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sujet; Elle fera couler ruisseau quand t’auras plus les armes

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Elle fera couler ruisseau quand t’auras plus les armes  Empty

les gestes qui font les poésies
Il est des soirs d’amour subtil,
Des soirs où l’âme, semble-t-il,
Ne tient qu’à peine par un fil…
Il est des heures d’agonie
Où l’on rêve la mort bénie
Au long d’une étreinte infinie.
Les grises pierres des souffrants suintaient les tragédies romantiques des broches de poussière marquant les mains tantôt secs, tantôt soignées des vivants obscurs, les mélodies grinçantes claquaient dans une chambre où la divine pécheresse allongée telle une défunte son sépulcre de pierre d’une robe chaudement légère restait pétrifiée un clignement d’une paupière alourdie par les dérives mesquines de ses sentiers ténébreux. Soin d’une jambe opalescente, sa peau de lait sous les dextres étrangement tendres du démoniaque ; soumise encore un affront à la liberté mais la torture d’une compréhension de ne plus commettre l’inutilité de détaler, une incarnation docile et ses cheveux défaits sur ses épaules de martyr ! Elle plongea ses doigts, raffinement précieux d’un mélange de glace et d’innocence feinte dans la cascade lisse de sa chevelure rutilante, son crâne brûlant des agonies de ne pouvoir fuir vers les promesses exquises de Paradis avalés par les brumes tournoyantes des Enfers mécréants. Le son d’un animal sous le porche imaginaire, celui de la bête à ses côtés, le soufflement rauque d’un maître assoupi transparut à ses oreilles chétives ; une curiosité maladive de celles des damnés mignonets dans son étau pâle de piques vernissées rua la mélancolique dans le couloir des ignominies. Elle glissait calmement fleuve moucheté de barbares larmes amertume sur ses lippes soignée où resplendissait cette couleur de miel qu’elle offrait aux apôtres chimères des rencontres grêlées. Discrète jouvencelle, la définition même d’Helle, elle observa d’une douceur palpable le patriarche dans un dédale de lit, des draps traînant sur un sol dangereusement tacheté des usures de la cavalière, des pas qu’il possédait ce domaine la jeune pucelle récoltait les merveilles d’histoires antiques, elle respirait les effluves de ces anciennes épopées qu’elle distillait sur des toiles originales taillées de cadavres. Une monstrueuse grimace enlaidit fugitivement le faciès de la mystérieuse, une marque gravée par un membre détérioré ; important à l’esprit maintenant mouvant elle s’agenouilla fidèlement Madeleine appliquant l’onguent à ce Jésus déplacé. De ses phalanges crémeuses elle cajola dramatiquement le feuillage de cet arbre corrompu, traçant les lignes baudelairiennes d’une destruction haineuse, une question timidement voltigeuse brisa les écrins de la fenêtre mordorée qu’elle ne tarda pas à ouvrir instrument à la disparition à venir. Des perles fascinantes esquissèrent les courbes de la sculpture apollinienne alors qu’une pluie divine s’échouait sur l’herbe aride de cocon d’or qu’elle attrapa gourmandant les éléments naturels. Elle aimait à se fondre, harmonie plaintive dans les rubéoles des thaumaturgies désespérés de ce ravage insensé, le solitaire attaché dans les méandres d’une nébuleuse étoilée, elle goûta à la réponse de cette femme vicieuse, se rapprocha tendrement de la victime. Deux mains noircies des gouffres de la méchanceté raciale ! Avait-elle entendu parler de cette prison égayée qu’elle contemplait au loin sur son rocher des néréides parfumées ? Avait-elle envoyé des esquisses pourfendues de malheur là où elle se miroitait, se projetait préférant présenter des offrandes aux maudits ? Elle avait entendu les cris, les hurlements de folie qu’elle tissait patiemment sur ses collines, falaises escarpées où recelaient les flammes des suicidés ; elle avait ouï les lamentations des prisonniers qu’elle volait pour les transformer alchimiste des magies encombrantes. Assise maintenant droiture exemplaire, l’étoffe relâchait lestement, délivrait lascivement ses jambes de muse écarlate tandis qu’elle réfléchissait parcimonieusement à la stratégie à tenter. L’homme roupillait peut-être, métamorphosée de sa seconde parure Perséphone osa peindre sur le dos de sa main, sur ses paumes rugueuses des symboles, des repères pour la construction d’une fantasque création, des songes carmins envoilaient les ambres de l’épousée, infirmière des supplices. Avisant une plume (cette plume ?) sur le chevet elle moissonna pieusement la goutte mirifique de la vie, sur le calice frotta, engloba la première sauvée futur requiem d’une aménité palpitant sur les vagues du repentir. « Quel bel instrument que les mains ! Mais cassées sont-elles. Qui ? ». Sensible démontrée, les mots habituellement ne franchissaient que rarement cette barrière de chair, là misérablement elle rompait les trésors de langage qu’elle ne pouvait souffrir, toujours cette dépendance à ce silence religieux. Sa tête se posa négligemment sur le torse de Marat, un délice de percevoir le cœur battre anesthésié sur les décombres d’un traumatisme qu’elle devinait. « Toi aussi tu as perdu… ». De cela elle n’en parlait pas, de cela elle se réfrénait ; d’un frère incendié sur le bûcher de la colère, d’un accident sur les pales des territoires effrayants.              


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"flesh & bone"
He takes her in his arms.. He wants to say I love you, nothing can hurt you but he thinks this is a lie, so he says in the end you’re dead, nothing can hurt you which seems to him a more promising beginning, more true  ♛ by endlesslove.


Le feu consume la chair. Il se souvient du mal, pas de cris, juste des perles, des nacres perdues. Des plaies qu’il a soigné, d’une jambe qu’il ne pouvait pas lui arracher, elle la vagabonde, l’enfant de la mort.  Il surprend le fantôme dans les couloirs, d’une apparition qui se voile, des jeux de reflets dus aux miroirs qui hantent le manoir, de ces glaces formant un labyrinthe d’images. Avec lui, elle reste pour le moment.

Le Ministère occupe son esprit, des dossiers qui s’entassent, des cas à traiter, des questions qui ne trouvent pas l’ombre d’une réponse. Monsieur ci, monsieur ça. Ils courent les imbéciles, se faufilent dans les couloirs, fouillent les différentes salles. Souvent il s’échoue dans celle des aiguilles infernales, du temps qu’il ne contrôle pas, d’un retour qu’il exige, mais qu’on ne peut lui accorder. Sauver la sœur, donner sa tête en échange. Des solutions qu’il cherche, des carnets qu’il remplit de crachats d’idées boiteuses. RIEN. La main s’épuise après plusieurs pages, des doigts qui capitulent devant l’effort. Dégénérés, détruits, déboités les mains. Rookwood conjure la magie, une plume qui écrit pour lui, de l’impression d’être un incapable, une pièce rouillée qui passe encore inaperçue dans le mécanisme. La charogne c’est lui, le mangemort abîmé, pourtant, il commande encore, fauche des vies. Pas de sentiments, une anesthésie absolue. Passer ses journées et nuits au Ministère lui permet d’oublier le manoir, d’oublier celle qui hante les lieux, d’oublier les regards. C’est de la lâcheté. Un soir il rentre, plus fatigué que d’ordinaire, à cause d’une accumulation de travail, de sa volonté perfectionniste. Il oublie de manger, n’occupe qu’une absence dans cette bâtisse immense, à l’égale de la pureté perdue. L’homme erre entre les murs, passe une main sur la porte fermée, l’unique qui soit close au regard, une vérification que le verrou n’est pas brisé. Ici est son trésor, les toiles qu’il a agencées, les beautés qui ont marqué l’esprit, lui ont permis de ne pas sombrer à Azkaban. Souvent il a demandé le nom de l’artiste, mais jamais de réponse. La fuite s’opère vers la chambre. Se défaire des vêtements, clore les rideaux, tout n’est qu’effort qu’il ne peut pas fournir. Assis sur le lit, il a un regard pour les mains gantées, elles qu’il cache, qu’il ne veut plus découvrir. Le sommeil frappe.

La nuit agite ses craintes, réveille les fantômes qui martèlent sa vieille caboche. Souvent il aperçoit la jumelle, elle qui se tient au bord du lit, le sourire réconfortant, et après, c’est l’accusation violente, les serres qui arrachent le cœur, mordent l’organe. Le souffle d’une vie balaye la pièce, d’une porte qui s’ouvre, grince sous le poids des années. Il dort le mécréant. Habitué à la solitude, à l’absence de proximité, il sursaute dans son rêve, perçoit la chaleur d’une inconnue, d’un battement qui diffère du sien et s’accorde doucement. Unisson de la peine. Les paupières battent, cherchent l’éveil, mais Rookwood est encore piégé entre les mondes. « Moira » chuchote l’assassin. C’est elle ! Il croit, dans son délire, revoir le double disparu. Un bras s’enroule dans le dos d’Helle, de l’étreinte singulière dont il a la nécessité. Pas de Helle ce soir, il ne voit pas, ne distingue que ce qu’il souhaite. « Tu es revenue… j’avais peur, que tu aies disparu, que tu ne veuilles plus venir me voir… » Des murmures qui volent, s’échouent entre les murs. Les doigts caressent le visage, veulent rendre compte de la réalité. « Je m’excuse… je… j’avais promis, d’être là, d’être toujours là » Les mots s’étranglent dans la gorge, comme d’autant de lame qui transpercent la voix qui a perdu de son assurance.
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Il est des soirs d’amour subtil,
Des soirs où l’âme, semble-t-il,
Ne tient qu’à peine par un fil…
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Où l’on rêve la mort bénie
Au long d’une étreinte infinie.
Des doigts qu’elle plie, vérifie les atrocités des larbins de malheur ; des questions qu’elle se pose délicate meurtrière ses cheveux hérissés de fins fils soyeux ; des observations, des regards jetés à cette fenêtre dévoilée, un cadre famélique dont elle suivra les dogmatiques préceptes ; une douceur enfin, répétée sur les cadavres, sur les offrandes de chair noiraudes, un miel âpre de convoitise qu’elle effleure, de ses phalange marbreuses elle dessine quelques pluies d’empyrée pour mieux s’y trouver. La chimérique femme relevant ses jupons de cordages elle guette les aliments pour combler les brèches, les plaies, les maux de ce Diable tourmenteur oublié la torture cette jambe défragmentée, soignée, peignée par le chaos totalitaire de la caboche anéanti du compagnon une sucrerie subite qu’elle apprivoise, oublié les paroles ce sont ces membres grotesques, brisés, apocalypse colérique que l’infirmière s’enchante à rebaptiser. Un vent sacré étourdit les manches du virile tandis qu’elle surveille les blessures ne s’étendant pas aux branches de l’arbre aimé, elle ne pense pas tout à l’affaire de sa nuit, une âme à panser. Alors le bourreau scélérat d’un mouvement de poignet l’entraîne dans l’étreinte surprenante d’un songe apocryphe, un nom murmuré dans les ténèbres de l’affliction à être touchée. Distance qu’elle souhaiterait remanier à sa convenance le bougre cependant plein de muscles et de forces titanesques déblatère des souvenirs effrangés. Apaisante la Parque coule sa main maigre sur le visage véridique du Judas passionné, cherche quelques mot qu’elle place maladroitement dans les nuages de sa voix frileuse, cristalline de naufragée ; une voix raffinée des lendemains de gloire d’avoir capturé la Vestale. « On ne disparait jamais réellement. Qui que je sois je suis toujours là. Et toi aussi. ». Elle avait dit cela sur le ton platonique, placide d’une spectatrice embuée de larmes du messie ; Marie Madeleine assourdie par l’acte déplacé. Se traînant loin, la révélation des mains qu’il ne faille pas bouger, avisant la baguette du précepteur, tremblante la gamine incertaine de ce muselée devoir elle prit l’instrument n’esquissa pas de formules n’ayant jamais rien entendu des leçons barbares de l’école abrogée, évasive des règles mordorés dont elle n’écoutait notes. Priant ses paupières closes d’un désir parfumé de muscs enchanteurs elle lia les nantis paumes du maître une sûreté garantie au lavage des péchés et joignit le psaume sous ses ongles rongés des stries mortifères d’un pourpre vibrant la captivité. Dans sa chambre elle se releva dérangeant le vide opaque des murs suintant l’insistance de la présence macabre de la folie maligne, pêcha l’onguent de la salvatrice ; claqua ses pas timides le long du couloir requiem assommé de discrétion de l’animal foudroyé. Concentrée, les astres ne s’entrechoquaient pas le long de sa mémoire anesthésiée, une morte marchant vers le linceul éclatant, strident de la tendresse arrosée qu’elle distribua sur les araignées de la tristesse. Elle y lut la mélancolie, les sentiments rejetés, les traumatismes d’un arc voûté d’une charogne vénérée. « Elle devait beaucoup compter pour toi… Moira. ». Un nom qu’elle retiendra, qu’elle taira dans les nébuleuses de ses secrets enfermés dans les boites dissipées de sa chandelle soufflée ; l’envie de savoir curiosité animée se débattait des entrailles rougies, cognait contre les cages thoracique un défaut narquois qu’elle ne tourmentait rarement seulement les hommes passionnant fabriquant la chamarre de son cœur léthargique. Un flot d’hypothèse qu’elle tria rapidement, un ruisseau de réponse qu’elle baigna d’un voile grisonnant, une volée de colombe la dernière ornée d’or carmin qu’elle caressa. « C’était ta sœur. Et moi mon frère. ». Elle n’avouait jamais les dérives qui la rongeait, la possédait, la défragmentait chaque jour un peu plus chaque opacités un peu plus ; elle ne confessait jamais son histoire mais les larmes glissèrent religieusement par l’éponge de son don, empathique l’ange éphémère elle ne voulut pas blesser le démoniaque prise d’une fureur d’avoir laissé partir l’être chéri. Sa cascade de flocons maquilla le monstre de l’au-delà l’épousée frigide sur ses mains guettait la renaissance, massa les cotes maltraitées de ces membres adorés. Il pianotait, réclamait les soupirs des images disparues par le châtiment de gants de cuir qu’elle observait singulièrement devant son minois ébahis par cette poussière de tissus qu’elle balança contre le mur. « Tu n’auras plus besoin de ça ni de cacher ton talent maintenant. Tu pourras accueillir Orphée par sa lyre pénétrante demain. ». De la chaise édulcorée elle s’assit, garde malade stoïque.             


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La perdition du rêveur. Il côtoie quelques chimères du bout des doigts, souhaite emporter cette figure pâle entre ses bras, d’un petit corps qu’il tient contre le sien, d’une prise ferme, de la peur soudaine qu’elle se délite et redevienne cendres. C’est ce qu’elle est à présent, un petit tas d’os, méconnaissable, cadavre pourrissant dans la terre. Sa belle Moira. La jumelle adorée, chérie et aimée, mais aussi perdue et délaissée. Le fou confond les souvenirs, de quelques rêveries qu’il voudrait réelles. Le sourire se faufile sur les lèvres à la présence d’une main sur sa joue, de la peau meurtrie elle-aussi, d’une blessure qu’il voile par des sortilèges et autres fantaisies. Il est en miettes l’homme, le vaillant soldat, d’une horloge, mécanique rouillée qui s’est fracturée. Plus de tic-tac à l’intérieur, pas un son. C’est le silence des émotions. « Tu n’es plus là. Il me reste des souvenirs, des échos, parfois les livres de la bibliothèque tombent et je crois que c’est toi, mais c’est faux, n’est-ce pas ? » Impériale bibliothèque, d’une pièce dans laquelle parfois il s’endort, apaisé par l’étouffement du bruit, de ces ouvrages aimés. Il se souvient encore de la chute de quelques livres, de leur titre aussi. Les fantômes ne sont pas imaginaires, des âmes prisonnières et en parfait égoïste, il songe à Moira, à la capture. Augustus s’invente des histoires, c’est nécessaire pour survivre. La solitude n’est qu’une prétention.

De la baguette dans la main étrangère, il n’en dit pas un mot, pas une tempête, ni un souffle. Il appréhende. Se demande pourquoi elle a besoin de ça. Personne n’a le droit d’y toucher, c’est un prolongement de lui-même, la certitude, le pouvoir aussi. Sans baguette, il meurt, capitule. Les liens naissent à ses poignets, d’autant de serpents qu’il voit sifflotant à son désespoir. Il se débat l’emprisonné, cherche à rompre la magie, des cordes qui maintiennent toute volonté. C’est la peur à présent, le tremblement des membres, il se souvient d’une cellule, de la mort. Les liens chauffés à blanc se serrent à ses poignets, rognent la peau. Cliquetis des os. Le dément hurle des paroles, de langues perdues, les mots s’entremêlent dans sa gorge, il se débat, refuse un second enfermement. Il se déchaîne contre la liberté volée. « Libère-moi ! Moira… Libère-moi immédiatement ! » Supplications, la voix s’éteint, se perd. C’est douloureux. Les cordages sont intacts malgré la furie de ses attaques. Il supplie le monstre, terreur au regard, de quelques torrents encore masqués dans les ambres. Pourquoi, qu’est-ce que tu veux ? Je ne savais pas… je suis désolé. J’aurais du être là. Pardonne-moi. Le tambour battant du cœur se calme doucement, mais reprend aussitôt sa course folle. « Ne les enlève pas, tu ne sais pas… N’y touche pas » Les paroles se perdent. Le cuir s’arrache aux mains, de ces doigts arachnéens qu’il cache depuis des années, des membres devenus inutiles, ignobles. Ils ont bien fait leur job les aurors. Sales rats ! Augustus n’accorde pas un regard, tourne la tête, vaincu par ce qu’il sait déjà. « Je ne joue plus » Pianiste déchu. « Tu ne peux pas réparer, c’est brisé. On ne soigne pas les mains, même la magie, tu vois, des mains de pantins désarticulés » Reprendre les gants, remettre le voile, mais ils ne sont plus là, jetés au feu, abandonnés. Un nouvel essai pour se défaire des liens. « Pourquoi revenir maintenant ? » Après les années d’abandon. J’ai besoin de toi, tu sais, je n'y arrive pas. Ce n’est pas la sœur, ce n’est pas un fantôme, mais la Jolie Mort. Il est encore piégé dans l’irréel. Les paumes s’ouvrent, acceptent le sort.
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