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sujet; • If nothing we do matters, then all that matters is what we do. |
| Mallory Aubrey Williams feat Billie Piper • me,myself&I
| ◄ | • nom complet ; Mallory Aubrey Williams, le nom qui lui fut donné à son arrive à l’orphelinat. Mallory était le nom de la fondatrice de l’établissement, Aubrey celui d’une écrivaine sorcière célèbre pour ses livres pour enfants, Aubrey Teller. Williams est le nom donné à tous les enfants de parents inconnus arrivés dans l’établissement cette année-là. Elle accepte ce nom comme étant le sien, mais préfère tout de même se faire appeler par son surnom. • surnom(s) ; Mal, depuis son plus jeune âge. • naissance ; Date et lieu exact inconnus. Fin-octobre 1969 elle fut retrouvée âgée de quelques jours sur les marches de St-Mangouste • ascendance ; Inconnue, probablement de sang-mêlé • camp ; Elle soutient le magister. La marque brûle sa peau, le sceau du choix gravé dans sa chair. Elle aurait pu être une bonne personne, certainement. Il n’y avait pas de haine en elle, pas de choix idéologique réel, ils se sont retrouvés entrainés sans le vouloir. Elle a fait ce qu’il fallait pour survivre jusqu’à ce que la survie ne soit plus la question, jusqu’à ce que l’habitude prenne le dessus pour ne pas sombrer. Aujourd’hui il ne lui reste plus rien d’autre que ces croyances qu’elle s’est persuadée être siennes. • métier ; Inspecteur à la brigade de la police magique, elle agit pour les mangemorts en tant qu’effaceur et depuis peu de bourreau • réputation ; Elle est connue pour ses coups de sang et ses accès de violences soudains tout autant que pour son attitude désinvolte. Elle n’avait pas vraiment la réputation d’être cruelle jusqu’à il y a peu de temps, on la dit proche du fanatisme à présent. • état civil ; Célibataire • rang social ; Mangemort • patronus ; Elle est à présent incapable d’invoquer un patronus corporel, mais celui-ci prenait la forme d’une hirondelle. • épouvantard ; Auparavant, les épouvantards qu’elle avait pu rencontrer avait toujours pris la forme de Bryn lui hurlant qu’il ne voulait plus jamais la voir. Depuis que cette peur s’est réalisée, la forme de son épouvantard a changé et représente à présent Bryn, mort tué de sa main. • risèd ; Elle-même, entourées de gens aimant. • baguette ; Bois d’If et ventricule de dragon, 30,5 cm. Flexible.
• DEATH EATERS • Perso Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle :Au fil du temps, elle a appris à l’accepter. Elle a essayé de se battre, un temps. Aujourd’hui elle n’est qu’un rouage de cette machine infernale qui écrase tout sur son passage. Certaines personnes doivent se salir les mains pour assurer le bon fonctionnement de l’état, elle en fait partie. Elle essaie de croire aux valeurs qu’elle défend, qu’il n’y a pas d’autres choix, qu’elle travaille pour le bien de tous. Bien entendu, elle ne prétendrait pas que le système est juste ou égalitaire, mais c’est le système en place et il faut s’y plier. Elle est juste le marteau qui frappe sur l’enclume, qui exécute. Elle traque sans relâche les insurgés, tentant d’assurer une paix de façade, une unité à montrer au peuple. Elle combat les terroristes de l’insurrection, le sang par le sang. ► Infos en vrac : Elle a passé son enfance dans un orphelinat sorcier au Pays de Galles et n’a aucune idée de l’identité de ses parents • Elle est devenue officiellement Mangemort il y a un an de cela • Elle a très peu confiance en elle mais arrive très bien à la camoufler derrière une attitude à la limite de l’exubérance •A Poudlard, elle était à Gryffondor mais se demande encore à ce jours ce qui a bien pu pousser le Choixpeau à l’y envoyer • Elle a une vision déformée de son apparence et n’a jamais réussit à s’accepter ce qui a entrainée pendant son adolescence des troubles du comportement alimentaires qui ne sont encore pas totalement soignés à ce jour • Elle n’était pas une élève particulièrement brillante mais excellait en sortilèges • Elle a fait quelques petits boulots à sa sortie de Poudlard sans jamais vraiment se fixer avant son recrutement dans la milice • C’est une très bonne menteuse, elle a passé son enfance à s’inventer une vie fantaisiste et des aventures extraordinaire et pourrait faire croire n’importe quoi à n’importe qui • Malgré tout elle a une grosse tendance à la dramatisation et à l’exagération • Elle refuse de montrer une quelconque émotion, elle sourit sans cesse et ne dit rien, au grand damn de son entourage • Elle aime énormément chanter et est plutôt talentueuse mais elle n’y prends plus aucun plaisir depuis son engagement dans la milice • Elle n’a jamais véritablement été amoureuse et ne recherche pas l’amour, elle vécu des aventures mais jamais d’histoires sérieuses • Elle aime séduire cependant, pour se prouver qu’elle en est capable • Elle a une cicatrice sur la lèvre inférieure après être tombée d’un arbre à 7 ans • Elle lit beaucoup, cela lui permet de s’évader. Ses livres préférés sont les enquêtes de Sherlock Holmes, d'un auteur moldu • Elle a Elle s’est fait tatoué une fleur sur le poignet droit sans signification réelle, parce qu’elle trouvait cela joli. Son autre tatouage quant à lui est bien plus sordide, depuis que la marque a été apposée sur son bras, elle ne porte presque plus de manches courtes • Nothing compares to you • pseudo & âge ; 23 ans • comment as-tu trouvé le forum ? Bryn m’a tendu un piège. • ton avis, tes suggestions ; Rien à redire, les annexes sont très complètes ce fut un plaisir de les lire. • connexion ; Ca dépend du boulot que me donne mes études, mais sinon j’essayerai de passer tous les soirs.
Dernière édition par Mallory Williams le Dim 16 Nov 2014 - 23:29, édité 6 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• How many angels can dance ... •――――-――― Il y avait du rouge sur ses lèvres et du rose sur ses joues. Elle était presque jolie. De longs cheveux blonds dans une queue de cheval et un sourire trop grand pour son visage. Elle était semblable à une apparition, au milieu du chaos. Incongrue, comme arrivée là par le hasard des choses. Elle n’avait rien à faire ici, pourtant ses mains étaient maculées du même sang que les leurs, pourtant sur son avant-bras l’encre noire brillait sinistrement sur la peau blanche. Ce furent ses yeux qui la trahirent, pas de plaisir, pas de souffrance. Son sourire s’étiola, juste quelques secondes, un instant suspendu dans le néant. Peut-être avait-elle reconnu un visage familier, des traits enfouis dans sa mémoire avec le reste de ces choses sans importances. La baguette fendit l’air, un sort prononcé tout bas, comme les mots d’amour que l’on murmure à un amant. Sur le sol, les morts avaient les mêmes yeux que les siens. Il y avait cette sensation, dans le creux de son ventre, derrière ses paupières closes et sur le bout de sa langue Non, réalisa elle, ce n’était pas une sensation vraiment, mais l’absence de toute chose. Le vide, elle était vide de tout. Elle avait froid, mais rien ne semblait pouvoir la réchauffer. Pas l’eau bouillante qui laissait sa peau rougie ni le whisky pur feu qui lui piquait la gorge et lui donnait mal à la tête. Comme la chaleur des mois d’été, Bryn n’était plus qu’un souvenir venu l’hiver, un fantôme dansant dans la lumière de décembre qui saignaient entre les stores à moitié clos. Le froid était mordant, s’insinuant dans sa chair, gelant ses os et glaçant son cœur. Il aurait suffi d’un seul choc pour qu’elle se brise en million de petits morceaux d’elle-même, se rependant sur le sol comme un puzzle grossier. Elle inspira, vaguement consciente du monde autour d’elle, de l’incendie qui commençait à s’étendre. Les flammes montent haut dans le ciel comme pour toucher les étoiles. Le noir se teinte d’une douce couleur orangée comme un coucher de soleil sur la mer, les nuances du jour qui touche à sa fin. L’odeur est suffocante, doucereuse et sucrée comme un fruit trop mûr. Tout commence et tout finit toujours pas le feu. Elle-même était née une seconde fois dans un brasier, lui semblait-il. Consumée. Au-dessus d’elle, la marque des ténèbres se lève comme une lune absurde. Le silence revient bientôt, plus de larmes, plus de cris. Juste une cage thoracique vide et le goût du fer sur sa langue. Ils sont tombés, nombreux. Trop nombreux. ――――――-―• .. on the head of a pin ? •――――-――― Le sang sur ses mains, sur celles de Bryn, les cris, les pleurs et l’odeur de la chair qui se consume. La marque qui brille dans le ciel et illumine leurs visages. Ils étaient encore des enfants, rien que deux gosses paumés qui n’avaient aucune idée de ce qu’ils faisaient. Ils n’avaient pas eu le choix. Non bien sûr, ils n’avaient pas eu le choix. Ils étaient aussi bons que morts, s’ils n’avaient pas accepté. Non ce n’était pas leur faute. C’était celle des mangemorts, c’était celle du système. Et si elle avait apprécié ces moments, ce n’était pas à cause de la mort qu’ils semés derrière eux, c’était simplement qu’elle était avec lui. Ils n’étaient pas coupables, ils ne faisaient que suivre les ordres. C’est toujours la défense des bourreaux. Ils auraient pût être heureux, elle y avait pensé toutes ces fois où elle s’était demandé si elle n’était pas amoureuse de lui avant de décider que cela n’avait aucune importance. Il avait toujours été là pour elle. Juste lui et personne d’autre. Les filles lui disaient qu’elle avait de la chance, d’avoir quelqu’un comme lui. Elles étaient aussi soulagées qu’il ne la voie pas de cette façon, parce que c’est comme ça qu’elles auraient aimé que Bryn les aime. Réellement, avec tout l’amour et la dévotion dont il était capable. Elles voulaient toutes qu’il les aime plus, plus qu’il ne l’aimait lui. Mais Bryn, stupide Bryn, l’avait toujours fait passer avant les autres, avant lui-même. Il avait tué pour elle, il avait sacrifié son avenir pour elle, avait porté sur ses épaules la culpabilité des actes innommables qu’ils avaient commis ensemble. Pour la protéger. Il l’avait toujours aimée plus que les autres. Elle n’avait jamais aimé que lui. Lorsqu’il la prenait dans ses bras pour la consoler, lorsqu’ils chahutaient sur le sol jusqu’à ce qu’ils finissent à bout de souffle, il lui arrivait parfois de respirer son odeur. C’était stupide et elle le savait, mais Bryn sentait les embruns, le vent qui se lève sur la mer avant la tempête. Bryn avait toujours été aquatique, tranquille comme un horizon. Il l’enveloppait comme des eaux calmes, comme le silence lorsqu’elle immergeait la tête dans son bain. Il avait été pendant toutes les années qu’avait duré son répit la seule chose pourtant qui l’avait empêché de se noyer. À présent elle flottait. Dans les limbes nébuleux de son esprit, dans cet instant d’entre-deux, ces quelques instants qui précède l’éveil il lui arrivait parfois d’oublier et d’avoir soudainement conscience de son corps. Elle sentait son cœur dans sa poitrine, ses muscles douloureux et la migraine qui pulsait contre ses tempes. Elle chérissait ses instants, le répit qu’il lui apportait. Puis l’engourdissement revenait en même que la conscience. Elle ne sentait plus son corps, transparente, invisible, elle aurait si bien pu ne pas exister. Non peut-être n’aurait elle-même pas vu son reflet en se regardant dans un miroir. Évanescente. Cela avait été son but pendant si longtemps et à présent qu’elle y était arrivée, elle ne ressentait ni bonheur ni tristesse. Juste le vide qu’elle avait tant désiré. Tous ces repas prétendus pris, des maux inventés pour ne pas assister au banquet et des heures passées devant le miroir à contempler un corps qui ne lui semblait pas être le sien. Elle n’était pas malade. Peut-être que le reste n’aurait plus d’importance quand lorsqu’elle aurait le contrôle. Elle n’avait pas l’intelligence, elle n’avait pas la rigueur. Mais, même si la tête lui tournait parfois, même si son cœur s’emballait sans raison, elle avait le pouvoir. C’était plus qu’elle n’aurait jamais souhaité. Peut-être que Bryn n’aurait plus honte d’elle, si elle était juste un tout petit plus mince. Il n’y avait pas de nourriture dans ses placards, rien pour nourrir le monstre. Elle avait beau l’affamer, il revenait toujours plus fort. Trop lâche pour s’ouvrir les veines, trop faible pour en finir. Elle n’était même pas capable d’en crever.
Dernière édition par Mallory Williams le Lun 22 Déc 2014 - 1:34, édité 8 fois |
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| Vous ici, mais quelle coïncidence |
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| Tu joues si bien la surprise. |
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| Bienvenue chère homonyme ! Quel choix magistral de prénom, j'approuve entièrement ^^
J'espère te voir bientôt un rp ! |
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HERO • we saved the world June Winchester | BILLIIIIIIIE j'aime cette fille Bienvenuuue par ici jolie demoiselle Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à nous mp on est là pour t'aider bonne chance pour la suite de ta fiche et surtout amuse toi bien parmi nous ! |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9019
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Le prénom va tellement bien à l'avatar Bienvenue sur exci et bon courage pour ta fichette |
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| Oh la belle Billie. Tu vas faire un heureux, du coup. Bienvenue ici la belle, bon courage pour la paperasse administrative, je viendrai sûrement me frotter à tes basques pour un petit lien. |
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| BILLIE PIPER ! elle est tout simplement magnifique, pfff ! bienvenue parmi nous, très bon choix d'avatar ! bonne chance pour ta fichette ! |
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