sujet; La Valse aux adieux
MessageSujet: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:32

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Auguste Brodericka Moroz
feat Marine Vacth • Applestorm

• nom complet ; Auguste Brodericka Moroz, fille de feu Broderick Moroz. Ce dernier désirait un garçon à tout prix ...

• surnom(s) ; Gus, pour quelques uns mais ils se font de plus en plus rares.

• naissance ; au petit matin d'un trente-et-un décembre, à l'hôpital Sainte-Mangouste .

• ascendance ; sang-mêlée.

• camp ; A première vue, tu fais sans nul doute partie du gouvernement, tout va en ce sens, de ton poste au sacro-saint Département des Mystères, à ton statut de rachetée. En réalité, Auguste fait partie des Opportunistes, bons ou mauvais, l'Angleterre regorgent de ces énergumènes en tant de guerre. Mais ne croyez pas que la demoiselle soit sans foi ni loi, ni trop lâche. Elle attend son heure.    .

• métier ; Tout comme son père, elle est employée au département des Mystères en tant que Langue-de-plomb.

• réputation ; Les Moroz n'ont jamais eu très bonne réputation, encore moins depuis que leur sang est mêlé. Ajouté à cela une introversion héréditaire et vous obtenez des êtres étranges, abonnées au mutisme, aux mystères et à la solitude.  

• état civil ; poupée de son.

• rang social ; rachetée.  

• particularité(s) ; Aucune, si ce n'est qu'elle peut passer des journées entières sans qu'elle ne dise un mot.

• patronus ; un quokka, animal qui sourit autant que la demoiselle tire la gueule...

• épouvantard ; son père, sirotant un verre de whisky-pur-feu dans son fauteuil fétiche, sans un regard pour la gamine.

• risèd ; c'est assez simple, une jolie maison qui sent bon le pain d'épice, une jolie cheminée, avec un papa, une maman et des bambins qui jouent, rient, se chamaillent ... une famille normale.

• animaux ; il serait faux de dire qu'elle a adopté un chat, mais depuis qu'elle est a emménagé dans son appartement, un chat vient régulièrement lui rendre visite, se faufilant à l'intérieure. Elle laisse toujours un bol de lait et quelques croquettes à son intention.

• baguette ; taillée dans un bois de merisier, elle contient en son cœur un crin de sombral et mesure vingt-quatre centimètres tout rond. Bien que légèrement incurvée, elle se montre très souple et particulièrement habile pour les sortilèges de défense.  

• miroir à double sens; // .

• WIZARDS •
Perso Inventé

The stars have faded away

► Avis sur la situation actuelle :
Auguste n'a pas d'avis, on ne le lui demande pas et surtout, on ne lui demande pas d'en avoir un. Alors si vous lui pausiez la question, elle planterai son regard dans le votre, et sans ciller, elle hausserai des épaules, passant à un autre sujet qu'elle jugerai inintéressant.

Mais quoiqu'on en dise, Auguste a une cervelle, elle ne serait surement jamais arrivée là où elle est sans, et un cœur aussi, dur et froid mais un cœur tout de même. Alors oui, Auguste a bien avis: il vaut mieux chercher à se batte pour vivre plutôt que pour ne pas mourir, il vaut mieux être mort plutôt qu'un vulgaire esclave, il vaut mieux vivre que survivre. Mais la théorie est toujours différente que la réalité.


► Infos en vrac : A voir la facilité déconcertante avec laquelle Auguste traduit et interprète les Runes anciennes, on pourrait croire qu'il s'agit de sa langue maternelle. Compétence en la langue qu'il l'a surement mené à son poste au sein du département des Mystères. D'ailleurs, la gamine s'est très tôt intéressée à la vieille Magie, les Runes bien sûres mais surement la magie occultes si l'on croit les rumeurs.   Le thé n'est pas qu'une simple boisson pour la jeune fille. Ne vous méprenez pas à ce sujet, elle épie les moindres faits et gestes lorsque vient l'heure du thé. Elle vous observe et vous juge. Et croyez le ou non, ses observations sont toujours bonnes lorsque vient l'heure du thé. un tic. Instinctive. Très tôt confrontée aux rumeurs, Auguste a très vite compris qu'elle ne pouvait accorder sa confiance à très peu de personne.   C'est ainsi qu'elle a appris à observer, devenant transparente, se faisant oublier pour mieux appréhender le monde qui l'entoure. Ne soyez donc pas surpris si son jugement est différent du votre, de la majorité. Elle se fiche des journaux, des modes, des bruits qui courent, de votre avis. Réservée. A passer des années à construire sa tour d'ivoire impénétrable, Auguste en oublie parfois qu'il est normal de ressentir quelque chose, de se laisser aller. Ce n'est surement pas pendant son enfance qu'elle aurait pu apprendre les lois élémentaires de la sociabilisation avec ses parents, mais ses années d'études à Poudlard ne l'ont pas pour autant aidées à s'ouvrir un peu plus. On pourrait même dire que cela l'a encouragé à ériger d’innombrables murailles entre elle et les autres. Méprisant un peu trop ses camarades, s'apeurant à chaque paroles ou gestes amicales que les autres étudiants pouvaient lui porter.   Cela ne se remarque pas forcément mais la couleur de son œil est gauche et de deux à trois tons en dessous de la couleur de son œil droit. Auguste est ambidextre, ses parents ont toujours vu d'un mauvais œil le fait que leur gamine soit gauchère et après avoir passée des années à l'obliger à utiliser sa main droite, ils ont finis par abandonner face à l’entêtement de la gamine.   Auguste fait partie des nouveaux riches, ses rachetés que tout le monde méprise au fond. Ce changement de rang soudain alimente les innombrables ragots du Ministère qu'on s'échange aux toilettes entre deux réunions. Mais l'imagination n'étant pas le fort des fonctionnaires, Auguste est donc réduite à la jolie employée pas trop bête pour se priver de passer sous le bureau de son boss, obtenant une jolie promotion en même temps qu'une jolie fessée. etc.


Nothing compares to you

• pseudo & âge ; Méandre, 20 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? via Bazzart. • ton avis, tes suggestions ; ça manque de pizza mais ça va sinon  (a) . • connexion ; je peux passer tous les jours (j'aime bien glandouiller  minikr ). • quelque chose à ajouter ? vous êtes beaux  craque .




Dernière édition par Auguste Moroz le Mer 19 Nov 2014 - 22:23, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:32

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Here comes the hurricane


• La Ritournelle •
Auguste n'a jamais vraiment choisi sa vie, les autres on toujours pris soigneusement les décisions à sa place, et ce, même à vingt ans passés. Comme si sa cervelle de moineau était incapable de raisonner correctement. Mais ça, c'est familiale, depuis que la vieille grand-mère sotte a choisi de ripailler et d'écarter les cuisses pour les beaux yeux  d'un né-moldu, tachant et pourrissant le sang des Moroz qui était si pure auparavant. C'est comme si tout le monde lui en voulait d'avoir fauté, et encore plus ses rejetons. Les Moroz sont passés de la famille pure lambda, ils n'ont jamais eu le prestige des Black ni la fortune des Lestrange et encore mois la popularité des Malefoy, à une sombre famille trop faible pour se protéger de la vermine extérieure. Et ce dégoût, Auguste la toujours vécu comme une fatalité. Enfant de rien, gamine pourrie vouée à vivre dans l'ombre.

Élève plutôt douée, passant souvent inaperçue auprès des ses professeurs, ses camarades ne recherchaient pas sa compagnie, elle s'en accoutumait, de sa solitude. De toute façon, même enfant, les autres gamins ne venaient pas jouer avec elle, la regardant de loin, comme si elle était un monstre, comme si ses parents avaient réussi à la marquer : enfant non-désiré, honte de tous. Sa face rappelait sans cesse à son père son triste état, la déchéance de sa si noble lignée. Il aurait pu cherché un époux pour sa fille, histoire d'arranger un mariage qui restaurerait quelque peu la dorure du blason terni, mais non. Le pauvre Mr. Moroz n'en n'avait que faire, il était la risée de tous, il lui arrivait même de souhaiter la mort de toute sa famille, dans un immense brasier emportant tout sur son passage. Fini, il en serait enfin fini de cette lignée dégénérée et aliénée. A plusieurs reprises, les soirs où la seule compagnie du whisky-pur feu réussissait à réchauffer son âme, il s'est retrouver près à lancer un feudeymon sur l'arbre généalogique qui orne le mur d'un des nombreux salons vétustes de la vieille demeure, poussée par une force sans nom, venant du fin fond de ses entrailles. Mais le courage, il n'en n'a jamais eu malgré sa folie. Alors il se rasseyait dans le vieux fauteuil en cuir du grand-père, bosselé par l'usure.

La jeune femme a donc grandi dans l'indifférence totale, le seul être qui lui montrait quelques signes d'affection était Sinistre, l'immense et vieux chien aussi noir que la nuit que la famille avait depuis belle lurette. Passons sur la peine qu'elle éprouva lorsque son père ramena un soir d'octobre la dépouille du chien, écrasé par un fichu véhicule de moldus, rajoutant de l'huile sur le brasier qu'anime la haine de l'homme à l'égard des moldus. Les grands yeux de biches de la gamine, malgré son chagrin, sont pourtant restés secs, et depuis ce soir, plus aucune larmes ne trouva source dans son âme.


• Wall of Memories •


JANVIER 1996.

Lent cortège funèbre, tout de noir vêtu. Tes yeux sont aussi secs que le vent qui gifle ton visage. La vieille tante Allegra te regarde d'un mauvais œil, te maudissant sûrement à la vue de ta chevelure qui ressemble plus à un champ de bataille plutôt qu'à un crin soyeux vendu par Sorcière Hebdo. Tu l'as jauge à ton tour, elle finit par détourner son regard de tes belles mirettes. Tu ne l'as jamais aimé de toute façon, avec son double-menton et sa voix criarde. Ta mère sanglote  bruyamment, tu l’étoufferai bien aussi pour avoir la paix. Ça ferait la une de la Gazette : La veuve Moroz rejoint son mari au club des étranglés. Mais même cette boutade ne suffit pas à t'arracher un sourire. Tu le sait très bien que ta mère ne supportera pas la solitude, à voir les quelques amis venus rendre un dernier hommage à ton père, c'est-à-dire quatre collègues du Département des Mystères, personne ne s'intéressera plus à ses journées, à sa tarte aux châtaignes, à son dernier canevas … et sûrement pas toi. Mauvaise fille que tu es. Tu ne restera même pas ce soir avec elle, préférant rejoindre au plus vite Poudlard et ses couloirs sombres et froids.



Tu te rappelles, le lendemain de l'enterrement de ton père, quand tu as débarqué dans la Grande Salle pour le petit-déjeuner ? Je m'en souviendrai toute ma vie, y'a eu un lourd silence, et tout le monde t'observait, épiais tes moindres fait et gestes, et ce, jusqu'à ce que tes lèvres effleurent ta tasse de thé. On aurait dit une putain de scène d'un film. Et toi, toujours dans ton costume de princesse de glace, tu n'as lancé un regard à personne, comme si tout ça, c'était normal. Tu t'en rend pas compte Gus, mais t'es un putain de film à toi toute seule! Ton regard croise celui de ton interlocuteur, s'y perd quelques instant. Arrête de jurer. S'il te plaît. Il se met à rire, emportant le tien également. C'était les derniers jours paisibles, l'atmosphère se faisait de plus en plus sombre, de plus en plus lourde, l'orage allait bientôt éclaté. Et cela ne faisait aucun doute qu'il allait partir, se battre auprès des autres alors que toi, comme à ton habitude, tu ne ferais rien. Pas par lâcheté, enfin t'en savait rien après tout. Mais tu as surtout du mal à avoir de la pitié ou de la compassion pour les autres, pas plus que les autres n'avaient de sympathie pour toi. Tu le regarda à nouveau, il était déjà loin, comme tous ces gosses qui ont déjà choisi leur camp, comme si ce n'était qu'une vulgaire parti de quidditch, attisant chacun à leur manière la haine des autres. Une bataille de coqs au sein d'une basse-cour inondée par la rancœur. La rancœur avait déjà détruit ta famille, et maintenant tu voyait tout s'écrouler, cet immense bateau sombrer dans les eaux troubles. Ton cœur se sera un instant, en pensant aux morts à venir. T'étais pas dénuée de sentiments, et toutes ses vies qui allaient se briser en une fraction de seconde t'attristaient. Ne joue pas au fou, ne soit pas un vulgaire pion, et personne n'a besoin de preux chevalier. Le jeune homme, d'abord surprit, compris vite tes allusions. Son sourire débonnaire s’effaça, ses sourcils se froncèrent, se joignant presque. Tu sais très bien que je suis un adversaire redoutable aux échecs. Ne te fais pas de soucis pour moi. Et puis il t’enlaça, par surprise. Tu pouvait sentir son parfum, te réfugier au creux de son coup. Tu aurais voulu le serrer aussi fort que tes maigres bras le permettait. Mais t'étais immobile, pétrifiée par cet élan. Malgré toutes ses années passées à ses côtés, tu oubliais que l'on pouvait t’apprécier, tu n'osais même pas penser à ces gestes simples que des amis partagent.


Dernière édition par Auguste Moroz le Mer 19 Nov 2014 - 22:17, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:41

WIZARD • always the first casuality
Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
La Valse aux adieux 1481838266-pangif

‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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Bienvenue I love you
J'crois malheureusement que Ginta est déjà prise, c'est Aliss si je ne me trompe pas yeux
Bon courage pour la suite jule
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:49

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Merci Pansy I love you j'ai zappé Ginta sur le bottin brille je vais chercher un autre visage !
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:53

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Un titre de Kundera ne peut tromper I love you Bienvenue ici !
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 21:57

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Un très beau titre pour un mirifique prénom (pour une demoiselle, en tous cas) I love you
Bienvenue !
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 22:02

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bienvenue et bon courage pour ta fiche love
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 22:41

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Merci à vous trois I love you
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 22:48

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Bienvenue sur le forum !
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MessageSujet: Re: La Valse aux adieux   La Valse aux adieux EmptyLun 17 Nov 2014 - 23:00

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Oh mon dieu, Marine, mais ce choix cute J'approuve tellement gaah Et le prénom, j'adore palpite Bon courage pour ta fiche et bienvenue, j'ai hâte de lire la suite ! graouh
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