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sujet; † you'll know what power is when we are done † |
| Bash Amiri Nag Van der Merwe feat daje barbour • peach'
| ◄ | • nom complet ; Bash un prénom d'origine Haïtienne, comme la moitié de ton père. On dit que les Bash sont des précurseurs, de ceux qui changent leur monde en tout ou en partie. Amiri ne change pas d'origine, signifiant prince, le petit prince de ton père, seul et unique fils, qui sauvera son nom, à son plus grand bonheur. Nag signifie nocturne. Un prénom qui te vas finalement bien mieux que les autres. Il est rare que tu vois les rayons du soleil, tu préfères de loin le feu qui brûle ses maisons de riches mangemort tuant pour leur fortune. Vendetta. • surnom(s) ; Il est très rare qu'on te surnomme, pour raison que ton prénom est déjà excessivement court. Ta mère te surnommait Baba quand tu étais jeune, ce qui a poussé ton père à également te surnommer Ali pour entrer dans la blague de ta mère. Ils te surnomment parfois encore ainsi. Quelques personnes à qui tu as rendus service s'amusent à te surnommer « the bid bad voodoo daddy ». Si ça les amuses, tant mieux. • naissance ;Tu es né en 1978, un 31 octobre exactement. Tard le soir, ou en fait, tôt le matin. Il était trois heures et il ne faisait pas encore clair. Lorsque enfin le soleil se levait pour éclairer ce magnifique matin orangé, tu dormais déjà, pour une partie de la journée. Ton horloge biologique ne semble pas avoir quitté ce mode de vie depuis. À Poudlard c'était même très difficile les cours le matin. • ascendance ; Tu es de sang pur, même si tes parents se sont mariés par amour, un amour qui n'était pas nécessairement approuvé par les deux familles étant donné leur dix ans de différence. Pourtant, ils ont su se faire conciliant, mélangeant toutes les origines baignant dans leur sang pour en faire un mariage mémorable. Tu ne sais pas si ton sang restera pur par tes enfants. Tu as bien cru épouser une née-moldue à un moment, mais les mangemorts te l'ont enlevée. • camp ; Tu fais partie des insurgés, même si c'est de façon partielle. Tu n'es pas de ceux qui sont recherchés. Tu es des sorciers normaux, qui vivent chez-eux, mais à chaque missions, ton miroir se remet en vie et tu accours auprès des tiens. Même s'il t'arrives parfois d'aider des mangemorts avec des sorts, ce n'est que pour leur argent, avec lequel tu pourras aider d'avantage les insurgés. Brave petit. • métier ; Tu bosses à ton compte en tant que Marabout, écrivain, peintre, artiste à tes heures perdues. C'est sans parler de ton talent pour la musique, de ta voix grave qui charme lorsque tu fais quelques spectacle, sans pour autant avoir l'espoir ni l'envie de devenir une grande célébrité. Tu préfères rester discret, inconnu. Jouer ton piano avec des lunettes fumées, qu'on ne reconnaisse pas tes yeux verts, qu'on ne t'épie pas et ne t'empêches pas de vivre ta vie de bohème comme celle d'insurgé. • réputation ; On dit que tu es étrange, bizarre, flippant. On t'as souvent rejeté plutôt que de tenter de te comprendre. Tu es connu pour être calme, pour ne jamais avoir trop élevé la voix de ta traître vie. Tu es reconnu comme celui parlant doucement et sans éclats. Celui qui, parfois, dit des trucs qui ne font pas trop de sens. Pourtant tout est clair pour toi, ils n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. • état civil ; Célibataire, même si ça dévore lentement ton père qui te voit grandir, qui veut te voir avoir des gosses, peu importe le sang de l'élue. Il n'est certainement pas de ceux qui t'imposeraient une fiancée pure. Ton coeur vole ici et là pourtant, sans vraiment se poser, sans trouver quelque chose de comparable à ce que tu a pu vivre avant, quelque chose de partagé, d'intense. Tu veux de ses amours qui rendent plus grand que nature, qui dévorent tout entier, qui ne laissent rien que des cendres et des éclats de vie. • rang social ; Vous êtes des prolétaires. Tes parents de ceux qui doivent se lever tôt pour vous nourrir tous, même si à trois, vous y arriver très bien, même à vous payer quelques luxes. Pourtant. pas un rebut à prix coûteux, même si certains on étés vendus à prix très faibles. Heureusement, tu gagne assez bien ta vie, au plus grand étonnement de tous. Quelques riches élitistes sont venus te voir pour des services et on dut payer le gros prix. Ils étaient apparemment satisfaits étant donné que depuis peu, des gens cognent à ta porte en demandant à voir the big bad vodoo daddy. Que ce soit pour le spectacle d'un rituel vaudou ou pour un besoin pressant d'aide, tu t'en fiches. Tu réalises les rêves à prix exorbitants, jouant avec des forces plus grandes que toi. • particularité(s) ; Nécromancien charlatan. Parce que t'avais besoin de fric, mais que tu ne savais aucunement comment ramener les morts. Tu te disais que tromper les gens n'était pas si grave, pour ta propre survie. Pourtant tu a belle et bien un don pour entrer en communication avec les esprits que tu classes selon trois catégories. Il y a les esprits errants, qui mendiant pour ton aide souvent avec de vision d'horreur qui te poussent à faire exactement ce qu'ils veulent pour que justice soit fait. Il y a ensuite les âmes en paix, celle qui ont laissé leur vie passé derrière elle, qui sont bien, qui sont ailleurs et qui sont très furieuse quand un proche te demandes de les ramener. Il y a ensuite ses esprits qui n'ont jamais été humains, des entités, souvent sombre, lourdes, dévorantes. Ton don n'est pas sans risques, les esprits peuvent t'atteindre aussi bien mentalement que physiquement et se présentent rarement à toi sous leur forme la plus pure. Elles sont souvent des allégories de ce qu'elles veulent dire, des monstres ou pire. • patronus ; Ton âme s'est assombrie avec les années, avec les horreurs faites, même si elles sont contre des mangemorts et des gens qui les appuient, ou pire, reste là sans rien faire. Pourtant tu arrives toujours à former ce corbeau argenté aux ailes plus longues et plus grandes que la normale. Il sait voler et porter les messages que tu ne peux envoyer par miroir ou hiboux. • épouvantard ; Autrefois, à Poudlard, elle prenait la forme d'un monstre, toi, enlaidis, déformé, rejeté. Tu avais peur de ce qui pesait déjà sur tes épaules, la crainte qu'on entretenait à ton égard. Il y a longtemps que tu n'as pas affronté d'épouvantard, mais tu sais pertinemment quel forme il prendrait. Un mangemort. Un mangemort qui tenterait de te tuer. Oh tu n'as pas peur d'eux, tu n'as pas peur de mourir non plus, mais mourir par la main d'un mangemort, c'est la pire insulte possible. Surtout si tu ne l'entraîne pas avec toi. Tu veux mourir en héro, en kamikaze. • risèd ; La vengeance. Retrouver celui qui a tué celle que tu aimais. Lui faire payer le crime par sa souffrance. Le tuer et le vider de son sang, garder ce sang, le sang de l'ennemi pour l'utiliser contre les siens. Puis, voir revivre celle que tu aimais. Que ses cendres se dressent et forment de nouveau ses traits. Qu'elle revive, son corps se réanimant, retrouvant ses couleurs, cette précieuse teinte sombre qui éclairait tes nuits. • animaux ; Tu possèdes un corbeau, celui qui remplace ton hiboux, trop clair et trop voyant. Ton corbeau se glisse le jour comme la nuit et se fait difficilement repéré, même les sorciers ne comprennent pas trop lorsqu'ils voient un corbeau leur tourner autour comme s'ils étaient des charniers. Tu possèdes également une chatte noire aux yeux verts, mais elle reste chez-vous en tout temps. • baguette ; Fait d'un bois de Cyprès te promettant la mort héroïque qui est celle que tu veux, que tu attend, pour être certain de partir vers la mort et de ne pas revenir avec des problèmes irrésolus te retenant. Elle possède en son ventre un crin de sombral. Ce crin noir que tu verrais désormais si tu la brisais, mais tu ne ferais jamais une chose pareille. Elle mesure 27 centimètre et est adapté pour les sorciers gaucher, comme toi, avec la prise beaucoup plus facile et solide de cette main que de l'autre. Elle est relativement souple et d'un couleur pâle jurant avec ta peau, même si la baguette d'Ébène avait démontré une affection particulière pour toi. • miroir à double sens; Ton miroir est un triangle qui a été cassé en deux, ne te laissant que la moitié que celui-ci alors qu'une autre personne chez les belliqueux possède le jumeau du tien. La lumière qui ressort de ton miroir est le jaune, ce qui fait agrémente les doutes de certains face à une future trahison venant de ta part. Surtout que tu es toujours prêt à faire un bon coup d'argent, même si la plupart du temps, c'est pour eux, leur venir en aide, à eux, à ceux qu'elle aimait, comme elle t'aimait toi. .
• WIZARD • Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Contre la dictature du sang, un seul choix est possible, faire couler ce sang. Sang pour sang. Elle avait réussis à t'élever à te faire rêver à cette utopie où tous les sangs seraient égaux, tous les sorciers, peu importe leur race, couleur de peau, origines, dons, sexe. Tu y a cru, tu te battais à ses côtés, fier, amoureux, convaincu. Tu pouvais sentir la victoire dorée au bout de vos doigts, dans vos coeurs gorgée d'amour pour le monde, l'univers, la vie et la mort. Vous alliez délivré les rebuts, renverser la vapeur, tuer le magister et ses chiens à trois têtes. Laisser le monde sorcier être entier, mixte, magnifique. Malgré les années qui coulaient plus vite que les courants du bayou, vous étiez convaincu que la fin approchait. Que votre prochain gros coup serait le bon, celui qui, fatal, percerait sa poitrine vide. Pourtant l'un de ses serpents est venu mordre et t'arracher celle qui te donnait foie en cette guerre. Tu te bas, encore, toujours, pour toujours. Ta façon de porter ta baguette n'est pourtant plus la même, ni même de te battre. Ton regard, comme ta voix, sont encore calmes, mais tu attaques sauvagement, cruellement, sadiquement. Tu n'es pas mieux que ses mangemorts, tu veux du sang, t'en couvrir, en faire couler sur toi, en boire dans une dionysie où le vin serait ce sang que tu renverse sur le sol et les autres combattants, ivres de victoire. ► Infos en vrac : Doué pour régler les conflits étant donné son ton toujours calme et profond, sa voix lente expliquant les choses tranquillement, comme si vous aviez tout le temps du monde. • C'est un smoothtalker, du genre de gosse qui se fait arrêter par la police magique pour ses aller et venues louches et qui finis par avoir les policier l'aidant à chercher à travers les boutiques pour trouver exactement ce qu'il veut. Laissant les policiers heureux, même s'il se sentent un peu con. Du genre de mec que vous croyez facilement, autant quand il vous dit qu'il est l'une des plus belles créature qu'il a croisé de sa vie que quand il vous explique suavement comment il se débarrassera de votre corps. Beautiful melodies telling you terrible things. • Il n'a jamais été de ceux qui jouait au Quidditch. Pourtant, il possède une passion pour la course qui le rend plus rapide que la moyenne sur ses longues jambes fines. Ne vous bernez en croyant que vous pouvez la battre. Lorsque les insurgés courent pour leur vie, il est celui devant. C'est d'ailleurs ce qui fait qu'il ne s'est jamais fait prendre. Mince, sombre et rapide, il se glisse partout comme une ombre. Il aime courir, il préfère courir que marcher, sauter, grimper aussi. Il a développé un certain talent pour les escalades que ce soit de maisons, clôtures ou pire. Il s'amusait souvent à sauter d'un escalier à l'autre à Poudlard, se blessant quelques fois, s'amusant surtout à vouloir voir le monde de là où personne ne l'avait regardé avant lui. Le vide l'as toujours impressionné, morbidement attiré. • Sa matière préféré à Poudlard était la divination, même si parfois il avait beaucoup de mal à obtenir de bonnes notes, ce n'était pas faute de le vouloir. Déchiffrer les signes l'animait, l’obsédait. Ses symboles, ses métaphores, ses présages renfermant toute la puissance du monde. Que peut-on contre les dieux et ce qu'il nous réserve ? • Bash a l'habitude d'ensorceler doucement tout le monde avec sa voix attirante, son aura calme et rassurante, mais tout le monde ne réagis pourtant pas de la même façon. Il a cette habitude de créer des contacts visuels avec n'importe quel hère croissant son chemin. Il fixe les gens, dans les yeux, comme pour sonder leurs âmes en quelque minutes. Comme s'il pouvait y arriver. Il ne détourne pas son regard avant que l'autre soit hors de sa vue. Il pourrait fixer la même personne, devant lui, dans les yeux, pour dix bonnes minutes sans rien dire. Certains trouve cela flippant, évite son regard verdoyant et l'évite lui. • Il est de ses gens déterminés qui ne lâchent pas le morceau tant qu'ils ne l'ont pas. Il est pourtant très patient et si on lui demande d'attendre, il le fera la temps qu'il faudra. • Il aime sa viande bien cuite. • Il est parfois un être très sombre et n'as pas peur de cette part d'ombre qui réside en lui. Il sait qu'il est capable de faire des choses complètement immorales, que ce soit pour ses convictions ou pour l'argent. Il a un sens moral que peu arrivent à comprendre. Mentir et tuer est tout à faire raisonnable pour lui en certaine conditions. La corruption l'est également, lorsque c'est pour le plus grand bien. Heureusement que ce petit n'est pas votre ministre de la magie. • Il est très fier de sa couleur de peau, de ses origines diverses allant de l'haïtien, en passant par l'égyptien, une grec se glissant également quelque part dans son sang et le rendant mythomaniaque. En effet, tous ses cultes autour de lui l'habitent parfaitement. Il croit en plus de dieux qu'il ne sait en nommer, touche à toute sort de magie. À quel religion il adhère ? Probablement à toutes, toutes ses religions touchant de près la magie, toutes ses croyances moldues qu'on a laissées de côté, les croyant dépourvues de potentiel. Il les sait pourtant puissantes, brutes, titanesques et il ne s'en cache pas. • Son ami Aliss l'a récemment tatoué sur les bras. Des mots, des mots qui font tant de sens pour lui. « Death's certain, we're not. ». Il y a également l'année de naissance de naissance et mort de sa douce Viridiana. Puis celle de son grand-père et également son prénom sur l'autre bras : Daje. • On dit qu'il fait de la création compulsive depuis la mort de sa meilleure amie, que c'est la raison pourquoi il ne sort plus de chez-lui. On dit aussi qu'il a monté un autel en son honneur comme le font les mexicains el dia de los muertes. • Si son ancienne amoureuse prenait les traits d'une femme, Bash n'as pourtant pas de préférence entre les deux sexes. Il est l'un de ses exubérant n'ayant pas peur d'être marginal. But call him a fag and he'll steal your fiance. Because he can't me tame, reduce to something less than what he is. He won't sugarcoat his skin for you. You better take him black, take him whole. He doesn't white wash his coffee, he drinks it pure, black. Honey black coffee. Nothing compares to you • pseudo & âge ;acidwolf/alexe, toujours vingt et une piges jusqu'au prochain printemps. • comment as-tu trouvé le forum ? Jazsmin m'avais forcé à venir. • ton avis, tes suggestions ; Rien de nouveau, mais quand même le vaudou, j'ai craqué, tsssk. Vous savez comment m'avoir. :siffle: • connexion ;Tous les jours • quelque chose à ajouter ? Mes bébés d'amour. • coup de main pour le bottin ;2. Si ton personnage est un inventé ; ▋ ▋ DAJE BARBOUR ; bash a. van der merwe - Code:
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▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u208">▋</a> <pris>DAJE BARBOUR ;</pris> bash a. van der merwe
Dernière édition par Bash A. Van Der Merwe le Ven 21 Nov 2014 - 5:35, édité 14 fois |
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| ☬the sun inside of him could set the kingdom ablaze; he knows this, he does. ☬
☥ to forgive my mother for never teaching me to love myself. to never again say my name like an apology. ☥ Elle ne t'aimais pas bien avant que tu sois né. Ce soir d'Halloween, cette nuit d'horreur pour elle. Son ventre tremblait, menaçait de s'ouvrir en deux et ce n'était même pas pour la fille qu'elle voulait. Ce bébé était le premier et le dernier qu'elle aurait, toi. Les dix-ans la séparant de son maris se trouvaient punis, comme les oracles l'avaient prédis. Un seul enfant naîtrait de leur union. Un seul et unique, un enfant différent, qu'on attendait, qu'elle redoutait pourtant. Et toi, tu n'avais rien demandé pour être craint ainsi de ta mère. Tu naissais, poupon adorable aux yeux d'un brun clair, verdoyant, adorable, charmeur dès les premiers regard, les premières risettes. Elle s'était presque laissée charmée pendant un moment, mais son blues revient très vite. Tu l'épuisais, elle ne se sentait pas lier à toi, elle engagea même une nounou plus rapidement que convenu, pour qu'elle retourne au boulot. Heureusement, tu avais des grands-parents en or qui te gâtais comme un roi. Ton grand-père maternel, surtout, Daje Shacklebolt. Il s'occupait de toi, te traînait partout, te faisais découvrir le monde et surtout, n'avais pas peur de tes crises. Tu compris plus tard qu'il avait probablement les mêmes donc que toi. Tu aimais être avec lui, parce qu'aucun monstres ne venaient te déranger, tu étais en sécurité. Pourtant, alors que tu grandissais, il perdait de la vigueur et bientôt, c'est toi qui devait lui rendre visite chez-lui après qu'il se soit malencontreusement cassé une cheville. Les choses empiraient pour toi, les monstres, les esprits, les cauchemars, les chorales dans ta tête. Tu pensais devenir fou alors que tu atteignais tes dix ans, que tes parents étaient à choisir si l'an prochain tu irais à Poudlard ou à Sainte-Magouste, en santé mentale sorcière. Ton grand-père, du fond de son fauteuil conseilla pourtant d'inviter chez-vous une femme bien spéciale. Viridiana. Une sorcière vaudou aux origines aussi mexicaines que malienne. Elle devait venir t'offrir un rituel de purification pour chasser les monstres qui grugeaient ta vie. Pourtant, il n'en fut rien. Quelques instants après ta rencontre avec elle, la sorcière avait déjà lui en toi, sentant toute la puissance se dégageant de ton être à force d'être entouré de tous ses esprits, bon comme mauvais. « Votre fils n'est pas possédé Mrs Shacklebolt, il a seulement la faculté de communiquer avec le monde des morts. » Tu souriais doucement, guéris. S'aurait dû tout régler, mais ce n'était pas le cas. Ta mère n'avait pas l'air moins terrifiée. Elle tournait au vert et tu savais que c'était de ta faute. Tu ne t'en haïssais qu'un peu plus fort alors qu'elle devait quitter, se retirer dans sa chambre. Tu étais convaincu que tu ne valais rien si ta propre génitrice n'arrivait pas à éprouver autre chose que de la peur envers toi. Tu t'éloignais d'elle au profit de cette sorcière qui te trouvait si unique, son vaudou t'intriguant, t'attirant. Tu passa le rester de l'année à coller chez-elle, ce fût même elle qui t'accompagnais jusqu'au train, avec ton père, ta mère était malade. Tu lui écrivais comme un dingue, lui racontant tout de tes aventures. Elle t'envoyait des cadeaux et tu exigeais de la voir dans toutes les vacances qui t'étaient réservés. Elle venait dans ta famille aussi bien à Noël que pendant les vacances d'été. Tes parents était tout à fait d'accord, ta mère en était même soulagée. Ton père disait qu'elle te faisait beaucoup de bien, qu'elle te changeait pour le mieux. Toi seul pourtant savais qu'elle t'apprenait à t'aimer, t'aidait à pardonner à ta mère pour son coeur brisé par cette fille qu'elle n'aurait jamais. Pour compenser, un jour, tu aurais une fille et elle pourrait la bercer dans ses bras, lui donner tout cet amour qu'elle t'avait dédaigné. Elle t'aidait à être en paix avec tout cela, bien avant que tu ne le comprenne.
☥monsters aren’t born, darling. they’re created, they’re cultivated, sewn together with horror and cruelty with fragments of love still trapped inside. ☥ Poudlard s'était échappé en un souffle. Bien avant que les ombres d'un nouveau gouvernement en arrivent à briller sur vos vies, basculant tout à Poudlard par la même occasion. Dix-sept ans, la majorité sorcière et ta vie comme une partie d'échec qui venait de commencer devant toi. Ton père t'avais dit qu'il fallait te trouver un boulot dans un café ou un truc du genre pour l'été, puis il tenterait de te faire entrer dans son département. Tu avais accepté, mais ce ne fût pas du tout fructueux. Tu bossais à Pré-Au-Lard dans une auberge, mais on te renvoyait rapidement car tu faisais fuir les clients, toi, ça t'amusais. Tu obtenus un autre boulot dans une librairie, mais le perdais rapidement après que le propriétaire t'ai surpris dans des embrassades avec son fils, quelque peu plus jeune que toi, après que vous ayez fermé boutique ensemble. Tes parents étaient découragés de la vie que tu menais, de celle que tu voulais entretenir. Leurs jambes tremblaient alors qu'il te parlait de tes projets d'avenir et que tu leurs répondait : « Je veux être un artiste. » Leurs regards devenaient exorbités, ceux de ta mère larmoyant. Avaient-ils entendu ce qu tu venais de dire ? Oh que non. Ils ne comprenaient pas les mots de cette façon. Lorsque tu leur disais que tu voulais être un artiste ils comprenaient : « Je veux être un bohémien, un voleur, un mendiant, une tapette, un damné, une honte, un pauvre, un sans domicile fixe, un créateur des bâtards noirs aux quatre coin de la ville, un drogué qui finira par se faire assassiné. » Léger problème de communication. Ils refusaient, te disait que ce n'était pas réaliste. Ils te lançaient donc un ultimatum : tu devais te trouver un boulot avant la fin de l'été, contribuer à ramener du pain sur la table de votre maison. « Où sinon quoi ? » Questionnais-tu, de ton timbre toujours aussi calme, la provocation ne se faisant ressentir par ses mots que tu disais. Ils étaient pourtant rageurs, te trouvais impertinent, raccourcissaient même le délais et menaçaient de te jeter de la maison si tu ne trouvais pas ce que tu allais foutre de ta vie, après avoir refusé un poste de secrétaire pour ton père au ministère. « Il y aura toujours Viri pour me récupérer chez-elle. » Répliquais-tu alors pesant chacun de tes mots, c'était une certitude, elle ne te laisserait pas dans la rue. « Elle nous a fait promettre de nous appuyer, c'est pour ton bien Ali... » Piégé, tu n'avais pas le choix. Tu avais doucement hoché de la tête, puis tu avais tourné les talons, partant t'aérer les idées, te calmer malgré ton air impassible. La porte claquait derrière toi alors que tu t'enfonçais dans la nuit fraîche de l'été. Tu cherchais quoi foutre de ta peau, en quoi tu étais doué et qui n'avait aucuns rapport avec la vie d'artiste. Tu pensais à ton corps de jeune apollon, mais tu doutais férocement que devenir danseur exotique était une bonne option pour toi. La prostitution n'en était pas une non plus. Une ombre apparaissant devant toi te coupait le souffle, te faisait doucement paniqué et brusquait ta songerie. « Vas t'en. » Mais elle n'obéissait pas, elle te suivait, te poussait, t'entraînait jusqu'au cimetière de Godric's Hollow. Devant une pierre tombale qui avait été ravagée. L'âme hurlait justice, mais tu ne savais quoi faire. Devais-tu réellement retrouver les coupables pour que l'esprit te fiche la paix ? Des pleurs venaient pourtant troubler ta prise de conscience. Une vieille dame devant une tombe, pleurait. Tu regardais l’entité tournant autour de la sépulture et l'idée te vient enfin. Tu t'approchais de la pauvre vieille à pas feutrés, t'accroupissant doucement à ses côtés, pour qu'elle te voit, qu'elle évite la crise de panique. Tu ne souhaitais pas commencer une carrière de meurtrier en série. Tu posais une main rassurante sur son épaule alors qu'elle te fixait de ses iris noirs. « C'est normal... Je sais ce que sais de perdre un être aimé. » Tu ne savais pas. Tu n'en avais pas la moindre idée. Tu avais été gâté par la vie jusqu'ici. Depuis dix-sept ans, aucun oncle, tante, grand-parent ou cousins n'étaient mort dans ta famille. Les seuls morts que tu connaissais c'était ceux qui venaient te hanter. Ça ne t'empêchais pas de continuer ta mascarade. « Je sais qu'on ferait n'importe quoi pour les retrouver... » Encore en larmes, elle hochait positivement de la tête, d'accord avec la mélodie que tu soufflais doucement à ses oreilles. Pleurnichant maintenant contre ton épaule dans cet effet de familiarité que tu faisais aux gens, cette confiance vite gagnée, souvent à tord. « Je peux vous aider... » Ses yeux brillaient, tu te relevais et elle se relevait également. Tu étais ce charmeur de serpent qui l'attirait doucement jusqu'à chez-toi. Vous passiez directement par le sous-sol, ramenant la vieille dans ton antre. Les bougies s'allumant d'un coup de baguette sur l'endroit glauque où tu tassais déjà les chaises, prenant un pot de sel, quelques bougies pour faire un cercle de sel, des bougies blanches que tu faisais voleter autour de vous alors que tu entraînais la vieille à qui tu avais fait croire qu tu étais nécromancien. Tu lui avais dit que son mari se relèverait de sa tombe et viendrait l'embrasser, la serrer dans ses bras. Elle te donna un objet qui lui appartenait et tu commençais tes incantations, te doutant que cela ne fonctionnerait. Tu t'excuserais, lui disant que vous pourrez recommencer dans une séance gratuite, mais elle te payerait celle-ci. Pourtant, un grognement se fit entendre dans la pièce avant que tu ne sois renvoyé vers l'arrière, laissant la pauvre femme dans le milieu du cercle. L'esprit s'emportant contre toi soufflant sur les bougies, il griffait ton torse, le laissant saignant alors que tes cris de douleur appelaient ceux de la femme. Quelque chose d'étrange se passait à cet instant. L'esprit se retrouva soudainement dans des teintes de gris, coulant doucement vers sa vieille femme. Tu ne comprenais même pas ce qu'il lui disait, lui prenant le visage et les mains de son corps fantomatique. Puis il disparaissait. Tu rallumais les bougies, t'excusant à la pauvre vieille qui semblait soudainement très apaisée. Elle te remercia infiniment et t'embrassa et te laissa 100 galions tout rond. Toi qui n'avais jamais posséder autant d'argent. Tu étais aux anges. Rapidement, d'autres gens venaient frapper à ta porte. Doucement, tu proposais également tes services de Marabout. Au bout d'un mois tu avais ramassé plus de 500 galions, assez pour faire taire tes parents qui n'avaient plus d'autre choix que d'accepter la carrière que tu t'étais choisie et qui, il fallait l'avouer, tu réussissais plutôt bien.
☥ call it what you will: eternal damnation, a curse from the gods, but you are going to fall in love and it will feel like being split open with the dullest of knives, jagged and cruel. ☥ Ses longs cheveux noirs semblaient briller d'argent au reflet dorés des bougies emplissant la pièce. Une autre soirée, une nuit que tu voulais éternelle. Tu avais mal grandis, Bash, grandis avec des idées que tu n'aurais jamais dû avoir. Pas face à elle. Tu n'avais pas le droit. C'était mal, punissable, et pourtant. Le rituel commençaient alors qu'elle caressait doucement ce tambour qu'elle tenait sous son bras. Sa voix profonde aux accents aussi mexicains que sénégalais s'élevaient dans la nuit en chansons qui tournoyaient autour de toi en t'enveloppait d'émerveillement. Tu n'arrivais pourtant pas à fermer tes yeux, les détourner d'elle, cesser de sourire comme un con. Tes épaules bougeaient déjà toute seule au rythme des coups. Déjà, elle te tendait sa main pour que tu viennes la rejoindre. Tes pas dansant jusqu'à elle, plus près, jamais trop près de son corps qui ondulait plus lascif que le tien. Tu attrapais l'une de ses mains, elle déposait son tambour, laissant le vinyl créer la seule ambiance dont vous aviez besoin. Même les jours de pluie, son sourire était brillant comme l'été, son corps chaud comme vos terres d'origines. Vous balançant au rythme des vibrations, de Cuba jusqu'au fond de l'Afrique. Pour enlever le poids de sur vos épaules, enrouler vos coeur dans de la soie et vous les échanger. Tu prendrais soin du sien, elle du tien. Elle te laissais faire de sa maison la tienne, prenant son espace vital pour la faire tienne sans te demander de t'en excuser et c'était exactement ce que tu attendais depuis toutes ses années. Quelqu'un qui ne te traitait pas comme une bête exotique, tout en tentant de te consoler sur le fait que « tu n'étais pas si noir. » Comme si la couleur sur ta peau était de la saleté, une maladie, un poids plutôt que la fierté et l'amour qu'elle insufflait en toi alors que tes mains chocolatées caressaient tendrement les siennes. Son sourire resterait pour toujours dans tes rêves, aussi doux que du melon miel sous le soleil d'un après-midi brûlant. Elle avait des diamants tombant de ses lèvres à chaque mots s'y perdant, ses lèvres si près des tiennes. Ne réalisait-elle donc pas qu'il y avait des bijoux, même dans ce qu'elle faisait par accident, que tout ce qu'elle touchait se transformait en levé de soleil, qu'elle était fait du feu qui habitait en ses entrailles depuis sa naissance, que tu voulais t'y brûler comme un papillon de nuit aveuglé par tant de beauté rayonnante? ? Tes fines ailles disparaissant quand tu étais trop près de ton soleil, te rendant cette petite chose faible, mourante entre ses doigts, mourante du désir qui avait brûlé tes ailes, te rendant prisonnier d'elle. Tu redécouvrais avec elle ce que signifiait : être noir, avoir tout ce sang de princes égyptien en esclaves maliens en passant par les travailleurs de champ mexicain dansant avec leurs bottes. La musique coulant dans vos veines pour chasser votre malheur, encore aujourd'hui, vos os ne pouvaient cesser de danser jusqu'à retourner en cendre se mélangeant à celles de vos ancêtres. Tu redécouvrais ce que c'était de ne plus détester les femmes, ta propre mère. Viridiana t'apprenait que ce n'était pas toutes les femmes qui rêvaient de déchiré avec leurs ongles les cicatrices laissées par celles avant. Que tu avais des soeurs, qui pouvait t'aimer. Que dans le créole dans lequel ton père te parlais encore, tu avais une langue secrète et qu'en la parlant tes frères reviendraient vers toi, que tu ne serais plus jamais seul. Elle te faisait comprendre ce que c'était d'aimer sans peur et sans réserves. Sans que les autres ne jugent ta passion pour une femme en âge d'être ta propre mère. Tes mains glissaient affectueusement dans ses rivières de tresses couvrant sa tête. Tes lèvres généreuse retrouvait les siens, vos corps s'immobilisant, tes hanches continuant pourtant de danser pour retrouver les siennes. Tu reculais doucement pour découvrir son regard décontenancé. N'avait-elle donc rien compris de cette plante qui avait grandis en toi depuis toutes ses années à la côtoyer tous les jours, sans fautes ? « Bash, c'est mal. Il faut pas. Tes parents me font confiance et... » Tu es trop jeune ? Tu le sais, tu le sais et tu t'en fiches. Ton coeur brûle pour cette femme que tu veux faire tienne, malgré toutes les mauvaises langues qui claquerons rien que pour vous. Tu hoches doucement de la tête en signe d'accord, un doux sourire persistant à tes lèvres malgré ce rejet évident, la retenue qui tiens encore cette femme d'un harpon planté dans ses tripes. « Tu as raison, Viri, c'est une très mauvaise idée... » Lui concèdes-tu alors que pourtant tes lèvres s'approchent encore des siennes pour s'y frotter, obligeant vos souffles courts à lutter alors que ta langue s'avance doucement pour aller chercher la sienne qui se tend, se mélange à la toi dans le goût irrésistible de ce baiser unissant vos lèvres charnues, faisant déborder le filtre d'amour qui bouillonnait déjà dans ton ventre. Tes mains retrouvant doucement sa taille, remontant sa robe noire alors que tu la coinçais lentement entre le mur et ton corps. Ses lèvres te quittaient, son visage se détournant du tien te faisant offrande de son cou sous lequel son sang battait aussi sauvagement que le tien alors que tu embrassais la peau de sa gorge pour goûter aux huiles uniques de son épiderme. Tu voulais faire de son corps ton temple. Tu voulais y prier toute la nuit et tout le jour qui s'en suivrait. Venir t'y abreuver, t'y ressourcer, y guérir. Oublier jusqu'à ton nom. Tes mains remontant pour rencontrer ses hanches généreuses. « Il faut qu'on arrête... C'est... » Haletait-elle, sa phrase se brisant en un gémissement face au frisson que tes lèvres lui provoquait. Tu souriais, complice, contre sa chair. Fier. « Tu as raison, c'est horrible... Immoral. » Soufflais-tu contre sa peau pour lui provoquer d'autre frissons remontant le long de sa peau alors que vos rires éclataient à l'unisson. Tu avais enfin pris ta place dans son lit cette nuit là. Empiétant davantage sur ses terres inexplorés, t’imprégnant sur ses murs, dans sa vie. Respirant des prières autours de ses hanches comme si ses grains de beautés étaient les perles d'un chapelet invoquant vos dieux, sensuels et tendre, roulant vos langues sur des mots rauques qu'inspirait votre amour solaire. Tu l'as aimé comme un fou a qui on avait tranché la tête pour prouver qu'il n'en avait pas. Les jours après, rien ne s'améliorait. Elle te disait que c'était votre première erreur et la dernière. Si seulement. Elle ne comprenait pas qu'elle n'était pas qu'un béguin, qu'un amour de passage. La maladie dont elle t'avait atteint était bien plus grave, mortelle.
☥ we claw for sacrifice, for burning down our cities, these broken, evil things covered in the dust of our own corruption, painted with the guts of our brothers, all in the name of peace. ☥ Tout allait bien, tout brûlait dans des crépitements joyeux, à l'odeur alléchante du bois, un peu comme les oeufs le matin, ça donnait envie de vivre, plus fort, plus intensément, plus rapidement. Tu aurais pu la prendre entre les débris, entre les corps morts. Tu étais heureux de foutre le bordel comme pas possible. Elle était heureuse que tu sois heureux. Vous auriez du courir, mais tu prenais le temps de te laisser aller à quelque enfantillages, même si tu n'étais plus un adolescent. Tu la prenais par la taille malgré les flammes et tu l'embrassais, la collant à un mur encore intact, un mur de pierres. Ta langue allant rejoindre la sienne, tes lèvres formant un sourire contre les siennes. Jusqu'à ce qu'on sort éclate près de vous. Merde, ils étaient déjà là. Il fallait vous dépêchez. Elle commençait à courir et tu la suivais, même s'il aurait été plus sage de transplaner immédiatement, elle voulait trouver un endroit sur pour s'assurer que tout irait bien. Elle s'inquiétait toujours trop. Et pourtant, tu étais certainement celui qui s'inquiétait le plus alors que son corps se faisait renverser par un éclair, un éclair vert. Tu te jetais au sol également, faisant mine d'avoir été touché s'il le fallait. Ta main allait rejoindre la sienne, la secouant, tentant de la réveiller, qu'elle transplane avec toi. Non. Non. Tu refusais d'y croire. Tu refusais d'en faire le constat. Tu portais ta main à son cou et pourtant il n'y avait pas de pouls. Ton monde s’effondrait d'un coup, entraînant dans sa chute ton avenir, tes projets. Ça ne pouvait pas être vrai, c'était surement un mauvais rêve, il fallait qu'il y ait une solution. Tu ne pouvais pas l'accepter. Elle ne pouvait pas partir, pas sans toi, pas le jour de ton anniversaire. Tu pleurais, pleurais, refusant se constat. Tu voulais la serrer contre toi même si les mangemorts arrivaient derrière. Tu entendais sa voix dans ta tête. Tu l'entendais te dire de partir, de sauver ta peau, de la venger ensuite. Elle n'était plus qu'un fantôme, dans ta tête où les fils s'entremêlaient, éclataient face à toute cette peine. Elle était morte, elle était morte. Tu ne savais plus comment réagir, tu aurais voulu l'avoir avec toi, pour toi, même morte. Tu ne voulais pas la laisser seule aux milieux des cendres et pourtant, tu n'avais pas le choix. Tu embrassais une dernière fois ses lèvres vides, puis tu disparaissais en larmes. Des larmes qui coulent encore alors que le mois de novembre avait commencé. Tu ne t'en es pas remis, pas si facilement. Tu ne sais pas si ton coeur est encore utilisable. Tu ressens une peine que tu n'aurais jamais pu imaginer. Elle est constante, comme un étang d'eau noir qui te noie un peu plus chaque jour, tes doigts coulant de la bouée chaque fois que tu t'y accroches.
Dernière édition par Bash A. Van Der Merwe le Ven 21 Nov 2014 - 6:02, édité 12 fois |
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