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sujet; A. Ethaniel Lestrange - L'admiration est la fille de l'ignorance |
| Arsenius Ethaniel Lestrange feat James McAvoy • lj
| ◄ | • nom complet ; Arsenius Ethaniel Lestrange • surnom(s) ; Comme pour ma sœur, Arsenius est plus réservé à la famille et j'ai une forte tendance à me présenter sous le nom d' Ethaniel. Les deux prénoms ont cependant un diminutif propre à chacun sous Arsen et Ethan. Mais comme vous souhaitez vivre assez longtemps pour espérer voir vos enfants grandir, je vous conseille d'attendre mon accord pour me nommer ainsi. (Exactement le genre de phrases qui me permet de maintenir une distance entre les autres et notre famille, distance dont la frontière a été tracée par Rodolphus et Rabastan) Et Tatan, c'est uniquement pour Gwen et en privé (prononcé 'tatane', parce que reste de mauvaise prononciation enfantine). • naissance ; Je crois pouvoir dire avec certitude que je suis né le 1er août en 1976 à Ste Mangouste. (25 ans) • ascendance ; Le sang des Lestrange est parfait et cela est attesté par le registre des sangs purs. • camp ; Je suis connu pour être un adhérent et vous ne me connaîtrez uniquement comme cela. Je suis le fils de Rabastan et personne ne mettrait en doute mon appartenance à ce camp. Dans mes idéaux bien cachés, mon véritable but est de protéger Gwen de tout danger. Cependant et a priori je suis un parfait petit adhérent en herbe. • métier ; Employé au Ministère de la Magie dans le département de la justice, je gère les conflits privés tant que cela ne touche pas aux questions d'Insurgés. • réputation ; La réputation des Lestrange n’est plus à faire et je ne déroge pas à la norme. J’en fais assez pour que le tout à chacun continue de nous craindre tout en évitant de faire le sale boulot. Mon aspect de tueur froid, héritage de mon père, admet une résonance commode qui me permet de n’avoir à entretenir que peu de choses. J’y rajoute une note de classe qu’il manque clairement à mon géniteur et en résulte un esthète considérable et à considérer par la dangerosité de sa famille. • état civil ; Absolument célibataire! • rang social ; Elite et adhérent. • particularité(s) ; / • patronus ; Essais infructueux. • épouvantard ; Gwen morte. Je cache au mieux cette forme que l'épouvantard prend devant moi en évitant au maximum ces bêtes de l'horreur. Je n'ai jamais réussi à lancer le sort pour le mettre en déroute. • risèd ; Gwen et moi, sereins, sans dangers alentour. • animaux ; Une chatte tigrée du nom d' Eulalie que je hais autant que j'apprécie. Je mets cet achat compulsif sur le coup d'une folie passagère. Bizarrement, ce félin des enfers tombe en pâmoison si Gwen se trouve dans le coin, et recherche activement ses caresses. Le pire étant qu'elle en a autant qu'elle en veut... Si je suis Chimène, elle est mon Rodrigue. • baguette ; Bois d'ébène, Peau de salamandre, 25 cm, Dure mais légère. • miroir à double sens; /.
• WIZARDS • PERSO INVENTE (NOM PREDEF) |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : A priori, je suis évidemment pour le régime politique actuel. Comment peut-il en être autrement en mettant en relief quelques éléments importants, comme le fait que mon père soit Rabastan Lestrange, un des mangemorts les plus connus et les plus cruels, que je sois moi-même adhérent, donc apprenti mangemort, ou même que je travaille pour ce régime, au Ministère de la Magie ? Cependant la mise en relief implique des interstices en creux, des vallées contenant des secrets, sous une apparence de collines se suivant sans renfoncement notable. La libération des Lestrange d’Azkaban n’a pas été une partie de plaisir pour ma mère et j’ai vu toute mon enfance les effets d’un homme comme Rabastan et ceux de son espèce sur une personne qui est, malgré tout ce qu'elle représente, la chair de ma chair. Mon véritable avis sur ce régime politique est donc tout à fait nuancé, mais encore plus sur les mangemorts, qui ne m’inspirent aucune espèce de confiance. En apparence, je reste de toute façon tout à fait pour ce régime, et en soi, il m’apporte une vie confortable et je ne suis pas fait pour tomber de mon estrade élitiste. Oui, je ne suis pas non plus un défenseur des droits des elfes de maison, il ne faut pas pousser Merlin dans les ronces. Pour ce qui est de la durée de la guerre, ce climat de suspicion constante n’est propice à rien à part à la cruauté et à la délation. Si cette dernière est une arme qui peut servir ma manipulation, la cruauté n’est pas de mon goût, même si je ne suis, là encore, pas un gentil de première, je ne peux comprendre ce règne de la peur. L’espoir maîtrisé est plus fort que la peur mais je ne suis pas assez bien placé, malgré mon rang, pour prendre ce genre de décisions. En somme, moins de temps durera la guerre, et plus vite Gwen sera en sécurité relative… Enfin... Enfin la traque des insurgés et la vente des rebuts, en apparence, c’est totalement expliqué et explicable, on ne peut laisser ce genre de personnes en liberté et l’esclavage des rebuts permet de les remettre dans le véritable chemin où ils devraient être depuis toujours. En vrai, je pense que c’est peut-être un mal nécessaire pour les rebuts, quelque chose qui peut paraître inhumain mais évite Azkaban à ces personnes grâce à la grande clémence du Magister. Quant aux Insurgés, je ne me sens pas particulièrement concerné par ces gens qui me jetteraient sur un bûcher s’ils gagnaient le Ministère. ► Infos en vrac : • La littérature. Un hobbie. Un passe-temps. Une occupation tenant du secret car ayant peu d’intérêt pour l’image. Comprenez-moi bien, visualisez deux petites minutes la graphie physique et l’effet de l’homme littéraire. Inspire-t-il quelque respect ? Peut-être seulement scientifique, le respect que l’on a pour l’homme de sciences, mais en aucun cas il impose la distance nécessaire due à mon rang. Inspire-t-il de la crainte ? Seulement des analphabètes, peut-être, qui auront alors peur de traîner sous le poids des mots une souffrance plus grande encore que la torture, si cela est possible. Mon amour pour le sublime des mots garde donc sa place dans la part de ma vie connue par très peu de personnes. • Un statut d’informateur dans les apprentis mangemorts semblait plutôt logique étant donné mon habitude de la société, ma capacité à jouer avec les apparences, les niveaux de langage et les manipulations psychologiques et ma connaissance accrue du droit. Et dois-je rappeler que ma volonté profonde est avant tout de protéger les arrières de Gwen ? L’information est donc la première et la plus importante donnée afin de lui éviter tout tord. Cela m’amuse beaucoup au fond et je préfère cela à me salir les mains en tortures en tout genre, ce qui n’est pas digne de mon rang, de mon métier et de ma conscience. • Mon défaut principal n’en est pas un selon moi et je crois pouvoir dire même qu’il s’agit d’une qualité sans pour autant passer pour un rhétoriqueur maladroit ou de mauvaise foi, du moins en poussant au bout une argumentation ordonnée et ordonnante. On dit souvent de moi que je suis fier, peut-être hautain, mais si évoluer dans une famille de sang pur m’a appris une chose, c’est que le rang, ça se tient. La gloire m’a appris à avoir une fière conscience de moi-même et à savoir affirmer ma valeur propre et généreuse auprès des autres. Ma générosité, au sens du caractère noble, m’a appris à faire passer le devoir de ma famille avant le mien, en bon sang pur. J’applique le plus clair de mon caractère généreux à la protection de Gwen ; de ma gloire à faire resplendir le nom des Lestrange dans ces temps où les sangs purs sont les rois. • S’il y a une rumeur à retenir, on pourrait certainement noter celle qui a dit, dans des temps où les familles de mangemorts étaient beaucoup moins aimées et où Gwen et moi étions jeunes, que plus que l’affection d’un frère pour une sœur infectait mes rapports à celle-ci. Les affaires de consanguinité étant matière courante dans des époques plus lointaines encor’, il était en vogue alors de se moquer des anciennes familles en induisant des affaires fraternelles peu honnêtes. Une telle marque d’irrespect paraissait alors banale et passait presque pour amusement public mais, de nos jours, une telle infamie serait tellement risquée que cette rumeur est devenue totalement confuse, et, à ce que j’ai entendu, a totalement disparu. Cependant, les on dits ont tôt fait de prendre le cours des discours, surtout en période de trouble, et pour un homme comme moi, qui joue des paroles, se faire duper par celles-ci serait un comble ! • En réel vrac: Un tout petit appétit. • Peu enclin aux excès de l’alcool ou de la drogue, juste un verre de temps à autres, la lucidité étant la clef de la maîtrise de soi. • Seul tic un peu moldu sur les bords : la cigarette, le plus souvent seul. • Une admiration peu expliquée ou explicable pour le feu. • Un amour de la manipulation des gens et de la langue. • Un amour encore plus inconditionnel pour Gwen. • Une appréhension de la psychologie, un certain intérêt même pour cette matière moldue. • Une haine et une passion pour Eulalie, ce félin stygien à qui je dis chaque jour « Va je ne te hais point ! ». • Une adoration sans bornes pour Gwen. • Un regard haut, un port altier, jamais de relâchement en public. Nothing compares to you • Pseudo & âge ; Manu, mon âge, trop vieux pour le dire, trop jeune pour l'oublier. • comment as-tu trouvé le forum ? Ma sœur est du genre insistante. • ton avis, tes suggestions ; Ça a l'air sympa par ici, je vais prendre une chaise. Je ne m'avancerais pas à des suggestions. • connexion ; Assez pour jouer en tout cas. • quelque chose à ajouter ? .
Dernière édition par A. Ethaniel Lestrange le Dim 7 Déc 2014 - 22:33, édité 40 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• Enfance et Lumière •――――-――― Quand je tente (vainement, vous le constaterez) de me souvenir avec précision de ces moments de mon enfance, naît une sorte d’incandescence latente, de lueur rappelant vaguement celle d’une flamme lancinante et meurtrie, d’une espèce de fragrance luminescente à peine perceptible, convenant aux choses inaccessibles, qu’on tente de toucher, de compromettre du doigt, cependant qu’on est au courant très tôt de la nature fortuite d’un tel geste. Des flashs de lumière rapides. Des odeurs. Des sons. Une madeleine. Rien de plus. J’ai pourtant détruit des heures perdues à de tels efforts sans en trouver les effets recherchés. Une approche minutieuse s’avérait impossible à chaque fois. Je ne sais si c’est une caractéristique de mon être ou l’impossibilité d’approcher avec exactitude les ressentis d’un autre temps. Je suppose que l’essai autobiographique implique automatiquement alors une forme de fictionnel que le destinataire doit absolument accepter. Je ne peux vous fournir un rappel exact et concret d’une telle époque et pourtant je m’en souviens quasi exactement. Comment expliquer ce résultat paradoxal d’une réflexion sur le passé ? On sait exactement ce qui s’est passé, comment ça s’est passé, et pourtant on est incapable de donner les détails qui prouveraient qu’on était présent au bon endroit, au bon moment. Ou devrais-je dire au mauvais endroit, au mauvais moment dans ce cas-ci. L’axe diachronique est en réalité impossible pour de tels évènements, il s’agirait plutôt d’un axe paradigmatique, car les souvenirs ne viennent pas de l’intérieur, mais de l’extérieur le plus souvent, sorte de déclencheurs de quelque chose d’enfoui. Le son d’une église rappelant bizarrement un repas familial, la madeleine croquée ravivant une époque de Proust, la posture du vieillard rappelant le père chez Ernaux. Mon enfance m’est rappelée le plus ardemment quand j’ai revu mon père pour la première fois depuis sa sortie de prison. Son visage non dénué de charme, mais atteint d’une folie persistante m’amenait dans les confins de souvenirs peut-être consciemment oubliés, et je pense que c’est le moment où je me suis rappelé avec le plus d’exactitude cet être masculin semblant mesurer plusieurs mètres me tenant du bout des bras à chaque fois pour m’examiner, comme pour déceler chez moi quelque détail qui ne sauterait pas de suite aux yeux. Ce regard, justement, avec une lueur étrange. Je me rappelle cette fierté quand je répétais avec exactitude les paroles souvent cruelles qu’il disait à ma mère, prenant à l’époque une insulte pour une banalité. Je me souviens de ma sœur, la vraie, ceux que peu, très peu, ont vraiment connue, ce petit être toujours toussotant, pleurnichant, le sujet des pleurs nocturnes de ma mère. Image. J’entends la petite pleurer doucement. Je suis dans le couloir. Je pousse la porte. Ma mère. Assise. Pleurant elle aussi. Je le sais, elle a la tête penchée en avant, un mouchoir blanc en tissu dans la main. Elle pleure en silence. La petite est dans son berceau, cachée par du tissu blanc aussi. Elle ne sèche cependant pas ses larmes dedans, elle. Ma mère triste, je l’ai toujours connu ainsi, c’est la seule image que j’ai d’elle, du moins jusque mes six ou sept ans environ. Elle était alors aimante, tentant de balancer à l’image de ce père violent avec elle, terriblement dur, froid parfois. La persistance de cette tristesse presque opaque, imprescriptible, inaltérable est l’image la plus éblouissante, énergique, insupportable, insoutenable même ! C’est ce qui donnera cette acceptation certes facile et rapide, mais explicable, de ces gestes parfois violents qu’elle aura envers « l’autre », comme elle se plaira à me dire en privé, moi le grand, celui qui la comprend, qui la considère, qui a vu tant de choses... ――――――-―• Confidence et Doucette •――――-――― La seconde image atteint les strates de l’incompréhension. Comment vous expliquer un moment de ma vie que je n’ai pas absolument saisi à l’instant et que j’ai du mal à exprimer encore maintenant ? Je vais donc continuer mon entreprise d’images floues en espérant vous aider à filer une histoire sensée et intéressante. La petite pleurait sans cesse. Elle semblait ne pas accepter la vie comme tout être normal. Elle luttait. Lutte, lutte sans cesse, objet de contrainte. Objet de tristesse continuelle. Je dis objet, car elle n’a jamais eu d’existence réelle pour moi. Enfin je dis ça… Peut-être, à un moment, en a eu-t-elle un peu, mais aujourd’hui elle est trop éloignée d’un être vivant pour la considérer comme tel. Elle a été totalement et indubitablement remplacée par « l’autre », la nouvelle, la meilleure. Ce que j’appelle objet disparut un jour, sans plus de pleurs. Je ne peux en dire plus sur la date exacte ou la condition de cette mystérieuse disparition. Une voix masculine m’expliqua qu’elle était trop malade pour continuer cette lutte. Ce n’était pas celle de mon géniteur mais d’un autre homme que je ne reconnaîtrais que longtemps plus tard. Ma mère effondrée resta plusieurs jours sans pouvoir m’adresser un seul regard. Cette impossibilité de me voir était sans aucun doute liée au fait que j’étais moi aussi le fruit de ses entrailles et que je lui rappelais, dans un premier temps du moins, sa perte. Très vite, le plan d’incursion d’une usurpatrice prit place et sans même en être au courant, je vis débarquer une nouvelle petite sœur, beaucoup plus grande. Ce nouvel être, plus précieux, moins maladif, beaucoup plus intéressant, je m’y attachai avec une rapidité déconcertante. Et si ma curiosité se mua très vite en affection, ma mère ne porta jamais ce petit être dans son cœur. Image. Moi jouant avec ma sœur. Son sourire fait écho au mien, ma doucette. Je lui prends un jouet qu’elle avait dans la main. Pas de méchanceté gratuite, j’ai juste envie de l’avoir c’est tout. Oh pourquoi elle pleure ? Je te le rends, ne pleure pas petit cœur. Ma mère débarque en furie, gronde des paroles. Je ne sais plus lesquelles. Elle la tire par les cheveux dans le seul but de la remettre debout. Une gifle. Violente. Ce fut comme un éclair, cette incursion de la harpie dans notre monde, notre cocon, notre fraternité. Et ce n’était que le début d’une longue, très longue agonie furibonde. Alors que ma mère avait du mal à accepter « l’autre », je la considérais comme jamais alors je n’avais considéré personne. Elle était ma protégée, et plus encore par le fait que j’étais l’un des seuls à savoir qui elle était réellement. Enfin plus ou moins. La confidence de ce secret ajoutait à ma vision de la petite sœur une sorte d’adrénaline grisante ne pouvant qu’attiser le feu de mon affection. Si les effets de ma mère sur son enfance étaient désastreux, je tentais au mieux de lui offrir des instants d’aile protectrice, de lieu favorable, comme elle en avait que trop rarement. Devant ma mère, je ne pouvais lui tenir tête, car je savais que trop ce qu’elle avait vécu, mais je ne pouvais totalement la soutenir dans son entreprise de destruction. Et dès qu’elle partait, ma consolation de la particulière, ma préférée, l’intéressante commençait. ――――――-―• Nuit et Brouillard •――――-――― Ministère de la Magie. Un soir d’été. Je suis debout dans l’encadrement de la porte, mon bureau devant moi. C’était donc là. Là que j’allais travailler pendant un certain temps. Là que j’allais traiter des affaires. Là que j’allais enfin être considéré à ma juste valeur. Certes, ce temps du Magister était peut-être une horreur pour de nombreuses personnes, et même, à juste titre, pour beaucoup d’entre nous. Mais il signifiait enfin la sortie de l’ombre. La sortie de la honte. De l’indécence dans laquelle nous vivions, loin des véritables droits auxquels notre rang pouvait prétendre. Oui, cela signifiait le temps de la nuit et du brouillard. Certes, cela signifiait le temps de la délation, de l’occupation des esprits, de la propagande fallacieuse. En effet, cela incluait des meurtres, des tortures, des amalgames et des analogies rapides et peu soucieuses de la logique et de la liberté de chacun. Pourtant, quel souffle ! En tant que Lestrange, j’étais placé à présent au rang le plus haut de la société, admiré et/ou craint par tous. Droit, je ne bouge pas. Je regarde. Je sais que ce passage, cet encadrement derrière moi, une nouvelle vie commencera. C’était peut-être donner un symbolisme dramatique à une action totalement banale, mais cela représentait tellement pour moi. Et puis Gwen. L’arrivée à la justice, adhérent grâce à mon père, informateur pour les mangemorts, me permettaient tant de possibilités de savoir bien en avance si quelque chose pouvait l’affecter de près ou de loin. Ma peur à moi était bien différente de la crainte qui bouleversait les habitants mais tout aussi continuelle, tout aussi entêtante. Si je ne me relâchais jamais en public, celle-ci ne me lâchait jamais non plus. Las d’une idée si obsédante, je ne pouvais pourtant jamais laisser paraître une telle préoccupation qui donnerait des interrogations –pour le coup plus que préoccupantes- à mes détracteurs, le plus souvent d’autres adhérents ou mangemorts qui avaient dans l’une de leurs plus grandes visées la chute d’un empire aussi brillamment noir que celui des Lestrange. En somme, la confidence du secret de Gwen qui me liait à elle dans mon enfance faisait de mes pensées adultes un cauchemar incessant, comble de visions chimériques et stygiennes, plus luminescentes cette fois-ci, mais d’une noirceur pouvant être égales à notre bon Magister. Je passe la porte. Un frisson. Nouvelle Vie. Fondu au noir.
Dernière édition par A. Ethaniel Lestrange le Dim 7 Déc 2014 - 23:04, édité 16 fois |
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| OMMG McAvoy comment je l'aime cet acteur ! Et en Lestrange ça déchire tout ! Bienvenue sur le fo et bon courage pour ta fiche ! |
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| Hey Welcome Frangin, hâte de jouer avec toi Courage pour ta fiche |
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| Haaaaan Jammmes ! Bienvenue parmi nous, jeune homme ! Et bon courage pour ta fiche ! |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Ouuuh, on ne le voit plus assez sur les fora, lui Bienvenue sur exci et bon courage pour la suite |
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| OMFG ! Comme je l'aime lui Bienvenuuuuuue et bon courage pour ta fiche |
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