, la plus riche aussi. Celle avec une entrée de cheminée menant dans un hall plus discret que le mien, assez pour qu’en apparaissant, je puisse le pousser doucement contre un pan de mur, mes mains tordants les pans de sa veste, ma bouche trouvant la sienne automatiquement. Je souris contre sa bouche, tire sur son vêtement et le lui arrache presque des bras. Si je me fais discrète quand je prends la parole, ma voix se voulant étouffée, je connais les règles de la maison, mes mains n’en sont pas moins brutales avec lui, arrachant ou tirant sur les vêtements. Ses vêtements. « Assez joué, dit moi… » je grogne tout bas, mord sa lèvre inférieure et tire dessus, pour le laisser m’entrainer en direction de sa chambre, ma voix se voulant empressée, essoufflée, « tu as aimé la pièce ou pas ? » Parce que ça aussi, c’est un petit jeu entre vous, de laisser le travail de côté. Or, tu es vaniteuse, tu es orgueilleuse, tu aimes qu’on te flatte. Tu veux qu’il te flatte et dès que la porte de sa chambre se referme, ton corps s’y retrouvant plaqué, tu te tortilles, abandonnant ton manteau pour faire éclater sa chemise, le regard avide. De lui, de sa peau si claire, trop claire, que déjà tu rêves de lécher. Il est terriblement beau, debout devant toi, son puissant torse bien en vue, un sourire allant et venant sur ses lèvres. Tu abandonnes la chemise abimé et c’est contre sa poitrine que tes mains cours, alors que vous vous rapprochez, qu’il se presse à toi, t’arrachant un autre soupire, « mmmn, répond moi. » Et ce soir, vu comment tu es à cran, il a en effet, intérêt à te répondre, sinon tu sortiras les griffes et les dents. C’est fou ce qu’une lune ronde peut faire à une femme.
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La pleine lune était prévu pour bientôt, c’est jour là tu avais toujours un appétit plus exigeant, autant au niveau de la nourriture qu’au niveau des pulsions. Tu avais été au théâtre pour avoir une chance de te divertir, car certes les acteurs présent était potentiellement bon, et puis tu voulais une chance d’aller la voir elle. Sur scène, elle était toujours époustouflante et avant la pleine lune, elle semblait toujours plus passionnée de son rôle, ce qui lui offrait toujours des tonnes d’admirateurs. Comme à son habitude, elle avait été extraordinaire ce soir, son rôle, ses intonations,  son contrôle. Tu avais applaudis à la fin, cette pièce t’avais presque distrait de tes derniers soucis, depuis cette dernière nuit, tu n’arrivais pas a retirer la honte de ton geste. Ses mèches blonde t’obsédais, mais en ce moment, ce n’était pas de elle que tu avais envie, tu voulais oublier se corps à la peau claire, cette belle dans la tête, elle te rendait fou. Ce soir, tu espérais avoir droit à cette beauté exotique, cette peau basané et ses cheveux noirs. À la fin, tu restas donc parmi cette foule de gens qui attendais tous que cette actrice sorte du théâtre, tous l’admirait et désirait la félicité, certes tu allais lui dire un mot gentil, mais ce que tu désirais avant tout n’était pas tout à fait du même ordre. Elle sortie alors et tu remarques ses vêtements alors que tous ceux près d’elle ne cessait de la couvrir d’éloges sur ses talents d’actrice. Elle sourit, elle aime ce genre de chose et tu le sais, elle semble chercher quelqu’un à travers la foule, puis son regard rencontre le tien. Elle fait ce petit mouvement avec sa langue contre ses lèvres, tu lui offres un sourire, mais tu attends, tu attends de parvenir plus près d’elle pour lui offrir un petit compliment. « Bravo pour ce soir. » Elle a se regard amusé, le reste de la troupe annonce alors qu’ils devraient fêter ce succès dans les bars avec un peu d’alcool pour arroser le tout. Tu n’as pas besoin d’alcool ce soir, non ce n’est pas ce genre d’appétit que tu as besoin de combler ce soir.

Tu laisse la troupe partir, elle les suit, mais tu sais que c’est un jeu qu’elle fait, tu les suis à l’arrière sachant pertinemment qu’elle désir la même chose que toi ce soir. Une fois près de la taverne, elle leur dit qu’elle les rejoindra et elle continue son chemin, ce qui t’amuse. Tu la suis et tu sais déjà où elle s’en va, plusieurs passant lui lance des sourires et la fixe de façon déconcertante, mais tu garde un œil sur eux et sur elle. Elle est arrivée au cheminée, tu faufile tes doigts rapidement au travers les siens, direction ta demeure, en un instant vous y êtes. Une fois ariver dans ce hall, loin de la chambre de tes parents, à cette heure, ils dorment, elle te pousse doucement contre le mur et tu souris amusé. Ses lèvres viennent rejoindre les tiennes et tu l’accueil avec plaisir, elle s’attaque déjà à ta veste, te la retirant rapidement. Puis elle te murmure une question « Assez joué, dit moi… », ses dents mordillant légèrement ta lèvres, bien que tu apprécie, il n’est pas question qu’on te trouve en compagnie de quelqu’un, tu l’attire donc gentiment vers un couloir donnant à ta chambre, elle connait bien l’endroit depuis le temps où elle viens. « Tu as aimé la pièce ou pas ? » Tu referme la porte derrière vous, la plaquant contre la surface de bois et tu lui offre un sourire, un sourire de prédateur, la proie est tombée dans le piège et la bête va la dévorer. Tu colle ton visage contre sa gorge, laissant ta barbe lui chatouiller la peau. « Humm...» Elle sait que tu la trouve extraordinaire, mais ce soir tu as envie de la faire languir et non de la combler d’éloges, elle en a eu tout plein, elle a déjà abandonné son manteau contre le sol. Déjà, elle ouvre ta chemise d’un geste rapide, laissant tous les boutons éclater de par et d’autre. Tu te colle contre son corps, ses mains te caressent avidement, laissant ses doigts circuler contre tes muscles. Tu n’as qu’une envie, c’est de lui retirer cette robe de dentelle. « Mmmn, répond moi. » Tu souris amusé et la fais se tourner face à cette porte, détachant chaque bouton de cette robe, tes lèvres viennent embrasser sa gorge alors que tes mains fais glisser doucement ce bout de tissus vers le sol. « C’était pas mal, mais tu étais la meilleure ce soir. »

Une fois ce bout de tissus au sol, tes mains agrippe sa poitrine, les caressant doucement, puis tu retire cette chemise éclatée, et de la main, tu attrape la sienne pour l’entrainer vers ton lit. « Et si maintenant, tu pensais à autre chose que ton travail. Ah oui, j’allais oublier, mais j’ai un cadeau pour toi, j’aimerais bien que tu ne porte que cela ce soir. » Tu lui offres un sourire, tu sais combien elle aime être gâtée et qu’elle s’attend a ce genre d’attention, tu n’est pas vraiment ce genre d’homme, mais pour elle, tu ne sais pourquoi, mais tu serais prêt à faire bien des choses pour lui faire plaisir, en fait, tu n’avais jamais autant ressentis d’attirance envers quelqu’un qu’elle, bien que cette mi-vélane te fais tout autant tourner de la tête, vue le pouvoir de son sang. Tu va dans une de tes armoires pour y prendre une petite boite rectangulaire de velours rouge. Tu te rapproche d’elle et lui tend, afin d’avoir le plaisir d’ouvrir son cadeaux, lorsqu’elle l’ouvre, elle retrouve un sublime bijou, tu sais combien elle aime l’or et les diamants. Celui-ci est en fait une chaine délicate et merveilleusement éclatante dans les tons d’or rosée et dorée. Un cœur fait d’or rosée est placé contre et à son centre, on y retrouve plusieurs diamants. « J’espère qu’il te plait. » Ce bijou t’a coûté une fortune a vrai dire, mais tu a les moyens de lui offrir.
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Je suis pas patiente, je ne l’ai jamais été et encore moins à ce moment du mois. La lune me rend encore plus empressée, plus brutale, presque animal oui. Et lui qui joue avec mes nerfs, lui qui me fait languir avec ses réponses de petit bourgeois, fier petit représentant de l’élite sorcière : « humm... » Je fais presque claquer mes mâchoires, assez, nous avons assez jouer, j’exige des réponses et de ce fait, je retire mon manteau et je tire sur sa chemise. Il comprend maintenant ? Il comprend que je ne veux pas attendre ? Que je ne peux pas attendre ? Je l’espère, parce que je risque de devenir un peu plus violente, un peu plus agressive. C’est plus fort que moi, j’ai déjà des visions de Chav, de mon rebut tirant sur ses chaines, son corps musclé n’attendant que moi. Pas maintenant, je ferme les yeux, tente de le repousser et me retrouve la joue contre la porte de Constantin, le souffle court. Surprise. Je pourrais grogner, la louve en moi hésite, se demande si elle veut être fidèle à notre loup, loin, trop loin. Seulement, Constantin dégage quelque chose de tellement chaud, de tellement doucereux, un peu plus puissant encore alors qu’il m’embrasse la gorge, qu’il me déshabille. Il pourrait m’arracher ma robe pourtant, je ne lui en porterais pas rigueur, j’ai bien trop envie de sentir sa peau contre la mienne, ses lèvres me dévorer, me tenter. « C’était pas mal, mais tu étais la meilleure ce soir. » Son verdit est rendu et je souris, me cambrant déjà pour venir presser mes fesses contre ses hanches. Là, il est récompensé pour son compliment, alors que je ronronne presque, ma louve se soulevant contre l’idée que je me fasse féline. Tant pis, j’étais lionne avant d’être louve et là, je me frotte doucement à lui, un sourire en coin. Coquine à souhait.

Puis l’air frais glisse contre mon corps, la dentelle m’abandonnant, se tassant à mes pieds. J’enjambe lentement le vêtement, abandonnant mes escarpins du même coup, tout en le laissant me toucher, me goûter. Je ne suis plus que chaleur, chair douce, promesse de plaisir alors qu’il malaxe ma poitrine, glorifie ma féminité. J’halète doucement, l’excitation me picorant la peau, préparant déjà mon ventre à davantage, à une invasion en bonne et due forme. Je caresse même l’espoir qu’il me prenne là, tout de suite, contre sa porte. Mais dans mon esprit, ce n’est pas son corps clair et ses cheveux noir qui se pressent à moi, mais bien le corps abîmé de Chav, ses cheveux sales et ses grognements animal. Merde, il essai encore de me contrôler et je le refoule une fois de plus, alors que le beau prince que je visite retire sa chemise et m’attrape la main, m’entrainant avec lui en direction de son lit merveilleux, sublime terrain de jeu que j’ai toujours grand plaisir à visiter. « Et si maintenant, tu pensais à autre chose que ton travail. Ah oui, j’allais oublier, mais j’ai un cadeau pour toi, j’aimerais bien que tu ne portes que cela ce soir. » Je souris sous sa demande, je peux oublier le travail, aucun souci. Je vire déjà l’idée de le questionner sur ce qui n’était pas à son goût dans la pièce, il sera toujours temps d’en discuter plus tard, quand nous serons allongés ensemble, à bout de souffle. Pour le moment, il m’intéresse bien davantage avec son cadeau, avec cette requête toute particulière. Ne porter QUE cela ? Je me presse déjà contre lui, joueuse, heureuse, coquine à souhait, mes dents tirant avec un air joueur sur son menton, « un cadeau ? Oh oui, montre-moi ! » Je redeviens une petite fille, mes yeux scintillent, mes mains n’attendent plus que de mettre la main sur le fameux présent et si j’accepte de le lâcher, de le laisser aller rejoindre son armoire, c’est avec difficulté. C’est plus fort que moi, les présents sont l’un de mes points sensibles !

Je me tortille presque sur place alors qu’il sort une boite de velours rouge de son armoire, j’adore le rouge ! Bon, je me garde bien de le dire, il y a une limite à être stupide. Et puis, je ne pourrais pas expliquer pourquoi j’aime le rouge, qu’il me rappelle le sang, celui de Chav, que je suis belle en rouge. De sang, pas le mien, pas toujours. Constantin n’est pas comme ça, il n’a pas ce genre d’appétit et j’attrape plutôt la boîte avec un sourire de gamine, impatiente de l’ouvrir, repoussant encore la présence de mon loup. Je le sens haleter dans ma chambre, là où je l’ai enfermé avant de partir au théâtre. Il veut être libre, il veut que je rentre, je le sens au plus profond de mon être, mais je lui renvoi mon refus le plus total. Au pied, vilain chien ! Je découvre enfin le bijou, sens le plaisir se répandre dans mon corps, en même temps que la jalousie bouillonnante du loup, plus loin. Trop loin. Moi je profite de la vision que m’offre mon nouveau présent, un bijou que je ne pourrais décidément pas vendre, pas de cette beauté ! Mes yeux brillent plus fort, mon sourire vacille même, tant il est joli, tant il est merveilleux. Et sa question tombe alors, stupide gaspillage d’air, « j’espère qu’il te plait » comment ne pourrait-il pas me plaire hein ? J’éclate alors de rire et je me lance contre lui, lui grimpe dessus oui, ma boite dans une main, l’autre se refermant contre sa nuque alors que mes jambes s’enroulent autour de sa taille, manquant de le faire tomber. Mes baisers pleuvent sur son visage, avant d’accrocher sa bouche et de se faire plus sérieux, plus langoureux, plus torride, assez pour réveiller la bête en moi, assez pour me faire enfoncer les ongles dans sa nuque. J’entrouvre alors les paupières, essoufflée, la voix rauque : « il est parfait. Parfait. » J’insiste et un petit sourire éclaire mes lèvres, mais l’envie le combat, rend mon visage plus grave, plus avide. J’ai envie de lui et j’attends qu’il nous conduise jusqu’au lit, pour m’y assoir et lui rendre le boitier. « Met le moi ? » Je redresse le menton, signe qu’il peut y aller, alors que je tire déjà sur son pantalon, que je détache avec un professionnalisme alarmant. Les pantalons masculins n’ont plus aucun secret pour moi, plus maintenant et ce qu’il y a dessous encore moins. Je souris avec quelque chose de vicieux, mes lèvres glissant contre son torse, là, près de son cœur, alors que mes yeux se lèvent vers lui, mes mains s’enfonçant dans l’arrière de son sous-vêtement pour lui caresser les fesses et faire tomber son pantalon au sol du même mouvement. « Déshabille moi aussi… je ne veux porter que ton cœur. »
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